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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
67 bougies
76917 Fleurs
Déposé par rafia 3301 visites...mon tendre petit Punky !!! et bien moi, je te fais aussi de doux bisous mon Punky adoré .. Déposé par PATOURITA Coucou mon ange, c'est un plaisir de te voir ici et de partager de très bon moment avec ma Rita d'amour. Soyez heureux aux pays merveilleux des toutous. Amitié à ta maman si gentille. Déposé par rafia je connais ton besoin d'indépendance qui, très souvent m'a désorientée...mais tu étais adorable et d'une fidélité exemplaire Déposé par rafia mon tendre petit chéri...je viens te faire de doux c^^alinous...si tu as le temps de me les accorder |
5624 messages
Déposé par ovanek le 14/08/2016 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 Un ange pleur dans le ciel puis il t’a croisé et ses larmes se sont changées en perle une belle aventure commence celle du nouvelle danse dans ses ailes ❤ |
Déposé par colombine67 le 14/08/2016 Heureux nous serions si le jour du Jugement Dernier nous pouvions affirmer : "J'ai aimé aussi sincèrement et j'ai vécu aussi honnêtement que mon chien". Et nous les considérons comme de simples animaux! Cette prière, composée par "liberation for our brother and sister animals" afin d'aider nos frères et soeurs animaux, est destinée à tous les fidèles animaux qui n'ont qu'un but, plaire à leur maître. - Que tous les êtres sensibles du règne animal qui sont soumis à des douleurs insupportables dans les laboratoirs du monde entier ne souffrent plus. Q'une compassion aimante s'empare des coeurs de ceux qui les gardent en captivité. - Que tous les êtres sensibles du règne animal qui pâtissent d'être enfermés des jours, des mois, des années durant dans de minuscules cages dans l'incapacité de se mouvoir soient emplis de paix et de sérénité. - Que les millions d'animaux qui attendent en rang dans les abattoirs soient délivrés de leur peur. - Qu'aucun animal ne continue de souffrir et d'être déprimé. Que leur corps soit délivré des blessures, du mal être et de la maladie. - Que ceux qui ont besoin d'un foyer ou ont été chassés du leur trouvent un abri et la plénitude de l'amour, à manger et à boire. - Que ceux qui sont torturés pour leur peau ou pour servir de divertissement soient libérés. - Que ceux qui se croient supérieurs à leurs frères et soeurs animaux fassent preuve d'une honnêteté parfaite et qu'ils comprennent dans leur coeur que les animaux n'ont pas été mis sur cette terre pour être tués ou exploités. - Que les millions d'êtres sensibles qui demeurent sur terre, dans les mers, qui sont abusés, exploités et assassinés à cause de l'avarice, de la haine et de l'ignorance soient délivrés de leurs souffrances. - Que tous les êtres sensibles humains et non humains vivions ensemble, en harmonie, paix et justice et ainsi nous parviendrons à atteindre l'illumination parfaite. - Que je sois la voix de ceux qui n'en ont pas, et que mes forces ne viennent pas à faiblir pour défendre les faibles, mes frères, les animaux. |
Déposé par colombine67 le 13/08/2016 Je suis mort aujourd'hui ... Tu t'es fatigué de moi et tu m'as amené dans un refuge. Il était plein à craquer et j'ai tiré le "mauvais" numéro. Je suis dans un sac en plastique noir, dans une décharge. Un autre chiot aura la laisse qui n'a quasiment pas servi pour moi. Mon collier était sale et me serrait trop, mais la femme me l'a quand même ôté avant de me faire traverser le Pont-de l'Arc-en-ciel. Tu crois que je serais encore à la maison, si je n'avais pas mordillé ta chaussure? Je ne savais pas ce que c'était, elle était sur le sol. Je ne faisais que jouer. Tu avais oublié de me donner des jouets. Tu crois que je serais encore à la maison si j'avais