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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERA BB LUCKY
Il est né le:24/08/1995
Il nous a quittés le:21/09/2010
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En hommage à
A BB LUCKY
55 bougies
55630 Fleurs
Déposé par Eric11100 Repose en paix mon petit Lucky tes maître ne t'oublieront jamais tu restes graver dans leur coeur . Déposé par crocrotte bb lucky l'amour que te porte ta maman sera etenerl et dit a ma nounoute que je l'aimerais aussi toujours tendre pensee a ta maman la maman de nounoute Déposé par missbabys bb lucky continue de briller dans le ciel que ta maman sache que tu vas bien et qu'elle ne doit plus s'inquièté,la nuit elle pourra te voir et ca l'aidera à avancer..douce caresses pour toi lucky Déposé par myriam31 Un gros câlinou pour mon BB d'amour, fais de doux rêves mon ange, Tu ma manques tant, ta maman qui t'aimera toujours |
5164 messages
Déposé par nikita le 25/11/2015BB LUCKY mon beau petit cœur Ça fait bien du temps que tu n’es plus là ! Et que j’essaye de vivre sans toi Je me souviens encore du jour ou tu es parti Ce jour ou ma vie a été anéantie Depuis que tu as quitté cette terre J'ai juste envie de te dire à quel point mon cœur se serre Dans ces moments là malgré mes petits bonheurs Je ne peux retenir mes larmes et mes pleurs Sais tu seulement que tu me manques à chaque instants Simplement te dire que je t 'aime tant Tu es présent dans mes moindres pensées Je sais que tu es là juste à mes cotés Et que si mes yeux ne te voies pas Mon cœur bat toujours pour toi pour toi mon beau BB LUCKY un envol de doux baisers qui sur ta jolie frimousse vont se déposer avec des douces pensées pour toi et ta maman à qui tu manques tant |
Déposé par colombine67 le 25/11/2015Un petit garçon de 8 ans. Son père, un scientifique, cherche à résoudre les problèmes de l’humanité. Le petit entre, lui tire la manche et lui dit : « Papa, je veux t’aider ! » Son père le renvoie : « Non, mon fils, j’ai beaucoup de travail. » Mais le petit insiste. Il y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu’il lui remet avec de la colle : « Voilà, essaie de reconstruire le monde. » Croyant occuper ainsi son fils pour une dizaine de jours. Mais après deux heures, le fils a résolu le problème. « Comment as-tu pu faire cela ? » « Eh bien, Papa, j’ai vu que l’autre côté de la carte, il y avait la figure d’un homme. Le monde, je ne le connais pas. mais l’homme, si. Alors, j’ai retourné tous les petits papiers. Et j’ai d’abord reconstruit l’homme. Puis, j’ai retourné le papier, j’avais reconstruit le monde aussi. » Anonyme |
Déposé par poutounou le 24/11/2015Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
Déposé par colombine67 le 24/11/2015 Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant qui a raté un examen. Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt. Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire. Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui attendent de se revoir. Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion. Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident. Pour apprendre la valeur d'une milliseconde, demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux Jeux Olympiques. Le temps n'attend personne. Rassemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur. Partage les avec une personne de choix et ils deviendront encore plus précieux. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 23/11/2015Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques Aimez-les tout de même ! Si vous faites le bien, les gens vous prêtent des motifs égoïstes ou calculateurs Faites le bien tout de même ! Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis Réussissez tout de même ! Le bien que vous faites sera oublié demain Faites le bien tout de même ! L'honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable Soyez honnête et franc tout de même ! Ce que vous avez mis des années à construire peut être détruit du jour au lendemain Construisez tout de même ! Les pauvres ont vraiment besoin de votre secours mais certains peuvent vous attaquer si vous les aidez Aidez-les tout de même ! Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même vous risquez d'y laisser des plumes Donnez ce que vous avez de mieux tout de même ! Texte placardé sur le mur de Shishu Bhavan, le foyer des enfants de Mère Teresa, à Calcutta |
