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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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Déposé par colombine67 le 12/12/2016 Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Accorde-moi seulement quelques instants Accepte ce que je vis, ce que je sens, Sans réticence, sans jugement. Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne me bombarde pas de conseils et d’idées Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés Manquerais-tu de confiance en mes capacités? Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler N’essaie pas de me distraire ou de m’amuser Je croirais que tu ne comprends pas L’importance de ce que je vis en moi Écoute-moi, s »il te plaît, j’ai besoin de parler Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas Voudrais-tu que ta moralité Me fasse crouler de culpabilité Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne te crois pas non plus obligé d’approuver Si j’ai besoin de me raconter C’est simplement pour être libéré Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler N’interprète pas et n’essaie pas d’analyser Je me sentirais incompris et manipulé Et je ne pourrais plus rien te communiquer Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne m’interromps pas pour me questionner N’essaie pas de forcer mon domaine caché Je sais jusqu’où je peux et veux aller Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Respecte les silence qui me font cheminer Gardes-toi bien de les briser C’est par eux bien souvent que je suis éclairé Alors maintenant que tu m’as bien écouté Je t’en prie, tu peux parler Avec tendresse et disponibilité À mon tour, je t’écouterai |
Déposé par Biscuit le 11/12/2016Souhaiter un joyeux Noël C’est donner à la pelle Pas rien qu’à sa famille Mais aux gens sans famille Oublier les discordes Et tendre une jolie corde A ceux qui n’ont plus rien Qu’on traite moins que rien Apporter des mots doux Qui apaisent de tout Et partager surtout Un endroit chaud et doux Souhaiter un beau Noël C’est mettre une chandelle Qui fait qu’on se rappelle Que la vie doit être belle Pour tous les êtres humains Qui sont dans le chagrin. |
Déposé par colombine67 le 11/12/2016Comme un arbre, l’amitié grandit au fil des ans. Ses racines prennent de la vigueur et lui permettent de devenir grande et forte. C’est de cette façon que la nôtre s’est développée, et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir ce partage de notre quotidien. Aujourd’hui, pour s’apercevoir que l’autre a besoin d’un peu d’attention ou simplement de notre présence, nul n’est besoin de se parler. Je remercie la vie de t’avoir mis sur ma route; vraiment, ce fut l’un des plus beaux cadeaux qu’elle m’a fait. Tout comme moi, tu es un arbre qui a essuyé bien des tempêtes et des ouragans. Contre vents et marées, nous avons toujours su garder le moral, apprécier le retour du soleil et régénérer nos forces dans les moments d’accalmie. Le plus merveilleux pour moi est de voir que nous sommes encore côte à côte. Comme deux vieux arbres, nous sommes toujours empreints de la même vigueur et du même besoin de survie qui nous ont permis de rester debout jusqu’à ce jour. La vie nous réserve sûrement encore bien des surprises, mais rien ne pourra détruire ce merveilleux bien qui nous unit. Continuons à prendre soin des racines de notre AMITIÉ, de façon à ce que nous puissions encore longtemps partager notre quotidien et apprécier chaque jour que nous vivons. (Andrée Lapierre) |
Déposé par colombine67 le 10/12/2016Le bonheur c’est… : de savoir s’émerveiller peu importe son âge de rire de bon coeur en agréable compagnie de savoir dire « je t’aime » de se planifier des moments de tendresse de savoir relever des défis, même si cela fait peur d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire d’être maître de soi et non des autres de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés de la vie de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte. Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie, N’oublie pas de le cultiver Pour qu’Il reste longtemps. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 09/12/2016Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir… Que tu peux être semeur d’optimisme, de courage, de confiance… Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres… que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable… Que ton sourire non seulement t’enjolive, mais qu’il embellit l’existence de ceux qui t’approchent… Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner… Thomas Merton |
