aucune bougie 5 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
YOUMI dite YOUYOU
Il nous a quittés le:12/11/2017
0 bougie
|
91 Fleurs
511 messages
Déposé par poutounou le 10/09/2023Le petit nuage * Un petit nuage blanc Pleurait tout doucement Le ciel bleu s'approcha Et demanda tout bas : Dis-moi petit nuage Dis-moi quel est ton âge * Le nuage répondit Tout en séchant sa pluie Je viens de l'océan Et depuis bien longtemps Je n'ai pas vu ma mer Cela me désespère Et je me sens si vieux En traversant les cieux Je ne suis qu'un nuage C'est tellement dommage * Pourquoi pleurer nuage ? Toi au moins tu voyages Quand ton ami le vent Te pousse nonchalant Bien au-dessus des villes Jusqu'au-delà des îles Moi triste ciel immobile Pauvre décor inutile Je regarde l'astre d'or Qui tourne tourne encore Et quand descend la nuit O combien je m'ennuie De n'être qu'une toile Où brillent les étoiles Je suis ciel pas nuage C'est tellement dommage * Quand ils eurent parlé Je me suis éveillé Et dehors ô merveille Brillait un beau soleil Dans un coin de ciel bleu Paisible et silencieux Un petit nuage blanc Passait tout doucement. * © Robert Lasnier |
Déposé par poutounou le 06/09/2023Une belle planète où tout ne serait qu’Amour, avec vous à nos côtés pour toujours… * LE POÈTE * Je prendrai dans ma main gauche Une poignée de mer Et dans ma main droite Une poignée de mer Puis je joindrai mes deux mains Comme pour une prière Et de cette poignée de boue Je lancerai dans le ciel Une planète nouvelle Vêtue de quatre saisons Et pourvue de gravité Pour retenir la maison Que j'y rêve d'habiter. Une ville. Un réverbère. Un lac. Un poisson rouge. Un arbre et à peine Un oiseau. Car une telle planète Ne tournera que le temps De donner à l'Univers La pesanteur d'un instant. * (Gilles Vigneault) |
Déposé par poutounou le 03/09/2023Je connais cet Amour ! C’est l’Amour de nos Anges pour nous, l’Amour pur… !!! * HYMNE À L'AMOUR * L'amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil ; il ne fait rien de malhonnête ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s'emporte pas ; il n'entretient pas de rancune ; il ne se réjouit pas de ce qui est mal, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ; il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout. * (1Co 13) |
Déposé par poutounou le 31/08/2023LE LIVRE DE LA VIE * Le livre de la vie est le livre suprême Qu'on ne peut ni fermer ni ouvrir à son choix Le passage attachant ne s'y lit pas deux fois Et le feuillet fatal se tourne de lui-même On voudrait revenir à la page où l'on aime Mais la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts * (Lamartine) * Que c’est joliment dit par Monsieur de Lamartine !!! Me voilà de retour. Je vais un peu mieux déjà…Le choc m’a quand même fait perdre 5 kilos en 4 jours !!! Là je remange un petit peu. Je voulais juste vous remercier toutes et tous pour vos si gentils messages qui m’ont fait tant de bien. Je voulais aussi vous dire « Carpe diem » : « cueillez le jour présent sans vous soucier du lendemain ». Nous sommes si « fragiles » et d’un jour à l’autre tout peut s’écrouler. Je sais de quoi je parle pour l’avoir déjà vécu à plusieurs reprises. Alors profitez à fond de la vie et ne remettez pas les beaux moments au lendemain, sinon il sera peut-être trop tard… * Je vous embrasse toutes et tous et Merci encore pour votre soutien… !!! * Poutounou |
Déposé par poutounou le 23/08/2023Que c'est joliment dit....Profitons des jours bleus et chassons les jours gris.... * AU JARDIN DE L'INFANTE * Il est de clairs matins, de roses se coiffant, Où l'âme a des gaîtés d'eaux vives dans les roches, Où le coeur est un ciel de Pâques plein de cloches, Où la chair est sans tache et l'esprit sans reproches. Il est de clairs matins, de roses se coiffant, Ces matins-là, je vais joyeux comme un enfant. * Il est de mornes jours, où las de se connaître, Le coeur, vieux de mille ans, s'assied sur son butin, Où le plus cher passé semble un décor déteint, Où s'agite un minable et vague cabotin. Il est de mornes jours las du poids de connaître Et, ces jours-là, je vais courbé comme un ancêtre. * (A. Samain) |
