En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012


En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de PUNKY du Moulin de Labatut a été vue  936 557  fois.
936 557 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
 


18 personnes aiment cette page
 

Connectez vous pour poster un message, une fleur ou allumer une bougie
Votre pseudo        Mot de passe       


En hommage à PUNKY du Moulin de Labatut

Mon tendre chéri,

Il n'y aura pas eu le miracle tant espéré, tu viens de ns quitter ns laissant, Papa, les enfants, et moi, totalement anéantis par la douleur.
Ns sommes aussi inquiets pr ton copain de tjrs, le petit Rock, car il réagit très mal à ton départ.
Toi, qui n'était qu'Amour il a fallu que cette tumeur de l'aine énorme et hélas, cancéreuse, t'emporte. Sa progression a été fulgurante. Combien j'ai redouté son ablation en raison de ton âge...mais il était impossible de la laisser encore se développer, tu n'aurais pu plus marcher.(* plus tard, ns apprendrons qu'il ne fallait surtout pas faire l'ablation de cette tumeur !!!)


Le 5 juin, jour fatidique de l'opération..j'ai angoissé jusqu'à ton retour à la maison. Mais tu semblais avoir bien supporté l'opération et le Dr Jean Sacal avait dit à papa que ton comportement avait été exemplaire.
Le 11 juin, papa doit te ramener, en urgence, chez Jean car tu sembles souffrir, tu pleures.

Je ne suis pas présente, retenue, loin, à cause de ma santé.....plus tard papa me dira que ce jour là, le Dr Sacal, te fera le cocktail-miracle qu'il injectait à Rafia...ladite médication lui ayant permis de vivre 21 mois, avec un diabète très grave, résistant à l'Insuline.( * et là aussi...ns apprendrons, plus tard..que tout ce qui devait être mis en place pr la petite Rafia...ne l'avait pas été...par ignorance des vétos...Sacal et Maupommé.

Mais pr toi...c'est l'échec total et la consternation de Jean Sacal qui dira à papa "qu'il ne peut plus rien faire"...
Le 12, au matin, tu demanderas à manger à papa...Tu mangeras 1 steack hâché plus des haricots verts, car tu refuses tes croquettes; Le soir, tu remangeras un autre steack, tjrs hâché.

Le 13...tu n'as pas d'appétit...1/2 steack hâché pr la journée et tu vomis bcp à 23 h.
Le 14...ce n'est pas mieux : 1/2 steack hâché (soit 50g) et...20 g d'haricots verts..le tout pr la journée. Papa me dira qu'au jardin...tu as "coursé", le long de la clôture, comme à ton habitude, camions et tracteurs.

Le 15 papa te ramène chez le Sacal, qui lui dit, :que "tu es condamné".
Tu refuses toute nourriture même tes friandises que tu adores...
Papa réussit à te faire manger..3 bouchées de steack hâché que tu vomis.

tu voudrais bien manger, tu en as l'envie, mais tu ne le peux pas;..des ulcères ds la bouche ???

Le 16, papa a l'idée,approuvée par Sacal de te donner, à l'aide d'une seringue un petit pot "bébé" de pois/jambon...tu en mangeras 150g/pr la journée.

Le 17...tu mangeras 100 g de fromage blanc à 20 %...que tu adores...et que tu avais découvert avec Rafia qui en consommait 3 pots/jou !. Mais toi, c'est tjrs à la seringue. tu accepteras aussi, en plusieurs fois, de manger 150 g de petit pot "bébé".

C'est la fête des Pères, ns sommes ts réunis et toi, tu sembles content d'être avec ns....même si je te trouve faible. Mais ce jour-là, tu remues à nouveau ta queue et je prends cela pr une bonne nouvelle.

Mais le soir venu...rien ne va plus...vomissements itératifs + diarrhée.
Et là, mon Punky dit "Titi", il faut que je loue ta propreté exceptionnelle, tu demanderas tjrs à sortir. La nuit, tu veux aussi sortir et c'est moi qui m'occupe de toi; Je te prends ds mes bras, pr remonter les marches de la terrasse...

18 juin...c'est la catastrophe...tu vomis même le peu d'eau que tu bois..car Sacal dit : qu'il faut te restreindre en eau..que tu voudrais boire en grosse quantité à cause du taux d'urée si important.

La nuit du 18 au 19...ns la passons ensemble, isolés ds une autre chambre pr ne pas empêcher papa de dormir... Paramour s'invitera et demeurera avec ns jusqu'à 4 h....et Rock, qui est aussi là...lui, il restera jusqu'à 7 h, au lever de papa..
A partir de minuit, je te donne à boire, par très petites quantités et je "crie" à la victoire...car tu ne vomis plus...

Toute cette nuit, tu la passeras à naviguer; A plusieurs reprises, je te prends, avec moi, sur un canapé..je te caresse, je te dis combien je t'aime..et je retiens mes larmes...mais toi, tu refuses de rester et tu demandes très vite, à redescendre, alors je t'aide.

Tu sembles agité...je vois bien que tes pattes ont de la peine à te porter mais toi, tu restes debout, tu marches encore et encore...ce qui m'angoisse car cette attitude me rappelle avec frayeur...le départ de la petite Rafia.
A 10 heures...tes pattes se dérobent...tu tombes à terre.....mais tu pars, tout de même, en laisse, avec papa


Papa, qui t'amène, comme convenu... pr le retrait des points de suture...

Sacal tente de te faire un nouveau protocole qu'il t'injecte pr faire chuter l'urée...et tu reviens à la maison. (* ns ne saurons jamais la "recette" de ses cocktails..magiques"...OU maudits !!!)

