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En hommage à
chum
BERGER-BELGE-MALINOIS
Il est né le:05/11/2005
Il nous a quittés le:11/02/2008

mon chouchou tu es parti trop tôt
mon miraculé
mon petit loulou fragile
tu as eu une force de caractere exemplaire
tu as gagné cette opation a coeur ouvert
tu étais mon petit miraculé
mon chouchou
mon loulou
tu as etait le premier a partir
je ne sais pourquoi si jeune
pourquoi la vie est comme ca
j'aurais voulu te donner plus
en joie en amour en folie
mon chum mon étoile
tu es a tout jamais dans mon coeur
ma premier étoile
au fond de mon cœur a jamais
comme tous mes loulous
mes amours




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305 messages

Déposé par poutounou le 16/01/2022  
Moi j'ai des tas de souvenirs avec une "belle gueule" et j'aime toujours, peut-être différemment, mais j'aime toujours....
*
Avec Le Temps
*
Avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie le visage et l'on oublie la voix
le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
l'autre qu'on devinait au détour d'un regard
entre les mots, entre les lignes et sous le fard
d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
avec le temps tout s'évanouit
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
mêm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules
à la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort
le samedi soir quand la tendresse s'en va tout' seule
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien
l'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux
pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous
devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens
avec le temps, va, tout va bien
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie les passions et l'on oublie les voix
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
et l'on se sent floué par les années perdues
Alors vraiment avec le temps on n'aime plus…
*
Il ne faut jamais cesser d’aimer. On peut aimer n’importe quoi, n’importe qui ! Cesser d’aimer c’est mourir… !!!

Déposé par poutounou le 12/01/2022  
Il est vrai qu’avec nos « trésors », nous vivons si beau, si fort, que nous en oublions le temps qui passe… Hélas !
*
Extrait de la chanson « Encore un soir » de Céline Dion
*
Quand on vit trop beau, trop fort, on en oublie le temps qui passe
Comme on perd un peu le nord au milieu de trop vastes espaces
À peine le temps de s'y faire, à peine on doit laisser la place
Oh si je pouvais
*
Encore un soir, encore une heure
Encore une larme de bonheur
Une faveur, comme une fleur
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards
Juste un report, à peine encore, même s'il est tard
*
Y en a tant qui tuent le temps, tant et tant qui le perdent ou le passent
Tant qui se mentent, inventent en les rêvant des instants de grâce
Oh je donne ma place au paradis, si l'on m'oublie sur Terre
Encore hier
*
Encore un soir, encore une heure
Encore une larme de bonheur
Une faveur, comme une fleur
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien du tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards
Juste un report, à peine encore, je sais, il est tard

Déposé par poutounou le 09/01/2022  
A quel beau songe évanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange...
*
Pensée perdue
*
Elle est si douce, la pensée,
Qu'il faut, pour en sentir l'attrait,
D'une vision commencée
S'éveiller tout à coup distrait.
*
Le coeur dépouillé la réclame ;
Il ne la fait point revenir,
Et cependant elle est dans l'âme,
Et l'on mourrait pour la finir.
*
A quoi pensais-je tout à l'heure ?
A quel beau songe évanoui
Dois-je les larmes que je pleure ?
Il m'a laissé tout ébloui.
*
Et ce bonheur d'une seconde,
Nul effort ne me l'a rendu ;
Je n'ai goûté de joie au monde
Qu'en rêve, et mon rêve est perdu.
*
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)
*
Un petit coucou à Bruno, notre webmaster, qui nous a gentiment souhaité une bonne année 2022 sur le forum. Merci pour tout ce que vous faites, pour nous rendre la « navigation » sur ce merveilleux site, la plus agréable possible…

Déposé par poutounou le 05/01/2022  
Tu es tout ça, mon Ange...
*
À mon Ange,
*
Tu es mon palais, mon soir et mon automne,
Et ma voile de soie et mon jardin de lys,
Ma cassolette d’or et ma blanche colonne,
Mon parc et mon étang de roseaux et d’iris.
*
Tu es mes parfums d’ambre et de miel, ma palme
Mes feuillages, mes chants de cigales dans l’air,
Ma neige qui se meurt d’être hautaine et calme,
Et mes algues et mes paysages de mer.
*
Et tu es ma cloche au sanglot monotone,
Mon île fraîche et ma secourable oasis …
Tu es mon palais, mon soir et mon automne,
Et ma voile de soie et mon jardin de lys.
*
Renée Vivien ("À l’heure des mains jointes", éditions Alphonse Lemerre,1906)

