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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
50 bougies
76432 Fleurs
Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous Déposé par rafia Un bouquet de douceur saupoudré d'une infinie tendresse le tout avec plein de bisous |
5604 messages
Déposé par colombine67 le 07/11/2016Naissance de la voix lactée Il y a bien longtemps, il n'y avait pas beaucoup d'étoiles dans le ciel. Les indiens stockaient leur récolte de maïs dans de grands paniers. L'hiver ces grains leur permettaient de confectionner du pain. Un matin, un couple découvre qu'on leur a dérobé du maïs pendant la nuit. Des grains sont dispersés sur le sol de la réserve et ils aperçoivent des empreintes géantes de chien. Ils alertent aussitôt les villageois : ces traces ne peuvent avoir été faites que par un chien venant d’un autre monde ! Ils décident de se débarrasser d'une bête aussi monstrueuse en l'effrayant si fort qu'elle n'aura plus envie de revenir. Ils rassemblent des tambours, des carapaces de tortues et se cachent pendant la nuit près de la réserve de grains. Soudain, ils entendent un énorme bruissement d'ailes pareil à celui de milliers d'oiseaux en vol : un chien géant descend en piqué du ciel. Dés que ce dernier se trouve près du maïs, les Indiens font un vacarme énorme en frappant sur leurs ustensiles. L’animal s’enfuit mais les habitants du village le poursuivent en continuant de plus belle leur tintamarre. Le chien géant grimpe alors au sommet d'une colline et se jette dans le ciel, les grains de maïs se répandant de sa gueule. Il traverse la nuit noire et disparaît. Les grains de maïs forment un chemin dans le ciel et chaque grain se transforme en étoile. C’est ainsi qu'est apparue la voie lactée... Les Cherokee l’appellent gi li' ut sun stan un' yi, l'endroit où courait le chien. |
Déposé par poutounou le 06/11/2016Moi j'adore la vérité : ça peut faire mal sur le coup, mais on peut "construire" dessus ; les bases sont solides. Par contre, on ne peut rien construire sur ce qui n'est pas "vrai". * La fable et la vérité * La vérité, toute nue, Sortit un jour de son puits. Ses attraits par le temps étaient un peu détruits ; Jeune et vieux fuyaient à sa vue. La pauvre vérité restait là morfondue, Sans trouver un asile où pouvoir habiter. A ses yeux vient se présenter La fable, richement vêtue, Portant plumes et diamants, La plupart faux, mais très brillants. Eh ! Vous voilà ! Bon jour, dit-elle : Que faites-vous ici seule sur un chemin ? La vérité répond : vous le voyez, je gêle ; Aux passants je demande en vain De me donner une retraite, Je leur fais peur à tous : hélas ! Je le vois bien, Vieille femme n'obtient plus rien. Vous êtes pourtant ma cadette, Dit la fable, et, sans vanité, Partout je suis fort bien reçue : Mais aussi, dame vérité, Pourquoi vous montrer toute nue ? Cela n'est pas adroit : tenez, arrangeons-nous ; Qu'un même intérêt nous rassemble : Venez sous mon manteau, nous marcherons ensemble. Chez le sage, à cause de vous, Je ne serai point rebutée ; A cause de moi, chez les fous Vous ne serez point maltraitée : Servant, par ce moyen, chacun selon son goût, Grâce à votre raison, et grâce à ma folie, Vous verrez, ma soeur, que partout Nous passerons de compagnie. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par ovanek le 03/11/2016💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 Mon ange Dans les jardins du ciel Tu as trouvé le pont de l’arc-en-ciel Où brille un magnifique soleil Un ciel, des oiseaux, des fleurs C’est le paradis du bonheur Pour toi mon petit cœur Quoique tu sois loin de moi Mes joies, mes rêves sont pour toi Tu vis à travers moi, c’est comme ça Je me languis de ton absence Qui sont pour moi de longs silences Des douleurs indélébiles que rien n’efface Ce monde qui nous sépare N’est qu’un passage vers l’au-delà Que je franchirai sous les ailes d’un ange, pour te retrouver Dans l’attente, je t’envoie ces mots que tu aimes Ceux qui nous atteignent Pour te dire mon ange que je t’aime *** Amitié *** 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 03/11/2016Mike Thawley, un pompier de Sacramento (Etats-Unis), a sauvé un petit chiot tout seul, attaché, et transi de froid sur le bord de la route où il avait été abandonné. Pris en charge par une association, Chunk, le petit chiot, pourrait bien se souvenir longtemps de son ange-gardien… Après avoir sorti Chunk la petite Pitbull de la rue, Mike Thawley l’a transportée jusqu’à la caserne où il l’a séchée, réchauffée et rassurée. Il l’a ensuite confiée au Front Street Animal Shelter, un refuge local pour animaux. Les chiens, des êtres reconnaissants ? Mais dès le lendemain de son sauvetage, le pompier a voulu prendre des nouvelles de sa petite protégée qui, pour ne rien arranger, souffre d’une maladie de peau. Il s’est donc rendu au refuge et, alors qu’il ne s’y attendait pas, a reçu le plus beau des accueils Non seulement Chunk l’a reconnu, mais elle s’est en plus livrée à une vraie démonstration de reconnaissance : lovée dans les bras de son héros, elle a fait fondre son cœur… à tel point que Mike souhaite désormais l’adopter. Chunk deviendra-t-elle une chienne pompier ? |
Déposé par choupinou le 02/11/2016Dans le ciel on voit tous des étoiles qui brille,plus que les autres.... celle d'un être cher a notre coeur et qui veille sur nous.... une pensée a nos anges en ce lendemain de Toussaint une pensée pour nos anges partis dans le ciel,mais toujours dans nos coeurs Que la flamme de l'espérance ne s'éteigne jamais au fond de nous car nous les retrouverons et les blessures du passé redeviendrons magie de l'amour,une nouvelle et belle vie,avec eux et notre histoire, a chacun, de nouveau continuera pour toujours car c'est sur ils nous attendent...., |
Déposé par colombine67 le 02/11/2016En une semaine, la petite chienne Fancy a vécu une drôle d’aventure dont une partie restera sans doute un mystère. Disparue de chez sa maîtresse, elle a été trouvée puis adoptée avant de retrouver finalement… sa maison. Lorsque Fancy, une femelle Shih Tzu, a été trouvée errante dans une rue, elle fut conduite par une femme chez le vétérinaire. Sa puce électronique a permis d’identifier son nom, mais les coordonnées de ses maîtres n’étaient pas à jour. Déjà propriétaire de trois chiens, la femme décida alors de donner la chienne. Elle rencontra quelque temps plus tard une femme nommée Bailey qui se proposa de l’adopter. Quelques mois plus tôt, Bailey avait perdu son chien, Preston. Devenu paralysé, il avait dû être euthanasié après avoir passé cinq belles années aux côtés d’une famille aimante. C’est pour combler cette absence que Bailey cherchait à accueillir un nouveau chien. Lorsqu’elle vit Fancy, elle ne put résister. Les premiers jours, Fancy se montra assez distante dans son nouveau foyer. Mais très vite, elle se révéla être une chienne douce et affectueuse qui semblait avoir toujours fait partie de la famille de Bailey. Elle était particulièrement attentionnée avec les enfants. Et pour cause : dans sa « vraie » famille, Fancy devait veiller sur cinq enfants âgés d’un à neuf ans… Mais ça, Bailey l’ignorait. Fancy avait fugué et s’était perdue… En réalité, avant d’être trouvée, Fancy vivait chez les Davis. Elle s’était enfuie de chez elle pendant que son maître tondait la pelouse. Depuis son départ, sa famille était à sa recherche et ignorait tout de ce qu’elle était devenue. Fancy n’aurait jamais pu revoir ses maîtres si Bailey ne s’était pas rendue chez le