Aucune fleur aucune bougie 1 personne aime cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
BELLE VOIX
Il nous a quittés le:09/02/2015
0 bougie
|
78 messages
Déposé par poutounou le 08/12/2015On les trouve où ces « grands chevaux » ? * La chevauchée * Certains, quand ils sont en colère, Crient, trépignent, cassent des verres... Moi, je n'ai pas tous ces défauts : Je monte sur mes grands chevaux. * Et je galope, et je voltige, Bride abattue, jusqu'au vertige Des étincelles sous leurs fers, Mes chevaux vont un train d'enfer. * Je parcours ainsi l'univers, Monts, forêts, campagnes, déserts... Quand mes chevaux sont fatigués, Je rentre à l'écurie - calmé. * Jacques CHARPENTREAU |
Déposé par poutounou le 03/12/2015Connaissez-vous Grognongnon ? * Grosgnongnon le cochon * Grosgnongnon le cochon Rouspète en toute saison Pour un oui, pour un non Au printemps quand il fait doux Il dit qu'il se sent tout mou En été, quand il fait chaud Et qu'il se met en maillot Il se trouve un peu trop gros Lorsque s'approche l'automne, Grosgnongnon baille et frissonne. Et, quand arrive l'hiver Grosgnongnon est en colère : Il n'aime pas son bonnet Qui lui tombe sur le nez! C'est ainsi toute l'année Ce qu'il aime, c'est rouspéter. * Claude Clément |
Déposé par poutounou le 29/11/2015Et si on se préparait une énorme salade de baisers !!! * Ce matin * Ce matin, j'ai mangé de la colère à la petite cuillère. J'ai mis plein de mauvaise humeur sur ma tartine de beurre. Toute la journée, je l'ai passée à grogner, à donner des coups de pieds, et à dire "C'est bien fait !". Mais maintenant, ça suffit, j'ai envie que ce soit fini. Et avant d'aller me coucher, je voudrais vous apporter une salade de baisers bien frais, bien doux, bien sucrés. C'est très facile à préparer. Qui veut la goûter ? * Monique Müller |
Déposé par poutounou le 25/11/2015Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
Déposé par poutounou le 21/11/2015C’est toujours l’automne mais nous nous rapprochons à grands pas de l’hiver et du froid. L’important c’est d’avoir chaud au cœur, le reste n’est que détail…. * Un village * Des murs crépis, de pauvres toits, Un pont, un chemin de halage, Et le moulin qui fait sa croix De haut en bas, sur le village. Les appentis et les maisons S'échouent ainsi que des choses mortes ; Le filet dort : et les poissons sèchent, Pendus au seuil des portes. Un chien sursaute en longs abois ; Des cris passent, lourds et funèbres ; Le menuisier coupe son bois, Presque à tâtons, dans les ténèbres. Une pauvresse aux longues mains Du bout de son bâton tâtonne De seuil en seuil, par les chemins ; Le soir se fait, et c'est l'automne. * Emile Verhaeren |
Déposé par poutounou le 17/11/2015En ces temps si « durs », si « sombres », il est bon de garder au fond de soi, une petite lumière qu’on appelle « Espérance ». * La petite espérance * C’est la petite lumière qui brille au fond de son coeur Et que nul au monde ne saurait éteindre. Si ton coeur est brisé, malheureux, éperdu Si ta vie est triste, monotone, sans saveur Si l’angoisse parfois et souvent te saisit La petite espérance est là, au fond de ton coeur Qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver Elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, Tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel Si tu n’as plus le goût à rien, ni même celui de vivre… La petite espérance est encore là, au fond de ton coeur Qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source Le jeune bourgeon qui permet à l’arbre de reverdir La clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon coeur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves Toi qui ne connais pas le mot « Fin« . * Auteur inconnu |
Déposé par poutounou le 13/11/2015Poème de notre ou nos anges pour nous… * J’aimerais être l’ange de ton sommeil, Te protéger jusqu’au réveil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cœur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rêves les plus enfouis. Je garderai précieusement la clé Des plus profondes de tes pensées. Je dissiperai le brouillard Qui détruit tous les espoirs. Et lorsque tu te réveilleras Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi. |
Déposé par poutounou le 09/11/2015Le plus beau cadeau * Faire le plus beau cadeau à quelqu'un : Ce n'est pas l'aider, Ce n'est pas combler ses désirs, Ce n'est pas lui apporter la sécurité, Ce n'est pas l'Aimer. NON. * C'est lui donner sa liberté, C'est l'accompagner QUELS QUE SOIENT ses choix, C'est lui montrer sa propre lumière, C'est croire en lui, C’est toujours rester dans la vérité, ET SURTOUT, C'est être à son écoute et lui donner l'occasion de s'Aimer... |
