Coucou mon titi, tout d'abord je voudrais remercier en ton nom tous ceux et celles qui viennent régulièrement fleurir ta tombe, laisses de gentils mots de sympathie pour m'aider à passer ce difficile cap. Cela m'aide beaucoup, vraiment beaucoup. Et puis aujourd'hui, il y a 20 ans, venait au monde notre Romain. Il y a 20 ans, c'était un petit bouchon prématuré de 2,6 kgs, chauve... et aujourd'hui c'est un grand gaillard de 1m80 et 70 kgs... tout poilu !!!! Il repart samedi pour Nuremberg, il a trouvé son logement, ouf !!! Sur le fil du rasoir, mais il a trouvé. Si les relations avec son papa étaient moins tendues, et plus saines, il aurait passé un meilleur anniversaire, c'est sûr. Mais les choses étant ce qu'elles sont, il faut faire avec. Comme il me faut faire avec ton absence, celle de Daphnée aussi... malheureusement, on sait dès votre entrée dans nos familles que votre espérance de vie n'est pas comme la nôtre, ce que nous avons tendande à oublier tellement nous vous aimons... Nous tissons avec vous des liens uniques. Je vous ai souvent trouvé d'une sagesse et d'une simplicité sur lesquelles nous aurions à prendre exemple, nous les humains, empêtrés dans nos désirs d'ambition, d'argent, de pouvoir... Nous en avons oublié l'essentiel : celui de vivre simplement, dans l'amour et le partage. Et forcément, cette sagesse, cet havre de paix que j'ai toujours trouvé auprès de vous, dans les bons comme les très mauvais moments de ma vie, me manque beaucoup. Et toi, Tchao Ling, tu m'apportais encore plus que ça. Bon allez, moi je vais me coucher, et je te dis à demain, mon 'tit bout !!! Bisous

Bonsoir mon bébé, alors je suis rassurée, les pensées n'avaient qu'un petit coup de chaud hier, et après un bon arrosage tout était rentré dans l'ordre ce matin. Ta tombe est très jolie. Aujourd'hui nous avons fêté les 20 ans de Romain, avec toute la famille au grand complet. Nous étions bien tous ensemble. C'était super. Un petit moment d'éternité avant le départ de Romain samedi prochain, jusqu'à Noel. Il ne manquait que toi. Tu es en fond d'écran sur mon tel portable et je te regarde souvent, bon je grille un peu ma batterie à force de faire ca, mais ce n'est pas bien grave. Tu sais, nous songeons à agrandir la famille. Mais j'ai beau regarder toutes les races de chiens, je reviens toujours vers la tienne. J'ai trouvé un élevage dans le Finistère... c'est pas la porte à côté, tu me diras, mais il s'avère que les bébés auxquels je m'intéresse, sont nés le 31 Août, le jour où tu m'as quitté... Je me dis que peut être c'est un signe. La maman, Sorine, a mis au monde 7 adorables bébés, dont des tricolores. Il est bien entendu que nous ne voulons pas un blenheim, car nous n'arriverions pas à faire la différence avec toi, et nous le comparerions trop à toi. Mais je me dis que j'ai le coeur assez grand pour aimer un autre bébé. Je l'aimerais différemment de toi, c'est sûr, car toi et moi c'était unique. Mais quelque part au fond de ses yeux, je te verrai un peu... et puis il est né le jour où tu es mort... peut être lui as tu laissé un message en partant... celui d'aimer encore... je me dis que cela doit te faire de la peine de me voir si malheureuse et que peut être tu ne veux pas de ca... pourtant je vais te pleurer très longtemps mon bébé, même si un autre toutou vient remplir à nouveau la maison de joie, de jeux et d'amour...il ne faudra pas m'en vouloir, tu étais mon unique, mon irremplaçable et je ne pourrai jamais jamais t'oublier, jamais...tu me manques tellement, mon Tchao Ling, tellement...je te bisouille le bidou,ah la la, qu'est ce que tu aimais ca, les papouilles sur le bidou... je t'embrasse mon tout beau, et je reviens demain, pour te parler... bisous

