Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de Argos a été vue  36 342  fois.
36 342 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
En hommage à
Argos
BERGER-ALLEMAND
Il est né le:15/11/1984
Il nous a quittés le:12/02/1998
 

aucune bougie


3 personnes aiment cette page
 

Connectez vous pour poster un message, une fleur ou allumer une bougie
Votre pseudo        Mot de passe       


En hommage à Argos

Argos
Voila 20 ans que tu est parti au paradis des toutous. Tu est entré dans notre vie toi qui n'avait a peine 3 mois, mes parents à l'époque sont allés te chercher en cachette en me disant qu'ils allaient faire une course quand ils sont revenus tu étais dans leur bras un tout petit bout j'avais 14 ans. Je voulais te rendre hommage pour te dire que depuis toutes ces années tu est la dans mon coeur pour toujours. Nous avons partagés de bons moments jusqu'à cet horrible jour ou il a fallut prendre cette décision qui fait tellement mal. Ce jour la tu devais être opéré d'une boule à la cuisse tu n'est jamais revenu..... Je me souviens ce jour la j'ai demandé alors l'opération comment va Argos un long moment de silence et dans un sanglot ma maman m'a dit "il n'y a plus d'Argos" je me suis effondrée de douleurs..... Aujourd'hui j'ai 49 ans et cela m'arrive de verser une larme.

Toi mon bel ami je ne t'oublierai jamais tu peux en être sur.

Ton amie pour toujours




0 bougie

631 Fleurs
Déposé par Moustique
Déposé par Moustique
Tendre pensée ❤ 12 fevrier 2023
Déposé par NOIXDECOCO
Déposé par NOIXDECOCO
Déposé par Chantalotte21
Déposé par Chantalotte21
J'ai mis dans ce bouquet mes plus tendres bisous et caresses pour enrober ton repos éternel de douceur. 🌺 🥀 🌼
Déposé par AMARY
Déposé par AMARY
🐦🦋🐦🦋🐦🦋🐦
Déposé par coucky
Déposé par coucky
Tendre pensée
Déposé par Cupidon
Déposé par Cupidon
Tendres pensées en ce triste jour anniversaire. Nous les reverrons tous de l'autre côté, j'en suis certaine...
Déposé par susi
Déposé par susi
Déposé par Evalain
Déposé par Evalain
Tendres pensées, doux museau
Déposé par mistral
Déposé par mistral
famille MISTRAL, RAMSES II, DOUGLAS et GOLDEN MILADY
Déposé par mistral
Déposé par mistral
famille MISTRAL, RAMSES II, DOUGLAS et GOLDEN MILADY
Déposé par Nat54
Déposé par Nat54
Déposé par Pachkounet
Déposé par Pachkounet
Inoubliable Argos... Tendres câlins, bel ange.
Déposé par kropa
Déposé par kropa
Tendres pensées en ce triste jour, bisous bel ange
Déposé par isabeldehb
Déposé par isabeldehb
Douces pensées petit ange pour l'anniversaire de ton départ vers le paradis
Déposé par Chantalotte21
Déposé par Chantalotte21
Avec toute ma tendresse, joli petit coeur. 💙🌼💙
Déposé par prixy
Déposé par prixy
Il est diffile d'accepter le départ de nos Anges. Pour toi en ce triste jour mille caresses...
Déposé par mistral
Déposé par mistral
famille MISTRAL, RAMSES II, DOUGLAS et GOLDEN MILADY
Déposé par Evalain
Déposé par Evalain
Tendres pensées, doux museau
Déposé par Annie
Déposé par Annie
Cette année cher Argos je n'ai pas zappé l'anniversaire de ton départ il y a 14 ans 💖💋💨😇
Déposé par susi
Déposé par susi


431 messages

Déposé par poutounou le 08/11/2015  
Le plus beau cadeau
*
Faire le plus beau cadeau à quelqu'un :
Ce n'est pas l'aider,
Ce n'est pas combler ses désirs,
Ce n'est pas lui apporter la sécurité,
Ce n'est pas l'Aimer. NON.
*
C'est lui donner sa liberté,
C'est l'accompagner QUELS QUE SOIENT ses choix,
C'est lui montrer sa propre lumière,
C'est croire en lui,
C’est toujours rester dans la vérité,
ET SURTOUT,
C'est être à son écoute et lui donner l'occasion de s'Aimer...

