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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERElfy
Il est né le:02/10/2009
Il nous a quittés le:14/10/2017
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115 messages
Déposé par poutounou le 05/01/2020Je colle mon nez à la vitre... * Mon hiver * Mon hiver est parfumé De cendres, de feux de cheminées, D’encens et de lavande pour tous mes enrhumés... Mon hiver est beau, De blanc et de glace, De givre sur les arbres, De palais transparents. Mon hiver je l’entends Grincer dans les branches, Craquer sous mes pas, Souffler dans les ruelles... Je colle mon nez à la vitre Mon hiver est buée A nouveau il m’invite, à me recroqueviller. * Veronik Leray |
Déposé par poutounou le 01/01/2020Je crois que ce magnifique poème de Céline Desliens résume ce que devrait être cette nouvelle année 2020, et qu’il n’y a rien à ajouter, si ce n’est le souhait de continuer à prendre le temps de fleurir nos chers Anges disparus, tant que notre santé nous le permet… * Amicalement, * Martine, Rubens, Diesel et petit foufou d’Iron * Nouvelle année * Que cette année nouvelle Soit pour vous un poème Un livre magnifique Aux mots de diadème Un morceau de musique Un tableau de Sisley. * Que cette année prochaine Ressemble à une fleur Un arc-en-ciel tendu Aux dessus de nos peurs Une cascade nue Un lever de soleil. * Que cette année encore Vous offre la beauté D'horizon infini Dans vos bras refermés De voyages, d'amis D'introuvables trésors. * Que cette année enfin Vous apporte la paix Une santé de fer Dans un moral d'acier Le bonheur, la lumière La liberté, toujours. * Céline Desliens. |
Déposé par poutounou le 29/12/2019T’aimer mon Ange, t’aimer à faire trembler la mort !!! * AIMER * Aimer la vie jusqu’à supplier la mort Aimer à vie, aimer à tort Aimer pour ne rien recevoir Aimer jusqu’au dernier regard Un souffle qui passe Un nuage qui s’efface Aimer à n’y rien comprendre Aimer quand il n’y a plus à prendre Qu’un vide incolore Au fond d’un puits qui dort * Aimer le mur qui boit l’horizon À l’ombre d’une main verrouillé Aimer avec, aimer selon Aimer le chemin perdu dans la vallée Celui qui ne mène nulle part Aimer jusqu’au point de départ Aimer toujours, aimer encore À faire trembler la mort * Aimer si fort Que le vent se fige Pour glisser dans un vertige Aimer seul ou bien à deux À deux, mais pas plus seul qu’avant Quand les mots de tes yeux Ricochent sur les parois du temps T’aimer jusqu’à ne plus aimer Que de t’aimer * (Auteur inconnu) |
Déposé par poutounou le 25/12/2019Je souhaite de Joyeuses Fêtes de Noël à tous les gentils membres du cimetière virtuel. Que vos Anges tant aimés vous rendent visite dans vos rêves pour égayer votre vie et chasser le chagrin causé par leur départ…Poutounoux tout doux à vous tous ! * Les douze lutins * Ils sont douze lutins Dans ce joli village De songe et de cristal Derrière les montagnes Trois qui frappent l'enclume Et remplissent d'étoiles La forge du grand gel Trois qui font à l'enseigne Du Rire de l'Hiver De frais gâteaux de neige. Trois qui tirent l'alêne En secret dans la basse Échoppe du sommeil Trois autres qui allument Leurs petites lanternes Et n'attendent qu'un signe Pour s'en aller sonner Les cloches de Noël * Paul-Alexis Robic |
Déposé par poutounou le 22/12/2019Avoir ta patte dans ma main, l’instant seulement d’une pause… * L'INSTANT D'UNE PAUSE * L’instant d'une pause Le bonheur est fait de rien Et de mille petites choses De se lever le matin Sans plus en chercher la cause De savoir que le chemin Parfois peut-être morose Et dans un sourire malin Être prêt pour une pause Il y a des jours où tout est gris Et où l'on ne voudrait rien voir Et puis, il y a notre coeur aussi Qui nous conduit jusqu'au soir Il y a cette solitude intense Qui existe et qui est là C'est dans ces moments, je pense, Que je peux rêver de toi À chercher, à tout comprendre Je me demande si je verrais Un jour les fleurs en décembre Et la neige en été Sur le site de mon coeur Il y a tant de va-et-vient Et j'en ressens la douleur De la nuit jusqu'au matin Le bonheur est fait de rien Et de mille petites choses D'avoir ta patte dans ma main L'instant seulement d'une pause. |
