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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERA BB LUCKY
Il est né le:24/08/1995
Il nous a quittés le:21/09/2010
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En hommage à
A BB LUCKY
15 bougies
56194 Fleurs
Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 Déposé par spanky Pour vous il est une fleur que vous avez plantée dans votre cœur et si jamais il fane vous l’arroser avec vos larmes et si vous pouviez éteindre le soleil pour revoir la brillance de ses jolis yeux. Déposé par colombine67 Les animaux ne sont pas des propriétés ou des choses, ce sont des êtres vivants, assujettis à une vie, qui méritent notre compassion, respect, amitié et soutien |
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Déposé par colombine67 le 15/10/2015Sensation de paix. L'horloge du temps est arrêtée. Ces secondes, ces minutes qui me fouaillaient pour me précipiter vers mes travaux, mes recherches, sont ce matin sans pouvoir sur moi. Je goûte l'instant. Je sens qu'il a plus à m'apprendre que l'accumulation de tous les suivants. Pourquoi me suis-je si rarement accordé le temps de vivre, le droit de vivre ? Il me fallait justifier sans cesse mon existence par ma production, par mon rendement, à mes yeux comme a ceux des autres. Mon existence, en soi, n'avait pas de valeur. Je ne croyais pas exister pour les autres, j'ai fini par ne plus exister pour moi. Ce matin, j'ai le droit d'exister tout seul, pour moi tout seul. Je prends le droit d'exister. Et les êtres et les choses autour de moi commencent à exister d'une existence plus dense. Eux aussi commencent à avoir le droit d'exister. Nous sommes un univers d'existences solides, réelles, également importantes et respectables. C'est comme si le sablier de l'existence se remplissait de minute en minute de la quantité de réalité qui le rend stable. Ce n'est plus cette sensation de vide qu'il faut remplir d'actes, de mots, d'oeuvres. Je goûte d'être immobile. J'existe davantage de ne rien faire, je repose sur ma racine. Quelle est cette racine ? Je sens l'existence sourdre en moi sans arrêt, et ce mouvement, quand je l'observe, suffit à m'occuper. Je lui fais confiance. Je n'ai plus à intervenir, à me justifier d'exister, il me justifie. Exister justifie d'exister. C'est bon d'exister. Ça ne doit « servir » à rien d'exister. On n'est pas obligé de servir à quelque chose. On n'est obligé de servir à rien. On a le droit d'exister d'abord. Il me semble que je cherchais sans cesse à justifier mon existence avant d'avoir pris conscience et goût d'exister. Jusqu'ici, il m'était incroyable que l'on puisse passer du temps sans rien faire et ne pas le sentir perdu ! Le temps n'est pas rempli de ce qu'on y met. Mon temps se remplit par l'attention que je lui porte... par le goût que j'en prends parce que je le considère parce que je me considère parce que je me suis restitué LE DROIT D'EXISTER. Louis Evely, Extrait de son journal, octobre 1983 |
Déposé par colombine67 le 14/10/2015 Un corps t'a été donné. Tu peux l'aimer ou le détester, mais ce sera le tien pour toute la durée de cette vie. Tu vas apprendre des leçons. Tu es inscrit(e) dans une école informelle à plein temps appelée «Vie ». Chaque jour tu auras l'occasion d'apprendre des leçons dans cette école. Tu pourras aimer les leçons, ou penser qu'elles sont idiotes ou sans pertinence. Il n'y a pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d'essai et erreur : l'expérimentation. Les expériences « ratées » font tout autant part du processus que celles qui réussissent. Une leçon sera répétée jusqu'à ce quelle soit apprise. Une leçon te sera présentée sous diverses formes, jusqu'à ce que tu l'apprennes. Quand tu