été éduqué et obéissant? Le fait de m'enfoncer le nez dans mes excréments, n'a servi qu'à me faire, éprouver de la honte pour quelque chose que mon corps me demandait. Il existe des livres et des moniteurs qui t'auraient appris à m'enseigner que je devais me diriger vers la porte. Je serais encore à la maison, si je n'avais apporté avec moi des puces? Sans répulsif, je n'aurais pas pu me les ôter tout seul, après avoir passé la journée entière au jardin. Je serais toujours à la maison si je n'avais pas aboyé? Pourtant c'était ma façon à moi de te dire : J'ai peur, je me sens seul, je suis ici, je suis ici!!!! Je veux être ton meilleur ami. Je serais encore à la maison, si j'avais pu te rendre heureux? Le fait de me frapper ne m'a pas aidé à y parvenir. Je serais encore à la maison, si tu avais pris le temps de m'inculquer les bonnes manières? Une semaine après mon arrivée, tu ne faisais déjà plus attention à moi, pourtant, j'ai tout fait pour que tu m'aimes. Aujourd'hui, je suis mort Avec tout mon amour Ton petit chiot SVP diffuse au monde, c'est le moment que cesse l'abus animal |
Déposé par colombine67 le 12/08/2016 Testament J'ai peu de biens à léguer, je n'ai aucun objet de valeur, à part mon amour et ma fidélité. Je demande à mes maîtres qu'ils me gardent une place dans leur mémoire, mais qu'ils ne souffrent pas trop pour moi. Durant mon existence, je me suis efforcé de leur être une consolation dans les moments difficiles et un motif de joie dans leurs moments de bonheur. J'ai mal de savoir que ma mort puisse leur causer de la peine. Le moment est arrivé de leur dire adieu et ce sera triste de les laisser, mais ce ne sera pas triste de mourir. Les chiens, à la différence des hommes, n'ont pas peur de la mort. J'aimerais vous faire une demande. J'ai fréquemment entendu mes maîtres déclarer : "Quand il mourra, nous n'en voudrons pas d'autres. Nous l'aimons tellement que nous ne pourrons en avoir un autre". Je leur demanderai d'en prendre un autre, par amour pour moi. Ne pas le faire reviendrait à avoir eu un mauvais souvenir me concernant. J'aimerais avoir la certitude, que parce qu'ils m'ont eu à leurs côtés, ils ne puissent plus se passer de chien. Jamais je n'ai été jaloux ou mesquin et à tous j'ai donné ma loyauté et mon amour. A mon successeur, je lègue mon collier et ma laisse et qu'il profite, comme j'ai profité en son temps, du bonheur en cette maison ... la mienne. Mes dernières paroles d'adieu à mes maîtres : Qu'ils pensent à moi avec tristesse, mais aussi avec satisfaction, car aussi profond que sera mon sommeil, je les entendrai et l'incommensurable pouvoir de la mort n'empêchera pas mon esprit de remuer ma petite queue, en signe de reconnaissance. |
Déposé par poutounou le 11/08/2016L’espoir….. * L’espoir porte un costume de plumes, Se perche dans l’âme Et inlassablement chante Un air sans paroles ; Mais c’est dans la tempête Que son chant est le plus doux. * Emilie Dickinsonn |
Déposé par colombine67 le 11/08/2016 "Jamais on ne pourra comprendre le comportement humain" Je veux comprendre ... Je dois trouver une réponse... car je ne sais comment y parvenir ... J'ai de la peine à respirer, ... j'ai froid .... Si tu es un être humain, s'il te plaît... sois moins animal .... et sois plus humain. Sois un être humain et non une bête pensante ... mais c'est curieux ... tu ressens exactemement la même souffrance que moi... Si je tremble et si mon estomac gargouille, ce n'est pas parce s'y cache un haut-parleur répétant le même disque à tes oreilles bouchées .... c'est parce que j'ai faim et j'ai froid... je ne me trémousse pas parce que j'ai envie de danser, mais parce que mes os sont congelés ... Je suis mort, frappé d'un virus fatal : "Apathie et indifférence" Ne l'attrape pas comme