Déposé par poutounou le 15/12/2019Que c’est bien dit : « elle crie dans le silence ». J’en ai « crié » des larmes quand tu es parti mon Ange… * UNE LARME * Soudain elle surgit venue des profondeurs, sa valeur est inestimable tant elle est vraie. Plus riche qu'un trésor, elle perle au gré du moment, scintillante de vérité et pourtant si indéchiffrable qu'aucun n'eut pensé de la comprendre. Merveille qu'elle est, elle s'écoule vivement pour laisser fuir l'autre qui la suit. Rempli de joie ou de mélancolie, seul l'être qui la laisse filer peut la comprendre car elle crie dans le silence. * Où il y a une larme, il y a un coeur. |
Déposé par poutounou le 08/12/2019Il est encore très loin le Printemps !!! * L'automne * Quand s'annonce l'automne La marmotte marmonne, Rentre dans sa maison Et dit : "C'est la saison Où mon lit a du bon ; Dormons." Et elle attend le temps du soleil… Le printemps En dormant… * Georges Jean |
Déposé par poutounou le 01/12/2019Et oui, bientôt l'hiver !!! Sortez gants et bonnet !!! * Les feuilles mortes * Tombent, tombent les feuilles rousses, J'entends la pluie sur la mousse. * Tombent, tombent les feuilles molles, J'entends le vent qui s'envole. * Tombent, tombent les feuilles d'or, J'entends l'été qui s'endort. * Tombent, tombent les feuilles mortes, J'entends l'hiver à ma porte. * Pernette Chaponnière ("L'écharpe d'iris" - Ed Hachette) |
Déposé par poutounou le 24/11/2019Le bel automne * À pas menus, menus, Le bel automne est revenu Dans le brouillard, sans qu’on s’en doute, Il est venu par la grand’route Habillé d’or et de carmin. Et tout le long de son chemin, Le vent bondit, les pommes roulent, Il pleut des noix, les feuilles croulent. Ne l’avez-vous pas reconnu ? Le bel automne est revenu. * Raymond Richard |
Déposé par poutounou le 17/11/2019LE SILENCE DES MOTS * Si seulement il existait des mots qui sauraient te raconter, je trouverais les plus beaux ceux qui ne peuvent rien briser. * Je les placerais devant toi sur une tendre mélodie et ils t'exprimeraient ce que moi je n'ai encore jamais dit. * De ta tendresse et de ta douceur ils sont le lien qui nous unit car j'y ai trouvé dans ton coeur un amour infini. * Pourquoi donc cette solitude d'un coeur qui a tant souffert, vient blesser les habitudes comme si elles ne savaient que faire. * Ce matin je pense à toi et les mots dansent devant mes yeux, j'aimerais être contre toi plus un seul mot, rien que nous deux. * Dans le silence de chaque mot il y a tant de paroles et d'amour que tout ce que mon coeur trouve beau, grandit à chaque jour. * (Auteur inconnu) |
Déposé par Cupidon le 13/11/2019Les morts ne sont pas morts, les morts vivent encore Leurs tombes sont vides, n'enfermant que des corps Certains ont choisi l'ombre, ils errent et ils souffrent Attendant un appel pour sortir de leurs gouffres. Les autres que l'amour a libérés d'eux-mêmes Je les sais près de nous et je sais qu'ils nous aiment. Ne vous lamentez pas, ne pleurez pas sur eux Dans la lumière du cosmos ils sont heureux. Les morts ne sont pas morts, ils sont nés à nouveau Ils sont dans un jardin et non dans un tombeau Dans cet ailleurs si proche, ils nous voient, nous entendent Ils ne nous oublient pas, je sais qu'ils nous attendent L'ami attend l'ami, l'amante attend l'amant Et le fils sa mère, et la mère ses enfants Ne vous lamentez pas, près du fleuve de vie Ils oublient l'errance des âmes asservies. Les morts ne sont pas morts, ils sont près de vous Je sais des soirs troublants où ils viennent vers nous Leur vie est un firmament ruisselant d'étoiles Chaque étoile est une âme évadée de sa toile Ils ont si soif encore d'un amour infini Pensez à eux car la vraie tombe c'est l'oubli Ne vous lamentez pas, les pleurs sont des prières Mais vos douleurs en font des âmes prisonnières. Les morts ne sont pas morts, un soir ils me l'ont dit. Jean-Paul Sermonte |