Déposé par rafia le 07/11/2015La tombe dit à la rose La tombe dit à la rose : – Des pleurs dont l’aube t’arrose Que fais-tu, fleur des amours ? La rose dit à la tombe : – Que fais-tu de ce qui tombe Dans ton gouffre ouvert toujours ?La rose dit : – Tombeau sombre, De ces pleurs je fais dans l’ombre Un parfum d’ambre et de miel. La tombe dit : – Fleur plaintive, De chaque âme qui m’arrive Je fais un ange du ciel !Par Victor Hugo, , |
Déposé par poutounou le 05/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?". Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire". "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
Déposé par ovanek le 01/11/2015💖 💖 💖 7 💖 💖 ** Complicité ** Que de complicité partagée par cet amour inégalé Que ton cœur nous a donné et ne cessera de continuer Ton élégance si naturelle Ton dévouement si fidèle Nous a laissé une telle empreinte Qu’à notre peine manque une étreinte Quand ton âme s’en est allée Et que le calme s’est installé La détresse de ce silence marque à jamais ton importance Ton image restera telle Une immense étincelle Qui jamais s’éteindra et ta place tu garderas ** pensée ** 💖 |
Déposé par poutounou le 31/10/2015Pour la Toussaint et la fête des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle à son amour comme nous le sommes à nos anges…. * Une ombre qui passe… * Toute de noir vêtue et sa canne à la main, Elle avance à pas lents dans la petite allée En serrant sur son coeur cette fleur d'azalée Qu'elle va déposer juste au bout du chemin. * Qui pourrait maintenant dire quel est son âge? Elle vient chaque jour retrouver un moment Celui dont le départ a causé son tourment. La douleur a creusé les traits de son visage. * Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas, dans le calme apaisant du petit cimetière, Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière Pour aller au plus tôt le rejoindre là-bas. * Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite : C'est le jour de l'année où chacun se souvient Qu'un être cher repose en la tombe qu'il vient Couvrir de belles fleurs, comme pour une fête. * Présence inopportune où sombre sa douleur, Elle ne peut ce soir, comme à son habitude, partager un instant de tendre solitude Avec celui qui fut sa source de bonheur. * Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe, En essuyant un pleur du revers de la main. Elle sera fidèle au rendez-vous demain, Lorsque les visiteurs auront quitté la place. |
Déposé par poutounou le 28/10/2015Lorsque je raconte autour de moi que je vais tous les jours sur le cimetière pour chiens, les réactions sont quelquefois bizarres… Beaucoup de « gens » ont du mal à accepter la différence…. Vive la tolérance ! * Nous autres les rêveurs aux idées un peu folles Sommes interpellés par les intolérances Qui pullulent en nos mondes envers les différences Dans la vie de chacun et elles nous affolent * Heureux est lors celui dont l’esprit batifole Seraient ternes les jours sans quelques dissemblances Et vivre sous le joug de lois sans tolérance Venues de temps anciens ne peut point faire école * La vie en harmonie apporte maints plaisirs La nature nous guide en des choix à loisir Elle a fait des unions sous nombres de symbioses * L’homme pourtant doté de multiples cultures Serait bien inspiré s’il suivait la nature Et gagnerait en sus un statut grandiose |
Déposé par poutounou le 24/10/2015Jolie petite histoire… * Les deux scarabées * Un scarabée montait la rue, Un scarabée la descendait. -Passez donc, monsieur, s’il vous plait, Puisque vous descendez la rue. -Après vous, monsieur, s’il vous plait, La remonter est plus ardu. Chacun tenant son chapeau gris Dans une main gantée de gris Voulait être le plus poli Des scarabées nés dans la dune. Ils s’étaient croisés à midi. A minuit, madame la lune Les vit encore se souriant, Se parlant et se saluant, Chacun tenant son chapeau gris Dans une main gantée de gris. * Maurice Carême |
Déposé par poutounou le 20/10/2015Un des plus beaux métiers du monde… * Le bâtisseur de ponts * Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux. Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines. * Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire... * - Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir. * L'homme répondit : - Je crois que je comprends la situation. * L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine. * Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant : - Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi ! * Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir. * - Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi. * Mais il répondit : - Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire... |
