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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
58 bougies
78365 Fleurs
Déposé par poutounou Je crois encore au paradis, mais ce n'est pas un endroit que l'on peut rechercher. Ce qui compte, c'est ce que l'on éprouve à l'instant où on l'atteint. Le bonheur de vous retrouver… !!! Déposé par poutounou Je crois encore au paradis, mais ce n'est pas un endroit que l'on peut rechercher. Ce qui compte, c'est ce que l'on éprouve à l'instant où on l'atteint. Le bonheur de vous retrouver… !!! Déposé par AMARY " Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c'est doux la nuit, de regarder le ciel." (Antoine de Saint-Exupéry) Déposé par colombine67 Où que tu ailles, qu'importe le temps que ça prend, je t'attendrai. Je t'aime, ton Chien |
5676 messages
Déposé par colombine67 le 09/08/2016 Je vais à la maison, mais je n'ai pas de maison ... oh love Je vais à la maison, mais je ne sais pas où elle est J'ai essayé d'être sans toi ... oh love Je suis perdu et je suis trahi Mais je suis en train de te flairer Et je suis en train de te chercher Mais je ne sais pas où tu es Très fatigué, fatigué au vent Il pleut déjà Il pleuvine Dans cette nuit seule Qui efface les pas et le temps M'efface moi, efface le monde Nuit ouverte que je n'ai plus fermée ... pour toi Appelle et peut-être t'entendrai-je Appelle fort car je suis perdu ... oh love Je suis trahi et je suis perdu Mais je suis en train de te chercher Je suis en train de te flairer Et je ne sais pas encore où tu es Très fatigué, fatigué au vent Il pleut déjà Il pleuvine Dans cette nuit seule Qui efface les pas et le temps M'efface moi, efface le monde Je regarde dehors Où va la route Des odeurs perdues (Viens, la nuit t'es ouverte) Cette nuit faite de portes, de caresses Et d'étoiles ouvertes de nuit J'ai besoin de quelqu'un à aimer Amour dans les mains du vent Il ne pleut pas Mais il est en train de pleuviner Dans cette nuit seule Qui efface les pas, qui efface le temps M'efface moi, efface le monde J'ai besoin d'avoir quelqu'un à aimer. |
Déposé par colombine67 le 08/08/2016Qui ne sait pas voler Mais chasse les oiseaux? Qui sous l'eau Ne sait pas respirer? Mais qui suis-je donc? Pour me croire le plus fort Pour me croire tout permis Me donner le droit de vie et de mort Devine, que dire encore? Je suis le moins humain Des animaux Je suis le pire Je pense à rien Qu'à sauver ma peau Pour ainsi dire Le plus sauvage Des fauves en cage Je suis de loin Le moins beau Qui invente la bombe? Qui se moque du monde Qui tue pour le plaisir de tuer? Mais qui suis-je donc Pour me croire au dessus De tous ceux que je tue Qui ne respecte rien ni personne Qui donc, si ce n'est l'homme Je suis le moins humain Des animaux Je suis le pire Je pense à rien Qu'à sauver ma peau Pour ainsi dire Le plus sauvage Des fauves en cage Je suis de loin Le moins beau Je suis le dernier Maillon de la chaîne Un moins que rien Un homme qui n'a Plus figure humaine Oui je suis bien Le plus sauvage Des fauves en cage Je suis de loin le moins beau A quoi me sert mon cerveau? CALOGERO |
Déposé par NathalieB le 07/08/2016J'ai écrit ton nom sur le sable, Mais la vague l'a effacé. J'ai gravé ton nom sur un arbre, Mais l'écorce est tombée. J'ai incrusté ton nom dans le marbre, Mais la pierre a cassé. J'ai enfoui ton nom dans mon cœur, Et le temps l'a gardé. |
Déposé par Biscuit le 07/08/2016La Deshumanisation de L'Etre Ils partagent avec nous cette vie sur la Terre Depuis la nuit des Temps, ils se cachent et se terrent, Ils sont devenus pour nous des produits et pourtant Lorsque l'on est seul, c'est vers eux que l'ont tend Nos coeurs si déçus par l'âpreté humaine Et que l'on reçoit en retour la bonté sans la haine. Tous ces animaux magnifiques que l'on tue Alors qu'on le sait, lorsqu'ils ne seront plus, Quand sur la Terre ne resteront que les hommes Créés à l'image de Dieu, mais en somme Diabolisés par leur désir de destruction inné, Ils n'en finiront plus de vouloir s'entre-tuer ! La planète était belle et harmonieuse Tant que la vie n'apporte cette nombreuse Humanité barbare et, hélas, tueuse ! Brigitte Bardot. |
