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En hommage à
EPAGNEUL-BRETONBELLE
Il est né le:--/06/1986
Il nous a quittés le:19/06/1995
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En hommage à
BELLE
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2266 Fleurs
Déposé par Cupidon Tendres pensées en ce triste jour anniversaire. Nous les reverrons tous de l'autre côté, j'en suis certaine... Déposé par choupinou toute ma tendresse petit coeur, en ce jour anniversaire, en ce jour difficile du souvenir, tendres câlins💖😥✨belle petite BELLE |
1413 messages
Déposé par rafia le 31/01/2015Comment être heureux 1. Décide d’être heureux. Apprends à trouver du plaisir dans les choses simples. 2. Tire le meilleur parti possible de tes situations. Nul ne possède tout et tout le monde a une certaine tristesse mêlée aux plaisirs de la vie. Le secret consiste à rire plus qu’on ne pleure. 3. Sois indulgent avec toi-même. Ne te prends pas trop au sérieux. Et ne crois pas que tu dois être protégé des malheurs qui frappent les autres. 4. Ne te soucie pas des critiques. Tu ne peux plaire à tout le monde. 5. Fixe tes propres normes et tes propres buts. Sois toi-même et explore tes propres limites. 6. Fais ce que tu aimes faire, mais sans t’endetter. 7. Ne cherche pas les ennuis. Les fardeaux imaginaires sont plus lourds à porter que les vrais. 8. Débarasse-toi de tes rancoeurs. La haine, l’envie et la colère te rongeront de l’intérieur. 9. Multiplie tes intérêts. Si tu ne peux voyager, parcours le monde par tes lectures. 10. Ne te laisse pas terrasser par les regrets. Surmonte tes tristesses et tes erreurs et ne conserve que les leçons utiles qu’elles t’ont apprises. 11. Fais ce que tu peux pour les gens moins fortunés que toi. 12. Tiens-toi occupé. Quiconque est très occupé n’a pas le temps d’être malheureux. Robert Louis Stevenson, , |
Déposé par rafia le 30/01/2015Ne reste pas à pleurer devant ma tombe, Je n’y suis pas, je n’y dors pas. Je suis un millier de vents qui soufflent ; Je suis le scintillement du diamant sur la neige. Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr ; Je suis la douce pluie d’automne. Quand tu t’éveilles dans le calme du matin, Je suis le prompt essor Qui lance vers le ciel où ils tournoient les oiseaux silencieux. Je suis la douce étoile qui brille la nuit. Ne reste pas à te lamenter devant ma tombe. Je n’y suis pas ; je ne suis pas mort. Auteur inconnu |
Déposé par rafia le 29/01/2015Demain, dès l'aube. Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo., |
Déposé par poutounou le 28/01/2015La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. * Paul Eluard |
Déposé par colombine67 le 27/01/2015Comment est-ce possible ? Quand j'étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire. Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais "Comment peux-tu?" mais après on s'amusait ensemble. Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite. Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que "la glace est mauvaise pour les chiens" comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison. Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et tu t'es concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de cœur et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne-chien » mais je l'ai accueillie dans notre relation, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux. Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour". Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée. Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu'ils te demandaient une photo de moi tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais "juste oui" et changeais de sujet. Je suis passé du statut de "ton chien" à "seulement un chien", et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta "famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille. J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et tu as dit: "Je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui". Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers". Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait "Non, Papa! s'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien!" Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie? Tu m'as donné un « au revoir caresse » sur la tête, tu as évité mes yeux, et tu as refusé de prendre mon collier avec vous. Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois, et rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué leurs têtes et ont dit "Comment est-ce possible?" Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne le leur permettent. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve. ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu. J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le « prisonnier de l'amour » avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété qu'elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour. Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti le dard et les liquides se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré "Comment as-tu pu?" Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit "je suis si désolée". Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'aille à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différente de cet endroit. Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon "Comment as-tu pu?" n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais. Je penserai à toi et t'attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté. ©Jim Willis 2001 |
Déposé par rafia le 27/01/2015Il est temps Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. J'écoute quelquefois le soir Des nouvelles à la télévision. On y voit haine et désespoir, Détruire notre monde sans raison. On nous annonce au fil des jours Que femmes et enfants sont agressés Et qu'aussi certains vautours, Vont jusqu’à tuer pour dominer On a beau se parler d'amour, De partager son amitié. Qu'aussitôt dans le détour, La rose sort ses épines acérées. Pourquoi sommes-nous si violents ? Pourquoi sommes-nous insouciants ? Pourquoi sommes-nous si impatients ? Pourquoi sommes-nous intolérants ? Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. Roger Kemp, |
Déposé par rafia le 26/01/2015Sourions On se retrouve seul, on a peur quelquefois et l'on regarde autour de soi, guettant sur un visage un soupçon de tendresse. Mais personne ne s'intéresse à personne, et ainsi tout va de mal en pis. Parfois le malheureux reste sur le tapis, comme à la vie plus rien ne le rattache, il crève dans son coin, sans que nul ne le sache. Un sourire pourtant l'aurait tiré de là. Sourions mes amis, quittons ces airs trop las, faisons-nous l'amitié, si rare à notre époque, de sourire pour rien, d'être aimable avec n'importe qui, pour n'importe quoi. Gérard Sire, |
Déposé par poutounou le 25/01/2015Le printemps reviendra * Hé oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor là. La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, même l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice Carême * Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid… |
Déposé par ovanek le 25/01/2015❤ **** Un Jour **** de nos promenades de nos dimanches de baignades de nos matins câlins il ne me reste que du chagrin à toi, qui près de moi tous les jours jamais n'as économisé ton amour je t'aimerais toujours pour tout cet amour donné pour tous ces moments passés à jamais je t'oublierai tu me suivais comme mon ombre toujours à mes cotés dans tes yeux se profilait l'ombre du regret de me quitter tu es parti tout doucement tu es parti en me regardant tu me manques tellement tous les jours je pense à toi un jour ont se retrouvera de nouveau je serais près de toi **** Pensée **** ❤ |