Déposé par poutounou le 08/12/2016Quelle belle initiative ! * Que ce soit en Indonésie ou en Éthiopie, ce sont des ânes et des chevaux qui apportent la lecture aux enfants qui n’y ont pas facilement accès. Des initiatives humanitaires dont l’animal est la pierre angulaire. * Ridwan Sururi vit à Java, en Indonésie, où il s’occupe de chevaux. Mais depuis un an, trois jours par semaine, il harnache l’un d’entre eux pour aller à la rencontre des enfants de l’île et leur apporter des bandes dessinées et des livres d’histoire afin de contribuer, à sa mesure, à l’alphabétisation et à l’accès à la culture. * Cette idée de bibliothèque équestre, baptisée Kuda Pustaka, est née dans la tête d’un ami de Ridwan qui s’est chargé de lui fournir les livres, issus pour beaucoup de dons. Un cheval, des livres… il n’en faut pas plus pour que les enfants de villages isolés attendent désormais avec impatience l’arrivée de cette équipée insolite. Ridwan et Luna, l’un des chevaux qui part à la rencontre des 120 élèves des écoles de l’île, emportent aussi dans leurs paniers des livres pour les adultes qui n’ont pas tardé à exprimer leur envie d’être inclus dans la boucle. Mais leurs choix se portent plus sur des manuels pour cultiver les plantes ou des guides pratiques. * Une initiative similaire existe depuis 2008 en Ethiopie où ce sont des ânes qui tirent une charrette chargée de livres. Yohannes Gebregiorgis, un sexagénaire, s’est engagé dans cette mission d’alphabétisation des habitants de sa région. Aux commandes de sa bibliothèque mobile tirée par deux ânes, il relie deux villages auxquels il apporte livres de mathématiques, de sciences, de contes et d’histoires pour enfants. Lorsqu’elle s’arrête au cœur du village, la carriole est aussitôt entourée d’enfants mais aussi d’adultes qui viennent avec leurs chaises pour assister au spectacle de marionnettes qui participe, à sa manière, à la transmission des savoirs. Ce projet de bibliothèque hippomobile est financé par Plan International, une association humanitaire qui s’engage dans les programmes d’alphabétisation des populations. |
Déposé par colombine67 le 08/12/2016Les rêves sont des désirs difficilement accessibles. Il faut travailler dur pour les réaliser, et on ne sait jamais quand on atteindra le but fixé. Persévérez, n’abandonnez pas! Et surtout… croyez toujours en vos capacités. Car en vous se cache un être unique et merveilleux qui a le droit de réussir quelque soit votre but, s’il est important pour vous et s’il vous rend heureux, vous avez le droit de réussir à l’atteindre. Auteur: inconnu |
Déposé par Biscuit le 07/12/2016L’amitié c’est la banque de toutes les tendresses, C’est une arme pour tous les combats, Ça réchauffe et ça donne du courage, Et ça n’a qu’un slogan : On partage. L’amitié est comme une fleur, Il faut en prendre soin. L’amitié a une clé de chaque place, A toi de la trouver, Certaines sont cassables…… Mais une amitié fidèle ne peut pas se briser. L’amitié c’est une écoute quand le cœur est en déroute, Qui jamais ne se permet de juger, ni de peiner, Elle peut tout partager de nos joies, de nos secrets, Que ce soit la nuit, le jour elle vole à notre secours, Forte comme l’océan, L’amitié c’est de l’or que l’on garde comme un trésor. |
Déposé par colombine67 le 07/12/2016 La véritable amitié est pure. Elle ne recherche aucune faveur en retour. Elle élève celui qui la donne. La véritable amitié est généreuse. Elle est plus forte que tous les préjugés. Elle anoblit celui qui la donne. La véritable amitié est fidèle. Elle n’est pas altérée par le temps. Elle honore celui qui la donne. La véritable amitié est tenace. Elle est faite de loyauté et de franchise. Elle grandit celui qui la donne. La véritable amitié est magnanime. Elle ne pose aucune condition. Elle embellit celui qui la donne. La véritable amitié est absolue. Elle n’est jamais donnée par miettes. Elle fait honneur à celui qui la donne. La véritable amitié est spontanée. Elle ne fait l’objet d’aucun marchandage. Elle récompense celui qui la donne. La véritable amitié est sincère. Elle ne pose pas de conditions. Elle enrichit celui qui la donne. Henri de Lacordaire, (1802-1861) |
Déposé par colombine67 le 06/12/2016Le petit Prince (…) Qu’est-ce que signifie « apprivoiser »? Demande le petit prince - C’est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie « créer des liens… » - Créer des liens ? - Bien sûr, dit le renard. Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n’ai pas besoin de toi. Et tu n’as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde… - Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur… je crois qu’elle m’a apprivoisé… - Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m’ennuie donc un peu. Mais, si tu m’apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée… Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince: - S’il te plaît… apprivoise-moi ! dit-il. - Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n’ai pas beaucoup de temps. J’ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître. - On ne connaît que les choses que l’on apprivoise, dit le renard. Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! - Que faut-il faire? dit le petit prince. - Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t’assoiras d’abord un peu loin de moi, comme ça, dans l’herbe. Je te regarderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t’asseoir un peu plus près… Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l’heure du départ fut proche: - Ah! dit le renard… Je pleurerai. - C’est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t’apprivoise… - Bien sûr, dit le renard. - Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince. - Bien sûr, dit le renard. Puis il ajouta: - Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d’un secret. Le petit prince s’en fut revoir les roses: - Vous n’êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n’êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n’avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n’était qu’un renard semblable à cent mille autres. Mais j’en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. Et les roses étaient bien gênées. - Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu’elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c’est elle que j’ai arrosée. Puisque c’est elle que j’ai mise sous globe. Puisque c’est elle que j’ai abritée par le paravent. Puisque c’est elle dont j’ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c’est elle que j’ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c’est ma rose. Et il revint vers le renard: - Adieu, dit-il… - Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. - C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. (…) |
Déposé par colombine67 le 05/12/2016Juste pour aujourd’hui : …souris à un étranger …écoute le coeur de quelqu’un …laisse tomber un pièce de monnaie où un enfant pourra la trouver …apprend quelque chose de nouveau et enseigne-le ensuite à quelqu’un …dis à quelqu’un qu’il compte pour toi …donne une étreinte à une personne que tu aimes …ne garde pas rancune …n’aie pas peur de dire « je suis désolé » …regarde un enfant dans les yeux et dis-lui combien il est grand …regarde derrière le visage de quelqu’un, jusque dans son cœur …fais une promesse et tiens-là …montre de la gentillesse envers un animal …tiens toi debout face à tes convictions …sens la pluie, sens la brise, écoute le vent …utilises tous tes sens au maximum. …dis bonjour à quelqu’un en premier …fais rire ou sourire quelqu’un …rends service à quelqu’un |
Déposé par poutounou le 04/12/2016Ca fait énormément de bien de pétrir les papattes du chat, comme ça fait énormément de bien de caresser son chien ou n'importe quel autre animal...Alors "pétrissons et caressons" ! * Charlotte a d'abord perdu son mari, « parti voir ailleurs », puis un emploi valorisant, et enfin sa santé. * Ayant perdu le sommeil et l'appétit, elle fait l'erreur d'aller consulter un psychiatre, qui croit détecter en elle des troubles bipolaires. C'est parti pour un « rallye médical » : un médicament pour l'humeur, un autre contre l'anxiété, un autre pour le sommeil. * Résultat : plus cinq kilos, des migraines, des nausées, un épuisement permanent. * Les médecins y voient les effets du stress, et renforcent le traitement. Puis un jour, suite à une émission de télé, elle ressent le besoin de la compagnie d'un chat. * Sa première visite dans un refuge est la bonne. Elle revient avec un gros rouquin de trois ans, laissé pour compte pour cause de départ à l'étranger. * « À peine arrivé, il a sauté sur le lit et s'est mis à ronronner. C'était le début d'une nouvelle vie, avec quelqu'un avec qui partager caresses, regards, instants de discussion, et des nuits, des vraies nuits entières de vrai repos bercé par son ronronnement et le pétrissage de ses papattes… ». * À partir de ce moment, Charlotte peut diminuer les doses de ses médicaments, elle émerge la journée, et sa vie sociale prend un nouveau tour. Jusqu'à ce nouvel emploi qui signe sa guérison. |
Déposé par colombine67 le 04/12/2016 La véritable amitié est pure. Elle ne recherche aucune faveur en retour. Elle élève celui qui la donne. La véritable amitié est généreuse. Elle est plus forte que tous les préjugés. Elle anoblit celui qui la donne. La véritable amitié est fidèle. Elle n’est pas altérée par le temps. Elle honore celui qui la donne. La véritable amitié est tenace. Elle est faite de loyauté et de franchise. Elle grandit celui qui la donne. La véritable amitié est magnanime. Elle ne pose aucune condition. Elle embellit celui qui la donne. La véritable amitié est absolue. Elle n’est jamais donnée par miettes. Elle fait honneur à celui qui la donne. La véritable amitié est spontanée. Elle ne fait l’objet d’aucun marchandage. Elle récompense celui qui la donne. La véritable amitié est sincère. Elle ne pose pas de conditions. Elle enrichit celui qui la donne. Henri de Lacordaire, (1802-1861) |
Déposé par colombine67 le 03/12/2016Rappelle-toi Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir… Que tu peux être semeur d’optimisme, de courage, de confiance… Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres… que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable… Que ton sourire non seulement t’enjolive, mais qu’il embellit l’existence de ceux qui t’approchent… Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner… Auteur : Thomas Merton |
