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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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19832 Fleurs
5894 messages
Déposé par Biscuit le 13/11/2016Pluie René-François Sully Prudhomme Il pleut. J’entends le bruit égal des eaux ; Le feuillage, humble et que nul vent ne berce, Se penche et brille en pleurant sous l’averse ; Le deuil de l’air afflige les oiseaux. La bourbe monte et trouble la fontaine, Et le sentier montre à nu ses cailloux. Le sable fume, embaume et devient roux ; L’onde à grands flots le sillonne et l’entraîne. Tout l’horizon n’est qu’un blême rideau ; La vitre tinte et ruisselle de gouttes ; Sur le pavé sonore et bleu des routes Il saute et luit des étincelles d’eau. Le long d’un mur, un chien morne à leur piste, Trottent, mouillés, de grands boeufs en retard ; La terre est boue et le ciel est brouillard ; L’homme s’ennuie : oh ! que la pluie est triste ! |
Déposé par colombine67 le 12/11/2016Tu m’as adopté et tu sauras m’assumer. Tu choisiras une race adaptée et sur moi, tu seras renseigné. Tu me nourriras et me sortiras comme il le faudra. Tu m’éduqueras et m’apprendras à respecter, à aimer et à obéir sans en passer par le pire. Tu me soigneras et m’entretiendras aussi longue que ma vie sera. Du temps et de l’espace tu me donneras et ma nature, tu respecteras. Tu te souviendras que je ne suis pas humain et que je reste un chien. Le monde avec toi, je découvrirai et toutes les choses je connaîtrai. De la patience, tu auras et de bonnes décisions, tu prendras. Même dans ma vieillesse, tu garderas de la tendresse. Egoïste, tu ne seras pas, quand la maladie me prendra, quand le moment viendra, à partir, tu m’aideras. Ton cœur et ta chaleur, tu m’offriras, tu me soutiendras et tu seras là pour mon dernier souffle, pour mon dernier battement de cœur. Et jusqu’au dernier regard, jusqu’à mon dernier soupir, tu garderas le sourire ; Tu garderas le souvenir que tes erreurs pour le prochain pourront servir et tu te souviendras de celui avec qui tu as ri, tu as pleuré, celui pour qui tu t’es donné et qui toute sa vie tes efforts a récompensé. Celui qui t’a aimé sans arrière-pensée, c’est ton meilleur ami, Qui, à la fin de sa vie, te le dira sans bruit : Merci. |
Déposé par poutounou le 11/11/2016Très belle histoire et tellement vraie ! * L'aveugle et le paralytique * Aidons-nous mutuellement, La charge des malheurs en sera plus légère ; Le bien que l'on fait à son frère Pour le mal que l'on souffre est un soulagement. Confucius l'a dit ; suivons tous sa doctrine. Pour la persuader aux peuples de la Chine, Il leur contait le trait suivant. * Dans une ville de l'Asie Il existait deux malheureux, L'un perclus, l'autre aveugle, et pauvres tous les deux. Ils demandaient au Ciel de terminer leur vie ; Mais leurs cris étaient superflus, Ils ne pouvaient mourir. Notre paralytique, Couché sur un grabat dans la place publique, Souffrait sans être plaint : il en souffrait bien plus. L'aveugle, à qui tout pouvait nuire, Etait sans guide, sans soutien, Sans avoir même un pauvre chien Pour l'aimer et pour le conduire. Un certain jour, il arriva Que l'aveugle à tâtons, au détour d'une rue, Près du malade se trouva ; Il entendit ses cris, son âme en fut émue. Il n'est tel que les malheureux Pour se plaindre les uns les autres. " J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres : Unissons-les, mon frère, ils seront moins affreux. - Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon frère, Que je ne puis faire un seul pas ; Vous-même vous n'y voyez pas : A quoi nous servirait d'unir notre misère ? - A quoi ? répond l'aveugle ; écoutez. A nous deux Nous possédons le bien à chacun nécessaire : J'ai des jambes, et vous des yeux. Moi, je vais vous porter ; vous, vous serez mon guide : Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ; Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez. Ainsi, sans que jamais notre amitié décide Qui de nous deux remplit le plus utile emploi, Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi. " * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par monkillou le 11/11/2016Punky, "L'absence de ta présence me désespère. La présence de ton absence me révèle ton éternité...". ------------------------- Je vous offre cette belle citation dont j'ai le coup de coeur... Pour ce, je vais également la déposer sur l'espace de mes fidèles compagnons. Tendrement pour ta maman et TOI, mon beau "pirate". Je te trouvais "sympa" dans ce montage. Mille bisous (comme dirais ta chère maman)et à plus tard... |