Déposé par poutounou le 16/10/2015Il dit vraiment n’importe quoi, le petit doigt ! * Un petit doigt bavard * C’est mon p’tit doigt qui m’ l’a dit Au jardin des deux chats gris Une fourmi en bigoudis Est sortie d’un trou de souris Mon petit doigt affabule Au jardin des campanules Libellule et tarentule Tricotent des mandibules Mon petit doigt a raison Au jardin des hérissons Moi j’ai vu deux limaçons Ficelés comme des saucissons Qui enfilaient leurs caleçons * Chantal Abraham |
Déposé par poutounou le 12/10/2015A vos aiguilles et pelotes…..Je vais demander à Monsieur l’écureuil de me tricoter un joli bonnet pour l’hiver qui ne va pas tarder…. * L’écureuil * Dans le tronc d'un platane Se cache une cabane. Un petit écureuil Est assis sur le seuil. Il mange des cerises, Tricote une chemise; Recrache les noyaux, Se tricote un maillot; Attaque les noisettes, Fait des gants, des chaussettes... Qu'importe s'il fait froid ! Tant pis si vient l'hiver ! Une maille à l'endroit, Une maille à l'envers : L'écureuil, fort adroit, Se fait des pull-overs. * Jean-Luc Moreau |
Déposé par poutounou le 08/10/2015Prenons notre plus belle plume et écrivons tout ce qui nous passe par la tête….des mots doux à nos anges, par exemple. * J’écris * J'écris des mots bizarres J'écris des longues histoires J'écris juste pour rire Des choses qui ne veulent rien dire. Ecrire c'est jouer. J'écris le soleil J'écris les étoiles J'invente des merveilles Et des bateaux à voiles. Ecrire c'est rêver. J'écris pour toi. J'écris pour moi J'écris pour ceux qui liront Et pour ceux qui ne liront pas. Ecrire c'est aimer. J'écris pour ceux d'ici Ou pour ceux qui sont loin Pour les gens d'aujourd'hui Et pour ceux de demain. Ecrire c'est vivre. * Geneviève Rousseau |
Déposé par poutounou le 04/10/2015Il y a tant de beaux mots dans la langue française…..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges… * Les mots qui font vivre * Il y a des mots qui font vivre Et ce sont des mots innocents Le mot chaleur et le mot confiance Amour, justice et le mot liberté Le mot enfant et le mot gentillesse Et certains noms de fleurs et Certains noms de fruits Le mot courage et le mot découvrir Et le mot frère et le mot camarade Et certains noms de pays, de villages Et certains noms de femmes et d'amis. * Paul Eluard ( 1895-1952) |
Déposé par poutounou le 30/09/2015Et oui ! Avec tout l’amour qu’ils donnent, ils arrivent à faire des miracles, nos Amours à quatre pattes…. * "Gigica est le plus petit chien de l’équipe Dogs For People de QUATRE PATTES. Elle a été sélectionnée pour travailler avec Cornel, un petit trisomique de cinq ans. Pendant leur première année ensemble, le garçon a fait des progrès incroyables. Il est à présent capable d’interagir, de s’amuser avec des jouets ou de se tenir debout. C’est là encore une histoire à succès du projet Dogs for People de QUATRE PATTES. La première tâche de Gigica a été d’amener Cornel à ne plus avoir peur d’elle. Même s'il a fallu un certain temps avant que le petit garçon de cinq ans se rassure, il a peu à peu commencé à considérer la présence du chien comme tout à fait normale. Le caractère doux de Gigica et sa petite taille ont ici joué un rôle important. C’étaient d’ailleurs là les principaux critères qui avaient amené à la choisir pour cette tâche. Après l’acceptation, il y a eu le contact visuel, constituant une nouvelle percée : les yeux de Cornel suivaient les mouvements de Gigica, suivaient tout ce qu’elle faisait avec beaucoup de curiosité. Cette curiosité est bientôt devenue si forte qu’il a permis à Gigica de s’approcher pour pouvoir toucher son pelage. Pour le petit garçon qui présente également des symptômes autistes, cette expérience du contact proche et du toucher était quelque chose de tout à fait nouveau. * Au fur et à mesure que sa relation avec Gigica se développait, la période d’attention de l’enfant a augmenté, mais c’était loin d’être tout. La façon dont il se rapprochait tout près du chien, comme s’il voulait l’examiner au microscope, signalait clairement qu'il avait développé un réel intérêt pour un autre être vivant. Cornel a commencé à jouer avec des jouets – ce qu’il n’avait encore jamais fait. A présent, il se reconnaît lui-même dans la glace et s’y découvre. Il danse avec sa thérapeute Ema et Gigica aux sons de la musique de la radio. Ce sont des progrès inouïs pour un petit garçon qui ne parvenait pas à établir le contact avec les gens qui l’entouraient avant d’avoir rencontré Gigica. Elle est devenue l’année dernière un élément central de sa vie et de son bien-être. Son caractère exceptionnel, sa patience et son intelligence ont obtenu d'incroyables succès." |
L'Album photo contient 1 photo