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à tous mes fidèles compagnons

Il est né le:26/05/1968
Il nous a quittés le:23/07/2013
 

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En hommage à à tous mes fidèles compagnons

à tous ceux qui ont partagés ma vie,chiens adoptés,chiens trouvés,qui ont passés plus ou moins d'années selon leur age d'arrivée dans notre maison,à Mannix et Valeilles les deux seuls que nous avons eus bébé,à Tatou,wisky,Marquise,Noisette,Samy,Emy,Bali,Elsa,Sidonie,Dick Caramel,Balou,Maya Nelson,Oriane et Miki,qu'ils veillent sur nos 7 compagnons actuels




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Tendre pensée 10 mars 2021
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Tendre pensée 08 février 2021
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Déposé par Biscuit le 17/02/2015  
SAMPA
Je m'appelle Sampa
Et bien que chien bâtard
Je fais tourner la tête
A bien des pedigrees.
Je m'appelle Sampa,
Je suis né quelque part.
Je m'appelle Sampa,
Et mon histoire est belle
Je mouille des divans,
Je souille des parquets,
Je vis auprès d'un roi
Comme un chien de poubelle.
Je m'appelle Sampa,
Et j'ai des yeux qui parlent,
Un corps qui fait le fou,
Un coeur qui se remplit
De tant et tant de joie
Qu'une caresse régale.
Je m'appelle Sampa,
J'ai des maîtres fidèles,
Lui me donne du mal
A me faire obéir,
Mais quand il n'est pas là,
Je suis seul avec elle.
Son amour à lui,
C'est mon amour à moi.
Comme elle est jolie,
Comme elle est gentille.
Son amour à lui,
C'est ma maîtresse à moi,
Et, quand elle me sourit,
Moi j'ai les yeux qui brillent.
Elle m'appelle San San,
Et je l'aime et elle m'aime.
La nuit je dors près d'elle,
Et au matin je la réveille
D'un coup de patte
Ou bien d'un coup de dent.
Je m'appelle Sampa
Et mon histoire est courte.
Pour aller du lit où je dormais
Jusqu'au jardin où je repose,
Il ne m'aura pas fallu un an.
Toi le jardin, je te connais
Dans tes moindres recoins.
Hier encore je t'ai prêté un os
Aujourd'hui je te donne les miens.
Je m'appelais Sampa
Et j'étais chien bâtard.

Déposé par poutounou le 16/02/2015  
Dis-moi rivière
*
- Dis-moi eau pure es-tu rivière ?
- Je ne suis que de l’eau, de l’eau
- Mais tu traverses les frontières
Comme le font tous les oiseaux
- Je le peux c’est vrai, à ma guise
Je ne fais que couler, couler
Et tantôt claire et tantôt grise
La nuit, le jour, sans m’arrêter
-Dis-moi eau pure, tu te fatigues
Sous le soleil et sous les ponts
Entre les champs et les garigues ?
- Je suis mon cours vers l’horizon
Et maintenant tu me déranges
J’ai du chemin à parcourir
- Mais en nuages tu te changes
Ensuite tu vas nous revenir
Et à quoi bon ce long voyage
Reste avec nous, nous t’aimons bien
Nous allons construire un barrage
- Ô surtout pas, je ne veux rien
Je ne suis pas une eau dormante
Je tiens trop à ma liberté
- Je suis d’accord, tu es charmante
Au plaisir de te retrouver…

Déposé par ovanek le 16/02/2015  

*** Mon Cœur te parle ***
je pose des notes des mots des phrases
je t'écris des mots d'hier d'aujourd'hui de demain
des petits mots de rien pour les uns
des grands mots pour toi c'est les miens c'est les tiens c'est les nôtres
je t'écris des mots bout à bout qui tourbillonnent
et ce cale en phrases ... s'allongent ... s'assemblent ... se mélangent
des petits textes de rien qui deviennent un long chemin
et transforment mon Cœur ... mon Cœur qui te parle
*** Mes pensées sont pour toi ... mon Fidèle... ***


Déposé par choupinou le 16/02/2015  

Non on ne tourne pas la page,d'un amour comme on change de place,
il reste une blessure très profonde,longue et effilée ,
c'est comme une griffure dans le coeur,c'est marqué et çà laisse une trace...
On peut encore aimer,on ne peut effacer...
Derrière les hautes grilles du jardin du silence,
il y a des murmures qui viennent jusqu'à moi dans mes nuits trop blanches ,
c'est presque un brouhaha,je tente vainement d'y retrouver ta voix...
et voilà que maintenant le matin se lève glacé de ton absence...
je ne te vois pas,peut-être plus,mais je continue à te sentir et a te deviner,
c'est bien la preuve que vous êtes tous toujours vivant !
c'est ça notre véritable amour ,au delà de cette frontière qui nous sépare, ,

