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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERA BB LUCKY
Il est né le:24/08/1995
Il nous a quittés le:21/09/2010
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En hommage à
A BB LUCKY
5 bougies
55811 Fleurs
Déposé par AMARY "Il y a des larmes d'amour qui dureront plus longtemps que les étoiles du ciel." (Charles Peguy) |
5176 messages
Déposé par colombine67 le 21/11/2015Si quelqu'un ne parvient pas à voir clair dans son être, son esprit est une vitre opaque qui le cache à lui-même ; il est aveugle à son âme : feu divin qui flamboie dans l'âtre de son corps ; il parle et agit obscurément. Mais s'il arrive à être lucide, il laisse filtrer la lumière, la vérité sur sa nature, qu'il saisit et offre aux autres sous la forme éclairante de paroles et d'actes sages. Laurent GRENIER |
Déposé par tinou20042001 le 20/11/2015A CHAQUE FOIS QUE JE PRONONCE TON NOM A chaque fois que je prononce ton nom, A chaque fois que j'appelle pour voir ton visage Quelque soit le pain dans ma bouche, Quelque soit le plus doux vin que j'ai gouté Quand ta mémoire nourri mon âme, qu'importe ce qui est cassé devient entier Quand je suis traversé par les doutes que nous serons ensemble Qu'importe où je me couche, qu'importe où je pose ma tête pour dormir A chaque fois que je suis blessé et que je pleure, A chaque fois que je me réveiller et pleure Quand j'ai besoin de prier, Quand j'ai besoin de trouver une voie Je crie ton nom Quand ces nuages noirs cachent la Lune Quand ce monde devient si étrange Je sais que quelque chose va changer Quelque chose va changer Quand je dis ton nom, Quand je dis ton nom Je suis déjà en train de prier, je suis déjà en train de prier Je ressens déjà une joie que je ne peux expliquer Qu'importe le lieu ou je m'allonge, où je pose ma tête fatiguée pour dormir Quand je suis blessé et pleure, Quand je doit me reveiller et pleure Quand je suis sur le sol Qu'importe ce que je pensais avant Quand je prononce ton nom, Quand je le dis fort, Je suis en train de prier Quand ce monde m'achève, Quand je laisse une larme Quand la télévision me rend fou, quand jes uis paralysé de crainte Quand ces nuages noires traversent le ciel, quand je perds la raison pourquoi Quand je suis traversé par les doutes que nous serons ensemble Quand le ciel refuse de briller, quand le ciel est plein de pluie Quand je perds ce qui était à moi, quand je ferme mes yeux dans la douleur Quand je m'agenouille pour prier, quand j'ai besoin de trouver une voie Je crie ton nom Quand la nuit commence à tomber Quand je suis vulnérable et petit Quand je sens que je pourrais mourir Quand je retiens les larmes que je pleure ton nom, A chaque fois que j'appelle pour voir ton visage Je suis déjà en train de prier Quelque soit le pain dans ma bouche, Quelque soit le plus doux vin que j'ai gouté Qu'importe le lieu ou je m'allonge, où je pose ma tête fatiguée pour dormir Quand je suis blessé et pleure, Quand je suis forcé de me lever pour pleurer Quand je suis sur le sol Qu'importe ce que je pensais avant Quand je prononce ton nom, Je le prononce fort, Je suis déjà en train de prier Quand je prononce ton nom Qu'importe le temps que ça prend Un jour nous serons ensemble Quand je prononce ton nom Laisse il n'y a pas d'erreur Ce jour durera toujours STING |
Déposé par poutounou le 20/11/2015C’est toujours l’automne mais nous nous rapprochons à grands pas de l’hiver et du froid. L’important c’est d’avoir chaud au cœur, le reste n’est que détail…. * Un village * Des murs crépis, de pauvres toits, Un pont, un chemin de halage, Et le moulin qui fait sa croix De haut en bas, sur le village. Les appentis et les maisons S'échouent ainsi que des choses mortes ; Le filet dort : et les poissons sèchent, Pendus au seuil des portes. Un chien sursaute en longs abois ; Des cris passent, lourds et funèbres ; Le menuisier coupe son bois, Presque à tâtons, dans les ténèbres. Une pauvresse aux longues mains Du bout de son bâton tâtonne De seuil en seuil, par les chemins ; Le soir se fait, et c'est l'automne. * Emile Verhaeren |
