En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012


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PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012

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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
 


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En hommage à PUNKY du Moulin de Labatut

Mon tendre chéri,

Il n'y aura pas eu le miracle tant espéré, tu viens de ns quitter ns laissant, Papa, les enfants, et moi, totalement anéantis par la douleur.
Ns sommes aussi inquiets pr ton copain de tjrs, le petit Rock, car il réagit très mal à ton départ.
Toi, qui n'était qu'Amour il a fallu que cette tumeur de l'aine énorme et hélas, cancéreuse, t'emporte. Sa progression a été fulgurante. Combien j'ai redouté son ablation en raison de ton âge...mais il était impossible de la laisser encore se développer, tu n'aurais pu plus marcher.(* plus tard, ns apprendrons qu'il ne fallait surtout pas faire l'ablation de cette tumeur !!!)


Le 5 juin, jour fatidique de l'opération..j'ai angoissé jusqu'à ton retour à la maison. Mais tu semblais avoir bien supporté l'opération et le Dr Jean Sacal avait dit à papa que ton comportement avait été exemplaire.
Le 11 juin, papa doit te ramener, en urgence, chez Jean car tu sembles souffrir, tu pleures.

Je ne suis pas présente, retenue, loin, à cause de ma santé.....plus tard papa me dira que ce jour là, le Dr Sacal, te fera le cocktail-miracle qu'il injectait à Rafia...ladite médication lui ayant permis de vivre 21 mois, avec un diabète très grave, résistant à l'Insuline.( * et là aussi...ns apprendrons, plus tard..que tout ce qui devait être mis en place pr la petite Rafia...ne l'avait pas été...par ignorance des vétos...Sacal et Maupommé.

Mais pr toi...c'est l'échec total et la consternation de Jean Sacal qui dira à papa "qu'il ne peut plus rien faire"...
Le 12, au matin, tu demanderas à manger à papa...Tu mangeras 1 steack hâché plus des haricots verts, car tu refuses tes croquettes; Le soir, tu remangeras un autre steack, tjrs hâché.

Le 13...tu n'as pas d'appétit...1/2 steack hâché pr la journée et tu vomis bcp à 23 h.
Le 14...ce n'est pas mieux : 1/2 steack hâché (soit 50g) et...20 g d'haricots verts..le tout pr la journée. Papa me dira qu'au jardin...tu as "coursé", le long de la clôture, comme à ton habitude, camions et tracteurs.

Le 15 papa te ramène chez le Sacal, qui lui dit, :que "tu es condamné".
Tu refuses toute nourriture même tes friandises que tu adores...
Papa réussit à te faire manger..3 bouchées de steack hâché que tu vomis.

tu voudrais bien manger, tu en as l'envie, mais tu ne le peux pas;..des ulcères ds la bouche ???

Le 16, papa a l'idée,approuvée par Sacal de te donner, à l'aide d'une seringue un petit pot "bébé" de pois/jambon...tu en mangeras 150g/pr la journée.

Le 17...tu mangeras 100 g de fromage blanc à 20 %...que tu adores...et que tu avais découvert avec Rafia qui en consommait 3 pots/jou !. Mais toi, c'est tjrs à la seringue. tu accepteras aussi, en plusieurs fois, de manger 150 g de petit pot "bébé".

C'est la fête des Pères, ns sommes ts réunis et toi, tu sembles content d'être avec ns....même si je te trouve faible. Mais ce jour-là, tu remues à nouveau ta queue et je prends cela pr une bonne nouvelle.

Mais le soir venu...rien ne va plus...vomissements itératifs + diarrhée.
Et là, mon Punky dit "Titi", il faut que je loue ta propreté exceptionnelle, tu demanderas tjrs à sortir. La nuit, tu veux aussi sortir et c'est moi qui m'occupe de toi; Je te prends ds mes bras, pr remonter les marches de la terrasse...

18 juin...c'est la catastrophe...tu vomis même le peu d'eau que tu bois..car Sacal dit : qu'il faut te restreindre en eau..que tu voudrais boire en grosse quantité à cause du taux d'urée si important.

La nuit du 18 au 19...ns la passons ensemble, isolés ds une autre chambre pr ne pas empêcher papa de dormir... Paramour s'invitera et demeurera avec ns jusqu'à 4 h....et Rock, qui est aussi là...lui, il restera jusqu'à 7 h, au lever de papa..
A partir de minuit, je te donne à boire, par très petites quantités et je "crie" à la victoire...car tu ne vomis plus...

Toute cette nuit, tu la passeras à naviguer; A plusieurs reprises, je te prends, avec moi, sur un canapé..je te caresse, je te dis combien je t'aime..et je retiens mes larmes...mais toi, tu refuses de rester et tu demandes très vite, à redescendre, alors je t'aide.

Tu sembles agité...je vois bien que tes pattes ont de la peine à te porter mais toi, tu restes debout, tu marches encore et encore...ce qui m'angoisse car cette attitude me rappelle avec frayeur...le départ de la petite Rafia.
A 10 heures...tes pattes se dérobent...tu tombes à terre.....mais tu pars, tout de même, en laisse, avec papa


Papa, qui t'amène, comme convenu... pr le retrait des points de suture...

Sacal tente de te faire un nouveau protocole qu'il t'injecte pr faire chuter l'urée...et tu reviens à la maison. (* ns ne saurons jamais la "recette" de ses cocktails..magiques"...OU maudits !!!)

Tu voudrais bien boire...tu ne le peux pas. Tu n'arrives même plus à tenir ta belle petite tête......Tu ne peux tjrs pas tenir sur tes pattes alors papa te met sur notre lit. Il est 11 heures...Je ne te quitterai plus...je te couvre de bisous..je te caresse...je te dis combien ns t'aimons, combien tu ns es précieux...combien ns te remercions de tout l'amour que tu ns a donné durant 12 ans et 6 mois...mais tu ne m'entends plus, tu es ds un état semi-comateux...Tes beaux yeux sont fixes...de temps en temps tes pattes s'agitent nerveusement...et tu respires vite.
Toi..qui étais tout en muscles...on aurait dit que tes muscles avaient fondu.
Sacal ( boucher plus que véto!) a prévenu, qu'au stade final, tu aurais des convulsions assorties de souffrances...alors, il est 15 h 30, ns prenons la décision qui s'impose, ...un dernier acte d'Amour...pr toi notre Punky adoré...celui de te faire aider à partir...et la tragique échéance intervient à 16 h...
Mon Punky ..notre Punky adoré...comme tu ns manques !!!

--------------------------

Mon Titi d'Amour

Je me dois, mais surtout je TE DOIS d'apporter les rectifications qui s'imposent. Lorsque confrontés à l'état alarmant de Rock, qui ne se nourrissait plus, qui avait cette "grosseur" impressionnante, au bas du dos..ns avons décidé de demander un autre avis ( et merci au véto de garde de Cavignac, qui sans que cela soit volontaire...ns a fait opter pr ce choix.

En effet, c'est son comportement qui ns a bcp surpris : il était de garde..mais n'étant pas au Cabinet...cela le dérangeait d'y venir et ensuite, papa a pu se rendre compte...combien vs le dérangiez, avec cette urgence, pourtant justifiée).
Puisqu'il a eu l'audace de refuser l'urgence...

Il fallait donc voir un autre véto....qui lui, daigne s'occuper de RocK.

Pr Rock...nouveau diagnostic, et une prise en charge remarquable du vétérinaire que ns avons choisi pr continuer de suivre Rock et Paramour.
Et une amélioration spectaculaire, en peu de temps de l'état de Rock..à qui, il a sauvé la vie.

A la suite de cette visite et de celles qui suivront, ns apprendrons, consternés, que ns avions voué une confiance AVEUGLE, à deux vétos, qui ne méritaient pas cette confiance....dont l'un se prétendait...être notre ami !!!
Mon Titi d'Amour, l'un et l'autre savaient pertinemment que l'on opère pas ce type de cancer chez un sujet de ton âge. Et surtout, on occulté l'ablation qu'il y avait à faire...-et qui n'a pas été faite, ce qui a généré ce maudit cancer- ...devait l'être avant tes 4 ans/...et là...tu en avais déjà 12 et demi !!!
Et puis...pas d'anesthésie au gaz...pourquoi ???

Tu ne souffrais pas, alors pourquoi cette décision infâme de vouloir t'opérer ???Pr ce qu'elle rapportait, financièrement !
Jean Sacal a sacrifié ta VIE...pr un profit financier , non négligeable !!!

Il aurait suffi de te laisser vivre, en PAIX, le temps qu'il te restait, avant que n'interviennent les souffrances...cela aurait pu encore durer des mois...

Puis, le moment venu...ns aurions pris la décision qui se serait imposée....mais ton départ n'aurait pas été aussi tragique !!!

Ns n'avons jamais su...quels produits contenaient les "cocktails magiques"...OU maudits" qui t'ont été injectés...les mêmes que la petite Rafia.

C'est comme toutes les injections qui étaient pratiquées....avec de la Cortisone pr petit Rock aussi....alors que la Cortisone avaient des effets secondaires néfastes sur son petit coeur. Cette Cortisone employée pr TOUT soigner...ou plutôt pr TOUT empirer.

Pr les dermatoses de Rock...ns en étions arrivés à le faire désensibiliser....tous les 15 jours, pr rien. C'est dramatique l'inconséquence de certains vétos !!!
Ils n'ont pas choisi la bonne voie professionnelle...ils auraient du être...bouchers!!!