Déposé par poutounou le 10/11/2019Jolie petite poésie * Donnez-moi des oiseaux, dit l’arbre, donnez-moi une foule d’oiseaux : des moineaux, des hirondelles, des étourneaux, des tourterelles, des merles, des mésanges et un coucou, un seul, comme un bijou, contre mon coeur. Couvrez-moi d’oiseaux, de toutes les couleurs afin que ce manteau de plume me tienne chaud pendant l’hiver quand mes feuilles, une à une, mortes, au vent cruel s’en sont allées. * Jean Joubert |
Déposé par Cupidon le 07/11/2019Cette nuit-là, je ne le vis pas se mettre en route. Il s'était évadé sans bruit. Quand je réussis à le rejoindre, il marchait, décidé, d'un pas rapide. Il me dit seulement : ― Ah ! Tu es là ... Et il me prit par la main. Mais il se tourmenta encore : ― Tu as eu tort. Tu auras de la peine. J'aurai l'air d'être mort, mais ce ne sera pas vrai ... Moi, je me taisais. ― Tu comprends. C'est trop loin. Je ne peux pas emporter ce corps-là. C'est trop lourd. Moi, je me taisais. ― Mais ce sera comme une vieille écorce abandonnée. Ce n'est pas triste les vieilles écorces. Le Petit Prince Antoine de Saint-Éxupéry |
Déposé par Cupidon le 01/11/2019Quand la mort s’en vient, la vie s’en va-t-elle vraiment ? Le départ d’un être cher est le début d’un beau voyage Quand une personne s’éteint son âme brille intensément Nos larmes et nos pleurs sont de l’amour en présage Les beaux messages de condoléances des amis sont des douceurs Des mots d’amitié pour nous aider à supporter l’intense douleur Les messages de condoléances nous rappellent que la mort n’est pas une fin Le décès d’un proche est une délivrance, une porte vers un nouveau demain A l’heure de l’enterrement d’un être aimé ayons le cœur plein d’amour Les souvenirs et les pensées nous rappellent l’importance d’aimer toujours Le linceul et le cercueil ne sont rien… L’âme s’envole vers le Paradis Nos belles prières et notre affection bercent le défunt, le couvrent de vie Envole-toi ! Nous gardons de toi un doux souvenir que rien n’effacera Ton enterrement nous rappelle le sens de l’existence, mourir est notre destin Mourir c’est vivre autrement dans un ailleurs une existence, un nouveau refrain Repose-toi le cœur en paix, notre deuil est beau, jamais on ne t’oubliera |
Déposé par poutounou le 01/11/2019En ce jour de Toussaint, je vous souhaite à tous de merveilleux souvenirs de ceux qui ne sont plus... * Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et tu es là, auprès de moi… !!! * QU'UN VOILE * Il n'y a qu'un voile, qu'un voile qui nous sépare. Il y a un souffle qui nous unit, celui des âmes, si doux, si fin, si persistant, "Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix. "Il n'y a que ce voile qui nous sépare et tu me sens parfois". Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et je suis là, auprès de toi ; tu m'entends rire, discourir de ce qui était. Désormais c'est un trésor au fond de toi. Il n'y a qu'un voile si fin pourtant si infranchissable, impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà. Nul ne doit savoir, on n'en revient pas, c'est l'éblouissant interdit. Mais, pour les cœurs, la frontière n'existe pas, l'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel. L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment. |
Déposé par poutounou le 27/10/2019Une maille à l’endroit, une maille à l’envers ! L’hiver approche à grands pas ! Sortons nos pelotes de laine… !!! * L’écureuil * Dans le tronc d'un platane Se cache une cabane. Un petit écureuil Est assis sur le seuil. Il mange des cerises, Tricote une chemise; Recrache les noyaux, Se tricote un maillot; Attaque les noisettes, Fait des gants, des chaussettes... Qu'importe s'il fait froid ! Tant pis si vient l'hiver ! Une maille à l'endroit, Une maille à l'envers : L'écureuil, fort adroit, Se fait des pull-overs. * Jean-Luc Moreau |
