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En hommage à
en hommage a mes amours de ma jeunesse
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Déposé par poutounou le 07/06/2020Oh le joli mois de juin !!! * Juin * Les prés ont une odeur d’herbe verte et mouillée, Un frais soleil pénètre en l’épaisseur des bois, Toute chose étincelle, et la jeune feuillée Et les nids palpitants s’éveillent à la fois. * Les cours d’eau diligents aux pentes des collines Ruissellent, clairs et gais, sur la mousse et le thym ; Ils chantent au milieu des buissons d’aubépines Avec le vent rieur et l’oiseau du matin. * Les gazons sont tout pleins de voix harmonieuses, L’aube fait un tapis de perles aux sentiers, Et l’abeille, quittant les prochaines yeuses, Suspend son aile d’or aux pâles églantiers. * Sous les saules ployants la vache lente et belle Paît dans l’herbe abondante au bord des tièdes eaux ; La joug n’a point encor courbé son cou rebelle, Une rose vapeur emplit ses blonds naseaux. * Et par delà le fleuve aux deux rives fleuries Qui vers l’horizon bleu coule à travers les prés, Le taureau mugissant, roi fougueux des prairies, Hume l’air qui l’enivre, et bat ses flancs pourprés. * La Terre rit, confuse, à la vierge pareille Qui d’un premier baiser frémit languissamment, Et son oeil est humide et sa joue est vermeille, Et son âme a senti les lèvres de l’amant. * O rougeur, volupté de la Terre ravie ! Frissonnements des bois, souffles mystérieux ! Parfumez bien le coeur qui va goûter la vie, Trempez-le dans la paix et la fraîcheur des cieux ! * Assez tôt, tout baignés de larmes printanières, Par essaims éperdus ses songes envolés Iront brûler leur aile aux ardentes lumières Des étés sans ombrage et des désirs troublés. * Alors inclinez-lui vos coupes de rosée, O fleurs de son Printemps, Aube de ses beaux jours ! Et verse un flot de pourpre en son âme épuisée, Soleil, divin Soleil de ses jeunes amours ! * Charles Leconte de Lisle, |
Déposé par poutounou le 31/05/2020N’entendez-vous pas, dans l’infini, battre les ailes de nos Anges ? * L’ombre est bleue et la nuit palpite d’ors tremblants Dans l’azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère * Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, En une ascension dont l’essor tremble au clair de lune * N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, * Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. * Fernand Gregh |
Déposé par poutounou le 24/05/2020Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une étoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fée courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rêvant derrière un carreau. * Maurice Carême |
Déposé par poutounou le 21/05/2020Petit problème pour Dimanche et Lundi – Excuses !!! * N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? * L' envol des anges * L'ombre est bleu et la nuit palpite d'ors tremblants Dans l'azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère. * Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, en une ascension dont l'essor tremble au clair de lune. * N'entends-tu pas dans l'infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, * Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. * Fernand Gregh |
Déposé par Cupidon le 21/05/2020Ne restez pas à pleurer autour de mon cercueil, Je ne m’y trouve pas. Je ne dors pas. Je suis un millier de vents qui soufflent, Je suis le scintillement du diamant sur la neige, Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr, Je suis la douce pluie d’automne, je suis l’envol hâtif. Des oiseaux qui vont commencer leur vol circulaire quand tu t’éveilles dans le calme du matin, Je suis le prompt essor qui lance vers le ciel où ils tournoient les oiseaux silencieux. Je suis la douce étoile qui brille, la nuit, Ne restez pas à vous lamenter devant ma tombe, je n’y suis pas : je ne suis pas mort. Robert Louis Stevenson |