Déposé par poutounou le 07/08/2016Malheureusement "Merci" est un mot qu'on entend trop rarement ! * Le blaireau sans gêne * Lui offrait-on quelque gâteau ? C’est simple il en réclamait deux. Devant un cadeau, ce blaireau Faisait la moue, remerciait peu. Partout il se sentait à l’aise Se glissant à la meilleure place. On le vit devenir obèse Mais toujours faisant la grimace. Un jour chez la Dame Belette Il dit un gros mot incongru ; Alors sa renommée fut faite : Désormais nul ne le reçut. Moralité Soyez polis, soyez courtois Dites bonjour, dites merci On vous recevra avec joie, Et vous aurez beaucoup d’amis * Yvon Danet Mes poésies préférées |
Déposé par colombine67 le 07/08/2016Une vie de chien : Je suis jeune et tout fou J'regarde passer les gens Jusqu'au fameux jour où Un couple et un enfant Se tiennent là devant moi Et me font les yeux doux Ils me prennent dans leurs bras Ça sent l'amour c'est fou Ils m'emmènent chez eux Me font plein de câlins C'est tellement chaleureux Qu'enfin je me sens bien Le temps s'est écoulé Aujourd'hui je suis grand Doux, sage, bien éduqué Plein de bons sentiments Un matin de soleil On part se promener La vie est une merveille Quand on est tant aimé Mais quel est cet endroit Et d'où viennent ces cris ? Comme est partie ma joie Je veux le faire d'ici Ma famille est partie Et ils m'ont laissé là J'ai peur alors je crie Mais nul n'entend ma voix Je vois passer des gens Ils posent on oeil sur moi Mais restent indifférents Aucun ne tend ses bras Quelques temps ont passé Et j'ai un peu vieilli Je suis un poil marqué Mais toujours plein de vie On me sort de cette cage On va se promener J'ai été tellement sage Qu'on revient me chercher...Mais Je freine des quatre pattes Je n' veux pas rentrer là Je n'veux pas qu'on m'abatte Je n'ai rien fait pour ça Ils me traînent et m'agrippent Je tremble de peur, d'effroi J'ai mal aux veines, aux tripes Ça doit être ce froid je n'vois presque plus rien Je n'entends plus les cris Voilà ma vie de chien Qui se termine ainsi Cette histoire si banale c'est l'histoire de Bo, s'il s'appelait ainsi, c'est parce que des gens lâches, le jour où ils l'achetèrent l'avait trouvé bien beau... Une vie de chien... par Jorge Selk |
Déposé par colombine67 le 06/08/2016 Ma chienne vivait peinarde en somme Jusqu'au jour où elle m'a choisi A la Société Protectrice des Hommes Au fond d'un immeuble moisi, Mes yeux l'imploraient en silence : S'il te plait, ne me laisse pas, J'aurai pour toi mille patiences Et je te suivrai pas à pas, Et je te suivrai pas à pas. Ma chienne m'emmène à la rivière Courir derrièr' des bouts de bois, J'en ai rapporté trois, hier, Je crois qu'elle était fière de moi, Et on s'est roulé sur la mousse, Ma truffe contre son nez froid, Mes pattes sur ses cuisses douces, Je ne suis qu'un enfant, j'ai froid, Je ne suis qu'un enfant, j'ai froid... Ma chienne patiemment me dresse, Sans jamais élever la voix, A coups de langue et de caresses, Depuis, je mords bien moins, je crois, Et quand je gronde de colère, Tout au fond de ses yeux je vois Que les fouets et les muselières Ne sont pas pour elle, mais pour moi, Ne sont pas pour elle, mais pour moi... Ma chienne, ô ma tendre maîtresse, Viens, raconte-moi ton histoire, Dis-moi vite, car le temps presse, A quoi tu penses dans le noir, Depuis des siècles que nous sommes Dans la même galère, toi et moi, Dis-moi pourquoi un petit d'homme Ça vaut bien moins qu'un chien, parfois, Ça vaut bien moins qu'un chien, parfois... Ma chienne, Henri Tachan |
