En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012


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PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012

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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
 


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En hommage à PUNKY du Moulin de Labatut

Mon tendre chéri,

Il n'y aura pas eu le miracle tant espéré, tu viens de ns quitter ns laissant, Papa, les enfants, et moi, totalement anéantis par la douleur.
Ns sommes aussi inquiets pr ton copain de tjrs, le petit Rock, car il réagit très mal à ton départ.
Toi, qui n'était qu'Amour il a fallu que cette tumeur de l'aine énorme et hélas, cancéreuse, t'emporte. Sa progression a été fulgurante. Combien j'ai redouté son ablation en raison de ton âge...mais il était impossible de la laisser encore se développer, tu n'aurais pu plus marcher.(* plus tard, ns apprendrons qu'il ne fallait surtout pas faire l'ablation de cette tumeur !!!)


Le 5 juin, jour fatidique de l'opération..j'ai angoissé jusqu'à ton retour à la maison. Mais tu semblais avoir bien supporté l'opération et le Dr Jean Sacal avait dit à papa que ton comportement avait été exemplaire.
Le 11 juin, papa doit te ramener, en urgence, chez Jean car tu sembles souffrir, tu pleures.

Je ne suis pas présente, retenue, loin, à cause de ma santé.....plus tard papa me dira que ce jour là, le Dr Sacal, te fera le cocktail-miracle qu'il injectait à Rafia...ladite médication lui ayant permis de vivre 21 mois, avec un diabète très grave, résistant à l'Insuline.( * et là aussi...ns apprendrons, plus tard..que tout ce qui devait être mis en place pr la petite Rafia...ne l'avait pas été...par ignorance des vétos...Sacal et Maupommé.

Mais pr toi...c'est l'échec total et la consternation de Jean Sacal qui dira à papa "qu'il ne peut plus rien faire"...
Le 12, au matin, tu demanderas à manger à papa...Tu mangeras 1 steack hâché plus des haricots verts, car tu refuses tes croquettes; Le soir, tu remangeras un autre steack, tjrs hâché.

Le 13...tu n'as pas d'appétit...1/2 steack hâché pr la journée et tu vomis bcp à 23 h.
Le 14...ce n'est pas mieux : 1/2 steack hâché (soit 50g) et...20 g d'haricots verts..le tout pr la journée. Papa me dira qu'au jardin...tu as "coursé", le long de la clôture, comme à ton habitude, camions et tracteurs.

Le 15 papa te ramène chez le Sacal, qui lui dit, :que "tu es condamné".
Tu refuses toute nourriture même tes friandises que tu adores...
Papa réussit à te faire manger..3 bouchées de steack hâché que tu vomis.

tu voudrais bien manger, tu en as l'envie, mais tu ne le peux pas;..des ulcères ds la bouche ???

Le 16, papa a l'idée,approuvée par Sacal de te donner, à l'aide d'une seringue un petit pot "bébé" de pois/jambon...tu en mangeras 150g/pr la journée.

Le 17...tu mangeras 100 g de fromage blanc à 20 %...que tu adores...et que tu avais découvert avec Rafia qui en consommait 3 pots/jou !. Mais toi, c'est tjrs à la seringue. tu accepteras aussi, en plusieurs fois, de manger 150 g de petit pot "bébé".

C'est la fête des Pères, ns sommes ts réunis et toi, tu sembles content d'être avec ns....même si je te trouve faible. Mais ce jour-là, tu remues à nouveau ta queue et je prends cela pr une bonne nouvelle.

Mais le soir venu...rien ne va plus...vomissements itératifs + diarrhée.
Et là, mon Punky dit "Titi", il faut que je loue ta propreté exceptionnelle, tu demanderas tjrs à sortir. La nuit, tu veux aussi sortir et c'est moi qui m'occupe de toi; Je te prends ds mes bras, pr remonter les marches de la terrasse...

18 juin...c'est la catastrophe...tu vomis même le peu d'eau que tu bois..car Sacal dit : qu'il faut te restreindre en eau..que tu voudrais boire en grosse quantité à cause du taux d'urée si important.

La nuit du 18 au 19...ns la passons ensemble, isolés ds une autre chambre pr ne pas empêcher papa de dormir... Paramour s'invitera et demeurera avec ns jusqu'à 4 h....et Rock, qui est aussi là...lui, il restera jusqu'à 7 h, au lever de papa..
A partir de minuit, je te donne à boire, par très petites quantités et je "crie" à la victoire...car tu ne vomis plus...

Toute cette nuit, tu la passeras à naviguer; A plusieurs reprises, je te prends, avec moi, sur un canapé..je te caresse, je te dis combien je t'aime..et je retiens mes larmes...mais toi, tu refuses de rester et tu demandes très vite, à redescendre, alors je t'aide.

Tu sembles agité...je vois bien que tes pattes ont de la peine à te porter mais toi, tu restes debout, tu marches encore et encore...ce qui m'angoisse car cette attitude me rappelle avec frayeur...le départ de la petite Rafia.
A 10 heures...tes pattes se dérobent...tu tombes à terre.....mais tu pars, tout de même, en laisse, avec papa


Papa, qui t'amène, comme convenu... pr le retrait des points de suture...

Sacal tente de te faire un nouveau protocole qu'il t'injecte pr faire chuter l'urée...et tu reviens à la maison. (* ns ne saurons jamais la "recette" de ses cocktails..magiques"...OU maudits !!!)

Tu voudrais bien boire...tu ne le peux pas. Tu n'arrives même plus à tenir ta belle petite tête......Tu ne peux tjrs pas tenir sur tes pattes alors papa te met sur notre lit. Il est 11 heures...Je ne te quitterai plus...je te couvre de bisous..je te caresse...je te dis combien ns t'aimons, combien tu ns es précieux...combien ns te remercions de tout l'amour que tu ns a donné durant 12 ans et 6 mois...mais tu ne m'entends plus, tu es ds un état semi-comateux...Tes beaux yeux sont fixes...de temps en temps tes pattes s'agitent nerveusement...et tu respires vite.
Toi..qui étais tout en muscles...on aurait dit que tes muscles avaient fondu.
Sacal ( boucher plus que véto!) a prévenu, qu'au stade final, tu aurais des convulsions assorties de souffrances...alors, il est 15 h 30, ns prenons la décision qui s'impose, ...un dernier acte d'Amour...pr toi notre Punky adoré...celui de te faire aider à partir...et la tragique échéance intervient à 16 h...
Mon Punky ..notre Punky adoré...comme tu ns manques !!!

--------------------------

Mon Titi d'Amour

Je me dois, mais surtout je TE DOIS d'apporter les rectifications qui s'imposent. Lorsque confrontés à l'état alarmant de Rock, qui ne se nourrissait plus, qui avait cette "grosseur" impressionnante, au bas du dos..ns avons décidé de demander un autre avis ( et merci au véto de garde de Cavignac, qui sans que cela soit volontaire...ns a fait opter pr ce choix.