Pourtant la pharmacopée vétérinaire ne contient pas que de la Cortisone...mais il faut se donner la peine de suivre l'évolution des produits...mais aussi de pratiquer les analyses nécessaires..;d'utiliser tout le matériel adéquat...Echographie...IRM..Doppler..etc.

Mais...lorsque l'on ne possède pas ce matériel d'investigation...et bien question "profit";..l'on rechigne à solliciter les confrères....ns l'avons appris, HELAS, trop tard pr toi...trop tard, pr la petite Rafia.

Mais ns....parfaits crétins...ns continuions à faire confiance...à "gober", le peu qui ns était expliqué. Pr ns...ces vétos étaient géniaux..avec un comportement des plus amicaux.

Et puis..j'ai aussi appris, incrédule......que Sacal avait eu un geste déplacé, lorsqu'une fois que tu gisais ...mort, sur sa table...il allait te saisir par le cou...pr te jeter ds un sac plastique....comme l'on jette une vulgaire poche à ordures !!!
C'est le regard désapprobateur de l'assistante, conjugué à celui de papa..tout aussi sidéré...qu'il s'est enfin repris...mais pr papa c'était trop tard...car cela laissait deviner la réelle personnalité de ce vétérinaire.

Voilà mon Titi chéri, il ne ns reste que les regrets, regrets éternels qui ns rongent; Pourtant ns avons tjrs TOUT fait, pr vs TOUS, nos petits trésors et peu importe les factures vétérinaires à payer. Ns n'avions qu'une seule demande...."faire tout ce qui était possible...afin de vs préserver la vie".

Et j'oubliais...il fallait être..crétin, pr nier que ce soit un cancer...n'est-ce pas Jean Sacal??? (que le diable l'emporte)!!! Alors que Stéphanie, une des assistantes....avait "vendu la mèche", involontairement......comme l'on dit, familièrement.

Tu ns manques tant mon Titi d'Amour !!!




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Déposé par rafia
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Vous ne l'avez jamais oublié,vous parlez de lui très souvent en vantant ses qualités et tout l'amour qu'il vous à apporté,il est et sera toujours gravé dans votre cœur et rien ne vous fera l'oublier.
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Donnons au temps qui passe ce qu'il mérite, les plus belles de nos histoires : nos inoubliables et magiques histoires avec vous, doux coeurs… !!!
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L'amour c'est le manque de quelqu'un dont vous êtes éloignés mais que vous ressentez à l'intérieur du coeur
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Déposé par colombine67 le 14/07/2016  
Ange humain, Maître et ami,
A toi j’ai uni ma vie.
Je te protège et je te suis
Partout où tu vas lorsque tu veux bien de moi.
Il y a plusieurs millénaires, mes ancêtres se sont attachés à tes pas.
Tu les as invités à s’asseoir auprès de toi au coin du feu
Pour partager ton frugal repas.
L’histoire d’amour entre ta race et la mienne a commencé ce soir là.
Depuis ce temps,
Malgré l’atroce martyre que nous subissons parfois
Par des monstres qui ont pris ton apparence
mais ne te ressemblent pas
Et ne méritent pas le nom d’humains,
Nous sommes restés auprès de toi,
Fidèles comme un chien trouvé,
Confiants comme un enfant sauvé,
Te réchauffant dans la glace et le froid,
Te consolant dans la tristesse,
Montant la garde devant ton corps blessé,
Guérissant ton âme désespérée,
Allaitant l’enfant loup égaré dans la forêt,
Comme tu le fis pour moi
Lorsqu’un monstre inhumain
Me martyrisa et m’abandonna
au bord du chemin.
Peu m’importe
Les richesses matérielles que tu possèdes.
Que tu aies grande demeure ou humble nid,
Je partage avec joie ton logis,
Je me contente d’un tapis.
Peu m’importe la couleur de poil que tu as.
Qu’elle soit citron, café, chocolat, petit pois,
Ta peau ne m’importe pas.
Caresse-moi, n’arrête pas !
Peu m’importe l’importance qu’on te donne.
Qu’on s’incline devant toi avec hypocrisie
ou qu’on te traite avec mépris,
tu es le soleil de ma vie.
Peu m’importe la forme que tu as prise,
Que tu sois long comme une asperge, rond comme un melon,
Laid comme un pou, beau comme un bijou,
je t’aime tel que tu es.
Peu m’importe le temps que la vie t’a pris,
Tes tempes blanches, tes cheveux gris,
ton corps ployé sous les soucis,
J’aime tes rides quand tu souris.
Peu m’importe le pays où tu vis,
Les sciences que tu apprends,
Les langues que tu parles,
Ton cœur parle à mon cœur.
Nul besoin d’un traducteur.
Et n’oublie pas,
Petit en deçà, grand au-delà.
« La Terre perdue dans l’Univers
Est comme un anneau d’or perdu dans le désert.»
Qu’adviendra-t-il de toi au Paradis d’Allah
Si, ici-bas, tu me tortures et tu me bats?
Notre Prophète Bien Aimé,
Que la Paix soit sur Lui,
Qui toucha avec délicatesse le front d’un chat
Pour y imprimer le M de Mahomet,
a dit :
« Dieu est Beau et Il aime la Beauté ».
Lis dans mes yeux. Y vois-tu quelque chose de laid?
Je ne suis que ton reflet.
Et ne te crois pas plus grand que moi car
«Dieu n’aime pas qui a en son cœur un grain de moutarde d’orgueil.»
Et, je t’en supplie, dis aux monstres qui se croient humains
Qu’ils ne nous prennent pas pour leur souffre-douleur
Pour éviter qu’un jour ils ne tombent sur plus puissant qu’eux
Qui leur ferait endurer les atrocités qu’ils nous ont infligées.
La vie se charge toujours de nous châtier.
Et que mes amis chats ne se croient pas abandonnées dans cette prière,
Ils sont une part de ton âme comme ils sont une part de moi,
Ils sont une infime parcelle de la Création Divine, comme tous les êtres vivants, humains, animaux et anges confondus.
Dieu n’est pas fou, si nous n’avions pas tous un rôle à jouer, il ne nous aurait pas créés.
Il en est de même pour toi, qui deviendras, à Son image, Grand, Bon, Beau, Parfait.
Tu as encore du chemin à parcourir pour y arriver…
Mais je t’aime, même imparfait,
Surtout lorsque, à la cause des enfants et des animaux souffrants,
Tu sais te dévouer.
Inutile de te le cacher, tu es mon dieu.
Alors, comporte-toi comme tu aimerais bien que le Tien fasse pour toi.
Exauce ma prière, bon Maître, mon Dévoué,
Mon ami pour l’éternité,
Sois le chevalier protecteur
de mes frères animaux et humains
envoyés sur Terre par le Père Divin
Et qui, par une terrible erreur,
Vivent encore dans la douleur.
Enseigne, encore et encore aux monstres que tu connais,
jusqu’à ce qu’ils deviennent humains,
Que l’animal a droit au respect,
Qu’on ne peut faire souffrir sans recevoir un jour la monnaie de sa pièce
Car toute peine mérite salaire.
Et si par miracle, ils se transforment un jour,
comme nous, en monstres d’amour,
Nous saurons les aimer autant qu’ils nous ont martyrisés,
Et même au centuple, car nous les avons déjà pardonnés.
Nous sommes l’Amour incarné.
Notre âme affectueuse et belle est un don de l’Eternel.
Alors, Seigneur humain, Maître et Ami,
Je t’en supplie,
Fais que cesse un jour le martyre de tous mes frères,
Chiens, chats, cochons, chimpanzés, enfants et autres suppliciés,
Sacrifiés à l’orgueil de l’inhumaine humanité,
Au sadisme des monstres qui n’ont pas encore compris
Qu’on ne peut faire souffrir et détruire la vie
Sans mutiler et tuer une partie de soi
Car tous sont un, un même Moi.
Approche, Dévoué, mon ami,
L’Ange de ma vie,
Viens partager mon tapis
Pour rêver en catimini
Un instant au Monde parfait,
rempli de joie, d’amour, de beauté,
Qui tarde à arriver.

