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En hommage à
CANICHELARRY
Il nous a quittés le:24/03/2010
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En hommage à
LARRY
30 bougies
22765 Fleurs
Déposé par monrex tres tendres pensees pour ce petit flocon qui ressemble a un petit ange.douces caresses Déposé par larrydoudou mon Riri cela fait 10 mois aujourd'hui que tu es parti au paradis et je suis toujours aussi triste bisous joli coeur ta mamie qui t'aime Déposé par larry Bonsoir joli cœur Doudou fait dodo près de moi plein de bisous mon riri chéri que tu peux partager avec tes amis du paradis ta Mamie qui t'aime Déposé par monrex merci pour mon amour de rex pensees douces et tendres a toi larry et a tes maitres.tout le monde se joinds a moi pour une enorme pensees a vous nos compagnons |
2374 messages
Déposé par choupinou le 13/06/2024hommage a Françoise Hardy hommage a nos petits coeurs qui sont nés, puis grandis auprès de nous, avec leur amour qui ont vieilli, et qui nous ont quitté pour repartir poussière..... On est bien peu de chose Et mon amie la rose Me l'a dit ce matin À l'aurore je suis née Baptisée de rosée Je me suis épanouie Heureuse et amoureuse Aux rayons du soleil Me suis fermée la nuit Me suis réveillée vieille Pourtant j'étais très belle Oui, j'étais la plus belle Des fleurs de ton jardin On est bien peu de chose Et mon amie la rose Me l'a dit ce matin Vois le dieu qui m'a faite Me fait courber la tête Et je sens que je tombe Et je sens que je tombe Mon cœur est presque nu J'ai le pied dans la tombe Déjà je ne suis plus Tu m'admirais hier Et je serai poussière Pour toujours demain On est bien peu de chose Et mon amie la rose Est morte ce matin La lune cette nuit A veillé mon amie Moi en rêve j'ai vu Éblouissante et nue Son âme qui dansait Bien au-delà des nues Et qui me souriait Croit, celui qui peut croire Moi, j'ai besoin d'espoir Sinon je ne suis rien Ou bien si peu de chose C'est mon amie la rose Qui l'a dit hier matin |
Déposé par poutounou le 12/06/2024Aimer C'est Plus Que Vivre * Gérard Berliner (d’après Victor Hugo) * Demain dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne Je partirai vois-tu, je sais que tu m’attends J’irai par la forêt, j’irai par la montagne Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. * Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit * Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre. Laissez-moi lui parler, incliné sur ses restes Le soir quand tout se tait Comme si dans la nuit rouvrant ses yeux célestes Cet ange m’écoutait ! * Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre. Maintenant, ô mon dieu ! que j’ai ce calme sombre De pouvoir désormais Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l’ombre Il dort pour jamais * Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs * Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre. Laissez-moi lui parler, incliné sur ses restes Le soir quand tout se tait, Comme si dans la nuit rouvrant ses yeux célestes Cet ange m’écoutait ! * Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre. Maintenant, ô mon dieu ! que j’ai ce calme sombre De pouvoir désormais Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l’ombre * Il dort pour jamais Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l’ombre Il dort pour jamais Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre. |
Déposé par poutounou le 09/06/2024Au jardin de mon coeur... * Au jardin de mon coeur Vous y trouverez Un petit coin caché Une oasis charmante Un chapeau de paille oublié Sur le petit banc... Un cahier d'écolière Une plume d'oiseau Pour graver mes mystères Et, la complainte des mots... * Au jardin de mon coeur Vous y découvrirez Une cabane d'enfant... Quelques nids pour l'oiseau... Un bassin de pierre Un colibri enivré Du muguet en grelots Et, une coupe de rosée... * Au jardin de mon coeur Vous y croiserez Le geai bleu et la tourterelle La sittelle et l'hirondelle Le bourdon et l'abeille Dansant la gigue du printemps... Au jardin de mon coeur Je vous y attendrai En soupirant... L'air du temps présent ! * © Jovette Mimeault (1952-2003) |