Déposé par goulou50 le 22/01/2015Mon Ange, Aujourd'hui j'aimerais tant que tu sois encore avec moi, je sais que tu es parmi les étoiles et que de là-haut tu brille pour nous protéger, que tu es près de nous à chaque instant, que tu me donnes la force de surmonter ton absence. a chaque jour qui passe... ton absence se fait sentir très fort, quand j'ai le coeur lourd de tristesse, quand mes larmes coulent, je peux sentir tes baisers de papillon qui par tes Ailes d'Ange, tu viens me les sécher. avec ta douceur qui est la tienne... je sais que tu seras toujours là jusqu'au jour ou l'on se retrouveras... Je t'aime mon petit ange |
Déposé par rafia le 22/01/2015La PETITE ESPERANCE C’est la petite lumière qui brille au fond de ton cœur et que nul au monde ne saurait éteindre. Si ton cœur est brisé, malheureux, éperdu, si ta vie est triste, monotone, sans saveur, si l’angoisse parfois et souvent te saisit, La petite espérance est là au fond de ton cœur, qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver, elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel Si tu n’as plus le goût à rien, ni même celui de vivre… La petite espérance est encore là, au fond de ton cœur, qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source, le jeune bourgeon qui permet à l’arbre de reverdir, la clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon cœur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves toi qui ne connais pas le mot fin. Auteur inconnu |
Déposé par rafia le 21/01/2015Au bout du monde Au bout du monde, il n’y a pas de route, mais le terme d’un pèlerinage. Au bout de l’ascension, il n’y a pas l’ascension, mais le sommet. Au bout de la nuit, il n’y a pas la nuit, mais l’aurore. Au bout de l’hiver, il n’y a pas l’hiver, mais le printemps. Au bout de la mort, il n’y a pas la mort, mais la VIE. Au bout du désespoir, il n’y a pas le désespoir, mais l’Espérance. Au bout de l’humanité, il n’y a pas l’homme, mais l’Homme-Dieu. Au bout du Carême, il n’y a pas le désert, mais la RESURRECTION. (Joseph Folliet), |
Déposé par choupinou le 20/01/2015Je suis sortie ce soir, seule, sous l'ombre troublée, à travers la pluie du miroir, aux larmes de mes pensées. Pour attraper un peu de toi, je n'avais plus qu'à me cacher, sous ce parapluie noir d'émoi et laisser les gouttes m'inonder. C'était pas il y à demain... C'était pas, il y des mois... Le temps est une traine de toi, qui oublie la pluie sans fin. Il transporte les rivières. Transforme les torrents d'hier. Déverse ses larmes aux abois, qui dégoulinent à soif de toi. Sur l'horizon blême, au ciel sans but même. Cachée sous l'ombrelle, j'écoute la pluie ruisselle. C'était pas il y a des heures... C'était pas il a des siècles... Le temps de toi qui passe, me traine tant qu'il me glace. Sur mes joues de chagrin, il pleut de toi sans fin. J'entends pleurer la pluie, en silence dans la nuit. Je n'avais plus qu'à me fondre, sous cette ondée de tristesse. Me décomposer et me confondre, en pluie de larmes caresse. Myriam Ghibaudo, |
Déposé par colombine67 le 20/01/2015Crois-tu que le monde peut changer ? Un guide dit à son élève : Lorsque l’ombre du tournant, de la colère et de la révolte te recouvre l’esprit, avance vers elle, va dans son épicentre. Il l’invite à entrée dans un tunnel et à aller découvrir ce qu’il y a à l’autre extrémité. Dans ce tunnel, une paix intérieure et extérieure se fait ressentir. Ensemble, ils traversent un tunnel de couleur rouge, bleu et jaune où la joie d’un retour à la maison se fait ressentir dans l’âme de l’élève. Le guide demande à l’élève de s’asseoir sur un banc, et s’assit face à lui. Il attend un moment en silence. Et dit à l’élève : Crois-tu que le monde peut changer ? L’élève ne sachant pas quoi répondre reste silencieux. Il répète sans aucune émotion : Crois-tu que le monde peut changer ? En ayant envie de pleurer, l’élève lui fait non de la tête. Et lui répond qu’il ne peut pas savoir. Le guide reprend : Sais-tu que le monde peut changer ? Complètement déstabilisée, l’élève lui dit : cela me paraît impossible, A cet instant, il avait le sentiment de perdre son plus beau rêve. Aimerais-tu que le monde change ? L’élève ne sait et n’ose toujours pas lui répondre. Il est invité à se lever et à continuer le chemin. Le guide s’arrête et ramasse la graine d’un arbre, la met