Tu voudrais bien boire...tu ne le peux pas. Tu n'arrives même plus à tenir ta belle petite tête......Tu ne peux tjrs pas tenir sur tes pattes alors papa te met sur notre lit. Il est 11 heures...Je ne te quitterai plus...je te couvre de bisous..je te caresse...je te dis combien ns t'aimons, combien tu ns es précieux...combien ns te remercions de tout l'amour que tu ns a donné durant 12 ans et 6 mois...mais tu ne m'entends plus, tu es ds un état semi-comateux...Tes beaux yeux sont fixes...de temps en temps tes pattes s'agitent nerveusement...et tu respires vite.
Toi..qui étais tout en muscles...on aurait dit que tes muscles avaient fondu.
Sacal ( boucher plus que véto!) a prévenu, qu'au stade final, tu aurais des convulsions assorties de souffrances...alors, il est 15 h 30, ns prenons la décision qui s'impose, ...un dernier acte d'Amour...pr toi notre Punky adoré...celui de te faire aider à partir...et la tragique échéance intervient à 16 h...
Mon Punky ..notre Punky adoré...comme tu ns manques !!!

--------------------------

Mon Titi d'Amour

Je me dois, mais surtout je TE DOIS d'apporter les rectifications qui s'imposent. Lorsque confrontés à l'état alarmant de Rock, qui ne se nourrissait plus, qui avait cette "grosseur" impressionnante, au bas du dos..ns avons décidé de demander un autre avis ( et merci au véto de garde de Cavignac, qui sans que cela soit volontaire...ns a fait opter pr ce choix.

En effet, c'est son comportement qui ns a bcp surpris : il était de garde..mais n'étant pas au Cabinet...cela le dérangeait d'y venir et ensuite, papa a pu se rendre compte...combien vs le dérangiez, avec cette urgence, pourtant justifiée).
Puisqu'il a eu l'audace de refuser l'urgence...

Il fallait donc voir un autre véto....qui lui, daigne s'occuper de RocK.

Pr Rock...nouveau diagnostic, et une prise en charge remarquable du vétérinaire que ns avons choisi pr continuer de suivre Rock et Paramour.
Et une amélioration spectaculaire, en peu de temps de l'état de Rock..à qui, il a sauvé la vie.

A la suite de cette visite et de celles qui suivront, ns apprendrons, consternés, que ns avions voué une confiance AVEUGLE, à deux vétos, qui ne méritaient pas cette confiance....dont l'un se prétendait...être notre ami !!!
Mon Titi d'Amour, l'un et l'autre savaient pertinemment que l'on opère pas ce type de cancer chez un sujet de ton âge. Et surtout, on occulté l'ablation qu'il y avait à faire...-et qui n'a pas été faite, ce qui a généré ce maudit cancer- ...devait l'être avant tes 4 ans/...et là...tu en avais déjà 12 et demi !!!
Et puis...pas d'anesthésie au gaz...pourquoi ???

Tu ne souffrais pas, alors pourquoi cette décision infâme de vouloir t'opérer ???Pr ce qu'elle rapportait, financièrement !
Jean Sacal a sacrifié ta VIE...pr un profit financier , non négligeable !!!

Il aurait suffi de te laisser vivre, en PAIX, le temps qu'il te restait, avant que n'interviennent les souffrances...cela aurait pu encore durer des mois...

Puis, le moment venu...ns aurions pris la décision qui se serait imposée....mais ton départ n'aurait pas été aussi tragique !!!

Ns n'avons jamais su...quels produits contenaient les "cocktails magiques"...OU maudits" qui t'ont été injectés...les mêmes que la petite Rafia.

C'est comme toutes les injections qui étaient pratiquées....avec de la Cortisone pr petit Rock aussi....alors que la Cortisone avaient des effets secondaires néfastes sur son petit coeur. Cette Cortisone employée pr TOUT soigner...ou plutôt pr TOUT empirer.

Pr les dermatoses de Rock...ns en étions arrivés à le faire désensibiliser....tous les 15 jours, pr rien. C'est dramatique l'inconséquence de certains vétos !!!
Ils n'ont pas choisi la bonne voie professionnelle...ils auraient du être...bouchers!!!

Pourtant la pharmacopée vétérinaire ne contient pas que de la Cortisone...mais il faut se donner la peine de suivre l'évolution des produits...mais aussi de pratiquer les analyses nécessaires..;d'utiliser tout le matériel adéquat...Echographie...IRM..Doppler..etc.

Mais...lorsque l'on ne possède pas ce matériel d'investigation...et bien question "profit";..l'on rechigne à solliciter les confrères....ns l'avons appris, HELAS, trop tard pr toi...trop tard, pr la petite Rafia.

Mais ns....parfaits crétins...ns continuions à faire confiance...à "gober", le peu qui ns était expliqué. Pr ns...ces vétos étaient géniaux..avec un comportement des plus amicaux.

Et puis..j'ai aussi appris, incrédule......que Sacal avait eu un geste déplacé, lorsqu'une fois que tu gisais ...mort, sur sa table...il allait te saisir par le cou...pr te jeter ds un sac plastique....comme l'on jette une vulgaire poche à ordures !!!
C'est le regard désapprobateur de l'assistante, conjugué à celui de papa..tout aussi sidéré...qu'il s'est enfin repris...mais pr papa c'était trop tard...car cela laissait deviner la réelle personnalité de ce vétérinaire.

Voilà mon Titi chéri, il ne ns reste que les regrets, regrets éternels qui ns rongent; Pourtant ns avons tjrs TOUT fait, pr vs TOUS, nos petits trésors et peu importe les factures vétérinaires à payer. Ns n'avions qu'une seule demande...."faire tout ce qui était possible...afin de vs préserver la vie".