En effet, c'est son comportement qui ns a bcp surpris : il était de garde..mais n'étant pas au Cabinet...cela le dérangeait d'y venir et ensuite, papa a pu se rendre compte...combien vs le dérangiez, avec cette urgence, pourtant justifiée).
Puisqu'il a eu l'audace de refuser l'urgence...

Il fallait donc voir un autre véto....qui lui, daigne s'occuper de RocK.

Pr Rock...nouveau diagnostic, et une prise en charge remarquable du vétérinaire que ns avons choisi pr continuer de suivre Rock et Paramour.
Et une amélioration spectaculaire, en peu de temps de l'état de Rock..à qui, il a sauvé la vie.

A la suite de cette visite et de celles qui suivront, ns apprendrons, consternés, que ns avions voué une confiance AVEUGLE, à deux vétos, qui ne méritaient pas cette confiance....dont l'un se prétendait...être notre ami !!!
Mon Titi d'Amour, l'un et l'autre savaient pertinemment que l'on opère pas ce type de cancer chez un sujet de ton âge. Et surtout, on occulté l'ablation qu'il y avait à faire...-et qui n'a pas été faite, ce qui a généré ce maudit cancer- ...devait l'être avant tes 4 ans/...et là...tu en avais déjà 12 et demi !!!
Et puis...pas d'anesthésie au gaz...pourquoi ???

Tu ne souffrais pas, alors pourquoi cette décision infâme de vouloir t'opérer ???Pr ce qu'elle rapportait, financièrement !
Jean Sacal a sacrifié ta VIE...pr un profit financier , non négligeable !!!

Il aurait suffi de te laisser vivre, en PAIX, le temps qu'il te restait, avant que n'interviennent les souffrances...cela aurait pu encore durer des mois...

Puis, le moment venu...ns aurions pris la décision qui se serait imposée....mais ton départ n'aurait pas été aussi tragique !!!

Ns n'avons jamais su...quels produits contenaient les "cocktails magiques"...OU maudits" qui t'ont été injectés...les mêmes que la petite Rafia.

C'est comme toutes les injections qui étaient pratiquées....avec de la Cortisone pr petit Rock aussi....alors que la Cortisone avaient des effets secondaires néfastes sur son petit coeur. Cette Cortisone employée pr TOUT soigner...ou plutôt pr TOUT empirer.

Pr les dermatoses de Rock...ns en étions arrivés à le faire désensibiliser....tous les 15 jours, pr rien. C'est dramatique l'inconséquence de certains vétos !!!
Ils n'ont pas choisi la bonne voie professionnelle...ils auraient du être...bouchers!!!

Pourtant la pharmacopée vétérinaire ne contient pas que de la Cortisone...mais il faut se donner la peine de suivre l'évolution des produits...mais aussi de pratiquer les analyses nécessaires..;d'utiliser tout le matériel adéquat...Echographie...IRM..Doppler..etc.

Mais...lorsque l'on ne possède pas ce matériel d'investigation...et bien question "profit";..l'on rechigne à solliciter les confrères....ns l'avons appris, HELAS, trop tard pr toi...trop tard, pr la petite Rafia.

Mais ns....parfaits crétins...ns continuions à faire confiance...à "gober", le peu qui ns était expliqué. Pr ns...ces vétos étaient géniaux..avec un comportement des plus amicaux.

Et puis..j'ai aussi appris, incrédule......que Sacal avait eu un geste déplacé, lorsqu'une fois que tu gisais ...mort, sur sa table...il allait te saisir par le cou...pr te jeter ds un sac plastique....comme l'on jette une vulgaire poche à ordures !!!
C'est le regard désapprobateur de l'assistante, conjugué à celui de papa..tout aussi sidéré...qu'il s'est enfin repris...mais pr papa c'était trop tard...car cela laissait deviner la réelle personnalité de ce vétérinaire.

Voilà mon Titi chéri, il ne ns reste que les regrets, regrets éternels qui ns rongent; Pourtant ns avons tjrs TOUT fait, pr vs TOUS, nos petits trésors et peu importe les factures vétérinaires à payer. Ns n'avions qu'une seule demande...."faire tout ce qui était possible...afin de vs préserver la vie".

Et j'oubliais...il fallait être..crétin, pr nier que ce soit un cancer...n'est-ce pas Jean Sacal??? (que le diable l'emporte)!!! Alors que Stéphanie, une des assistantes....avait "vendu la mèche", involontairement......comme l'on dit, familièrement.

Tu ns manques tant mon Titi d'Amour !!!




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Pour toi ces petites fleurs ainsi qu'un envol de gros bisous et de câlinous
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Doux bisous Punky
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Merci d'avoir pensé à mon petit Hardy
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♥️♥️♥️
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lorsque l’on est relié à 1 être cher par la corde de l’amour bien qu’il soit dans un autre monde le courant passe et rien ne peut nous séparer
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Je t'envoie ces fleurs et je joins plein de caresses et de bisous
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Déposé par colombine67 le 12/03/2017  
NE SOIT PAS TRISTE :
Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi.
Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a été prêtée,
Le temps d'une vie terrestre.
Elle m'a permis de te connaître et de t'aimer à ma façon.
Mon vrai moi, l'Âme que je suis ,
Vient de traverser une nouvelle étape vers l'accomplissement de soi.
Ne sois pas triste, sois heureux(se) pour moi.
Là où je suis,
La Lumière et l'Amour m'enivrent puisque,
En plus de nager dans un Océan d'Amour limpide,
J'ai emporté avec moi celui que tu m'as
Si gentiment et inconditionnellement offert !
J'aimais la Vie, tu le sais bien.
La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme !
Ce que j'avais à apprendre ou à faire
Dans cette vie-ci est accompli.
Je n'emporte que de bons souvenirs car,
Un événement triste ou encore un obstacle,
Dans mon ancien monde,
Est un privilège, c'est une occasion
De grandir
Qui est offerte, une occasion d'évoluer
Un peu plus à chaque fois.
S'il y a quelque chose que
Tu aurais aimé me dire,
Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant
'conscience ',
Je peux, par le fait même, percevoir tes pensées
Et tes vibrations les plus pures.
Ce soir ou même ici,
Installe-toi dans un coin calme,
Entre en toi,
Ouvre ton cœur et perçois mon image
Au centre d'un radieux soleil.
Sens son incommensurable chaleur
Qui t'apaise et t'irradie.
C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici,
Tout l'Amour à l'état cristallin
Qu'il t'est humainement possible de recevoir !
N'oublie pas que c'est ici,
En toi,
Que tu pourras toujours reprendre contact.
Même si, parfois, tu ne me percevais pas,
Sois certain(e) que j'y serai tout de même !!
Ta vie continue,
La mienne aussi…
Rendez-vous dans une autre dimension,
Au moment opportun.
Je t'y accueillerai
Je t'aime

Déposé par colombine67 le 11/03/2017  
Tu viens comme dans un reve,
Et tu t'endors tout contre moi,
Comme le jour qui se lève,
Dans mon coeur quand j'ai un peu froid,
Tu souris,et rien n'est plus tendre alors,
Que le vent et la pluie,
Qui glisse sur ton corps
Si la nuit te fais peur,
Seul tout au fond de ton coeur,
Si tu cherches un ami pense à moi,
Je ne serai jamais loin de toi,
Et meme, si c'est toutes les nuits,
Si je dois passer ma vie,
A te consoler, je serai là,
Je serai jamais jamais loin de toi
Tu vis comme dans mon reve,
Tu te réveilles tout contre moi,
Chaque jour qui se lève,
Me fais douter mais tu es là,
A jamais,
Dans mes joies ,dans mes désirs,
Pour toujours,
je voudrais, caresser ton sourire,
Et meme, si tu cris, si tu pleures,
Meme si les hommes te font peur,
Si leur folie t'enchaine les bras,
Je ne serais jamais loin de toi,
Et meme, si demain tu m'oublies,
Si tu reves d'une autre vie,
Tu peux partir là ou tu voudras,
Je ne serais jamais jamais jamais loin de toi
'jamais loin de toi ' de Laam

Déposé par colombine67 le 10/03/2017  
Si je suis le (la) premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !

Déposé par colombine67 le 09/03/2017  
eigneur Dieu,
Ceux qui n'ont jamais eu d'animal de compagnie,
Trouveront étrange cette prière,
Mais Vous, Seigneur de Toute Vie et Créateur de Toutes les créatures,
Vous comprendrez.
Mon coeur est lourd,
Car je viens de perdre ma(mon) compagne(compagnon) bien-aimé(e),
Celle (celui) qui faisait tellement partie de ma vie.
Cette compagnie a rendu ma vie plus agréable,
Elle m'a permis de rire et de trouver la joie auprès d'elle.
Et sa présence me manquera.
Avec elle j'ai appris plusieurs leçons, telles la valeur du naturel
Et la quête d'affection spontanée,
Soucieux de répondre à ses besoins quotidiens,
J'ai cessé de penser uniquement à mes propres besoins
Et j'ai ainsi appris à être utile aux autres.
Puisse la mort de cette créature qui est la Vôtre
Me rappeler que la mort attend chacun de nous,
Animaux comme les humains,
Et qu'elle est un passage naturel pour toutes les formes de vie.
Puisse (nom de l'animal) dormir d'un sommeil paisible et éternel sous Votre Divine protection
En attendant la plénitude et la libération de toute la création.
Amen

Déposé par poutounou le 08/03/2017  
Ah la bonne Margot !
*
La bonne chienne
*
Les deux petits jouaient au fond du grand pacage ;
La nuit les a surpris, une nuit d'un tel noir
Qu'ils se tiennent tous deux par la main sans se voir
L'opaque obscurité les enclôt dans sa cage.
Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre,
Les chèvres, les cochons, la vache, la jument,
Sont égarés ou bien muets pour le moment,
Ils ne trahissent plus leur présence dans l'ombre.
Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes
Sourdement fait gronder l'écho.
Mais la bonne chienne Margot
A rassemblé toutes les têtes
Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes,
Chacun des deux petits lui tenant une oreille,
Tous les trois, à pas d'escargot,
Ils regagnent enfin, là-haut,
Le vieux seuil où la maman veille.
*
Maurice ROLLINAT (1846-1903)

Déposé par ovanek le 08/03/2017  
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Tu resteras à jamais dans le livre des Pensée
je t'aime
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Déposé par colombine67 le 08/03/2017  
L'amitié
Un ami , Qu'est-ce qu'un ami
Je vais vous le dire.
C'est une personne
Avec qui vous pouvez mettre votre coeur à nu.
Il ne demande de vous aucun artifice;
il vous suffit d'être ce que vous êtes.
Il ne vous demande pas d'être meilleur ou pire.
Quand vous êtes avec lui, vous savez ce qu'un prisonnier
Ressent quand on le déclare innocent.
Vous n'avez pas à être sur vos gardes.
Vous pouvez dire ce que vous pensez.
Il comprend les contradictions de votre nature qui amènent
Souvent d'autres personnes à vous mal juger.
En compagnie d'un ami, vous respirez librement.
Vous pouvez lui avouer vos petites vanités,
Envies, haines, méchancetés et absurdités.
En les dévoilant, vous les noyez dans l'océan de sa loyauté.
Il vous comprend, il vous comprend vraiment.
Vous pouvez pleurer avec lui, pécher avec lui,
Rire avec lui, prier avec lui.
Et à travers tout ça, il vous voit,
Il vous connaît et il vous aime.
Un ami? Qu'est-ce qu'un ami?
C'est tout simplement une personne
Avec qui vous osez être vous-mêmes.

Déposé par colombine67 le 07/03/2017  
Mercredi dernier, une mère de famille toxicomane a tenté de noyer ses deux fils dans le fleuve Murray (Australie). Un chien est intervenu pour les défendre, permettant la survie de l’un d’eux. Un acte qui lui a valu de frôler la mort.
Sortie de prison depuis peu, une mère accro à la méthamphétamine a été mise en examen vendredi. Cette dernière est accusée d’avoir tenté de noyer ses fils âgés de 9 et 5 ans, rapporte The Sidney Morning Herald. Mercredi, elle s’est rendue au domicile des grands-parents de ses enfants – qui s’occupaient d’eux depuis 18 mois - pour les récupérer. Puis elle les a amenés au bord du fleuve Murray pour commettre son méfait. Paniqué par ce qui arrivait à son frère, le plus jeune se serait mis à hurler… offrant la survie à son aîné. Attiré par les cris, un Pitbull a quant à lui couru en direction du trio et a «sauvagement attaqué» le plus âgé avant de s’en prendre à la génitrice.
Le geste héroïque du chien
Le plus jeune n’a malheureusement pas survécu au dessein meurtrier de sa mère puisqu’en lâchant le premier de ses fils, elle s’est rabattue sur le second. En vie, le garçon de 9 ans est, lui, actuellement hospitalisé. Un miracle rendu possible grâce au chien : l’animal ne voulait pas le blesser davantage mais bien le sortir de l’eau à l’aide de sa puissante mâchoire, n’étant pas doté de bras pour agir. Un fait qui a toutefois failli lui coûter la vie : en laissant la marque de ses crocs sur le corps de l’enfant, il a été considéré comme étant agressif, dangereux. La police s’est donc emparée de lui le temps d’enquêter et de l’évaluer.
Une mobilisation virtuelle pour empêcher l’euthanasie de Buddy le Pitbull
Pour ses maîtres, Buddy est plus qu’un chien : il est un membre de leur famille. Pour défendre la cause de leur compagnon et expliquer son comportement, ils ont alors immédiatement ouvert une pétition. «Il a grandi avec des enfants toute sa vie et est le chien le plus doux au monde. Il a vu un enfant en détresse et a tenté de l'aider. Les chiens n’ont juste pas de mains comme nous les humains. Ils doivent utiliser leurs dents et, ce faisant, il a été dépeint comme ce chien ayant attaqué le jeune garçon», expliquent-ils.
Et après avoir récolté plus de 50 000 signatures, la pétition a été clôturée ce 6 mars en raison d’une heureuse nouvelle : le chien a finalement été innocenté par les forces de l’Ordre qui ont en effet estimé qu’il avait agi pour sauver et non pour agresser. Un fait dont ne doutait pas le grand-père des jeunes garçons qui est lui-même le propriétaire de l’un de ces chiens : «c’est dans leur nature quand ils sont élevés avec les enfants !» Aujourd’hui, avec sa femme, il n’a plus qu’un objectif : veiller sur son petit-fils. La justice quant à elle rendra son verdict le 2 mai prochain.