l'auras apprise, tu pourras passer à la leçon suivante. Apprendre des leçons ne finit jamais. Il n'y a pas de partie de «Vie» qui ne contienne de leçon. Si tu es en vie, il y a des leçons à apprendre. « Ailleurs » n'est pas meilleur qu' « ici ». Quand ton « ailleurs » est devenu « ici », tu obtiens à nouveau un autre « ailleurs » qui a son tour te semblera meilleur qu' « ici ». Les autres sont essentiellement des miroirs de toi-même. Tu ne peux aimer ou détester quelque chose chez autrui que si ce quelque chose reflète une chose que tu aimes ou que tu détestes en toi. Ce que tu fais de ta « Vie » dépend de toi. Tu as tous les outils, toutes les ressources dont tu as besoin. Ce que tu en fais dépend de toi. Le choix t'appartient. Tes réponses sont en toi. Les réponses aux questions de la « Vie » sont en toi. Tout ce qu'il te faut, c'est regarder, écouter et faire confiance. A mesure que tu t'ouvres à cette confiance, tu te souviendras de plus en plus de tout ceci. Gitta Mallasz |
Déposé par choupinou le 13/10/2015Larmes aux fleurs suspendues, Larmes de sources perdues Aux mousses des rochers creux ; Larmes d'automne épandues, Larmes de cors entendues Dans les grands bois douloureux ; Larmes des cloches latines, Carmélites, Feuillantines... Voix des beffrois en ferveur ; Larmes, chansons argentines Dans les vasques florentines Au fond du jardin rêveur ; Larmes des nuits étoilées, Larmes de flûtes voilées Au bleu du pare endormi ; Larmes aux longs cils perlées, Larmes d'amante coulées Jusqu'à l'âme de l'ami ; Gouttes d'extase, éplorement délicieux, Tombez des nuits ! Tombez des fleurs ! Tombez des yeux ! Et toi, mon cœur, sois le doux fleuve de mes larmes Qui, riche du trésor de ton amour embelli la lueur de mon âme Roule un grand rêve triste aux mers des soirs languides. là se cache notre merveilleuse histoire,que reflète mon eau limpide, |
Déposé par colombine67 le 13/10/2015Etre et non Paraître... savoir rester humble face à l'immensité de l'univers que l'on est infiniment petits il faut le reconnaître qu'il y a toujours plus grand que nous sur cette terre Aux riches bien vêtus on fait des courbettes Aux pauvres en haillons on fait des grimaces peut-être que l'âme du pauvre est bien plus honnête que celle de ce seigneur de la haute classe L'habit ne fait pas le moine, dit l'adage on ferait bien d'y prendre de la graine Ce n'est pas le plus beau qui est le plus sage la vraie grandeur est dans l'âme humaine |
Déposé par spanky le 12/10/2015Ils disent que tu n'es plus là, Que la vie a fait son choix... Mais moi, je te sens voler autour de moi, Je sais que tu guides mes pas. Tu continues d'emplir mon coeur Toi mon si gentil et adorable loulou Je sens ton parfum comme celui des fleurs Tu es ma vie mon bonheur Et nul ne me fera jamais douter Que tu es toujours à mes côtés. |
Déposé par colombine67 le 12/10/2015Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20 euros. Il demande aux gens : Qui aimerait avoir ce billet ? Les mains commencent à se lever alors il dit : Je vais donner ce billet de 20 euros à quelqu'un d'entre vous mais avant laissez moi faire quelque chose avec. Il chiffonne alors le billet avec force et il demande : Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ? Les mains continuent à se lever. Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher. Ensuite il demande : Qui veut encore avoir ce billet ? Évidemment, les mains continuent de se lever ! Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut toujours 20 euros. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment ! La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte. |