Et j'oubliais...il fallait être..crétin, pr nier que ce soit un cancer...n'est-ce pas Jean Sacal??? (que le diable l'emporte)!!! Alors que Stéphanie, une des assistantes....avait "vendu la mèche", involontairement......comme l'on dit, familièrement.

Tu ns manques tant mon Titi d'Amour !!!




58 bougies

78365 Fleurs
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Je crois encore au paradis, mais ce n'est pas un endroit que l'on peut rechercher. Ce qui compte, c'est ce que l'on éprouve à l'instant où on l'atteint. Le bonheur de vous retrouver… !!!
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Je crois encore au paradis, mais ce n'est pas un endroit que l'on peut rechercher. Ce qui compte, c'est ce que l'on éprouve à l'instant où on l'atteint. Le bonheur de vous retrouver… !!!
Déposé par AMARY
Déposé par AMARY
" Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c'est doux la nuit, de regarder le ciel." (Antoine de Saint-Exupéry)
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Où que tu ailles, qu'importe le temps que ça prend, je t'attendrai. Je t'aime, ton Chien
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral


5676 messages

Déposé par colombine67 le 09/08/2016  
Je vais à la maison, mais je n'ai pas de maison ... oh love
Je vais à la maison, mais je ne sais pas où elle est
J'ai essayé d'être sans toi ... oh love
Je suis perdu et je suis trahi
Mais je suis en train de te flairer
Et je suis en train de te chercher
Mais je ne sais pas où tu es
Très fatigué, fatigué au vent
Il pleut déjà
Il pleuvine
Dans cette nuit seule
Qui efface les pas et le temps
M'efface moi, efface le monde
Nuit ouverte que je n'ai plus fermée ... pour toi
Appelle et peut-être t'entendrai-je
Appelle fort car je suis perdu ... oh love
Je suis trahi et je suis perdu
Mais je suis en train de te chercher
Je suis en train de te flairer
Et je ne sais pas encore où tu es
Très fatigué, fatigué au vent
Il pleut déjà
Il pleuvine
Dans cette nuit seule
Qui efface les pas et le temps
M'efface moi, efface le monde
Je regarde dehors
Où va la route
Des odeurs perdues
(Viens, la nuit t'es ouverte)
Cette nuit faite de portes, de caresses
Et d'étoiles ouvertes de nuit
J'ai besoin de quelqu'un à aimer
Amour dans les mains du vent
Il ne pleut pas
Mais il est en train de pleuviner
Dans cette nuit seule
Qui efface les pas, qui efface le temps
M'efface moi, efface le monde
J'ai besoin d'avoir quelqu'un à aimer.

Déposé par colombine67 le 08/08/2016  
Qui ne sait pas voler
Mais chasse les oiseaux?
Qui sous l'eau
Ne sait pas respirer?
Mais qui suis-je donc?
Pour me croire le plus fort
Pour me croire tout permis
Me donner le droit de vie et de mort
Devine, que dire encore?
Je suis le moins humain
Des animaux
Je suis le pire
Je pense à rien
Qu'à sauver ma peau
Pour ainsi dire
Le plus sauvage
Des fauves en cage
Je suis de loin
Le moins beau
Qui invente la bombe?
Qui se moque du monde
Qui tue pour le plaisir de tuer?
Mais qui suis-je donc
Pour me croire au dessus
De tous ceux que je tue
Qui ne respecte rien ni personne
Qui donc, si ce n'est l'homme
Je suis le moins humain
Des animaux
Je suis le pire
Je pense à rien
Qu'à sauver ma peau
Pour ainsi dire
Le plus sauvage
Des fauves en cage
Je suis de loin
Le moins beau
Je suis le dernier
Maillon de la chaîne
Un moins que rien
Un homme qui n'a
Plus figure humaine
Oui je suis bien
Le plus sauvage
Des fauves en cage
Je suis de loin le moins beau
A quoi me sert mon cerveau?
CALOGERO

Déposé par NathalieB le 07/08/2016  

J'ai écrit ton nom sur le sable,
Mais la vague l'a effacé.
J'ai gravé ton nom sur un arbre,
Mais l'écorce est tombée.
J'ai incrusté ton nom dans le marbre,
Mais la pierre a cassé.
J'ai enfoui ton nom dans mon cœur,
Et le temps l'a gardé.

Déposé par Biscuit le 07/08/2016  
La Deshumanisation de L'Etre
Ils partagent avec nous cette vie sur la Terre
Depuis la nuit des Temps, ils se cachent et se terrent,
Ils sont devenus pour nous des produits et pourtant
Lorsque l'on est seul, c'est vers eux que l'ont tend
Nos coeurs si déçus par l'âpreté humaine
Et que l'on reçoit en retour la bonté sans la haine.
Tous ces animaux magnifiques que l'on tue
Alors qu'on le sait, lorsqu'ils ne seront plus,
Quand sur la Terre ne resteront que les hommes
Créés à l'image de Dieu, mais en somme
Diabolisés par leur désir de destruction inné,
Ils n'en finiront plus de vouloir s'entre-tuer !
La planète était belle et harmonieuse
Tant que la vie n'apporte cette nombreuse
Humanité barbare et, hélas, tueuse !
Brigitte Bardot.

