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En hommage à
Scooby
YORKSHIRE-TERRIER
Il est né le:15/01/2003
Il nous a quittés le:17/02/2015
 

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En hommage à Scooby

Mon petit amour, mon toutou adoré,

Ton amour pour ton maître t'aura coûté la vie... Pourtant nous faisions tellement attention à toi! il a suffit d'une seconde d'inattention pour que tu passes sous les roues de la voiture... C'st injuste ! pourquoi toi ? Tu étais en pleine forme et débordant d'affection pour nous et de joie de vivre ! J'espère que là-haut, ta petite copine Ninette (cimetière virtuel des chats) t'accueillera avec toute sa tendresse pour que tu te sentes moins seul, toi qui ne nous quittais jamais... Tendres caresses mon Doudou, nous ne t'oublierons jamais, tu es à jamais dans notre cœur.

-:-
Tu reçois tant de fleurs et de messages mon petit Scooby que je n'arrive pas à répondre à toutes ces gentilles personnes individuellement. Qu'elles me pardonnent ! Je les remercie du fond du cœur pour leur soutien.




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Mon petit cœur, je t'aime et ne t'oublie pas...
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496 messages

Déposé par ovanek le 06/03/2015  

**** Pour toi mon Fidèle ****
Je t'ai choisi comme compagnie
Et tu le seras pour toute ma vie
Je ne pourrais jamais te quitter
Surtout jamais t'oublier
Ces quelques lignes
Je te les désigne
Pour te prouver
Cette grande amitié
N'oublie surtout jamais
Qu'on sera ami pour l'éternité
Même devant la mort
Quoi qu'il arrive mon chien, je t'adore
Pensée


Déposé par colombine67 le 06/03/2015  
Quand l'Homme n'a plus d'amis, qu'il est renié par les uns, calomnié par les autres, délaissé par ses proches, détesté quelques fois par ses propres amis, dans ce dédale de faux sentiments et bien souvent de vie devenue quasi virtuelle, il reste à l'Homme un être plein de chaleur, plein de tendresse, de joie de vivre et d'amour pour lui : son chien. Le chien rarement ne délaisse de son gré son ami, son maître ou sa famille. Le chien non plus jamais ne reniera ou n'abandonnera - s'il reçoit le minimum d'amour - ceux qui l'ont un jour adopté. Il ira même jusqu'à donner sa vie, parfois, pour ceux-ci. Et cela, sans la moindre hésitation.
Sujets : Joliette
Le chien, jamais, ne parlera dans votre dos. Il fera même en sorte, par toutes ses manifestations joyeuses, que tout le monde sache que vous l'aimez. Même bafoué, il vous lèchera encore la main. Vous pouvez constater son amour pour vous, chaque jour, juste en regardant la joie dans ses iris joyeux lorsque vous rentrez à la maison, à sa queue qui fend l'air énergiquement quand vous l'amenez en promenade, à son excitation quand vous décidez de l'amener en voiture avec vous, pour aller faire les courses. Le chien ne veut pas partir courrir le monde, encore moins aller au bout du monde. Non. Car le MONDE pour lui, c'est VOUS. Et seule compte, à ses yeux, votre PRÉSENCE. Le chien n'a rien d'une tortue, d'un boa ou d'un poisson rouge. Or donc, le chien laissé à lui-même s'ennuie en votre absence, il pense à vous, il vous espère, il vous attend. Il sait que vous rentrerez, que vous finirez bien par arriver et il guette. Il guette le bruit des pneus de la voiture dans l'allée, il entend une feuille qui bouge ou le moindre bruit de vos pas sur le seuil ou dans l'escalier; il écoute - et encore plus - il espère la clé dans la porte, la voix familière. Bref : il attend LE signe qui annonce votre arrivée.
Le chien aime, pense, ressent, autant que les humains. Peut-être même plus que les humains. Mais il est encore assez sage, quand il est en détresse ou si vous tardez trop, pour ne pas vous faire le moindre reproche. Tout au plus se limitera-t-il à émettre un petit gémissement de plaisir, que de vous voir enfin revenir ! Car le chien ne peut pas cacher ses sentiments : il ne fait pas partie des humains... Et ce chien-là, laissé trop longtemps à lui-même, sans savoir ce qui vous arrive ni pourquoi vous ne revenez pas, pleure en silence. Il pleure dans une trop longue attente de vous-mêmes. Pourquoi ? Parce qu'IL VOUS AIME, et qu'il tient vraiment à vous. Et ces chiens, trop souvent abandonnés à eux-mêmes, me tirent les larmes aussi. Car le meilleur ami de l'Homme n'a certes pas été créé ni pour vivre seul ni pour devenir à vie, gardien de fond de cour...
À chaque Noël qui vient, je fais le même souhait : je prie que tous ceux qui n'ont PAS VRAIMENT LE TEMPS de caresser, de parler ou d'accorder le minimum de temps à leur véritable (peut-être seul sincère) compagnon ainsi qu'à ceux qui promettent d'acheter aux enfants qui insistent, sans savoir à quel engagement on se doit d'obéir quand on décide d'acquérir un chien, d'acheter plutôt des chats ou des toutous de peluche, ou encore de plâtre...
Car ceux-là ne souffriront pas, pendant des heures, tout esseulés qu'ils seraient, en vous attendant...
SolAnge Bouchard