Mon petit chien, je reviens vers toi toujours... journée difficile aujourd'hui... je me suis occupée de ta tombe, comme je fais tous les jours, mais j'ai 3 ou 4 pieds de pensées qui font grise mine. Pourtant j'avais l'impression qu'elles s'y plaisaient bien, les pensées, au dessus de toi, eh bien j'ai des rebelles !!! Au pire, je vais les remplacer... Je suis ca de près, t'inquiète. Demain, nous fêtons les 20 ans de Romain. Toute la famille sera là et ca va me faire bizarre de ne pas t'avoir à nos côtés. Tu étais toujours des fêtes familiales, et là... Et puis je suis contrariée par le père de Romain, il se comporte comme un malotru avec son fils et ca commence à me courir sur le haricot. Il le prend pour un imbécile et un idiot...C'est horrible...J'ai mal pour Romain...Il avait déjà été affreux avec moi...mais là...on est dans l'ignoble.Enfin tu l'as connu, et c'est un homme qui a un porte-feuille à la place du coeur, tout le monde le sait. Mais son fils... quand meme...si tu étais là, au moins, tu pourrais me consoler,et me déstresser car je suis hyper tendue, je me dis que parfois tout va exploser et que je vais craquer.Je tiens bon pourtant...mais c'est difficile. Je vais mettre quelques jolies fleurs pour toi, au moins celles d'ici, elles tiennent le coup longtemps... bisous mon coeur aux si beaux yeux...j'espère que tu es heureux là-haut et que tu es heureux... et que je te manque un peu quand meme... bisous

Bonsoir mon bébé d'amour, eh eh... tu croyais que je t'avais oublié, hein ?? Tu es fou ou quoi ??? Impossible, car tout me ramène vers toi. Alors ce soir, je suis allée retrouver des amis dans notre pub préféré. Je me rappelle comme tu m'attendais quand je revenais de ma petite virée vers minuit... juste derrière la porte, pour vite sortir faire ton petit pipi, et puis surtout vite vite monter à l'étage et te coucher sur le lit, comme pour me dire : bon allez prends ton bouquin, et on fait un calin !! Tout ca, c'était hier, c'est si loin... je voudrais tant que cela soit à nouveau ainsi... tout comme je voudrais que mon fils n'ait que 10 ans, et qu'il soit encore à l'école primaire, et pouvoir me dire que j'ai encore du temps avant qu'il ne me quitte. Mais tout cela est révolu... tu es mort... vraiment mort... et Romain va avoir 20 ans dimanche... repartir samedi prochain très loin de moi, à Nuremberg, jusqu'à Noel... et plus toi près de moi, comme un lien entre lui et moi... comme le petit frère qu'il n'avait pas eu... je suis orpheline... je me demande comment je vais faire quand il va être parti samedi prochain, sans toi pour m'aider à surmonter ca... en plus tu sais qu'il n'a meme pas trouvé d'appartement... c'est l'horreur, je suis terriblement inquiète... quelle maman ne le serait pas... autour de moi, on se moque de moi, et de mon inquiétude, et j'en arrive à me demander qui a tort... eux de me moquer, ou moi de m'inquitéter... on s'en fout, je suis comme je suis, et je pense que s'inquiéter pour son petit n'est pas une tare,il me semble... alors tu vois, si tu étais là, je pourrais me confier à quelqu'un... mais tu n'es plus là et tu me manques tant... tu vois en écrivant tout ca, mes yeux se brouillent, le clavier s'emmêle et je me dis que ce n'est pas juste tout ca... De toute facon, tu es là quelque part à m'attendre, et je vais arriver, tôt ou tard, ne t'inquiète pas, et le bonheur je le connaîtrai enfin... je reviens demain, je te raconterai les préparatifs pour l'anniversaire de Romain, promis... bisous mon Tchao Ling, et merci à tous ceux qui passent honorer ta mémoire et adoucir mon chagrin... et puis je n'oublie pas ta petite fleur, comme tous les soirs... bisous encore