Déposé par poutounou le 11/02/2015  
Les 8 béatitudes du philosophe.
*
Heureux qui, retiré du monde,
De ses faux plaisirs dégoûté,
Jouit dans une paix profonde
Des douceurs de la liberté !
*
Heureux qui, de la solitude
Mettant à profit les loisirs,
De son cœur fait sa seule étude,
De ses devoirs fait ses plaisirs !
*
Heureux qui, bien avec lui-même,
Exempt de soins ambitieux,
N'aspire qu'à l'honneur suprême
De régir son âme et ses vœux !
*
Heureux qui dans l'indifférence
Brave l'amour et ses tourments,
Et qu'une triste expérience
N'a point fait sage à ses dépens !
*
Heureux qui, peu jaloux de plaire,
Et d'entraîner tous les esprits,
D'un seul ami tendre et sincère
Connaît l'inestimable prix !
*
Heureux qui, rival d'Epicure,
Accessible à la volupté,
Aux doux liens de la nature
Permet d'enchaîner sa fierté !
*
Heureux qui, dans la noble ivresse
D'un cœur épris de la vertu,
Sans nul écart, de la sagesse
Suit le sentier trop peu battu !
*
Heureux enfin qui, sans envie,
Sans regrets, voit ses jours finir,
Et qui n'a joui de la vie
Que pour mieux apprendre à mourir !
*
Janson de Sailly.

Déposé par ovanek le 11/02/2015  

C'est par ces quelques vers, écrits exprès pour Toi
A toi que j'aimais tant, mais tu le savais déjà
Que nos chemins ne pourront jamais se séparer
Pour toi mon chien d'Amour et toujours adoré
Y aura que toi mon fidèle gravé à jamais dans mon cœur blessé
Pensée


Déposé par Biscuit le 11/02/2015  
Il faut laisser partir ceux qui nous ont aimés
Et laisser s'en aller ceux qu'on a tant aimés.
Des jours de souffrance nous t'avons épargnés,
Pour toi, j'ai eu le choix : pouvoir te soulager.
T'offrir comme un cadeau le sommeil éternel
En laissant ton âme s'envoler vers le ciel.
Une première fois je t'avais ramenée
Et il fallait t'aider à monter l'escalier,
A peine tu marchais déjà tu t'essoufflais
Mais au delà de ça toujours tu me suivais.
Tes yeux presque aveugles, bleutés, embués…
Ton souffle s'épuisait, tes pattes fléchissaient.
Tu écoutais le chant des oiseaux le matin,
Et les chats partageaient avec toi ton coussin.
Ta truffe dans le vent, tu humais les odeurs...
Des choses t'échappaient mais tu n'avais pas peur.
Tu semblais résigner à vivre diminuée
Avec sagesse tu paraissais accepter
Ces changements troublants sans comprendre vraiment
Que les années passaient et que le facteur temps
Poursuivait son chemin inexorablement.
Mais la deuxième fois est trop vite arrivée
Et nous avons tout fait pour tenter de gagner
Encore quelques jours, pourquoi pas une année...
Le moment redouté : le verdict est tombé.
Il faut un peu de temps pour accepter l'idée
Et faire quelques pas pour bien se préparer.
Mais te voir trébucher, la tête de côté...
Il faut se résigner. Alors que je pleurais
De ton regard d'humain toi tu me consolais...
Dans mes bras doucement toi tu t'es endormie...
Blottie tout contre moi tu as quitté la vie
Je suis restée longtemps à pleurer près de toi,
Tu resteras en vie pour toujours avec moi...

Déposé par Biscuit le 10/02/2015  

Mon maître, mon ami
Quand je naîtrai, tu me choisiras
Et pour la vie, tu me garderas
Et si parfois dans la maison je m'oublie
Pardonne-moi, je suis encore petit.
Tu verras, quand je grandirai,
Propre et sage je deviendrai.
Ne cherche pas à deviner mes pensées
J'ai gardé le goût sauvage du secret.
Ne trouble pas mon sommeil,
Il est nécessaire à mon équilibre.
Et lorsqu'à toi je viens
Donne moi abondance de caresses.
Pour mon péché de gourmandise pardonné
Te sera acquise toute mon amitié.
Mon amour et ma fidélité grandiront pour toi.
Tu seras mon univers, mon avenir et ma joie.
Tu seras mon seigneur et maître.
Sans hésiter, je te donnerais ma vie.
Mais s'il te plaît, je t'en supplie,
Ne m'abandonne pas , Ne m'abandonne pas .