Déposé par spanky le 11/11/2016Mon cœur hurle de douleur. Mes sanglots, mes gémissements, nul ne les connaît, ne les entend. Je porte un masque de fausse gaieté devant les gens. Nul ne sait à quel point je souffre, ni ne voit quel est mon tourment. J’ai si mal ! Tellement mal !! Une souffrance infernale ! Je pleure quand je suis seule, quand personne ne me voit, dans l’intimité de mon cœur. Dans les silences de ma vie, mon cœur meurtri saigne et hurle de douleur. Ta disparition est une torture infinie qui fait désormais partie de ma vie. |
Déposé par colombine67 le 11/11/2016Le ciel est rempli d'anges , Cela fait un magnifique mélange , Ils sont si beaux , Ils sont si haut . ... Le ciel en est envahi , De la terre, ils sont partis , Ils nous manquent tellement , On les aime énormément . On les pleure trop souvent , Sans eux, on vit terriblement , Pourtant on doit poursuivre notre chemin , On doit avancer jusqu'à la fin . Parce qu'un énorme vide s'est installé , Toutes ces larmes qu'on ne peut sécher , C'est si dur de continuer sans leur présence , Si dur d'accepter leur absence . On se bat pour eux , On veut les rendre heureux , On fait en sorte qu'ils soient fiers de nous, Pour eux, on ira jusqu'au bout |
Déposé par colombine67 le 10/11/2016Prends le temps d'aimer... C'est le secret de l'éternelle jeunesse ! Prends le temps de lire... C'est la source du savoir ! Prends le temps d'écouter... C'est la force de l'intelligence ! Prends le temps de penser... C'est la clef de la réussite ! Prends le temps de jouer... C'est la fraîcheur de l'enfance ! Prends le temps de rêver... C'est un souffle de bonheur ! Prends le temps de rire... C'est la musique de l'âme ! Prends le temps de pleurer... C'est l'émotion d'un grand cœur ! Prends le temps de vivre car le temps passe vite et ne revient jamais. |
Déposé par Biscuit le 10/11/2016Tête de boule chaude qu’on nourrit, qu’on élève. Petit animal qui cahote sur ses pattes, glisse sur les postérieurs, écroulé sur son ventre tendre et mou de bébé trop nourri. Chien enfant que l’on aime, que l’on instruit du mieux qu’il peut. Dont on a la fierté de la patte donnée. Dont on a la tendresse, la chaleur, le silence qui parle, les yeux qui vous regardent. Chien compagnon, chien de la promenade qui gambade avec vous, s’en va pour revenir avec le plus beau des présents : un caillou, une branche, son amour qui rythme votre vie et vous force à la vie. Chien qui donne : un regard, la poussée d’une tête, un œil doré d’amour, une patte. Chien qui accepte un soin, une caresse, une tape, un reproche. Chien qui est votre enfant, mais qui devient le parent qui vieillit avant vous, que vous voyez marcher lorsqu’il aimait courir, se lever pesamment, venir vers vous avec la lenteur de l’âge. Chien qui s’abîme, s’use avec la vie, chien qui déroule en douze ans une vie, vieux chien qu’on aime, et qui s’éloigne, et qui s’en va, qui est parti et que l’on pleure. Christian Chabellard, |
Déposé par colombine67 le 09/11/2016Prendre le temps de vivre Et regarder la vie Le ciel qui brille à son zénith Les larmes de joie d’un bébé Une pêche belle à croquer La brise qui s’envole L’air du temps qui s’en va en sifflotant La ritournelle pour une belle Ces bisous pour mon présent Prendre le temps de remercier L’amour de ses bienfaits De son sourire doucement offert De cette main qui était et est toujours là De ces gestes de tendresse fait sans y avoir pensé Prendre le temps de regarder La rose qui va éclore L’olivier qui va pousser Le jasmin qui fait tant de bien L’oranger couleur d’été La fourmi qui persévère Le rai de lumière qui fait des ombres chinoises Le silence si lourd de sens Prendre le temps de respirer Le temps qui passe sans compter Le temps qui enlace mes pensées Le temps qui m’offre sa sérénité Prendre le temps de perdre mon temps Juste pour voir le temps présent s’envoler Juste le plaisir de sentir le doux frisson De laisser le temps prendre son temps Un instant Prendre le temps de vivre Et regarder la vie Prendre le temps de remercier L’amour de ses bienfaits Prendre le temps de regarder La rose qui va éclore Prendre le temps de respirer Le temps qui passe sans compter Prendre le temps de perdre mon temps Juste pour voir le présent s’envoler. |