Déposé par elise2512 le 05/03/2015  
"Les chiens ne nous abandonnent que pour mourir, mais ils nous laissent leur merveilleux souvenir pour éclairer le reste de notre chemin."
Anna et Laurent Racz-Caroff

Déposé par colombine67 le 05/03/2015  
*~*~*Salauds au coeur tendre par François Cavanna. *~*~*
Salauds au coeur tendre
Écoutez. Le tuer, j’ai pas le cœur.
Alors, je vous l’amène.
Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge,
c’est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C’est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j’irai le perdre dans les bois. Je l’attacherai à un arbre, pour ne pas qu’il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu’il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l’attacher et puis se sauver, pas l’entendre crier, c’est trop triste, on n’est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j’ai pas que ça à faire, on n’a pas encore fini les bagages.
Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d’autre ? Le bon ****** le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c’est qu’on a le cœur tendre, qu’on ne peut absolument pas supporter l’idée qu’une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque “ces gentils compagnons” se mettent à être malades et coûtent “les yeux de la tête” en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n’ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents.
Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s’empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d’argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l’idée), mais c’est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu’une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l’indifférence générale devant l’omniprésence de la misère animale. C’est le fait d’âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s’agit de gens à faibles ressources qui s’épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles.
Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d’aliments ont stimulé une frénésie d’achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La “rentabilité” exige qu’une femelle d’une race “vendeuse” ponde et ponde jusqu’à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n’est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c’est le chantage cynique de tout à l’heure : “Vous le prenez ou je vais le perdre”. C’est exactement le coup de l’otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : “Vous me la donnez la caisse ou je l’égorge.”
On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l’animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n’aime pas dire “amis des bêtes”), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d’un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d’inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s’occuper d’animaux alors qu’il y a tant de détresses humaines... Et quand l’apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l’euthanasie en masse par les services de l’hygiène publique, pas fâchés d’être débarrassés.
Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait “refuge” et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S.V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d’usage concernant les règles d’hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie “normale” était l’euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé.
Il faut que l’animal cesse d’être considéré comme un objet, un bien “meuble” qu’on achète, qu’on vend, qu’on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les “mauvais traitements”, d’ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d’un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d’un enfant. C’est le formidable et trop prévu nombre d’abandons liés aux départs en vacances qui m’a mordu au cul. Savez-vous qu’ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d’aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? “Avec la planche à voile sur le toit de la voiture” m’a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-m****s, volent haut dans l’air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados !
PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage.
S'il vous plaît, ayez du coeur !

Déposé par kiallan le 04/03/2015  
"Toi qui est là devant ma tombe, ne pleures pas....
Je n'y suis pas, je ne dors pas.
Je souffle dans le ciel tel un millier de vents,
Je suis l'éclat du diamant sur la neige,
Je suis la douce pluie d'automne,
Je suis les champs de blé.
Je suis le silence du matin,
Je suis dans la course gracieuse
Des magnifiques oiseaux qui volent,
Je suis l'éclat des étoiles dans la nuit.
Je suis dans chaque fleur qui s’épanouit,
Je suis dans une pièce tranquille.
Je suis dans chaque oiseau qui chante,
Je suis dans chaque belle chose.
Toi qui est là devant ma tombe, ne pleures pas car je n'y suis pas. Je vis encore, pour toujours et à jamais dans ton cœur...."