dans le creux de sa main de laquelle émane une lumière et demande à l’élève de regarder la graine. L’élève constate que la graine est lumineuse elle aussi, elle respire, un coeur bat en elle, elle est vivante. En même temps sur les murs apparaissent deux images en face à face. A gauche, l’image d’un très vieil arbre datant du début de la végétation terrestre à l’opposé un arbre minuscule et lumineux tous deux sont très beaux. Le guide me laisse contempler les deux images et dit à l’élève en montrant le plus vieil arbre : Cet arbre a changé. La graine que je tiens dans la main est la vie de chacun d’eux. Pour chacun, il s’agit de même graine. Ce qui était grand est devenu petit. Le monde peut changer, lorsque la source de son cœur ne sera plus tarie pas le désespoir, lorsque de son cœur ruissellera l’humilité. Comme cet arbre immense s’est transformé, et est devenu petit, l’homme devra se transformer et devenir petit, non pas petit de l’âme et du cœur, mais petit dans son orgueil et son égoïsme. De la graine qu’il tenait dans la main, sortit un bel arbre feuillu, il était petit mais ressemblait à un grand chêne vert, l’élève avait l’impression que l’arbre était très vieux et très grand, pourtant il le tenait dans la main. (L’élève était très grand par rapport au chêne, pourtant le chêne était plus grand que lui) Le guide lui dit alors : Rappelle-toi, de l’infiniment petit, naît l’infiniment grand, de l’atome est née la vie, de la poussière est née la matière. L’environnement s’illumina d’un soleil très doux. Il continua : sans la lumière, sans la foi, il n’y a pas de vie possible, il n’y a pas d’évolution possible. Crois-tu que le monde peut changer ? L’élève n’ose pas lui dire oui et je reste silencieux. Il lui montre un petit tas de cendre qu’il tient dans la main et lui dit : Cela était une forêt, et en silence, il souffle sur les cendres afin qu’elles se dispersent dans l’espace. Il montre sa main vide à l’élève et lui dit : Que vois-tu ? L’élève lui répond qu’il ne voit rien. Il lui montre alors un grain de poussière et lui dit : De cette poussière renaîtra l’arbre, de l’arbre renaîtra la forêt, de la forêt renaître la terre, de la terre renaîtra l’homme. Que chaque homme se place à l’état de poussière. Crois-tu que le monde va changer ? Si l’homme comprend que d’un grain de poussière peut renaître une forêt, il prendra soin de tout ce qui plus petit autour de lui. Face, au plus petit, il se fera encore plus petit, jusqu’à s’oublier lui-même. Le monde alors renaîtra. De l’infiniment grand, naîtra l’infiniment humble, de l’infiniment humble naîtra l’espoir de l’homme et la vie terrestre. Il reprend « Crois-tu que le monde peut changer ? » Il l’invite alors à repartir et lui demande de méditer sur tout ce qu’il a entendu. Et lui fait signe en lui disant de « toujours se placer dans une position d’humilité » De toujours rester petit. Pour devenir grand. |
Déposé par rafia le 20/01/2015Vivre et croire C’est aussi accepter que la vie contient la mort et que la mort contient la vie. C’est savoir, au plus profond de soi, qu’en fait, rien ne meurt jamais. Il n’y a pas de mort, il n’y a que des métamorphoses. Tu ne nous as pas quittés Mais tu t’en es allé au pays de la Vie, Là où les fleurs Plus jamais ne se fanent, Là où le temps Ne sait plus rien de nous. Ignorant les rides et les soirs, Là où c’est toujours matin, Là où c’est toujours serein. Tu as quitté nos ombres, Nos souffrances et nos peines. Tu as pris de l’avance Au pays de la Vie. Je fleurirai mon cœur En souvenir de toi, Là où tu vis en moi, Là où je vis pour toi. Et je vivrai deux fois… (Père André Marie), |