Déposé par Touky le 20/11/2015Cher BB Lucky, j'ai plein de soucis ces temps, et peu de temps, juste un peu aujourd'hui pour voir que ta maman a eu la gentillesse d'un message à Fifi, et cela ma fait grand plaisir. Je ne veux pas finir la semaine sans lui adresse un petit coucou amical, et te faire plein de bisous dans ton paradis. |
Déposé par colombine67 le 20/11/2015 Je t'offre, mon Dieu, mon regard et mes bras. Je t'offre mes mains pour soigner la souffrance. Je t'offre mon expérience et quel qu'en soit le prix je t'offre mes efforts et ma persévérance. Donne-moi d'écouter celui qui vient me voir, celui qui me demande de le réconforter. Donne-moi d'écouter sans relâche. Donne-moi de soigner celui qui dit : « J'ai mal », celui qui me demande encore de l'apaiser. Donne-moi de soigner sans relâche. Donne-moi de donner mes instants à tous ceux qui demandent le soulagement. Donne-moi de me donner sans cesse. Donne-moi de ne pas oublier que si j'ai le pouvoir de soigner, je suis fait avant tout pour servir. Donne-moi de ne pas m'affaiblir. Garde-moi de la peur et de l'indifférence, garde-moi de l'oubli. Donne-moi de voir l'ami, le frère, dans la main tendue. Aide-moi à marcher avec lui. Je t'offre, mon Dieu, ma joie pour accueillir, mon coeur pour soulager, ma force pour tenir, et ma vie pour soigner. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 19/11/2015Que tous les êtres soient remplis de joie et de paix. Que tous les êtres, partout, Les forts et les faibles, Les illustres et les insignifiants, Les misérables et les puissants, Les grands et les petits, Les subtils et les grossiers ; Que tous les êtres, partout, En vue ou dans l'ombre, A proximité ou à mille lieues, Etant ou dans l'attente d'être : Que tous soient remplis d'une joie durable. Qu'aucun être n'en trompe un autre, Qu'aucun être nulle part n'en méprise un autre, Qu'aucun être sous l'emprise de la colère ou du ressentiment Ne souhaite jamais le malheur d'un autre. Tout comme la mère fait de sa vie un rempart pour protéger de la souffrance son enfant, son unique enfant, Laisse grandir en toi Un amour sans bornes de toutes les créatures. Laisse ton amour couler et silloner l'Univers, Dans toute sa hauteur, sa profondeur et sa grandeur, Un amour sans limites, sans haine et sans hostilité. Puis, debout ou en mouvement, Assis ou couché, Tant que tu es éveillé, Lutte pour cela en fixant ton esprit sur un point ; Ta vie t'apportera le paradis sur terre. Bouddha |
Déposé par ovanek le 18/11/2015💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 Hommage Diesel, une chienne de race malinoise, âgée de 7 ans, a été tuée lors de l'assaut mené par les forces de l'ordre à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), mercredi 18 novembre. La nouvelle a été communiquée par la police nationale, sur son compte Twitter, avant de faire l'objet d'un hommage virtuel, avec le mot-dièse #jesuisunchien. 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 18/11/2015 Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons, au petit vent du soir, au coeur de l'été chaud. Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour, à la main qui serre votre main. Car demain, mais n'y pensez pas, demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours. Tenez-vous serrés, ne vous endormez pas sur un reproche non formulé, endormez-vous réconciliés. Vivez le peu que vous vivez dans la clarté. Julos Beaucarne |
Déposé par Galinette3 le 18/11/2015Qu'est ce que la vie ? C'est l'éclair du feu dans la nuit C'est le souffle du bison dans l'hiver C'est la petite ombre qui se hasarde sur l'herbe Et se perd au coucher du soleil. 🐶 CROWFOOT (Blackfeet) |