Déposé par colombine67 le 04/03/2015  
"Ce n'est qu'un chien de refuge..."
Par avance condamné...
"Ce n'est qu'un chien de refuge !"
Mérite-t-il d'être aimé?
Différent aux yeux des hommes
Des autres toutous "bien nés",
Voila comment on te nomme,
Pauvre chien abandonné...
Pourtant ton coeur est immense,
Comme immense est ta douceur.
Il te manque cette chance :
Gagner l'amour d'un grand coeur.
Parfois tu sembles lointain,
Tu évites les caresses,
Tu te terres dans un coin :
Crains-tu tant la main qui blesse ?
Car qui connaît ton histoire ?
T'a-t-on battu ? Rejeté ?
Tout au fond de ta mémoire,
Quels souvenirs ? Quels regrets ?
Sois confiant ! Un jour, la porte
S'ouvrira sur ton destin,
Afin qu'un maître t'emporte
Pour suivre un même chemin...
Qui dira "C'est d'un refuge
Qu'il est venu, mon bon chien !
C'était un chien de refuge...
Je l'aime, il me le rend bien !"

Déposé par maninette le 03/03/2015  
Juste un chien... De temps en temps les gens me disent « …. Voyons, c’est juste un chien » ou « tu en dépenses de l’argent « juste pour un chien »…. Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour « juste un chien ». Pourtant,
plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de « juste un chien ».
J’ai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, « juste un chien » et je ne me suis jamais senti moindrement seul. Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de « juste un chien » et, dans ces jours sombres, le doux contact de « juste un chien » m’a donné du réconfort et permis de traverser la journée. Si vous, aussi, pensez que c’est «
juste un chien » alors vous ne comprendrez probablement pas des phrases comme « juste un ami », « juste un lever de soleil » ou « juste une promesse ».
« Juste un chien » apporte dans la vie, la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée. « Juste un chien » fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. A cause de « juste un chien » je me lèverai de bonne heure, prendrai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas « juste un chien « mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment. « Juste un chien » fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée.
J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas « juste un chien » mais l’être qui m’a donné l’humanité et qui m’a préservé de n’être que … « juste un homme ou une femme. »
Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase « juste un chien »… souriez parce que c’est « juste qu’ils n’ont pas compris »
Pour ton papa et ta maman tu n'as jamais été "juste un chien" !!! Tu étais notre petit trésor...

Déposé par ovanek le 03/03/2015  

*** Ami ***
Ami, dis moi pourquoi Tu sembles avoir pour moi
Toujours tant d’amitié
Pourquoi dans ton regard je vois souvent briller
Amour et fidélité
Pourquoi quand je t’accueille un jour sous mon toit
Les grands et les petits éprouvent tant de joie
Pourquoi lorsque je suis dans ma vie parfois attristé
Semble tu toujours si prêt a me réconforté
Pourquoi lorsque le soir je rentre fatiguée
Viens tu si gentiment te coucher à mes pieds
Ah ! Laisse-moi te dire ici combien de toi
Je peux penser de bien mon unique ami
Toi mon roi.
**** Pensée ****


Déposé par bouffie le 03/03/2015  
A toi cher petit ange devenu
Disparu a la vue de ta maman mais toujours présent autour d'elle et dans son coeur
Radieuse petite âme qui emplit son cœur d'un amour infini.
Cher petit trésor, un jour viendra nous vous rejoindrons
Vos doux yeux seront au rendez vous pour nous accueillir
Au pays de l'amour inconditionnel et éternel.
tendres câlins petit cœur
pensées pour ta maman

Déposé par colombine67 le 03/03/2015  
L'homme... m'achète
L'homme... me reproduit
L'homme... me mutile
L'homme... me bat
L'homme... me force à me battre
L'homme... m'abandonne
et maintenant
L'homme... m'a détruit
pourtant je voulais seulement être AIME