Déposé par poutounou le 04/11/2015  

Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ?
*
Gros cailloux
*
Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière".
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?".
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)".
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 31/10/2015  
Pour la Toussaint et la fête des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle à son amour comme nous le sommes à nos anges….
*
Une ombre qui passe…
*
Toute de noir vêtue et sa canne à la main,
Elle avance à pas lents dans la petite allée
En serrant sur son coeur cette fleur d'azalée
Qu'elle va déposer juste au bout du chemin.
*
Qui pourrait maintenant dire quel est son âge?
Elle vient chaque jour retrouver un moment
Celui dont le départ a causé son tourment.
La douleur a creusé les traits de son visage.
*
Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas,
dans le calme apaisant du petit cimetière,
Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière
Pour aller au plus tôt le rejoindre là-bas.
*
Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite :
C'est le jour de l'année où chacun se souvient
Qu'un être cher repose en la tombe qu'il vient
Couvrir de belles fleurs, comme pour une fête.
*
Présence inopportune où sombre sa douleur,
Elle ne peut ce soir, comme à son habitude,
partager un instant de tendre solitude
Avec celui qui fut sa source de bonheur.
*
Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe,
En essuyant un pleur du revers de la main.
Elle sera fidèle au rendez-vous demain,
Lorsque les visiteurs auront quitté la place.

Déposé par poutounou le 28/10/2015  
Lorsque je raconte autour de moi que je vais tous les jours sur le cimetière pour chiens, les réactions sont quelquefois bizarres… Beaucoup de « gens » ont du mal à accepter la différence…. Vive la tolérance !
*
Nous autres les rêveurs aux idées un peu folles
Sommes interpellés par les intolérances
Qui pullulent en nos mondes envers les différences
Dans la vie de chacun et elles nous affolent
*
Heureux est lors celui dont l’esprit batifole
Seraient ternes les jours sans quelques dissemblances
Et vivre sous le joug de lois sans tolérance
Venues de temps anciens ne peut point faire école
*
La vie en harmonie apporte maints plaisirs
La nature nous guide en des choix à loisir
Elle a fait des unions sous nombres de symbioses
*
L’homme pourtant doté de multiples cultures
Serait bien inspiré s’il suivait la nature
Et gagnerait en sus un statut grandiose

Déposé par poutounou le 23/10/2015  
Jolie petite histoire…
*
Les deux scarabées
*
Un scarabée montait la rue,
Un scarabée la descendait.
-Passez donc, monsieur, s’il vous plait,
Puisque vous descendez la rue.
-Après vous, monsieur, s’il vous plait,
La remonter est plus ardu.
Chacun tenant son chapeau gris
Dans une main gantée de gris
Voulait être le plus poli
Des scarabées nés dans la dune.
Ils s’étaient croisés à midi.
A minuit, madame la lune
Les vit encore se souriant,
Se parlant et se saluant,
Chacun tenant son chapeau gris
Dans une main gantée de gris.
*
Maurice Carême

Déposé par poutounou le 19/10/2015  
Un des plus beaux métiers du monde…
*
Le bâtisseur de ponts
*
Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux.
Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines.
*
Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire...
*
- Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir.
*
L'homme répondit :
- Je crois que je comprends la situation.
*
L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine.
*
Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant :
- Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi !
*
Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir.
*
- Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi.
*
Mais il répondit :
- Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire...

Déposé par poutounou le 15/10/2015  
Il dit vraiment n’importe quoi, le petit doigt !
*
Un petit doigt bavard
*
C’est mon p’tit doigt qui m’ l’a dit
Au jardin des deux chats gris
Une fourmi en bigoudis
Est sortie d’un trou de souris
Mon petit doigt affabule
Au jardin des campanules
Libellule et tarentule
Tricotent des mandibules
Mon petit doigt a raison
Au jardin des hérissons
Moi j’ai vu deux limaçons
Ficelés comme des saucissons
Qui enfilaient leurs caleçons
*
Chantal Abraham