Déposé par colombine67 le 13/07/2016  
L'histoire d'un chien abandonné
Lors de la course Adventure Racing World Championship en Équateur, la Team Peak Performance va nourrir un chien. La suite est clairement inimaginable !
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La compétition sportive Adventure Racing World Championship est la course la plus difficile au monde avec un parcourt de 700 km en pleine forêt équatoriale incluant des épreuves de résistance physique extrêmement difficiles.
Pendant cette course, le groupe Team Peak Performance fait une pause pour manger. Mikael Lindnord, le chef d’équipe, aperçoit alors un chien affamé, sans doute abandonné et seul vu son état de fatigue incroyable.
Celui-ci s’approche d’eux et se couche à leurs pieds, sans rien dire.
Mikael décide instinctivement de lui donner à manger.
J’ai pensé qu’il avait faim et je lui ai donné une boulette de viande. Et puis j’ai cessé de penser à lui.
Puis les 4 sportifs reprennent leur course.
Après plusieurs kilomètres, ils se sentent suivis et se retournent : le chien est derrière eux.
Malgré sa fatigue, le chien errant avait décidé de les suivre dans cette compétition extrême, prêt à braver la boue, le dénivelé et les rivières pour ne pas être séparé d’eux.
Le 5ème homme
A cet instant, tout a changé pour le groupe de suédois, qui s’est uni à ce chien pour former la nouvelle Team Peak Performance.
Ce nouveau coéquipier canin hors normes voulait les suivre tout au long de cette aventure extrême.
Ils ont bien tenté de le faire fuir pour éviter qu’il ne se blesse ou ne mette pas sa vie en danger mais rien n’y a fait.
La nouvelle équipe s’est alors entraidée, les sportifs devant quelques fois l’aider à passer certains obstacles. Mais le chien ne voulait rien lâcher. Même embourbé, il ne voulait pas rester derrière ses nouveaux maîtres. Même exténué, après avoir bu et manger un peu, il voulait repartir et les suivre toujours plus loin.
Lors de l’épreuve finale, les organisateurs ont demandé aux suédois de ne pas laisser le chien les suivre. L’épreuve, une descente de près de 60 kilomètres en kayak sur un torrent puissant, était trop dangereuse.
C’était sans compter sur son indéfectible loyauté envers ses nouveaux maîtres. À peine étaient-ils dans l’eau avec leurs kayaks qu’il a sauté pour les rejoindre et s’est mis à nager derrière eux.
Le chef d’équipe, touché par la volonté du chien, l’a accueilli à bord de son embarcation et ce sont 5 équipiers qui ont franchi l’arrivée, après 6 jours de compétition effrénée.
Soins et adoption
Après la course, Mikael, le responsable de l’équipe, n’a pas voulu se séparer de ce chien extraordinaire et l’a adopté en le baptisant Arthur.
Il a fallut d’abord lui faire consulter un vétérinaire à Quito, la capitale de l’Équateur. La compétition l’avait laissé mal en point, avec de nombreuses blessures.
Soigné et après avoir reçu l’aval des autorités suédoises, Arthur a dû attendre encore 90 jours en quarantaine avant de retrouver son équipe de sport préférée.
Désormais, Arthur habite en Suède avec Mikael Lindnord et vit avec une famille qui l’aime.
Mikael n’aura de cesse de raconter cette histoire et de finir par ces phrases :
C’est le genre de rencontre qui ne se produit que de rare fois dans une vie.
Je suis allé en Équateur pour gagner le Championnat du Monde.
Au lieu de cela, je me suis fait un nouvel ami… C’était le destin.

Déposé par colombine67 le 12/07/2016  
Voila l’histoire de KARA.
L’année passée, je voyais souvent un berger malinois se balader dehors, bien sûr, rien de très inquiétant vu que j’habite dans la campagne et que beaucoup de chiens sont en liberté pour se dégourdir les jambes. Mais un soir, elle était dehors couchée contre la façade d’une maison. J’étais tellement triste pour elle que j’en ai parlé à ma maman. Elle est allée la voir et est rentrée à la maison avec. Après avoir fait les présentations avec mon beagle et mon chat, elle est restée toute la soirée dans le salon près de nous. Le lendemain, je l’ai lavée (elle était noire de poussières). Avant de se dire qu’on allait la garder, nous avons été voir les voisins, le chien n’appartenait à personne et d’ailleurs les voisins avaient déjà essayé de l’attraper mais elle ne se laissait pas prendre. Nous sommes donc aller dans le refuge proche de chez nous. Elle avait une puce, la femme qui s’occupait du refuge a téléphoné au propriétaire, sa réponse fut : elle est partie depuis 2 mois, ce chien n’écoute pas ! Je ne la veux plus. Nous avons aussi appris que son 1er propriétaire l’avait enfermée dans une cave et battue. Nous avons donc décidé de la garder avec nous, en effet pour nous c’était un signe qu’elle se soit approchée de ma maman et d’aucune autre personne. Depuis KARA vit avec nous, elle a beaucoup d’amis et je n’ai jamais vu un chien qui écoutait aussi bien. Elle commence tout doucement à ne plus avoir peur des hommes et on ne voit plus ses côtes !!!!
Avant de vouloir un animal de compagnie, réfléchissez à ce que vous allez en faire.... Ça vous plairait qu’on vous jette dehors ? Qu’on vous enferme dans une cave ou qu’on vous batte ??? Un chien est comme un être humain sauf qu’il a une qualité en plus : il est dévoué pour nous jusqu’à sa mort et jamais il n’abandonne sa famille !!! Essayez de faire la même chose.

Déposé par poutounou le 11/07/2016  
Encore une histoire qui nous démontre à quel point ils sont "indispensables", nos amours à 4 pattes....
*
Pétrus, un véritable chien héros
Nous avons vécu, l'automne dernier, un moment difficile qui, sans la présence de notre Fox Pétrus aurait pu être dramatique, voire même catastrophique. Dans la nuit du 6 au 7 octobre, nous sommes profondément endormis. Pétrus aboie, cela lui arrive rarement : il est respectueux du sommeil de ses maîtres et s'il se manifeste c'est qu'il y a quelque chose : présence de chats sur son territoire, passage et ou stationnement prolongé de véhicules devant la maison, bruits inhabituels...
*
Cette nuit -là donc Pétrus aboie. Comme chaque fois que cela se produit, je lui ordonne, depuis la chambre, de se coucher et de se taire, et les choses en restent là. Mais cette nuit-là il n'obéit pas et il continue à donner de la voix, moi à lui ordonner de se taire et de se coucher ; cependant il se manifeste d'une manière tellement impérieuse et inhabituelle que je me vois obligée de me lever.
*Arrivée dans l'entrée, je trouve notre chien qui m'ignore et qui cherche à sortir, je lui intime l'ordre de se coucher, il persiste dans sa demande de sortie. Avec le recul aujourd'hui, je réalise que j'aurais dû commencer à m'inquiéter. Mais dans les brumes du sommeil, je n'ai pensé qu'à faire taire Pétrus pour retrouver mon lit au plus tôt.
J'ai donc pris mon chien sous le bras et l'ai ramené autoritairement dans la cuisine dans son panier, et c'est à ce moment que j'ai compris le pourquoi des aboiements de Pétrus : par la fenêtre de la cuisine, j'ai vu notre garage en flammes.
*
Le temps de réveiller mon mari, d'appeler les pompiers, d'aller confier Pétrus aux voisins et déjà les flammes dépassaient le toit.
Le seul élément qui a souffert de l'incendie est le garage ; il est attenant à la maison par un auvent, celle-ci a juste eu les façades noircies. La chaleur y était telle que les murs ont éclaté. Il y avait à l'intérieur deux bouteilles de gaz qui, Dieu merci, n'ont pas explosé.
*
Tout ce qui se trouvait dans le garage a été totalement détruit : 2 voitures, salon de jardin, tondeuse, machinerie piscine, etc. Tout le monde est d'accord pour dire que nous devons beaucoup à Pétrus.
Sans lui, la maison aurait été gravement endommagée, nos bouteilles de gaz auraient pu provoquer des dégâts dans tout le quartier et serions-nous aujourd'hui là pour le raconter ? Comme disait Marie, la fille d'amis, après qu'on lui ait raconté ces événements: « On devrait tous avoir un chien ».
Et j'ajouterai : un Fox ! Depuis Pétrus a retrouvé ses habitudes : Farniente sur le canapé, chasse aux lézards, piscine avec les jeunes.