Bonsoir mon bébé, et tout d'abord merci à Monkillou pour son gentil message. Je suis très heureuse d'avoir trouvé ce site qui me permet d'honorer ta mémoire, mon titi, et de me sentir ainsi encore très proche de toi. Tu ne mourras vraiment que lorsque l'on t'oubliera, et moi vivante, tu ne tomberas jamais dans l'oubli. Tu m'as trop donné, et je te dois beaucoup. L'automne est en train de s'installer, mon toutou. Et ta petite tombe placée sous un chataignier doit etre nettoyée tous les jours. Ne t'inquiète pas, ca ne me dérange pas du tout. Ce n'est que du bonheur, un moment où je peux penser à toi, t'imaginer. Tu serais là, tu jardinerais avec moi, en faisant l'aspirateur comme je disais, à renifler partout. Quand tu étais tout petit, je me rappelle des promenades que je te faisais faire et dont tu revenais fourbu, et on ne t'entendait plus jusqu'au lendemain matin. Enfin t'entendre... tu as toujours été le discret... discret mais tellement présent, tellement partout. Tu t'es rendu indispensable, évident en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Le chat fait ce qu'il peut pour égayer mes journées, mais... c'est un chat, et il ne saurait rivaliser avec toi. Il est lui... et tu étais toi. Ma journée a été moins dense aujourd'hui, ponctuée par mon cours de russe qui me permet de me vider la tête et de me concentrer sur autre chose. Ce week-end, tu sais, nous fêtons les 20 ans de Romain, et nous aurons tous une pensée pour toi... Toi dont c'est l'anniversaire dans quelques jours. Mon si adorable toutou... que tu me manques... j'ai tellement de mal à me remettre de ton départ, tu sais... tellement de mal... je fais te mettre quelques petites fleurs et puis je reviens discuter avec toi demain soir, c'est promis, même tard (tu ne m'en voudras pas)... Je t'embrasse mon toutou

Amour, ce sentiment merveilleux, nous donne des ailes, éblouit par le soleil, sourire aux cieux, les étoiles brillent dans les yeux.. Plus rien n’a d’importance, rien, ni personne ne peut atteindre cet AMOUR, dans une bulle pour toujours…
Je te dédie ce texte mon p'tit bouchon et à ton adorable Maman qui ne manque pas un jour sans honorer ta mémoire...QUE C'EST BEAU L'AMOUR... Affectueuses pensées!
AMITIES

Mon petit toutou, 19 jours déjà que tu nous a quittés, mais la peine ne s'atténue pas... Tu me manques terriblement. J'ai de très grosses angoisses nocturnes toujours, je dirais même que ce sont des terreurs nocturnes, qui m'empêchent de dormir. Je dors peut être 2/3 heures maximum par nuit. J'ai du mal à tenir le rythme. Mais ça va aller, à force... Je stresse aussi sans doute à l'idée que Romain repart dans 9 jours en Allemagne, qu'il n'a toujours pas trouvé de logement, et le reste aussi d'ailleurs. Décidément la vie n'est pas simple du tout pour nous en ce moment. J'aspire à me reposer loin de tout et de tous... j'aimerais partir avec toi quelque part comme on faisait parfois. Je continue mes visites ici et sur ta tombe dans le jardin tous les jours. C'est le plus bel endroit du jardin, les fleurs que nous avons plantées semblent s'y plaire beaucoup. Quand elles auront bien pris, ca va être superbe. Un vrai prince dans ton jardin... J'aurais tant aimé te garder un petit peu plus, mais le destin en a décidé autrement. Je t'ai sans doute cru un peu trop éternel... Mais ce même destin nous réunira un jour, il faut y croire... Je te laisse pour ce soir, je vais aller mettre quelques fleurs en attendant de te retrouver demain, et puis j'ai quelques petites visites à faire chez des copains à toi dont les mamans sont si gentilles... bisous mon toutou

Coucou mon petit chien... Décidément le temps n'est pas à la fête pour moi en ce moment. Les mauvaises s'accumulent, dont une de taille aujourd'hui, que je vais devoir me manger toute seule parce que je ne peux en parler à personne. Et franchement je ne m'y attendais pas, pas plus qu'à ton départ d'ailleurs. Mais je vais faire face, de toute facon je n'ai pas le choix, et c'est beaucoup moins grave de toute facon que ta disparition. En regard de ton absence, beaucoup de choses me semblent dérisoires. Bien sûr, me dira-t-on, tu n'étais "qu'un animal"... Non tu étais plus que ca, tu étais mon compagnon, mon ami, et je partageais tout avec toi... même ma gamelle :))) Il a plu aujourd'hui, alors ton parterre de fleur a été bien arrosé. Je n'ai meme pas pu me recueillir sur ta tombe, les soucis m'ont accaparée. Ne t'inquiète pas, je viendra demain te voir et je pense à toi tout le temps, tu le sais. Bonne nuit, mon bébé et à demain, sans faute. Je ne t'oublie pas. Je vais te déposer des brins de tendresse avant de me coucher. Bisous