Déposé par poutounou le 07/08/2016  
Malheureusement "Merci" est un mot qu'on entend trop rarement !
*
Le blaireau sans gêne
*
Lui offrait-on quelque gâteau ?
C’est simple il en réclamait deux.
Devant un cadeau, ce blaireau
Faisait la moue, remerciait peu.
Partout il se sentait à l’aise
Se glissant à la meilleure place.
On le vit devenir obèse
Mais toujours faisant la grimace.
Un jour chez la Dame Belette
Il dit un gros mot incongru ;
Alors sa renommée fut faite :
Désormais nul ne le reçut.
Moralité
Soyez polis, soyez courtois
Dites bonjour, dites merci
On vous recevra avec joie,
Et vous aurez beaucoup d’amis
*
Yvon Danet
Mes poésies préférées

Déposé par colombine67 le 07/08/2016  
Une vie de chien :
Je suis jeune et tout fou
J'regarde passer les gens
Jusqu'au fameux jour où
Un couple et un enfant
Se tiennent là devant moi
Et me font les yeux doux
Ils me prennent dans leurs bras
Ça sent l'amour c'est fou
Ils m'emmènent chez eux
Me font plein de câlins
C'est tellement chaleureux
Qu'enfin je me sens bien
Le temps s'est écoulé
Aujourd'hui je suis grand
Doux, sage, bien éduqué
Plein de bons sentiments
Un matin de soleil
On part se promener
La vie est une merveille
Quand on est tant aimé
Mais quel est cet endroit
Et d'où viennent ces cris ?
Comme est partie ma joie
Je veux le faire d'ici
Ma famille est partie
Et ils m'ont laissé là
J'ai peur alors je crie
Mais nul n'entend ma voix
Je vois passer des gens
Ils posent on oeil sur moi
Mais restent indifférents
Aucun ne tend ses bras
Quelques temps ont passé
Et j'ai un peu vieilli
Je suis un poil marqué
Mais toujours plein de vie
On me sort de cette cage
On va se promener
J'ai été tellement sage
Qu'on revient me chercher...Mais
Je freine des quatre pattes
Je n' veux pas rentrer là
Je n'veux pas qu'on m'abatte
Je n'ai rien fait pour ça
Ils me traînent et m'agrippent
Je tremble de peur, d'effroi
J'ai mal aux veines, aux tripes
Ça doit être ce froid
je n'vois presque plus rien
Je n'entends plus les cris
Voilà ma vie de chien
Qui se termine ainsi
Cette histoire si banale c'est l'histoire de Bo, s'il s'appelait ainsi, c'est parce que des gens lâches, le jour où ils l'achetèrent l'avait trouvé bien beau...
Une vie de chien... par Jorge Selk

Déposé par colombine67 le 06/08/2016  
Ma chienne vivait peinarde en somme
Jusqu'au jour où elle m'a choisi
A la Société Protectrice des Hommes
Au fond d'un immeuble moisi,
Mes yeux l'imploraient en silence :
S'il te plait, ne me laisse pas,
J'aurai pour toi mille patiences
Et je te suivrai pas à pas,
Et je te suivrai pas à pas.
Ma chienne m'emmène à la rivière
Courir derrièr' des bouts de bois,
J'en ai rapporté trois, hier,
Je crois qu'elle était fière de moi,
Et on s'est roulé sur la mousse,
Ma truffe contre son nez froid,
Mes pattes sur ses cuisses douces,
Je ne suis qu'un enfant, j'ai froid,
Je ne suis qu'un enfant, j'ai froid...
Ma chienne patiemment me dresse,
Sans jamais élever la voix,
A coups de langue et de caresses,
Depuis, je mords bien moins, je crois,
Et quand je gronde de colère,
Tout au fond de ses yeux je vois
Que les fouets et les muselières
Ne sont pas pour elle, mais pour moi,
Ne sont pas pour elle, mais pour moi...
Ma chienne, ô ma tendre maîtresse,
Viens, raconte-moi ton histoire,
Dis-moi vite, car le temps presse,
A quoi tu penses dans le noir,
Depuis des siècles que nous sommes
Dans la même galère, toi et moi,
Dis-moi pourquoi un petit d'homme
Ça vaut bien moins qu'un chien, parfois,
Ça vaut bien moins qu'un chien, parfois...
Ma chienne, Henri Tachan

Déposé par colombine67 le 05/08/2016  
Je vais te raconter mon histoire, je n’ai pas de nom,
je suis de race Galgo, chien de chasse pour l’homme
La vitesse dans le sang, le corps fuselé
Je vivais avec 14 congénères dans un grand chenil
J ’ai un an et la vie devant moi,
Ma mère s’est échappée gestante et je suis né dans un parc
Ils ont jeté mes trois frères contre un mur, je ne sais pas à quoi je dois la chance d'être resté en vie
Je ne connais pas la compétition et je chasse les lièvres par instinct, on m’emmenait à la campagne tous les dimanches
Un jour, le destin a gâché ma vie, une balle perdue m’a touché, la blessure n’a pas été mortelle
Mais à partir de là, peu importait d’être fidèle ou d’être noble,
Avec une corde au cou, ils m’emmenèrent près d’un chêne
Le lendemain de l’accident, le sacrifice fut la solution à ma boiterie permanente
Je suis un être humain, mû par l’instinct, j’ai lutté, je me suis échappé, apeuré et sans savoir où aller
Depuis ce jour, je n’ai plus confiance, j’ai échappé à mon sort,
En me nourrissant de pain dans une zone industrielle, en évitant les gens
Avec la corde incrustée dans le cou, boitant de ma patte blessée mais pouvant marcher
J'ai eu un moment de faiblesse un jour et je me suis réveillé dans une cage, bandé, avec à boire et à manger
je suppose que c’est un refuge, désormais, ils me cherchent un maître
Mais qui veut un galgo d'un an et qui boite
Les gens veulent des chiens nains pour s’amuser
Des races chères pour faire de l'élevage et des affaires
J'offre une compagnie à celui qui voudra m’adopter, et toute ma reconnaissance, parce je connais la faim
Signé un anonyme, un parmi tant d’autres
Voici mon histoire, réfléchis, toi qui l'as écoutée

