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En hommage à
PATSY (des Graffitis de la Lauzeraie)
CAVALIER-KING-CHARLES
Il est né le:27/06/1999
Il nous a quittés le:12/07/2013
 

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En hommage à PATSY (des Graffitis de la Lauzeraie)

14 ans de bonheur avec toi ma Patoune. Tu me manque déjà beaucoup.




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2499 Fleurs
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Déposé par rafia
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Des gros câlins tout doux à volonté
Déposé par Rafiarock
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Une pluie de bisous et de tendresse
Déposé par rafia
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Douces et tendres pensées
Déposé par Rafiarock
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Tout plein de gros câlins avec des doux bisous
Déposé par patsy
Déposé par patsy
Fanfan t'a rejoint cette semaine, réserve lui le meilleurs accueil. je gardais ce petit York de temps en temps, il a été tué par un gros méchant chien, quand sa maîtresse le promenait. Gros calins ma
Déposé par patsy
Déposé par patsy
quelques fleurs pour te dire que je ne t'ai jamais oublié, tu es à jamais dans mon coeur. Mille bisous sur ton si doux petit front.
Déposé par mistral
Déposé par mistral
un joli bouquet rempli de bisous et de calins pour ce triste jour d'anniversaire petit ange
Déposé par BILLY2B
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Déposé par coucky
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Tendre pensée.
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Déposé par isabeldehb
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douces pensées petit ange en ce jour si particulier pour ceux qui t'ont tant aimé
Déposé par Chantalotte21
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J'ai mis dans ce bouquet mes plus tendres bisous et caresses pour enrober ton repos éternel de douceur. 🌺 🥀 🌼
Déposé par rustiditbibi
Déposé par rustiditbibi
Déposé par Lecmarc
Déposé par Lecmarc
Cinq ans déjà: Tendres pensées en ce triste anniversaire.
Déposé par Sissi10
Déposé par Sissi10
une autre fleur pour toi bel ange qui n'est pas oublié ! mille caresses pour toi et amuse toi avec mes amours là haut au paradis des toutous !
Déposé par Pachkounet
Déposé par Pachkounet
5 ans déjà que tu as quitté ta Maman pour rejoindre le Pays des Canoutouxx. Mille bisouxx et câlins, adorable Patsy.
Déposé par Annie
Déposé par Annie
Tendres pensées en ce 12 juillet 2018 belle C.K.Chounette


926 messages

Déposé par rafia le 01/06/2014  
Mes très chers amis,
Le texte suivant m'inspire..."laissons parler notre coeur et notre aide sera tjrs positive".
Comme je suis en..."indisponibilité" à cause de mon pied..j'en profite pr passer un peu plus de temps sur le site.
Mille bisous pr vs, mon adorable amie, toute ma bien sincère Amitié pr vs, cher monsieur.
Votre amie Maryem
Les bons conseils
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
Un Cartésien se pencha et lui dit :
« Vous n'êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou ».
Un spiritualiste le vit et dit :
« Vous avez dû commettre quelque péché».
Un bouddhiste le vit et dit :
« C'est votre karma, je compatis».
Un scientifique calcula la profondeur du trou.
Un journaliste l'interviewa sur ses douleurs.
Un yogi lui dit :
« Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur ».
Un médecin lui lança deux comprimés d'aspirine.
Une infirmière s'assit sur le bord et pleura avec lui.
Un thérapeute l'incita à trouver les raisons
pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.
Une pratiquante de la pensée positive l'exhorta :
« Quand on veut, on peut ! »
Un optimiste lui dit :
« Vous avez de la chance : vous auriez pu vous casser une jambe ».
Un pessimiste ajouta : « Et ça risque d'empirer ».
Puis un enfant passa ........
et lui tendit la main...
(Christelle Heurtault),