Déposé par colombine67 le 11/07/2016  
Alise ou le chien qui ne devait pas mourir…..
Alise la Setter Gordon et la vieille dame vivaient une relation quasi fusionnelle depuis des années, et l’une vivait mal sans l’autre. La vieille dame disait bien que sa chienne ne serait pas éternelle, elle savait qu’un jour il lui faudrait la perdre, mais elle ne l’acceptait pas, c’était au-dessus de ses forces.
Alise devenait de plus en plus l’objet de toutes ses attentions.
Tout le soin que la vieille dame prenait d’elle, devrait c’est sûr, garantir une plus longue et meilleure vieillesse à sa chienne. Alors la vie était réglée autour du vieil animal, et les emplois du temps et déplacements aménagés pour son confort.
Alise en venait à exercer une sorte de tyrannie passive sur la vieille dame. Comment même penser à refuser quoique ce soit à une vieille chienne si douce et si près de sa fin, il aurait fallu n’avoir pas de cœur.
La vieille dame n’en manquait pas, de cœur, et qui faiblissait d’ailleurs. De visites en visites, chez le médecin pour l’une et le vétérinaire pour l’autre, on voyait s’allonger la liste des médicaments de chacune.
A chaque malaise d’Alise, la vieille dame affolée répondait par une attention anxieuse et redoublée ; elle guettait chaque hoquet, chaque essoufflement, chaque perte d’appétit comme un signe menaçant d’une fin redoutée, haïe, insupportable.
Cela dura des années, car l’espérance de vie d’un Gordon était déjà dépassée depuis longtemps, mais Alise, diminuée, fatiguée, ne quittait pas sa maîtresse.
La vieille dame tomba malade, gravement, il fallut l’hospitaliser. Un drame pour elle, de devoir laisser sa chienne aux bons soins de son mari ; non pas qu’il fût mauvais homme, loin de là, mais Alise allait sûrement tellement s’ennuyer.
Les choses se passaient plutôt bien entre Alise et son maître, et la vieille chienne semblait attendre vaillamment sa maîtresse.
Mais les hospitalisations se sont succédées, la vieille dame ne se remettait pas et son état nécessita une lourde et délicate opération à cœur ouvert.
Séparée de sa vieille chienne adorée, se demandait-elle si elle la reverrait jamais vivante ? Elle parlait assez peu de cette séparation douloureuse, elle voulait juste rentrer chez elle au plus vite près d’Alise, mais son état de santé ne le permettait pas.
Alise avait maintenant 15 ans ½ de plus en plus fatiguée, vacillante, s’amaigrissant, elle tenait bon cependant.
La vieille dame put enfin rentrer chez elle pour de bon, après maintes hospitalisations de plusieurs semaines chacune, où les séparations étaient devenues de plus en plus angoissantes pour elle.
Extrêmement affaiblie, sapée par toutes les épreuves de la maladie et de l’opération, la vieille dame devait encore affronter le lent dépérissement d’Alise.
La chienne avait maintenant 16 ans, elle ne marchait plus qu’avec difficultés. Elle dormait de longues heures durant, et quand péniblement elle se relevait et non sans aide sortait dans le jardin, squelettique, il lui arrivait encore de sautiller maladroitement, comme secouée par une étrange joie.
De ce moment là, on ne sut plus laquelle tenait l’autre en vie. Jusqu’ici, il avait semblé que la vieille dame voulant tellement garder sa chienne, celle-ci en avait trouvé la force de continuer à vivre.
Voilà que maintenant, c’est comme si Alise ne se permettait pas de mourir, pour ne pas précipiter dans la mort avec elle, sa maîtresse bien trop diminuée par la maladie.
Leur entourage en craignait de les voir basculer ensemble. La vieille dame s’épuisait à continuer de prendre soin de sa vieille chienne de plus en plus dépendante, incontinente, confuse parfois maintenant au point de se perdre dans le jardin.
Mais quel ancien tourment faisait craindre tant la mort de son vieux chien, à la vieille dame malade ? Quelle ancienne douleur, quelle ancienne blessure non cicatrisée lui rendait-elle impossible l’idée qu’Alise devrait la quitter ?
Car enfin, la pauvre bête, épuisée, sourde, raidie par les ans, dédaignant de plus en plus tous les petits plats sans cesse renouvelés dont elle était si gourmande, n’en pouvait visiblement plus de s’éterniser.
La vieille dame semblait aveugle à cette grande souffrance de l’animal qui pourtant aurait dû susciter sa compassion ; il lui fallait trop ne pas voir, ne pas entendre, ne pas penser qu’Alise pouvait souffrir.
Fermée à cette réalité trop insupportable, elle se tenait un discours menteur qui laissait son entourage effaré devant un tel déni, désemparé, incapable de mieux défendre le droit à la mort de la vieille chienne, aux yeux de sa maîtresse.
Alise se mit à ne plus pouvoir boire, puis à ne plus vouloir s’alimenter du tout, deux jours durant.
La vieille dame m’appela pour lui porter secours.
Arrivée sur place je trouvais la vieille chienne exténuée par une matinée passée à errer nerveusement dans la maison et le jardin, obligeant sa maîtresse à la soutenir tant bien que mal, à la relever à chaque chute.
À mon approche Alise s’apaisa, s’effondra, je crus qu’enfin trop épuisée, elle allait s’éteindre. Doucement je me tins près d’elle, puis encore plus près, bientôt je pus la caresser, puis la tenir dans mes bras, lui parler tout bas.
Prendre tout contre moi l’animal décharné me fut d’abord difficile, j’ai dû apprivoiser ma propre peur de la mort, pour venir frôler, puis enfin contenir celle des Deux qui ne pouvaient se quitter.
Alise semblait se laisser aller, je ne sais si elle m’entendait lui dire qu’elle avait gagné le droit de partir, le droit d’aller rejoindre la paix, la lumière…
Ma tête contre la sienne, combien de temps sommes-nous restées ? Je guettais sa respiration, croyant parfois ne plus la percevoir. J’aspirais pour Alise à une fin comme celle-ci, un départ tranquille, dans un souffle qui s’arrêterait…Une fin toute en douceur qui stopperait la violence que la vieille dame et sa chienne mettaient à ne pas pouvoir se séparer.
La vieille dame et son mari m’avaient laissée seule depuis longtemps avec Alise. Espéraient-ils follement que se produise quelque miracle, souhaitaient-ils secrètement que leur chienne meure simplement dans mes bras, alors qu’eux même n’auraient pu le supporter ?
Un peu médusée, je vis le vieil animal comme se réveiller, puis se redresser, faire effort pour parvenir enfin à se relever ; moi qui croyais son dernier souffle arrivé…
Maintenant taraudée par un mal de tête qui enflait de plus en plus, je ne pus qu’accompagner Alise dans ce qui allait devenir une folle errance dans le jardin.
Sous un soleil éclatant de milieu de journée, je suivis la vieille chienne qui de sa démarche plus qu’incertaine, divaguait plus qu’elle n’allait. Plusieurs fois elle trébucha, s’écroula. Je croyais chaque fois qu’elle ne se relèverait pas, que c’était la fin. Elle parvenait pourtant à se redresser, et je continuais de la suivre, anxieuse, un peu désarçonnée, devant ce comportement que je cherchais à m’expliquer. Puis j’ai accepté de seulement l’accompagner, sans vouloir quoi que ce soit et pas même comprendre, comme plus tôt dans l’après-midi, quand penchée sur elle, je n’avais fait qu’être là, rien qu’être là près d’elle.
Alors je fus sûre soudain que l’on ne pouvait pas mourir sous une telle lumière, dans une telle clarté.
Ce soleil éclatant qui faisait jaillir la vie, empêchait de mourir. Je vis enfin qu’Alise dans cette errance cherchait à gagner l’ombre ou une pénombre, comme une cache.
Doucement j’essayai de la faire retourner dans la maison ; j’y parvins péniblement, et là je demandai à ce que l’on fermât un peu les volets. Il me semblait de plus en plus qu’il faudrait aider Alise à mourir.
Cette décision ne m’appartenait pas, mais je devais offrir à ces Trois qui ne savaient que faire, la force qu’ils n’avaient pas d’affronter la mort légitime.
Qui étais-je pour décider que cet animal devait mourir maintenant et pas plus tard ? que savais-je de ses souffrances ? laquelle d’abord était la plus grande, celle de son pauvre corps trop vieux, ou celle de son âme de chien immensément fidèle, qui ne pouvait pas trahir sa vieille maîtresse qui lui exigeait de ne pas la laisser seule ?
Je pris néanmoins le parti d’essayer de convaincre ses maîtres, de soulager Alise du poids de cette vie de douleurs.
D’ailleurs celle-ci de plus en plus agitée semblait se débattre, ne sachant plus où se mettre, ni que faire de sa peau de misères.
La vieille dame affligée semblait céder, admettre l’indignité de son désir de vouloir retenir encore son Alise. Puis l’instant d’après, affolée à l’idée de cet irrémédiable, aveuglée de douleur, elle approcha avec un plat de je ne sais quoi, le mis sous le nez du pauvre animal mourant, dans l’espoir fou qu’il susciterait son appétit.
Mise au centre de ce tableau surréaliste, je décidai non sans mal de soutenir davantage l’animal que la maîtresse.
Il leur fallait ma force et mon assurance, que le vétérinaire soulagerait et rendrait douce la fin de leur animal, dont la vie d’ailleurs ne serait abrégée que de quelques heures, tellement maintenant sa fin était proche.
Je les ai accompagnés tous les trois jusqu’au bout ; j’ai tenu la vieille dame tout contre sa chienne quand le vétérinaire a fait glisser dans les veines le liquide qui endort et celui qui fait mourir sans souffrance.
Alise s’est laissée faire sans se défendre comme presque déjà partie. La vieille dame a laissé faire aussi, elle avait capitulé ; son mari, lui, s’est tenu éloigné n’ayant pu affronter de près, la mort de l’une et l’immense douleur de l’autre. Alise avait 16 1/2 ans.
Il me restait encore à terminer mon travail, c’est à dire à les aider tous deux à accepter l’insupportable. Il me semblait qu’il ne fallait pas les séparer brutalement du vieil animal.
Tous deux souhaitaient une crémation pour Alise. Je proposai qu’ils puissent garder la vieille chienne près d’eux pour la nuit, pour la voir morte mais apaisée enfin, délivrée de son manteau de vieillesse douloureuse.
Pour qu’ils entament un vrai deuil, il me fallait les aider à regarder en face la fin de la vie. La force de ma présence pouvait leur permettre d’accompagner leur Alise jusqu’à l’acte de crémation. La vieille dame ne s’y est pas dérobée. Je l’ai soutenue jusque dans cette dernière et douloureuse démarche d’immense respect pour sa vieille chienne.
Cette ultime épreuve vécue de la crémation lui laissera à jamais l’irremplaçable réconfort de ne s’être pas détournée, de n’avoir jamais abandonné son animal chéri, en l’accompagnant même jusqu’après la mort du corps.
Je garde d’Alise, le souvenir ému d’un chien pathétique qui ne voulait pas faillir.
Danièle MIRAT

Déposé par Biscuit le 10/07/2016  
"Pour tous ces jours passé avec toi
Pour tous ces moments où j'ai joué avec toi
Pour tous ces reves ou j'ai penser à toi
Pour tous ces léchouilles que tu ma fait
Pour tous ces fou rire que j'ai passer avec toi
Pour tous ces jours où je penserais a toi
Je ne voudrais te perdre pour rien au monde
Je t'aime mon rayon de soleil."