Déposé par poutounou le 11/10/2015A vos aiguilles et pelotes…..Je vais demander à Monsieur l’écureuil de me tricoter un joli bonnet pour l’hiver qui ne va pas tarder…. * L’écureuil * Dans le tronc d'un platane Se cache une cabane. Un petit écureuil Est assis sur le seuil. Il mange des cerises, Tricote une chemise; Recrache les noyaux, Se tricote un maillot; Attaque les noisettes, Fait des gants, des chaussettes... Qu'importe s'il fait froid ! Tant pis si vient l'hiver ! Une maille à l'endroit, Une maille à l'envers : L'écureuil, fort adroit, Se fait des pull-overs. * Jean-Luc Moreau |
Déposé par viana67 le 11/10/2015Cet extrait d'un beau poème de Germain Nouveau avec toute ma tendresse pour toi bel ange et mon amitié à ta maman : Ma vie à la tienne est tressée Comme on tresse des fils soyeux, Et je pense avec ta pensée, Et je regarde avec tes yeux. Quand je dis ou fais quelque chose, Je te consulte, tout le temps ; Car je sais, du moins, je suppose, Que tu me vois, que tu m'entends... ******** |
Déposé par colombine67 le 11/10/2015Sois serein au milieu du bruit et de l'agitation et songe au calme paisible qui se dégage du silence. Vis en bonne entente avec tout le monde sans pour cela te renier. Expose calmement et clairement tes idées ; et écoute les autres, même celui que tu considères moins intelligent que toi, car eux aussi ont quelque chose à t'apprendre. Evite les personnes bruyantes et agressives, elles sont un supplice pour l'esprit. Si tu te compares aux autres, tu te sentiras parfois vaniteux et aigri, car il y en en aura toujours de plus grands et de plus petits que toi. Réjouis-toi de tes réussites comme de tes plans. Si modeste que soit ta carrière, occupe-t'en car elle est réellement une richesse dans un monde instable. Sois prudent en affaires car le monde est plein de tricheries. Mais garde les yeux grands ouverts devant ses beaux côtés ; beaucoup recherchent un idéal élevé et font preuve de grand courage. Reste toi-même ; ne simule surtout pas la tendresse. Mais ne parle pas non plus de l'amour cyniquement ; car en présence de l'indifférence et du désenchantement, il est aussi vivace que l'herbe. Accepte sans amertume la sagesse des années en échange de ta jeunesse. Fortifie ton esprit, il te soutiendra en cas de malheur soudain. Mais ne te laisse pas entraîner par ton imagination, l'angoisse naît souvent de la fatigue ou de la solitude. Impose-toi une saine discipline, mais reste néanmoins indulgent envers toi-même. Tu es un enfant de l'univers tout comme les arbres et les étoiles ; tu as le droit d'exister. Et même si cela échappe à ta compréhension, l'univers poursuit son évolution. Donc, vis en paix avec Dieu, quelle que soit la manière dont tu Le conçois ; et quels que soient tes actes et tes aspirations, vis en paix avec ta conscience dans ce monde bruyant. Malgré toutes ses hypocrisies, ses tracas et ses rêves envolés, la vie est quand même belle. Reste vigilant. Tends inlassablement vers le bonheur. Max Ehrmann (1872-1945), Desiderata |
Déposé par Galinette3 le 11/10/2015Musique 🎼 Puisqu’il n’est point de mots qui puissent contenir, Ce soir, mon âme triste en vouloir de se taire, Qu’un archet pur s’élève et chante, solitaire, Pour mon rêve jaloux de ne se définir. O coupe de cristal pleine de souvenir ; Musique, c’est ton eau seule qui désaltère ; Et l’âme va d’instinct se fondre en ton mystère, Comme la lèvre vient à la lèvre s’unir. Sanglot d’or !… Oh ! voici le divin sortilège ! Un vent d’aile a couru sur la chair qui s’allège ; Des mains d’anges sur nous promènent leur douceur. Harmonie, et c’est toi, la Vierge secourable, Qui, comme un pauvre enfant, berces contre ton coeur Notre coeur infini, notre coeur misérable. 🎼 Albert Samain, Au jardin de l’infante |