Déposé par poutounou le 20/08/2023T’aimer mon Ange, t’aimer à faire trembler la mort !!! * AIMER * Aimer la vie jusqu’à supplier la mort Aimer à vie, aimer à tort Aimer pour ne rien recevoir Aimer jusqu’au dernier regard Un souffle qui passe Un nuage qui s’efface Aimer à n’y rien comprendre Aimer quand il n’y a plus à prendre Qu’un vide incolore Au fond d’un puits qui dort * Aimer le mur qui boit l’horizon À l’ombre d’une main verrouillé Aimer avec, aimer selon Aimer le chemin perdu dans la vallée Celui qui ne mène nulle part Aimer jusqu’au point de départ Aimer toujours, aimer encore À faire trembler la mort * Aimer si fort Que le vent se fige Pour glisser dans un vertige Aimer seul ou bien à deux À deux, mais pas plus seul qu’avant Quand les mots de tes yeux Ricochent sur les parois du temps T’aimer jusqu’à ne plus aimer Que de t’aimer * (Auteur inconnu) |
Déposé par poutounou le 16/08/2023Que c’est bien dit : « je verrais se lever comme un fantôme en larmes, l’ombre des jours heureux… * In Memoriam * J’aime à changer de cieux, de climat, de lumière. Oiseau d’une saison, je fuis avec l’été, Et mon vol inconstant va du rivage austère Au rivage enchanté. * Mais qu’à jamais le vent bien loin du bord m’emporte Où j’ai dans d’autres temps suivi des pas chéris, Et qu’aujourd’hui déjà ma félicité morte Jonche de ses débris ! * Combien ce lieu m’a plu ! non pas que j’eusse encore Vu le ciel y briller sous un soleil pâli ; L’amour qui dans mon âme enfin venait d’éclore L’avait seul embelli. * Hélas ! avec l’amour ont disparu ses charmes ; Et sous ces grands sapins, au bord des lacs brumeux, Je verrais se lever comme un fantôme en larmes L’ombre des jours heureux. * Oui, pour moi tout est plein sur cette froide plage De la présence chère et du regard aimé, Plein de la voix connue et de la douce image Dont j’eus le cœur charmé. * Comment pourrais-je encor, désolée et pieuse. Par les mêmes sentiers traîner ce cœur meurtri, Seule où nous étions deux, triste où j’étais joyeuse, Pleurante où j’ai souri ? * Painswick. Glocestershire , août 1850.’ |
Déposé par poutounou le 13/08/2023Que c’est bon d’avoir un chien pour Ami… !!! * L’Ami du voyage * Nous avons d’un seul cœur entrepris un voyage ; C’était encore hier, à peine rencontrés. Une voix nous souffla : « Tous deux, vous partirez Ensemble partager la joie d’un seul sillage… ». * L’amitié nous porta vers d’inconnus rivages Sur des flots incertains maintes fois chavirés. Si nous voguions parfois, opposant nos beauprés, Au port se retrouvaient nos mats au fil de l’âge. * Nos vies s’entrecroisaient aux sources de l’humain S’attendant l’une l’autre à l’angle d’un chemin Pour s’offrir tour à tour le miroir de soi-même. * Puis un funeste jour il ne resta qu’un seul… Mais la voix de jadis lui dit : « Ton ami t’aime Aujourd’hui comme hier. Ignore le linceul ! » * Jean-Charles Dorge, Variations sur le thème de l’amitié, 2013 |
Déposé par poutounou le 09/08/2023Oui, gardez-nous un petit coin dans vos nuages, belles âmes… * Enquête * A portée de main, je te sens si loin. Comme tu parais sage ! (ou n’y vois-je rien ?) Suis-je de ton voyage ? Et dans tes nuages me donnes-tu un coin ? * Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 |
Déposé par poutounou le 06/08/2023« Et l’injure de cesser d’être, pire que n’avoir pas été » !!! * Vivre, permanente surprise ! * Vivre, permanente surprise ! L'amour de soi, quoi que l'on dise ! L'effort d'être, toujours plus haut, Le premier parmi les égaux. La vanité pour le visage, Pour la main, le sein, le genou, Tout le tendre humain paysage ! L'orgueil que nous avons de nous, Secrètement. L'honneur physique, Cette intérieure musique Par quoi nous nous guidons, et puis Le sol creux, les cordes, le puits où lourdement va disparaître Le corps ivre d'éternité. * - Et l'injure de cesser d'être, Pire que n'avoir pas été ! * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par choupinou le 02/08/2023Paroles de la chanson Seul définitivement par Marc Lavoine C’est ainsi que les jours défilent C’est ainsi que la vie s'en va Plus de non et plus de possible Plus de force dans les bras Ni pour me prendre par la main Ni pour se soulever du sol Devenu trop lourd le chagrin C’est déjà la fin du chemin Seul définitivement, balayé par le vent Secoué en dedans Allongé dans le jardin sur un banc Définitivement, un peu calme, un peu blanc Encore un peu vivant sans trop savoir comment Sans trop savoir pourquoi, sans trop savoir pour qui Là véritablement, seul définitivement Seul sans toi définitivement C’est ainsi que les choses se meurent C’est ainsi que l’amour s’éteint Il brûle encore comme il demeure Brûle les lèvres et les mains Hier est encore aujourd’hui Il durera aussi demain Dans des regrets endoloris Dans mon être chaque matin Seul définitivement Balayé par le vent Secoué en dedans Allongé sur un banc je pense encore a toi éternellement MARC LAVOINE avec quelques changement pour la circonstance choupinou |