Coucou mon bébé, ouf je me pose un peu. La journée a été rude. Heureusement, le soir, je vais me recueillir sur ta tombe, que je nettoie (fichu châtaigner :)) Une pleine brouette de feuilles mortes encore ce soir. Les feuilles te tiennent compagnie. Et puis ce petit moment passé près de toi me fait du bien, me repose et me détend. Plus je regarde tes photos, plus je te trouve beau. Tu étais vraiment un magnifique petit King Charles. Je me documente beaucoup sur les élevages de ta race, et je n'en vois que très peu qui t'égalent en beauté. Tu étais vraiment superbe. Et d'un caractère vraiment hors du commun. Jamais un mouvement d'humeur. Tu te laissais toujours toiletter avec patience, et gentillesse. Et j'en ai passé du temps à te brosser, à rafraichir ton poil si soyeux. Idem chez le vétérinaire, tu t'es toujours laissé faire sans broncher. On pouvait t'emmener partout, tu faisais toujours l'admiration de tous par ta gentillesse, ta bonne humeur, tu faisais toujours la fête à tout le monde... Mon frère particulièrement, que tu adorais... Quel dommage que nous aies quitté si tôt... Quel dommage... Nous avions tant de choses encore à partager. Mais au moins maintenant tu ne souffres plus, et dieu merci, ta souffrance aura été courte. Le bon dieu nous a fait ce cadeau : tu n'as pas souffert. Ton départ a été brutal, c'est vrai, mais tu n'as pas souffert. Je me console avec ca. Mais je ne t'oublie pas, je te regarde souvent sur mon ordinateur, ta photo est partout, surtout sur mon téléphone, et je t'embrasse souvent en cachette pour me sentir plus près de toi encore. Tu es mon bijou pour toujours. Je t'embrasse très fort... Les larmes coulent toujours beaucoup, tu sais... je pleure beaucoup, et je suis très angoissée, très peinée... je sais que le temps fera son oeuvre... mais en attendant je souffre beaucoup... mais je sais que c'est normal, je patiente et je chéris ton souvenir... Bisous petit coeur, je vais te mettre tes petites fleurs du soir...

"La mort n'est rien,
je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,
parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
N'employez pas un ton différent,
ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez,
pensez à moi,
priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
comme il l'a toujours été,
sans emphase d'aucune sorte,
sans une trace d'ombre.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin."

Coucou mon toutou d'amour, un dimanche de plus sans toi... J'ai bien nettoyé tout le tour de ta tombe. Les pensées semblent s'y plaire. Il y a juste le chataignier juste au dessus qui m'embête avec ses feuilles qui ne cessent de tomber. Je trouve la saison un peu précoce par rapport à l'an dernier. Mais peu importe... Que les feuilles tombent, je nettoie de toute facon plusieurs fois par jour. J'ai découvert sur internet une annonce pour une portée de petits King Charles qui sont nés... le jour où tu m'as quitté. Leur maman a le même pelage que toi. Ils sont trop mignons... Nous réfléchissons, tu nous manques tellement. Mais jamais aucun autre toutou ne pourra voler dans mon coeur la place spéciale que tu y occupes depuis 10 ans. Bien sûr, je pourrai aimer à nouveau, mais ce sera différent, et ce n'est pas pour autant que je l'aimerai moins. Mais ces bébés nés le jour de ta mort, mon bébé, j'y vois comme un signe peut être... qui sait... J'attends des renseignements de la part de l'éleveur. Les bébés seraient disponibles pour début décembre, ce qui correspondrait presque pile poil au retour de Romain... Quel beau cadeau, hein... mais le plus beau des cadeaux, ca aurait été que toi, tu me sois rendu... je t'espère toujours dans mes rêves, et je m'accroche à ce pont de l'arc en ciel, où je me plais à croire que tu batifoles, que tu te roules dans l'herbe, débarrassé des maux qui t'embêtaient parfois. Et je me console en me disant que le jour de mon départ, tu viendras vers moi pour m'accueillir. Je t'embrasse fort, mon grand, et je vais fleurir ta tombe, comme tous les jours. Bisousss