Déposé par colombine67 le 10/10/2015 Et si c'était la dernière fois... Et si c'était la dernière fois que tu voyais, tu regarderais avec une telle attention que ton regard d'un seul coup d'oeil embrasserait tout l'horizon. Et si c'était la dernière fois que tu marchais, tu poserais tes pieds avec tant de douceur et de légèreté qu'ils deviendraient des ailes et tu pourrais voler. Et si c'était la dernière fois que tu respirais, tu humerais l'air avec un tel allant que tu te trouverais vivant jusqu'à la fin des temps. Et si c'était la dernière fois que tu t'éveillais, ce moment d'ultime conscience aurait tellement de force et de clarté qu'il éclairerait tes nuits jusqu'à l'éternité. Et si c'était la dernière fois que tu pensais, la plus vulgaire de tes pensées s'auréolerait de tant d'innocence qu'elle te conduirait jusqu'à la source : au pays du silence. Et si c'était la dernière fois que de la solitude tu souffrais, tu serais si reconnaissant de connaître l'absence que tu percevrais le parfum de l'éternelle présence. Et si c'était la dernière fois que tu jugeais, tu serais si confus de ce penchant coupable que tu verrais le beau au sein du condamnable. Et si c'était la dernière fois que tu te remémorais les bons moments et les mauvais, tu remercierais si fort de les avoir connus que tu verrais les fils entre les deux tendus. Et si c'était la dernière fois que tu créais, ton inspiration serait si féconde que tu pourrais comprendre l'origine du monde. Et si c'était la dernière fois que tu aimais, tu glorifierais l'instant avec un tel zèle qu'il emplirait ton coeur à jamais d'amour universel. Et si c'était la dernière fois que tu riais, ton esprit tant se dilaterait qu'au mirage du petit "je" jamais plus ne se prendrait. Et si c'était la dernière fois que face à toi-même tu te trouvais, tu rentrerais tant dans ce jeu de miroir que tu pourrais percer le secret de ton histoire. Et si c'était la dernière fois que tu lisais les mots au fond de toi prendraient âme et corps et donneraient naissance à l'Etre que tu n'es pas encore. Si tu fais toute chose avec autant de passion, d'attention et d'amour que si c'était la dernière fois, alors, ce sera la première fois où tu SERAS. Gérard Bellebon |
Déposé par nikita le 09/10/2015Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne On joue le rôle de celui pour qui tout va bien Pourvu que les autres n'en sachent rien On fait au mieux pour sauver la face Pour que notre entourage ignore par où l'on passe On rit on danse on fait les fous comme à Venise Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? L'orgueil nous aide à tenir le coup Apparemment on pourrait même faire des jaloux C'est à nous même que l'on se joue la comédie Pour s'inventer qu'on est guéri Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? Ces blessures là Qui ne se voient pas Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et que ne pas que tout espoir nous abandonne Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir Les blessures qui ne se voient pas Parfois semblent avoir perdu nos trace Et quand on ne s'y attend pas Sans que jamais les autres le sachent Elles remontent à la surface Et nous fusillent une fois encore Les blessures qui ne se voient pas Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres Ces blessures là Qui ne se voient pas on vit avec chaque jours vous nous manquez nos petits amour mille bisous au parfum de la tendresse sur ta belle truffe d 'amourmon beau BB LUCKY à partager avec ta maman qui te porte dans son coeur |
Déposé par lili2248 le 09/10/2015Il y a tant de beaux mots dans la langue française…..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges… * Les mots qui font vivre * Il y a des mots qui font vivre Et ce sont des mots innocents Le mot chaleur et le mot confiance Amour, justice et le mot liberté Le mot enfant et le mot gentillesse Et certains noms de fleurs et Certains noms de fruits Le mot courage et le mot découvrir Et le mot frère et le mot camarade Et certains noms de pays, de villages Et certains noms de femmes et d'amis. * Paul Eluard ( 1895-1952) , |
