Bon anniversaire gentille Viana. Je te souhaite une bonne et belle journée entouré de tous tes amis qui t'aiment et qui auront à cœur de te le faire savoir.
Maman Chantal ne s'est pas réveillée ce matin et est très en retard pour aller voir les loulous à qui elle portera la bonne nouvelle afin que tous t'envoient leurs vœux les plus sincères.
Je t'embrasse petit cœur. Maman/Marraine Chantal

Délicieuse petite Viana
Bien que ta grande sœur Mimi et toi ayez des caractères diamétralement opposés tu possèdes aussi sa classe et sa bonté qui est la caractéristique de votre famille. Avec toi pas de grands discours, «Qui m’aime me suive» pourrait être ta devise et Juliette a bien fait de t'emboîter le pas sans ronchonner car il ne pouvait résulter que du bon de votre association qu'elle soit sportive ou amicale.
Tu es un élément de poids dans cette ennéade souvent chamboulée par des dates inévitables ou des petits incidents terrestres qui troublent la quiétude de votre paradis mais tout en partageant le tourment des tiens tu ne leur permets pas de s’appesantir outre mesure et c'est ce que j'aime en toi.
Nous pouvons dire que tu es née il y a 31 ans aujourd'hui pour la joie et c'est donc de tout mon cœur que je te dis
JOYEUX ANNIVERSAIRE VIANA CHÉRIE !
Maman Anne qui te fait un gros câlin pour l'occasion
♥

Le printemps reviendra
*
Hé oui, je sais bien qu’il fait froid,
Que le ciel est tout de travers;
Je sais que ni la primevère
Ni l’agneau ne sont encor là.
La terre tourne ; il reviendra,
Le printemps, sur son cheval vert.
Que ferait le bois sans pivert,
Le petit jardin sans lilas ?
Oui, tout passe, même l’hiver,
Je le sais par mon petit doigt
Que je garde toujours en l’air…
*
Maurice Carême
*
Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid…

❤
*** je sais ***
Un amour déjà passé
Des souvenirs presque effacés
Et pourtant tu continues De hanter ma pensée
Toutes les nuits Mes sentiments enfuient
Envahissent mes rêves Sans me laisser de trêves
J’en suis intimement persuadée
Je sais que je vais te retrouver
Sur une simple intuition
J’ai fondé mon espoir le plus profond
Comme si nous étions destinés
Mais trop vite séparés Je continue de croire en nous
Et en mes rêves fous Je ne sais pas quand
Peut- être dans bien longtemps
Mais un jour c’est certain
De nouveau ensemble jusqu’à la fin
***** Pensée *****
❤

Ma très chère Viana
Tu es tellement enjouée que même dans les moments graves tu réussies à nous détendre et ta chère présence hier était plus nécessaire que jamais car tenir la promesse que j'avais faite n'était pas évident une fois au pied de la croix.
Merci chère Amie pour tes regard d'encouragement et tes discrets serrements de patte.
Ton Chin qui espère te rendre la pareille le moment venu
♥

Je suis sortie ce soir,
seule, sous l'ombre troublée,
à travers la pluie du miroir,
aux larmes de mes pensées.
Pour attraper un peu de toi,
je n'avais plus qu'à me cacher,
sous ce parapluie noir d'émoi
et laisser les gouttes m'inonder.
C'était pas il y à demain...
C'était pas, il y des mois...
Le temps est une traine de toi,
qui oublie la pluie sans fin.
Il transporte les rivières.
Transforme les torrents d'hier.
Déverse ses larmes aux abois,
qui dégoulinent à soif de toi.
Sur l'horizon blême,
au ciel sans but même.
Cachée sous l'ombrelle,
j'écoute la pluie ruisselle.
C'était pas il y a des heures...
C'était pas il a des siècles...
Le temps de toi qui passe,
me traine tant qu'il me glace.
Sur mes joues de chagrin,
il pleut de toi sans fin.
J'entends pleurer la pluie,
en silence dans la nuit.
Je n'avais plus qu'à me fondre,
sous cette ondée de tristesse.
Me décomposer et me confondre,
en pluie de larmes caresse.
Myriam Ghibaudo,

L'arbre de la tolérance
*
Pour toi, bel Ange…
*
Quels mots veux-tu que j'apprivoise pour toi aujourd'hui ?
Pendre, prendre, prétendre
Ils sont bien trop enferrés aux boulets de la vanité
*
Prévaloir, pouvoir, avoir
Ceux-ci vivent leur deuil
Au fond des prisons d'orgueil
*
Imposer, condamner, spéculer
Tous sont opprimés
Dans les étaux de la cupidité
*
Pour toi j'apprivoiserai plutôt les mots
Ecouter, respecter, partager
Et si c'est leur préférence
Je leur offrirai les fleurs de la tolérance
*
Pour toi, j'apprivoiserai plutôt les mots
Apprendre, comprendre, entendre
Et si c'est leur volonté
Je leur offrirai les branches de l'humilité
*
Pour toi, j'apprivoiserai surtout les mots
S'ouvrir, sourire, offrir
Et si c'est pour toujours
Je leur offrirai l'arbre d'amour