Déposé par rafia le 31/05/2014  
L'Amitié
On ressent l'amitié du plus profond du cœur,
C'est un beau sentiment, qu'on donne avec candeur,
Il pointe et nous ravit, comme une rose fraîche,
Mais, si vite, souvent, la rose se dessèche.
L'amitié se chérit comme les tendres fleurs,
Que cultive le cœur, pour ses mille couleurs,
C'est un très beau bouquet, si plein d'exubérance,
Qui répand dans nos coeurs une douce fragrance.
Pour garder l'amitié, pour la faire fleurir,
Il lui faut du respect, qui la fera mûrir,
Il faut la ménager, parce qu'elle est fragile,
Même avec les amis, qui ont des pieds d'argile.
Nous choisissons l'ami, pour pouvoir partager
Nos secrets, nos loisirs, et pour nous entraider,
S'il a quelques défauts, laissons passer les choses,
Les épines sont là pour protéger les roses.
L'amitié se cultive avec beaucoup de soins,
Dans un fertile sol, qui reçoit les pépins,
Et, pour l'épanouir, seule la confiance
Lui donne cet élan que nourrit l'espérance.
Lorsqu'on perd un ami, l'âme se met en deuil,
L'amitié se répand, en débris, sur l'écueil,
La déchirure saigne, et puis se putréfie ;
La suppuration dure toute la vie.
Christian Cally.
,

Déposé par rafia le 30/05/2014  
Fidèle comme Bobby !
BobbyEn 1856, un certain John Gray, jardinier de son métier mais au chômage, quittait avec sa famille la campagne écossaise pour tenter de survivre dans la capitale : Edinburgh… La chance fut avec lui car il trouva sans difficulté un poste de policier. Sa fonction prévoyait qu’il soit accompagné d’un chien de garde, et l’administration lui confia un chiot Skye Terrier, qu’il nomma Bobby. Tous les jours, John Gray prit sa permanence au château, accompagné de Bobby, et les habitants du quartier s’habituèrent à les voir, au coup de treize heures, annoncées traditionnellement par le canon, rejoindre une petite auberge où John prenait un repas frugal. Bobby profitait des restes du repas de son maître, et même y gagnait en supplément une brioche ! Ce bonheur tranquille hélas ne dura que deux ans, quand John Gray décéda de tuberculose. Le jour des funérailles, plusieurs témoins attestèrent avoir reconnu Bobby en tête du cortège funèbre. Une fois la cérémonie terminée, le chien ne réapparut pas, la famille du défunt crut qu’il s’en était allé…
C’est pourquoi, dès le lendemain, le gardien du cimetière de l’église de Greyfriars, où était enterré John Gray, fut très étonné de voir Bobby couché sur la tombe de son maître. Mais comme les chiens étaient interdits dans le cimetière, il l’en chassa. Néanmoins le jour suivant, Bobby était revenu ! L’homme avait beau le poursuivre, chaque matin il retrouvait Bobby revenu sur la tombe. Une telle constance et une telle obstination dans le souvenir ne pouvait qu’émouvoir le cœur d’un gardien, aussi endurci soit-il, qui finit par obtenir de la ville une dérogation qui permettait à Bobby de rester. Quelques jours plus tard, l’aubergiste eut la surprise de voir arriver, sous le coup de treize heures, Bobby ; tenaillé par la faim, il avait exceptionnellement quitté le cimetière, et venait chercher sa pitance. Qui lui fut donnée avec amour : quelques os et une brioche. A partir de ce jour, Bobby ne quitta plus la tombe de John Gray que pour aller chercher son repas.
L’histoire de Bobby émut bientôt toute la ville, si ce n’est toute l’Ecosse, et bien des familles d’Edinburgh voulurent l’adopter… ! Bobby refusa toujours de se laisser enfermer dans une maison, aussi accueillante soit-elle. Exceptionnellement il accepta la compagnie d’un soldat de la garde du château, sans doute parce que l’homme prenait ses repas à la même auberge qui continuait de nourrir Bobby, qui revenait, sans traîner, sur la tombe de son maître…
Les années passèrent sans que la fidélité de Bobby fléchisse… seize années exactement ! Quand un jour, vieux et épuisé par tant de veilles et sans doute de tristesse, Bobby ne retourna pas au cimetière après avoir pris son repas. Il resta auprès de la famille Trail, propriétaire de l’auberge. Le lendemain matin, après une froide nuit d’hiver 1872, on le retrouva mort. Bobby était allé retrouver John Gray, qu’il avait fidèlement veillé pendant quatorze années…
Voilà… si, maintenant, vous voulez pleurer, ne vous en privez pas…
Stèle de BobbyStèle de John-Gray
Il y a bien des histoires semblables de chiens fidèles, mais sans doute pas aussi émouvantes que celle de Bobby ! L’année même de sa mort, la baronne Burdett-Coutts fit construire une fontaine surmontée de la statue de Bobby, qui existe toujours. Bobby fait partie du circuit touristique organisé par la ville d’Edinburgh, un petit musée lui est consacré. La tombe de Bobby est la première que l’on voit en entrant dans le cimetière, à quelques pas de celle de John Gray, qu’un riche donateur américain a fait remettre en état. Mais à l’entrée du site, un panneau municipal rappelle qu’il est toujours interdit aux chiens d’entrer…