Déposé par poutounou le 01/01/2022  
Coucou mamans et papas de cœur,
*
Je trouve le « poème » ci-dessous très « vrai » ! Voilà tout ce qu’on devrait dire ou se dire pour l’année 2022 à venir. J’aimerais ajouter que je vous souhaite, de tout cœur, que tous vos « petits » problèmes de santé ne soient plus qu’un mauvais souvenir. Sans la santé, rien ne va comme il faut… !!! Alors, « Bonne Santé » à vous tous pour l’année à venir… et je fais un tout gros « poutounou » chaud et sucré à votre ou vos Anges du Paradis blanc…Qu’ils continuent de venir nous rendre visite dans nos rêves… Ca fait énormément de bien… !!!
*
En toute amitié,
*
Martine, Rubens et Diesel. J’ajoute Iron, le diablotin, qui est toujours et encore à mes côtés.
*
Dire « oui » au bonheur
Dire « non » à la mauvaise humeur,
Dire « peut être » à l’avenir,
Dire « je ne t’oublie pas » aux souvenirs,
Dire « adieu » au stress,
Dire « pourquoi pas » à la paresse,
Dire « j’ai compris » aux erreurs,
Dire « plus jamais » aux jugements de valeur,
Dire « pardon » à la peine,
Dire « bye bye » à la haine,
Dire « heureusement que tu es là » à l’humour,
Dire « pour toujours » à l’amour,
Dire « reste là » à l’envie,
Dire « je t’aime » à la vie !

Déposé par poutounou le 30/12/2021  
Les yeux qu'on ferme voient encore...avec leur âme !
*
Les yeux
*
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lève encore.
*
Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre ;
Les étoiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d'ombre.
*
Oh ! qu'ils aient perdu le regard,
Non, non, cela n'est pas possible !
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu'on nomme l'invisible ;
*
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent :
*
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l'autre côté des tombeaux
Les yeux qu'on ferme voient encore.
*
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)

Déposé par poutounou le 25/12/2021  
Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? Avant tout : aimer, aimer fort et donner, donner beaucoup. Mais « aimer » c’est déjà donner… !!! On ne donne pas que de l’argent, on peut donner de la joie, de son temps, de l’Amour bien sûr, de la tendresse, beaucoup de tendresse, etc… C’est tellement bon de donner et ça fait tellement de bien. On se sent tellement mieux après avoir donné… En ce 25 décembre, jour de Noël, une petite pensée pour tous ceux qui luttent pour leur survie, ceux qui ont faim, ceux qui sont seuls et tristes, ceux qui ne savent pas ce qu’est un « cadeau » de Noël ou autre...Je n’oublie pas nos amis les bêtes, qui n’ont rien demandé à personne et se retrouvent maltraités, abandonnés ou pire… Il y a tant de malheureux sur cette terre et il y a tant à faire…Par où commencer ??? Peut-être par nous poser les bonnes questions, du style « Quels sont les gros cailloux de notre vie ? »…
*
Gros cailloux
*
Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière".
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?".
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)".
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 23/12/2021  
Le manifeste de la gentillesse
*
Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur.
La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable.
La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain.
*
POUR
En finir avec le chacun pour soi
Refuser le cynisme ambiant
Déjouer l'agressivité quotidienne
Dire non à l'indifférence
Choisir d'être plus attentif aux autres
Mettre de l'harmonie dans mes relations
Etre altruiste et bienveillant
*
JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR,
AVEC DES MILLIERS D'AUTRES,
UN MONDE PLUS HUMAIN

Déposé par poutounou le 19/12/2021  
C'est beau le silence mon Ange ! Il te dira combien je t'aime...
*
Le silence ... (extrait)
*
Silence ... silence ...
Sur les cimes, dans les vallées,
Sur la neige immaculée,
Dans les parcs, dans les plaines ...
Le monde retient son haleine.
*
Les ruisseaux ne murmurent plus
Comme dans les caves,
Comme dans les vignes
C'est le silence, c'est le silence
*
Le ciel se tait ...
Le vent se tait
Comme si c'était un jour d'été ...
C'est le silence, c'est le silence
Mais ceci n'est
Qu'une apparence! ...
Interroge-le !
Est-il muet ?
Ecoute-le bien
Entends-le bien
*
Il te dira combien je t'aime
*
Sous ma poitrine mon coeur se tait
De nostalgie et d'espérance ...
Dans le bonheur, dans la souffrance
Le mot sublime est le silence,
C'est le silence, c'est le silence,
C'est l'ivresse de l'espérance ! ...
*
Kamuran Aali Bedir Khan ("La Lyre kurde" - Librairie Saint-Germain-des-Prés, 1973)