Déposé par poutounou le 11/10/2015  
A vos aiguilles et pelotes…..Je vais demander à Monsieur l’écureuil de me tricoter un joli bonnet pour l’hiver qui ne va pas tarder….
*
L’écureuil
*
Dans le tronc d'un platane
Se cache une cabane.
Un petit écureuil
Est assis sur le seuil.
Il mange des cerises,
Tricote une chemise;
Recrache les noyaux,
Se tricote un maillot;
Attaque les noisettes,
Fait des gants, des chaussettes...
Qu'importe s'il fait froid !
Tant pis si vient l'hiver !
Une maille à l'endroit,
Une maille à l'envers :
L'écureuil, fort adroit,
Se fait des pull-overs.
*
Jean-Luc Moreau

Déposé par poutounou le 07/10/2015  
Prenons notre plus belle plume et écrivons tout ce qui nous passe par la tête….des mots doux à nos anges, par exemple.
*
J’écris
*
J'écris des mots bizarres
J'écris des longues histoires
J'écris juste pour rire
Des choses qui ne veulent rien dire.
Ecrire c'est jouer.
J'écris le soleil
J'écris les étoiles
J'invente des merveilles
Et des bateaux à voiles.
Ecrire c'est rêver.
J'écris pour toi. J'écris pour moi
J'écris pour ceux qui liront
Et pour ceux qui ne liront pas.
Ecrire c'est aimer.
J'écris pour ceux d'ici
Ou pour ceux qui sont loin
Pour les gens d'aujourd'hui
Et pour ceux de demain.
Ecrire c'est vivre.
*
Geneviève Rousseau

Déposé par poutounou le 03/10/2015  
Il y a tant de beaux mots dans la langue française…..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges…
*
Les mots qui font vivre
*
Il y a des mots qui font vivre
Et ce sont des mots innocents
Le mot chaleur et le mot confiance
Amour, justice et le mot liberté
Le mot enfant et le mot gentillesse
Et certains noms de fleurs et
Certains noms de fruits
Le mot courage et le mot découvrir
Et le mot frère et le mot camarade
Et certains noms de pays, de villages
Et certains noms de femmes et d'amis.
*
Paul Eluard ( 1895-1952)

Déposé par poutounou le 29/09/2015  
Et oui ! Avec tout l’amour qu’ils donnent, ils arrivent à faire des miracles, nos Amours à quatre pattes….
*
"Gigica est le plus petit chien de l’équipe Dogs For People de QUATRE PATTES. Elle a été sélectionnée pour travailler avec Cornel, un petit trisomique de cinq ans. Pendant leur première année ensemble, le garçon a fait des progrès incroyables. Il est à présent capable d’interagir, de s’amuser avec des jouets ou de se tenir debout. C’est là encore une histoire à succès du projet Dogs for People de QUATRE PATTES.
La première tâche de Gigica a été d’amener Cornel à ne plus avoir peur d’elle. Même s'il a fallu un certain temps avant que le petit garçon de cinq ans se rassure, il a peu à peu commencé à considérer la présence du chien comme tout à fait normale. Le caractère doux de Gigica et sa petite taille ont ici joué un rôle important. C’étaient d’ailleurs là les principaux critères qui avaient amené à la choisir pour cette tâche. Après l’acceptation, il y a eu le contact visuel, constituant une nouvelle percée : les yeux de Cornel suivaient les mouvements de Gigica, suivaient tout ce qu’elle faisait avec beaucoup de curiosité. Cette curiosité est bientôt devenue si forte qu’il a permis à Gigica de s’approcher pour pouvoir toucher son pelage. Pour le petit garçon qui présente également des symptômes autistes, cette expérience du contact proche et du toucher était quelque chose de tout à fait nouveau.
*
Au fur et à mesure que sa relation avec Gigica se développait, la période d’attention de l’enfant a augmenté, mais c’était loin d’être tout. La façon dont il se rapprochait tout près du chien, comme s’il voulait l’examiner au microscope, signalait clairement qu'il avait développé un réel intérêt pour un autre être vivant. Cornel a commencé à jouer avec des jouets – ce qu’il n’avait encore jamais fait. A présent, il se reconnaît lui-même dans la glace et s’y découvre. Il danse avec sa thérapeute Ema et Gigica aux sons de la musique de la radio. Ce sont des progrès inouïs pour un petit garçon qui ne parvenait pas à établir le contact avec les gens qui l’entouraient avant d’avoir rencontré Gigica. Elle est devenue l’année dernière un élément central de sa vie et de son bien-être. Son caractère exceptionnel, sa patience et son intelligence ont obtenu d'incroyables succès."