Déposé par rafia le 29/05/2014  

Un chien attend son maître depuis 5 ans
Depuis 5 ans un chien revient sur le lieu d'accident de son maître.
Hachi a perdu son maître, victime d'un accident de la route. Depuis ce jour, Hachi vient chaque jour sur le lieu où s'est produit l'accident, en pleurant la mort de son maître et en aboyant.
"Son propriétaire est mort à la suite d'un accident de moto. Le chien le suivait derrière. L'accident remonte à cinq ans. Mais le chien est resté là depuis lors", raconte Roman Bilbao, boucher sur l'avenue Papa Paulo, à quelques rues du lieu du drame, et même si plusieurs personnes ont essayé de l'adopter, en vain, celui ci refuse de quitter l'endroit.
Une belle preuve de loyauté et de persévérance d'un chien envers son maître.
Plus la peine de se poser la fameuse question à savoir si les animaux sont fidèles !
Source et crédit photo : Misiones Cuatro et Jordana Net,

Déposé par rafia le 28/05/2014  
Une humanisation de plus en plus importante des animaux de compagnies
Considérés comme un membre de la famille à part entière, les animaux de compagnies reçoivent les plus belles attentions. Des huiles essentielles aux produits alimentaires bio, le nombre de produits spécialisés pour nos compagnons ne cesse d’augmenter et les budgets qui y sont dédiés explosent.
Les enjeux économiques sont forts : vêtements, bijoux, vernis, teintures, draps, calendriers de l’Avent garnis de croquettes, tout est possible pour nos animaux chéris. Un nouveau marché dont le potentiel n’est pas à négliger, même le secteur tertiaire s’y met. Effectivement, il existe aujourd’hui des comportementalistes, des coachs pour animaux permettant à nos compagnons de ne pas être trop stresser, de faire attention à leur poids… Des animaux humanisés ?
Les dépenses occasionnées par les propriétaires de chiens ou de chats peuvent parfois paraitre incompréhensibles mais, comme nous le souligne Fanny Lamarque, gérante d’une animalerie de luxe à Cannes, « chacun fait ce qu’il veut de son argent, plutôt que de traiter de gagas ceux qui dépensent de l’argent pour leur animal on devrait plutôt se rebeller contre ceux qui les maltraitent. »
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Source et crédit-photo : Varmatin,