Déposé par choupinou le 09/02/2015  
il y a des larmes qui ne cessent jamais de couler
des vides dans lesquels nous sommes et qui ne se comblent pas
des souvenirs si intenses que rien n'efface
et des compagnons que l'on a aimés ,qu'on ne remplace jamais
des images du bonheur enfouis reviennent....
mais uniquement pour chasser la peine de nos coeurs meurtris .

Déposé par ovanek le 06/02/2015  

Mon COMPAGNON
Je t’aurais tout donné mon bébé
Mais mon âme-sœur s’en est allée
Ainsi sont les mystères de la vie
Ami, je suis là et toi tu es parti
Je garde en moi nos pensées et souvenirs
Ces moments de joie et d’intenses plaisirs
Je ne sais comment continuer mon bébé
Sans toi l’amour de ma vie à mes côtés
Pensée

Déposé par Biscuit le 06/02/2015  
Mon meilleur ami
A toi, mon Maître :
Toi qui viens me chercher
Pour vivre à tes côtés
Ne m’abandonne jamais.
Donne-moi la douceur de tes caresses,
Moi, je t’offrirai chaleur et tendresse.
Témoigne-moi ta confiance
Moi, je t’offre ma vigilance.
Sache que, à mon égard, ta fierté
sera l’ombre de ma fidélité.
Donne-moi ta simple compagnie,
Moi, je t’offrirai toute ma vie
O toi mon maître, mon seul ami.

Déposé par poutounou le 05/02/2015  
L’Arbre et la graine
*
Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent.
Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe.
Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque.
Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle.
Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ?
*
Benoît Marchon

Déposé par choupinou le 02/02/2015  
une petite étoile luit dans la nuit
une petite étoile brille et me souris
une petite étoile qui me tend toujours la patte
une petite étoile qui m'aide à construire mon chemin
une petite étoile qui me rassure quand j'ai peur
une petite étoile qui me console quand je pleure
une petite étoile qui m'écoute quand je suis seule
une petite étoile en moi qui demeure
cette petite étoile ne s'éteindra jamais
cette petite étoile brillera toujours pour l'éternité
cette petite étoile c'est toi,mon doux,mon aimée
cette petite étoile qui resplendit dans mes moment sombre
cette petite étoile qui s'acharne pour que je sorte de l'ombre...

Déposé par ovanek le 28/01/2015  

En ce jour
Je t'envoie un nuage de bonheur
Par une pluie de tendresse descendant d'un ciel plein d'étoiles d'amour et de sagesse
Pour te dire encore je pense à toi sans cesse
Pensée


Déposé par Biscuit le 28/01/2015  
L’amitié du chien est sans conteste plus vive et plus constante que celle de l’homme.

Déposé par choupinou le 27/01/2015  
j'ai beau courir,courir et courir
jamais je ne te rejoindrai...
mais je sais que je peux
suivre le chemin de l'envolé
pour y ramasser tes plumes,
les belles plumes de tes aile mon ange.
Tu sais un jour viendra ,un jour magnifique,
ou moi aussi,je prendrai mon envol,
je partirai pour te rejoindre pour aller vers toi
vers toi a tout jamais et nous seront toujours ensemble
pour l'éternité ,l'amour éternel : TOI ET MOI,

Déposé par choupinou le 23/01/2015  
Souvenir.
En vain le jour succède au jour,
Ils glissent sans laisser de trace ;
Dans mon âme rien ne t'efface,
Ô dernier songe de l'amour !
Je vois mes rapides années
S'accumuler derrière moi,
Comme le chêne autour de soi
Voit tomber ses feuilles fanées.
Mon front est blanchi par le temps ;
Mon sang refroidi coule à peine,
Semblable à cette onde qu'enchaîne
Le souffle glacé des autans.
Mais ta jeune et brillante image,
Que le regret vient embellir,
Dans mon sein ne saurait vieillir
Comme l'âme, elle n'a point d'âge.
Non, tu n'as pas quitté mes yeux ;
Et quand mon regard solitaire
Cessa de te voir sur la terre,
Soudain je te vis dans les cieux.
Là, tu m'apparais telle encore
Que tu fus à ce dernier jour,
Quand vers ton céleste séjour
Tu t'envolas avec l'aurore.
Ta pure et touchante beauté
Dans les cieux même t'a suivie ;
Tes yeux, où s'éteignait la vie,
Rayonnent d'immortalité !
L'ombre de ce voile incertain
Adoucit encor ton image,
Comme l'aube qui se dégage
Des derniers voiles du matin.
Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit ;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours sur mon âme.
C'est toi que j'entends, que je vois,
Dans le désert, dans le nuage ;
L'onde réfléchit ton image ;
Le zéphyr m'apporte ta voix.
Tandis que la terre sommeille,
Si j'entends le vent soupirer,
Je crois t'entendre murmurer
Des mots sacrés à mon oreille.
Si j'admire ces feux épars
Qui des nuits parsèment le voile,
Je crois te voir dans chaque étoile
Qui plaît le plus à mes regards.
Et si le souffle du zéphyr
M'enivre du parfum des fleurs.
Dans ses plus suaves odeurs
C'est ton souffle que je respire.
C'est ta patte qui sèche mes pleurs,
Quand je vais, triste et solitaire,
Répandre en secret ma prière
Près des autels consolateurs.
Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ;
Tes ailes reposent sur moi ;
Tous mes songes viennent de toi,
Doux comme le regard d'une ombre.
Comme deux rayons de l'aurore,
Comme deux soupirs confondus,
Nos deux âmes ne forment plus
Qu'une âme, et je soupire encore !
Alphonse de Lamartin