Déposé par colombine67 le 05/08/2016Je vais te raconter mon histoire, je n’ai pas de nom, je suis de race Galgo, chien de chasse pour l’homme La vitesse dans le sang, le corps fuselé Je vivais avec 14 congénères dans un grand chenil J ’ai un an et la vie devant moi, Ma mère s’est échappée gestante et je suis né dans un parc Ils ont jeté mes trois frères contre un mur, je ne sais pas à quoi je dois la chance d'être resté en vie Je ne connais pas la compétition et je chasse les lièvres par instinct, on m’emmenait à la campagne tous les dimanches Un jour, le destin a gâché ma vie, une balle perdue m’a touché, la blessure n’a pas été mortelle Mais à partir de là, peu importait d’être fidèle ou d’être noble, Avec une corde au cou, ils m’emmenèrent près d’un chêne Le lendemain de l’accident, le sacrifice fut la solution à ma boiterie permanente Je suis un être humain, mû par l’instinct, j’ai lutté, je me suis échappé, apeuré et sans savoir où aller Depuis ce jour, je n’ai plus confiance, j’ai échappé à mon sort, En me nourrissant de pain dans une zone industrielle, en évitant les gens Avec la corde incrustée dans le cou, boitant de ma patte blessée mais pouvant marcher J'ai eu un moment de faiblesse un jour et je me suis réveillé dans une cage, bandé, avec à boire et à manger je suppose que c’est un refuge, désormais, ils me cherchent un maître Mais qui veut un galgo d'un an et qui boite Les gens veulent des chiens nains pour s’amuser Des races chères pour faire de l'élevage et des affaires J'offre une compagnie à celui qui voudra m’adopter, et toute ma reconnaissance, parce je connais la faim Signé un anonyme, un parmi tant d’autres Voici mon histoire, réfléchis, toi qui l'as écoutée |
Déposé par colombine67 le 04/08/2016 Je vais vivre entre 10 et 15 ans Si c’est pour me haïr, pour me faire souffrir, penses-y à deux fois avant de me prendre avec toi. Essaye de m’aimer tel que je suis, parce que ce n’est pas moi qui ai choisi ma condition. De même que je n’ai pas la possibilité de choisir amis ou maîtres. Accorde-moi du temps pour comprendre ce que tu veux de moi. Avant de me crier dessus, pour m’éduquer, est-ce toi qui te trompes ou est-ce moi qui n’ai pas compris ce que tu attends de moi. Chéris-moi, car je ne vis que pour cela. Ne te fâche pas contre moi, ne me punis pas. Tu as ton travail, tes amis, tes loisirs, moi je n’ai que toi. Parle-moi de temps en temps ! S’il te semble que je ne comprenne pas, sache que je sais ce que tu penses, ce que tu ressens. Rappelle-toi que jamais je n’oublierai la manière dont tu te comportes avec moi. Avant de me frapper, pense que je pourrais te mordre, mais jamais je ne ferais une chose pareille. Quand je ne suis encore qu’un chiot, ne me considère pas comme un jouet, dont tu te débarrasseras, lorsqu’il ne te sera plus d’aucune utilité Car mon amour pour toi sera éternel. Prends soin de moi alors que je vieillirai, que je serai édenté, que je serai sourd, que je ne pourrai plus marcher. Quelqu’un, à son tour, prendra soin de toi, car la vieillesse est la même pour tous. Accompagne-moi pour mon dernier voyage. Ne dis jamais « C’est plus fort que moi, je ne peux regarder » ou « Arrangez-vous pour que je ne sois pas présent ». A tes côtés, tout est plus facile. Ceci sera la contrepartie à la fidélité, au dévouement dont j’ai toujours fait preuve à ton égard. Quand je ne serai plus là, ne sois pas triste, au contraire, essaye de rendre heureux un autre chien et aime-le comme tu m’as aimé. |
Déposé par NathalieB le 03/08/2016POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière. Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous. Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes. Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. » J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu… Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité. Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur. Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne… On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon. Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !... Tu n’es jamais venu ! Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI ! P’tit Loup Il mourut un 24 décembre Cause du décès : Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé ! |