Déposé par colombine67 le 10/07/2016  
Témoignage d'un chien abandonné.
"Je ne sais pas où tu m’emmènes, mais je sais que tu es en colère contre moi. Tout à l’heure tu m’as fais monter dans la voiture, et tu m’as ordonné sèchement de me coucher à côté du siège passager. La voiture est pleine de poils je ne le fais pas exprès tu sais, mais tu ne m’as pas brossé depuis longtemps. Je sais qu’hier, j’ai été un VILAIN CHIEN.
J’ai pourtant essayé de vous faire comprendre, à toi et à ELLE, que j’avais une grosse envie que c’était pour la grosse commission. Mais tu m’as dit de me taire et de filer dans mon coin. Je te promets que j’ai essayé, aussi longtemps ,que j’ai pu, de retenir la commission lorsqu’ ELLE et toi, vous êtes partis.
Jai tourné en rond et puis c’est parti. Je sais que j’ai fait CA au milieu de la cuisinevje m’en suis beaucoup voulu tu sais, je me suis mordu les pattes, j’ai beaucoup pleuré Et puis je ne sais pas ce qui ma pris, j’ai ressenti beaucoup de colère pour toi et pour ELLE, tous ces moments où je me suis senti délaissé, et de trop entre vous deux, me sont revenus
et j’ai fais toutes ces bêtises,
j’ai mordu les coussins et arraché un peu de papier peint. J’ai eu peur lorsque tu es rentré, j’ai vu de la colère dans tes yeux, et j’ai su que la punition allait être terrible. C’était si bien au début toi et moi seuls contre les imbéciles tu m’emmenais partout avec toi et j’avais le droit de venir t’embêter avec ma baballe pleine de bave et me coucher sur tes pieds pour mâchouiller tes pantoufles, on faisait de longues balades dans la forêt, et au retour j’avais droit à pleins de câlins et puis ELLE est arrivée.
Au début, je ne la gênais pas trop et je pouvais encore circuler librement dans l’appartement, comme je l’avais toujours fait avec toi. Et puis elle a commencé à se plaindre : tu me donnais trop d’affection, je mangeais trop je perdais mes poils, j’étais sale, je sentais mauvais… et puis elle était allergique (hahaha)
Hier lorsque vous êtes rentrés elle t’a dit c’est lui ou moi et tu m’as lancé un regard triste mais résigné. Nous nous sommes arrêtés. Tu m’as emmené dans la forêt où nous venions souvent, avant, tu as noué ma laisse autour du tronc d’arbre et tu es parti dans ta grosse voiture pleine de mes poils. C’est une blague ? un nouveau jeu ? une punition ? tu vas revenir ?
Je me souviens du premier regard que tu m’as lancé à travers la grille de ma cage. Tu t’es arrêté et agenouillé devant moi et je suis venu mordiller ton doigt. Tu as dit à la dame du refuge que tu vivais seul et que tu aurais largement le temps de t’occuper de moi. Moi je t’aimais déjà, au premier regard. La grande cage s’est ouverte et j’ai sauté dans tes bras. J’étais tout chiot à l’époque ça fait déjà deux ans !
Et que de bonheur depuis !! Jusqu’à ce jour. Il y a longtemps que tu es parti maintenant. Je m’ennuie, j’ai peur et j’ai commencé à ronger ma laisse mais elle est en acier et je me suis fait mal aux dents. Mon collier me sert car je n’ai pas assez de mou pour ne serait ce que m’allonger. Et puis j’ai faim, j’ai soif. Deux jours que je suis là j’ai arrêté de compter les minutes et de japper, à force de pleurer je n’ai plus de voix et tu n’es pas revenu. Le collier a entamé ma peau à force de tirer dessus et cela me fait très mal. Jai très peur
Est-ce donc si terrible de faire la commission à l’intérieur ?Je ne sais plus depuis combien de temps je suis là à force de tirer sur la laisse j’ai réussi à pouvoir m’allonger un peu mais jai très mal au cou et cela me brûle beaucoup les mouches commencent à me tourner autour. Je ne me sens plus très bien, je n’ai même plus soif, même plus faim et je crois que j’aimerais rester seulement là , allongé et attendre que tout s’arrête autour de moi.
Juste un murmure qui se rapproche je distingue quelques voix serait ce toi mon amour d’humain qui revient me chercher ? Suis-je assez puni ? Je me suis réveillé à l’hôpital pour chiens. Une dame très gentille ma dit que désormais j’allai dépendre du refuge SPA. Ça je connais. J’y ai passé les premiers mois de ma vie. La dame est très gentille. Je viens de passer deux longues semaines à la clinique vétérinaire et j’ai quinze points de suture au cou. Le collier en acier avait entamé ma chair, et les mouches avaient commencé à pondre dans la plaie. Je suis un miraculé me dit la dame très gentille.
Elle me dit que je suis beau et que je ne devrais pas tarder à trouver de nouveaux maîtres. Mais ce ne sont pas de nouveaux que je veux ! Pourquoi ne vient- il pas me chercher ? je ne comprend pas. Ma compagne de cellule est une adorable border collie de quatorze ans.
Elle se nomme Mitsy. La directrice du refuge la chargée de me mettre au courant en ce qui concerne la vie au pensionnat, les horaires de promenade, de repas, le règlement intérieur. Mitsy est là depuis qu’elle a neuf ans. A la mort de sa maîtresse, elle a été amené au refuge, car aucun des cinq enfants (que Mitsy a pourtant vu grandir) n’a voulu assumer un vieux chien malade et à demi aveugle. Mais elle ne leur garde pas rancune. Et puis depuis qu’elle est là, Mitsy est devenue en quelques sortes la mascotte du refuge. Elle rentre, elle sort à sa guise, si bien qu’en général, la journée je me retrouve tout seul.
Dans la cage de droite, il y Snoop, un vieux briard, que l’enfermement a rendu aigri et qui passe ses journées à grogner. A force de s’en prendre à ses compagnons de cellule, les humains ont été obligé de l’isoler. Et puis à droite, il y a Roots Trois ans déjà qu’il traîne ses pattes au refuge, et pourtant il ne perd pas espoir de repartir un jour. Quand un humain arrive, il fait le beau, il jappe il frétille, il amuse la galerie. Au début j’ai pris des cours avec Lui et je faisais le singe dans ma cage espérant attirer l’attention sur moi, mais les visiteurs vite écoeurés détournaient la tête de mon pelage, terni et de ma longue balafre boursouflée, longue dune dizaine de centimètres, entravant mon cou.
Petit à petit mon espoir est mort. Les gens me regardaient et s’en allaient. A chaque fois que je ressentais quelque espoir, une main caressante, un regard appuyé, les gens me donnaient quelques mots affectueux puis continuaient leur promenade. Je me sentais mourir à petit feu. D’abord ce fut ma jeunesse.
Elle me quitta.
Je me désintéressais des balles et des pouics pouics en tout genres. Et puis un jour, je me désintéressai même de ma gamelle. Jamais plus je ne connaîtrai la chaleur d’un panier garni d’une douce couverture pour mes papattes, où de juteux restes de repas glissés avec amour dans ma gamelle. Je fus résigné à attendre la fin couché sur ma paillasse, à l’autre bout de la cage, bien loin des manifestations d’intérêt du genre bipède.
J’étais devenu maigre à faire peur, mes pattes ne me portaient plus. Bien qu’âgé de quatre ans, j’en paraissais 10 de plus. Ils vinrent. Deux bipèdes. Ils se tenaient par la main, expliquant à la dame du refuge qu’ils avaient mûrement réfléchi, qu’ils avaient décidé d’adopter un chien de la SPA plutôt que de prendre un chiot chez un éleveur. Ils s’en remettaient au choix de la directrice, même si celui ci se portait sur un pas très beau, plus très neuf leur seul envie était de faire trois heureux. Ils s’arrêtèrent devant ma cage. On se regarda longuement, et je voyais bien que LUI comptait mes côtes, très apparentes sous mon pelage, et qu’ ELLE détaillait ma longue cicatrice inesthétique.
- ORLY a été trouvé attaché à un arbre, dans la forêt, parce que son maître n’a pas eu le courage de s’en débarrasser au refuge. Il est resté cinq jours dans les bois, sans boire sans manger, couché dans ses excréments. La plaie que vous lui voyez au cou, c’est le collier qui a entamé sa peau. Sachez bien que la cicatrice s’estompera mais ne disparaîtra pas complètement. Ce n’est pas une bête de concours. Mais il est avec nous depuis un an et la vie au refuge lui pèse. Je crois qu’il a décidé de se laisser mourir, malgré toute notre affection.
ELLE s’approcha doucement de moi. Je grognai. Après tout pourquoi leur accorder la moindre importance. Ils me cajoleraient, puis me laisseraient tomber comme tous les autres avant eux. ELLE passa une main douce dans mes poils et sur mon museau, me toucha les oreilles et je vis que ses yeux brillaient. LUI se tenait à quelques pas derrière elle. La directrice dansait d’un pied sur l’autre pleine d’un secret espoir.. ELLE était si douce, et en cet instant je me sentais si bien, que je vins me blottir contre elle et posait ma grande tête sur ses genoux. Et puis je fermai les yeux. J’attendis la sentence.
Une voix très émue au loin, hors de mon rêve C’est possible de l’emmener aujourdhui ? La directrice battit des mains, joyeuse. Bien sûr ! je vais vous expliquer pour les papiers, et les démarches. Elle voulut refermer la cage mais ELLE me prit par le collier et me dit doucement de venir avec elle .
Je la regardais, impuissant, n’y croyant pas vraiment. Je passai devant Roots et tous les autres qui me jappaient des félicitations et des cris de joie. Mitsy, confortablement installée dans un vieux fauteuil en cuir passé, me fit un clin d’oeil en me voyant arriver dans le bureau des adoptions. Mon nouveau maître , tout en me caressant longuement, me promit que tout ce que j’avais vécu là était terminé et que j’allais avoir droit à une vie de rêve, bien méritée, un bon panier bien moelleux, des restes de repas bien juteux et à l’avenir un jardin où je pourrai creuser à volonté. Je partis avec eux, allongé sur le siège arrière de la voiture, avec un dernier regard sur le refuge, où attendent encore des centaines de mes compagnons à quatre pattes, et ne pensait qu’à ma nouvelle vie.