Déposé par rafia le 27/05/2014  
Balto et sa course contre la mort
Connaissez-vous l’histoire de Balto ?
Balto était un chien de traîneau de race husky sibérien né en 1919 en Alaska dans l'élevage de Leonhard Seppala qui travaillait pour une compagnie minière en tant que conducteur de traîneaux à chiens.
Il est célèbre pour sa participation à la course au sérum de 1925, pendant laquelle un médicament antidiphtérique dut être transporté d’urgence de Anchorage à Nome (en Alaska) par chemin de fer puis par traîneaux à chiens.
Balto à Central Park
En janvier 1925, la diphtérie, maladie mortelle pour les enfants, se développe à Nome. Du sérum est demandé en urgence à tous les hôpitaux des alentours. Les autorités apprennent qu'il en reste dans la ville d'Anchorage, à 1 600 kms de là. Le blizzard qui souffle en violentes rafales empêche l'acheminement par avion. Par contre, un train pourra transporter le sérum jusqu'à la ville de Nenana, mais pas plus loin, faute de chemin de fer. Or, Nenana se trouve encore à 1085 kms de Nome. Une seule solution : faire l'aller-retour en traîneau à chiens, un voyage de 25 jours en temps normal. Cette mission fut confiée à Leonhard Seppala qui partit de Nome en direction de Nenana avec un attelage de 20 huskies dirigé par Togo, son meilleur chien de tête.
Alors que Seppala était déjà en route, les autorités pensèrent qu'un relais de plusieurs attelages avait des chances de délivrer le précieux sérum plus rapidement. C'est ainsi que 20 mushers et plus de 100 huskies prirent part à la course.
On demanda à Gunnar Kassen, l'assistant de Seppala, dont l'équipage de huskies était dirigée par Balto, de faire partie du relais. Arrivant au dernier point de contrôle avant Nome, Kassen trouva son remplaçant endormi. Considérant que son équipage se comportait bien, il décida alors de poursuivre jusqu'à Nome. Le sérum fut ainsi livré de Nenana à Nome en seulement 5 jours et demi.
Bien que Seppala et Togo aient parcouru près du double de distance dans la portion la plus dangereuse du parcours, la presse, qui s'empara de l'histoire, fit de Balto le nouveau héros de la nation. À la fin de l'année, une statue sculptée par F.G. Roth, fut érigée à Central Park, à New York, avec ces mots : « Endurance - Fidélité - Intelligence ».
Après la mort de Balto le 14 mars 1933, ses restes empaillés furent donnés au musée d'histoire naturelle de Cléveland aux Etats-Unis.
Le chemin parcouru par Balto donne lieu à une course de traîneau annuelle, nommée Iditarod, dont la première édition répertoriée eut lieu en 1973.,
********************
Ma très chère amie,
Je suis ravie de vs retrouver..vs m'avez bcp manqué. Mille mercis pr avoir aussi bien accueilli Ma¨¨el...mais aussi pr vos messages et bouquets...offerts avec une si grande générosité.
Je vs écrirai..plus tard..car très fatiguée par le décalage horaire. merci pr votre compréhension.
Mille bisous.
Votre amie Maryem

Déposé par rafia le 24/05/2014  
La brebis et le chien
La brebis et le chien, de tous les temps amis,
Se racontaient un jour leur vie infortunée.
- Ah ! disait la brebis, je pleure et je frémis
Quand je songe aux malheurs de notre destinée.
Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats,
Toujours soumis, tendre et fidèle,
Tu reçois, pour prix de ton zèle,
Des coups et souvent le trépas.
Moi, qui tous les ans les habille,
Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs,
Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille
Assassiné par ces méchants.
Leurs confrères, les loups, dévorent ce qu'il reste.
Victimes de ces inhumains,
Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains,
Voilà notre destin funeste !
- Il est vrai, dit le chien, mais crois-tu plus heureux
Les auteurs de notre misère ?
Va, ma soeur, il vaut encore mieux
Souffrir le mal que de le faire.
Fable de Jean-Pierre Claris de Florian,

Déposé par rafia le 23/05/2014  
«  Va la chercher!  » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette
L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : «  Va la chercher!  »
LISA FITTERMAN
Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées.
Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace.
Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd.
Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller.
Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris.
Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là.
« On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. »
Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté.
« Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. »
Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? »
Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé.
« Les filles sont à l’eau !
— Dans une mare ?
— Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. »
Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête.
Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette.
« De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté.
Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam  chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre.
Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même.
Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge.
L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés.
Que faire ?
La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente.
Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ?
« Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. »
Le chien est leur dernière chance.
« Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse.
Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait.
« Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! »
Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon.
« Tiens bon, dit-il. Tiens bon. »
Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil.
Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent
Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer.
« C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra.
Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge.
« Maman, j’ai failli mourir. »
Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue.
Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle.