Déposé par colombine67 le 04/08/2016  
Je vais vivre entre 10 et 15 ans
Si c’est pour me haïr, pour me faire souffrir, penses-y à deux fois avant de me prendre avec toi.
Essaye de m’aimer tel que je suis, parce que ce n’est pas moi qui ai choisi ma condition.
De même que je n’ai pas la possibilité de choisir amis ou maîtres.
Accorde-moi du temps pour comprendre ce que tu veux de moi.
Avant de me crier dessus, pour m’éduquer, est-ce toi qui te trompes ou est-ce moi qui n’ai pas compris ce que tu attends de moi.
Chéris-moi, car je ne vis que pour cela.
Ne te fâche pas contre moi, ne me punis pas.
Tu as ton travail, tes amis, tes loisirs, moi je n’ai que toi.
Parle-moi de temps en temps !
S’il te semble que je ne comprenne pas, sache que je sais ce que tu penses, ce que tu ressens.
Rappelle-toi que jamais je n’oublierai la manière dont tu te comportes avec moi.
Avant de me frapper, pense que je pourrais te mordre, mais jamais je ne ferais une chose pareille.
Quand je ne suis encore qu’un chiot, ne me considère pas comme un jouet, dont tu te débarrasseras, lorsqu’il ne te sera plus d’aucune utilité
Car mon amour pour toi sera éternel.
Prends soin de moi alors que je vieillirai, que je serai édenté, que je serai sourd, que je ne pourrai plus marcher.
Quelqu’un, à son tour, prendra soin de toi, car la vieillesse est la même pour tous.
Accompagne-moi pour mon dernier voyage.
Ne dis jamais « C’est plus fort que moi, je ne peux regarder » ou « Arrangez-vous pour que je ne sois pas présent ».
A tes côtés, tout est plus facile.
Ceci sera la contrepartie à la fidélité, au dévouement dont j’ai toujours fait preuve à ton égard.
Quand je ne serai plus là, ne sois pas triste, au contraire, essaye de rendre heureux un autre chien et aime-le comme tu m’as aimé.

Déposé par NathalieB le 03/08/2016  

POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME
Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière.
Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous.
Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes.
Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. »
J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu…
Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité.
Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur.
Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne…
On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon.
Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !...
Tu n’es jamais venu !
Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI !
P’tit Loup
Il mourut un 24 décembre
Cause du décès :
Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé !

Déposé par nikita le 03/08/2016  
Mon PUNKY d'amour
Comme le jour qui se lève après la nuit,
Je te cherche à l'infini
Depuis que tu es loin de moi
Je vois partout ton image
Même lorsque je suis loin
Tu fais partie du voyage
Maintenant que tu es loin de moi
Je ressent toujours tant de peine
Non personne ne te remplacera,
Dans mon cœur tu resteras le roi
je t'ai tellement aimé
Et toi tu m'as tant donné
Que toute ma vie à toi je penserai
Un nouveau jour viendra
Ou nous deux on se retrouveras
Dans ton ciel tout là haut
Et ce jour là j'embrasserai ton beau museau
Je ne t'oublies pas mon PUNKY adoré
Tu es toujours à mes cotés
Doux baisers sur ta belle truffe tant aimé

Déposé par colombine67 le 03/08/2016  
POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME
Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière.
Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous.
Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes.
Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. »
J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu…
Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité.
Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur.
Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne…
On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon.
Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !...
Tu n’es jamais venu !
Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI !
P’tit Loup
Il mourut un 24 décembre
Cause du décès :
Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé !

Déposé par poutounou le 02/08/2016  
Très joli texte interprété par Maurane et Lara Fabian
*
Tu Es Mon Autre
*
Ame ou soeur
Jumeau ou frère
De rien mais qui es-tu
Tu es mon plus grand mystère
Mon seul lien contigu
Tu m'enrubannes et m'embryonnes
Et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue
*
Tu ne parles qu'une langue, aucun mot déçu
Celle qui fait de toi mon autre
L'être reconnu
Il n'y a rien à comprendre
Et que passe l'intrus
Qui n'en pourra rien attendre
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble
*
Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit
Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini
*
Et si l'un de nous deux tombe
L'arbre de nos vies
Nous gardera loin de l'ombre
Entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l'autre
Nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble
*
Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit
Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini
*
Et si l'un de nous deux tombe

Déposé par colombine67 le 02/08/2016  
ous les départs sont tragiques surtout s’il s’agit d’un proche, surtout s’il s’agit de notre compagnon. Il y a dans la mort, quelque chose de net, de tranchant, d’irrémédiable, qui fait mal, terriblement mal.
A chaque fois que l’on y est confronté, on ne peut que s’étouffer dans un sanglot et déclarer : « C’est la vie !! » Quelle ironie… c’est pourtant bien de la mort, dont il s’agit. Elle frappe de manière toujours si injuste, que rien ni personne ne peut l’expliquer. Oh, certes, on peut invoquer les limites de la médecine, l’âge avancé, l’accident de parcours, mais en définitive, ce ne sont que des mots, pas même un baume pour nos maux. La douleur est là. Tantôt éclatante, tantôt insidieuse, elle reste tapie.
On se repasse en boucle les moments partagés, les regards échangés, pour ne rien oublier, pour encore, dans un dernier élan, tenter de garder en nous le souvenir de sa présence. Certains, comme je les comprends, institueront une sorte de rituel. L’écuelle restera encore longtemps au même endroit, le doudou en évidence sur le fauteuil. Ils se surprendront à rester là, debout, désemparés, les bras ballants dans le vide le plus total, le grand vide que sa disparition aura laissé.
Comme on voudrait le serrer encore contre nous, sentir son souffle, lui faire les câlins dont il était si friands. Comme on voudrait avoir su, que cela aurait été si court, même au bout de dix ans, même au bout de quinze ans. Comme on aurait voulu… et comme on ne pourra jamais plus.
J’ai une amie, très chère, qui est persuadée qu’une fois là-haut, elle les verra tous courir vers elle, jeunes et beaux comme au premier jour et les larmes versées seront oubliées pour l’éternité.
Je sais, au plus profond de moi, qu’elle dit vrai.