Déposé par poutounou le 05/06/2024Comme c’est joliment dit : Bonjour « Messieurs les bourgeons« … * Bonjour * Comme un diable au fond de sa boîte, le bourgeon s'est tenu caché... mais dans sa prison trop étroite il baille et voudrait respirer. Il entend des chants, des bruits d'ailes, il a soif de grand jour et d'air... il voudrait savoir les nouvelles, il fait craquer son corset vert. Puis, d'un geste brusque, il déchire son habit étroit et trop court "enfin, se dit-il, je respire, je vis, je suis libre... bonjour !" * Paul Geraldy |
Déposé par poutounou le 02/06/2024Toi c’est Toi, à jamais en moi… !!! * Toi Esther Granek * Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie * Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien là et je n’y crois * Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant * Toi c’est présent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon cœur * Toi c’est distant… Toi c’est changeant… Toi c’est rêvant et esquivant… * Toi c’est pensant… Toi c’est taisant… Toi c’est tristesse qui me prend… * Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi ? Toi c’est le vide dans mes bras… Toi c’est mon soleil qui s’en va… Et moi, je reste, pleurant tout bas. * Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 |
Déposé par colombine67 le 29/05/2024Met ta main sur ma patte, je ne te laisserai jamais partir Met ta confiance en moi, je ne te laisserai jamais, jamais Met ton cœur dans mon cœur, je te donnerai toujours de l'amour Met ma patte dans ta main, je veillerai toujours sur toi Tout ce que je demande en retour, c'est de l'amour |
Déposé par colombine67 le 28/05/2024Je suis mort sans nom Un long mais superbe texte, très émouvant.... Je suis mort sans nom Sans une marque d’affection… Je ne connais la définition Du mot humain émotion Que par la douleur de l’abandon. J’ai attendu si longtemps, D’hivers glaciaux en printemps, Un rayon d’espoir, et souvent Pétrifié dans le silence et le temps, J’ai voulu fuir ce tourment. Seul et apeuré dans ma cage, Je m’accrochais à ce mirage… De votre sourire, de votre visage Qui m’ont apporté courage L’instant d’un ciel sans nuage… Je me suis habitué à la faim, Au froid, à la peur du lendemain. Mais jamais, je le crains, De ne pas connaître enfin Le plaisir de lécher votre main. Mon corps martyrisé N’en pouvant plus de lutter, À bout de souffle et de fierté, C’est sans bruit et sans dignité Que je vous ai quittés. Une seule caresse aurait suffi À me permettre, sans bruit, De quitter mes amis. Qui encore aujourd’hui. Vous appellent dans la nuit. Je ne vous en veux pas De n’avoir entendu mon désarroi. J’avais pourtant en moi, Au fil des jours et des mois, La confiance, l’espoir et la foi. Même si j’ai hurlé dans la nuit, Tandis que mourraient mes petits, La souffrance et la maladie Ont eu raison aujourd’hui De mon instinct de survie. Ils ont tué mes espoirs De pouvoir un jour voir Le soleil et votre peignoir… De fuir mon désespoir… Fuir ma cellule dans le noir. Je suis venu et passé, Sans jamais être remarqué. Pourtant, je vous ai toujours espéré… Je ne demandais qu’à vous aimer… Pourquoi m’avez-vous abandonné? J’ai eu faim, j’ai eu froid, J’ai eu peur et malgré moi, De ce qui me restait de voix, Votre nom j’ai appelé mille fois… Où étiez-vous, dites-moi... Ma carcasse incinérée Aura pour l’éternité Ce champ, ces fleurs et ce pré Que j’ai longtemps espéré, Et dont j’ai tellement rêvé. J’aurais aimé avoir un jouet, Un seul s’il-vous plait… J’aurais voulu