mon maître, car ces chaînes ce n'est pas moi qui me les suis mises pour me montrer comme les humains le font avec leurs joyaux... ces chaînes sont gelées... et elles m'immobilisèrent en m'empêchant de me réparer du froid ... car, bien sûr, je peux être fidèle à mon maître, mais je ne suis pas stupide au point de vouloir mourir de froid ... Je ne demande pas vengeance, seulement que vous fassiez attention de ne pas être contaminés à votre tour, car cela signifiera la mort pour tous ceux qui feront partie de l'entourage de cette personne ... que ce soit des animaux, des humains ou des plantes ... A présent, je suis dans un lieu plus chaud ... Alors, prends soin de toi ... Adieu. |
Déposé par choupinou le 10/08/2016Tout mon amour t'est destiné, A toi mon amour, ma passion, Mon feu sacré, mon horizon. Au-delà de ma vie, je t'aimerai, Maintenant et pour l'éternité. Ouvre-moi toujours ton cœur, s'il te plaît L'étoile qu'incarne ton être Fait briller mes yeux Chaque fois que je regarde une photo L'amour que je perçois me fait vivre,rien que pour toi Toi,tu était, tu es et restera ce soleil perçant Les nuages de mon ciel bleu devenu gris,mais... Tes rayons atteignent mon coeur Et font brûler mon envie folle de t'aimer encore et encore pour l'éternité,tu seras toujours la si présente,je t'aime |
Déposé par colombine67 le 10/08/2016 Essuie tes larmes et ne pleure pas. Si tu m'aimes, ton sourire est ma paix ... La mort n'est rien ... Je suis juste passé de l'autre côté; c'est comme si j'étais dans la pièce d'à côté. Je suis moi et tu es toi. Ce que nous étions, auparavant, l'un pour l'autre, nous le sommes encore. Appelle-moi par le nom que tu me donnais, celui qui t'est familier; Parle-moi de la même manière affectueuse. Ne change pas de ton, n'adopte pas un air solennel ou triste. Ris encore de ce qui nous faisait rire, de ces petites choses, qui nous plaisaient tellement, alors que nous étions ensemble. Souris et pense à moi! Que mon nom reste toujours aussi familier; prononce-le sans la moindre trace d'ombre ou de tristesse. Notre vie gardera tout son sens, celui qu'elle a toujours eu. C'est toujours la même, il existe une continuité qui ne peut se rompre. Pourquoi devrais-je quitter tes pensées, ton esprit, car je suis hors de vue? Je ne suis pas loin, je suis juste derrière toi. Rassure-toi, tout va bien. Tu retrouveras mon coeur, tu y retrouveras la tendresse à l'état pur. Jole Dessi |
Déposé par colombine67 le 09/08/2016 Je vais à la maison, mais je n'ai pas de maison ... oh love Je vais à la maison, mais je ne sais pas où elle est J'ai essayé d'être sans toi ... oh love Je suis perdu et je suis trahi Mais je suis en train de te flairer Et je suis en train de te chercher Mais je ne sais pas où tu es Très fatigué, fatigué au vent Il pleut déjà Il pleuvine Dans cette nuit seule Qui efface les pas et le temps M'efface moi, efface le monde Nuit ouverte que je n'ai plus fermée ... pour toi Appelle et peut-être t'entendrai-je Appelle fort car je suis perdu ... oh love Je suis trahi et je suis perdu Mais je suis en train de te chercher Je suis en train de te flairer Et je ne sais pas encore où tu es Très fatigué, fatigué au vent Il pleut déjà Il pleuvine Dans cette nuit seule Qui efface les pas et le temps M'efface moi, efface le monde Je regarde dehors Où va la route Des odeurs perdues (Viens, la nuit t'es ouverte) Cette nuit faite de portes, de caresses Et d'étoiles ouvertes de nuit J'ai besoin de quelqu'un à aimer Amour dans les mains du vent Il ne pleut pas Mais il est en train de pleuviner Dans cette nuit seule Qui efface les pas, qui efface le temps M'efface moi, efface le monde J'ai besoin d'avoir quelqu'un à aimer. |