Déposé par poutounou le 09/05/2020Homme ! Ne crains rien ! La nature sait le grand secret et sourit… * Printemps * Tout est lumière, tout est joie. L'araignée au pied diligent Attache aux tulipes de soie Les rondes dentelles d'argent. La frissonnante libellule Mire les globes de ses yeux Dans l'étang splendide où pullule Tout un monde mystérieux. La rose semble, rajeunie, S'accoupler au bouton vermeil L'oiseau chante plein d'harmonie Dans les rameaux pleins de soleil. Sous les bois, où tout bruit s'émousse, Le faon craintif joue en rêvant ; Dans les verts écrins de la mousse, Luit le scarabée, or vivant. La lune au jour est tiède et pâle Comme un joyeux convalescent ; Tendre, elle ouvre ses yeux d'opale D'où la douceur du ciel descend ! Tout vit et se pose avec grâce, Le rayon sur le seuil ouvert, L'ombre qui fuit sur l'eau qui passe, Le ciel bleu sur le coteau vert ! La plaine brille, heureuse et pure ; Le bois jase ; l'herbe fleurit. Homme ! ne crains rien ! la nature Sait le grand secret, et sourit *. Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 03/05/2020Pluie de Printemps * Pluie de Printemps tombe du ciel parfumée au Soleil qui vient pointer son nez Les plantes sourient à la lueur du jour Et viennent offrir leur coeur à ces gouttes semées * Pluie de printemps, plus belle que l’Automne Vient rafraîchir les coeurs, vient inonder les coeurs Et bientôt donne tout ce qu’attend la Nature L’Eau si précieuse et pure pour tout recommencer * Elodie Santos, 2009 |
Déposé par choupinou le 01/05/2020PETIT POEME EN CE 01/05/2020 A tous mes petits anges d'amour Petit brin charmant de muguet au parfum si délicat confit moi le secret du bonheur du beau jardin la-bas Ecarte de ma vie le chagrin,la tristesse et la mélancolie donne a mon coeur,les beaux rayons du soleil la chaleur de mon amour pour ma petite merveille Délicieuse clochettes,blanche immaculée emplit de poème et de pureté, joue moi un petit brin de ta douce musique pour mon âme tourmentées,mon être nostalgique Jolies,petites fleurs, brin de muguet voici le premier jour de mois Mai remplit de tendresse et d'amour le coeur de mon petit ange pour toujours Petit brin de bonheur qui m'enivre de ta fraîcheur messager d'amour aux similitudes blanchâtre couleurs redonne sur ma vie et mon chagrin,de la douceur , que mon petit trésor,mon bel ange,comprenne ton message Il est la fleur que j'ai a t'offrir donnant l'espoir avec de beaux souvenirs transmette dans ton coeur,la beauté de mon amour ce petit brin de muguet,je te l'offre petit mamour Que ce petit brin de joie et de bonheur sert de lien entre nous deux,d'un amour infini qu'il nous réunisse a jamais dans des jours heureux car ce grand moment dans mon coeur est écrit écrit de choupinou |
Déposé par poutounou le 26/04/2020Un peu de Théophile Gautier… * Au printemps * Regardez les branches Comme elles sont blanches ! Il neige des fleurs. Riant dans la pluie, Le soleil essuie Les saules en pleurs Et le ciel reflète, Dans la violette Ses pures couleurs... La mouche ouvre l'aile Et la demoiselle Aux prunelles d'or, Au corset de guêpe Dépliant son crêpe, A repris l'essor. Le goujon frétille Un printemps encore ! * Théophile Gautier |
Déposé par poutounou le 19/04/2020Venez, venez vite, hirondelles, repeupler l’azur calme et doux… * Avril * Lorsqu’un homme n’a pas d’amour, Rien du printemps ne l’intéresse ; Il voit même sans allégresse, Hirondelles, votre retour ; * Et, devant vos troupes légères Qui traversent le ciel du soir, Il songe que d’aucun espoir Vous n’êtes pour lui messagères. * Chez moi ce spleen a trop duré, Et quand je voyais dans les nues Les hirondelles revenues, Chaque printemps, j’ai bien pleuré. * Mais depuis que toute ma vie A subi ton charme subtil, Mignonne, aux promesses d’Avril Je m’abandonne et me confie. * Depuis qu’un regard bien-aimé A fait refleurir tout mon être, Je vous attends à ma fenêtre, Chères voyageuses de Mai. * Venez, venez vite, hirondelles, Repeupler l’azur calme et doux, Car mon désir qui va vers vous S’accuse de n’avoir pas d’ailes. * François Coppée, |
Déposé par poutounou le 12/04/2020Joyeuses Pâques à vous tous et toutes avec plein de chocolats. Mium, miam, miam… * Joyeuses Pâques ! * En cette belle saison, Le soleil fait danser Ses doux rayons, Et le vent aime chanter Une tendre chanson... C'est le grand réveil Miraculeux de la nature, Qui émerveille par la beauté De sa verdure, La pureté d'un ciel d'azur, Et qui est un appel A une vie nouvelle ! |
Déposé par poutounou le 05/04/2020Joli chardonneret, tu es venu me dire que l’amour est devant… * Oiseau de Printemps * Joli Chardonneret, tu es sorti de l’ombre Posé sur la rembarde pour venir me chanter Une ode à la Nature, au Soleil, au Printemps Tu es venu me dire que l’Amour est devant * Saute, vrille, vole Et mange toutes les graines que je t’ai données Reviens sur mon balcon, recommence ton chant Qui m’envahit toute entière Ces matins des beaux jours * Joli Chardonneret je te veux sur ma route dans ma jolie campagne au pied de mon balcon * Elodie Santos, 2009 |