Déposé par ovanek le 02/03/2015  

***** Mon Fidèle ****
Tu étais ma doublure, ma fourrure, ma déchirure
Maintenant que tu n’es plus que suis je devenue
De ma seule affection, tu étais mon soutien
Loin des humains, tu resteras et demeurera mon chien
Ma seule vérité pour aller vers demain
Un peu idéalisé comme un pouvoir divin
Tu étais pour moi aussi un magicien
Têtu comme une mule
Par ton instinct tu me bouscule
Tu me hantes encore par ta disparition
J’en ai encore des frissons
Je te revois partout sans aucune solution
Ni trouver un chemin pour aller vers l’horizon
Tu étais ma protection, ma musique
Sur des pas de rythmiques
Mon unique sincérité
Dans un monde fou et démesuré
Jusqu’au bout je porterai ta maladie
Dans mes bras tu es parti vers un autre pays
Celui du Paradis
Dans un souffle de sérénité mon cerveau s’en est gravé
Maintenant au milieu des personnes je détonne
Vers ton chagrin, je me consomme
Lorsque j’entends un chien, moi je me meurs
Et rêve encore de Toi …. Pensée

Quand un être que l'on aime nous quitte
C'est une page de notre livre qui se tourne malgré nous...
Tu es parti me laissant tel une orpheline de l'amour
En manque de toi et de ton regard que j'aimais tant...
J'apprends à vivre sans toi
Mais peut-être devrais-je dire: "J'apprends à survivre sans toi ..."
**** Pensée ****


Déposé par colombine67 le 02/03/2015  
DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIR….
Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classé deuxième catégorie.
Je suis un Rottweiler, et pour moi il n’y a pas de pitié, je dois payer de ma vie.
A l’aube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande qu’à jouer,
Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui m’a jugé.
Je n’ai pas connu mes parents ; tout petit j’étais chez un marchand qui m’a vendu
Comme mes sœurs et frères, dans les sous-sols d’une cité, que je n’ai jamais vue.
Dans un appartement je fus alors gardé, au milieu des enfants venant me taquiner,
S’amusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser.
Quelques mois sont passés, dans cette famille j’ai vécu des jours de grand bonheur,
Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures.
C’est au parc qu’on m’emmenait, je pouvais gambader et même aller jusqu’à l’étang,
J’étais heureux, j’en profitais pour me baigner, et revenais me secouer prés des enfants.
Je croisais quelques congénères, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien.
Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien,
Car j’entendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans,
Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obéir était nécessaire et prudent.
Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient d’un air bizarre, ou même interrogateur.
Ils me donnaient l’impression de se méfier de moi, cherchant à m’éviter, ils avaient peur.
J’avais remarqué, les mamans serraient de beaucoup plus prés, protégeant leurs enfants.
Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pétillaient en me voyant.
Et ce soir fatidique, du début de juillet, en rentrant au quartier, j’ai vu surgir trois ombres,
Et j’entendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva d’autres, je ne sais plus le nombre,
Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « s’il nous mord on le plombe »
Ils étaient là pour moi, en mission très spéciale, commençant ici pour finir… dans ma tombe.
Mon jeune maître du s’expliquer, je fus mis en laisse et muselé, puis enfermé dans une cage,
Pendant que ces messieurs de la police, constataient que j’étais illégal, ni papiers ni tatouage.
Alors à la fourrière on m’emmena, ou sans ménagement on me jeta dans un bien triste chenil,
Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvés aux environs ou au centre ville.
A partir de cet instant, j’étais condamné, victime innocente d’une loi aussi bête qu’injuste,
Un peu du même genre que celle que l’on voudrait prendre en ce moment pour les « putes ».
Il est vrai, j’étais « sans papiers », mais je n’en veux pas à ma famille, ils n’en ont jamais eu,
Vivant dans un ghetto depuis dix ans, j’étais le cadeau des enfants qu’ils ne reverront plus.
Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, même des drames,
Souvent rendus méchants par des Maîtres infâmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames.
Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je n’ai jamais mordu ni grogné, et je dois partir,
Laissant tous seuls ces enfants qui m’adorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir.
La société humaine ainsi a décidé, qu’être un Rottweiler en famille immigrée, sans papiers,
Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procès, ni pitié.
Soyez bien surs que s’ils osaient, ils ne se contenteraient pas d’euthanasier seulement le chien,
Mais pour l’instant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et c’est ce qui les retient.