Déposé par colombine67 le 17/11/2015Comme un arbre... j'ai besoin de lumière... si je suis fermement attachée à mon sol toujours mariée à la terre je grandis néanmoins vers le ciel et je croîs... je mûris en noblesse et en beauté. Par certains jours noirs et sombres de l'hiver ou certaines heures d'automne noyées de pluie je travaille à l'intérieur et j'attends… Nulle protection ni secours incertitude maillée d’espérance je ne commande pas à la nature je collabore avec elle. Comme un arbre j'ai mes saisons mes forces, mes failles. Continuer... comme un arbre ce n'est peut-être pas maudire les intempéries mais les accueillir dormir une courte nuit pour recommencer le lendemain apprendre à mourir pour renaître continuer... comme un arbre c'est peut-être me lever chaque jour avant le jour prête à affronter les coups du sort prête à faire alliance avec ma vie. Je connais misère et grandeur... le passage de la nuit au jour la fraîcheur des rivières à mes pieds et le fruit du labeur de mes bras. Que sais-je encore ? J'ai appris à m'incliner à me redresser à écouter la beauté dans le murmure du vent... parfois ma parure cache mon écorce fragile parfois encore je me dépouille pour mieux me révéler. J'ai le juste orgueil de donner l'ombre au passant comme j'ai la fierté de mes racines profondes. Les marques de mon passé trahissent mon âge, mes peurs et mes pensées voyez mes noeuds d'anxiété mes blessures, branches cassées. Pourtant je m'élève malgré tout je parfume l'air à ma façon... le temps me couronne de fleurs à l'occasion. En vieillissant je me souviens avec émotion de l'oisillon que j'ai bercé et du refuge que j'ai offert aux jeunes de mon quartier. Mes prières deviennent contemplation j’apprécie l'horizon du lendemain… je chante l’oraison. Si l'arbre est fort il craint toujours le feu et le bûcheron de même je frémis devant le mal, la guerre et plus que tout... devant l'indifférence, l’insouciance. Je porte toujours en moi l’arbre de la croix ! Certains arbres deviennent bois de chauffage paniers de bois feuilles de papier bois d'ébénisterie copeaux, gîtes, balai neuf ou lambris. Je parie que la Vie fera de moi une petite feuille de papier fleuri... j'espère qu'on y écrira un vers ou deux de poésie... D’ailleurs, je connais un homme vous savez… qui pour avoir vécu pleinement un temps de mort et d’agonie est à jamais ressuscité ! Lysette Brochu, Regard de foi, août 1988 |
Déposé par poutounou le 16/11/2015En ces temps si « durs », si « sombres », il est bon de garder au fond de soi, une petite lumière qu’on appelle « Espérance ». * La petite espérance * C’est la petite lumière qui brille au fond de son coeur Et que nul au monde ne saurait éteindre. Si ton coeur est brisé, malheureux, éperdu Si ta vie est triste, monotone, sans saveur Si l’angoisse parfois et souvent te saisit La petite espérance est là, au fond de ton coeur Qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver Elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, Tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel Si tu n’as plus le goût à rien, ni même celui de vivre… La petite espérance est encore là, au fond de ton coeur Qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source Le jeune bourgeon qui permet à l’arbre de reverdir La clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon coeur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves Toi qui ne connais pas le mot « Fin« . * Auteur inconnu |
Déposé par ritournel le 16/11/2015Je t'aime mon chien 🐶 Tu m'as donné tant de bonheur Sans rien vouloir en retour Mais voila qu'est venu l'heure Où tu nous quitte pour toujours 🐶 Tu m'as offert les plus beau moments de ma vie Et maintenant te voila partie pour de bon Dans mon coeur, tous nos bon souvenirs resterons Ne l'oublie jamais, je t'aime 🐶 Poème de Sacha |
Déposé par colombine67 le 16/11/2015L'important, c'est de semer, un peu, beaucoup, sans cesse, les graines de l'espérance... Sème le sourire : qu'il resplendisse autour de toi. Sème ton courage : qu'il soutienne celui de l'autre. Sème ton enthousiasme, ta foi, ton amour, les plus petites choses, les riens. Aie confiance, chaque graine enrichira un petit coin de terre. Anonyme |