Déposé par Cupidon le 01/04/2020Le village de Beau bois Il était une fois, à l’orée d’un magnifique bois, un petit village du nom de Beau bois. Dans ce village vivaient une multitude de chiens. Il y en avait de toutes les tailles : des grands, des moyens, des petits et même des très petits. De toutes les races et de toutes les couleurs : des noirs, des marrons, des blancs, des beiges et même tous ces coloris mélangés. Il y en avait avec des taches sur le nez, sur la queue, sur les pattes ou sur le corps. Certains n’avaient que trois pattes ou une oreille mais tous étaient très heureux de vivre dans un endroit aussi splendide. Ils étaient arrivés là par hasard, nul ne savait ni pourquoi ni comment ils s’étaient retrouvés à cet endroit mais le plus important était d’y être et de s’y sentir bien. Le paysage était merveilleux. Au milieu du village courrait un ruisseau d’un bleu si pur que tous les chiens étaient fascinés par cette beauté. Ils pouvaient y boire à volonté, se baigner, y jouer et s’ébattre dedans. L’herbe tout autour était d’un vert sublime. Les chiots aimaient la mâchouiller tellement elle était tendre. Dans le ciel, il n’y avait jamais de nuages menaçants, rien que de jolis petits nuages blancs qui avaient l’air si doux. Le soleil brillait de tout son éclat, ses rayons étaient chauds mais sans jamais brûler. La température était idéale. Chaque chien avait sa maison qui ressemblait à une grande niche. Elle était faite de bois et le sol était recouvert d’un épais tapis moelleux et on ne peut plus confortable. Il y avait devant chaque maison une grande gamelle remplie d’os à mâcher : un régal. De temps à autre, un magnifique arc-en-ciel naissait et l’on voyait apparaître au loin une personne âgée, un adulte ou un même un enfant. Et là, toutes les queues trépignaient d’impatience, les oreilles se dressaient, les cœurs se mettaient à battre la chamade et ensuite une voix douce prononçait le nom d’un d’entre eux. Il arrivait même souvent que plusieurs chiens soient appelés en même temps. A l’appel de son nom, le chien allait alors rejoindre la personne en faisant de grands bons. Cette personne était la plupart du temps le maître que le chien avait dû quitter trop tôt. Les retrouvailles entre le maître et le chien étaient alors synonymes de grande joie pour toute la communauté de Beau bois. Il arrivait qu’un enfant entra dans le village et vienne caresser un chien en particulier, toujours un animal qui n’avait pas reçu d’amour ou qui n’avait pas de maître avant d’arriver au village. Quand l’enfant repartait avec ce chien, la joie de tous était encore plus grande Tous les chiens, sans exception, trouvaient un jour ou l’autre un maître digne de la confiance du chien. C’était vraiment le Paradis |
Déposé par poutounou le 29/03/2020J’entends au loin la voix du chien qui gronde et veille... * Nuit de printemps * Le ciel est pur, la lune est sans nuage : Déjà la nuit au calice des fleurs Verse la perle et l’ambre de ses pleurs ; Aucun zéphyr n’agite le feuillage. Sous un berceau, tranquillement assis, Où le lilas flotte et pend sur ma tête, Je sens couler mes pensers rafraîchis Dans les parfums que la nature apprête. Des bois dont l’ombre, en ces prés blanchissants, Avec lenteur se dessine et repose, Deux rossignols, jaloux de leurs accents, Vont tour à tour réveiller le printemps Qui sommeillait sous ces touffes de rose. Mélodieux, solitaire Ségrais, Jusqu’à mon cœur vous portez votre paix ! Des prés aussi traversant le silence, J’entends au loin, vers ce riant séjour, La voix du chien qui gronde et veille autour De l’humble toit qu’habite l’innocence. Mais quoi ! déjà, belle nuit, je te perds ! Parmi les cieux à l’aurore entrouverts, Phébé n’a plus que des clartés mourantes, Et le zéphyr, en rasant le verger, De l’orient, avec un bruit léger, Se vient poser sur ces tiges tremblantes. * François-René de Chateaubriand, |
Déposé par poutounou le 22/03/2020Ô Printemps, fais naître un renouveau suprême au cœur des morts… !!! * Prière au printemps * Toi qui fleuris ce que tu touches, Qui, dans les bois, aux vieilles souches Rends la vigueur, Le sourire à toutes les bouches, La vie au coeur ; * Qui changes la boue en prairies, Sèmes d’or et de pierreries Tous les haillons, Et jusqu’au seuil des boucheries Mets des rayons ! * Ô printemps, alors que tout aime, Que s’embellit la tombe même, Verte au dehors, Fais naître un renouveau suprême Au coeur des morts ! * Qu’ils ne soient pas les seuls au monde Pour qui tu restes inféconde, Saison d’amour ! Mais fais germer dans leur poussière L’espoir divin de la lumière Et du retour ! * René-François Sully Prudhomme |