Déposé par colombine67 le 09/10/2015Demain, dès l'aube... Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. VICTOR HUGO |
Déposé par Galinette3 le 08/10/2015Le grand destin 🐶 Ami, la liberté vaut mieux qu’une amourette. Regarde cette mer sauvage, hardie et fière ! Regarde cette étoile filant dans le ciel : Elles n’ont point d’attache et touchent l’infini. Observe la montagne au sommet dans les nues, Plonge-toi dans ce lac aux profondeurs secrètes, Ecoute la nature en éveil dans les bois Et dans les plaines sens les parfums de la flore. La lumière divine est un cadeau pour toi ; Mon ami, sache vivre en accord avec l’heure, Lutte ! Ecarte de toi la gêne et la tristesse… Profite sans périr des bonheurs passagers. Ne gâche point ta vie par de fatals regrets. Méprise le chagrin : Le véritable amour Fait vivre et non mourir. Perds et regagne ailleurs. Pleure et noie ton chagrin, enivre-toi du monde. Si l’on aime, sois gai ; sinon chante en toi-même. Si les hommes sont ternes ou méchants ou bêtes, Reste seul si tu dois, résiste comme un roc Et renais au printemps plus fort grâce aux hivers. Ami, la liberté vaut mieux qu’une amourette. Regarde ce grand chêne au milieu du bosquet, Qui affronte les vents sans plier de la tête : Il trempe dans le sol et nage au firmament. Ami, pars et découvre, ici comme là-bas, Et toi comme au dehors, partout comme au-delà, Tout ce qui vaut de vivre et toujours fait renaître. L’avenir t’appartient. Sache par où le prendre. 🐶 Jean-Charles Dorge |
Déposé par colombine67 le 08/10/2015Un soir que je regardais le ciel Elle me dit, un soir, en souriant : - Ami, pourquoi contemplez-vous sans cesse Le jour qui fuit, ou l'ombre qui s'abaisse, Ou l'astre d'or qui monte à l'orient ? Que font vos yeux là-haut ? je les réclame. Quittez le ciel; regardez dans mon âme ! Dans ce ciel vaste, ombre où vous vous plaisez, Où vos regards démesurés vont lire, Qu'apprendrez-vous qui vaille mon sourire ? Qu'apprendras-tu qui vaille nos baisers ? Oh! de mon coeur lève les chastes voiles. Si tu savais comme il est plein d'étoiles ! Que de soleils ! vois-tu, quand nous aimons, Tout est en nous un radieux spectacle. Le dévouement, rayonnant sur l'obstacle, Vaut bien Vénus qui brille sur les monts. Le vaste azur n'est rien, je te l'atteste ; Le ciel que j'ai dans l'âme est plus céleste ! C'est beau de voir un astre s'allumer. Le monde est plein de merveilleuses choses. Douce est l'aurore et douces sont les roses. Rien n'est si doux que le charme d'aimer ! La clarté vraie et la meilleure flamme, C'est le rayon qui va de l'âme à l'âme ! L'amour vaut mieux, au fond des antres frais, Que ces soleils qu'on ignore et qu'on nomme. Dieu mit, sachant ce qui convient à l'homme, Le ciel bien loin et la femme tout près. Il dit à ceux qui scrutent l'azur sombre : "Vivez ! aimez ! le reste, c'est mon ombre !" Aimons ! c'est tout. Et Dieu le veut ainsi. Laisse ton ciel que de froids rayons dorent ! Tu trouveras, dans deux yeux qui t'adorent, Plus de beauté, plus de lumière aussi ! Aimer, c'est voir, sentir, rêver, comprendre. L'esprit plus grand s'ajoute au coeur plus tendre. Viens, bien-aimé ! n'entends-tu pas toujours Dans nos transports une harmonie étrange ? Autour de nous la nature se change En une lyre et chante nos amours. Viens ! aimons-nous ! errons sur la pelouse Ne songe plus au ciel ! j'en suis jalouse ! - Ma bien-aimée ainsi tout bas parlait, Avec son front posé sur sa main blanche, Et l'oeil rêveur d'un ange qui