Bonsoir mon toutou, je viens très tard,nous avions nos amis à la maison ce soir et nous avons beaucoup parlé de toi,de nos toutous. Ghislaine a perdu Praline en mars de cette année, puis sa fille en mai dernier... quel drame... vraiment... et nos autres amis avaient perdu Nora pile poil l'an dernier. Alors la discussion a beaucoup tourné autour de nos chers toutous disparus. Avec une évidence pour moi : un autre toutou viendra bientôt ici. Quand... je ne sais pas... mais bientôt... ne vas pas croire que tu es déjà mis au placard, c'est impossible. Tu es mon adoré, ma puce, mon plus beau cadeau... après mon fils, bien sûr !!! Quand meme !!! Mais tu viens tout de suite après. Je t'ai aimé et adoré comme un enfant, et tu m'as tant donné toi aussi en retour. Tu étais le plus merveilleux des chiens. Tu m'as quitté il y a 15 jours à peine, et pourtant ce sont 15 jours d'éternité. Sur les conseils de Martine, je suis allée voir la video sur le pont de l'arc en ciel, qui m'a laissée en larmes, en sanglots, mais maintenant comme Martine, je crois dur comme fer, qu'un jour, tu m'attendrais sur le pont de l'arc en ciel avec Daphnée et que nous nous retrouverons tous les 3 et que nous vivrons une vie éternelle de bonheur, et qu'il ne peut en être autrement. L'amour est éternel, et c'est sûr qu'on se retrouvera, c'est sûr, c'est sûr... Je rêve de toi toutes les nuits en ce moment, mais je suis toujours décue au réveil car le King Charles que je vois n'est pas toi, et je suis toujours très frustrée au réveil. J'espère que tu me feras un petit signe un de ces jours pour me rassurer. Je sais que le bon Dieu doit bien veiller sur toi, et sur tous tes copains, parce que vous le méritez tellement. Vous êtes ce que nous devrions être,les humains...Merci à Martine de m'avoir orientée vers ce lien... Je ne le regarderai pas à nouveau car cela me fait trop mal, mais j'en retiens l'essentiel : Tchao Ling, je te rejoindrai un jour,crois moi et attends moi, je vais arriver... Je t'embrasse, sois patient en m'attendant... bisous de ta maman

Bonjour petit chien, comme je t'appelais souvent... En fin d'après-midi, avec Romain, nous avons retiré les fleurs que nous avions déposées sur ta tombe et nous avons fait un joli parterre de pensées. Demain je vais aller en acheter un peu plus, car je pensais que 10 pieds seraient suffisants, mais il en faudrait 10 de plus pour que cela fasse joli. J'ai bien compris que ca ne plaisait pas trop à mon ami, mais bon, il s'y fera et puis c'est ton endroit, mon endroit aussi.
Merci à Cyrielle pour son gentil petit mot et à Pépounette pour son soutien régulier.
C'est vrai que pour le moment je n'arrive pas à surmonter ton départ. Tu m'as quitté et je n'étais pas prête à te voir partir. Je le redis encore. J'ai annoncé ton départ à une amie, et la seule chose qu'elle m'ait dite c'est qu'elle n'était pas surprise de te savoir mort... C'était maladroit, d'autant que tu n'es pas mort du coeur, comme on aurait pu s'y attendre. Bref les mots de réconfort, comme on dit, je me suis un peu assise dessus. Donc ma douleur restera personnelle ou du moins ne sera partagée qu'avec des gens dont je sais que eux... ils comprennent. Mais c'est vrai que nous n'avons pas tous la même sensibilité. Et toi, dieu sait que tu étais sensible. Tu n'aimais pas entendre de cris, ou des pleurs. Je crois que ca te faisait peur et ca te faisait pleurer. Tu n'aimais rien tant que regarder un film avec moi, enfin jusqu'à tu ne crèves de chaleur couché sur moi et que ton corps te dise de descendre sur le carrelage pour te rafraichir un peu :)) Tu te rappelles ? Que dire aussi des fois où tu passais la nuit avec Romain, et où je te retrouvais sous la couette avec lui, blotti entre ses bras... Tu y passsais la nuit entière, sans broncher...Tu étais vraiment extraordinaire, d'où mon chagrin bien sûr... Mais au fil des pages je sais que beaucoup de personnes ont eu le même chien extraordinaire que moi... le mien s'appelait Tchao Ling et je ne veux pas l'oublier... Je t'embrasse très fort, mon petit coeur, et sois heureux là haut, veilles un peu sur moi si tu peux, car pas grand monde ici bas n'a le temps pour cela... A demain mon petit chien... Je vais mettre quelques fleurs comme tous les soirs...