Déposé par colombine67 le 09/07/2016  
Si je suis le (la) premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !

Déposé par colombine67 le 08/07/2016  

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Déposé par poutounou le 07/07/2016  
Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide à poursuivre notre chemin malgré les durs moments de la vie...
*
L'habitude
*
La tranquille habitude aux mains silencieuses
Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ;
Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres
Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ;
*
Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre,
Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent,
Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent
Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ;
*
Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces,
Les insensibles mains de la lente Habitude,
Resserrent un peu plus l'étrange quiétude
Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ;
*
Et du même toucher dont elle endort la peine,
Du même frôlement délicat qui repasse
Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface,
Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine,
*
Les gestes, le sourire et le visage même
Dont la présence était divine et meurtrière ;
Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ;
La source des regrets devient voilée et blême.
*
A chaque heure apaisant la souffrance amollie,
Otant de leur éclat aux voluptés perdues,
Elle rapproche ainsi de ses mains assidues,
Le passé du présent, et les réconcilie ;
*
La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ;
La blessure adoucie et calme se referme ;
Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme,
Se sentent lentement changés en cicatrices ;
*
Et celui qui chérit sa sombre inquiétude.
Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute,
Plus que tous les tourments et les cris vous redoute,
Silencieuses mains de la lente Habitude.
*
Auguste ANGELLIER (1848-1911)

Déposé par lili2248 le 07/07/2016  
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💖 .. je passe petit coeur pour bonne nuit ..💖
💖a demain bisous💖
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Déposé par colombine67 le 07/07/2016  
Comme des milliers de chiens abattus pour leur viande en Chine, Tiger était destiné à être mangé. Mais sa bonne étoile en a décidé autrement.
Dans les rues de Beijing (Pékin), une jeune femme chinoise passait tous les jours devant un chien enfermé dans une cage beaucoup trop petite pour lui. Une triste banalité, qui a toutefois fini par l’interpeller. Elle demanda au vendeur ce qu’il adviendrait de ce chien. Et l’homme de lui répondre qu’il serait envoyé à l’abattoir. Sans plus tarder, la jeune femme décida d’acheter le chien pour le sauver.
Dans sa nouvelle maison, ce beau Berger allemand s’avéra un merveilleux chien de compagnie. Il s’entendait particulièrement bien avec les enfants. Un nom lui fut donné : Tiger. Mais sa sauveuse ne pouvant le garder, elle se promit de trouver des adoptants pour ce merveilleux chien.
Une famille américaine
Lorsque la famille s’envola pour San Francisco, Tiger fut de la partie. Pris en charge par l’association Duo Duo Project, qui vient en aide aux chiens sauvés de l’abattage en Chine, il fut proposé à l’adoption. C’est là que son chemin croisa celui de Jenny Sehic.
Auparavant, cette américaine avait eu l’occasion de voyager en Chine, et elle avait vu les camions pleins de chiens entassés dans des cages minuscules qui étaient conduits à l’abattoir. « J’ai commencé à suivre Duo Duo Project sur les réseaux sociaux pour mieux comprendre ce commerce de la viande de chien et chat, et ce que nous, en tant qu’Américains, pourrions faire pour arrêter cette pratique », a expliqué Jenny Sehic à The Dodo.
Alors qu’elle cherchait un chien à adopter provenant de Chine, la jeune femme a découvert la photo de Tiger. « Nous avons su immédiatement que nous avions trouvé notre chien », se souvient-elle.
Une amie pour la vie
Lorsque Tiger est arrivé dans sa nouvelle maison, « il avait l’air d’un vieux chien tant il était maigre et sans muscles. Il était recroquevillé, et sur son dos, il y avait encore la cicatrice du haut de la cage qui était clairement trop petite pour lui ». Timide et anxieux au début, Tiger a rapidement trouvé en Sloane, 3 ans, une alliée et une meilleure amie pour la vie.
Amoureuse des animaux, la petite fille de la famille est vite devenue une partenaire de jeu idéale pour le jeune Tiger. Les deux acolytes grandissent désormais ensemble, loin de la tragédie qui frappe des milliers de chiens et chats en Chine. Rappelons que le seul festival de Yulin, qui a commencé le 21 juin, cause la mort de 40 000 chiens et 10 000 chats chaque année.