vétérinaire pour la faire vacciner. C’est par hasard qu’un employé de la clinique reconnut la chienne qu’il avait vue sur Facebook, dans une annonce de chien perdu. Il en était sûr : Fancy était la chienne des Davis. A partir de ce moment-là, les retrouvailles entre la Shih Tzu et ses « vrais » maîtres furent organisées, malgré la tristesse de Bailey qui s’était déjà beaucoup attachée à la chienne. Mais, très reconnaissants envers la jeune femme pour avoir pris soin de leur chienne, les Davis décidèrent de l’aider à trouver le compagnon idéal qui pourrait partager sa vie… pour de longues et belles années. |
Déposé par larrydoudou le 01/11/2016Il y a des moments dans la vie où l'on aimerait ramener quelqu'un du ciel , passer juste une journée avec lui , lui faire juste un câlin , l'embrasser ou écouter juste sa voix ou son rire , avoir l'occasion de lui dire qu'on l'aime et lui dire que c'est tellement difficile sans sa présence |
Déposé par colombine67 le 01/11/2016Très beau texte d'Yves Duteil sur le rôle de nos défunts dans notre vie. Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?... Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire… « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais, au contraire, conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute ou de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières, pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus triste sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers ailleurs ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qu’ils ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparus ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents… |
Déposé par colombine67 le 31/10/2016Poème sur la mort de Jules Vernes. " Nous mourrons mais nos actes ne meurent pas, Car ils se perpétuent dans leurs conséquences infinies. Passants d’un jour, Nos pas laissent dans le sable de la route Des traces éternelles Rien n’arrive qui n’ait été déterminé par ce qui l’a précédé Et l’avenir est fait des prolongements inconnus du passé." |
Déposé par Biscuit le 31/10/2016Liberté De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ? De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages, Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ? De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ? Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ? Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ? Qu'est-ce qu'ils ont donc fait tous ces innocents-là Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ? Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ? Qui sait si le verdier qu'on dérobe aux rameaux, Qui sait si le malheur qu'on fait aux animaux Et si la servitude inutile des bêtes Ne se résolvent pas en Nérons sur nos têtes ? Qui sait si le carcan ne sort pas des licous ? Oh ! de nos actions qui sait les contre-coups, Et quels noirs croisements ont au fond du mystère Tant de choses qu'on fait en riant sur la terre ? Quand vous cadenassez sous un réseau de fer Tous ces buveurs d'azur faits pour s'enivrer d'air, Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue, Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue, Croyez-vous que le bec sanglant des passereaux Ne touche pas à l'homme en heurtant ces barreaux ? Prenez garde à la sombre équité. Prenez garde ! Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde. Ne comprenez-vous pas que vous êtes méchants ? À tous ces enfermés donnez la clef des champs ! Aux champs les rossignols, aux champs les hirondelles ; Les âmes expieront tout ce qu'on fait aux ailes. La balance invisible a deux plateaux obscurs. Prenez garde aux cachots dont vous ornez vos murs ! Du treillage aux fils d'or naissent les noires grilles ; La volière sinistre est mère des bastilles. Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux Toute la liberté qu'on prend à des oiseaux Le destin juste et dur la reprend à des hommes. Nous avons des tyrans parce que nous en sommes. Tu veux être libre, homme ? et de quel droit, ayant Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ? Ce qu'on croit sans défense est défendu par l'ombre. Toute l'immensité sur ce pauvre oiseau sombre Se penche, et te dévoue à l'expiation. Je t'admire, oppresseur, criant : oppression ! Le sort te tient pendant que ta démence brave Ce forçat qui sur toi jette une ombre d'esclave Et la cage qui pend au seuil de ta maison Vit, chante, et fait sortir de terre la prison. (La légende des siècles) |
Déposé par poutounou le 30/10/2016Joli poème pour la Toussaint… * Les chrysanthèmes_ * O ! Fleur pâle ornement des images d’automne Sans parfum qui nous grise, aussi sans volupté Quand je te vois t’ouvrir, la gaieté m’abandonne Mais tu souris toujours sous le ciel attristé. * Tu fleuris quand tout meurt dans la nature entière. Quand d’un feuillage d’or les arbres sont parés Tu fleuris quand la rose à son heure dernière Effeuille tristement ses pétales fanés. * Dans les jardins en deuil ta frileuse parure Jette une note gaie et sur les tapis d’or Par l’automne étendus, tes rameaux de verdure Font croire que l’hiver est loin de nous encor. * Sur les tombeaux glacés tu remplaces les roses Quand chaque fleur se fane au baiser des brouillards Tu figures partout et dans les chambres roses Et dans les grands salons et sur les corbillards. * N’es-tu pas, par ta grâce et par ta modestie, La fleur qui plaît aux yeux parmi toutes les fleurs. Puisqu’au sein de la mort tu fais briller la vie Comme un rayon d’espoir brille au sein des douleurs. |
Déposé par colombine67 le 30/10/2016Poème - prière de Gabriel Ringlet sur la vie, l'amour, la mort. Aimez-vous. Aimez-moi. Si vous m'aimez, laissez-moi m'échapper. Si vous aimez vos proches, laissez-les s'écarter. Si vous aimez vos petits, laissez-les s'élever. Si vous aimez vos grands, laissez-les s'envoler. Si vous aimez vos défunts, laissez-les s'en aller. Aimez-vous. L'éloignement n'empêche pas la proximité. L'absence ne supprime pas la présence. L'écart n'interdit pas l'alliance. La solitude ne rejette pas la solidarité. Aimez-vous. Le silence n'interrompt pas la parole. L'ombre n'éteint pas la lumière. Aimez-vous les uns les autres. Allégez-vous les uns les autres. Inventez-vous les uns les autres. Elevez-vous. Grandissez-vous. Aimez-vous, C'est tout neuf. Aimez-vous, Et vous donnerez du fruit. Aimez-vous Et vous goûterez la paix. Aimez-vous, Et vous mourrez la mort. Aimez-vous, Et vous vivrez la vie. Aimez-vous, Et ma joie viendra vous caresser. Et cette joie, je vous le dit, Personne ne pourra vous l'ôter. |
Déposé par colombine67 le 26/10/2016 J'ai mendié un peu de tendresse pour éclairer ma nuit.... J'ai hurlé, espérant un sourire, une caresse, un baiser..... Monstre de l'indifférence, tu m'as laissé là, sans peine... Je vis dans l'oubli, et dans ce box, je meurs doucement.... Blottis dans un coin, te souviens tu de moi ? Moi qui suis là, et je te demande pourquoi ? Je ne comprends rien de ce qui m'entoure....... Les jours passent et se ressemblent, jusqu'au jour où l'on viendra me chercher.... Il ne me restera de la vie, qu'un goût amer....De la joie, qu'un souvenir lointain......De la confiance, qu'une plaie grande ouverte..... Mais je serais toujours fidèle pour mon maître, mes yeux te chercheront toujours en vain..... Je t'attendrais longtemps, transis, désespéré et enfin je laisserais tomber mon lourd fardeau de rêves je poserais ma tête et je m'endormirais.............................................. |