Déposé par colombine67 le 22/11/2015 Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine, Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine, Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer, Vous me dites enfin que je suis fatigué. Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m'en flatte. J'ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate, Je m'endors épuisé, je me réveille las, Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas. Ou quand je m'en soucie, je me ridiculise. La fatigue souvent n'est qu'une vantardise. On n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit ! Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ? Je ne vous parle pas des sombres lassitudes, Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude, N'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons... Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon... Lorsqu'on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre... Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ; Elle fait le front lourd, l'oeil morne, le dos rond. Et vous donne l'aspect d'un vivant moribond... Mais se sentir plier sous le poids formidable Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable, Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains, Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain, Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source, Aider une existence à continuer sa course, Et pour cela se battre à s'en user le coeur... Cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur. Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre, On va aider un être à vivre ou à survivre ; Et sûr qu'on est le port et la route et le quai, Où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ? Ceux qui font de leur vie une belle aventure, Marquant chaque victoire, en creux, sur la figure, Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus Parmi tant d'autres creux il passe inaperçu. La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste, C'est le prix d'une journée d'efforts et de luttes. C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit, Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit. C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie, C'est la preuve, Monsieur, qu'on marche avec la vie. Quand je rentre la nuit et que ma maison dort, J'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ; Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance, Et ma fatigue alors est une récompense. Et vous me conseillez d'aller me reposer ! Mais si j'acceptais là, ce que vous me proposez, Si j'abandonnais à votre douce intrigue... Mais je mourrais, Monsieur, tristement... de fatigue. Robert Lamoureux |
Déposé par ovanek le 21/11/2015💖 💖 💖 104 💖 💖 *** Cri de Toi *** Je m´aperçois que rien ne va bien Je m´aperçois que rien ne vaut rien Le monde, je n´y suis pas chez moi Je crois que je ne comprends pas, Que tu ne comprends pas Quelques larmes coulent de mes yeux Et je sais que malheureux N´est pas un mot pour nous deux, Que nous méritons bien mieux Nous méritons bien mieux Qui, de la nuit ou de toi, reste désenchanté? Qui, de la nuit ou de moi, est le plus désolé? Je crie en vain, je ne sais plus rien Je doute de tout, tu le sais bien Je t´aimais si fort autrefois Tu étais si beau, je crois Si beau, je sais Au plus profond de tes yeux Je m´éblouis encore un peu Je m´égare, je m´en veux Oui, nous méritons bien mieux Nous méritons bien mieux Tu me manques *** Mes Pensées …..Phil *** 💖 |
Déposé par Galinette3 le 21/11/2015🐶 Si l'eau était des bisous je te donnerais la mer 🐶 si une planète était un câlin je te donnerais l'univers 🐶 Si un nuage représentait l'amour je te donnerais le ciel 🐶 mais tu n'as pas besoin de me donner quelque chose 🐶 parce que tu m'as déjà donné ton amour 💖 BB Lucky |
Déposé par colombine67 le 21/11/2015Si quelqu'un ne parvient pas à voir clair dans son être, son esprit est une vitre opaque qui le cache à lui-même ; il est aveugle à son âme : feu divin qui flamboie dans l'âtre de son corps ; il parle et agit obscurément. Mais s'il arrive à être lucide, il laisse filtrer la lumière, la vérité sur sa nature, qu'il saisit et offre aux autres sous la forme éclairante de paroles et d'actes sages. Laurent GRENIER |
Déposé par tinou20042001 le 20/11/2015A CHAQUE FOIS QUE JE PRONONCE TON NOM A chaque fois que je prononce ton nom, A chaque fois que j'appelle pour voir ton visage Quelque soit le pain dans ma bouche, Quelque soit le plus doux vin que j'ai gouté Quand ta mémoire nourri mon âme, qu'importe ce qui est cassé devient entier Quand je suis traversé par les doutes que nous serons ensemble Qu'importe où je me couche, qu'importe où je pose ma tête pour dormir A chaque fois que je suis blessé et que je pleure, A chaque fois que je me réveiller et pleure Quand j'ai besoin de prier, Quand j'ai besoin de trouver une voie Je crie ton nom Quand ces nuages noirs cachent la Lune Quand ce monde devient si étrange Je sais que quelque chose va changer Quelque chose va changer Quand je dis ton nom, Quand je dis ton nom Je suis déjà en train de prier, je suis déjà en train de prier Je ressens déjà une joie que je ne peux expliquer Qu'importe le lieu ou je m'allonge, où je pose ma tête fatiguée pour dormir Quand je suis blessé et pleure, Quand je doit me reveiller