Je comprends votre douleur car je vis la même et il n'est en aucun cas honteux de pleurer votre petit titi, ce petit amour qui a tant compté dans votre vie.
Venez raconter tout ce que vous avez sur le coeur tant que le besoin s'en fait sentir. Ici tout le monde comprend votre peine car l'amour pour nos animaux est roi
Pleins de caresses à titi et à ma Macha d'amour

Mon petit bébé, me revoilà, comme tous les soirs. Tu me manques cruellement en ce moment.C'est difficile. Si tu étais là, il y aurait des choses que je supporterais mieux. Tu m'apaisais, et tu étais mon petit confident. Je me sens bien seule aujourd'hui pour affronter certains revers de la vie. Je suis orpheline de toi. Je me fais du souci pour ton copain... Il a du mal à trouver son logement étudiant à Nuremberg. Quelle galère... Mais il a aussi une force d'inertie peu commune, et si je ne suis pas derrière lui tout le temps pour le stimuler, rien n'avance, et moi ca me fatigue. Quant à ton pépère, ben bien difficile de le cerner en ce moment, alors je m'isole le plus possible, avec le chat pour compagnie. Mais j'ai bien du mal. Demain nous allons nous promener en ville, Romain et moi. Des petits moments de bonheur volés à la vie. Il repart le 29 Septembre, nous avons acheté le billet d'avion pour son retour... Mais que j'appréhende... Après toi qui es parti, voir mon tout petit me quitter à nouveau, même si on va se revoir à Noel, ca fait beaucoup, ca fait trop. Mais je n'en parle à personne car ca n'intéresse guère... Alors tu es mon confident, et je viens te voir, j'entretiens ton souvenir, je regarde tes photos et je me souviens de tout notre partage. C'était le bonheur, mais je le savais, et j'en ai bien profité. As-tu été heureux... Je me le demande souvent. Ce que nous appelons bonheur, nous les humains, est-ce aussi le même pour vous... Tout ca reste entre nous. Je ne peux le dire qu'à toi. Qui peut comprendre l'attachement qui me liait à toi... Si ce n'est les personnes qui ont connu le même chagrin, ici... Je t'embrasse, mon toutou d'amour... Je te retrouve demain... Je vais fleurir ta tombe... je t'embrasse... mille calins pour toi

Coucou mon bébé, me revoilà... Journée horrible au travail, à me casser la tête et à faire les pieds au mur, comme d'habitude. En visitant les tombes des autres toutous ici, je vois qu'il y a une chose que je n'ai pas faite... C'est te dire : MERCI !!! Merci de m'avoir donné tout cet amour durant ces 10 trop courtes années. Tu as enrichi et embelli ma vie à un point que je ne saurai dire. Tu étais mon autre enfant, celui que je n'ai pas pu avoir. Tu dormais toujours avec moi, sauf depuis que nous avons emménagé ici... Mais longtemps tu as dormi à côté de moi,toujours sage et gentil. Nous deux, on était les inséparables, on ne voyait pas l'un sans l'autre... Meme depuis qu'on est ici, je me débrouillais toujours pour qu'on ait un temps de repos ensemble, le week-end ou le soir, enfin dès que possible, pour que tu saches que tu étais toujours mon irremplacable, mon unique. Le chat est là, bien sûr, vas-tu me dire... Mais ce n'est pas pareil, je l'adore, mais je l'aime pas comme on s'est aimé tous les deux. Il n'en fait qu'à sa tête et il ne vient vers moi que quand il veut bien, et s'il veut bien. Je me fais souvent du souci pour lui quand le soir il fait sa mauvaise tête et refuse de rentrer. Je n'aime pas qu'il dorme dehors ou dans la dépendance, j'ai toujours peur qu'il lui arrive quelque chose. Toi, ca ne risquait pas !! Tu ne voulais qu'être avec moi. Jamais je ne retrouverai cette complicité avec un autre chien, je le sais. Tu étais unique, absolument. Pourtant la compagnie d'un toutou me manque, et j'aimerais recevoir à tout nouveau tout que ce que tu me donnais, ou au moins un petit peu... mais j'hésite... parfois c'est oui, et souvent c'est non... car je n'ai pas envie que l'on te remplace... j'ai vu un petit chien à adopter très mignon, mais je crois qu'il n'est pas dans notre région... mais j'hésite,je ne suis peut etre pas encore prête. Je n'arrive pas à me faire à l'idée que ce n'est pas une mauvaise blague et que tu ne reviendras pas... je vais aller fleurir ta tombe, et je reviendrai demain pour te parler... j'espère que tu es heureux là haut, que tu es bien, que tu ne souffres plus, et que tu ne t'ennuies pas... que j'aimerais que tu me fasses un petit signe... tu me manques tant.... je t'embrasse fort, mon titi... très fort