❤
** Je te regarde **
Maman de cœur, sèche tes pleurs
Ton petit chien te regarde
Un souffle autour de toi se complait et s’attarde
C’est mon âme qui cherche à consoler ton cœur
Je viens faire cesser ce mensonge
De la mort que l’on veut allier au néant
Malgré qu’à tes yeux je demeure invisible
Je suis à tes côtés n’ayant pas oublié mon rôle de soutien
Je quête en retour un sourire éclairé de lumière et d’espoir
Que jadis en ma vie j’ai tant de fois senti
N’accuse pas la divine puissance
Car pour moi cette mort fût une renaissance
Une grande envolée au bienheureux séjour
J’ai délaissé mon corps
Et mon âme est partie
Ébloui j’ai atteint un splendide domaine
Où règne sans mélange un bonheur infini
Je sillonne l’espace et ses champs lumineux
Je franchis des torrents, des montagnes de rêve
De magiques forêts, des fleuves enchantés
A chacun de mes pas quelques soleil se lève
Tu ne peux plus pleurer puisque je m’émerveille
Nous nous retrouverons dans l’éternel bonheur
*** Pensée ***
❤

Mon hiver
*
Mon hiver est parfumé
De cendres, de feux de cheminées,
D’encens et de lavande
pour tous mes enrhumés...
Mon hiver est beau,
De blanc et de glace,
De givre sur les arbres,
De palais transparents.
Mon hiver je l’entends
Grincer dans les branches,
Craquer sous mes pas,
Souffler dans les ruelles...
Je colle mon nez à la vitre
Mon hiver est buée
A nouveau il m’invite,
à me recroqueviller.
*
Veronik Leray

Au-delà des soupirs
Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire,
Tu es parti trop vite sans me prévenir..
Immense est mon regret, Je voudrais te le dire
Au de-là du chagrin, au-delà des soupirs.
Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence
Sans cesse je remue de précieux souvenirs.
Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance.
Mes plus belles pensées vont vers toi dès l’aurore,
Je t’appelle et te parle avant de m’endormir,
Au de-là du chagrin, au-delà des soupirs.

** à Nouveau **
Mon chien que j'aimais bien
Est parti pour un beau voyage
Il est parti dans des contrées
D'où l'on ne revient jamais
Nous l'aimions bien notre chien
Et c'est avec une certaine peine
Que je peux m'exprimer
Nous étions lui et moi plus que des amis
Nous avions une certaine intimité
On se regardait et l'on se comprenait
Sans besoin de parler
Comme seul peuvent le faire ceux qui s'aiment...
Et nous nous savions Nous aimer
Ami peut-être un jour,
A nouveau nous serons réunis
**** Je t'aime mon chien ****

je cherches à les chasser, mais je n'y arrives pas.
je fermes les yeux, elles reviennent......
Je voudrais dormir, elles viennent hanter mes nuits.......
J' essaies pourtant !
Je sors, je vois des gens, mais rien y fait.............
Elles reviennent à la charge, ses images,
dont la moindre pensée me donne des frissons
Mon coeur est marqué à jamais
Des séquelles dans ma chaire gravées
qui toujours me rappeleront
que l'amour est un poison.,

avec un jour de retard mais je pense à toi petit coeur,
Mon Amour ,
Ce jour d'hiver
tu t'en es allé
de l'autre côté
d'où l'on revient ..
Me laissant dans le désarroi,
je continue certes mon chemin
avec ses joies et ses peines...
Pas un jour ne passe sans que ton nom soit prononcé
tu vis dans mon cœur ,
la douleur est présente
et je sais qu'elle disparaîtra
le jour où ...

Petit poème joli pour toi, bel ange…
*
Janvier, pour dire à l'année "bonjour"
Février pour dire à la neige "il faut fondre"
Mars pour dire à l'oiseau migrateur "reviens"
Avril pour dire à la fleur "ouvre-toi"
Mai pour dire "ouvriers nos amis"
Juin pour dire à la mer "emporte nous très loin"
Juillet pour dire au soleil "c'est ta saison"
Août pour dire "l'homme est heureux d'être homme"
Septembre pour dire au blé "change toi en or"
Octobre pour dire "camarades, la liberté"
Novembre pour dire aux arbres "déshabillez vous"
Décembre pour dire à l'année "adieu, bonne chance"
Et douze mois de plus par an,
Mon Ange
Pour te dire que je t'aime.
*
Alain Bosquet

Tu manques, si tu savais
Infiniment, tout doucement
Tu manques, si tu savais
Tu manques drôlement
je compte sur toi
pour envoyer un peu de poussière de fée dans le cœur de ta gentille maman
pour adoucir sa peine
amitié

❤
**** Je me demande parfois ****
Pourquoi tu es parti si loin de moi
Toi qui berçait mon cœur A qui j'ai donné tellement d'amour
C'est envolé sans rancœur en me laissant triste chaque jour
Peut-être est-tu heureux dans ce monde même où je ne suis pas
Mais je sais que mon bébé m’attend bien sagement là-bas
Que j'aille le rejoindre un jour
Ce jour si beau sera peut-être mon dernier repos
** Pensée **
❤