Déposé par poutounou le 02/08/2023Respire ta jeunesse ! Le temps est court qui va de la vigne au pressoir !!! * Le temps de vivre * Déjà la vie ardente incline vers le soir, Respire ta jeunesse, Le temps est court qui va de la vigne au pressoir, De l'aube au jour qui baisse. * Garde ton âme ouverte aux parfums d'alentour, Aux mouvements de l'onde, Aime l'effort, l'espoir, l'orgueil, aime l'amour, C'est la chose profonde ; * Combien s'en sont allés de tous les coeurs vivants Au séjour solitaire, Sans avoir bu le miel ni respiré le vent Des matins de la terre, * Combien s'en sont allés qui ce soir sont pareils Aux racines des ronces, Et qui n'ont pas goûté la vie où le soleil Se déploie et s'enfonce ! * Ils n'ont pas répandu les essences et l'or Dont leurs mains étaient pleines, Les voici maintenant dans cette ombre où l'on dort Sans rêve et sans haleine. * - Toi, vis, sois innombrable à force de désirs, De frissons et d'extase, Penche sur les chemins, où l'homme doit servir, Ton âme comme un vase ; * Mêlée aux jeux des jours, presse contre ton sein La vie âpre et farouche ; Que la joie et l'amour chantent comme un essaim D'abeilles sur ta bouche. * Et puis regarde fuir, sans regret ni tourment, Les rives infidèles, Ayant donné ton coeur et ton consentement A la nuit éternelle... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par poutounou le 30/07/2023La mort dit à l'homme... * Voici que vous avez assez souffert, pauvre homme, Assez connu l'amour, le désir, le dégoût, L'âpreté du vouloir et la torpeur des sommes, L'orgueil d'être vivant et de pleurer debout... * Que voulez-vous savoir qui soit plus délectable Que la douceur des jours que vous avez tenus, Quittez le temps, quittez la maison et la table ; Vous serez sans regret ni peur d'être venu. * J'emplirai votre coeur, vos mains et votre bouche D'un repos si profond, si chaud et si pesant, Que le soleil, la pluie et l'orage farouche Ne réveilleront pas votre âme et votre sang. * - Pauvre âme, comme au jour où vous n'étiez pas née, Vous serez pleine d'ombre et de plaisant oubli, D'autres iront alors par les rudes journées Pleurant aux creux des mains, des tombes et des lits. * D'autres iront en proie au douloureux vertige Des profondes amours et du destin amer, Et vous serez alors la sève dans les tiges, La rose du rosier et le sel de la mer. * D'autres iront blessés de désir et de rêve Et leurs gestes feront de la douleur dans l'air, Mais vous ne saurez pas que le matin se lève, Qu'il faut revivre encore, qu'il fait jour, qu'il fait clair. * Ils iront retenant leur âme qui chancelle Et trébuchant ainsi qu'un homme pris de vin ; - Et vous serez alors dans ma nuit éternelle, Dans ma calme maison, dans mon jardin divin... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par choupinou le 28/07/2023Dans la vie, on croise des petits chiens, des petits chats amis ou nos petits coeurs, d'autre petits animaux aussi, petits lapins, poissons....; qu'on voudrait toujours garder auprès de soi, mais qui, pour des raisons qui ne tiennent ni à eux, ni à nous, sont forcés de s'en aller...ou nous sommes obligés de les libérer. Ce n'est pas de notre plein gré, ni que nous soyons coupables, de n'avoir pas su les retenir, c'est juste que, parfois, ils ne peut en être autrement. Il m'est arrivé de chérir profondément ces petits êtres, mes petits amours, mes amis, que j'ai perdus, et c'est peut-être pour cela qu'on écrit, pour les retrouver et cheminer, l'espace d'un instaant, à leur cotés. Comme si rien n'avait changé... Minh Tran Huy avec quelques petits changement de ma part pour l'approprier a nos petits anges disparus choupinou |
