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En hommage à
LABRADORJunior
Il est né le:21/11/1999
Il nous a quittés le:11/07/2012
64 bougies
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9953 Fleurs
2861 messages
Déposé par poutounou le 31/10/2014QU'UN VOILE ============= Il n'y a qu'un voile, qu'un voile qui nous sépare. Il y a un souffle qui nous unit, celui des âmes, si doux, si fin, si persistant, "Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix. "Il n'y a que ce voile qui nous sépare et tu me sens parfois". Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et je suis là, auprès de toi ; tu m'entends rire, discourir de ce qui était. Désormais c'est un trésor au fond de toi. Il n'y a qu'un voile si fin pourtant si infranchissable, impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà. Nul ne doit savoir, on n'en revient pas, c'est l'éblouissant interdit. Mais, pour les cœurs, la frontière n'existe pas, l'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel. L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment. ============= Bonnes fêtes de Toussaint à toi, bel Ange, et à ta famille de cœur… |
Déposé par myriam31 le 31/10/2014Au temps de la Toussaint Au temps de la Toussaint, quand les cimetières S’ornent de chrysanthèmes et de bruyère, Et qu’ainsi joliment embellis, joliment colorés, Ils donnent à la mort comme un air de gaieté. Quand auprès des caveaux et des tombes familiales, Eclairés par la douce lumière automnale, L’on revient chaque année, prier, se recueillir… Je suis triste et mon cœur ne cesse de souffrir : Quelque part tu attends, en lieu insolite, Esseulé, loin des tiens, sans jamais de visite. Et pour le souvenir, toi qui aimais les fleurs, Vois-tu je n’ai rien d’autre à t’offrir que mes pleurs, Ce modeste bouquet de fleurs, pour t’apporter un peu de douceur. Tendres pensées pour toi bel ange et ta famille en cette veille de Toussaint. |
Déposé par rafia le 31/10/2014Le bénévolat, C'est l'art de la gratuité du coeur, C'est aussi une gageure. C'est le signe annonciateur De recréer le bonheur. Le bénévolat, N'est soumis qu'à la loi, De donner à autrui en toute bonne foi, Tout le soutien dont il a besoin De l'aider à aller loin, Ds le partage de la perception De son mal-être et de ses émotions. De trouver ensemble les solutions Nécessaires à sa "rédemption". Le bénévolat, Je l'ai exercé à l'hôpital Auprès des familles qui vivaient mal, Les souffrances ou la fin d'un proche Que la vie peut-être "moche" !!! Présente aussi auprès des patients, Qui avaient besoin d'un soutien Pr espérer, quand la vie à un fil tient. Le bénévolat Ne veut d'autre résultat, Que de tenter d'humaniser Une société qui tend à s'individualiser. Le bénévolat C'est une fleur que l'on offre C'est un cheminement personnel, Avec un engagement relationnel. C'est une fenêtre ouverte sur notre monde Lequel parfois peut être immonde. Le bénévolat A la valeur que lui donne, Toute aide, totalement désintéressée. A la souffrance d'autrui s'intéresser Sans jamais poser de question, c'est cela la donne !!! Mille mercis et toute ma bien sincère Amitié. Votre amie Maryem |
Déposé par nounours le 30/10/2014. .................DOUCE NUIT BELLE (BEL) ANGE............... . .............Je viens t'ouvrir les portes des rêves............. .............Entre dans un monde imaginaire........... .............Au milieu de toutes les étoiles.......... .............Il y a une lumière qui se dévoile............. .............C'est elle que j'ai choisie............. .............Car d'une brillance infinie............ .............C'est l'étoile de l'amitié............. .............Chez toi elle va s'arrêter........ .............Veillant sur ton sommeille................. .............Elle disparaîtra à ton réveille.............. .............Une très bonne et agréable soirés.......... .............Accompagnée d'une merveilleuse nuit !!! . .................DOUCE NUIT A MAMAN............. . . |