Déposé par colombine67 le 08/11/2016Comme une étoile dans le ciel qui brille Tu as ta place dans ma vie, tu scintilles Les nuages m'empêchent parfois de voir clair Et en ton absence, il me manque mes repères Comme un enfant perdu dans la foule Je suis là, toute seule, mes larmes coulent Cherchant ton ombre, ton sourire, ton odeur Pour que parte ce sentiment effrayant de peur Vide à l'intérieur et ne sachant où aller Tu n'éclaires plus les chemins, pour me guider Tu es comme un doigt de ma main On survit sans, mais toujours ce manque est là au lendemain Notre histoire est unique, très belle Comme une liaison que les mots « pour toujours » scellent Mais à distance celle-ci sera forcée Le temps entre nous, on nous l'a refusé Malgré cette règle établit Les sentiments, l'amour lui, survit Je te regarde plein d';espoir Sachant qu'une autre t'appartiendra un soir Mais je n'arrive pas à me raisonner Ce que je ressens, très difficile à cerner Mon coeur parle et je l'écoute Le dos tournée déjà, tu me déroutes Ne m'oublies pas et pense à moi parfois Seul tu ne le seras jamais, car je penserai toujours à toi Un jour nos vies seront stables de chaque côté Mais même là, je le sais, ce vide ressentit ne sera comblé Veillez l'un sur l'autre, c'est tout ce qui nous est permis Cette pensée, me permettra d'avancer, moins seule dans la vie Ecoute mon coeur qui te parle et t'explique Notre relation est certainement quelque chose de très magique. Frère et soeur d'antan ou même un beau couple d'amants Nos regards qui se cherchent et se croisent, nous donne ce sentiment si réconfortant L'un sans l'autre, cette complicité, je ne sais expliquer ce lien Je serais ton ange gardien et te demande d'être le mien |
Déposé par colombine67 le 07/11/2016Naissance de la voix lactée Il y a bien longtemps, il n'y avait pas beaucoup d'étoiles dans le ciel. Les indiens stockaient leur récolte de maïs dans de grands paniers. L'hiver ces grains leur permettaient de confectionner du pain. Un matin, un couple découvre qu'on leur a dérobé du maïs pendant la nuit. Des grains sont dispersés sur le sol de la réserve et ils aperçoivent des empreintes géantes de chien. Ils alertent aussitôt les villageois : ces traces ne peuvent avoir été faites que par un chien venant d’un autre monde ! Ils décident de se débarrasser d'une bête aussi monstrueuse en l'effrayant si fort qu'elle n'aura plus envie de revenir. Ils rassemblent des tambours, des carapaces de tortues et se cachent pendant la nuit près de la réserve de grains. Soudain, ils entendent un énorme bruissement d'ailes pareil à celui de milliers d'oiseaux en vol : un chien géant descend en piqué du ciel. Dés que ce dernier se trouve près du maïs, les Indiens font un vacarme énorme en frappant sur leurs ustensiles. L’animal s’enfuit mais les habitants du village le poursuivent en continuant de plus belle leur tintamarre. Le chien géant grimpe alors au sommet d'une colline et se jette dans le ciel, les grains de maïs se répandant de sa gueule. Il traverse la nuit noire et disparaît. Les grains de maïs forment un chemin dans le ciel et chaque grain se transforme en étoile. C’est ainsi qu'est apparue la voie lactée... Les Cherokee l’appellent gi li' ut sun stan un' yi, l'endroit où courait le chien. |
Déposé par poutounou le 06/11/2016Moi j'adore la vérité : ça peut faire mal sur le coup, mais on peut "construire" dessus ; les bases sont solides. Par contre, on ne peut rien construire sur ce qui n'est pas "vrai". * La fable et la vérité * La vérité, toute nue, Sortit un jour de son puits. Ses attraits par le temps étaient un peu détruits ; Jeune et vieux fuyaient à sa vue. La pauvre vérité restait là morfondue, Sans trouver un asile où pouvoir habiter. A ses yeux vient se présenter La fable, richement vêtue, Portant plumes et diamants, La plupart faux, mais très brillants. Eh ! Vous voilà ! Bon jour, dit-elle : Que faites-vous ici seule sur un chemin ? La vérité répond : vous le voyez, je gêle ; Aux passants je demande en vain De me donner une retraite, Je leur fais peur à tous : hélas ! Je le vois bien, Vieille femme n'obtient plus rien. Vous êtes pourtant ma cadette, Dit la fable, et, sans vanité, Partout je suis fort bien reçue : Mais aussi, dame vérité, Pourquoi vous montrer toute nue ? Cela n'est pas adroit : tenez, arrangeons-nous ; Qu'un même intérêt nous rassemble : Venez sous mon manteau, nous marcherons ensemble. Chez le sage, à cause de vous, Je ne serai point rebutée ; A cause de moi, chez les fous Vous ne serez point maltraitée : Servant, par ce moyen, chacun selon son goût, Grâce à votre raison, et grâce à ma folie, Vous verrez, ma soeur, que partout Nous passerons de compagnie. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par ovanek le 03/11/2016💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 Mon ange Dans les jardins du ciel Tu as trouvé le pont de l’arc-en-ciel Où brille un magnifique soleil Un ciel, des oiseaux, des fleurs C’est le paradis du bonheur Pour toi mon petit cœur Quoique tu sois loin de moi Mes joies, mes rêves sont pour toi Tu vis à travers moi, c’est comme ça Je me languis de ton absence Qui sont pour moi de longs silences Des douleurs indélébiles que rien n’efface Ce monde qui nous sépare N’est qu’un passage vers l’au-delà Que je franchirai sous les ailes d’un ange, pour te retrouver Dans l’attente, je t’envoie ces mots que tu aimes Ceux qui nous atteignent Pour te dire mon ange que je t’aime *** Amitié *** 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 03/11/2016Mike Thawley, un pompier de Sacramento (Etats-Unis), a sauvé un petit chiot tout seul, attaché, et transi de froid sur le bord de la route où il avait été abandonné. Pris en charge par une association, Chunk, le petit chiot, pourrait bien se souvenir longtemps de son ange-gardien… Après avoir sorti Chunk la petite Pitbull de la rue, Mike Thawley l’a transportée jusqu’à la caserne où il l’a séchée, réchauffée et rassurée. Il l’a ensuite confiée au Front Street Animal Shelter, un refuge local pour animaux. Les chiens, des êtres reconnaissants ? Mais dès le lendemain de son sauvetage, le pompier a voulu prendre des nouvelles de sa petite protégée qui, pour ne rien arranger, souffre d’une maladie de peau. Il s’est donc rendu au refuge et, alors qu’il ne s’y attendait pas, a reçu le plus beau des accueils Non seulement Chunk l’a reconnu, mais elle s’est en plus livrée à une vraie démonstration de reconnaissance : lovée dans les bras de son héros, elle a fait fondre son cœur… à tel point que Mike souhaite désormais l’adopter. Chunk deviendra-t-elle une chienne pompier ? |
Déposé par choupinou le 02/11/2016Dans le ciel on voit tous des étoiles qui brille,plus que les autres.... celle d'un être cher a notre coeur et qui veille sur nous.... une pensée a nos anges en ce lendemain de Toussaint une pensée pour nos anges partis dans le ciel,mais toujours dans nos coeurs Que la flamme de l'espérance ne s'éteigne jamais au fond de nous car nous les retrouverons et les blessures du passé redeviendrons magie de l'amour,une nouvelle et belle vie,avec eux et notre histoire, a chacun, de nouveau continuera pour toujours car c'est sur ils nous attendent...., |
Déposé par colombine67 le 02/11/2016En une semaine, la petite chienne Fancy a vécu une drôle d’aventure dont une partie restera sans doute un mystère. Disparue de chez sa maîtresse, elle a été trouvée puis adoptée avant de retrouver finalement… sa maison. Lorsque Fancy, une femelle Shih Tzu, a été trouvée errante dans une rue, elle fut conduite par une femme chez le vétérinaire. Sa puce électronique a permis d’identifier son nom, mais les coordonnées de ses maîtres n’étaient pas à jour. Déjà propriétaire de trois chiens, la femme décida alors de donner la chienne. Elle rencontra quelque temps plus tard une femme nommée Bailey qui se proposa de l’adopter. Quelques mois plus tôt, Bailey avait perdu son chien, Preston. Devenu paralysé, il avait dû être euthanasié après avoir passé cinq belles années aux côtés d’une famille aimante. C’est pour combler cette absence que Bailey cherchait à accueillir un nouveau chien. Lorsqu’elle vit Fancy, elle ne put résister. Les premiers jours, Fancy se montra assez distante dans son nouveau foyer. Mais très vite, elle se révéla être une chienne douce et affectueuse qui semblait avoir toujours fait partie de la famille de Bailey. Elle était particulièrement attentionnée avec les enfants. Et pour cause : dans sa « vraie » famille, Fancy devait veiller sur cinq enfants âgés d’un à neuf ans… Mais ça, Bailey l’ignorait. Fancy avait fugué et s’était perdue… En réalité, avant d’être trouvée, Fancy vivait chez les Davis. Elle s’était enfuie de chez elle pendant que son maître tondait la pelouse. Depuis son départ, sa famille était à sa recherche et ignorait tout de ce qu’elle était devenue. Fancy n’aurait jamais pu revoir ses maîtres si Bailey ne s’était pas rendue chez le vétérinaire pour la faire vacciner. C’est par hasard qu’un employé de la clinique reconnut la chienne qu’il avait vue sur Facebook, dans une annonce de chien perdu. Il en était sûr : Fancy était la chienne des Davis. A partir de ce moment-là, les retrouvailles entre la Shih Tzu et ses « vrais » maîtres furent organisées, malgré la tristesse de Bailey qui s’était déjà beaucoup attachée à la chienne. Mais, très reconnaissants envers la jeune femme pour avoir pris soin de leur chienne, les Davis décidèrent de l’aider à trouver le compagnon idéal qui pourrait partager sa vie… pour de longues et belles années. |