Déposé par rafia le 22/05/2014  
EXPLOIT de Roselle LABRADOR blonde.
Publié par Alpharococo in Chiens
Tags11 septembre 2001, héros canin
Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001. Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle. La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité.
Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais. "Elle m’a sauvé la vie" écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association. Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait. "Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail" mentionna Hingson.
11 ans après ces tragiques attentats, j’aimerais souligner et saluer le courage dont Roselle a fait preuve.
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Déposé par rafia le 21/05/2014  
L'ami
Auteur : Aliza Claude Lahav
Depuis peu j'ai un nouvel ami. Il est toujours réconfortant de se dire que l'on est encore capable de se faire de nouveaux amis. Une nouvelle amitié c'est un renouveau d'espoir et d'énergie. C'est la vie qui s'écoule et qui met sur notre chemin des rencontres qui, on ne sait pourquoi, deviennent plus significatives que d'autres. L'amitié est une plante fragile, elle pousse sur tout terrain mais elle demande beaucoup de soins et d'attention.
Dès son ensemencement il est évident qu'elle ne ressemble qu'à elle-même et qu'il est inutile de reproduire des schèmes de développement connus. Il faudra la soigner, l'arroser, l'alimenter, la biseauter, la chouchouter, l'écouter, lui parler… en un mot la façonner à nos besoins et à notre image. Un ami c'est un cadeau mais il faut le mériter.
J'ai fait la connaissance de mon nouvel ami sur Internet, grâce au cahier de brouillons.
Une grand-mère et un jeune garçon de quinze ans trouvent des points d'intérêt communs, des sujets de conversation, des échanges d'idées. Est-ce qu'une telle rencontre peut se produire dans une vie non virtuelle ? Je ne le crois pas, dans la vraie vie les générations nous séparent alors que sur le Net les anciens retrouvent leur jeunesse et les jeunes présentent leur côté mature.
Peut-être parce qu'il ne s'agit pas d'une conversation face à face, mais d'un dialogue qui a une dynamique bien spécifique que nous devrions prendre en ligne de compte dans tous nos échanges, avec tous nos amis internautes. En effet, la relation sur Internet est encore plus complexe que dans la vie de tous les jours dans ce sens qu'elle incite à une projection permanente de nous-mêmes. C'est-à-dire que nos interprétations priment et que souvent nous attribuons à autrui nos propres pensées, il peut arriver que nous n'aimions pas toujours les interprétations des autres sur nos idées.
Pourtant, seul le principe de réciprocité peut nous enrichir et nous avons besoin du " regard virtuel " de l'autre pour parfaire notre identité de penser. Internet a élargi notre monde nous permettant des possibilités d'échanges qui étaient impensables il y a quelques années, il nous offre également les moyens de nous ouvrir aux autres et à nous-mêmes. Ces dernières années j'ai eu la chance d'acquérir de nombreux amis, d'ailleurs la plupart d'entre eux lisent ces lignes en ce moment.
Belle expérience que l'internautamitié !!!

Déposé par rafia le 20/05/2014  
L'amitié et l'ami
La réelle amitié d'un ami est sacrée,
Un merveilleux trésor qu'il faut protéger.
On peut se passer de l'amour,
Mais l'amitié il en faut toujours.
À qui confier nos joies, nos chagrins ?
Si ce n'est à un ami, tel un frangin.
Il est agréable de se sentir indispensable,
Quand lui vit des problèmes semblables.
L'amitié c'est beau, mais tellement rare,
Que la vie parfois ainsi nous sépare.
On oubliera jamais le véritable ami,
À qui on s'est confié sur sa vie.
Mais on oubliera bien plus vite,
Ces faux amis qui autour de nous gravitent.
Maxalexis.,
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Pas encore familiarisé avec les messages joints aux bouquets.
Je fais de mon mieux.
Espérant que ce soit positif.
Très respectueusement.
Maël S-M

Déposé par rafia le 19/05/2014  
Ecoute moi
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Accorde-moi seulement quelques instants,
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne me bombarde pas de conseils et d'idées,
Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés.
Manquerais-tu de confiance en mes capacités ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser,
Je croirais que tu ne comprends pas
L'importance de ce que je vis en moi
Écoute-moi, s"il te plaît, j'ai besoin de parler.
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas.
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d'approuver
Si j'ai besoin de me raconter
C'est simplement pour être libéré
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquer
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne m'interromps pas pour me questionner,
N'essaie pas de forcer mon domaine caché.
Je sais jusqu'où je peux et veux aller
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Respecte les silences qui me font cheminer.
Gardes-toi bien de les briser,
C'est par eux bien souvent que je suis éclairé.
Alors maintenant que tu m'as bien écouté
Je t'en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour, je t'écouterai
Jacques Salomé
,