Déposé par poutounou le 12/12/2021  
Un magnifique lac comme au Paradis blanc....
*
J'ai pour toi un lac
*
J'ai pour toi un lac quelque part au monde
Un beau lac tout bleu
Comme un œil ouvert sur la nuit profonde
Un cristal frileux
Qui tremble à ton nom comme tremble feuille
À brise d'automne et chanson d'hiver
S'y mire le temps, s'y meurent et s'y cueillent
Mes jours à l'endroit, mes nuits à l'envers.
*
J'ai pour toi, très loin
Une promenade sur un sable doux
Des milliers de pas sans bruits, sans parade
Vers on ne sait où
Et les doigts du vent des saisons entières
Y ont dessiné comme sur nos fronts
Les vagues du jour fendues des croisières
Des beaux naufragés que nous y ferons.
*
J'ai pour toi défait
Mais refait sans cesse les mille châteaux
D'un nuage ami qui pour mon Ange
Se ferait bateau
Se ferait pommier, se ferait couronne
Se ferait panier plein de fruits vermeils
Et moi je serai celui qui te donne
La Terre et la Lune avec le soleil.
*
J'ai pour toi l'amour quelque part au monde
Ne le laisse pas se perdre à la ronde.
*
Gilles Vigneault

Déposé par poutounou le 05/12/2021  
Vous êtes notre lumière, doux Anges, et vous éclairez notre chemin de vie…
*
Tout en haut des cimes
*
Tout en haut des cimes,
Vivent nos espoirs,
Réside notre optimisme,
Se trouve la lumière.
*
Tout en haut des cimes,
Comme des nuages de passage,
Notre vie traverse cet abîme,
À la recherche de la lumière.
*
Tout en haut des cimes,
Nos yeux s’y tournent,
Pour prier, pour espérer,
Pour chercher la lumière.
*
Tout en haut des cimes,
Il nous faut y atteindre,
Sans jamais douter d’y parvenir,
L’ombre même de la lumière.
*
Et quand les montagnes,
S’en iront comme des nuages,
Et quand les montagnes,
Laisseront passer la lumière.
*
Enfin, nous y serons parvenus,
Tout en haut des cimes.
*
Nashmia Noormohamed, 2015

Déposé par poutounou le 28/11/2021  
Il y a tant de beaux mots dans la langue française…..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges…
*
Les mots qui font vivre
*
Il y a des mots qui font vivre
Et ce sont des mots innocents
Le mot chaleur et le mot confiance
Amour, justice et le mot liberté
Le mot enfant et le mot gentillesse
Et certains noms de fleurs et
Certains noms de fruits
Le mot courage et le mot découvrir
Et le mot frère et le mot camarade
Et certains noms de pays, de villages
Et certains noms de femmes et d'amis.
*
Paul Eluard ( 1895-1952)

Déposé par poutounou le 21/11/2021  
Je te donnerai...mon bel Ange ! Avec mon coeur qu’il faudra près du tien garder...
*
Le présent
*
Si tu veux je te donnerai
Mon matin, mon matin gai
Avec tous mes clairs cheveux
Que tu aimes ;
Mes yeux verts
Et dorés.
Si tu veux,
Je te donnerai tout le bruit
Qui se fait
Quand le matin s'éveille
Au soleil
Et l'eau qui coule
Dans la fontaine
Tout auprès !
Et puis encor le soir qui viendra vite
Le soir de mon âme triste
À pleurer
Et mes mains toutes petites
Avec mon coeur qu'il faudra près du tien
Garder.
*
Marie Laurencin ("Poèmes" - Bernouard éditeur, 1926)

Déposé par poutounou le 14/11/2021  
Dans la vie il y a plein de « petits riens » qui nous font tant de bien…..
*
DES PETITS RIENS
*
Les petits riens qui font les grands moments
Qui vont qui viennent, quand ils ont le temps
Les atomes de vie qu'on attrape en rêvant
*
Ces petits riens ont tous quelque chose
Quelque chose en commun qui nous métamorphose
Ces éclairs de vie qui courent entre les choses
*
Saurions-nous les retrouver ?
Voudrais-tu les partager ?
Ces moments de vérité
*
Les petits détails qui ne paient pas de mine
Les petits bouts de gestes qui soudain illuminent
Un souffle entre les mots, un rire qui culmine
*
Ces petits riens qui font nos grands moments
Ils vont ils viennent ils prennent tout leur temps
Et plus on les désire, plus on les attend.
*
Boris