Déposé par colombine67 le 06/03/2017  
sa mort !
Mercredi dernier, une Liégeoise a reçu le coup de téléphone d’un homme qui affirmait avoir retrouvé son chien dans la rue… alors que les souffrances de celui-ci devaient avoir été abrégées depuis plusieurs années.
Mickey le Bichon a-t-il ressuscité ? Alicia, 26 ans, a récemment eu une drôle de surprise : un bon samaritain pensant bien faire l’a appelée pour lui annoncer qu’il venait de retrouver son chien dans la rue, à Fexhe-le-Haut-Clocher (Belgique), rapporte La Meuse. Un fait aussi incroyable qu’improbable pour la jeune femme puisque le compagnon décrit par l’homme avait été «euthanasié» 8 ans plus tôt à cause d’une hernie discale. Et pourtant…
Le premier réflexe de l’homme a été d’amener le chien chez le vétérinaire afin de voir si celui-ci était identifié. Et c’est en scannant la puce électronique de l’animal que le spécialiste est parvenu à remonter jusqu’à sa famille originelle.
Le vétérinaire, coupable d’un trafic de chien ?
A l’époque, le vétérinaire qui suivait Mickey aurait assuré à la famille que l’euthanasie était la meilleure des options possibles pour pallier sa souffrance. C’est donc en confiance qu’elle lui avait laissé son chien. Mais visiblement, elle a été trahie…
Alicia s’est donc rendue chez le praticien avec les preuves récoltées. Et ce dernier a justifié son geste en expliquant qu’il avait estimé que la jeune femme et sa famille étaient - à l'époque - trop faibles psychologiquement pour s'occuper d’un animal malade. Une plainte pour vol a donc été déposée contre lui, et son comportement a été signalé auprès de l’ordre des médecins vétérinaires. «Je veux clairement dénoncer ce genre de pratiques, pour que plus jamais cela ne se reproduise», a déclaré la Liégeoise qui craint que d'autres chiens aient subi le même sort.
Le vétérinaire dénonce l’abandon du chien
Mais le praticien qui a privé le chien de sa famille il y a 8 ans de ça n’entend pas en rester là. Selon lui, l’histoire ne s’est pas déroulée exactement comme ça : il avait proposé à la jeune femme et les siens de faire des examens complémentaires, d’opérer OU d’euthanasier. «Je pense que ces personnes ne voyaient plus aucune issue pour leur chien. Quand je leur ai expliqué que l’euthanasie était une option parmi d’autres, ils l’ont quand même choisie», s’est-il défendu. «Ils m’ont donc amené leur chien mais vu qu’il s’agissait d’une décision difficile, je leur ai expliqué que je comptais le garder pendant encore quelques jours et que, s’ils le souhaitaient, ils pouvaient toujours changer d’avis et donc venir le récupérer. Ils étaient donc clairement au courant de ce que je faisais. Mais personne n’est jamais venu le réclamer. Ils l’ont abandonné.»
C’est ainsi qu’il a soigné l’animal… et lui a trouvé une nouvelle famille.

Déposé par poutounou le 05/03/2017  
Un franc "Merci"
*
Je suis si petit, si petit,
Que bien trop souvent, on m'oublie.
Ami avec le monde entier,
Partout, je voudrais m'envoler.
Mon nom vous couvre de baisers,
Doux compagnon du verbe : aimer.
Encore et toujours, si petit
Que bien trop souvent, on m'oublie.
Je fais déjà partie de vous,
Sublime atout d'un rendez-vous.
Vite ! vite vous rattraper,
Pour vous offrir mon doux secret.
Aux petits et grands d'aujourd'hui,
À toi l'ami ! à vous aussi !
Si fragile et si plein de vie,
Mon nom est simplement merci.
Pleine de tendresse, je vous le dis,
Du fond du coeur : un franc Merci !
*
Myriam Fabre-Dillar (Ribeauvillé - Alsace)
*
Je voulais simplement vous dire : "Merci". Merci pour toutes ces magnifiques fleurs, ces beaux poèmes, ces jolis petits messages pour l'anniversaire de départ de mon cher Ange Rubens. Je terminerai par une belle phrase d'Albert Schweitzer :
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La gratitude est le secret de la vie. L’essentiel est de remercier pour tout. Celui qui a appris cela sait ce que vivre signifie. Il a pénétré le profond mystère de la vie.

Déposé par colombine67 le 05/03/2017  
5 leçons de vie données quotidiennement par nos adorables chiens
adorables chiens
Force est de constater que le chien, et bon nombre d’autres animaux, sont plus capables d’humanité que nous, les hommes. Si nous avons perdu beaucoup de nos valeurs, nos compagnons, eux, sont toujours là pour nous les rappeler.
C’est quotidiennement au travers d’histoires de chiens et chats au comportement héroïque et parfois même, insolite, qu’ici, nous vous montrons à quel point ces derniers nous sont indispensables. Et pour cause : ils nous donnent bien souvent de véritables leçons de vie qui font franchement du bien.
Voici donc 5 d'entre elles, bien réelles, que le meilleur ami de l’homme nous apporte tous les jours :
1. L’altruisme
Que vous soyez bien loti ou à la rue, en détresse ou en sécurité : le chien est là, toujours, et ne vous juge JAMAIS. Il se moque bien pas mal de vous connaître sur le bout des griffes (ou pas) car, quoi qu’il arrive, il sera toujours prêt à donner de lui que ce soit pour réconforter, porter secours et même... passer du bon temps !
 
2. L’amour inconditionnel
Un chien aime son maître comme s’il faisait partie de lui. Et de fait, avez-vous déjà vu un toutou faire la moue parce que son compagnon à deux pattes ne lui avait accordé QUE 15 minutes dans sa journée ? On est d’accord, d’histoire d’Homme, ça n’est jamais arrivé. Qu’il soit joyeux ou triste, énervé ou content, affamé ou repus : il donnera toujours tout ce qu’il a pour montrer à son humain Ô combien il l’aime et Ô combien il est heureux de passer du temps avec ! Oui, ils sont plutôt cléments avec nous… vraiment !
3. L’esprit de famille
Les chiens n’abandonnent pas leur maître, et encore moins leurs improbables amis. Ils pourraient pourtant avoir mille et une raison de le faire parfois, mais non. Quitter le navire est impensable pour eux : ils ont bien trop d’amour à donner… et de bon cœur en plus !
4. Le pardon
Combien de chiens sont lâchement maltraités et abandonnés quotidiennement par d’affreux maîtres ? Beaucoup. Beaucoup trop. Et combien d’entre eux ont décidé d’en vouloir au genre humain ? Faisons le pari que vous n’en trouverez aucun. Malgré ses souffrances, un toutou prendra toujours sur lui et continuera éternellement de faire de son mieux pour vous rendre heureux.
5. La fidélité
Depuis la nuit des temps, c’est bien le trait de caractère grâce auquel le chien est considéré comme LE meilleur ami de l’Homme. Et pour cause : à la vie, à la mort, il n’abandonne JAMAIS son maître. Oui, ils sont comme ça, nos amis les chiens… un peu exclusifs mais terriblement attachants ! Vous en doutez ? Rappelez-vous de l’histoire de Captain, ce berger allemand qui n'a jamais cessé d’apporter de l’amour à son défunt "deux pattes".