Déposé par colombine67 le 01/08/2016  
Une vie de combats qui se termine à la fourrière. Humilié, cassé, sans foi en l’homme…
La faute à son maître.
 
Par cette triste journée, j’ai décidé de rester seule avec toi. Nous ne nous connaissons pas, jamais nos regards ne se sont croisés et pourtant, aujourd’hui, je sais que je dois m’asseoir en face de toi. Et c’est cette après-midi et pas une autre, parce que demain, demain…tu ne seras plus.
Ils vont t’ôter la vie, et en silence, tu hurles pour qu’ils le fassent.
Le soir est en train de tomber, l’horizon rougit, pareil au filet de sang qui coule le long de ta commissure.
 
C’est vrai, tu fais peur
Il te manque un œil et je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance que tu as dus éprouver lorsque tu le perdis durant l’un de tes combats clandestins où tu t’étais retrouvé embarqué, bien malgré toi par ces sadiques. Contraint à te battre, contraint à tuer… Une lutte acharnée, une lutte à mort, coups de dents de toute part, la chair en lambeaux. Vous, pauvres malheureux, au service de démons travestis en idoles.
Je ne peux ni ne veux imaginer  tous les moments qui ont jalonné ces treize années de ta sombre existence.
Trop d’amertume. Pourtant tu as dû être pour tes bourreaux un « champion », un grand et bel « exemplaire », tu l’es encore d’ailleurs. De bonne corpulence, doté « d’une belle mâchoire », c’est bien comme cela qu’ils te préfèrent ces sanguinaires, n’est-ce pas ?
Maintenant, derrière les barreaux de la fourrière, tu te tiens devant moi, vieux, malade, cassé. Tu me regardes fixement avec ton unique œil, impassible, hiératique, fatigué par une vie qui a été si injuste avec toi.
Parfois, je ne parviens plus à soutenir ton regard. Tu en imposes, je suis troublée et à la fois je suis empreinte d’une grande compassion à ton égard. Ils t’ont rendu malheureux…
Assise en face de toi, l’après-midi se meurt, triste et belle à la fois, teintée de sang avec une ligne blanche à l’horizon. Toi et moi, savons que cette ligne c’est celle du jour à venir. C’est la ligne de l’espoir, la fin de ta douleur, de ta souffrance.
Vieux, résigné, blessé et méfiant…. Tu as raison de ne plus faire confiance, personne ne t’a aidé. A part des coups, des insultes, qu’as-tu jamais reçu ?
Je n’ai même pas tenu à connaître ton nom, ce nom d’assassin dont tu as été affublé, avec lequel ils t’ont crié dessus et frappé.
 
 Aujourd’hui, je t’ai appelé Gabriel
Ce sera notre secret. Rien que pour nous. Gabriel comme l’ange déchu que tu es.
Et tu continues à me regarder, c’est étrange, tu me regardes si profondément…. Je sais. Il n’est pas difficile de comprendre que pour toi, tout n’est plus qu’indifférence. Toi-même tu n’espères même plus que quelque chose de bon puisse t’arriver, que quelqu’un  puisse te donner ne serait-ce qu’une caresse. Tu n’espères plus rien de personne et je sais que lorsqu’ils viendront te chercher demain pour t’endormir pour toujours, je sais que tu ne tenteras même pas d’échapper à la mort amie. Vous les chiens, qui flairez la mort à distance….
Tu sais, à présent, que ce sera le seul acte d’amour des Hommes à ton encontre.
L’après-midi s’achèvera dans la fourrière et toi et moi, nous continuerons à nous regarder, seuls. Les autres chiens se taisent, peut-être par respect pour ce moment d’adieux…
Je te regarde une dernière fois, totalement angoissée, défaite et dans un filet de voix, je t’appelle tendrement. Mais tu es dans l’incapacité de bouger ne serait-ce qu’un muscle de tout ce corps las. Rien en toi n’est plus capable de communiquer, aucun mouvement de la queue, aucun mouvement de tes oreilles mutilées. Je me relève et tu me suis du regard. Je place dans un coin de ta geôle, un petit matelas.
C’est l’unique cadeau que je peux encore te faire. Tu seras confortable pour ta dernière nuit. Tes os usés ne ressentiront pas le froid. Ton dernier regard me remercie. J’aurais tellement voulu t’aider davantage, mais je suis arrivée trop tard. J’espère que tu le comprendras. D’un pas lent, tu te diriges vers le matelas, tu te couches et tu t’endors. Peut-être tes rêves te conduiront-ils vers l’Arc-en-ciel ? Dors petit ange déchu. Repose-toi et demain, à ton réveil, ne vois, l’espace d’un instant, que la féerie des couleurs et quitte pour toujours ce monde de ténèbres dans lequel ils t’ont plongé.
La nuit est tombée. L’horizon rougeoyant s’en est allé, mais dans le ciel sombre la ligne blanche frémit encore : ta dernière espérance.