courir et qui sait, Trébucher dans le gazon tout frais À vos côtés, fier et coquet… J’aurais dormi à vos pieds, L’hiver vous aurais réchauffé, La nuit vous aurais rassuré, Et sans jamais rien demander, Vous aurais écouté et aimé… Je suis mort triste et seul, Sans que l’on porte mon deuil. On m’a offert pour tout linceul, Un feu de paille et de feuilles, Je suis libre, délivré et encore seul… Ne m’offrez pas de fleurs… Retenez vos pleurs… Je ne veux plus que le bonheur, De ceux qui ont dans leur cœur D’encore espérer avec ferveur… De quoi donc ai-je été coupable Pour mériter une vie si misérable Un destin aussi pitoyable, Une mort cruelle et minable… De cela vous m’êtes redevable… Je vous aime encore Je vous aime si fort… À la vie et à la mort, Je vous aime encore, Bien au-delà de la mort… Dites-moi que vous voulez, Par amour et par pitié, Encore quelques-uns sauver… Ainsi ma cruelle destinée N’aura été ni vaine ni oubliée… Il est trop tard pour moi, Voyez, je suis mort et froid… Mais pour mes petits croyez-moi, Par vous, ils ne le seront pas. Sauvez-les en souvenir de moi… Un chien parmi tant d’autres. |
Déposé par poutounou le 22/05/2024Ô Printemps, fais naître un renouveau suprême au cœur des morts… !!! * Prière au printemps * Toi qui fleuris ce que tu touches, Qui, dans les bois, aux vieilles souches Rends la vigueur, Le sourire à toutes les bouches, La vie au coeur ; * Qui changes la boue en prairies, Sèmes d’or et de pierreries Tous les haillons, Et jusqu’au seuil des boucheries Mets des rayons ! * Ô printemps, alors que tout aime, Que s’embellit la tombe même, Verte au dehors, Fais naître un renouveau suprême Au coeur des morts ! * Qu’ils ne soient pas les seuls au monde Pour qui tu restes inféconde, Saison d’amour ! Mais fais germer dans leur poussière L’espoir divin de la lumière Et du retour ! * René-François Sully Prudhomme |
Déposé par poutounou le 19/05/2024Oui mon Ange, tu es devenu mon « refuge préféré »… !!! * Mon refuge préféré * Ma vie est comme cette maison, En ruines, abandonnée, négligée, Elle respire le chaos, l’amertume, Elle aspire à l’abandon, au vide. * Ma vie est comme ce vaste monde, Opportunités et ressources infinies, Gâchée, pillée, éventrée et défigurée, Elle se déroule lasse et imperturbable. * Ma vie est comme ces multiples doutes, Qui m’assaillent, me tourmentent encore, Acceptations, désirs et éternels dilemmes, Elle s’accommode de ces maints regrets. * Ma vie est comme cet havre de paix, Si souvent parfaite, si tant généreuse, Qu’elle me semble factice et alarmante, Au point de redouter tant de maux à venir. * Ma vie est comme ces labyrinthes secrets, À la croisée de mille chemins traversants, À la lisière de tant de belles rencontres, Quel chemin suivre ? Quel destin choisir ? * Ma vie est comme ce tendre souvenir, Rejouant cent fois cette même séquence, Quand tu m’as serré fort dans tes pattes, Cet instant où tu es devenu… mon refuge préféré. * Nashmia Noormohamed, 2016 |
Déposé par poutounou le 15/05/2024Pluie de Printemps * Pluie de Printemps tombe du ciel parfumée au Soleil qui vient pointer son nez Les plantes sourient à la lueur du jour Et viennent offrir leur coeur à ces gouttes semées * Pluie de printemps, plus belle que l’Automne Vient rafraîchir les coeurs, vient inonder les coeurs Et bientôt donne tout ce qu’attend la Nature L’Eau si précieuse et pure pour tout recommencer * Elodie Santos, 2009 |