Déposé par jeanne le 01/03/2015  

LE PARADIS DES CHIENS
Savais-tu qu'il y a un paradis pour les chiens?
Oui, dans une autre dimension, dans le monde astral,
Il y a un nid rempli d'amour et douillet pour nous.
Il y a des balles à profusion, des os à enterrer,
Des montagnes de boulettes de viande,
Il n'y a pas de laisse,
Je suis bien où je suis.
Je suis bien entouré.
Toutes les caresses, toutes les tendres attentions
Que tu m'as offertes, je les ai apportées avec moi.
La plus importante des choses que tu dois savoir,
C'est qu'il y a une ouverture dans les nuages
D'où je peux te voir. C'est comme si tu étais avec moi.
D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée.
Il m'est impossible de t'oublier, ton image et ta
Gentillesse sont gravées dans mon coeur de pitou.
Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux
Lèvres et un jappement dans les oreilles,
C'est que je t'aurai rendu une petite visite
Dans tes songes.
Merci pour ton amour.
Je t'aimerai éternellement!

Déposé par colombine67 le 01/03/2015  
"Ses yeux ont rencontrés les miens lorsqu' elle a descendu le couloir regardant fixement et avec appréhension dans les niches. J'ai senti son besoin immédiatement et savais que je devais l'aider.
J'ai remué ma queue, non trop avec exubérance, ainsi elle n'a pas eu peur. Comme elle s'est arrêtée à ma niche, j'ai bloqué sa vue d'un petit accident que j'avais derrière moi dans ma cage.
Je n'ai pas voulu qu'elle ait su que je n'avais pas été marché aujourd'hui.
Parfois les gardiens de refuges surmenés sont trop occupés, et je n'ai pas voulu qu'elle ait pensé du mal d'eux.
Comme elle a lu ma carte de niche j'ai espéré qu'elle ne serait pas triste de mon passé. J'ai seulement l'avenir pour me réjouir et chercher à fabriquer une vie différente avec quelqu'un.
Elle est descendue sur ses genoux et m'a fait un peu de baisers. J'ai posé mon épaule et le côté de ma tête contre les barreaux pour la réconforter. Une main douce a caressé mon cou ; elle était désespérée elle avait grand besoin de compagnie. Une larme est tombée de sa joue et j'ai levé ma patte pour l'assurer que tout irait bien.
Bientôt ma porte de niche s'est ouverte et son sourire était si brillant que j'ai immédiatement sauté dans ses bras.
Je promettais de garder son coffre-fort. Je promettais de toujours être à ses côtés. Je promettais de faire tout ce que je pourrais pour ne voir que le sourire radieux et miroiter dans ses yeux.
J'étais si chanceux qu'elle soit descendue dans mon couloir. Tellement plus là-bas qui n'ont pas marché dans les couloirs. Tellement plus aurait pu être sauvé. Au moins je pourrais sauver celle-ci."

Déposé par ovanek le 28/02/2015  


**** Mon Chien ****
Complice de tous mes instants
Boule de polis au regard si parlant
Gardien silencieux de mes peines
Témoin affectueux de mes joies humaines
Mon chien, que d’aucuns nomment clébard
N’est certes pas dépourvu de certaines tares
Et si nos malheureux chaussons en firent les frais parfois
Ta loyale compagnie vaut bien ces quelques débordements de joies
Mon chien, ami du 1er moment
A la fois si discret et si imposant
Tu donnes un amour inconditionnel
A tes maîtres souvent indignes d’un honneur pareil
Mon chien, fidèle à la main qui te gourmande et te flatte
Tu es sans nul doute le plus aimant de mes amis à 4 pattes
Et quand ta truffe me presse doucement d’une caresse
Je te dois alors d’y mettre la plus grande des tendresses
**** Pensée ****
*****


Déposé par ovanek le 27/02/2015  


Mon chien
Sans toi je ne suis que chagrin
Mon meilleur ami
Que j’aimais à la folie
Tu seras toujours dans mon cœur
Car tu as fais tout mon bonheur
Malgré ton envol sur ta nouvelle étoile
Pour moi tu resteras mon trésor
Tu m’as envoûté
Depuis que tu es parti tout est déchiré
La page est trop dure, trop lourde et je ne peux la tourner
Tu étais tellement beau
Que pour rien au monde je ne pourrais t’oublier
Tu ne méritais pas de monter là haut
Pensée