Déposé par poutounou le 25/09/2015  
C’est fini l’été… C’est le temps du « bel automne ». Sortons vite nos couvertures…
*
Le bel automne
*
À pas menus, menus,
Le bel automne est revenu
Dans le brouillard, sans qu’on s’en doute,
Il est venu par la grand’route
Habillé d’or et de carmin.
Et tout le long de son chemin,
Le vent bondit, les pommes roulent,
Il pleut des noix, les feuilles croulent.
Ne l’avez-vous pas reconnu ?
Le bel automne est revenu.
*
Raymond Richard

Déposé par poutounou le 21/09/2015  
Prière indienne
*
Si un jour tu as perdu ton équilibre, que tu es dans le doute, trouve une forêt, cherche un tapis d’herbe ou de mousse, allonge toi dessus, ferme les yeux, vide tes pensées, respire l’odeur de la terre, écoute la vie, adapte ta respiration aux battements de ton cœur, ressens les moindres recoins de ton corps et relâche un à un les muscles et les nerfs raidis par le temps.
*
Deviens oiseau au son du vent, deviens arbre parmi les arbres, deviens le vent qui bruisse dans le feuillage, deviens le cerf qui t’observe et que tu n’avais pas vu, deviens fleur, deviens ruisseau, écoute le chant des ancêtres…

Déposé par poutounou le 17/09/2015  
Chers papas et chères mamans de cœur : vous souvenez-vous de l’odeur de votre cartable ?
*
Mon cartable
*
Mon cartable a mille odeurs.
Mon cartable sent la pomme,
Le livre, l’encre, la gomme,
Et les crayons de couleurs.
Mon cartable sent l’orange,
Le buisson et le nougat.
Il sent tout ce que l’on mange
Et ce qu’on ne mange pas.
La figue et la mandarine,
Le papier d’argent ou d’or,
Et la coquille marine,
Les bateaux sortant du port. (…)
Les longs cheveux de ma mère
Et les joues de mon papa,
Les matins dans la lumière,
La rose et le chocolat.
*
Pierre Gamarra

Déposé par poutounou le 13/09/2015  

Jolie poésie qui ne manque pas de piquant….
*
Le hérisson
*
Bien que je sois très pacifique,
Ce que je pique et pique et pique
Se lamentait le hérisson.
*
Je n'ai pas un seul compagnon.
Je suis pareil à un buisson,
Un tout petit buisson d'épines
Qui marcherait sur des chaussons.
*
J'envie la taupe ma cousine,
Douce comme un gant de velours.
Émergeant soudain des labours
*
"Il faut toujours que tu te plaignes"
Me reproche la musaraigne.
*
"Certes, je sais me mettre en boule
Ainsi qu'une grosse châtaigne,
Mais c'est surtout lorsque je roule
Plein de piquants, sous un buisson,
Que je pique et pique et repique
Moi qui suis si pacifique"
Se lamentait le hérisson.
*
Maurice Carême

Déposé par poutounou le 09/09/2015  
Mes poèmes ! soyez des fleuves !
Allez en vous élargissant !
Désaltérez dans les épreuves
Les coeurs saignants, les âmes veuves,
Celui qui monte ou qui descend.
*
Que l'aigle plonge, loin des fanges,
Son bec de lumière en vos eaux !
Et dans vos murmures étranges
Mêlez l'hymne de tous les anges
Aux chansons de tous les oiseaux !
*
Victor Hugo.

Déposé par poutounou le 05/09/2015  
Joli petit poème…. pour toi, bel Ange, et ta famille de cœur…
*
Te rêver c’est l’espoir.
*
Je pense fort à toi
Quand j’ai du vague à l’âme
Et que ma joie s’en va,
Tout en moi te réclame
Je pense fort à toi.
*
Lorsque le gris du ciel
Déteint sur mes idées,
Pour recevoir l’arc-en-ciel
Vers toi vont mes pensées.
S’il pleure dans mon cœur
Et que je broie du noir,
Quand demain me fait peur
Te rêver c’est l’espoir.
*
Alors je t’imagine :
Te voilà devant moi.
D’un coup tout s’illumine…
Que j’ai de la chance
De penser fort à toi.