Déposé par ovanek le 30/10/2014********* **** Notre lien **** Ton regard étrange et pénétrant Ayant exprimé la joie et la tristesse du moment Un être exceptionnel, doux et charmant Tu fus la bonté incarnée Cela me fit rêver Je t'aimais je t'aimerais Pour toujours et sans regret Me tendant la main On se promenant sur notre chemin Long, sans lendemain Chantant ensemble un refrain Ami éternel, Frère du sang La solidarité régnante Une brindille d'espérance Pour ta majestueuse présence Qui n'a pas mérité cette sentence Accompagnée d'une telle souffrance De toute mon âme je verse des larmes Ainsi se battirent les armes Je ne trouvai pas le calme Au plus profond du cœur J'éprouve cette douleur Par la fenêtre je contemple le ciel Car maintenant tu comptes parmi les immortels *** Pensée *** |
Déposé par rafia le 30/10/2014Sans rancune. Malgré la SOUFFRANCE ne pas occulter le BONHEUR. Recueil : La part du rêve - 1863. Au bonheur qui part sois fidèle, Et souris-lui dès qu'il revient : Le bonheur, comme une hirondelle, De son nid parfois se souvient. Henri-Frédéric Amiel, |
Déposé par rafia le 29/10/2014L'amitié. Recueil : Opuscules en prose et en vers - 1810. L'amitié adoucit, calme nos peines, En nous offrant un doux espoir : Quand elle nous enlace de ses chaînes, Nul être ne craint de les recevoir. Louis Marie Patris de Breuil |
Déposé par ovanek le 28/10/2014*** je sais *** Un amour déjà passé Des souvenirs presque effacés Et pourtant tu continues De hanter ma pensée Toutes les nuits Mes sentiments enfuient Envahissent mes rêves Sans me laisser de trêves J’en suis intimement persuadée Je sais que je vais te retrouver Sur une simple intuition J’ai fondé mon espoir le plus profond Comme si nous étions destinés Mais trop vite séparés Je continue de croire en nous Et en mes rêves fous Je ne sais pas quand Peut- être dans bien longtemps Mais un jour c’est certain De nouveau ensemble jusqu’à la fin ***** Pensée ***** **** |
Déposé par rafia le 28/10/2014Car il existe tjrs plus malheureux/se que soi... Douleur. Recueil : Ballades et romances (1875) Depuis les maux de mon enfance J'ai supporté bien des douleurs ; J'ai souvent, sans verser des pleurs, Dit adieu, même à l'espérance. Contre la dure adversité Je luttais, rempli de courage ; Je croyais avoir en partage Une invincible fermeté. Et j'aimais à penser qu'une âme généreuse Peut braver la fortune et jamais ne plier ; Mais je t'ai vue hier souffrante, malheureuse, Et je me suis pris à pleurer. Pierre Grolier. , |
Déposé par spanky le 27/10/2014Ma petite Mamou chérie que j'aime toujours énormément Tu as souhaité m'écrire, laissant le soin aux nuages, le soin de me transmettre ton message. Cette seule intention m'autorise à te répondre afin de te dire qu'en partant, j'ai bien emporté toute la richesse et l'amour de notre vécu, et, si du poids de mon corps je me suis allégé, je n'en reste pas moins, dans l'ombre, à tes côtés. Dés lors, si tu es à la recherche de notre hier, laisse voguer en toi les pensées et les rêves, car, dans ces voyages, nous nous retrouverons pour vivre ensemble cette intime complicité, et donner ainsi toute sa force à son éternité. Que la caresse du vent, un rayon de soleil, une étoile filante ou une goutte de pluie soient les anges porteurs de cet écrit pour en traduire auprès de toi le sentiment, afin que, laissant de côté regrets comme oublis, tu vives intensément chaque moment de la vie. Ton Juju d'Amour qui te fait de grosses léchouilles |
Déposé par myriam31 le 27/10/2014A L'heure de l'adieu, en partant loin de nous, tes yeux se sont vidés tout d'un coup de lumière, mes yeux se sont noyés de larmes, et je suis restée aveugle à force de pleurer.... le temps ne réussit pas à sécher nos larmes, ni apaiser nos coeurs meurtris par ton départ. Doux repos bel ange au paradis étoilé Tu resteras à jamais gravé dans nos coeurs. Bien amicalement pour toi et ta maman. |
Déposé par rafia le 27/10/2014L'amitié....Il est IMPOSSIBLE de vivre sans AMI/S - AMIE/S Recueil : Opuscules en prose et en vers - 1810. L'homme, sans ami et sans aide, Est un vain roseau battu du vent, Qui tour à tour résiste et cède, Et succombe le plus souvent. Louis Marie Patris de Breuil, |
Déposé par poutounou le 26/10/2014Attention aux puces, bel Ange ! Elles sont malignes… ============== Une puce prit le chien Pour aller de la ville Au hameau voisin. A la station du marronnier Elle descendit. “Vos papiers!” dit l’âne Coiffé d’un képi. “Je n’en ai pas!” “Alors que faites vous ici?” “Je suis infirmière Et je fais des piqûres A domicile!” ========= Paul Clausard |