Déposé par poutounou le 07/11/2021  
Que c'est beau ! N’écris pas mon Ange…n’écris pas !!!
*
N'écris pas
*
N'écris pas, je suis triste, et je voudrais m'éteindre
Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau
J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre,
Et frapper à mon coeur, c'est frapper au tombeau
N'écris pas !
*
N'écris pas, n'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes
Ne demande qu'à Dieu ... qu'à toi, si je t'aimais !
Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes,
C'est entendre le ciel sans y monter jamais
N'écris pas !
*
N'écris pas, je te crains ; j'ai peur de ma mémoire;
Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent
Ne montre pas l'eau vive à qui ne peut la boire
Une chère écriture est un portrait vivant
N'écris pas !
*
Marceline Desbordes-Valmore ("Poésies inédites")

Déposé par stevyne le 05/11/2021  
mon chum mon chouchou mon miraculé tu aurais eu aujourd'hui 16 ans tu m'as porté un petit bonheur de 2ans et demi je t'aime mon vhum

Déposé par stevyne le 05/11/2021  
mon chouchou aujourd'hui tu aurais eu 16 ans mais tu es parti si vite mon miraculé tu etais mon chouchou
plein de pensé pour ce jour je t'aime chum

Déposé par poutounou le 31/10/2021  
Souffrons en silence !
*
Vous parler ?
*
Vous parler ? Non. Je ne peux pas.
Je préfère souffrir comme une plante,
Comme l'oiseau qui ne dit rien sur le tilleul.
Ils attendent. C'est bien. Puisqu'ils ne sont pas las d'attendre,
J'attendrai, de cette même attente.
*
Ils souffrent seuls. On doit apprendre à souffrir seul.
Je ne veux pas d'indifférents prêts à sourire
Ni d'amis gémissants. Que nul ne vienne.
*
La plante ne dit rien. L'oiseau se tait. Que dire ?
Cette douleur est seule au monde, quoi qu'on veuille.
Elle n'est pas celle des autres, c'est la mienne.
*
Une feuille a son mal qu'ignore l'autre feuille,
Et le mal de l'oiseau, l'autre oiseau n'en sait rien.
*
On ne sait pas. On ne sait pas. Qui se ressemble ?
Et se ressemblât-on, qu'importe. Il me convient
De n'entendre ce soir nulle parole vaine.
*
J'attends, comme le font derrière la fenêtre
Le vieil arbre sans geste et le pinson muet ...
Une goutte d'eau pure, un peu de vent, qui sait ?
Qu'attendent-ils ? Nous l'attendrons ensemble.
Le soleil leur a dit qu'il reviendrait, peut-être ...
*
Sabine Sicaud ("Douleur, je vous déteste" et "Les Poèmes de Sabine Sicaud" - éditions Stock, 1958)

Déposé par poutounou le 24/10/2021  
Une pensée émue pour Marc qui vient de “perdre” son petit Philou adoré. Une fleur, un message, une bougie ou un poème lui ferait le plus grand bien… De tout Coeur avec vous dans ces moments très difficiles, très douloureuses, Marc…
*
J’ai trouvé mon Paradis avec toi mon Ange !!!
*
Mon Paradis
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue,
D’une terre vierge, encore inexplorée et nue,
D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué.
Je voulais fuir les querelles et tout recommencer,
Sur la terre originelle, renaître de l’oubli.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel.
Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle,
Vestige de beauté d’une nature si meurtrie.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance,
Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence,
D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard,
Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard.
C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique.
Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique.
Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie.
*
Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis.

Déposé par poutounou le 17/10/2021  
Quel magnifique mot : la « tolérance ». Soyons tolérants les uns envers les autres. Profitons de notre beau cimetière virtuel pour nous envoyer des fleurs, de beaux messages, des poèmes et des bougies...
*
L'arbre de la tolérance
*
Pour toi, bel Ange…
*
Quels mots veux-tu que j'apprivoise pour toi aujourd'hui ?
Pendre, prendre, prétendre
Ils sont bien trop enferrés aux boulets de la vanité
*
Prévaloir, pouvoir, avoir
Ceux-ci vivent leur deuil
Au fond des prisons d'orgueil
*
Imposer, condamner, spéculer
Tous sont opprimés
Dans les étaux de la cupidité
*
Pour toi j'apprivoiserai plutôt les mots
Ecouter, respecter, partager
Et si c'est leur préférence
Je leur offrirai les fleurs de la tolérance
*
Pour toi, j'apprivoiserai plutôt les mots
Apprendre, comprendre, entendre
Et si c'est leur volonté
Je leur offrirai les branches de l'humilité
*
Pour toi, j'apprivoiserai surtout les mots
S'ouvrir, sourire, offrir
Et si c'est pour toujours
Je leur offrirai l'arbre d'amour
*
Notre tolérance pour les autres nous conduit forcément à tolérer nos propres fantaisies.
Citation de George Sand ; Œuvre : Flaminio, Théâtre - 1854.




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mes 4 loulous
mes étoiles
Highslide JS
mon chum
mon chouchou d'amour tu me manques
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