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En hommage à
EPAGNEUL-BRETONBELLE
Il est né le:--/06/1986
Il nous a quittés le:19/06/1995
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13 Fleurs
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1453 messages
Déposé par rafia le 29/03/2015La bonne chienne. Les deux petits jouaient au fond du grand pacage; La nuit les a surpris, une nuit d’un tel noir Qu’ils se tiennent tous deux par la main sans se voir : L’opaque obscurité les enclot dans sa cage. Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre, Les chèvres, les cochons, la vache, la jument, Sont égarés ou bien muets pour le moment, Ils ne trahissent plus leur présence dans l’ombre. Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes Sourdement fait gronder l’écho. Mais la bonne chienne Margot A rassemblé toutes les têtes Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes, Chacun des deux petits lui tenant une oreille, Tous les trois, à pas d’escargot, Ils regagnent enfin, là-haut, Le vieux seuil où la maman veille. Maurice Rollinat., |
Déposé par rafia le 28/03/2015L'adieu à mon chien (auteur inconnu) La neige tombait tout doucement ce matin-là, Comme pour préparer ton lit de mort. J’ai eu du mal à contenir mes larmes, et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable… Te rappelles-tu des belles journées d’été où nous nous promenions dans les bois? Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne? Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux? Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples? Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main? Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant? De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue? Nous revenions fatigués au soleil couchant, Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive. Ton souffle me détendait et me rassurait Et ta présence m’était si précieuse, Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin. Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer. Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su. Tant d’années ont passé à tes côtés. J’ai vu le temps te vieillir, Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour. Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai, Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre. Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé. Ton corps sans vie et tes yeux voilés, Cela avait marqué la fin. Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir. Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie, Et ta perte me fait tant pleurer. Tu étais comme une partie de moi, Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur. Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années Repose en paix |
Déposé par myriam31 le 27/03/2015LE PRINTEMPS Le soleil s'est réveillé, Les nouvelles plantes ont poussé, Les forêts sont à nouveau habitées, Le printemps vient de commencer. Le temps joyeux est présent, Les oiseaux échangent leurs chants, Un moment d'enchantement, C'est le printemps. Profitez-en!de se beau moment, Il est encore temps! Ah!Quel beau temps! C'est le printemps! (Théophile Gauthier) Tendresse et papouille pour toi bel ange, amitiés à ta maman |
Déposé par poutounou le 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
Déposé par rafia le 25/03/2015CITATION DE BENJAMIN CONSTANT La douleur réveille en nous, tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage. Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié. Elle nous apprend à lutter pour nous et pour les autres. |
Déposé par poutounou le 22/03/2015Mars * Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons. Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu'il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons … * Maurice CARÊME |
Déposé par choupinou le 20/03/2015A ce Printemps perdu A ce Printemps perdu où nous nous sommes aimés toi et moi sans retenu toute cette vie ,mois de mars endeuillé A ce Printemps perdu où l’on sent le bonheur quitter cette espérance qu’on laisse et ne voit plus A ce Printemps perdu et à la renaissance d’une passion si belle Vie qui n’existe plus A ce Printemps perdu et aux charmants oiseaux et à ces chants d’idylles belles, mises à nu A ce Printemps perdu Comme un beau violon aux cordes abimées Qu’on n’entendra plus jamais A ce Printemps perdu et à ces vieilles pierres un jour au coeur des vignes qui ne seront plus là a toi mon amour qui ne verra plus ce printemps revivre,pour nous il est perdu mais moi je le vie pour toi,dans mon coeur, |
Déposé par choupinou le 16/03/2015Quand tu me manques,je t'invente des mots d'amours, Sans toi je n'existe pas,quel malheur.... Je te cherche souvent partout, alors que tu es tout prêt de moi ,dans mon coeur. C'est pour ça qu'aujourd'hui ,je t'offre ma vie, je t'offre mon âme,mon coeur; je t'offre le chant des oiseaux,à l'infini; je t'offre la lumière du soleil et sa chaleur; je t'offre la beauté des fleurs ,le parfum des roses; tu es mon étoile,mon sourire et mes larmes, Je t'offre tout ceci ,c'est vrai c'est pas grand chose par rapport a tout ce que toi,tu m'a donné,tu étais ma flamme; Mon grand amour c'était toi ,c'est toujours toi et ce sera toujours TOI TOI TOI POUR L'ETERNITE |