Déposé par rafia le 26/10/2014Amitié. Recueil : Oiseaux de neige Je connais un petit ange Lequel n'a jamais mouillé Sa blanche robe à la fange Dont notre monde est souillé. C'est lui qui donne le change Au pauvre cœur dépouillé Que l'amour, vautour étrange, D'un bec cruel a fouillé. Cet ange, qui vous ressemble, Sous son aile nous rassemble C'est la divine Amitié. Son regard est doux et calme ; Il m'offre sa chaste palme... En voulez-vous la moitié ? Louis-Honoré Fréchette (1839-1908), |
Déposé par rafia le 25/10/2014Le talisman...afin que la SOUFFRANCE ne tue jamais l'ESPOIR. Recueil : Il penseroso - 1858. Il est un feu discret qui se cache en ton âme, Mais qui tremble et palpite à tous les coups du sort : C'est l'espoir ! Défends bien cette petite flamme ; Si la flamme s'éteint, ami, ton cœur est mort. Henri-Frédéric Amiel, |
Déposé par nounours le 24/10/2014. ...........ECOUTE CE QUE J'AI A TE DIRE ECOUTE BIEN ECOUTE MA VOIX.......... . ......Tu as entendu le vent,le soleil,l'eau et la terre depuis toujours........... ......Tu les as goûtés tu t'en es nourri et tu les connais biens.......... ......Tu as vu l'étendue visible de la beauté de la création et tu sais beaucoup de choses. .......... ......Dans ce que tu es tu es prêt(e) à connaitre ce que nous sommes........ ......Tu es l'esprit qui coordonne et je suis la conscience qui est en symbiose avec l'intelligence.......... ......Évite de chercher là où je ne suis pas au plus profond de toi,je suis l'être qui ne te décevra jamais......... ........Je t'invite à ne plus jamais être séparés....... ........Écoute intelligement ton cœur écoute la vie en toi.............. ........Observe sans rétention cette "petite" étincelle de vie au plus profond de celui-ci............. .........Dans ce "petit rien" de pure divine conscience,tout est contenu.......... ...........Elle est l'absolu je suis l'éternel(le) en toi............. . ...................ECOUTE MA VOIX............... . ........MES AMITIES RESPECTUEUX A CEUX QUE TU A AIMER........ . ..................BON WEEKEN A VOUS TOUS.................. . |
Déposé par rafia le 24/10/2014Le mot d'ordre...VOULOIR VIVRE...Malgré la souffrance. Recueil : Il penseroso - 1858. Ne rien poursuivre, ami, c'est abdiquer sans joie : Bataille fut toujours le mot d'ordre ici-bas. Être libre, c'est vaincre ; il n'est pas d'autre voie ; Vouloir, ne pas vouloir, c'est être ou n'être pas. Henri-Frédéric Amiel, |
Déposé par ovanek le 23/10/2014******* ** Je te regarde ** Maman de cœur, sèche tes pleurs Ton petit chien te regarde Un souffle autour de toi se complait et s’attarde C’est mon âme qui cherche à consoler ton cœur Je viens faire cesser ce mensonge De la mort que l’on veut allier au néant Malgré qu’à tes yeux je demeure invisible Je suis à tes côtés n’ayant pas oublié mon rôle de soutien Je quête en retour un sourire éclairé de lumière et d’espoir Que jadis en ma vie j’ai tant de fois senti N’accuse pas la divine puissance Car pour moi cette mort fût une renaissance Une grande envolée au bienheureux séjour J’ai délaissé mon corps Et mon âme est partie Ébloui j’ai atteint un splendide domaine Où règne sans mélange un bonheur infini Je sillonne l’espace et ses champs lumineux Je franchis des torrents, des montagnes de rêve De magiques forêts, des fleuves enchantés A chacun de mes pas quelques soleil se lève Tu ne peux plus pleurer puisque je m’émerveille Nous nous retrouverons dans l’éternel bonheur *** Pensée *** ********* |
Déposé par spanky le 23/10/2014Une ombre sur le mur... Sans toi c'est trop dur, Je sens toujours ta présence Malgré ton absence. J'ai comme un besoin De voyager dans le passé Pour pouvoir aller te retrouver Te serrer dans mes bras Te câliner, et t'embrasser mon coeur. Je t'aime mon Juju d'Amour |
Déposé par rafia le 23/10/2014La chanson du souvenir. Recueil : Le pays des roses (1882) Dans le vol tremblant de l'heure Que nul ne peut retenir Passe lentement et pleure La chanson du souvenir. Et quand sa course l'emporte Plus loin que ne vont nos yeux, Plus d'une voix longtemps morte Murmure encor des adieux. Ainsi chaque heure envolée Du nid fragile des jours Nous fait plus inconsolée La perte de nos amours ! Armand Silvestre., |
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