Déposé par maninette le 26/02/2015  
Mon petit Scooby,
Juste un moment avec toi ,
Juste un instant pouvoir te serrer,
Ca n'arrivera pas,
Mais je rêve tellement de ça
Juste un instant de tendresse
Avec toi comme avent,
Juste te faire un gros câlin,
Juste un moment partagé
Et quelques mots murmurés à ta petite oreille ,
Juste te faire un bisou,
Pour ça, je donnerais tout
Juste que tu reviennes,
Et que s'envolent mes peines ,
Juste parce que j'ai besoin de toi,
Internet

Déposé par ovanek le 26/02/2015  

**** Pour Toi ****
Des milliers de pensées remplis de tendresse
pour un compagnon exceptionnel
qui ma fait vivre une aventure inoubliable
merci à toi mon chien
pour ces instants de tous les jours
qui resterons gravés pour l’éternité
pour mon compagnon de route …..
Mes Pensées …. Phil
❤❤
Je t'aime mon chien
Tu m'as donné tant de bonheur
Sans rien vouloir en retour
Mais voila qu'est venue l'heure
Où tu me quitte un jour
Tu m'as offert les plus beaux moments de ma vie
Et maintenant te voila parti pour le paradis
Dans mon cœur, tous nos bons souvenirs resteront
Ne l'oublie jamais, je t'aime mon chien
Pensée ….Phil


Déposé par maninette le 25/02/2015  
A mon chien,
Dans tes yeux si brillants et si bons, je vois tout l’amour du monde.
Tu ne parles pas, mais ton regard en dit long.
S’y reflète toute l’attention, pas plus de deux pas devant moi,
Tu te retournes voir si je suis là.
Tu m’attends sagement, comprenant « on y va »
Tu ne sais pas où nous conduisent nos pas,
Mais sure de ton flair, je ne me perdrai pas.
Et quand j’ai le cœur en petits morceaux
A la perte d’un petit chaton,
Qui me console de son museau, toi mon gros « Pataud »
@Béa
Ce poème s'applique si bien à toi mon petit Scooby d'amour, toi qui m'a consolé de la perte de ma Ninette que j'adorais. Je t'aime mon petit trésor et te garderai à jamais dans mon cœur comme mes regrettées petites chattes.

Déposé par ovanek le 25/02/2015  

**** Ne soit pas Triste ****
Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi.
Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a été prêtée,
Le temps d'une vie terrestre.
Elle m'a permis de te connaître et de t'aimer à ma façon.
Mon vrai moi, l'Âme que je suis,
Vient de traverser une nouvelle étape vers l'accomplissement de soi.
Ne sois pas triste, sois heureux (se) pour moi.
Là où je suis, la lumière et l'Amour m'enivrent puisque,
En plus de nager dans un Océan d'Amour limpide,
J'ai emporté avec moi celui que tu m'as
Si gentiment et inconditionnellement offert !
J'aimais la Vie, tu le sais bien.
La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme !
Ce que j'avais à apprendre ou à faire
Dans cette vie-ci est accompli.
Je n'emporte que de bons souvenirs car,
Un événement triste ou encore un obstacle,
Dans mon ancien monde,
Est un privilège, c'est une occasion de grandir
Qui est offerte, une occasion d'évoluer
Un peu plus à chaque fois.
S'il y a quelque chose que tu aurais aimé me dire,
Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant "conscience"
Je peux, par le fait même, percevoir tes pensées
Et tes vibrations les plus pures.
Ce soir ou même ici, installe-toi dans un coin calme, Entre en toi,
Ouvre ton cœur et perçois mon image
Au centre d'un radieux soleil.
Sens son incommensurable chaleur qui t'apaise et t'irradie.
C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici,
Tout l'Amour à l'état cristallin
Qu'il t'est humainement possible de recevoir !
N'oublie pas que c'est ici, en toi,
Que tu pourras toujours reprendre contact.
Même si, parfois, tu ne me percevais pas,
Sois certain(e) que j'y serai tout de même !!
Ta vie continue, La mienne aussi…
Rendez-vous dans une autre dimension,
Au moment opportun. Je t'y accueillerai
Pensée





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nos petits gardiens
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Arrivée de Ninette (9ans) dans sa nouvelle maison
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Sur le tapis de la salle de bain
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J'ai rejoint Ninette au fond u jardin
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Surtout ne m'oubliez pas !
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Faut-il déjà se lever ?
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