Déposé par rafia le 19/01/2015Lettre venue d'ailleurs... Tu as souhaité m'écrire, laissant le soin aux nuages, le soin de me transmettre ton message. Cette seule intention m'autorise à te répondre afin de te dire qu'en partant, j'ai bien emporté toute la richesse et l'amour de notre vécu, et, si du poids de mon corps je me suis allégé, je n'en reste pas moins, dans l'ombre, à tes côtés. Dès lors, si tu es à la recherche de notre hier, laisse voguer en toi les pensées et les rêves, car, dans ces voyages, nous nous retrouverons pour vivre ensemble cette intime complicité, et donner ainsi toute sa force à son éternité. Que la caresse du vent, un rayon de soleil, une étoile filante ou une goutte de pluie soient les anges porteurs de cet écrit pour en traduire auprès de toi le sentiment, afin que, laissant de côté regrets comme oublis, tu vives intensément chaque moment de la vie. (Michel Thivent), |
Déposé par poutounou le 18/01/2015L'arbre de la tolérance * Pour toi, bel Ange… * Quels mots veux-tu que j'apprivoise pour toi aujourd'hui ? Pendre, prendre, prétendre Ils sont bien trop enferrés aux boulets de la vanité * Prévaloir, pouvoir, avoir Ceux-ci vivent leur deuil Au fond des prisons d'orgueil * Imposer, condamner, spéculer Tous sont opprimés Dans les étaux de la cupidité * Pour toi j'apprivoiserai plutôt les mots Ecouter, respecter, partager Et si c'est leur préférence Je leur offrirai les fleurs de la tolérance * Pour toi, j'apprivoiserai plutôt les mots Apprendre, comprendre, entendre Et si c'est leur volonté Je leur offrirai les branches de l'humilité * Pour toi, j'apprivoiserai surtout les mots S'ouvrir, sourire, offrir Et si c'est pour toujours Je leur offrirai l'arbre d'amour |
Déposé par myriam31 le 18/01/2015Au-delà des soupirs Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire, Tu es parti trop vite sans me prévenir.. Immense est mon regret, Je voudrais te le dire Au de-là du chagrin, au-delà des soupirs. Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance. Mes plus belles pensées vont vers toi dès l’aurore, Je t’appelle et te parle avant de m’endormir, Au de-là du chagrin, au-delà des soupirs. |
Déposé par rafia le 18/01/2015Bonsoir à toi, mon bel ange Belle..la bien nommée...Ce soir, je t'apporte un message de ta maman adorée. Avec mes plus tendres câlinous pr toi, adorable BELLE et ma bien sincère amitié pr ta formidable maman.. Je joins mes 1000 mercis. autant de bisous Votre amie : Maryem ************** Belle..., mon ange adoré Tu es mon oxygène, Tu es l'espoir que je promène, La force qui me permet de vivre Ton absence qui coule dans mes veines. Tu es ancré ds ma vie L'Ange pur de l'innocence, Mon Etoile de bienveillance, Plus qu'un espoir et plus qu'une chance. Tu es ma mélodie, Et tu reproduis à l'envie, Les couleurs de ma vie, Tu restes mon bonheur à l'infini., |
Déposé par rafia le 16/01/2015Restaurer l'estime de soi...afin que vive l'AMITIE vraie. 1. Mieux se connaître. La règle d'or en matière d'estime de soi : prendre conscience de ses capacités et de ses limites. 2. S'accepter tel que l'on est. Il n'est pas nécessaire d'être sans défaut pour avoir une bonne estime de soi. 3. Être honnête. C'est prendre la responsabilité de ses émotions : avouer son engagement dans certains objectifs ("Je tiens à ton amitié"), ses exigences ("Je ne veux pas qu'on fasse des choses qui me déplaisent") ou ses craintes ("J'ai peur de ne pas réussir"). 4. Agir. Les actes sont la gymnastique d'entretien de l'estime de soi. Se fixer un objectif quel qu'il soit. Et s'y tenir. 5. Faire taire le critique intérieur. Il s'agit souvent d'un discours parental intériorisé. Prendre conscience de son existence. 6. Accepter l'idée de l'échec. Agir, c'est prendre le risque d'échouer. Un thérapeute peut même aller jusqu'à prescrire l'échec pour le dédramatiser. 7. S'affirmer. Apprendre à dire non sans agressivité. Demander quelque chose sans s'excuser. Répondre avec calme à la critique. 8. Être empathique. Savoir écouter et ressentir le point de vue des autres, même si l'on n'est pas d'accord avec eux. 9. S'appuyer sur les personnes de son entourage. Ne pas hésiter à leur demander un soutien, mais accepter qu'on ne puisse vous le fournir dans l'instant. Activer régulièrement son réseau social. Et pas seulement pour se plaindre. Christophe André & François Lelord, L'estime de soi, |
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