Déposé par colombine67 le 15/05/2024Ils l'ont jeté par la portière. Il n'a pas compris tout de suite. Il a couru longtemps derrière, Mais la voiture allait trop vite. Et pendant des journées entières Il a vu des autos passer, Mais personne n'a fait marche arrière En le voyant dans le fossé. Après les premières caresses, Puis quelques mois d'indifférence, Ils l'ont laissé à sa détresse, Au début des grandes vacances. Pareil à l'objet que l'on jette Quand il devient trop encombrant, Ils le remplaceront peut-être, Par un chien plus jeune en rentrant. Le chien abandonné, en été par ses maîtres, Flaire toujours la route et fait des kilomètres, Traversant les villages, faisant peur aux enfants Qui ne savent pas encore, qu'il n'y a que les gens Qui soient vraiment méchants. Il ne les a pas oubliés Depuis le jour qu'il vagabonde Dans l'espoir de les retrouver. Il irait jusqu'au bout du monde. Il verra bien un jour sans doute, Finir sa marche solitaire, En voulant traverser la route, Ou, emmené par la fourrière. Le chien abandonné en été par ses maîtres, Sur le bord du fossé, vaut bien que l'on s'arrête, Qu'on ouvre sa portière, qu'on le fasse monter, Pour qu'il n'y ait plus en France, en été, Qu'il n'y ait plus jamais, de chiens abandonnés. Patrick Font |
Déposé par poutounou le 12/05/2024Notre « chemin à deux », sous la même ombrelle, si fusionnels… * Le chemin à deux * Deux routes parallèles, Jamais ne se touchent, Un choeur si fusionnel, Qui jamais ne s’abouche. * Deux vies nouvelles, Parfois s’entremêlent, Un fossé, une bretelle, Un lien, une passerelle. * Deux rails, une échelle, À l’assaut du temps, filent, Deux esprits, une étincelle, À l’assaut du vent, graciles. * Deux forces, aussi belles, Amies et complices réelles Deux êtres, aussi rebelles, Là, sous la même ombrelle. * Nashmia Noormohamed, 2016 |
Déposé par poutounou le 08/05/2024La patte de ton chien, serre-la si fort… * La main des dieux, tu peux refuser de la prendre * La main des dieux, tu peux refuser de la prendre. La main du mendiant, tu peux aussi. Toutes les mains qui frôleront la tienne, tu peux les oublier. La main de ton ami, ferme les doigts sur elle, et serre-la si fort que le sang de ton cœur y batte avec le sien au même rythme. * Sabine Sicaud, Les poèmes de Sabine Sicaud, 1958 (Recueil posthume) |
Déposé par lili2248 le 06/05/2024Tu es tout ça, adorable Ange !!! * MON ANGE ADORÉ * Tu es mon oxygène, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaînes, L'indispensable qui coule dans mes veines. * Tu es l'objet de mon existence, L'ange pur de l'innocence, Mon étoile de bienveillance, Plus qu'un espoir et plus qu'une chance. * Tu es ma mélodie, La douceur de mes nuits, Les couleurs de ma vie, Le bonheur à l'infini. |
Déposé par poutounou le 05/05/2024Joli chardonneret, tu es venu me dire que l’Amour est devant… * Oiseau de Printemps * Joli Chardonneret, tu es sorti de l’ombre Posé sur la rembarde pour venir me chanter Une ode à la Nature, au Soleil, au Printemps Tu es venu me dire que l’Amour est devant * Saute, vrille, vole Et mange toutes les graines que je t’ai données Reviens sur mon balcon, recommence ton chant Qui m’envahit toute entière Ces matins des beaux jours * Joli Chardonneret je te veux sur ma route dans ma jolie campagne au pied de mon balcon * Elodie Santos, 2009 |
Déposé par colombine67 le 05/05/2024"Ses yeux ont croisé les miens alors qu’elle traversait le couloir du refuge avec appréhension. J’ai ressenti son besoin immédiatement et su que je devais l’aider. J’ai remué la queue, sans trop d’exubérance, pour qu’elle n’ait pas peur. Comme elle s’est arrêtée devant mon box, j’ai détourné son regard d’un petit accident que j’avais eu au fond de ma cage. Je ne voulais pas qu’elle sache que je n’avais pas été sortie aujourd’hui. Parfois les travailleurs du refuge, fatigués, sont débordés et je ne voulais pas qu’elle pense du mal d’eux. Lorsqu’elle a lu ma carte d’adoption, j’espérais qu’elle ne se sente pas triste à la vue de mon passé. Je ne peux que me tourner vers le futur et souhaite compter dans la vie de quelqu’un. Elle se mit à genoux et me fit des petits bruits de bisous. J’ai collé mon épaule et le coté de ma tête contre les barreaux