Déposé par colombine67 le 08/08/2016Qui ne sait pas voler Mais chasse les oiseaux? Qui sous l'eau Ne sait pas respirer? Mais qui suis-je donc? Pour me croire le plus fort Pour me croire tout permis Me donner le droit de vie et de mort Devine, que dire encore? Je suis le moins humain Des animaux Je suis le pire Je pense à rien Qu'à sauver ma peau Pour ainsi dire Le plus sauvage Des fauves en cage Je suis de loin Le moins beau Qui invente la bombe? Qui se moque du monde Qui tue pour le plaisir de tuer? Mais qui suis-je donc Pour me croire au dessus De tous ceux que je tue Qui ne respecte rien ni personne Qui donc, si ce n'est l'homme Je suis le moins humain Des animaux Je suis le pire Je pense à rien Qu'à sauver ma peau Pour ainsi dire Le plus sauvage Des fauves en cage Je suis de loin Le moins beau Je suis le dernier Maillon de la chaîne Un moins que rien Un homme qui n'a Plus figure humaine Oui je suis bien Le plus sauvage Des fauves en cage Je suis de loin le moins beau A quoi me sert mon cerveau? CALOGERO |
Déposé par NathalieB le 07/08/2016J'ai écrit ton nom sur le sable, Mais la vague l'a effacé. J'ai gravé ton nom sur un arbre, Mais l'écorce est tombée. J'ai incrusté ton nom dans le marbre, Mais la pierre a cassé. J'ai enfoui ton nom dans mon cœur, Et le temps l'a gardé. |
Déposé par Biscuit le 07/08/2016La Deshumanisation de L'Etre Ils partagent avec nous cette vie sur la Terre Depuis la nuit des Temps, ils se cachent et se terrent, Ils sont devenus pour nous des produits et pourtant Lorsque l'on est seul, c'est vers eux que l'ont tend Nos coeurs si déçus par l'âpreté humaine Et que l'on reçoit en retour la bonté sans la haine. Tous ces animaux magnifiques que l'on tue Alors qu'on le sait, lorsqu'ils ne seront plus, Quand sur la Terre ne resteront que les hommes Créés à l'image de Dieu, mais en somme Diabolisés par leur désir de destruction inné, Ils n'en finiront plus de vouloir s'entre-tuer ! La planète était belle et harmonieuse Tant que la vie n'apporte cette nombreuse Humanité barbare et, hélas, tueuse ! Brigitte Bardot. |
Déposé par poutounou le 07/08/2016Malheureusement "Merci" est un mot qu'on entend trop rarement ! * Le blaireau sans gêne * Lui offrait-on quelque gâteau ? C’est simple il en réclamait deux. Devant un cadeau, ce blaireau Faisait la moue, remerciait peu. Partout il se sentait à l’aise Se glissant à la meilleure place. On le vit devenir obèse Mais toujours faisant la grimace. Un jour chez la Dame Belette Il dit un gros mot incongru ; Alors sa renommée fut faite : Désormais nul ne le reçut. Moralité Soyez polis, soyez courtois Dites bonjour, dites merci On vous recevra avec joie, Et vous aurez beaucoup d’amis * Yvon Danet Mes poésies préférées |
Déposé par colombine67 le 07/08/2016Une vie de chien : Je suis jeune et tout fou J'regarde passer les gens Jusqu'au fameux jour où Un couple et un enfant Se tiennent là devant moi Et me font les yeux doux Ils me prennent dans leurs bras Ça sent l'amour c'est fou Ils m'emmènent chez eux Me font plein de câlins C'est tellement chaleureux Qu'enfin je me sens bien Le temps s'est écoulé Aujourd'hui je suis grand Doux, sage, bien éduqué Plein de bons sentiments Un matin de soleil On part se promener La vie est une merveille Quand on est tant aimé Mais quel est cet endroit Et d'où viennent ces cris ? Comme est partie ma joie Je veux le faire d'ici Ma famille est partie Et ils m'ont laissé là J'ai peur alors je crie Mais nul n'entend ma voix Je vois passer des gens Ils posent on oeil sur moi Mais restent indifférents Aucun ne tend ses bras Quelques temps ont passé Et j'ai un peu vieilli Je suis un poil marqué Mais toujours plein de vie On me sort de cette cage On va se promener J'ai été tellement sage Qu'on revient me chercher...Mais Je freine des quatre pattes Je n' veux pas rentrer là Je n'veux pas qu'on m'abatte Je n'ai rien fait pour ça Ils me traînent et m'agrippent Je tremble de peur, d'effroi J'ai mal aux veines, aux tripes Ça doit être ce froid je n'vois presque plus rien Je n'entends plus les cris Voilà ma vie de chien Qui se termine ainsi Cette histoire si banale c'est l'histoire de Bo, s'il s'appelait ainsi, c'est parce que des gens lâches, le jour où ils l'achetèrent l'avait trouvé bien beau... Une vie de chien... par Jorge Selk |