se penche, Et sa voix grave, et cet air qui me plaît ; Belle et tranquille, et de me voir charmée, Ainsi tout bas parlait ma bien-aimée. Nos coeurs battaient ; l'extase m'étouffait ; Les fleurs du soir entr'ouvraient leurs corolles ... Qu'avez-vous fait, arbres, de nos paroles ? De nos soupirs, rochers, qu'avez-vous fait ? C'est un destin bien triste que le nôtre, Puisqu'un tel jour s'envole comme un autre ! O souvenirs ! trésor dans l'ombre accru ! Sombre horizon des anciennes pensées ! Chère lueur des choses éclipsées ! Rayonnement du passé disparu ! Comme du seuil et du dehors d'un temple, L'oeil de l'esprit en rêvant vous contemple ! Quand les beaux jours font place aux jours amers, De tout bonheur il faut quitter l'idée ; Quand l'espérance est tout à fait vidée, Laissons tomber la coupe au fond des mers. L'oubli ! l'oubli ! c'est l'onde où tout se noie ; C'est la mer sombre où l'on jette sa joie. VICTOR HUGO |
Déposé par poutounou le 07/10/2015Prenons notre plus belle plume et écrivons tout ce qui nous passe par la tête….des mots doux à nos anges, par exemple. * J’écris * J'écris des mots bizarres J'écris des longues histoires J'écris juste pour rire Des choses qui ne veulent rien dire. Ecrire c'est jouer. J'écris le soleil J'écris les étoiles J'invente des merveilles Et des bateaux à voiles. Ecrire c'est rêver. J'écris pour toi. J'écris pour moi J'écris pour ceux qui liront Et pour ceux qui ne liront pas. Ecrire c'est aimer. J'écris pour ceux d'ici Ou pour ceux qui sont loin Pour les gens d'aujourd'hui Et pour ceux de demain. Ecrire c'est vivre. * Geneviève Rousseau |
Déposé par ovanek le 07/10/2015💖 💖 💖 100 💖 💖 **** Le chemin des Âmes **** C´est le chemin des âmes en peine où vont traîner ceux qui s´aiment Et quand l´amour qui va mourir voit s´enfuir l´avenir La boutique aux souvenirs vous y vendra vos désirs Et on y trouve un rêve ou deux pour se croire presque heureux Dans le chemin des âmes en peine je traîne avec mes chaînes Loin de toi. Oui... mes pas m´emmènent !! les jambes lourde Je marche.. je trébuche et me relève sans faire de trêve Dans ce chemin où tout s´achève je vois s´en aller mes rêves Dans cette vie des âmes en peine j´apprends à oublier les journées Mais pas les années et surtout pas le passé... Suis de mes pensées En vers toi mon être de bonté, Toi qui ma donné ta fidélité Alors tout au long de ce chemin des âmes en peine Ne pas oublier que je t´aime *** Pensée ….Phil *** 💖 |
Déposé par colombine67 le 07/10/2015Il était une fois un génie de la lampe peu commun. On le sait tous, les génies offrent de réaliser trois vœux à celui ou celle qui le libère de la lampe d'où ils sont prisonniers. Or, le génie de cette histoire est différent, il n'exhausse qu'un seul vœu et celui qui le formule doit absolument contribuer à sa réalisation! C'est ainsi qu'un jour, par le plus grand des hasards, mais au moment où il en avait le plus besoin, un génie apparut à un explorateur qui venait de faire briller une vieille lampe qu'il avait acquise lors d'une de ses expéditions. Le génie dit alors : -Pour m'avoir libéré de la lampe, je t'offre d'exhausser un vœu. -Ne suis-je pas supposé avoir droit à trois, rétorqua l'explorateur un peu déçu? -Tu as raison, normalement tu aurais droit à trois souhaits, mais toi je t'aime bien alors tu n'auras qu'un seul souhait. Devant l'air perplexe de l'explorateur, le génie ajouta: -Vois-tu, j'ai constaté que les humains réfléchissaient davantage et prenaient de meilleures décisions lorsqu'ils n'avaient droit qu'à un seul souhait et j'aimerais que tu prennes le temps de savoir ce qu'il te faut vraiment pour être heureux. D'abord très déçu de n'avoir droit qu'à un seul souhait, l'explorateur se mit à réfléchir. Il réfléchit