et pleure Quand je suis sur le sol Qu'importe ce que je pensais avant Quand je prononce ton nom, Quand je le dis fort, Je suis en train de prier Quand ce monde m'achève, Quand je laisse une larme Quand la télévision me rend fou, quand jes uis paralysé de crainte Quand ces nuages noires traversent le ciel, quand je perds la raison pourquoi Quand je suis traversé par les doutes que nous serons ensemble Quand le ciel refuse de briller, quand le ciel est plein de pluie Quand je perds ce qui était à moi, quand je ferme mes yeux dans la douleur Quand je m'agenouille pour prier, quand j'ai besoin de trouver une voie Je crie ton nom Quand la nuit commence à tomber Quand je suis vulnérable et petit Quand je sens que je pourrais mourir Quand je retiens les larmes que je pleure ton nom, A chaque fois que j'appelle pour voir ton visage Je suis déjà en train de prier Quelque soit le pain dans ma bouche, Quelque soit le plus doux vin que j'ai gouté Qu'importe le lieu ou je m'allonge, où je pose ma tête fatiguée pour dormir Quand je suis blessé et pleure, Quand je suis forcé de me lever pour pleurer Quand je suis sur le sol Qu'importe ce que je pensais avant Quand je prononce ton nom, Je le prononce fort, Je suis déjà en train de prier Quand je prononce ton nom Qu'importe le temps que ça prend Un jour nous serons ensemble Quand je prononce ton nom Laisse il n'y a pas d'erreur Ce jour durera toujours STING |
Déposé par poutounou le 20/11/2015C’est toujours l’automne mais nous nous rapprochons à grands pas de l’hiver et du froid. L’important c’est d’avoir chaud au cœur, le reste n’est que détail…. * Un village * Des murs crépis, de pauvres toits, Un pont, un chemin de halage, Et le moulin qui fait sa croix De haut en bas, sur le village. Les appentis et les maisons S'échouent ainsi que des choses mortes ; Le filet dort : et les poissons sèchent, Pendus au seuil des portes. Un chien sursaute en longs abois ; Des cris passent, lourds et funèbres ; Le menuisier coupe son bois, Presque à tâtons, dans les ténèbres. Une pauvresse aux longues mains Du bout de son bâton tâtonne De seuil en seuil, par les chemins ; Le soir se fait, et c'est l'automne. * Emile Verhaeren |
Déposé par Touky le 20/11/2015Cher BB Lucky, j'ai plein de soucis ces temps, et peu de temps, juste un peu aujourd'hui pour voir que ta maman a eu la gentillesse d'un message à Fifi, et cela ma fait grand plaisir. Je ne veux pas finir la semaine sans lui adresse un petit coucou amical, et te faire plein de bisous dans ton paradis. |
Déposé par colombine67 le 20/11/2015 Je t'offre, mon Dieu, mon regard et mes bras. Je t'offre mes mains pour soigner la souffrance. Je t'offre mon expérience et quel qu'en soit le prix je t'offre mes efforts et ma persévérance. Donne-moi d'écouter celui qui vient me voir, celui qui me demande de le réconforter. Donne-moi d'écouter sans relâche. Donne-moi de soigner celui qui dit : « J'ai mal », celui qui me demande encore de l'apaiser. Donne-moi de soigner sans relâche. Donne-moi de donner mes instants à tous ceux qui demandent le soulagement. Donne-moi de me donner sans cesse. Donne-moi de ne pas oublier que si j'ai le pouvoir de soigner, je suis fait avant tout pour servir. Donne-moi de ne pas m'affaiblir. Garde-moi de la peur et de l'indifférence, garde-moi de l'oubli. Donne-moi de voir l'ami, le frère, dans la main tendue. Aide-moi à marcher avec lui. Je t'offre, mon Dieu, ma joie pour accueillir, mon coeur pour soulager, ma force pour tenir, et ma vie pour soigner. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 19/11/2015Que tous les êtres soient remplis de joie et de paix. Que tous les êtres, partout, Les forts et les faibles, Les illustres et les insignifiants, Les misérables et les puissants, Les grands et les petits, Les subtils et les grossiers ; Que tous les êtres, partout, En vue ou dans l'ombre, A proximité ou à mille lieues, Etant ou dans l'attente d'être : Que tous soient remplis d'une joie durable. Qu'aucun être n'en trompe un autre, Qu'aucun être nulle part n'en méprise un autre, Qu'aucun être sous l'emprise de la colère ou du ressentiment Ne souhaite jamais le malheur d'un autre. Tout comme la mère fait de sa vie un rempart pour protéger de la souffrance son enfant, son unique enfant, Laisse grandir en toi Un amour sans bornes de toutes les créatures. Laisse ton amour couler et silloner l'Univers, Dans toute sa hauteur, sa profondeur et sa grandeur, Un amour sans limites, sans haine et sans hostilité. Puis, debout ou en mouvement, Assis ou couché, Tant que tu es éveillé, Lutte pour cela en fixant ton esprit sur un point ; Ta vie t'apportera le paradis sur terre. Bouddha |