Déposé par colombine67 le 04/03/2017  
C’est le coup de foudre pour cette technicienne vétérinaire, qui a sauvé un chien d’appât d’une vie de mauvais traitements.
Un duo de bons samaritains a découvert Calvin, un pitbull croisé, en train d’errer dans les rues avec une patte grièvement blessée. On pense que la pauvre bête était utilisée en tant qu’appât par des dresseurs de chiens de combat, ce qui signifie que Calvin était utilisé pour tester la ténacité et l’agression de chiens beaucoup plus gros et beaucoup plus forts que lui.
Il était très clair que ces personnes brutales n’avaient que faire de la survie ou de la mort de Calvin. Le couple qui l’a recueilli voulait lui apporter des soins vétérinaires afin de le secourir, mais ils ont rapidement été noyés sous les frais médicaux, estimés à plus de 10000 dollars.
C’est alors qu’ils ont ouvert une page GoFundMe (attention, la page GoFundMe présente des photos très explicites), et ont confié l’animal à Corinne Manley, technicienne vétérinaire à la clinique Blue Pearl Specialty and Emergency Pet Hospital de Spring, au Texas. Il est clair que Calvin a trouvé un foyer définitif chez elle.
La page GoFundMe a largement dépassé le budget nécessaire pour couvrir ses frais médicaux, et des personnes généreuses des quatre coins du monde ont apporté leur contribution.
Selon Manley, « Il a été trouvé souffrant de blessures très prononcées sur tout le corps, mais surtout sur ses pattes postérieures. Il demande des soins fréquents, et souffre par ailleurs d’une lacération chronique du tendon d’Achille, qui n’est pas réparable. Cela va imposer la fusion de son articulation du tarse droit (articulation de la cheville), et si cette fusion ne fonctionne pas, il devra être amputé de sa patte postérieure droite.
Il souffre par ailleurs du ver du cœur, et devra être soigné pour cela. C’est un chien adorable, il veut simplement être aimé et câliné. »
Mais que va-t-il advenir de tout l’argent supplémentaire collecté par la page GoFundMe consacrée aux soins médicaux de Calvin ? Manley affirme « Avec l’argent qu’il nous reste, nous allons aider d’autres chiens comme Calvin, et qui partagent la même histoire que lui. Les combat de chiens sont un crime, et les personnes qui y participent devraient être punies.
Calvin a la chance d’y avoir survécu, et nous espérons que beaucoup d’autres chiens connaîtront le même succès et la même fin heureuse que lui, jusqu’à ce que nous puissions trouver un moyen de mettre un terme définitif au phénomène des combats de chiens. Les fonds collectés seront retirés et placés sur un compte bloqué réservé à Calvin, jusqu’à ce qu’il soit totalement remis. Les sommes restantes seront conservées sur ce compte, et utilisées pour d’autres animaux qui connaissent un sort identique. »
Heureusement, Calvin a enfin trouvé un foyer d’adoption chaleureux, où l’on s’assure qu’il se remette dans les meilleures conditions possibles. Et peu importe le nombre de pattes qu’il aura une fois toutes ces épreuves traversées, car nous savons qu’il recevra beaucoup d’amour jusqu’à la fin de ses jours, et c’est exactement ce qu’il mérite.
Les combats de chiens sont une activité terrible, et doivent à tout prix être arrêtés ; nous sommes particulièrement reconnaissants envers cette femme, et heureux que Calvin ait été capable de s’en sortir avec la vie sauve.

Déposé par colombine67 le 03/03/2017  
PAROLES: NICOLA CICCONE
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On peut perdre son travail
Lorsqu'on a des ratés
On peut perdre son crédit
Lorsqu'on est endetté
On peut perdre sa mémoire
On peut perdre sa maison
Perdre sa fougue
Et même perdre sa raison
On peut perdre sa richesse
Sur un seul coup de dé
On peut perdre sa jeunesse
Comme on perd une clé
On peut perdre son courage
Dans le fond d'une bouteille
Perdre ses rêves ou son âme
C'est pareil
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là
On peut perdre sa route
A cause d'un faux détour
On peut perdre son coeur
A cause d'un vieil amour
On peut perdre sa vie
A vivre dans le passé
On perd même parfois le goût d'aimer
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là, ça reste là!
Car un ami, c'est bien plus fort
Plus fort que tout
Même plus fort que la mort
Un vieil ami, quand tout est gris
Ça nous sourit
On peut perdre son honneur
Lorsqu'on est humilié
On peut perdre son calme
Lorsqu'on est bousculé
On peut perdre son temps
A trop compter les heures
On perd tout lorsqu'on vit dans la peur
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là, ça reste là!
Car un ami, c'est bien plus fort
Plus fort que tout
Même plus fort que la mort
Un vieil ami, quand tout est gris
Ça nous sourit
Gardez vos amis

Déposé par colombine67 le 02/03/2017  
Sur ce chemin où je progresse incertain,
Qui me mène ,inexorable , vers un tragique destin .
Je me souviens des moments de bonheur,des jours heureux.
Où sans faillir jamais , j'ai veillé sur eux.
Toujours enjoué et débordant d' affection.
Ils étaient pour moi mes amis, ma passion.
Hier ils m'ont oublié sur ce parking inconnu.
Ils sont partis, sans remord ,sans tristesse retenue.
Je les ai bien attendu des heures durant.
Ne pas s'éloigner ,rester sage et patient.
Vaine attente,épuisé ,désemparé je vais sans but.
Affligé d 'être ce qu'on appelle un chien perdu.
Quelle distance ai-je bien pu parcourir ?
L'énergie me manque , plus la force de courir.
Mais quelle est cette douleur qui soudain me tenaille ?
Me blesse dans ma chair et mes entrailles.
Il ne m'a pas vu ,et point ne s'arrête,je ne peux plus bouger.
A l'orée de ce bois, comment vont ils me retrouver ?
La souffrance doucement s 'estompe , de mon corps je m'évade .
Une douce inertie m' envahit et de ce monde m'efface.
Triste destinée que de rendre son dernier soupir.
Loin de mes maîtres que ma vie j'ai passé à chérir.
Mes yeux se ferment , sous mes paupières, ultime image.
Deux humains sincères caressant un colley très sage.