Déposé par poutounou le 15/03/2020Mais de toi je n’implore, Ange, que tes prières, Ange plein de bonheur, de joie et de lumières. * A nos Anges… * Poète : Charles Baudelaire (1821-1867) Recueil : Les fleurs du mal (1857) *. Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse, La honte, les remords, les sanglots, les ennuis, Et les vagues terreurs de ces affreuses nuits Qui compriment le coeur comme un papier qu'on froisse ? Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse ? * Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine, Les poings crispés dans l'ombre et les larmes de fiel, Quand la Vengeance bat son infernal rappel, Et de nos facultés se fait le capitaine ? Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine ? * Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres, Qui, le long des grands murs de l'hospice blafard, Comme des exilés, s'en vont d'un pied traînard, Cherchant le soleil rare et remuant les lèvres ? Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres ? * Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides, Et la peur de vieillir, et ce hideux tourment De lire la secrète horreur du dévouement Dans des yeux où longtemps burent nos yeux avides ? Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides ? * Ange plein de bonheur, de joie et de lumières, David mourant aurait demandé la santé Aux émanations de ton corps enchanté ; Mais de toi je n'implore, ange, que tes prières, Ange plein de bonheur, de joie et de lumières ! * Charles Baudelaire. |
Déposé par poutounou le 08/03/2020Mêlez l’hymne de tous les anges aux chansons de tous les oiseaux… * Mes poèmes ! soyez des fleuves ! Allez en vous élargissant ! Désaltérez dans les épreuves Les coeurs saignants, les âmes veuves, Celui qui monte ou qui descend. * Que l'aigle plonge, loin des fanges, Son bec de lumière en vos eaux ! Et dans vos murmures étranges Mêlez l'hymne de tous les anges Aux chansons de tous les oiseaux ! * Victor Hugo. |
Déposé par poutounou le 01/03/2020Lorsque je me réveillerai, je me souviendrai de tout l’amour que tu as pour moi, mon Ange…… * J’aimerais être l’ange de ton sommeil, Te protéger jusqu’au réveil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cœur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rêves les plus enfouis. Je garderai précieusement la clé Des plus profondes de tes pensées. Je dissiperai le brouillard Qui détruit tous les espoirs. Et lorsque tu te réveilleras Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi. |
Déposé par poutounou le 23/02/2020Et oui ! Parfois la chance passe tout près sans faire de bruit…!!! * 10 COMMANDEMENTS DU BONHEUR * Sois toujours le premier à dire bonjour. Fais toi de nouveaux amis mais n'oublie pas les anciens. Ne perds pas ton temps à apprendre les trucs du métier... Apprends le métier. Sers toi de l'humour pour faire rire les gens, pas pour rire des gens. Embrasse tes enfants après les avoir disputés. A la bourse, n'investis jamais plus que ce que tu es prêt à perdre. Prends l'habitude de rendre service à des gens qui ne sauront même pas que tu les as aidés. Répète souvent à tes enfants qu'ils sont fantastiques et que tu leur fais confiance. Apprends à écouter... Parfois la chance passe tout près, sans faire de bruit. * (Auteur inconnu) |
Déposé par poutounou le 16/02/2020Que serions-nous sans la tendresse, sans l’amour de nos magnifiques « boules de poils » ? * La Tendresse (extrait) * On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y'en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas * On peut vivre sans la gloire Qui ne prouve rien Etre inconnu dans l'histoire Et s'en trouver bien Mais vivre sans tendresse Il n'en est pas question Non, non, non, non Il n'en est pas question * Quelle douce faiblesse Quel joli sentiment Ce besoin de tendresse Qui nous vient en naissant Vraiment, vraiment, vraiment * Quand la vie impitoyable Vous tombe dessus On n'est plus qu'un pauvre diable Broyé et déçu Alors sans la tendresse D'un coeur qui nous soutient Non, non, non, non On n'irait pas plus loin * Un chien vous « embrasse » Parce qu'on le rend heureux Tous nos chagrins s'effacent On a les larmes aux yeux Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu... Dans votre immense sagesse Immense ferveur Faites donc pleuvoir sans cesse Au fond de nos coeurs Des torrents de tendresse Pour que règne l'amour Règne l'amour Jusqu'à la fin des jours * Bourvil |
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