Déposé par ovanek le 18/11/2015💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 Hommage Diesel, une chienne de race malinoise, âgée de 7 ans, a été tuée lors de l'assaut mené par les forces de l'ordre à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), mercredi 18 novembre. La nouvelle a été communiquée par la police nationale, sur son compte Twitter, avant de faire l'objet d'un hommage virtuel, avec le mot-dièse #jesuisunchien. 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 18/11/2015 Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons, au petit vent du soir, au coeur de l'été chaud. Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour, à la main qui serre votre main. Car demain, mais n'y pensez pas, demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours. Tenez-vous serrés, ne vous endormez pas sur un reproche non formulé, endormez-vous réconciliés. Vivez le peu que vous vivez dans la clarté. Julos Beaucarne |
Déposé par Galinette3 le 18/11/2015Qu'est ce que la vie ? C'est l'éclair du feu dans la nuit C'est le souffle du bison dans l'hiver C'est la petite ombre qui se hasarde sur l'herbe Et se perd au coucher du soleil. 🐶 CROWFOOT (Blackfeet) |
Déposé par colombine67 le 17/11/2015Comme un arbre... j'ai besoin de lumière... si je suis fermement attachée à mon sol toujours mariée à la terre je grandis néanmoins vers le ciel et je croîs... je mûris en noblesse et en beauté. Par certains jours noirs et sombres de l'hiver ou certaines heures d'automne noyées de pluie je travaille à l'intérieur et j'attends… Nulle protection ni secours incertitude maillée d’espérance je ne commande pas à la nature je collabore avec elle. Comme un arbre j'ai mes saisons mes forces, mes failles. Continuer... comme un arbre ce n'est peut-être pas maudire les intempéries mais les accueillir dormir une courte nuit pour recommencer le lendemain apprendre à mourir pour renaître continuer... comme un arbre c'est peut-être me lever chaque jour avant le jour prête à affronter les coups du sort prête à faire alliance avec ma vie. Je connais misère et grandeur... le passage de la nuit au jour la fraîcheur des rivières à mes pieds et le fruit du labeur de mes bras. Que sais-je encore ? J'ai appris à m'incliner à me redresser à écouter la beauté dans le murmure du vent... parfois ma parure cache mon écorce fragile parfois encore je me dépouille pour mieux me révéler. J'ai le juste orgueil de donner l'ombre au passant comme j'ai la fierté de mes racines profondes. Les marques de mon passé trahissent mon âge, mes peurs et mes pensées voyez mes noeuds d'anxiété mes blessures, branches cassées. Pourtant je m'élève malgré tout je parfume l'air à ma façon... le temps me couronne de fleurs à l'occasion. En vieillissant je me souviens avec émotion de l'oisillon que j'ai bercé et du refuge que j'ai offert aux jeunes de mon quartier. Mes prières deviennent contemplation j’apprécie l'horizon du lendemain… je chante l’oraison. Si l'arbre est fort il craint toujours le feu et le bûcheron de même je frémis devant le mal, la guerre et plus que tout... devant l'indifférence, l’insouciance. Je porte toujours en moi l’arbre de la croix ! Certains arbres deviennent bois de chauffage paniers de bois feuilles de papier bois d'ébénisterie copeaux, gîtes, balai neuf ou lambris. Je parie que la Vie fera de moi une petite feuille de papier fleuri... j'espère qu'on y écrira un vers ou deux de poésie... D’ailleurs, je connais un homme vous savez… qui pour avoir vécu pleinement un temps de mort et d’agonie est à jamais ressuscité ! Lysette Brochu, Regard de foi, août 1988 |
Déposé par poutounou le 16/11/2015En ces temps si « durs », si « sombres », il est bon de garder au fond de soi, une petite lumière qu’on appelle « Espérance ». * La petite espérance * C’est la petite lumière qui brille au fond de son coeur Et que nul au monde ne saurait éteindre. Si ton coeur est brisé, malheureux, éperdu Si ta vie est triste, monotone, sans saveur Si l’angoisse parfois et souvent te saisit La petite espérance est là, au fond de ton coeur Qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver Elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, Tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel Si tu n’as plus le goût à rien, ni même celui de vivre… La petite espérance est encore là, au fond de ton coeur Qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source Le jeune bourgeon qui permet à l’arbre de reverdir La clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon coeur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves Toi qui ne connais pas le mot « Fin« . * Auteur inconnu |
Déposé par ritournel le 16/11/2015Je t'aime mon chien 🐶 Tu m'as donné tant de bonheur Sans rien vouloir en retour Mais voila qu'est venu l'heure Où tu nous quitte pour toujours 🐶 Tu m'as offert les plus beau moments de ma vie Et maintenant te voila partie pour de bon Dans mon coeur, tous nos bon souvenirs resterons Ne l'oublie jamais, je t'aime 🐶 Poème de Sacha |
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