Déposé par lili2248 le 01/03/2017  
OU ES-TU ?
« Où es-tu, petit ange, où es-tu?
On aurait bien voulu,
À force d’amour,
t’empêcher de partir,
mais le monde est trop lourd,
petit ange léger,
Et n’a pas su te retenir.
Où faut-il te chercher, maintenant ?
Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent?
Qui saura nous le dire?
» Maman, »
Là où je suis, je ne crains rien.
J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes,
J’ai l’âme vaste comme le monde.
Là où je suis, la joie est sans mélange.
Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose…
sur les ailes d’un ange,
dans la rosée, dans le vent,
dans le cœur d’une rose,
Dans le cœur de mes parents.
Ne me cherchez pas, je suis partout,
Je suis avec vous, je suis chez moi. »
Albert Gui,
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Déposé par colombine67 le 01/03/2017  
Alise ou le chien qui ne devait pas mourir…..
Alise la Setter Gordon et la vieille dame vivaient une relation quasi fusionnelle depuis des années, et l’une vivait mal sans l’autre. La vieille dame disait bien que sa chienne ne serait pas éternelle, elle savait qu’un jour il lui faudrait la perdre, mais elle ne l’acceptait pas, c’était au-dessus de ses forces.
Alise devenait de plus en plus l’objet de toutes ses attentions.
Tout le soin que la vieille dame prenait d’elle, devrait c’est sûr, garantir une plus longue et meilleure vieillesse à sa chienne. Alors la vie était réglée autour du vieil animal, et les emplois du temps et déplacements aménagés pour son confort.
Alise en venait à exercer une sorte de tyrannie passive sur la vieille dame. Comment même penser à refuser quoique ce soit à une vieille chienne si douce et si près de sa fin, il aurait fallu n’avoir pas de cœur.
La vieille dame n’en manquait pas, de cœur, et qui faiblissait d’ailleurs. De visites en visites, chez le médecin pour l’une et le vétérinaire pour l’autre, on voyait s’allonger la liste des médicaments de chacune.
A chaque malaise d’Alise, la vieille dame affolée répondait par une attention anxieuse et redoublée ; elle guettait chaque hoquet, chaque essoufflement, chaque perte d’appétit comme un signe menaçant d’une fin redoutée, haïe, insupportable.
Cela dura des années, car l’espérance de vie d’un Gordon était déjà dépassée depuis longtemps, mais Alise, diminuée, fatiguée, ne quittait pas sa maîtresse.
La vieille dame tomba malade, gravement, il fallut l’hospitaliser. Un drame pour elle, de devoir laisser sa chienne aux bons soins de son mari ; non pas qu’il fût mauvais homme, loin de là, mais Alise allait sûrement tellement s’ennuyer.
Les choses se passaient plutôt bien entre Alise et son maître, et la vieille chienne semblait attendre vaillamment sa maîtresse.
Mais les hospitalisations se sont succédées, la vieille dame ne se remettait pas et son état nécessita une lourde et délicate opération à cœur ouvert.
Séparée de sa vieille chienne adorée, se demandait-elle si elle la reverrait jamais vivante ? Elle parlait assez peu de cette séparation douloureuse, elle voulait juste rentrer chez elle au plus vite près d’Alise, mais son état de santé ne le permettait pas.
Alise avait maintenant 15 ans ½ de plus en plus fatiguée, vacillante, s’amaigrissant, elle tenait bon cependant.
La vieille dame put enfin rentrer chez elle pour de bon, après maintes hospitalisations de plusieurs semaines chacune, où les séparations étaient devenues de plus en plus angoissantes pour elle.
Extrêmement affaiblie, sapée par toutes les épreuves de la maladie et de l’opération, la vieille dame devait encore affronter le lent dépérissement d’Alise.
La chienne avait maintenant 16 ans, elle ne marchait plus qu’avec difficultés. Elle dormait de longues heures durant, et quand péniblement elle se relevait et non sans aide sortait dans le jardin, squelettique, il lui arrivait encore de sautiller maladroitement, comme secouée par une étrange joie.
De ce moment là, on ne sut plus laquelle tenait l’autre en vie. Jusqu’ici, il avait semblé que la vieille dame voulant tellement garder sa chienne, celle-ci en avait trouvé la force de continuer à vivre.
Voilà que maintenant, c’est comme si Alise ne se permettait pas de mourir, pour ne pas précipiter dans la mort avec elle, sa maîtresse bien trop diminuée par la maladie.
Leur entourage en craignait de les voir basculer ensemble. La vieille dame s’épuisait à continuer de prendre soin de sa vieille chienne de plus en plus dépendante, incontinente, confuse parfois maintenant au point de se perdre dans le jardin.
Mais quel ancien tourment faisait craindre tant la mort de son vieux chien, à la vieille dame malade ? Quelle ancienne douleur, quelle ancienne blessure non cicatrisée lui rendait-elle impossible l’idée qu’Alise devrait la quitter ?
Car enfin, la pauvre bête, épuisée, sourde, raidie par les ans, dédaignant de plus en plus tous les petits plats sans cesse renouvelés dont elle était si gourmande, n’en pouvait visiblement plus de s’éterniser.
La vieille dame semblait aveugle à cette grande souffrance de l’animal qui pourtant aurait dû susciter sa compassion ; il lui fallait trop ne pas voir, ne pas entendre, ne pas penser qu’Alise pouvait souffrir.
Fermée à cette réalité trop insupportable, elle se tenait un discours menteur qui laissait son entourage effaré devant un tel déni, désemparé, incapable de mieux défendre le droit à la mort de la vieille chienne, aux yeux de sa maîtresse.
Alise se mit à ne plus pouvoir boire, puis à ne plus vouloir s’alimenter du tout, deux jours durant.
La vieille dame m’appela pour lui porter secours.
Arrivée sur place je trouvais la vieille chienne exténuée par une matinée passée à errer nerveusement dans la maison et le jardin, obligeant sa maîtresse à la soutenir tant bien que mal, à la relever à chaque chute.
À mon approche Alise s’apaisa, s’effondra, je crus qu’enfin trop épuisée, elle allait s’éteindre. Doucement je me tins près d’elle, puis encore plus près, bientôt je pus la caresser, puis la tenir dans mes bras, lui parler tout bas.
Prendre tout contre moi l’animal décharné me fut d’abord difficile, j’ai dû apprivoiser ma propre peur de la mort, pour venir frôler, puis enfin contenir celle des Deux qui ne pouvaient se quitter.
Alise semblait se laisser aller, je ne sais si elle m’entendait lui dire qu’elle avait gagné le droit de partir, le droit d’aller rejoindre la paix, la lumière…
Ma tête contre la sienne, combien de temps sommes-nous restées ? Je guettais sa respiration, croyant parfois ne plus la percevoir. J’aspirais pour Alise à une fin comme celle-ci, un départ tranquille, dans un souffle qui s’arrêterait…Une fin toute en douceur qui stopperait la violence que la vieille dame et sa chienne mettaient à ne pas pouvoir se séparer.
La vieille dame et son mari m’avaient laissée seule depuis longtemps avec Alise. Espéraient-ils follement que se produise quelque miracle, souhaitaient-ils secrètement que leur chienne meure simplement dans mes bras, alors qu’eux même n’auraient pu le supporter ?
Un peu médusée, je vis le vieil animal comme se réveiller, puis se redresser, faire effort pour parvenir enfin à se relever ; moi qui croyais son dernier souffle arrivé…
Maintenant taraudée par un mal de tête qui enflait de plus en plus, je ne pus qu’accompagner Alise dans ce qui allait devenir une folle errance dans le jardin.
Sous un soleil éclatant de milieu de journée, je suivis la vieille chienne qui de sa démarche plus qu’incertaine, divaguait plus qu’elle n’allait. Plusieurs fois elle trébucha, s’écroula. Je croyais chaque fois qu’elle ne se relèverait pas, que c’était la fin. Elle parvenait pourtant à se redresser, et je continuais de la suivre, anxieuse, un peu désarçonnée, devant ce comportement que je cherchais à m’expliquer. Puis j’ai accepté de seulement l’accompagner, sans vouloir quoi que ce soit et pas même comprendre, comme plus tôt dans l’après-midi, quand penchée sur elle, je n’avais fait qu’être là, rien qu’être là près d’elle.
Alors je fus sûre soudain que l’on ne pouvait pas mourir sous une telle lumière, dans une telle clarté.
Ce soleil éclatant qui faisait jaillir la vie, empêchait de mourir. Je vis enfin qu’Alise dans cette errance cherchait à gagner l’ombre ou une pénombre, comme une cache.
Doucement j’essayai de la faire retourner dans la maison ; j’y parvins péniblement, et là je demandai à ce que l’on fermât un peu les volets. Il me semblait de plus en plus qu’il faudrait aider Alise à mourir.
Cette décision ne m’appartenait pas, mais je devais offrir à ces Trois qui ne savaient que faire, la force qu’ils n’avaient pas d’affronter la mort légitime.
Qui étais-je pour décider que cet animal devait mourir maintenant et pas plus tard ? que savais-je de ses souffrances ? laquelle d’abord était la plus grande, celle de son pauvre corps trop vieux, ou celle de son âme de chien immensément fidèle, qui ne pouvait pas trahir sa vieille maîtresse qui lui exigeait de ne pas la laisser seule ?
Je pris néanmoins le parti d’essayer de convaincre ses maîtres, de soulager Alise du poids de cette vie de douleurs.
D’ailleurs celle-ci de plus en plus agitée semblait se débattre, ne sachant plus où se mettre, ni que faire de sa peau de misères.
La vieille dame affligée semblait céder, admettre l’indignité de son désir de vouloir retenir encore son Alise. Puis l’instant d’après, affolée à l’idée de cet irrémédiable, aveuglée de douleur, elle approcha avec un plat de je ne sais quoi, le mis sous le nez du pauvre animal mourant, dans l’espoir fou qu’il susciterait son appétit.
Mise au centre de ce tableau surréaliste, je décidai non sans mal de soutenir davantage l’animal que la maîtresse.
Il leur fallait ma force et mon assurance, que le vétérinaire soulagerait et rendrait douce la fin de leur animal, dont la vie d’ailleurs ne serait abrégée que de quelques heures, tellement maintenant sa fin était proche.
Je les ai accompagnés tous les trois jusqu’au bout ; j’ai tenu la vieille dame tout contre sa chienne quand le vétérinaire a fait glisser dans les veines le liquide qui endort et celui qui fait mourir sans souffrance.
Alise s’est laissée faire sans se défendre comme presque déjà partie. La vieille dame a laissé faire aussi, elle avait capitulé ; son mari, lui, s’est tenu éloigné n’ayant pu affronter de près, la mort de l’une et l’immense douleur de l’autre. Alise avait 16 1/2 ans.
Il me restait encore à terminer mon travail, c’est à dire à les aider tous deux à accepter l’insupportable. Il me semblait qu’il ne fallait pas les séparer brutalement du vieil animal.
Tous deux souhaitaient une crémation pour Alise. Je proposai qu’ils puissent garder la vieille chienne près d’eux pour la nuit, pour la voir morte mais apaisée enfin, délivrée de son manteau de vieillesse douloureuse.
Pour qu’ils entament un vrai deuil, il me fallait les aider à regarder en face la fin de la vie. La force de ma présence pouvait leur permettre d’accompagner leur Alise jusqu’à l’acte de crémation. La vieille dame ne s’y est pas dérobée. Je l’ai soutenue jusque dans cette dernière et douloureuse démarche d’immense respect pour sa vieille chienne.
Cette ultime épreuve vécue de la crémation lui laissera à jamais l’irremplaçable réconfort de ne s’être pas détournée, de n’avoir jamais abandonné son animal chéri, en l’accompagnant même jusqu’après la mort du corps.
Je garde d’Alise, le souvenir ému d’un chien pathétique qui ne voulait pas faillir.
Danièle MIRAT