Déposé par nikita le 03/08/2016Mon PUNKY d'amour Comme le jour qui se lève après la nuit, Je te cherche à l'infini Depuis que tu es loin de moi Je vois partout ton image Même lorsque je suis loin Tu fais partie du voyage Maintenant que tu es loin de moi Je ressent toujours tant de peine Non personne ne te remplacera, Dans mon cœur tu resteras le roi je t'ai tellement aimé Et toi tu m'as tant donné Que toute ma vie à toi je penserai Un nouveau jour viendra Ou nous deux on se retrouveras Dans ton ciel tout là haut Et ce jour là j'embrasserai ton beau museau Je ne t'oublies pas mon PUNKY adoré Tu es toujours à mes cotés Doux baisers sur ta belle truffe tant aimé |
Déposé par colombine67 le 03/08/2016 POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière. Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous. Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes. Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. » J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu… Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité. Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur. Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne… On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon. Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !... Tu n’es jamais venu ! Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI ! P’tit Loup Il mourut un 24 décembre Cause du décès : Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé ! |
Déposé par poutounou le 02/08/2016Très joli texte interprété par Maurane et Lara Fabian * Tu Es Mon Autre * Ame ou soeur Jumeau ou frère De rien mais qui es-tu Tu es mon plus grand mystère Mon seul lien contigu Tu m'enrubannes et m'embryonnes Et tu me gardes à vue Tu es le seul animal de mon arche perdue * Tu ne parles qu'une langue, aucun mot déçu Celle qui fait de toi mon autre L'être reconnu Il n'y a rien à comprendre Et que passe l'intrus Qui n'en pourra rien attendre Car je suis seule à les entendre Les silences et quand j'en tremble * Toi, tu es mon autre La force de ma foi Ma faiblesse et ma loi Mon insolence et mon droit Moi, je suis ton autre Si nous n'étions pas d'ici Nous serions l'infini * Et si l'un de nous deux tombe L'arbre de nos vies Nous gardera loin de l'ombre Entre ciel et fruit Mais jamais trop loin de l'autre Nous serions maudits Tu seras ma dernière seconde Car je suis seule à les entendre Les silences et quand j'en tremble * Toi, tu es mon autre La force de ma foi Ma faiblesse et ma loi Mon insolence et mon droit Moi, je suis ton autre Si nous n'étions pas d'ici Nous serions l'infini * Et si l'un de nous deux tombe |
Déposé par colombine67 le 02/08/2016ous les départs sont tragiques surtout s’il s’agit d’un proche, surtout s’il s’agit de notre compagnon. Il y a dans la mort, quelque chose de net, de tranchant, d’irrémédiable, qui fait mal, terriblement mal. A chaque fois que l’on y est confronté, on ne peut que s’étouffer dans un sanglot et déclarer : « C’est la vie !! » Quelle ironie… c’est pourtant bien de la mort, dont il s’agit. Elle frappe de manière toujours si injuste, que rien ni personne ne peut l’expliquer. Oh, certes, on peut invoquer les limites de la médecine, l’âge avancé, l’accident de parcours, mais en définitive, ce ne sont que des mots, pas même un baume pour nos maux. La douleur est là. Tantôt éclatante, tantôt insidieuse, elle reste tapie. On se repasse en boucle les moments partagés, les regards échangés, pour ne rien oublier, pour encore, dans un dernier élan, tenter de garder en nous le souvenir de sa présence. Certains, comme je les comprends, institueront une sorte de rituel. L’écuelle restera encore longtemps au même endroit, le doudou en évidence sur le fauteuil. Ils se surprendront à rester là, debout, désemparés, les bras ballants dans le vide le plus total, le grand vide que sa disparition aura laissé. Comme on voudrait le serrer encore contre nous, sentir son souffle, lui faire les câlins dont il était si friands. Comme on voudrait avoir su, que cela aurait été si court, même au bout de dix ans, même au bout de quinze ans. Comme on aurait voulu… et comme on ne pourra jamais plus. J’ai une amie, très chère, qui est persuadée qu’une fois là-haut, elle les verra tous courir vers elle, jeunes et beaux comme au premier jour et les larmes versées seront oubliées pour l’éternité. Je sais, au plus profond de moi, qu’elle dit vrai. |