Déposé par rafia le 16/03/2015Poème pour nos amis-canins victimes de l'abandon. ------------------------------------------------- Dans la chaîne de l'horreur, On ne fait que monter d'heure en heure Plus on veut sauver, Plus on continue à martyriser. Y a-t-il dans le ciel quelques anges-humains sans occupations ??? Car il serait plus que temps qu'ils fassent leurs bonnes actions, Punir les mauvais, les envoyer au purgatoire, Qu'ils se débarrassent de leurs âmes noires. Redonner espoir et lumière à ces amours muets Pour qui l'homme reste encore un terrible danger Que doivent-ils dire de nous humains, Comment les comprendre ceux-là quand ils nous tendent la main ? Parfois c'est pour nous offrir l'harmonie, Parfois c'est pour nous ôter la vie, Comment leur faire confiance ??? Il y a dans leurs sentiments trop d'alternance. Alors les ailés où que vous soyez, agissez Nous allons finir par nous noyer, Les quelques microbes que nous sommes ici-bas Devons faire face à nos semblables, enfin si peu dans ce cas. Mais vous voyez nos coeurs sont en lambeaux et si las, Nous aimerions ouvrir immensément nos bras Cette terre hélas aujourd'hui n’est gouvernée que par l’argent, Elle ne connaît plus le sens de l’adverbe simplement. Au nom de cette monnaie dominante et trébuchante, On abandonne, on torture, on supprime, c’est une déferlante. Moi là, je vous parle, j’écris, j’étale des mots Je vide mon coeur au quotidien de tous ces maux. Je ne peux faire plus, Des fonds, il m'en faudrait bcp plus, Mais pour vous sauver, je donnerais ma peau Pour ne plus voir tant de misères, ce n'est pas beau. Non pas que je veuille disparaître de la planète Car pour être tout à fait honnête, J’ai envie de tenir encore les manettes Entourée de meilleurs-amis tendres qu'on nomme "bêtes". Et tant qu’il y aura toutes ces galères, Je ne pourrais poursuivre l’âme légère En voyant ts ces petits chiens en souffrance Nous n’avons pas le droit de continuer dans l’ignorance. Je souhaite : plus jamais d'abandonnés, Mais, hélas, nous ne sommes pas des fées Nous avons un seul mot d’ordre c’est vouloir, Notre volonté c’est votre espoir ! |
Déposé par poutounou le 15/03/2015Extrait de la chanson « Fais moi une place » de Julien Clerc. * Paroles d’un Ange pour son maître ou sa maîtresse… * Fais-moi une place Au fond d' ton coeur Pour que j' t'embrasse Lorsque tu pleures Je deviendrai Tout fou, tout clown, gentil Pour qu' tu souries Fais-moi une place Dans tes urgences Dans tes audaces Dans ta confiance Je s'rai jamais Distant, distrait, cruel Pour q' tu sois « belle » (beau) J' veux q' t'aies jamais mal Q' t'aies jamais froid Et tout m'est égal Tout, à part toi Je t'aime… |
Déposé par rafia le 15/03/2015Le vieux et son chien S'il était le plus laid De tous les chiens du monde, Je l'aimerais encore A cause de ses yeux. Si j'étais le plus laid De tous les vieux du monde, L'amour luirait encore Dans le fond de ses yeux. Et nous serions tous deux, Lui si laid, moi si vieux, Un peu moins seuls au monde A cause de ses yeux. Pierre Menanteau |
Déposé par rafia le 13/03/2015Le désintéressement est l'un des caractères nécessaires de l'amitié, et ajoutons que le devoir d'un ami qui peut rendre un service, est de deviner les soucis de l'autre et de rendre le service avant qu'il ait été demandé. André Maurois L'amitié est plus tolérante que l'amour, mais elle aussi a son honneur qui ne peut être impunément blessé, et vilipendé ; l'amitié exige qu'on pense d'elle avec noblesse, et ne condescend pas à demander le respect de sa dignité. Citation de Henri-Frédéric Amiel |
Déposé par rafia le 12/03/2015Il est plus nécessaire qu'on ne croit, de s'imposer l'obligation d'être tous les jours utiles à ses semblables ; cela tient en haleine, et même pour faire le bien, nous avons besoin bien souvent d'une force qui nous pousse. Sophie Cottin ;, |
Déposé par rafia le 11/03/2015Ode détournée, pr nos Amours Canins Hélas ! après avoir perdu un être cher, les arbres retrouveront leur verdure et les fleurs leur parfum ; un feu secret circulera dans toutes les sèves ; tout revivra après cette mort, et tout renaîtra pour aimer : moi seule je n'aimerai plus ; et le temps, en s'écoulant, ne peut m'apporter d'autre bien que de m'approcher de mon dernier jour. Sophie Cottin , |