Déposé par ovanek le 06/07/2016  
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Tu étais mon soleil
tu réchauffais mon Cœur
Tu as maintenant mon étoile
celle qui brille dans mon être
je t'aime
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Déposé par colombine67 le 06/07/2016  
Salut l'Homme,
Tu m'as proclamé, moi, le Chien, ton meilleur Ami. Mon Dieu, quand je vois ce que tu fais à ton meilleur ami, alors que fais-tu donc à tes ennemis ? En ces temps troublés pour la race canine, j'en ai assez de serrer mes machoires, de fermer mes babines et de raser les murs. Alors j'ai décidé de prendre la plume pour te dire tout ce que j'ai sur le coeur, car trop c'est trop !
Tu as la mémoire courte l'Homme. Toi qui vis maintenant dans une ère technologique démentielle; tu vas sur la lune, tu envois des sondes sur Mars, tu ne vis plus que via Internet, tu ne sais plus te passer de ta TV, ton GSM, ton four à micro-ondes, ta machine à laver, ta voiture, tes vacances à l'étranger, ton air conditionné et j'en passe... As-tu déjà oublié qui te réchauffait les os à l'époque ou tu vivais encore dans des cavernes ? Qui a assuré ta pitance en t'aidant à chasser ? Qui t'a sauvé de la famine en protégeant tes champs et en gardant ton bétail ? Qui t'a sauvé la vie en se battant contre les bêtes "sauvages" à ta place ? Qui t'a assuré une descendance en veillant sur tes enfants ? N'oublie jamais que c'est toi qui es venu me chercher. Je n'avais pas besoin de toi. Bien sûr, tu as surtout su vite profiter de mes points faibles, à savoir mon bon coeur et l'amour de mon ventre... En veillant sur toi, c'est mon existence que j'ai assuré pour les temps à venir.
Je t'ai donné une bonne leçon l'Homme. Tu as joué avec la génétique, tu m'as spécialisé selon tes désirs : du plus petit au plus grand, du plus léger au plus lourd, du plus poilu au plus rasé, tu m'as créé chiens de Bergers, chiens de montagne, chiens de chasse, chiens de compagnie, chiens bâtards... mais... malgré toutes ces différences de races, nous nous reconnaissons toujours entre nous comme étant Chien avant tout. Et toi, l'Homme ? Sais-tu encore à quelle race tu appartiens ? Tu t'es divisé en blancs, noirs, jaunes, bruns... tu as prôné la supériorité de ta catégorie raciale, toi qui es vert de rage, bleu de froid, rouge de colère, blanc de peur, tu as créé des "sous-races", des races "impures". Tu as prôné l'extermination de tout ce qui te faisait peur ou tous ceux qui ne partageaient pas tes idées, tu as créé l'horreur, le racisme, la Xénophobie... Moi le Chien, je me bats uniquement pour une question de hiérarchie et encore, quand cela est nécessaire. Mais toi l'Homme ? Tu te bats pour tes idées, pour un bout de territoire, pour un Dieu, pour du fric. Tu te bats par patriotisme, par peur, par haine, par plaisir, par habitude, et c'est moi le chien que tu qualifies d'"animal" ?
Tu te dis civilisé l'Homme. Tu es pour la paix dans le monde, pour le progrès technologique, médical, économique. Tu dis que la prospérité règlera tous les différents entre humains. Bon, soit. Cela dit, ton vernis civilisé craque de toute part. Tu deviens égoïste, paranoïaque, égocentrique. Tu te drogues, tu cours de psychiatre en psychiatre, tu bois à en perdre la raison, tu fumes comme un pompier, tu détruis la nature au nom de la viabilité économique, tu vis à 100 à l'heure 24 heures sur 24. Tu dois être sans cesse productif, alors tu sacrifies ta santé, tu manges des "cochonneries", tu dénatures tout, tu négliges l'éducation de tes enfants, tu attrapes toutes sortes de maladies incurables. Alors pour te venger tu te défoules sur ton meilleur ami... Tu me prends pour tes expérimentations animales, pour tester tes savons, tes shampooings, tes médicaments; tu me prends pour régler tes problèmes de solitude, de santé, pour faire "plaisir" à tes gosses (tu veux surtout avoir la paix); par mode, pour frimer, pour être supérieur à tes voisins; pour garder du toc, pour te défendre, par peur des autres; ou pour faire du fric dans des combats, des courses, des concours, de la reproduction... Et quand tu es fatigué de moi, tu me jettes sur l'autoroute quand tu pars en vacances, tu m'abandonnes dans un refuge (comme par hasard, tu m'as trouvé sur la rue), tu m'euthanasies si je te gêne, tu veux éradiquer des "races" parce que tu es incapable de t'en occuper convenablement, tu prends des lois stupides, tu crées des phobies chiens, si je t'encombre dans ta maison, tu me fourres dans une cage dehors, ou tu m'attaches au bout d'une chaîne... Ta soif d'holocauste est-elle si irrépressible pour que tu t'en prennes maintenant à ton "meilleur" ami ?
Tu es soi-disant "propre" l'Homme, toi qui n'arrêtes pas de râler sur les déjections canines dans les rues de tes villes, toi qui rouspètes quand ton ami lève sa patte partout où il passe, quand il saccage tes plantations, et quand il fait des trous dans ton gazon anglais... Mais... t'es-tu déjà bien regardé ? Ce n'est pas moi le Chien qui laisse déborder les poubelles dans tes villes, ce n'est pas moi qui jette mes détritus de pique-nique dans la nature, ce n'est pas moi qui pollue les rues avec tes emballages, tes canettes de bière, tes sachets de frites bien gras, ce n'est pas moi qui fait des dépôts d'o*****s clandestins à la campagne, ce n'est pas moi qui saccage les murs de tes villes avec de la peinture, ce n'est pas moi qui déverse du lisier dans les rivières, ce n'est pas moi qui vandalise les cabines téléphoniques, les magasins, les oeuvres d'arts... Ce n'est pas moi qui laisse traîner des seringues usagées sur les plages, ce n'est pas moi qui ai inventé les marées noires, les accidents nucléaires, le CO2 de tes précieuses voitures, les déversements chimiques dans les fleuves, le déversement des égouts dans les rivières et j'en passe... Et c'est moi que tu qualifies de "sale" ?
Alors bon, qu'est-ce que je dois faire ? Parce qu'un jour lointain j'ai décidé de t'aider, me voilà incapable de me débrouiller seul. Je dépends de toi, l'Homme ! Entièrement de toi ! La vie serait pourtant si belle si tu m'accordais un peu d'attention. Je te donne ma fidélité, mon amour, je ne te juge pas. Que tu sois riche ou pauvre, jeune ou vieux, en bonne santé ou malade, blanc ou noir, croyant ou non croyant : tout cela m'importe peu car je suis TON ami. Regarde autour de toi, je suis toujours là quand tu as besoin de moi, je suis chien d'avalanche, chien de décombres, chien d'aveugle, chien pour les handicapés moteurs, chien policier pour te protéger, chien garde-malade, chien farceur, chien jouet avec tes enfants ou avec toi, chien sportif, chien de troupeau...
Regarde autour de toi l'Homme, dans le monde que tu t'es fabriqué, tu ne trouveras pas de meilleur ami que moi. Mais concluons un nouveau pacte toi et moi. Toi qui me vois chiot rondelet, canaille avec des yeux suppliants qui te disent prends-moi, arrête-toi un instant et réfléchi : tu me prends uniquement pour tes enfants ? Ne me prends pas, tu sais que les enfants changent d'avis très vite et tu sais aussi qu'un enfant n'est pas capable de s'occuper d'un chien. Tu me prends pour te protéger dans tes banlieues parce que tu as peur ? Ne me prends pas, ta peur est contagieuse et tu voudras faire de moi un chien dangereux. Tu me prends parce que je suis spécial, gros, puissant (tout ce que tu veux être) ? Ne me prends pas, tu seras incapable de m'éduquer, je deviendrai le chef et c'est moi qui finirai à la fourrière. Tu me prends sur un coup de tête à la veille de tes vacances ? Ne me prends pas, je n'ai pas envie de courir après ta voiture sur l'autoroute... Si tu veux me prendre pour pleins de mauvaises raisons : peur, coup de tête, reproduction, frime, cadeau, alors NE ME PRENDS PAS ! Laisse donc sa chance à un autre.
Mais, si tu es prêt à me prendre pour moi, si tu es prêt à m'éduquer correctement, fermement mais avec bonté, si tu es prêt à partager tes loisirs avec moi, si tu es prêt à gambader avec moi dans la nature, qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, qu'il fasse chaud, si tu es prêt à faire un minimum de sacrifices, (quelques trous dans ta pelouse, quelques fleurs grignotées, des pattes de boues dans ta maison, des poils sur ta moquette... , si tu as les moyens financiers nécessaires pour me nourrir décemment et me soigner en cas de besoins, si tu es prêt à me considérer comme un partenaire dans ta vie de tous les jours, si tu es prêt à me défendre contre les lois stupides de tes semblables, contre les comportements imbéciles de certains, alors PRENDS-MOI, je n'attends que cela, partager ta vie et être ton meilleur ami, aime-moi pour ce que je suis, un coeur tendre avec des poils autour, et non pas pour ce que tu voudrais que je sois !
Ton meilleur ami : le Chien.

Déposé par lili2248 le 05/07/2016  
Nous devions nous aimer, c'était écrit là-haut...
Les âmes sœurs finissent par se trouver quand
elles savent attendre...
Théophile GAUTIER ,

Déposé par colombine67 le 05/07/2016  
Il suffit simplement d’observer nos chiens ou les animaux en général pour nous rappeler ces leçons de vie que nous, les humains, avons oublié dans notre société de course à la consommation, d’égocentrisme et de perte de ces valeurs fondamentales qui pourtant, nous permettraient de vivre plus en harmonie les uns avec les autres.
Nous vous parlons très régulièrement, et à travers de belles histoires, de ces leçons de vie exemplaires que nous enseignent nos chiens. Dans cet article, nous avons choisi de vous énoncer six d’entres elles, illustrées d’histoires émouvantes que nous vous avons narré sur Guide du Chien :
1. La fidélité
Depuis les débuts de la civilisation, le chien a toujours incarné un véritable symbole de fidélité et un exemple de celle-ci pour l’humanité. Le chien est le meilleur ami de l’homme, son plus fidèle compagnon, qui ne lui fait jamais défaut.
Le chien est prêt à donner sa vie pour défendre celle de son maître comme en témoignent les histoires de Chako et  Lefty, ces deux magnifiques Pit Bulls qui ont risqué leur vie pour sauver celle de leur maître.
Mais pour aller encore plus loin et prouver encore cette incroyable fidélité de nos amis à quatre pattes, certains chiens ont même dédié le reste de leur vie à veiller sur la tombe de leur maître défunt. Pour preuve, nous vous avons raconté l’histoire de Bobby qui est resté sur la tombe de son maître pendant 14 ans ou encore Coly qui veillé la tombe de son maître pendant 9 ans.
2. Le pardon
Combien de chiens ont été lâchement battus, maltraités et abandonnés par des maîtres odieux ? Hélas il est impossible de compter tant il y en a.
Mais nos chiens ont cette incroyable faculté à pardonner leur bourreau, le responsable de leurs plus grands maux sur cette terre : l’être humain.
Les chiens font preuve d’une incroyable clémence à notre égard et malgré toutes leurs souffrances, sont capables de nous ouvrir à nouveau leur cœur et placer toute leur confiance en nous.
Ces chiens sont nombreux à attendre dans les refuges et sauront bien vous le rendre, croyez-moi… Les histoires de Gideon et Cadence en sont de parfaits exemples.
3. L’amour inconditionnel
Les chiens nous aiment de tout leur cœur et nous le montrent chaque jour que nous passons à leurs cotés. Votre chien vous a-t-il un jour fait défaut lorsque vous êtes rentré à la maison après une longue journée de travail ?
Vous a-t-il un jour boudé parce que la veille vous ne vous êtes pas promené assez longtemps avec lui ? Ou alors un jour lorsque vous vous êtes emporté et l’avez grondé excessivement et à tord ?
Certainement que non, ou alors votre chien peut souffrir d’un grave problème médical et il faut consulter un vétérinaire très rapidement.
Quelles que soient les circonstances de la vie, heureuses ou malheureuses, votre chien éprouvera et vous montrera un amour inconditionnel et sans faille. Notre article sur les 20 plus belles citations canines contemporaines illustre parfaitement cet amour absolu.
4. L’altruisme
Votre chien n’est pas votre plus fidèle ami par intérêt, parce que vous le nourrissez chaque jour et lui apportez un confort matériel. Non, votre chien vous aime du plus profond de son être parce qu’il a de profonds sentiments pour vous et ce, de façon complètement désintéressée.
Si vous devriez vivre demain (ou plutôt survivre) dans la rue et que vous éprouviez les pires difficultés financières et matérielles, votre chien sera toujours à vos cotés pour vous apporter le réconfort nécessaire et vous donner ce sourire qui s’esquisse à la simple vue de son regard et de sa queue qui remue.
Votre chien sera toujours à vos cotés, peu importe que vous soyez riche ou pauvre, notable ou ouvrier, triste ou heureux.
5. Aider ou sauver son prochain
L’être humain est de plus en plus égoïste. Nos sociétés à priori « civilisées », à travers les médias et les politiques, nous véhiculent peur et méfiance de « l’étranger » au sens le plus large du terme (un voisin, un passant ou simplement quelqu’un qui ne nous « ressemble » pas).
J’ai le souvenir marquant d’une étude qui mettait en situation une personne qui simulait un malaise dans la rue et qui avait pour but de mesurer le nombre de personnes qui s’arrêteraient pour lui prêter secours. Les résultats ont été sidérants : les trois quarts des personnes ne s’arrêtaient pas et pire, changeaient de trottoir à la vue de l’acteur étendu sur le sol, qui pourtant simulait à la perfection un malaise nécessitant un secours d’urgence.
À notre différence, les chiens se portent au secours de n’importe quelle personne ou animal en danger, inconnue ou non, et en faisant preuve d’un grand courage. Nous vous avons relaté l’histoire de ces chiens errants sauvant une jeune fille en proie à un prédateur sexuel ou encore l’histoire de cette conductrice gravement blessée et qui doit le vie à un chien abandonné.
6. L’esprit de famille
Ou si je puis me permettre « l’esprit de meute » pour faire un parallèle logique avec nos amis les chiens. Combien de nos aînés sont abandonnés dans des maisons de retraite dans des conditions parfois exécrables, recevant une visite par mois tout au plus de leurs enfants ou leur proche famille ? Dans leur plus grande sagesse, nos parents âgés, nos grand-mères et grand-pères nous ont porté, soutenu et jamais abandonné.
Pourtant combien de ces pensionnaires contraints malgré eux dans la solitude des ces maisons de retraite meurent dans le plus grand anonymat pour des pseudos « querelles de familles » ou à cause de l’indifférence de leur proches ?
Nos chiens nous montrent quant à eux un tout autre exemple du respect des « anciens » et des malades également
Pour illustrer cela, nous pouvons simplement prendre l’exemple de chiens qui vivent à l’état sauvage ou des nombreux chiens errants qui peuplent certaines de nos villes. Ces chiens font tout pour leurs semblables, vieux ou malades, quitte à risquer leur vie pour sauver l’un des leurs. Nous vous en parlions lors de notre article sur l’exceptionnel sauvetage d’un chien errant par l’un de ses congénères également abandonné, alors qu’il s’était fait percuté par un camion.
Pour conclure
Nous avons vu dans cet article 6 leçons de vie que nous enseignent les chiens au quotidien et dans leur plus grande authenticité. Bien entendu il en existe encore beaucoup d’autres telles que le courage, la compassion ou encore la sincérité pour ne prendre que trois exemples supplémentaires. N’hésitez pas à enrichir l’article par vos commentaires plus-bas et nous parlez de vos expériences sur le sujet.
Nous conclurons cet article par une citation d’Alphonse Lamartine (poète français, 1790-1869) :
« Partout où il y a un malheureux, Dieu envoie un chien. »