Déposé par larrydoudou le 15/11/2015Le paradis des animaux Regardez, mais regardez donc là haut ! Oui levez les yeux ! Ne le voyez-vous pas ce Paradis de nos Chers Animaux ? Là ! Au-dessus de ce nuage dont la forme est un chien, Et à côté de celui-ci dont la forme est un chat, Il est là ce Paradis ! Et puis si votre regard se coule vers la droite, Il y a le coin des rongeurs : Regardez, mais regardez donc ! Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche : Là est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez n'est-ce-pas ? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là, Ils vivent ailleurs en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la Source du Paradis, et, Quand vient la nuit Ils allument pour nous Les étoiles afin que nous ayons nous aussi Cette lumière qui les entoure. Le Paradis des Animaux : il est là ! Vous le voyez n'est-ce-pas ? |
Déposé par ovanek le 15/11/2015💖 💖 💖 103 💖 💖 ***** Pour Toi ***** Des milliers de pensées remplis de tendresse Pour un compagnon exceptionnel Qui ma fait vivre une aventure inoubliable Merci à toi mon Fidèle Pour ces instants de tous les jours Qui resteront gravés pour l’éternité Pour toi mon Compagnon … Mes Pensées …. Phil 💖 |
Déposé par myriam31 le 15/11/2015Ne soit pas triste, Ne reste pas là à pleurer devant ma tombe Je n'y suis pas, je n'y dors pas... Je suis le vent qui souffle dans les arbres, Je suis le scintillement du diamant sur la neige Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr Je suis la douce pluie d'automne... Quand tu t'éveilles dans le calme du matin Je suis l'envol de ces oiseaux silencieux Qui tournoient dans le ciel... Alors ne reste pas là à te lamenter devant ma tombe Je n'y suis pas, je ne suis pas mort ! Pourquoi serais-je hors de ta vie simplement Parce que je suis hors de ta vue ? La mort tu sais, ce n'est rien du tout. Je suis juste passé de l’autre côté. Je suis moi et tu es toi. Quelque soit ce que nous étions l'un pour l'autre avant, Nous le resterons toujours. Pour parler de moi, utilise le prénom Avec lequel tu m'as toujours appelé. Parle de moi simplement comme tu l'as toujours fait. Ne change pas de ton, ne prends pas un air grave et triste. Ris comme avant aux blagues qu'ensemble nous apprécions tant. Joue, souris, pense à moi, vis pour moi et avec moi. Laisse mon prénom être le chant réconfortant qu'il a toujours été. Prononce-le avec simplicité et naturel, Sans aucune marque de regret. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié. Tout est toujours pareil, elle continue, le fil n’est pas rompu. Qu'est-ce que la mort sinon un passage ? Relativise et laisse couler toutes les agressions de la vie, Pense et parle toujours de moi autour de toi et tu verras, Tout ira bien. Tu sais, je t'entends, je ne suis pas loin, Je suis là, juste de l’autre coté. |
Déposé par colombine67 le 15/11/2015 Vieillir, se l'avouer à soi même et le dire tout haut, non pas pour voir protester les amis, mais pour y conformer ses goûts et s'interdire ce que la veille encore on se croyait permis. Avec sincérité, dès que l'aube se lève, se bien persuader qu'on est plus vieux d'un jour ; à chaque cheveu blanc, se séparer d'un rêve et lui dire tout bas un adieu sans retour. Aux appétits grossiers, imposer d'âpres jeunes, et nourrir son esprit d'un solide savoir, devenir bon, devenir doux, aimer les fleurs, aimer les jeunes, comme on aima l'espoir. Se résigner à vivre un peu sur le rivage, tandis qu'il vogueront sur les flots hasardeux, craindre d'être importun sans devenir sauvage, se laisser ignorer tout en restant près d'eux. Vaquer sans bruit aux soins que tout départ réclame, prier et faire un peu de bien autour de soi, sans négliger son corps, parer surtout son âme, chauffant l'un aux tisons, l'autre à l'antique Foi. Puis un beau soir, discrètement, souffler la flamme de sa lampe et mourir parce que c'est la loi. Jean Fabié |