Déposé par colombine67 le 01/08/2016Une vie de combats qui se termine à la fourrière. Humilié, cassé, sans foi en l’homme… La faute à son maître. Par cette triste journée, j’ai décidé de rester seule avec toi. Nous ne nous connaissons pas, jamais nos regards ne se sont croisés et pourtant, aujourd’hui, je sais que je dois m’asseoir en face de toi. Et c’est cette après-midi et pas une autre, parce que demain, demain…tu ne seras plus. Ils vont t’ôter la vie, et en silence, tu hurles pour qu’ils le fassent. Le soir est en train de tomber, l’horizon rougit, pareil au filet de sang qui coule le long de ta commissure. C’est vrai, tu fais peur Il te manque un œil et je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance que tu as dus éprouver lorsque tu le perdis durant l’un de tes combats clandestins où tu t’étais retrouvé embarqué, bien malgré toi par ces sadiques. Contraint à te battre, contraint à tuer… Une lutte acharnée, une lutte à mort, coups de dents de toute part, la chair en lambeaux. Vous, pauvres malheureux, au service de démons travestis en idoles. Je ne peux ni ne veux imaginer tous les moments qui ont jalonné ces treize années de ta sombre existence. Trop d’amertume. Pourtant tu as dû être pour tes bourreaux un « champion », un grand et bel « exemplaire », tu l’es encore d’ailleurs. De bonne corpulence, doté « d’une belle mâchoire », c’est bien comme cela qu’ils te préfèrent ces sanguinaires, n’est-ce pas ? Maintenant, derrière les barreaux de la fourrière, tu te tiens devant moi, vieux, malade, cassé. Tu me regardes fixement avec ton unique œil, impassible, hiératique, fatigué par une vie qui a été si injuste avec toi. Parfois, je ne parviens plus à soutenir ton regard. Tu en imposes, je suis troublée et à la fois je suis empreinte d’une grande compassion à ton égard. Ils t’ont rendu malheureux… Assise en face de toi, l’après-midi se meurt, triste et belle à la fois, teintée de sang avec une ligne blanche à l’horizon. Toi et moi, savons que cette ligne c’est celle du jour à venir. C’est la ligne de l’espoir, la fin de ta douleur, de ta souffrance. Vieux, résigné, blessé et méfiant…. Tu as raison de ne plus faire confiance, personne ne t’a aidé. A part des coups, des insultes, qu’as-tu jamais reçu ? Je n’ai même pas tenu à connaître ton nom, ce nom d’assassin dont tu as été affublé, avec lequel ils t’ont crié dessus et frappé. Aujourd’hui, je t’ai appelé Gabriel Ce sera notre secret. Rien que pour nous. Gabriel comme l’ange déchu que tu es. Et tu continues à me regarder, c’est étrange, tu me regardes si profondément…. Je sais. Il n’est pas difficile de comprendre que pour toi, tout n’est plus qu’indifférence. Toi-même tu n’espères même plus que quelque chose de bon puisse t’arriver, que quelqu’un puisse te donner ne serait-ce qu’une caresse. Tu n’espères plus rien de personne et je sais que lorsqu’ils viendront te chercher demain pour t’endormir pour toujours, je sais que tu ne tenteras même pas d’échapper à la mort amie. Vous les chiens, qui flairez la mort à distance…. Tu sais, à présent, que ce sera le seul acte d’amour des Hommes à ton encontre. L’après-midi s’achèvera dans la fourrière et toi et moi, nous continuerons à nous regarder, seuls. Les autres chiens se taisent, peut-être par respect pour ce moment d’adieux… Je te regarde une dernière fois, totalement angoissée, défaite et dans un filet de voix, je t’appelle tendrement. Mais tu es dans l’incapacité de bouger ne serait-ce qu’un muscle de tout ce corps las. Rien en toi n’est plus capable de communiquer, aucun mouvement de la queue, aucun mouvement de tes oreilles mutilées. Je me relève et tu me