Déposé par Biscuit le 01/03/2017  
OU ES-TU ?
« Où es-tu, petit ange, où es-tu?
On aurait bien voulu,
À force d’amour,
t’empêcher de partir,
mais le monde est trop lourd,
petit ange léger,
Et n’a pas su te retenir.
Où faut-il te chercher, maintenant ?
Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent?
Qui saura nous le dire?
» Maman, »
Là où je suis, je ne crains rien.
J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes,
J’ai l’âme vaste comme le monde.
Là où je suis, la joie est sans mélange.
Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose…
sur les ailes d’un ange,
dans la rosée, dans le vent,
dans le cœur d’une rose,
Dans le cœur de mes parents.
Ne me cherchez pas, je suis partout,
Je suis avec vous, je suis chez moi. »
Albert Gui,
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Déposé par poutounou le 28/02/2017  
Histoire d'un "rominet" qui a eu beaucoup de chance....et un grand BRAVO à ses sauveurs...
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En novembre dernier, la vidéo d’un chaton retrouvé en état d’hypothermie dans la neige avait ému les internautes. Désormais, Lazarus, le « chaton gelé », va mieux, dorloté par ses sauveurs qui l’ont adopté.
*
Lazarus est en pleine forme. Il possède sa propre page facebook (Frozen Kitten) où ses maîtres donnent régulièrement de ses nouvelles. Avachi sur leurs genoux ou sur le lit, Lazarus est loin d’être malheureux, comme en témoignent les photos postées. Ce matou qui déteste les bains mais adore grimper et escalader profite pleinement de sa nouvelle vie. Et il a bien raison. Car c’est un destin beaucoup plus tragique qu’aurait pu avoir ce petit chat…
*
En novembre dernier, à l’occasion de Thanksgiving, la famille Bingham, de l'Utah, aux États-Unis, aperçoit une boule de poils blanche dans la neige, complètement gelée et immobile. Le chaton, en état d’hypothermie, est immédiatement conduit dans la maison où il est réchauffé. Une scène filmée et rapidement partagée sur les réseaux sociaux qui avait ému des milliers d’internautes.
*
Baptisé Lazarus, le rescapé est désormais accro aux câlins. Il habite toujours chez ses sauveurs et s’est fait une place dans leur foyer. "Ca m'a impressionné de voir comme il s'est vite adapté à notre vie de famille, indique le père. Il nous colle en permanence. Je pense qu'il se sent à l'aise et aime vraiment faire partie de la famille".
*
Devenu un copain de jeu pour les enfants, il a aussi été d’un grand réconfort lorsque son maître s’est cassé la jambe, se lovant en permanence contre lui pendant sa convalescence.