Déposé par colombine67 le 14/11/2015 Un jour viendra où mon corps recouvert d'un drap blanc, soigneusement tiré aux quatre coins du lit, restera immobile sur un lit d'hôpital parmi la rumeur des vivants et les affres des mourants. À un moment donné, un médecin constatera que mon cerveau a cessé de fonctionner et, qu'à tous égards, la vie m'a quitté. Quand cela arrivera, n'essayez pas de me maintenir artificiellement en vie au moyen d'un appareil. Et ne parlez pas de mon "LIT DE MORT". Dites plutôt "LIT DE VIE" et laissez emporter mon corps pour qu'il serve à donner à d'autres une vie plus riche... Qu'on donne mes yeux à celui qui n'a jamais vu le lever du soleil, le visage d'un bébé ou l'amour dans le regard d'une femme... Qu'on donne mon coeur à celui dont le coeur n'a été qu'une cause permanente de souffrance... Qu'on donne mon sang à l'adolescent qu'on a sorti des débris de sa voiture afin qu'il vive assez longtemps pour voir jouer ses petits enfants... Qu'on donne mes reins à celui qui doit recourir de semaine en semaine au rein artificiel... Qu'on prenne mes os, mes muscles, tous les nerfs et les tissus de mon corps et qu'on trouve le moyen, grâce à eux, de faire marcher un enfant paralysé... Qu'on explore tous les recoins de mon cerveau. Qu'on en prenne la matière s'il le faut, afin qu'un jour un jeune garçon privé de la parole soit capable de crier sa joie et qu'une petite fille sourde puisse entendre la pluie battre contre les vitres... Qu'on brûle ce qui restera de moi et qu'on répande mes cendres à tous vents pour aider les fleurs à pousser. S'il faut mettre quelque chose en terre, que ce soit mes fautes, mes faiblesses et tous mes préjugés à l'encontre de mes semblables. Si par hasard vous désirez conserver mon souvenir, faites-le en aidant d'un mot ou d'un geste quelqu'un qui en aura besoin. Si vous faites tout ce que je vous ai demandé, "JE VIVRAI ÉTERNELLEMENT". Merci de votre compréhension ! Un donneur d'organes anonyme... |
Déposé par colombine67 le 13/11/2015La voici, la maladie, dans ces membres sans vie. Elle s'attarde un peu dans le corps de l'enfant, Creusant la souffrance et la peur. Elle nous garde, comme un voilier dans la tourmente, un arbre sous la bourrasque, attendant que l'orage passe ; presque heureux d'avoir pu garder, jusque dans la détresse du quotidien, l'espérance fragile ; Tels des rescapés... La maladie a tout pris, et que resterait-il, S'il n'y avait cet espoir tenace que l'adversité n'aura pas terni ? Oui, si c'était cela, le Bonheur : Vivre, même dans l'urgence... Vivre, même quand le corps nous trahit, Au delà de nos égoïsmes et de nos peurs, Au delà de la souffrance et de la mort... L'espérance renaît, jour après jour, pas à pas, au long chemin de l'existence... Stéphane Bardy |
Déposé par Galinette3 le 12/11/2015 🐶 Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards, avec de longues barbes, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit : - Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger. - Est-ce que les enfants de la maison sont là ? demandent-ils. - Non, ils sont partis leur répond-elle. - Alors, nous ne pouvons pas entrer. En fin d'après-midi, lorsque les enfants reviennent de l'école, la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes. - Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer ! Disent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison. - Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison, répondent-ils. Un des vieillards explique : - Son nom est "Richesse", dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre, lui, c'est "Succès", et moi, je suis "Amour". Il ajoute alors, retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre-nous vous voulez dans votre maison. La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui avait été dit. - Comme c'est étrange ! s'exclament les enfants. Puisque c'est le cas, nous allons inviter "Richesse". La mère n'était pas d'accord. - Pourquoi n'inviterions-nous pas "Succès" Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires. La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprime à son tour : - Veux mamours, veux mamours... Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter "Amour" à entrer. "Amour" se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Etonnée, la femme demande à "Richesse" et "Succès" : - J'ai seulement invité "Amour". Pourquoi venez-vous aussi ? Les vieillards lui répondent ensemble : - Si vous aviez invité "Richesse" ou "Succès", les deux autres d'entre-nous seraient restés dehors, mais vous avez invité "Amour" et partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du Succès. 💖 |
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