Déposé par poutounou le 26/07/2023Que c'est beau ! "On a dans l'âme une tendresse où tremblent toutes les douleurs..." * Rosées * Je rêve, et la pâle rosée Dans les plaines perle sans bruit, Sur le duvet des fleurs posée Par la main fraîche de la nuit. * D'où viennent ces tremblantes gouttes ? Il ne pleut pas, le temps est clair ; C'est qu'avant de se former, toutes, Elles étaient déjà dans l'air. * D'où viennent mes pleurs ? Toute flamme, Ce soir, est douce au fond des cieux ; C'est que je les avais dans l'âme Avant de les sentir aux yeux. * On a dans l'âme une tendresse Où tremblent toutes les douleurs, Et c'est parfois une caresse Qui trouble, et fait germer les pleurs * René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
Déposé par poutounou le 23/07/2023Les larmes, que nous avons versées pour vous, sont toujours là au fin fond de notre cœur… !!! * Larmes * Larmes aux fleurs suspendues, Larmes de sources perdues Aux mousses des rochers creux ; * Larmes d'automne épandues, Larmes de cors entendues Dans les grands bois douloureux ; * Larmes des cloches latines, Carmélites, Feuillantines... Voix des beffrois en ferveur ; * Larmes, chansons argentines Dans les vasques florentines Au fond du jardin rêveur ; * Larmes des nuits étoilées, Larmes de flûtes voilées Au bleu du pare endormi ; * Larmes aux longs cils perlées, Larmes d'amante coulées Jusqu'à l'âme de l'ami ; * Gouttes d'extase, éplorement délicieux, Tombez des nuits ! Tombez des fleurs ! Tombez des yeux ! * Et toi, mon coeur, sois le doux fleuve harmonieux, Qui, riche du trésor tari des urnes vides, Roule un grand rêve triste aux mers des soirs languides. * Albert SAMAIN (1858-1900) |
Déposé par choupinou le 19/07/2023De grands pins s'élèvent presque aussi haut que ces rochers dont l'ombre donnent une fraîcheur délicieuse à trois pas des endroits où la chaleur des rayons du soleil rendent impossible de s'arrêter ou de marcher; restent bien au frais, auprès d'une belle cascade, mon coeur, profite d'un petit plouf.. de te rafraichir dans l'eau, qui murmure une délicate chanson reposante, reste a l'abri de cette canicule même si je sais que dans ton beau jardin, tu ne risques plus rien.. Douce journée, mon petit ange d'amour ici sur notre région ,il y fait très très chaud...... ton choupinou |
Déposé par poutounou le 19/07/2023Tantôt il y fait jour, dans notre âme, et tantôt crépuscule... * Toute une vie en nous, non visible, circule * Toute une vie en nous, non visible, circule Et s'enchevêtre en longs remous intermittents ; Notre âme en est variable comme le temps ; Tantôt il y fait jour et tantôt crépuscule, Selon de brefs et de furtifs dérangements Tels que ceux du feuillage et des étangs dormants. Pourquoi ces accès d'ombre et ces accès d'aurore Dans ces zones de soi que soi-même on ignore ? Qu'est-ce qui s'accomplit, qu'est-ce qui se détruit ? Mais, qu'il fasse aube ou soir dans notre âme immobile, La même vie occulte en elle se poursuit, Comme la mer menant son oeuvre sous une île ! * Georges RODENBACH (1855-1898) |
Déposé par poutounou le 16/07/2023Devant la mort je m’incline et pardonne au Bon Dieu !!! * Sur la mort d'une rose * Cette rose qui meurt dans un vase d'argile Attriste mon regard, Elle paraît souffrir et son fardeau fragile Sera bientôt épars. * Les pétales tombés dessinent sur la table Une couronne d'or, Et pourtant un parfum subtil et palpable Vient me troubler encor. * J'admire avec ferveur tous les êtres qui donnent Ce qu'ils ont de plus beau Et qui, devant la Mort s'inclinent et pardonnent Aux auteurs de leurs maux, * Et c'est pourquoi penché sur cette rose molle Qui se fane pour moi, J'embrasse doucement l'odorante corolle Une dernière fois. * Raymond RADIGUET (1903-1923) |
Déposé par poutounou le 12/07/2023C’est vrai que la vie est un combat, et quel combat …!!!??? * Ah ! ne me dites pas... * Ah ! ne me dites pas que la vie est un rêve, Une ombre qui s'enfuit et flotte sous mes pas ; C'est le temps de la lutte, et si rien ne s'achève, L'éternel avenir a son germe ici-bas. * La vie est un combat, la vie est une arène Où le devoir grandit du triomphe obtenu ; C'est le sentier qui monte, et pas à pas nous mène Aux sommets d'où la vue embrasse l'inconnu. * Madame de PRESSENSÉ (1826-1901) |
L'Album photo contient 13 photos