Déposé par choupinou le 26/10/2016mon cher Punky ,peux tu partager ce beau poème avec ta soeur Niagara que je ne peux toujours pas fleurir ,n'y laisser de jolis message... Quand je rêve de toi, moi je rêve d’amour Et quand je pense è toi je pense à nos beaux jours J’avance pas à pas vers cet oubli de nous Qui me blesse déjà car l’amour est si doux. Ce sont tous ces instants qui me parlent de nous Qui partent au fil du temps réduisant l’amour fou À ce petit espoir que tu te souviendras De notre belle histoire d'amour tu te rappelleras. Je n'ai que ton amours celui qui me hante Restera pour toujours ce bonheur qui m’enchante Bien du temps est passé, elle ne s’est pas éteinte La passion enflammée, celle de nos étreintes. Le temps est cruauté il éteint nos bonheurs On veut toujours aimer,ton coeur endormi fait mon malheur Le temps se fait bourreau des rêves de chacun Il nous met au repos dans nos derniers matins. Oui, je refuserai cette triste contrainte Qui épuise la flamme et deviens ma complainte Dans notre âme en éveil elle brûlera toujours Mais le corps en sommeil vibre bien moins d’amour. L’éternel assassin ce temps qui nous domine Ne nous donne plus rien que des rêves inutiles Et nous nous effaçons sans pourtant oublier Notre seul horizon, continuer à aimer. Par : Régina Augusto. |
Déposé par colombine67 le 25/10/2016 L’Homme a besoin de se dire, de se raconter, De se faire plaindre, de se faire encourager, Mais ne sait pas regarder autour de lui, sourire. Faire, donner un geste de tendresse. Un sourire, une caresse, une parole douce ne coûte rien, Mais produit beaucoup, du réconfort pour celui qui reçoit. Sourire, caresser un court instant n’appauvrir pas celui qui donne, Mais laisse un souvenir à celui qui reçoit, souvenir souvent éternel. Aucun être vivant n’est assez riche pour s’en passer, Aucun être vivant n’est trop pauvre pour ne pouvoir donner, Un sourire, une caresse ou une parole tendre, ça ne coûte rien, Juste savoir donner un peu de soi.. Un geste tendre donne du repos à un être fatigué, Lui donne du courage à poursuivre une route qui lui semble si longue, Quand il a connue souffrance, délaissement, ignorance. Etre vieux, ne veut pas dire jeté, mais sentir une main se tendre, Pour pouvoir aider un vieux à ne pas terminer ce long chemin dans l’ombre. |
Déposé par poutounou le 25/10/2016Le voyage * Partir avant le jour, à tâtons, sans voir goutte, Sans songer seulement à demander sa route ; Aller de chute en chute, et, se traînant ainsi, Faire un tiers du chemin jusqu'à près de midi ; Voir sur sa tête alors s'amasser les nuages, Dans un sable mouvant précipiter ses pas, Courir, en essuyant orages sur orages, Vers un but incertain où l'on n'arrive pas ; Détrempé vers le soir, chercher une retraite, Arriver haletant, se coucher, s'endormir : On appelle cela naître, vivre et mourir. La volonté de Dieu soit faite ! * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par colombine67 le 24/10/2016J'ai nulle part où rentrer Nulle part où reposer J'ai tellement sillonné Nulle part où m’arrêter J'suis tellement accroché A ces trains qui passaient, A ces trains qui filaient Sans jamais me retourner Encoree un j'me disais Encore un dernier Ce monde n'est pas le mien J'ai rien à regretter Peut être j'ai trop dit oui Peut être pas assez Peut être parti trop tôt Pas tout à fait formé, déformé J'ai nulle part où rentrer Nulle part où reposer Peut être j'vais continuer Sans savoir où je vais Parfois tu peux me voir Marcher et fredonner Parfois tu peux me voir Tourner d'l'oeil et tomber Parfois dans la gare Je te tombe dans les bras Je tombe sans crier gare Et je t'embrasse hagard C'est parce que cet amour Qu'on pourrait se donner Pourrait me réchauffer pourrait me requinquer, me réanimer J'ai nulle part où rentrer Nulle