Déposé par colombine67 le 06/08/2016 Ma chienne vivait peinarde en somme Jusqu'au jour où elle m'a choisi A la Société Protectrice des Hommes Au fond d'un immeuble moisi, Mes yeux l'imploraient en silence : S'il te plait, ne me laisse pas, J'aurai pour toi mille patiences Et je te suivrai pas à pas, Et je te suivrai pas à pas. Ma chienne m'emmène à la rivière Courir derrièr' des bouts de bois, J'en ai rapporté trois, hier, Je crois qu'elle était fière de moi, Et on s'est roulé sur la mousse, Ma truffe contre son nez froid, Mes pattes sur ses cuisses douces, Je ne suis qu'un enfant, j'ai froid, Je ne suis qu'un enfant, j'ai froid... Ma chienne patiemment me dresse, Sans jamais élever la voix, A coups de langue et de caresses, Depuis, je mords bien moins, je crois, Et quand je gronde de colère, Tout au fond de ses yeux je vois Que les fouets et les muselières Ne sont pas pour elle, mais pour moi, Ne sont pas pour elle, mais pour moi... Ma chienne, ô ma tendre maîtresse, Viens, raconte-moi ton histoire, Dis-moi vite, car le temps presse, A quoi tu penses dans le noir, Depuis des siècles que nous sommes Dans la même galère, toi et moi, Dis-moi pourquoi un petit d'homme Ça vaut bien moins qu'un chien, parfois, Ça vaut bien moins qu'un chien, parfois... Ma chienne, Henri Tachan |
Déposé par colombine67 le 05/08/2016Je vais te raconter mon histoire, je n’ai pas de nom, je suis de race Galgo, chien de chasse pour l’homme La vitesse dans le sang, le corps fuselé Je vivais avec 14 congénères dans un grand chenil J ’ai un an et la vie devant moi, Ma mère s’est échappée gestante et je suis né dans un parc Ils ont jeté mes trois frères contre un mur, je ne sais pas à quoi je dois la chance d'être resté en vie Je ne connais pas la compétition et je chasse les lièvres par instinct, on m’emmenait à la campagne tous les dimanches Un jour, le destin a gâché ma vie, une balle perdue m’a touché, la blessure n’a pas été mortelle Mais à partir de là, peu importait d’être fidèle ou d’être noble, Avec une corde au cou, ils m’emmenèrent près d’un chêne Le lendemain de l’accident, le sacrifice fut la solution à ma boiterie permanente Je suis un être humain, mû par l’instinct, j’ai lutté, je me suis échappé, apeuré et sans savoir où aller Depuis ce jour, je n’ai plus confiance, j’ai échappé à mon sort, En me nourrissant de pain dans une zone industrielle, en évitant les gens Avec la corde incrustée dans le cou, boitant de ma patte blessée mais pouvant marcher J'ai eu un moment de faiblesse un jour et je me suis réveillé dans une cage, bandé, avec à boire et à manger je suppose que c’est un refuge, désormais, ils me cherchent un maître Mais qui veut un galgo d'un an et qui boite Les gens veulent des chiens nains pour s’amuser Des races chères pour faire de l'élevage et des affaires J'offre une compagnie à celui qui voudra m’adopter, et toute ma reconnaissance, parce je connais la faim Signé un anonyme, un parmi tant d’autres Voici mon histoire, réfléchis, toi qui l'as écoutée |