Déposé par rafia le 01/08/2016  
Assaut de Saint-Denis: mais qui a vraiment tué le chien du RAID?
Actualité Société
Par Jérémie Pham-Lê, publié le 12/07/2016 à 18:58 , mis à jour le 13/07/2016 à 00:34
Dans un climat de terreur sidérante, l'annonce de sa mort avait entraîné une vague d'indignation, parfois amusée, sur les réseaux sociaux. Diesel, jeune malinois de 7 ans, a été tué le 18 novembre au cours de l'assaut policier contre l'appartement "conspiratif" de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où étaient retranchés plusieurs terroristes du 13 novembre, dont Abdelhamid Abaaoud.
Près de huit mois après, les responsables du meurtre de ce chien d'élite du RAID ne sont pas formellement identifiés. Interrogé le 8 mars par la commission d'enquête parlementaire sur les attentats de 2015, le patron de l'unité, Jean-Michel Fauvergue, a réaffirmé que ce sont les djihadistes qui ont abattu l'animal et que ce dernier n'a pas été victime d'une erreur des policiers.
"Nous en avons la certitude. Il est enterré à Bièvres, et nous sommes prêts à le déterrer quand on nous le demandera. Ce serait dommage pour les maîtres-chiens qui ont quasiment construit un mausolée. Ce que les journalistes ont raconté à ce sujet était aberrant et énervant", a-t-il déclaré, selon un compte-rendu publié ce mardi.
Doutes sur l'arme à l'origine de la mort
Le chef du RAID, qui s'est depuis astreint à un silence médiatique total, répond là aux critiques émises par plusieurs journaux contre sa communication les jours suivant les tueries parisiennes. Il avait été accusé d'enjoliver son récit de l'assaut de Saint-Denis, voire de mentir sur certains points. Au Figaro, il avait notamment expliqué que Diesel avait été tué à "la Brenneke", une cartouche de fusil de chasse.
Or, aucune arme de ce type n'a été utilisé par les terroristes: seul un revolver 9 mm et des éclats de grenade ont été retrouvés dans les gravats. Et, comme le souligne un expert balistique dans un reportage d'Envoyé spécial, un tel fusil possède un bruit caractéristique qu'il est impossible de le confondre avec un petit calibre. Pire, il est parfois utilisé par les policiers.
Aucune autopsie pratiquée
Dans la confusion des échanges de coups de feu, le RAID a-t-il abattu son propre chien? "Cette question n'a pas été tranchée. Cela reste des affirmations des uns et des autres", explique à L'Express un membre de la commission d'enquête, reconnaissant que le sujet des incohérences de l'assaut n'a pas été creusé.
Une simple autopsie aurait permis de lever le mystère. Mais ni les juges d'instruction, ni le parquet à l'époque n'ont jugé utile de l'ordonner, sans doute en raison de la nature "animale" de la victime. Une telle opération se déroule pourtant à l'école vétérinaire et non à l'institut médico-légal de Paris (IML), surchargé alors par les 130 victimes des attaques à identifier. Elle n'aurait guère coûté de temps.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------
Selon une source médicale, proche du RAID :
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------
Interrogée par L'Express, une source médicale qui était présente lors de l'assaut corrobore en partie la version du RAID. "Ce sont les terroristes qui l'ont tué. Lorsque le chien est rentré dans l'appartement, il a tourné dans un coin à droite inaccessible aux balles des policiers. Nous avons ensuite entendu trois détonations", développe-t-elle.
- Selon cette source, le patron de l'unité d'élite n'a pas pu voir la dépouille de Diesel, ce qui expliquerait les incohérences de son discours. L'appartement était inaccessible à cause des dégâts de l'assaut et il a fallu attendre plusieurs jours, et l'intervention d'une société privée spécialisée, pour extraire l'animal. Le RAID était déjà parti depuis longtemps.
- "Le chien avait au moins une balle dans la tête et cela ne pouvait pas être une cartouche Brenneke tirée à bout portant, sinon son corps ne serait pas resté entier. Par ailleurs, si ce type d'arme est utilisé par les policiers, ce serait pour ouvrir une porte, pas pour neutraliser des terroristes", poursuit-elle. Impossible donc, dans cette hypothèse, que Diesel ait pris une balle perdue de ses maîtres.
___________________________________________________________________________________
Ds le FIGARO, le Chef du RAID déclare :
"Après un long moment sans tir, on décide d'envoyer un chien pour qu'il fasse une reconnaissance des lieux. Malheureusement, Diesel, un chien d'attaque, est tué à la Brenneke".
IMPOSSIBLE comme mentionné pr un expert en balistique...Le corps de DIESEL n'aurait pas été entier !!! Et à savoir...le RAID emploie ce fusil..pr "défoncer" les portes !!!
Pr contre les terroristes n'avaient pas en leur possession ce type de fusil...c'est prouvé.
Jean-Michel Fauvergue, directeur du Raid..serait-il un menteur patenté !!!??? et pourquoi ???
__________________________________________________

Déposé par rafia le 01/08/2016  
VIDEO. Envoyé spécial. "Sens caché" : l'assaut de Saint-Denis
Le 18 novembre dernier, après les attentats de Paris, les policiers du Raid lancent l’assaut contre un appartement de Saint-Denis. "Envoyé spécial" fait des révélations sur les coulisses de cette opération aux nombreuses zones d'ombre. C'est le "Sens caché" du 21 avril 2016.
A voir en urgence !!!