Déposé par poutounou le 10/03/2015Joli petit poème pour toi, bel Ange, en attendant le printemps… * Premier sourire du printemps * Tandis qu'à leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. * Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisèle des boutons d'or. * Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. * La nature au lit se repose ; Lui descend au jardin désert, Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. * Tout en composant des solfèges, Qu'aux merles il siffle à mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges Et les violettes aux bois. * Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d'argent du muguet. * Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. * Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " * Théophile GAUTIER (1811-1872) - Émaux et camées |
Déposé par choupinou le 10/03/2015merci mon ami(ie)c'est mots pour toi Je cherche les termes Pour t'expliquer ce que je ressens Pour te dire que je t'aime Et t'exprimer mes sentiments Je ne trouve pas De mots assez puissants Je ne les connais pas Car ils sont absents Je ne sais pas Comment te dire tout l'amour Que j'éprouve pour toi Et qui pour moi dureront toujours Je veux te dire que tu seras toujours Mon ami, Mon Amour Et je te murmurerais chaque jour Que je t'aime Mon Amour Je veux te dire aussi Merci Merci pour m'avoir donné tant de générosité, Merci pour ta sensibilité Merci pour ta douceur Merci de m'avoir aimé de tout ton cœur Merci de ton dévouement, de ta joie Merci d'être rester et d'être toujours près de moi Merci de m'avoir donner et me donner tant de chaleur Merci de m'avoir accordé tant de bonheur Mais comment exprimé tout l'amour Et le respect que j'ai Pour toi mon ami(ie) qui a su m'aimer Et me faire connaître le vrai amour Tu es mon corps, mon âme Tu es ma vie, Tu es mon soleil, mon énergie, Tu es ... tu es mon ami(ie),mon chien,ma chienne que j'ai tant aimé. |
Déposé par rafia le 10/03/2015Ne reste pas à pleurer devant ma tombe, Je n’y suis pas, je n’y dors pas. Je suis un millier de vents qui soufflent ; Je suis le scintillement du diamant sur la neige. Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr ; Je suis la douce pluie d’automne. Quand tu t’éveilles dans le calme du matin, Je suis le prompt essor Qui lance vers le ciel où ils tournoient les oiseaux silencieux. Je suis la douce étoile qui brille la nuit. Ne reste pas à te lamenter devant ma tombe. Je n’y suis pas ; je ne suis pas mort. Anonyme, |
Déposé par rafia le 09/03/2015Les deux amitiés Il est deux Amitiés comme il est deux Amours. L’une ressemble à l’imprudence ; Faite pour l’âge heureux dont elle a l’ignorance, C’est une enfant qui rit toujours. Bruyante, naïve, légère, Elle éclate en transports joyeux. Aux préjugés du monde indocile, étrangère, Elle confond les rangs et folâtre avec eux. L’instinct du coeur est sa science, Et son guide est la confiance. L’enfance ne sait point haïr ; Elle ignore qu’on peut trahir. Si l’ennui dans ses yeux (on l’éprouve à tout âge) Fait rouler quelques pleurs, L’Amitié les arrête, et couvre ce nuage D’un nuage de fleurs. On la voit s’élancer près de l’enfant qu’elle aime, Caresser la douleur sans la comprendre encor, Lui jeter des bouquets moins riants qu’elle-même, L’obliger à la fuite et reprendre l’essor. C’est elle, ô ma première amie ! Dont la chaîne s’étend pour nous unir toujours. Elle embellit par toi l’aurore de ma vie, Elle en doit embellir encor les derniers jours. Oh ! que son empire est aimable ! Qu’il répand un charme ineffable Sur la jeunesse et l’avenir, Ce doux reflet du souvenir ! Ce rêve pur de notre enfance En a prolongé l’innocence ; L’Amour, le temps, l’absence, le malheur, Semblent le respecter dans le fond de mon coeur. Il traverse avec nous la saison des orages, Comme un rayon du ciel qui nous guide et nous luit : C’est, ma chère, un jour sans nuages Qui prépare une douce nuit. L’autre Amitié, plus grave, plus austère, Se donne avec lenteur, choisit avec mystère ; Elle observe en silence et craint de s’avancer ; Elle écarte les fleurs, de peur de s’y blesser. Choisissant la raison pour conseil et pour guide, Elle voit par ses yeux et marche sur ses pas : Son abord est craintif, son regard est timide ; Elle attend, et ne prévient pas. (Marceline Desbordes-Valmore), |
Déposé par rafia le 08/03/2015Mon ami à quatre pattes Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas. C’était mon compagnon, mon ami de toujours Et comme les humains il connut le trépas. La maison désormais se retrouve sans lui. Il repose en forêt sous les feuilles jaunies. Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux Ses jappements de joie, son amour un peu fou ! Je garderai toujours le souvenir ému De cet ami charmant et à jamais perdu. Et je comprends très bien que l’on aime son chien Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien. de Christian Chabellard |
Déposé par rafia le 07/03/2015L'AMITIÉ L'amitié c'est une main qui vous soutient dans la douleur et le désarroi. C'est une oreille qui écoute tantôt votre peine, tantôt votre joie. C'est un regard qui voit jusqu'au plus profond de votre âme sans jamais se faire juge. C'est un coeur qui s'ouvre et jamais ne se referme... comme un refuge - Sarah Biguet -, |
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