Mon toutou... tu vois,je fais comme on faisait avant, je suis dans ma chambre, et j'imagine que tu es à mes côtés, le museau entre les pattes comme tu faisais, avec tes beaux yeux tournés vers moi, semblant me dire : "bon c'est bon, on est calé, je peux fermer les yeux ?", et puis tu t'endormais, et tu ronflais même, sur la fin... parfois le chat venait te titiller un peu, ou se lover contre toi, ce que tu tolérais, mais au début... ouie ouie... ca, ca te plaisait pas du tout : un chat dans la maison ??????????????? Vade retro satanas !!!! Et puis le chat a vite compris qui était le taulier, et tu t'es fait respecté, gentiment mais fermement. Ce soir tu me manques... l'air est lourd par ici... et ta présence, ton affection adoucissait beaucoup de choses, tu étais mon refuge et tu étais toujours disponible pour me réconforter d'un regard, un coup de patte tendre, ou tu te lovais contre moi, comme si tu avais senti ma tristesse, ou mon chagrin... Plus rien de tout ca... Je vais travailler un petit peu... je suis pressée comme un citron au boulot... J'ai prévu de prendre deux jours cette fin de semaine, mais je crains que cela ne devienne impossible... On verra, mais de toute facon, moi je serai là ici demain... j'espère que là où tu es, tout est plus beau, et que le bonheur existe au moins là haut, vu qu'ici-bas... faut pas rêver... à demain, petit bout... ta maîtresse qui t'aime et qui ne t'oublie pas.

Bonsoir mon bijou... Décidément, je suis en train d'entamer une sorte de thérapie : dialogue avec mon toutou. J'ai beaucoup de mal, désormais, à me dire qu'il n'est pas nécessaire que je rentre le midi pour te faire faire ton petit tour dans le jardin. Je me sens... inutile. Le chat se fout bien que je rentre ou pas, il n'a pas besoin de moi... Ce sont des tas de petites habitudes, de rituels que nous avions instaurés, toi et moi, qui rythmaient nos deux vies, qui se sont brisés du jour au lendemain. Je n'étais vraiment pas prête à te voir partir... pas prête du tout. Tout ce que les autres nommaient "contraintes", pour moi c'était plaisir, amour, partage. Et là plus rien... Romain est là jusqu'à fin septembre et il m'aide comme il peut à surmonter mon chagrin dont il perçoit la profondeur et la sincérité, même s'il le trouve peut être légèrement disproportionné. Mais tu étais mon autre gamin... mais un gamin empreint d'une grande sagesse... et d'une tendresse infinie. Le vie a fait que j'ai été beaucoup seule, et que mon seul et unique enfant évolue loin de moi, à l'étranger... et même si mon compagnon est adorable, il est des secrets que tu étais le seul à connaître et l'hiver terribe que nous avons passé... tu es le seul à savoir ce que j'ai enduré... et si j'ai tenu... c'était pour toi. Alors oui, je reviendrai discuter avec toi... et un jour on se retrouvera, c'est écrit... Bisous mon trésor, et à demain... je pense tellement à toi...