Déposé par rafia le 01/08/2016  
Assaut de Saint-Denis: mais qui a vraiment tué le chien du RAID?
Actualité Société
Par Jérémie Pham-Lê, publié le 12/07/2016 à 18:58 , mis à jour le 13/07/2016 à 00:34
Dans un climat de terreur sidérante, l'annonce de sa mort avait entraîné une vague d'indignation, parfois amusée, sur les réseaux sociaux. Diesel, jeune malinois de 7 ans, a été tué le 18 novembre au cours de l'assaut policier contre l'appartement "conspiratif" de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où étaient retranchés plusieurs terroristes du 13 novembre, dont Abdelhamid Abaaoud.
Près de huit mois après, les responsables du meurtre de ce chien d'élite du RAID ne sont pas formellement identifiés. Interrogé le 8 mars par la commission d'enquête parlementaire sur les attentats de 2015, le patron de l'unité, Jean-Michel Fauvergue, a réaffirmé que ce sont les djihadistes qui ont abattu l'animal et que ce dernier n'a pas été victime d'une erreur des policiers.
"Nous en avons la certitude. Il est enterré à Bièvres, et nous sommes prêts à le déterrer quand on nous le demandera. Ce serait dommage pour les maîtres-chiens qui ont quasiment construit un mausolée. Ce que les journalistes ont raconté à ce sujet était aberrant et énervant", a-t-il déclaré, selon un compte-rendu publié ce mardi.
Doutes sur l'arme à l'origine de la mort
Le chef du RAID, qui s'est depuis astreint à un silence médiatique total, répond là aux critiques émises par plusieurs journaux contre sa communication les jours suivant les tueries parisiennes. Il avait été accusé d'enjoliver son récit de l'assaut de Saint-Denis, voire de mentir sur certains points. Au Figaro, il avait notamment expliqué que Diesel avait été tué à "la Brenneke", une cartouche de fusil de chasse.
Or, aucune arme de ce type n'a été utilisé par les terroristes: seul un revolver 9 mm et des éclats de grenade ont été retrouvés dans les gravats. Et, comme le souligne un expert balistique dans un reportage d'Envoyé spécial, un tel fusil possède un bruit caractéristique qu'il est impossible de le confondre avec un petit calibre. Pire, il est parfois utilisé par les policiers.
Aucune autopsie pratiquée
Dans la confusion des échanges de coups de feu, le RAID a-t-il abattu son propre chien? "Cette question n'a pas été tranchée. Cela reste des affirmations des uns et des autres", explique à L'Express un membre de la commission d'enquête, reconnaissant que le sujet des incohérences de l'assaut n'a pas été creusé.
Une simple autopsie aurait permis de lever le mystère. Mais ni les juges d'instruction, ni le parquet à l'époque n'ont jugé utile de l'ordonner, sans doute en raison de la nature "animale" de la victime. Une telle opération se déroule pourtant à l'école vétérinaire et non à l'institut médico-légal de Paris (IML), surchargé alors par les 130 victimes des attaques à identifier. Elle n'aurait guère coûté de temps.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------
Selon une source médicale, proche du RAID :
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------
Interrogée par L'Express, une source médicale qui était présente lors de l'assaut corrobore en partie la version du RAID. "Ce sont les terroristes qui l'ont tué. Lorsque le chien est rentré dans l'appartement, il a tourné dans un coin à droite inaccessible aux balles des policiers. Nous avons ensuite entendu trois détonations", développe-t-elle.
- Selon cette source, le patron de l'unité d'élite n'a pas pu voir la dépouille de Diesel, ce qui expliquerait les incohérences de son discours. L'appartement était inaccessible à cause des dégâts de l'assaut et il a fallu attendre plusieurs jours, et l'intervention d'une société privée spécialisée, pour extraire l'animal. Le RAID était déjà parti depuis longtemps.
- "Le chien avait au moins une balle dans la tête et cela ne pouvait pas être une cartouche Brenneke tirée à bout portant, sinon son corps ne serait pas resté entier. Par ailleurs, si ce type d'arme est utilisé par les policiers, ce serait pour ouvrir une porte, pas pour neutraliser des terroristes", poursuit-elle. Impossible donc, dans cette hypothèse, que Diesel ait pris une balle perdue de ses maîtres.
___________________________________________________________________________________
Ds le FIGARO, le Chef du RAID déclare :
"Après un long moment sans tir, on décide d'envoyer un chien pour qu'il fasse une reconnaissance des lieux. Malheureusement, Diesel, un chien d'attaque, est tué à la Brenneke".
IMPOSSIBLE comme mentionné pr un expert en balistique...Le corps de DIESEL n'aurait pas été entier !!! Et à savoir...le RAID emploie ce fusil..pr "défoncer" les portes !!!
Pr contre les terroristes n'avaient pas en leur possession ce type de fusil...c'est prouvé.
Jean-Michel Fauvergue, directeur du Raid..serait-il un menteur patenté !!!??? et pourquoi ???
___________________________________________________________________________________________________

Déposé par colombine67 le 31/07/2016  
Tu n'as pas besoin de parler pour que je te comprenne.
C'est ton regard qui parle, c'est ton silence qui parle. 
Et le jour quand tu mourras, doux et fidèle ami,
Tes yeux vert olive continueront de me regarder
De là-haut, à l'instar d'une étoile enveloppée de tranquillité.
Ta race n'a pas d'importance, ton nom n'a pas d'importance,
Ta vie si courte que tu présentes à l'homme
C'est la fidèle offrande de cet amour sans retenue
Qui se trouve dans ton regard de flamme allumée
Jusqu'au jour dernier et ignoré de ta triste vie.

Déposé par ovanek le 30/07/2016  
💖 💖 💖 💖 💖 💖
💖 💖 💖 💖
💖
💖 💖
Mon Cœur est ta demeure
ton Cœur est ma Pensée
ces pensées sont notre amitié
celle qui nous unis à l'infini
💖 💖 💖




L'Album photo contient 41 photos
Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella????.
je T'M ????{ton Maël)).
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
Je SAIS. Pourquoi Ma Maman. T'aimait autant !
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
Highslide JS

Highslide JS
Punky alias The Boss
Tendres MERCIS. MA Sorella ton Maël).
Highslide JS
The Family Westies
CREA de LEUR super Sorella. Un ANGE aussi !
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Retourner en haut