part où reposer Nulle part c'est mon pays Et nulle part ma partie Ça te parait bizarre De te voir dans ta gare Ainsi déambuler Tout démantibulé Cette route m'a enlevé Cette route m'a entamé Cette route m'a éclipsé La vie m'a fait marcher Surement j'vais continuer Aller à ta rencontre Mais pas à ton encontre La route à moi me montre, démontre J'ai nulle part où rentrer Ça te parait bizarre De te voir dans la gare La nuit et la journée J'ai nulle part où rentrer Ça te parait bizarre Que même avec du blé On sache pas où aller Je suis très bien ici Ici c'est ma vie Comme on a qu'une vie Je suis très bien merci Je crains les policiers Les gens trop policés Mais j'suis très bien ici Je s'rais p't'être mieux assis |
Déposé par zenelle le 23/10/2016❤ Mon Chien Je t’aurais tout donné mon bébé Mais mon âme-sœur s’en est allée Ainsi sont les mystères de la vie Ami, je suis là et toi tu es parti Je garde en moi nos pensées et souvenirs Ces moments de joie et d’intenses plaisirs Je ne sais comment continuer mon bébé Sans toi l’amour de ma vie à mes côtés Pensée ❤ |
Déposé par poutounou le 23/10/2016Certains jours, on se dit que le monde est rempli de haine, puis certaines fois, on écoute des histoires comme celle de Alaa qui redonnent espoir. Cet homme a sauvé 200 chats. Un immense respect à lui... * Des dizaines de chats abandonnés * Mohammad Alaa Aljaleel vit à Alep en Syrie. Vous savez tout comme moi à quel point ce pays est dévasté par la guerre et la violence. De nombreuses personnes ont quitté la ville dans l'espoir d'obtenir des jours meilleurs. Pour Alaa, ce n'est pas si simple. Il ne peut se résigner à quitter la ville tout en sachant à quel point de nombreuses vies dépendent de lui. * Alaa s'est occupé de quelques chiens et de plus de 170 chats. Tous ces chats sont devenus errants suite aux nombreux départs des habitants d'Alep. C'est tout naturellement que ces chats se sont tournés vers Alaa qui les a nourris et soignés pendant tout ce temps. * Alaa, le sauveur des chats * Les bonnes actions de Alaa se sont répandues dans la ville. Lorsque des familles souhaitaient quitter le pays, elles déposaient systématiquement leur chat dans les mains de Alaa dans l'espoir qu'il le prenne en charge. * Une jeune fille qui avait élevé son chat depuis toujours l'a laissé à Alaa. Ses parents souhaitaient quitter la ville, et il était impossible d'emmener le chat. La jeune fille pria Alaa de lui envoyer des photos de son chat. Alaa, touché par la petite fille, lui promit de lui envoyer des photos autant que possible. "Vous pensez que je pourrai récupérer mon chat quand je reviendrai ?" pleure la petite fille. * Le groupe de chats qui était d'une vingtaine a donc grossi jusqu'à atteindre les 100 chats. Dans le but de trouver une maison pour tous ces chats, Alaa a fondé un sanctuaire nommé Il Gattoro d'Aleppo. * Cet homme est clairement le sauveur de ces chats. Il risque sa vie chaque jour sous les bombardements pour s'occuper de sa nouvelle famille. * Pour Alaa, aimer les gens c'est aussi aimer tous les êtres vivants. Et les animaux en font partie intégrante. C'est pourquoi il se donne tant de mal à les aider. Comme il l'explique dans son interview pour la BBC, les bombardements et la guerre sont son quotidien, alors il fait tout son possible pour aider ces chats et se procurer un peu de bonheur. |
Déposé par colombine67 le 23/10/2016J'ai déposé ce matin les créas sur mon blog, vous pouvez récupérer la votre voici directement le lien vers la rubrique: http://loveferrari.centerblog.net/rub-mes-creas-pour-le-cimetiere-des-chiens-.html Pourquoi ne viendriez vous pas ouvrir un blog sur centerblog? Je vous souhaite un bon Dimanche gros bisous de Colombine |
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