Déposé par poutounou le 20/10/2019Je brille sur tous les yeux en pleurs qu’aucun sommeil n’atteint. * Une voix du ciel * Je suis l'astre des nuits. Je brille, pâle et blanche, Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche, Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux Quand mes voiles d'argent s'étendent sur leurs eaux. Mes rayons vont chercher les fleurs que je préfère, Et font monter au ciel les parfums de la terre ; Je donne la rosée au rameau desséché, Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penché. Sitôt que je parais, tout se tait et repose, L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose : Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ; Devant mon doux regard nul n'élève sa voix, De la terre ou du ciel aucun son ne s'élance, J'arrive avec la nuit, et je règne en silence ! Je cache mes rayons quand le cri des hiboux Vient troubler mon repos et mon calme si doux. * Je suis l'astre des nuits ; je brille, pâle et blanche, Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche, Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint, Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint. |
Déposé par Cupidon le 20/10/2019Où sont-ils ? Dans l'ombre ? Oh non, c'est nous qui sommes dans l'ombre. Eux, sont à côté de nous, sous le voile, plus présents que jamais. Nous ne les voyons pas, parce que le nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient. Ils tiennent leurs beaux yeux pleins de lumière arrêtés sur nos yeux pleins de larmes. Ô consolation ineffable, les morts sont des invisibles, ce ne sont pas des absents. J'ai souvent pensé à ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent. Voici : c'est la foi en cette présence réelle et ininterrompue de nos morts chéris ; c'est l'intuition claire, pénétrante, que, par la mort, ils ne sont ni éteints, ni éloignés, ni même absents, mais vivants près de nous, heureux, transfigurés, et n'ayant perdu, dans ce changement glorieux, ni une délicatesse de leur âme, ni une tendresse de leur cœur, ni une préférence de leur amour, mais ayant au contraire, dans ces profonds et doux sentiments, grandi de cent coudées. Louis Victor Émile Bougaud Évêque de Laval |
Déposé par Cupidon le 17/10/2019Les morts ne sont pas morts, les morts vivent encore Leurs tombes sont vides, n'enfermant que des corps Certains ont choisi l'ombre, ils errent et ils souffrent Attendant un appel pour sortir de leurs gouffres. Les autres que l'amour a libérés d'eux-mêmes Je les sais près de nous et je sais qu'ils nous aiment. Ne vous lamentez pas, ne pleurez pas sur eux Dans la lumière du cosmos ils sont heureux. Les morts ne sont pas morts, ils sont nés à nouveau Ils sont dans un jardin et non dans un tombeau Dans cet ailleurs si proche, ils nous voient, nous entendent Ils ne nous oublient pas, je sais qu'ils nous attendent L'ami attend l'ami, l'amante attend l'amant Et le fils sa mère, et la mère ses enfants Ne vous lamentez pas, près du fleuve de vie Ils oublient l'errance des âmes asservies. Les morts ne sont pas morts, ils sont près de vous Je sais des soirs troublants où ils viennent vers nous Leur vie est un firmament ruisselant d'étoiles Chaque étoile est une âme évadée de sa toile Ils ont si soif encore d'un amour infini Pensez à eux car la vraie tombe c'est l'oubli Ne vous lamentez pas, les pleurs sont des prières Mais vos douleurs en font des âmes prisonnières. Les morts ne sont pas morts, un soir ils me l'ont dit. Jean-Paul Sermonte |
Déposé par LaFeePapillon le 14/10/20192 ans déjà... Je veux juste une dernière léchouille de toi, Juste un dernier câlin Toi & Moi, Juste sentir ton souffle chaud & froid, Juste te respirer encore une fois, Mais, je sais hélas qu'il n'y a plus d'espoir, Parce qu'aujourd'hui, il fait juste un peu plus noir... JE T'AIME MA PETITE FÉE 😘😘💚💓💜💋💋 TA Maman 🦋 |