Une fois la nuit tombée,
Quand le sommeil nous a emporté,
Lorsqu'enfin tout est calme et léger,
Loin du tumulte de la journée,
Nos anges, doucement viennent nous frôler.
Tout près de nous délicatement, ils vont se poser.
Sur notre front, une léchouille doucement ils vont déposer.
A notre oreille un "je t'aime" ils vont nous murmurer.
De leurs ailes, ils vont nous envelopper,
Et peut-être même...dans un tourbillon de bonheur ils vont nous emporter.
Puis au matin revenu, à nouveau, ils vont nous quitter.
Non sans nous avoir une dernière fois léchouillés.
Mais de doux rêves ils nous auront laissé.
Et le soir même, ils l'ont promis, ils vont repasser.

Ma très chère Viana,
Je connais bien l'hommage que t'a rendu maman Marie sur le site et je connais bien aussi ton caractère au travers de toutes les manifestations de l'ennéade.
J'espère ne pas te déplaire en te dévoilant le fond de ma pensée à savoir que souvent tu m'as fait penser à Joséphine dite "Jo" l'une des quatre filles du Dr March bien que vous ne soyez que trois.
Audacieuse, enjouée, impulsive, mais aussi généreuse et courageuse. Je fais partie de la génération qui lisait beaucoup et ces héroïnes de roman me plaisaient énormément. Je me souviens de cette "Jo" encore maintenant.
Il va sans dire que tes amis de l'ennéade ont apprécié à un moment ou à un autre l'une de ces qualités et c'est pourquoi tu leur es si précieuse. J'espère que tu ne m'en voudras pas de cette comparaison qui s'est imposée à moi dès que j'ai fait ta connaissance.
Tu sais que tes ami(e)s t'entoureront de leur belle affection tout au long de cette journée et moi je suis allée à Chamarande hier pour être en communion de pensée avec maman Marie en ce dimanche où je ne sors pas. A la veille de chaque envol de l'un d'entre vous je ne dors jamais bien et cette nuit les "caniches" sont venus me visiter. Aucun caniche en particulier mais ce matin, comme tous les matins d'ailleurs, je suis allée sur le site du refuge pour y voir que le petit "Rainbow" caniche âgé de 13 ans avait enfin été adopté. Je SUIS PERSUADEE que ton cœur généreux y est pour quelque chose il ne peut en être autrement. Alors un grand merci petite Viana. Je t'embrasse de tout mon cœur. Maman/Marraine Chantal

Ma petite fille chérie,
Il m’est bien difficile de croire que tu nous as quittés il y a 17 ans déjà ! Il m’est tout aussi difficile de revivre cette dernière journée de ton envol qui s’est produit dans la souffrance. La tienne tout d’abord, intolérable et déchirante, mais aussi celle de tous ceux qui t’aiment et qui t’ont entourée de leur amour jusqu’à ton départ. Même si le moment de donner notre accord pour cette piqure qui allait t’aider à partir dans la dignité fut un déchirement pour tous, ce fut aussi un immense acte d’amour.
Aujourd’hui je ne veux me remémorer que les merveilleux moments que nous avons vécus auprès de toi, des souvenirs inoubliables de bonheur et d’amour. Mais quand je retrace toutes ces années dans ma mémoire, c’est un sentiment de douce béatitude qui m’envahit. Ces (presque) quatorze années passées ensemble sont une tranche de vie qui a énormément contribué à faire de nous ce que nous sommes aujourd’hui : les enfants qui ont appris le partage et la tendresse grâce à ta personnalité généreuse et exubérante, les deux premiers petits-enfants qui pourtant n’étaient pas toujours très doux avec toi mais auxquels tu as fait comprendre le respect dû à un animal et enfin à papa et moi qui ne pouvaient plus concevoir une vie sans cette présence chaleureuse qu’il n’y a que vous, petits êtres merveilleux, qui pouvez l’offrir.
Je ne t’écris pas aussi souvent qu’à ta petite sœur, mais cet hommage je te le devais en remerciement pour tout ce que tu nous as donné.
Vole petit ange, libre et soulagée de tes souffrances et que ton éternité soit à l’image de ce que tu mérites.
Ta maman et ton papa

Pour toi belle Viana.
Absence
L'année s'est écoulée, me laissant bien songeuse,
Les mois ont défilé, si rapides si courts,
Pourtant la vie s'étire et l'espace se creuse
Nous séparant, hélas, un peu plus chaque jour.
À l'encontre du temps, en retour, en arrière,
Je m'efforce d'aller, j'essaie de revenir.
Il me reste ce soir le triste anniversaire
Pour empêcher l'oubli, pour mieux le contenir.
Tu m'offres cependant la chance inespérée
De te voir apparaître au milieu de mes nuits ;
Mais ta visite est brève alors, désemparée,
Je m'accroche en pleurant au rêve qui s'enfuit.