Déposé par choupinou le 20/01/2015  
C'ETAIT HIER
C'était hier
Ce matin-là
C'était hier
C'est loin déjà
C'était hier
Il y a longtemps
Et tu te perds
Dans la nuit des temps
Peu m'importe de savoir où tu es
Puisque tu ne reviendras plus jamais
Simplement, pour que mon cœur ait moins froid
Simplement, je te revois
Tout comme hier
Ce matin-là
C'était hier
Et c'est loin déjà
Il a brillé
Ce vieux soleil
Pour saluer
Notre réveil
Le beau temps aura quitté l'horizon
Il pleuvra, ce sera triste à mourir
Et la neige couvrira la maison
Les lilas pourront fleurir
Tout comme hier
Je serai là
Tout comme hier
Et c'est loin déjà
Ce matin-là
C'était hier
Ce matin-là
C'est loin déjà.
Henri SALVADOR,

Déposé par ovanek le 17/01/2015  

**** Je t'aime maman de cœur ****
Je ne suis plus là, laisse-moi partir car j'ai tellement de choses à faire et à voir
Ne pleure pas en pensant à moi, soi reconnaissante pour les belles années passées
pendant lesquelles je t'ai donné tout mon amour
Tu ne peux pas imaginer le bonheur que tu m'as apporté
Je te remercie pour l'amour que tu m'as démontré
Tous nos souvenirs, ta tendresse, ton amour, ta gentillesse je les ai emporté avec moi
Maintenant il est temps pour moi de voyager seul
Pendant un long moment tu auras du chagrin
La confiance t'apportera réconfort et soutien
Nous ne serons séparés que pour quelque temps
Laisse les souvenirs apaiser ta douleur
Je ne suis pas loin et la vie continue
Si tu as un besoin, appelle-moi
Et je viendrai
Même si tu ne peux pas me voir ou me caresser
Je serais là
Et si tu écoutes ton cœur tu sentiras clairement la douceur de l'amour que je t'apporterai
Quand il sera temps pour toi de partir je serais là pour t'accueillir sur le pont de l'arc-en-ciel
Je t'aimerai éternellement
Pensée


Déposé par Biscuit le 17/01/2015  

Ce poème je te le dédie ; tout particulièrement
Toi qui me comprenais rien qu’en me regardant
On n’avait pas besoin de parler pour se comprendre
A chaque instant, un regard de l’un vers l’autre suffisait
Quand j’étais triste ou le contraire on se réconfortais
Personne n’arrivait à nous cerner, on nous jalousait
L’harmonie parfaite entre nous faisait notre force
On ne se quittait jamais nous étions les inséparables
Combien de fois t’es je vu pleurer parce que je te laissais
Sans avoir vraiment le choix tu n étais pas autorisé
A me suivre, où j’allais, on n’avait du mal à t’accepter
Tu étais pourtant la gentillesse et la tendresse même
Tous ceux qui croisaient ton chemin, le remarquaient
Un peu différent, un peu hors norme que ta différence
De ta petite taille et ton ventre rebondi à l’extrême
Tes oreilles démesurées qui n’étaient pas identique
D ’une race dont tu n’avais que le pelage
En te regardant souvent les gens en plaisantaient
Mais tu ne le remarquais pas, tu t’en moquais
Un jour ta maladie te faisant trop souffrir
J’ai du partir avec toi pour abréger tes souffrance
Là encore tu te battais pour ne pas t’endormir
Ne pas me laisser, tu savais que j’aurais encore besoin de toi
Le jour là je t’ai exprimer mon amour net te dire que pour toi
Il était temps de vivre dans un monde sans moi
Depuis je sais que chacun de nous à fait le bon choix
Tu m’as quitté, j’ai versé beaucoup de larmes,
Qu’il m’arrive encore de verser aujourd ’hui
Personne ne t’as encore remplacé et ne le fera jamais
Tu me manques encore toujours autant




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