Déposé par poutounou le 01/09/2015  
Amour véritable
*
C'est vrai que l'amour nous transforme
c'est quelque chose d'impalpable
c'est la douceur d'un bonheur énorme
qui nous transcende de façon inexplicable
*
On se sent joyeux, on se sent léger
on a envie de rire, de danser, de chanter
on a envie de faire plaisir, de partager
on se sent capable de tout affronter
*
L'amour nous comble et nous rassasie
parfois on perd même l'envie de manger
nous avons des ailes, c'est la frénésie
nous serions presque capables de voler
*
On ne sait pas ce que c'est que l'amour
c'est quelque chose d'indéfinissable
c'est une recherche de toujours
un sentiment fécond et insaisissable
*
On sait juste qu'il est intarissable
que plus on donne et plus il abonde
c'est la chose la plus formidable
qui puisse nous arriver en ce monde
*
L’Amour Véritable, c’est ce que nous ressentons toutes et tous pour nos Anges, qu’ils soient près de nous sur terre ou dans ce merveilleux Paradis Blanc qu’est le leur après la vie ici bas…

Déposé par poutounou le 28/08/2015  
Sauvons-nous tous dans le fond de notre cœur avec notre ou nos anges…
*
L'absence
*
Poète : Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859)
*.
Quand je me sens mourir du poids de ma pensée,
Quand sur moi tout mon sort assemble sa rigueur,
D'un courage inutile affranchie et lassée,
Je me sauve avec toi dans le fond de mon cœur !
*
Tu grondes ma tristesse, et, triste de mes larmes,
De tes plus doux accents tu me redis les charmes :
J'espère ! ... car ta voix, plus forte que mon sort,
De mes chagrins profonds triomphe sans effort.
*
Je ne sais ; mais je crois qu'à tes regrets rendue,
Dans ces seuls entretiens tu m'as tout entendue.
Tu ne dis pas : « Ce soir ! » Tu ne dis pas : « Demain ! »
Non, mais tu dis : « Toujours ! » en pleurant sur ma main.

Déposé par poutounou le 23/08/2015  
Nous, les mamans et papas de cœur, avons tous, souvent, des gouttes de rosée au bord des cils…
*
Le temps calme l’esprit
*
L'heure de l'homélie au moment de l’adieu
Où tant de souvenirs sont noyés de nos larmes
Le temps interrompu s'absente et nous désarme
Viennent les derniers mots vers le départ aux cieux
*
Tristes sont les instants sur l'être que l'on aime
Qui ne peut plus répondre au sommeil infini
De lui plus de pardon, ni d'avenir uni
Aucun secours d’amour au tombeau qui se ferme
*
Longues sont les heures, dans les nuits sans espoir
Car chaque jour nouveau s’éveille par mégarde
Mais la douleur d'absence en devient moins bavarde
Et dessine un rayon au silence du soir
*
Les jours se dispersent, les derniers pas se meurent
Le sentiment du cœur garde en soi l’être aimé
Mais voici son étoile au firmament voilé
Dont le chemin s'égare aux rideaux de mes pleurs
*
Sur les rives du jour où vogue ma pensée
Le nuage s'estompe au gré de la mémoire
Se feuillette toujours, en écho, notre histoire
Laissant au bord des cils des gouttes de rosée
*
Le temps calme l’esprit, et les saisons reviennent
Mais sont gravés en nous, tous les maux du passé
Et ne peut se guérir un cœur aimant blessé
L'appel des souvenirs en provoque les peines.
*
Ecrit par Flamme




L'Album photo contient 5 photos
Highslide JS
tu vois Argos ton maître (mon papa)
20 après toi s occupe aussi d Olia on ne t oubliera jamais Argos
Highslide JS
Olia née le 12/01/2018
20 ans après toi Paul mon fils est parti chercher Olia berger allemand comme toi.
Highslide JS
Petite sieste sur une couette bien douillette
Highslide JS
Gourmand que tu étais, ton petit sucre!!
Highslide JS

cette photo datant des année 90. Nous ne t'oublierons jamais mon gros pépère
Retourner en haut