Déposé par choupinou le 28/02/2017  
lettre de PUNKY a sa maman d'après la chanson d'Amel Bent(avec léger changement pour la circonstance)
Une histoire qui tombe à l'eau
Quelques mots sur ton clavier
C'est fini
C'est toute ta vie
Qui s'assombrit
Je l'ai vu dans ton regard
J'ai senti ton désespoir
A quoi bon
Faire semblant
D'y croire
Ne retiens pas tes larmes
Laisses aller ton chagrin
C'est une page qui se tourne
Et tu n'y peux rien
Ne retiens pas tes larmes
Pleurer ça fait du bien
Et si tu as de la peine
Tu sais que je t'aime
Je ne serais jamais loin
Tu t'accroches à notre passé
Comme si tout s'était figé
Aujourd'hui
Il faut s'aider
Abandonner
La douleur qui s'installe
Cette absence qui fait si mal
N'aie pas peur
Écoutes ton coeur
Ne retiens pas tes larmes
Laisse aller ton chagrin
Si tu as de la peine
Souviens-toi que je t'aime
Je ne serais jamais loin
PUNKY

Déposé par colombine67 le 28/02/2017  
Cette chienne errante, qui avait l’habitude d’accompagner des familles depuis un musée jusqu’à leurs voitures, trouve enfin un foyer bien à elle.
"À chaque fois qu'elle tentait d'approcher une famille, cette dernière finissait par la rejeter après lui avoir fait des caresses, alors même qu'elle leur donnait de petits coups de langue sur la main... nous ne pouvions faire autrement que de lui trouver un foyer."
Bon sang, c’est vraiment une histoire touchante… Le mois dernier, un samedi soir, alors que les familles retournaient à leurs voitures après avoir avoir visité le Children’s Museum of Houston, une chienne errante les a suivies. Mais une fois arrivées à leurs voitures, ces familles n’ont pas permis à la chienne de les accompagner ; alors elle a fait demi-tour, et est retournée au musée pour retenter sa chance avec d’autres familles.
Elle a tenté sa chance, encore et encore, jusqu’à ce que deux femmes décident de la recueillir, pour lui trouver un foyer. Et elles y sont parvenues !
« À chaque fois qu’elle tentait d’approcher une famille, cette dernière finissait par la rejeter après lui avoir fait des caresses, alors même qu’elle leur donnait de petits coups de langue sur la main… Mon amie et moi avons été profondément touchées, et nous avons tout de suite su que nous devions recueillir la pauvre bête afin de lui trouver une maison. »
Cette histoire (que ce soit sa première incarnation ou ses mises à jour) a été initialement publiée par Heather Leighton, du Houston Chronicle.
« Les chiens errants ne sont pas rares à Houston, mais samedi, alors que je sortais avec une amie, nous avons découvert une chienne qui était très différente de tout ce que nous avions vu jusque-là.
Samedi après-midi, aux environs de 14h, mon amie Alli et moi retournions à mon appartement en passant par Binz Street, à Houston, lorsque nous avons repéré une chienne sans collier ni laisse, qui accompagnait un père et sa fille.
Alli m’a dit « Je ne pense pas que cette chienne leur appartient. »
« Mais elle marche juste à côté de la petite fille, et elle la regarde. Elle doit leur appartenir, non ? », lui ai-je répliqué.
Nous n’y avons pas prêté plus attention, et nous avons dépassé le père, sa fille, et le toutou en voiture, mais quelque chose nous a incité à faire demi-tour, afin de demander si la chienne leur appartenait bien.
Nous nous sommes arrêtées dans le parking, dans la rue opposée au Children’s Museum, et nous leur avons demandé si la chienne leur appartenait. Ils nous ont répondu « non », mais ils ont ajouté qu’elle avait passé toute la soirée à accompagner des familles.
« Elle suit les familles jusqu’à leurs voitures, et elle fait demi-tour à chaque fois que les familles la rejetent. Elle fait demi-tour, et trouve alors une nouvelle famille à accompagner », nous a expliqué le père.
« Cette pauvre bête sait visiblement comment exploiter les failles du système » ai-je pensé, et c’est à ce moment précis qu’elle a exploité les failles de mon propre cœur. Elle nous a saluées avec ses grands yeux bruns, sa queue qui s’agitait, et nous a donné des coups de langue sur les mains.
Nos coeurs ont fondu, et nous avons alors décidé de commencer à lui trouver un foyer.
Alli a voulu s’assurer qu’elle avait une micro-puce, mais elle n’en n’avait pas, aussi nous avons passé toute la soirée à appeler des refuges animaliers, de préférence sans euthanasie, mais tous ces refuges étaient déjà pleins. Ces coups de fil ont continué le dimanche matin, mais sans le moindre résultat : il était impossible de trouver un refuge à cette pauvre chienne.
C’est alors qu’un appel public a été passé dans le Houston Chronicle, afin d’inciter son maître à se manifester, ou quelqu’un d’autre à l’adopter.
Cette mission s’est terminée environ un mois plus tard, lorsque Brock Wagner, cofondateur de la Saint Arnold Brewing Company, a contacté le service d’accueil et d’adoption avec lequel nous avions un partenariat.
« La description de cette pauvre chienne en train d’accompagner des familles du musée à leur voiture, pour y être abandonnée, m’a touché », explique Wagner à Chron.com. « Comment pouvait-on donc laisser cette pauvre chienne errer dans les rues ? »
La semaine dernière, il a contacté le service d’accueil et d’adoption Best4Petz, avec lequel nous étions en partenariat, à la recherche d’un foyer d’accueil pour ce pauvre toutou.
Dimanche, dans l’après-midi, Wagner et sa fille de 17 ans ont accueilli la chienne, fraîchement rebaptisée Delphi (de son nom complet Delphyne), dans leur foyer de Montrose.
« Elle a traversé le jardin en courant, et a exploré la maison, afin d’essayer de comprendre ce qui lui arrivait », explique Wagner. « Nous l’avons amenée au Pet-Co, et nous lui avons acheté un collier noir et rose, avec des pierres précieuses scintillantes incrustées. Cela combine son côté très féminin, et le fait qu’elle soit une femelle pitbull. »
À la fin de la journée, Delphi a été surprise en train de ronfler sur le canapé de son nouveau salon, en train de rêver, enfin heureuse et satisfaite.




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BIZZZZZZZZ Ma Sorella????.
je T'M ????{ton Maël)).
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
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BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
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Je SAIS. Pourquoi Ma Maman. T'aimait autant !
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BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
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Punky alias The Boss
Tendres MERCIS. MA Sorella ton Maël).
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The Family Westies
CREA de LEUR super Sorella. Un ANGE aussi !
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