Déposé par colombine67 le 04/08/2016 Je vais vivre entre 10 et 15 ans Si c’est pour me haïr, pour me faire souffrir, penses-y à deux fois avant de me prendre avec toi. Essaye de m’aimer tel que je suis, parce que ce n’est pas moi qui ai choisi ma condition. De même que je n’ai pas la possibilité de choisir amis ou maîtres. Accorde-moi du temps pour comprendre ce que tu veux de moi. Avant de me crier dessus, pour m’éduquer, est-ce toi qui te trompes ou est-ce moi qui n’ai pas compris ce que tu attends de moi. Chéris-moi, car je ne vis que pour cela. Ne te fâche pas contre moi, ne me punis pas. Tu as ton travail, tes amis, tes loisirs, moi je n’ai que toi. Parle-moi de temps en temps ! S’il te semble que je ne comprenne pas, sache que je sais ce que tu penses, ce que tu ressens. Rappelle-toi que jamais je n’oublierai la manière dont tu te comportes avec moi. Avant de me frapper, pense que je pourrais te mordre, mais jamais je ne ferais une chose pareille. Quand je ne suis encore qu’un chiot, ne me considère pas comme un jouet, dont tu te débarrasseras, lorsqu’il ne te sera plus d’aucune utilité Car mon amour pour toi sera éternel. Prends soin de moi alors que je vieillirai, que je serai édenté, que je serai sourd, que je ne pourrai plus marcher. Quelqu’un, à son tour, prendra soin de toi, car la vieillesse est la même pour tous. Accompagne-moi pour mon dernier voyage. Ne dis jamais « C’est plus fort que moi, je ne peux regarder » ou « Arrangez-vous pour que je ne sois pas présent ». A tes côtés, tout est plus facile. Ceci sera la contrepartie à la fidélité, au dévouement dont j’ai toujours fait preuve à ton égard. Quand je ne serai plus là, ne sois pas triste, au contraire, essaye de rendre heureux un autre chien et aime-le comme tu m’as aimé. |
Déposé par NathalieB le 03/08/2016POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière. Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous. Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes. Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. » J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu… Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité. Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur. Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne… On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon. Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !... Tu n’es jamais venu ! Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI ! P’tit Loup Il mourut un 24 décembre Cause du décès : Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé ! |
Déposé par nikita le 03/08/2016Mon PUNKY d'amour Comme le jour qui se lève après la nuit, Je te cherche à l'infini Depuis que tu es loin de moi Je vois partout ton image Même lorsque je suis loin Tu fais partie du voyage Maintenant que tu es loin de moi Je ressent toujours tant de peine Non personne ne te remplacera, Dans mon cœur tu resteras le roi je t'ai tellement aimé Et toi tu m'as tant donné Que toute ma vie à toi je penserai Un nouveau jour viendra Ou nous deux on se retrouveras Dans ton ciel tout là haut Et ce jour là j'embrasserai ton beau museau Je ne t'oublies pas mon PUNKY adoré Tu es toujours à mes cotés Doux baisers sur ta belle truffe tant aimé |
Déposé par colombine67 le 03/08/2016 POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière. Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous. Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes. Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. » J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu… Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité. Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur. Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne… On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon. Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !... Tu n’es jamais venu ! Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI ! P’tit Loup Il mourut un 24 décembre Cause du décès : Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé ! |
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