Déposé par colombine67 le 04/07/2016  
Pas étonnant que le chien soit le meilleur ami de l'homme. Sa loyauté, son intelligence, son dévouement et son affection sont incroyablement gratifiants. Il n'y a rien de mieux qu'une longue marche avec son compagnon, voir la joie de son chien lorsqu'on l'emmène jouer au parc, ou simplement se reposer à la maison en compagnie l'un de l'autre. Et bien sûr, pour tout l'amour que vous exprimez à un chien, il vous le rend dix fois.
Des études récentes ont montré que ceux d'entre nous qui ont un animal de compagnie sont généralement en meilleure santé et plus heureux que ceux qui n'en ont pas. Mais pourquoi le chien est-il un animal de compagnie idéal ?
Promener son chien régulièrement entretient la forme physique.
Promener son chien augmente l'interaction sociale : beaucoup de personnes se lient d'amitié avec les propriétaires de chiens qu'ils rencontrent régulièrement.
La marche à pied aide à oublier le stress et les tensions de la vie quotidienne et offre un moment précieux à l'extérieur : l'occasion de laisser tout derrière soi et de passer du temps avec un compagnon fidèle.
Les chiens nous donnent un sens du bien-être émotionnel grâce à l'amour inconditionnel qu'ils nous portent.
Les propriétaires de chiens ont généralement un système immunitaire plus solide, ce qui les aide à se tenir à l'écart des maladies.
Le fait de posséder un chien aide les gens à se remettre d'un traumatisme personnel, tel que le deuil.
Les propriétaires de chiens ont généralement une pression artérielle moins élevée que les autres.
Les propriétaires de chiens se remettent souvent plus rapidement des maladies et présentent un taux de survie plus élevé après un infarctus.
Les enfants possédant des chiens manquent moins souvent l'école pour cause de maladie.
Par ailleurs, plus encore que tous ces avantages non négligeables, les chiens représentent tout simplement une grande source d'amusement. Ils peuvent vous faire rire, en particulier lorsque vous avez passé une très mauvaise journée, et ils sont toujours là pour vous réconforter par un câlin lorsque vous en avez besoin. Rien ne peut mieux vous remonter le moral que de voir votre chien tenir sa laisse avec espoir, sa queue battant fortement, les yeux brillants d'excitation pour sa première promenade de la journée.

Déposé par poutounou le 03/07/2016  
Il y a des jours comme ça…
*
Il y a des jours comme ça,
Des jours où ça ne va pas.
Des jours où on aimerait
Serrer notre Ange contre soi.
Lui murmurer des mots doux,
Lui faire des câlinous tout partout
Il y a des jours comme ça…
Depuis qu’il n’est plus là.

Déposé par colombine67 le 03/07/2016  
Un chien reste aux côtés de son maître, que celui-ci soit riche ou pauvre, en bonne santé ou malade, pourvu qu'il soit auprès de lui.
Il dormira sur le sol froid quand les vents glacials souffleront et que la neige tombera avec force.
Il embrassera la main qui n'a pas de nourriture à lui offrir, léchera les plaies et les blessures causées par la rudesse de ce monde.
Il veillera sur le sommeil d'un pauvre comme si ce dernier était un prince.
Quand les ami(es) font défaut, le chien LUI reste fidèle. Lorsque la richesse s'envole et que la réputation s'effrite, son amour demeure aussi immuable que la trajectoire du soleil à travers le ciel.
Si le sort fait de son maître un proscrit en ce monde, sans ami(es) ni maison, il ne demande pas de plus grand privilège que celui de l'accompagner pour le protéger et se battre contre ses ennemis.
Et quand vient le dernier moment, que la mort étreint son maître et que le corps de celui-ci est abandonné dans la terre froide, peu importe si tous les amis poursuivent leur route, on trouvera le noble chien là, sur la tombe, la tête entre ses pattes, les yeux tristes mais vigilants, fidèle et loyal jusque dans la mort !!!!

Déposé par mindy le 02/07/2016  
« Dans cette chanson « le jour et l’heure », Patricia Kaas évoque l'instant où l'on apprend une terrible nouvelle qui va bouleverser nos vies »
Dans son café rêveuse un nuage de lait
Puis marchant dans les flaques elle comptait ses amours
Il y avait en ville des miroirs aux pavés
C’était un jour de pluie et de vitrines en cours
J’étais comme le ciel étendue sans nuance
Ma valise était faite, une embellie passait
Je n’attendais personne, j’aimais bien ce silence
Je sais tout simplement que l’on n’oublie jamais
Le jour et l’heure
où tout a basculé
L’instant précis même du malheur
Quand le téléphone a sonné
Le jour et l’heure
Le lieu précis de la douleur
De ce qu’on y faisait
Tout ce qu’on y faisait
Tout ce qu’on y faisait
Je prenais tout mon temps
Rien n’avait d’importance
Les terrasses étaient pleines et les rires s’envolaient
Il y avait dans l’air un parfum d’insouciance
Je sais tout simplement que l’on n’oublie jamais
Le jour et l’heure
où tout a basculé
L’instant précis même du malheur
Quand le téléphone a sonné
Le jour et l’heure
Le lieu précis de la douleur
De ce qu’on y faisait
Tout ce qu’on y faisait
Je sais que l’on n’oublie jamais
Le jour et l’heure
Le jour et l’heure
où tout a basculé
L’instant précis même du chagrin
Quand le téléphone a sonné
Le jour et l’heure
Longtemps après l’on s’en souvient
De ce qu’on y faisait
Tout ce qu’on y faisait
Et ce à tout jamais




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Highslide JS

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Pr notre Punky adoré
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Merci à mon amie Marina
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Merci à mon amie Marina
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Merci chère marina
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Merci à mon amie Sorella
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Niagara, Rock,Rafia et Punky mes adorables chéris
superbe KDO de ma très chère Magalie
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Notre beau Titi d'Amour
superbe création de ma merveilleuse amie Magalie
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Mon Titi d'amour
somptueux KDO de mon amie Magalie
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Mon Titi adoré
Superbe montage offert par mon amie Magalie
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Notre trio adoré des anges...
somptueux montage offert par mon amie Magalie
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Notre Titi d'amour
magnifique montage offert par mon amie Magalie
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Magnifique cadeau offert par mon amie Magalie
Magalie c'est l'exceptionnelle maman de Murphy
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Mon tendre petit Punky
il détestait poser...et, systématiquement baissait ses oreilles. Sur cette photo, il est piégé par une friandise que je lui montre...
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Notre Titi d'Amour
Il avait le "sourire" des westies
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