suis du regard. Je place dans un coin de ta geôle, un petit matelas. C’est l’unique cadeau que je peux encore te faire. Tu seras confortable pour ta dernière nuit. Tes os usés ne ressentiront pas le froid. Ton dernier regard me remercie. J’aurais tellement voulu t’aider davantage, mais je suis arrivée trop tard. J’espère que tu le comprendras. D’un pas lent, tu te diriges vers le matelas, tu te couches et tu t’endors. Peut-être tes rêves te conduiront-ils vers l’Arc-en-ciel ? Dors petit ange déchu. Repose-toi et demain, à ton réveil, ne vois, l’espace d’un instant, que la féerie des couleurs et quitte pour toujours ce monde de ténèbres dans lequel ils t’ont plongé. La nuit est tombée. L’horizon rougeoyant s’en est allé, mais dans le ciel sombre la ligne blanche frémit encore : ta dernière espérance. |
Déposé par rafia le 01/08/2016Assaut de Saint-Denis: mais qui a vraiment tué le chien du RAID? Actualité Société Par Jérémie Pham-Lê, publié le 12/07/2016 à 18:58 , mis à jour le 13/07/2016 à 00:34 Dans un climat de terreur sidérante, l'annonce de sa mort avait entraîné une vague d'indignation, parfois amusée, sur les réseaux sociaux. Diesel, jeune malinois de 7 ans, a été tué le 18 novembre au cours de l'assaut policier contre l'appartement "conspiratif" de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où étaient retranchés plusieurs terroristes du 13 novembre, dont Abdelhamid Abaaoud. Près de huit mois après, les responsables du meurtre de ce chien d'élite du RAID ne sont pas formellement identifiés. Interrogé le 8 mars par la commission d'enquête parlementaire sur les attentats de 2015, le patron de l'unité, Jean-Michel Fauvergue, a réaffirmé que ce sont les djihadistes qui ont abattu l'animal et que ce dernier n'a pas été victime d'une erreur des policiers. "Nous en avons la certitude. Il est enterré à Bièvres, et nous sommes prêts à le déterrer quand on nous le demandera. Ce serait dommage pour les maîtres-chiens qui ont quasiment construit un mausolée. Ce que les journalistes ont raconté à ce sujet était aberrant et énervant", a-t-il déclaré, selon un compte-rendu publié ce mardi. Doutes sur l'arme à l'origine de la mort Le chef du RAID, qui s'est depuis astreint à un silence médiatique total, répond là aux critiques émises par plusieurs journaux contre sa communication les jours suivant les tueries parisiennes. Il avait été accusé d'enjoliver son récit de l'assaut de Saint-Denis, voire de mentir sur certains points. Au Figaro, il avait notamment expliqué que Diesel avait été tué à "la Brenneke", une cartouche de fusil de chasse. Or, aucune arme de ce type n'a été utilisé par les terroristes: seul un revolver 9 mm et des éclats de grenade ont été retrouvés dans les gravats. Et, comme le souligne un expert balistique dans un reportage d'Envoyé spécial, un tel fusil possède un bruit caractéristique qu'il est impossible de le confondre avec un petit calibre. Pire, il est parfois utilisé par les policiers. Aucune autopsie pratiquée Dans la confusion des échanges de coups de feu, le RAID a-t-il abattu son propre chien? "Cette question n'a pas été tranchée. Cela reste des affirmations des uns et des autres", explique à L'Express un membre de la commission d'enquête, reconnaissant que le sujet des incohérences de l'assaut n'a pas été creusé. Une simple autopsie aurait permis de lever le mystère. Mais ni les juges d'instruction, ni le parquet à l'époque n'ont jugé utile de l'ordonner, sans doute en raison de la nature "animale" de la victime. Une telle opération se déroule pourtant à l'école vétérinaire et non à l'institut médico-légal de Paris (IML), surchargé alors par les 130 victimes des attaques à identifier. Elle n'aurait guère coûté de temps. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------- Selon une source médicale, proche du RAID : ----------------------------------------------------------------------------------------------------------- Interrogée par L'Express, une source médicale qui était présente lors de l'assaut corrobore en partie la version du RAID. "Ce sont les terroristes qui l'ont tué. Lorsque le chien est rentré dans l'appartement, il a tourné dans un coin à droite inaccessible aux balles des policiers. Nous avons ensuite entendu trois détonations", développe-t-elle. - Selon cette source, le patron de l'unité d'élite n'a pas pu voir la dépouille de Diesel, ce qui expliquerait les incohérences de son discours. L'appartement était inaccessible à cause des dégâts de l'assaut et il a fallu attendre plusieurs jours, et l'intervention d'une société privée spécialisée, pour extraire l'animal. Le RAID était déjà parti depuis longtemps. - "Le chien avait au moins une balle dans la tête et cela ne pouvait pas être une cartouche Brenneke tirée à bout portant, sinon son corps ne serait pas resté entier. Par ailleurs, si ce type d'arme est utilisé par les policiers, ce serait pour ouvrir une porte, pas pour neutraliser des terroristes", poursuit-elle. Impossible donc, dans cette hypothèse, que Diesel ait pris une balle perdue de ses maîtres. ___________________________________________________________________________________ Ds le FIGARO, le Chef du RAID déclare : "Après un long moment sans tir, on décide d'envoyer un chien pour qu'il fasse une reconnaissance des lieux. Malheureusement, Diesel, un chien d'attaque, est tué à la Brenneke". IMPOSSIBLE comme mentionné pr un expert en balistique...Le corps de DIESEL n'aurait pas été entier !!! Et à savoir...le RAID emploie ce fusil..pr "défoncer" les portes !!! Pr contre les terroristes n'avaient pas en leur possession ce type de fusil...c'est prouvé. Jean-Michel Fauvergue, directeur du Raid..serait-il un menteur patenté !!!??? et pourquoi ??? __________________________________________________ |
Déposé par rafia le 01/08/2016VIDEO. Envoyé spécial. "Sens caché" : l'assaut de Saint-Denis Le 18 novembre dernier, après les attentats de Paris, les policiers du Raid lancent l’assaut contre un appartement de Saint-Denis. "Envoyé spécial" fait des révélations sur les coulisses de cette opération aux nombreuses zones d'ombre. C'est le "Sens caché" du 21 avril 2016. A voir en urgence !!! |
Déposé par rafia le 01/08/2016Assaut de Saint-Denis: mais qui a vraiment tué le chien du RAID? Actualité Société Par Jérémie Pham-Lê, publié le 12/07/2016 à 18:58 , mis à jour le 13/07/2016 à 00:34 Dans un climat de terreur sidérante, l'annonce de sa mort avait entraîné une vague d'indignation, parfois amusée, sur les réseaux sociaux. Diesel, jeune malinois de 7 ans, a été tué le 18 novembre au cours de l'assaut policier contre l'appartement "conspiratif" de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où étaient retranchés plusieurs terroristes du 13 novembre, dont Abdelhamid Abaaoud. Près de huit mois après, les responsables du meurtre de ce chien d'élite du RAID ne sont pas formellement identifiés. Interrogé le 8 mars par la commission d'enquête parlementaire sur les attentats de 2015, le patron de l'unité, Jean-Michel Fauvergue, a réaffirmé que ce sont les djihadistes qui ont abattu l'animal et que ce dernier n'a pas été victime d'une erreur des policiers. "Nous en avons la certitude. Il est enterré à Bièvres, et nous sommes prêts à le déterrer quand on nous le demandera. Ce serait dommage pour les maîtres-chiens qui ont quasiment construit un mausolée. Ce que les journalistes ont raconté à ce sujet était aberrant et énervant", a-t-il déclaré, selon un compte-rendu publié ce mardi. Doutes sur l'arme à l'origine de la mort Le chef du RAID, qui s'est depuis astreint à un silence médiatique total, répond là aux critiques émises par plusieurs journaux contre sa communication les jours suivant les tueries parisiennes. Il avait été accusé d'enjoliver son récit de l'assaut de Saint-Denis, voire de mentir sur certains points. Au Figaro, il avait notamment expliqué que Diesel avait été tué à "la Brenneke", une cartouche de fusil de chasse. Or, aucune arme de ce type n'a été utilisé par les