Déposé par rafia le 18/05/2014  
Le vieux et son chien
S'il était le plus laid
De tous les chiens du monde,
Je l'aimerais encore
A cause de ses yeux.
Si j'étais le plus laid
De tous les vieux du monde,
L'amour luirait encore
Dans le fond de ses yeux.
Et nous serions tous deux,
Lui si laid, moi si vieux,
Un peu moins seuls au monde
A cause de ses yeux.
Pierre Menanteau
( Ce que m'a dit l'alouette )

Déposé par rafia le 12/05/2014  
'Amitié
Comme un arbre, l'amitié grandit au fil des ans.
Ses racines prennent de la vigueur
et lui permettent de devenir grande et forte.
C'est de cette façon que la nôtre s'est développée,
et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir
ce partage de notre quotidien.
Aujourd'hui, pour s'apercevoir que l'autre a besoin d'un peu
d'attention ou simplement de notre présence,
nul n'est besoin de se parler.
Je remercie la vie de t'avoir mis sur ma route; vraiment,
ce fut l'un des plus beaux cadeaux qu'elle m'a fait.
Tout comme moi, tu es un arbre qui a essuyé
bien des tempêtes et des ouragans.
Contre vents et marées, nous avons toujours su garder
le moral, apprécier le retour du soleil et régénérer
nos forces dans les moments d'accalmie.
Le plus merveilleux pour moi est de voir que nous
sommes encore côte à côte.
Comme deux vieux arbres, nous sommes toujours empreints
de la même vigueur et du même besoin de survie qui nous
ont permis de rester debout jusqu'à ce jour.
La vie nous réserve sûrement encore bien des surprises,
mais rien ne pourra détruire ce merveilleux bien qui nous unit.
Continuons à prendre soin des racines de notre amitié,
de façon à ce que nous puissions encore longtemps partager
notre quotidien et apprécier chaque jour que nous vivons.
Andrée Lapierre.,

Déposé par rafia le 11/05/2014  
L'Amitié
On ressent l'amitié du plus profond du cœur,
C'est un beau sentiment, qu'on donne avec candeur,
Il pointe et nous ravit, comme une rose fraîche,
Mais, si vite, souvent, la rose se dessèche.
L'amitié se chérit comme les tendres fleurs,
Que cultive le cœur, pour ses mille couleurs,
C'est un très beau bouquet, si plein d'exubérance,
Qui répand dans nos coeurs une douce fragrance.
Pour garder l'amitié, pour la faire fleurir,
Il lui faut du respect, qui la fera mûrir,
Il faut la ménager, parce qu'elle est fragile,
Même avec les amis, qui ont des pieds d'argile.
Nous choisissons l'ami, pour pouvoir partager
Nos secrets, nos loisirs, et pour nous entraider,
S'il a quelques défauts, laissons passer les choses,
Les épines sont là pour protéger les roses.
L'amitié se cultive avec beaucoup de soins,
Dans un fertile sol, qui reçoit les pépins,
Et, pour l'épanouir, seule la confiance
Lui donne cet élan que nourrit l'espérance.
Lorsqu'on perd un ami, l'âme se met en deuil,
L'amitié se répand, en débris, sur l'écueil,
La déchirure saigne, et puis se putréfie ;
La suppuration dure toute la vie.
Christian Cally.
,
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Toutes mes excuses pr hier...d'abord gros soucis de connexion avec FREE et ensuite...ce fut dysfonctionnement sur le site...TOUT ce que je souhaitais déposer, était systématiquement refusé !!!
Alors ce soir, ce sont 2 livraisons que je vais faire, l'une avant et l'autre après minuit.
je me hâte.
Mille bisous et mercis ma très chère amie.
votre amie Maryem