Coucou mon toutou, nous avons beaucoup pensé à toi aujourd'hui. Le poulet n'avait pas le même goût sans toi. Que tu me manques, que tu nous manques... Les jours s'égrènent, mais j'ai toujours si mal au coeur. J'aimerais pouvoir te serrer dans mes bras tout contre moi, et te caliner. Tu aimais tant ca, et moi aussi. Ta mort m'a laissé très désemparée. Tu m'apportais tant... Par moment j'ai très envie de reprendre un petit compagnon, un petit King Charles, comme toi. D'une, ca va être compliqué, car il y a peu d'élevages, et de deux... je n'ai pas envie de revivre un départ... et en meme temps, peut-on se protéger de tout... non ! Surtout pas de l'amour... Alors je me dis que l'on verra bien. J'agirai en fonction de mon coeur, comme lorsque l'on s'est rencontré toi et moi... un dimanche de février 2003, tu n'avais que 4 mois... et tu étais à croquer... Ne crois surtout pas que l'on veuille te remplacer : tu te tromperais lourdement, ma puce... parce que tu es et resteras irremplacable, tu étais mon unique, et tu le resteras. Mais pour autant, j'ai tant à donner encore... et peut être qu'un nouveau petit pensionnaire saura adoucir un peu le chagrin que je ressens aujourd'hui et qui me fait pleurer si souvent... en cachette. Cette semaine, je m'occupe d'égayer ta tombe : tu vas voir comme elle va être belle. Tu seras bien, mon titi. Penses à ta maman à qui tu manques tant... je te fais un gros bisou sur ta truffe et un calin très fort... ta maman à qui tu manques très très fort.

Bonsoir mon bébé, j'espère que tu vas bien là où tu es. Gribouille est avec moi,mais ce n'est pas pareil. C'est un chat, il a sa personnalité et n'est pas toi. J'ai passé l'aspirateur ce soir et 8 jours après ton départ, je trouve encore ici et là les poils que tu laissais à foison :)) Mais tant que j'en trouverai, c'est comme si tu étais un peu là. Les fleurs sur ta tombe se fanent. Je vais aller dès que possible acheter de jolies fleurs que je planterai juste au dessus de toi,ce qui me permettra de venir te voir tous les jours, de te parler encore un peu. Je continue à te voir partout, et tu es présent dans mes rêves. Romain est là jusqu'à la fin du mois, mais après... ca va être encore plus vide. Mon fils va partir loin de moi et toi... tu m'as quitté pour toujours. Tu étais ma joie, ma fierté... tout le monde disait que tu étais un merveilleux toutou, il ne te manquait que la parole. Je n'avais rien à t'ordonner,on se comprenait toi et moi, sans avoir à faire de grands discours. Mais au delà de tout... tu ne m'as jamais trahi et toujours aimé inconditionnellement, sans rien me demander en retour. Tu as traversé avec moi les étapes difficiles de ma vie et durant tes 10 ans de vie... tu en as vu avec moi. Trahie par les hommes toujours... toi tu étais toujours là et tu étais ma consolation. Plus le temps passe, plus je vieillis, et plus je pense que nous avons plus à apprendre de vous, nos compagnons à 4 pattes, que de nos frères humains. Vous ne connaissez ni le mensonge, ni la méchanceté, ni l'hypochrisie, et encore moins le mensonge... Demain je penserai fort à toi : je fais du poulet, et dieu sait que tu en as passé du temps, devant la rôtissoire, à regader cette jolie bébete rôtir tout doucement et quand je la découpais, l'excitation était à son comble... tu savais que tu allais avoir le croupion et tu dévorais ca vitesse grand V... la dernière fois, c'était il y a 15 jours, et tu commençais à aller moins bien... Mais ton poulet, ca, c'était sacré... alors demain, je le ferai cuire en pensant à toi, et je serai comme une conne devant ma rôtissoire à pleurer ton absence, et ce croupion, qui va rester tout seul, lui aussi, comme un con... tu vois, il y avait des associations simples liées à des moments de vie avec toi qui étaient si doux, si agréables... la vie quoi... tu me manques, mon titi... sois heureux là où tu es,et ne m'oublies pas, comme je ne t'oublie pas non plus... a demain, je reviens te voir, te parler... je t'aime, mon bébé d'amour....