Déposé par larrydoudou le 01/11/2016Il y a des moments dans la vie où l'on aimerait ramener quelqu'un du ciel , passer juste une journée avec lui , lui faire juste un câlin , l'embrasser ou écouter juste sa voix ou son rire , avoir l'occasion de lui dire qu'on l'aime et lui dire que c'est tellement difficile sans sa présence |
Déposé par colombine67 le 01/11/2016Très beau texte d'Yves Duteil sur le rôle de nos défunts dans notre vie. Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?... Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire… « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais, au contraire, conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute ou de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières, pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus triste sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers ailleurs ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qu’ils ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparus ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents… |
Déposé par colombine67 le 31/10/2016Poème sur la mort de Jules Vernes. " Nous mourrons mais nos actes ne meurent pas, Car ils se perpétuent dans leurs conséquences infinies. Passants d’un jour, Nos pas laissent dans le sable de la route Des traces éternelles Rien n’arrive qui n’ait été déterminé par ce qui l’a précédé Et l’avenir est fait des prolongements inconnus du passé." |
Déposé par Biscuit le 31/10/2016Liberté De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ? De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages, Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ? De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ? Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ? Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ? Qu'est-ce qu'ils ont donc fait tous ces innocents-là Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ? Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ? Qui sait si le verdier qu'on dérobe aux rameaux, Qui sait si le malheur qu'on fait aux animaux Et si la servitude inutile des bêtes Ne se résolvent pas en Nérons sur nos têtes ? Qui sait si le carcan ne sort pas des licous ? Oh ! de nos actions qui sait les contre-coups, Et quels noirs croisements ont au fond du mystère Tant de choses qu'on fait en riant sur la terre ? Quand vous cadenassez sous un réseau de fer Tous ces buveurs d'azur faits pour s'enivrer d'air, Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue, Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue, Croyez-vous que le bec sanglant des passereaux Ne touche pas à l'homme en heurtant ces barreaux ? Prenez garde à la sombre équité. Prenez garde ! Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde. Ne comprenez-vous pas que vous êtes méchants ? À tous ces enfermés donnez la clef des champs ! Aux champs les rossignols, aux champs les hirondelles ; Les âmes expieront tout ce qu'on fait aux ailes. La balance invisible a deux plateaux obscurs. Prenez garde aux cachots dont vous ornez vos murs ! Du treillage aux fils d'or naissent les noires grilles ; La volière sinistre est mère des bastilles. Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux Toute la liberté qu'on prend à des oiseaux Le destin juste et dur la reprend à des hommes. Nous avons des tyrans parce que nous en sommes. Tu veux être libre, homme ? et de quel droit, ayant Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ? Ce qu'on croit sans défense est défendu par l'ombre. Toute l'immensité sur ce pauvre oiseau sombre Se penche, et te dévoue à l'expiation. Je t'admire, oppresseur, criant : oppression ! Le sort te tient pendant que ta démence brave Ce forçat qui sur toi jette une ombre d'esclave Et la cage qui pend au seuil de ta maison Vit, chante, et fait sortir de terre la prison. (La légende des siècles) |
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