pour la réconforter. Du bout des doigts, elle caressait doucement mon cou, elle était prête à tout pour avoir de la compagnie. Une larme a coulé sur sa joue et j’ai levé la patte pour lui assurer que tout irait bien. Aussitôt, la porte de mon box s’ouvrit, son sourire était si radieux que je lui ai tout de suite sauté dans les bras. J’ai promis de prendre soin d’elle. J’ai promis d’être toujours à ses cotés. J’ai promis de faire tout mon possible pour voir ce sourire radieux et cette étincelle dans ses yeux. J’étais tellement chanceuse qu’elle passe par mon couloir. Aussi, beaucoup d’autres sont là-bas, qui n’ont pas traversé ce couloir. Au moins j’en ai sauvé un. Aujourd’hui, j’ai sauvé un humain." Janine Allen |
Déposé par poutounou le 01/05/2024Petit brin de Bonheur… * Très tôt dans la matinée, Du pied droit, je me suis levée. Mes gros sabots aux pieds, Dans mon jardin, je suis allée, Pour y cueillir des brins de muguet, Recouverts de rosée. * Tintinnabulez, tintinnabulez ! Jolies clochettes de Mai. Epandez vos douces senteurs Jusque dans nos cœurs. Et déposez dans chaque foyer Un océan d’amour et d’amitié. * Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitié, santé et joli brin de muguet à ta famille de cœur aussi… |
Déposé par ovanek le 29/04/2024Dans les profondeurs des yeux d'un chien Il y a une âme qui traverse le pont entre le primal et le divin Un esprit à la fois terrestre et éthéré Cet esprit puissant, émergeant de la brume comme une apparition Porte en son cœur la sagesse ancienne de la forêt ══• ೋ• ✧๑💛 ๑✧• ೋ══🦋 ══• ೋ• ✧๑💛 ๑✧• ೋ══ 💦 La compréhension tranquille des montagnes dans ses pauses reposantes En lui réside la magie des promesses non dites Celles qui ondulent dans nos vies comme le doux toucher d'une patte fantomatique sur nos âmes En tant que silhouette contre la toile de la création ══• ೋ• ✧๑💛 ๑✧• ೋ══🦋 ══• ೋ• ✧๑💛 ๑✧• ೋ══💦 Il est le gardien de nos secrets les plus profonds Un témoin silencieux des forces invisibles qui bougent en nous tous C'est sous cette forme noble que l'univers conspire pour nous montrer la beauté de la simplicité La force dans la vulnérabilité et la capacité infinie d'amour qui bat dans le cœur canin ╭══• ೋ•✧💛•✧• ══ • ೋ•💛 ╰══•💛BONNE NOUVELLE SEMAINE💦 ⭐💦 |
Déposé par lili2248 le 28/04/2024Désolée pour ma petite « absence » du cimetière, due à un petit problème d’ordinateur. Me revoilà… !!! * A quel beau songe évanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange... * Pensée perdue * Elle est si douce, la pensée, Qu'il faut, pour en sentir l'attrait, D'une vision commencée S'éveiller tout à coup distrait. * Le coeur dépouillé la réclame ; Il ne la fait point revenir, Et cependant elle est dans l'âme, Et l'on mourrait pour la finir. * A quoi pensais-je tout à l'heure ? A quel beau songe évanoui Dois-je les larmes que je pleure ? Il m'a laissé tout ébloui. * Et ce bonheur d'une seconde, Nul effort ne me l'a rendu ; Je n'ai goûté de joie au monde Qu'en rêve, et mon rêve est perdu. * René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
Déposé par poutounou le 28/04/2024Les Roses * Le Printemps rayonnant, qui fait rire le jour En montrant son beau front, vermeil comme l’aurore, Naît, tressaille, fleurit, chante, et dans l’air sonore Éveille les divins murmures de l’amour. * O Sylphes ingénus, vous voilà de retour! De mille joyaux d’or la forêt se décore, Et blanche, regardant les corolles éclore, Titania folâtre au milieu de sa cour, * A travers l’éther pur dont elle fait sa proie, Tandis que la lumière, éclatante de joie, Frissonne dans la bleue immensité des cieux. * Beauté qui nous ravit avec tes molles poses, Dis, n’est-ce pas qu’il est doux et délicieux De plonger follement ta bouche dans les roses ? * Théodore de Banville, |
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