Déposé par colombine67 le 02/12/2016Savais-tu que les efforts que fait une personne sont d’autant plus concluants qu’ils sont vraiment désirés ? Savais-tu que les personnes les plus autoritaires sont souvent les plus faibles hors de leur trône ? Savais-tu que les personnes qui sont les plus secourables sont souvent les plus pauvres ? Savais-tu que les trois phrases les plus difficiles à dire sont, pour beaucoup : « Je t’aime », « Pardonne-moi » et « Aide-moi » ? Savais-tu que lorsque tu aides quelqu’un avec bon coeur, tu es deux fois plus aidé ? Savais-tu que les personnes qui ont le plus besoin de toi sont celles qui ne le disent pas ? Savais-tu que ce qui te coûte à faire ou à dire a plus de valeur que ce qui te coûte et que tu dois payer avec de l’argent ? Mais, ne crois pas tout ce que je viens de te dire jusqu’à ce que tu l’aies vérifié par toi-même. Si tu connais quelqu’un qui a besoin de quelque chose parmi celles que j’ai citées, et que tu penses pouvoir l’aider, donne-lui ton aide de bon coeur et tu verras qu’en retour tu recevras le double. Ou alors, aide-toi toi-même et regarde les résultats… |
Déposé par celibab le 01/12/2016encore sur ma poitrine, je sens ce poids si fort, en lui sur mon coeur, il sent ma pensée. ce chien,il est mort... mais dans ma conscience, il est encore gravé. YVES CONGAR |
Déposé par colombine67 le 01/12/2016J’ai entendu il y a peu de temps raconter cette petite histoire qui donne bien à réfléchir. C’était une jeune fille qui n’était pas correcte quand elle parlait à sa mère. Mais cette dernière qui était très polie, gardait son sang froid. C’était quand même difficile pour elle. Alors elle décida que chaque fois que sa fille serait grossière avec elle, elle enfoncerait un petit clou dans la porte. Et le lendemain, un clou, puis encore un. Et le temps passa. La fille se rendit compte un jour qu’il y avait beaucoup de clous sur la porte et elle commença à se rendre compte du mal qu’elle faisait. Alors elle parla avec sa mère et devint plus sage. Alors toutes deux elle enlevèrent les clous. Mais la fille dit : «Maman, il reste des traces» « Oui ma fille, dit la mère, les clous ont abîmé la porte. La moralité est que quand nous faisons du mal aux autres, ils peuvent nous pardonner, mais il restera toujours une cicatrice dans leur coeur. Alors faisons toujours attention à nos propos. |
Déposé par poutounou le 30/11/2016Et oui, malin le petit chat... Il a raison : mieux vaut retourner aux souris... * Le chat et le miroir * Philosophes hardis, qui passez votre vie A vouloir expliquer ce qu'on n'explique pas, Daignez écouter, je vous prie, Ce trait du plus sage des chats. Sur une table de toilette Ce chat aperçut un miroir ; Il y saute, regarde, et d'abord pense voir Un de ses frères qui le guette. Notre chat veut le joindre, il se trouve arrêté. Surpris, il juge alors la glace transparente, Et passe de l'autre côté, Ne trouve rien, revient, et le chat se présente. Il réfléchit un peu : de peur que l'animal, Tandis qu'il fait le tour, ne sorte, Sur le haut du miroir il se met à cheval, Deux pattes par ici, deux par là ; de la sorte, partout il pourra le saisir. Alors, croyant bien le tenir, Doucement vers la glace il incline la tête, Aperçoit une oreille, et puis deux... à l'instant, A droite, à gauche il va... Jetant sa griffe qu'il tient toute prête : Mais il perd l'équilibre, il tombe et n'a rien pris. Alors, sans davantage attendre, Sans chercher plus longtemps ce qu'il ne peut comprendre, Il laisse le miroir et retourne aux souris : Que m'importe, dit-il, de percer ce mystère ? Une chose que notre esprit, Après un long travail, n'entend ni ne saisit, Ne nous est jamais nécessaire. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par colombine67 le 30/11/2016Soudain elle surgit venue des profondeurs, sa valeur est inestimable tant elle est vraie. Plus riche qu’un trésor, elle perle au gré du moment, scintillante de vérité et pourtant si indéchiffrable qu’aucun n’eut pensé de la comprendre. Merveille qu’elle est, elle s’écoule vivement pour laisser fuir l’autre qui la suit. Rempli de joie ou de mélancolie, seul l’être qui la laisse filer peut la comprendre car elle crie dans le silence. Où il y a une larme, il y a un coeur. (Auteur inconnu) |
Déposé par choupinou le 29/11/2016Le Chant de la pluie Viens, viens ma vie ….. Ecouter sur le toit Le chant de la pluie Qui ramène pour toi Mes tristes mélodies . . . Mes tristes mélodies . . . Que les fleurs fanées attendaient Chaque fois que la pluie Chante en lentes mélopées Viens , viens ma vie ….. Viens, viens ma vie ….. Un nuage traverse le ciel, Un éclair au lointain luit En ce moment où la vie se renouvelle Un cœur pleure sa vie … Un cœur pleure sa vie La pluie quitta le toit Et vint noyer en silence Un cœur qui n’a que toi Un cœur noyé de souffrances Un cœur noyé de souffrances Que la mer rejette aux flots Meurt sans amour, sans espérance Laissant pour toi un sanglot Que la pluie reprend en romance…, |
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