Déposé par rafia le 10/05/2014  
Je vs fais suivre ce message à l'initiative de Martine, maman de Rubens...et je vs en souhaite une excellente lecture.
Mille bisous et mercis, pr vs ma très chère amie.
Votre amie Maryem
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Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse... ainsi que tous les autres, y compris l’Amour.
Un jour, on annonça que l’île allait être submergée. Alors tous préparèrent leurs embarcations et s’enfuirent. Seul l’Amour resta, attendant jusqu’au dernier moment. Quand l’île fut sur le point de disparaître, l’Amour décida de demander de l’aide.
La Richesse passa près de l’Amour dans un bateau luxueux et l’Amour lui dit :
- "Richesse, peux-tu m’emmener ?"
- "Je ne le peux pas car j’ai beaucoup d’or et d’argent dans mon bateau et il n’y a pas de place pour toi."
Alors l’Amour décida de demander à l’Orgueil qui passait dans un magnifique bateau :
- "Orgueil, je t’en prie, emmène moi."
- "Je ne peux pas t’emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans mon bateau."
Ensuite l’Amour demanda à la tristesse qui passait par là :
- "Tristesse, je t’en prie, emmène moi."
- "Oh Amour" répondit la Tristesse "je suis si triste que j’ai besoin de rester seule."
Ensuite la Bonne humeur passa devant l’Amour, mais elle était si heureuse qu’elle n’entendit pas qu’on l’appelait.
Soudain une voix dit :
- "Viens, Amour, je t’emmène avec moi."
C’était un vieillard qui l’avait appelé. L’Amour était si heureux et si rempli de joie, qu’il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s’en alla.
L’Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir :
- "Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m’a aidé ?"
- "C’est le Temps" répondit le Savoir"
- "Le Temps ?", demanda l’Amour, "Pourquoi le Temps m’aurait-t’il aidé ?"
Le Savoir plein de sagesse répondit :
- "Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la vie".
Envoie ce message à tes amis pour qu’ils sachent ce qu’ils représentent pour toi !

Déposé par rafia le 09/05/2014  
Poème sur l'Amitié
Beaucoup de gens vont entrer et sortir de votre vie
Mais seuls les vrais amislaisseront leur
empreinte dans votre coeur.
Pour savoir comment vous y prendre avec vous-même ,
utilisez votre tête .
Mais pour savoir comment vous y prendre avec
les autres utilisez votre coeur.
Si quelqu'un vous trahit une fois , c'est sa faute .
S'il vous trahit deux fois c'est votre faute .
Les grands esprits parlent d'idées .
Les esprits moyens parlent évènements .
Les esprits petits parlent des gens,
Celui qui perd de l'argent perd beaucoup,
Celui qui perd un ami perd beaucoup plus,
Celui qui perd la foi , perd tout .
Eleanor Roosevelt.,

Déposé par zenelle le 08/05/2014  
Je cueillerai pour toi
Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin,
Ce ne sera vraiment qu'un modeste bouquet,
Sur ta tombe en pleurant j'irai le déposer...
Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin.
Je cueillerai aussi la rosée du matin,
La tristesse d'un jour qui commence sans toi,
Un souvenir lointain qui revient et s'en va...
Je cueillerai aussi la rosée du matin.
Je cueillerai enfin les larmes de mes yeux,
J'en ferai un collier de perles de chagrin,
Et je te l'offrirai dans son plus bel écrin...

Déposé par rafia le 08/05/2014  
N'abandonne surtout mon ami/amie
Lorsque dans la vie rien ne va plus,
que les problèmes tourmentent ton esprit
et que l'absence te cause tant de chagrin.
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises,
que tout ton univers menace de s'écrouler
et que, fatigué//e, tu sens la confiance t'abandonner...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus,
et il ne ns est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir,
ni combien d'obstacles nous devront surmonter
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.
Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter
alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus
pour transformer un échec en réussite ?
Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile.
Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire
pour faire ce petit pas de plus,
en affirmant que la vie est une grande et puissante amie
qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours.
Car RIEN n'est plus beau que la VIE !!!
Tu verras alors que cette attitude appellera
du plus profond de toi-même,
des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas
et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras.
Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien:
Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas !!!
.
,