terroristes: seul un revolver 9 mm et des éclats de grenade ont été retrouvés dans les gravats. Et, comme le souligne un expert balistique dans un reportage d'Envoyé spécial, un tel fusil possède un bruit caractéristique qu'il est impossible de le confondre avec un petit calibre. Pire, il est parfois utilisé par les policiers. Aucune autopsie pratiquée Dans la confusion des échanges de coups de feu, le RAID a-t-il abattu son propre chien? "Cette question n'a pas été tranchée. Cela reste des affirmations des uns et des autres", explique à L'Express un membre de la commission d'enquête, reconnaissant que le sujet des incohérences de l'assaut n'a pas été creusé. Une simple autopsie aurait permis de lever le mystère. Mais ni les juges d'instruction, ni le parquet à l'époque n'ont jugé utile de l'ordonner, sans doute en raison de la nature "animale" de la victime. Une telle opération se déroule pourtant à l'école vétérinaire et non à l'institut médico-légal de Paris (IML), surchargé alors par les 130 victimes des attaques à identifier. Elle n'aurait guère coûté de temps. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------- Selon une source médicale, proche du RAID : ----------------------------------------------------------------------------------------------------------- Interrogée par L'Express, une source médicale qui était présente lors de l'assaut corrobore en partie la version du RAID. "Ce sont les terroristes qui l'ont tué. Lorsque le chien est rentré dans l'appartement, il a tourné dans un coin à droite inaccessible aux balles des policiers. Nous avons ensuite entendu trois détonations", développe-t-elle. - Selon cette source, le patron de l'unité d'élite n'a pas pu voir la dépouille de Diesel, ce qui expliquerait les incohérences de son discours. L'appartement était inaccessible à cause des dégâts de l'assaut et il a fallu attendre plusieurs jours, et l'intervention d'une société privée spécialisée, pour extraire l'animal. Le RAID était déjà parti depuis longtemps. - "Le chien avait au moins une balle dans la tête et cela ne pouvait pas être une cartouche Brenneke tirée à bout portant, sinon son corps ne serait pas resté entier. Par ailleurs, si ce type d'arme est utilisé par les policiers, ce serait pour ouvrir une porte, pas pour neutraliser des terroristes", poursuit-elle. Impossible donc, dans cette hypothèse, que Diesel ait pris une balle perdue de ses maîtres. ___________________________________________________________________________________ Ds le FIGARO, le Chef du RAID déclare : "Après un long moment sans tir, on décide d'envoyer un chien pour qu'il fasse une reconnaissance des lieux. Malheureusement, Diesel, un chien d'attaque, est tué à la Brenneke". IMPOSSIBLE comme mentionné pr un expert en balistique...Le corps de DIESEL n'aurait pas été entier !!! Et à savoir...le RAID emploie ce fusil..pr "défoncer" les portes !!! Pr contre les terroristes n'avaient pas en leur possession ce type de fusil...c'est prouvé. Jean-Michel Fauvergue, directeur du Raid..serait-il un menteur patenté !!!??? et pourquoi ??? ___________________________________________________________________________________________________ |
Déposé par colombine67 le 31/07/2016Tu n'as pas besoin de parler pour que je te comprenne. C'est ton regard qui parle, c'est ton silence qui parle. Et le jour quand tu mourras, doux et fidèle ami, Tes yeux vert olive continueront de me regarder De là-haut, à l'instar d'une étoile enveloppée de tranquillité. Ta race n'a pas d'importance, ton nom n'a pas d'importance, Ta vie si courte que tu présentes à l'homme C'est la fidèle offrande de cet amour sans retenue Qui se trouve dans ton regard de flamme allumée Jusqu'au jour dernier et ignoré de ta triste vie. |
Déposé par ovanek le 30/07/2016💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 Mon Cœur est ta demeure ton Cœur est ma Pensée ces pensées sont notre amitié celle qui nous unis à l'infini 💖 💖 💖 |
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