longuement à ce qui le rendrait heureux. Il rêva de trésors inestimables, de voyages, de découvertes, de notoriété, de paix intérieure, de grandes passions, d'accomplissements, etc. mais il n'avait droit qu'à un seul souhait et se voyait incapable d'arrêter son choix sur une seule chose. Les jours passèrent et chaque fois la liste de ses désirs s'allongeait alors qu'il devait la restreindre à un seul souhait ... Puis l'explorateur se rappela le proverbe oriental suivant: Donner un poisson à quelqu'un c'est le nourrir pour un jour, lui apprendre à pêcher c'est le nourrir pour la vie. Il savait maintenant ce qu'il demanderait au génie de la lampe! Excité par sa trouvaille, il couru trouver le génie et commença par le remercier de ne lui avoir accordé qu'un seul vœu. "Jamais je n'aurais pensé au souhait que j'ai en tête maintenant si plusieurs souhaits m'avaient été offerts", expliqua-t-il au génie. -Je suis content que tu apprécies mon geste, retourna le génie. Puis-je maintenant connaître ton souhait? -Oui, lança l'explorateur avec enthousiasme. J'aimerais connaître le chemin du bonheur. Le génie dû réfléchir, ce genre de souhait n'était pas habituel... Il demanda à l'explorateur de bien vouloir patienter quelques jours afin qu'il puisse rassembler le nécessaire. Encore une fois un peu déçu, l'explorateur accepta, que pouvait-il faire d'autre? Un premier jour passa, l'explorateur avait été excité toute la journée à l'idée d'enfin connaître le chemin du bonheur. Deux, trois puis quatre jours passèrent sans que le génie ne se manifeste. N'en pouvant plus d'attendre, l'explorateur commença à réfléchir sur son souhait et se demanda ce qui lui était Essentiel pour être heureux. Il se demanda quels étaient les moments de sa vie où il avait été le plus heureux. Il en trouva un, deux, trois, plusieurs. Il découvrit ensuite que ces moments, pourtant différents, avaient en commun le fait de lui avoir fait vivre des émotions semblables. Voilà les ingrédients de mon bonheur se dit-il enthousiasmé par sa découverte. D'autres questions lui virent à l'esprit. Quelles seraient les trois plus petites choses que je pourrais faire dès maintenant ou d'ici à la tombé du jour, pour revivre, ne serait-ce qu'en partie, ces émotions qui m'ont rendu si heureux dans le passé? Plus il s'interrogeait, plus les idées se bousculaient! Voyant le pouvoir des questions qu'ils s'étaient posées, il prit un crayon et écrivit toutes les questions utiles qui lui passèrent par la tête. Si j'apprenais qu'il ne me restait que très peu de temps à vivre, où investirais-je davantage de ce temps précieux? Où investirais-je moins de ce temps précieux? Que pourrais-je pardonner et ainsi me soulager d'un poids devenu inutile? Que pourrais-je me pardonner et ainsi me soulager d'un poids devenu inutile? Que pourrais-je faire pour rire de bon cœur aujourd'hui? Quelle(s) activités, passe-temps, etc. auxquelles je prenais beaucoup de plaisir à pratiquer, pourrais-je reprendre? Puis, un matin, l'explorateur se leva, regarda sa liste de questions - il avait pris l'habitude de se concentrer sur une question aidante par jour - et remarqua une note manuscrite au bas de la page, une note signée par le génie de la lampe! On pouvait y lire : Le chemin du bonheur : Prendre le temps de s'y arrêter régulièrement. |
Déposé par choupinou le 06/10/2015Le vieux et son chien S'il était le plus laid De tous les chiens du monde, Je l'aimerais encore A cause de ses yeux. Si j'étais le plus vieux De tous les vieux du monde, L'amour luirait encore Dans le fond de ses yeux. Et nous serions tous deux, Lui si laid, moi si vieux, Un peu moins seuls au monde, A cause de ses yeux. Pierre MENANTEAU |
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