Déposé par rafia le 07/05/2014  
L'amitié et l'ami
La réelle amitié d'un ami est sacrée,
Un merveilleux trésor qu'il faut protéger.
On peut se passer de l'amour,
Mais l'amitié il en faut toujours.
À qui confier nos joies, nos chagrins ?
Si ce n'est à un ami, tel un frangin.
Il est agréable de se sentir indispensable,
Quand lui vit des problèmes semblables.
L'amitié c'est beau, mais tellement rare,
Que la vie parfois ainsi nous sépare.
On oubliera jamais le véritable ami,
À qui on s'est confié sur sa vie.
Mais on oubliera bien plus vite,
Ces faux amis qui autour de nous gravitent.
Max Alexis
**************
Il ne faut pas avoir peur
J'avais peur d'être trop aimé//e jusqu'à ce que...
J'apprenne à ne plus redouter cet excès.
J'avais peur de l'absence, de mes trésors "westies",jusqu'à ce que...
Je me rende compte que je ne pourrais jamais la combler.
J'avais peur que l'on doute de moi jusqu'à ce que...
Je comprenne que je devais croire en moi-même.
J'avais peur de la douleur, jusqu'à ce que...
J'apprenne qu'elle était nécessaire pour grandir.
J'avais peur de ma franchise jusqu'à ce que...
Je découvre que je ne pouvais faire autrement.
J'avais peur de la mort, jusqu'à ce que...
J'apprenne qu'elle n'était pas une fin mais un commencement.
J'avais peur de la haine, jusqu'à ce que...
Je me rende compte qu'elle n'était pas autre chose que de l'ignorance.
J'avais peur du ridicule en société, à cause de ma timidité, jusqu'à ce que...
J'apprenne à rire de moi-même.
J'avais peur de vieillir, jusqu'à ce que...
Je comprenne qu'il fallait user de ce que la science ns offrait.
J'avais peur de ce que les gens pensaient de moi, jusqu'à ce que...
Je me rende compte, quoique je fasse,.. ils auraient une opinion sur moi.!!!
J'avais peur de penser au bonheur perdu de mon Liban, jusqu'à ce que...
Je comprenne que jamais je ne pourrais oublier ma vie, là-bas.
J'avais peur de l'obscurité, jusqu'à ce que...
Je contemple la beauté d'une nuit étoilée
J'avais peur du changement, jusqu'à ce que...
Je voie une chrysalide devenir un beau papillon.
J'avais peur de ne pas être un bon prof jusqu'à ce que
Je comprenne qu'il me suffisait de faire de ma profession, un sacerdoce.
J'avais peur de mal transmettre mon relatif savoir jusqu'à ce que...
Je comprenne que j'étais appréciée de mes pairs et de ma hiérarchie.
Oublions nos peurs afin que nos vies deviennent
de plus en plus riches et belles.
Et ce, sans jamais faillir.
Faisons ns confiance, ns y gagnerons en épanouissement.
Aimons la VIE
Car rien n'est plus beau que la vie !!!
J'ai enclenché, une nouvelle fois, le compte à rebours...
Départ de CDG le 12 mai à 17 h 10..heureusement, un vol de nuit....et arrivée (sous réserve que mon avion ne soit pas retardé !!!)..à 19 h 50, tjrs le 12 mai à JFK..où ma soeur et son mari, m'attendront.
Et tjrs la pénible impression de faire du...sur-place, à cause du décalage horaire et malgré un vol de près de 8 heures.
J'ai un leitmotiv que je m'oblige à faire tourner ds ma tête...."hauts les coeurs Maryem...crois encore en ta bonne étoile" !!!
Et, l'heure des "au-revoir" sonnée, avec ts ceux qui m'aiment....c'est à cela que je vais me raccrocher, sans faillir, pr masquer mes incertitudes et mon désespoir de quitter.... ts ceux que j'aime, dont notre Paramour-chérie. C'est encore elle la plus pénalisée...car il est impossible de lui justifier mon absence.
En mon absence, j'ai bcp de chance, car notre très dévouée Magalie et merveilleuse jardinière...se chargera de l'arrosage, mais aussi de valider messages & bouquets reçus.... chez mes petits trésors...déchargée le + souvent possible (pr les arrosages)... par mon fils Maël, lequel assumera l'intérim pr fleurir ts mes petits anges, en sachant qu'il va être indisponible quelques temps. Il part en reportage (au profit de son Ecole de Journalisme), en Pologne. Mais..une certitude, comme d'habitude..il fera le maximum pr être présent sur le site.
Mille mercis pr votre belle amitié, jamais démentie.
Mille bisous et excellent long WE.
Votre amie Maryem
Mea culpa pr mes fautes...MERCI pr votre générosité.




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Patsy Lotta et Rubens, tous 3 au paradis des toutous
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Patsy et Carlotta
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Patsy et sa copine Carlotta qui vient de la rejoindre
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Heure de la sieste
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sortie du bain
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