T’aimer mon Ange, t’aimer à faire trembler la mort !!!
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AIMER
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Aimer la vie jusqu’à supplier la mort
Aimer à vie, aimer à tort
Aimer pour ne rien recevoir
Aimer jusqu’au dernier regard
Un souffle qui passe
Un nuage qui s’efface
Aimer à n’y rien comprendre
Aimer quand il n’y a plus à prendre
Qu’un vide incolore
Au fond d’un puits qui dort
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Aimer le mur qui boit l’horizon
À l’ombre d’une main verrouillé
Aimer avec, aimer selon
Aimer le chemin perdu dans la vallée
Celui qui ne mène nulle part
Aimer jusqu’au point de départ
Aimer toujours, aimer encore
À faire trembler la mort
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Aimer si fort
Que le vent se fige
Pour glisser dans un vertige
Aimer seul ou bien à deux
À deux, mais pas plus seul qu’avant
Quand les mots de tes yeux
Ricochent sur les parois du temps
T’aimer jusqu’à ne plus aimer
Que de t’aimer
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(Auteur inconnu)

Je souhaite de Joyeuses Fêtes de Noël à tous les gentils membres du cimetière virtuel. Que vos Anges tant aimés vous rendent visite dans vos rêves pour égayer votre vie et chasser le chagrin causé par leur départ…Poutounoux tout doux à vous tous !
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Les douze lutins
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Ils sont douze lutins
Dans ce joli village
De songe et de cristal
Derrière les montagnes
Trois qui frappent l'enclume
Et remplissent d'étoiles
La forge du grand gel
Trois qui font à l'enseigne
Du Rire de l'Hiver
De frais gâteaux de neige.
Trois qui tirent l'alêne
En secret dans la basse
Échoppe du sommeil
Trois autres qui allument
Leurs petites lanternes
Et n'attendent qu'un signe
Pour s'en aller sonner
Les cloches de Noël
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Paul-Alexis Robic

Avoir ta patte dans ma main, l’instant seulement d’une pause....
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L'INSTANT D'UNE PAUSE
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L’instant d'une pause
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
De se lever le matin
Sans plus en chercher la cause
De savoir que le chemin
Parfois peut-être morose
Et dans un sourire malin
Être prêt pour une pause
Il y a des jours où tout est gris
Et où l'on ne voudrait rien voir
Et puis, il y a notre coeur aussi
Qui nous conduit jusqu'au soir
Il y a cette solitude intense
Qui existe et qui est là
C'est dans ces moments, je pense,
Que je peux rêver de toi
À chercher, à tout comprendre
Je me demande si je verrais
Un jour les fleurs en décembre
Et la neige en été
Sur le site de mon coeur
Il y a tant de va-et-vient
Et j'en ressens la douleur
De la nuit jusqu'au matin
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
D'avoir ta patte dans ma main
L'instant seulement d'une pause.

Que c’est bien dit : « elle crie dans le silence ». J’en ai « crié » des larmes quand tu es parti mon Ange…
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UNE LARME
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Soudain elle surgit venue des profondeurs,
sa valeur est inestimable tant elle est vraie.
Plus riche qu'un trésor, elle perle au gré du moment,
scintillante de vérité et pourtant si indéchiffrable
qu'aucun n'eut pensé de la comprendre.
Merveille qu'elle est, elle s'écoule vivement
pour laisser fuir l'autre qui la suit.
Rempli de joie ou de mélancolie,
seul l'être qui la laisse filer peut la comprendre
car elle crie dans le silence.
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Où il y a une larme,
il y a un coeur.

Il est encore très loin le Printemps !!!
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L'automne
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Quand s'annonce l'automne
La marmotte marmonne,
Rentre dans sa maison
Et dit : "C'est la saison
Où mon lit a du bon ;
Dormons."
Et elle attend le temps du soleil…
Le printemps
En dormant…
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Georges Jean

Et oui, bientôt l'hiver !!! Sortez gants et bonnet !!!
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Les feuilles mortes
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Tombent, tombent les feuilles rousses,
J'entends la pluie sur la mousse.
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Tombent, tombent les feuilles molles,
J'entends le vent qui s'envole.
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Tombent, tombent les feuilles d'or,
J'entends l'été qui s'endort.
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Tombent, tombent les feuilles mortes,
J'entends l'hiver à ma porte.
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Pernette Chaponnière ("L'écharpe d'iris" - Ed Hachette)

Le bel automne
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À pas menus, menus,
Le bel automne est revenu
Dans le brouillard, sans qu’on s’en doute,
Il est venu par la grand’route
Habillé d’or et de carmin.
Et tout le long de son chemin,
Le vent bondit, les pommes roulent,
Il pleut des noix, les feuilles croulent.
Ne l’avez-vous pas reconnu ?
Le bel automne est revenu.
*
Raymond Richard

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......................MA CYBELLE....................
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.............A MON ÉTERNELLE AMOUR DE CHIEN............
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On te dit de ne pas pleurer..................
On te dit que ce n'est qu'un chien,pas une personne.................
On te dit que la douleur passera.............
On te dit que les animaux ne savent pas qu'ils doivent mourir................
On te dit que l'important est de ne pas le faire souffrir.................
On te dit que tu peux en avoir un autre..............
On te dit que tu savais qu'il allait partir avant toi................
On te dit qu'il y a des douleurs plus insupportables..............
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Mais ils ne savent pas combien de fois tu as regardé ton chien dans les yeux............
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Ils ne savent pas combien de fois toi et ton chien vois étiez seuls à regarder les ténèbres.............
Ils ne savent pas combien de fois votre chien a été le seul à être à vos côtés..........
Ils ne savent pas que le seul qui ne t'a jamais jugé c'est ton chien...............
Ils ne savent pas combien de fois ton chien a dormi près de toi...............
Ils ne savent pas combien tu as changé depuis que ton chien est devenu une partie de ta vie.............
Ils ne savent pas combien de fois tu l'as embrassé quand il était malade.............
Ils ne savent pas a quel point il te remontait le moral dans les moments difficiles.............
Ils ne savent pas combien de fois vous avez parlé à votre chien le seul qui écoute vraiment................
Ils ne savent pas à quel point tu étais beau pour ton chien.........
Ils ne savent pas que c'était juste ton chien qui savait que tu souffrais............
Ils ne savent pas ce que ça fait de voir ton vieux chien s'efforcer d'aller te dire bonjour...........
Ils ne savent pas que quand les choses allaient mal,le seul qui n'est pas parti c'était ton chien...........
Ils ne savent pas que ton chien à confiance en toi à chaque instant de sa vie,même dans le dernier..........
Ils ne savent pas à quel point ton chien t'a aimé parce qu'il pour être heureux il ne lui suffisais que toi..................
Ils ne savent pas que pleurer pour un chien est l'une des choses les plus nobles,significatives,vraies,propres et sincères que vous pouvez faire...........
Ils ne savent pas que lui ne te jugeait jamais peut importe ton comportement ou ton apparence................
Ils ne savent pas à propos de la dernière fois que tu l'as déplacé avec difficulté que tu as fais attention à ne pas le blesser...........
Ils ne savent pas ce que tu as ressenti en caressant son visage dans les derniers moments de sa vie...............
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Parce que même s'il n'a été qu'une petite partie de notre vie,pour lui nous étions toute sa vie ❤🙏.............
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...........................LE 20 NOVEMBRE 2019..................
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LE SILENCE DES MOTS
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Si seulement il existait des mots
qui sauraient te raconter,
je trouverais les plus beaux
ceux qui ne peuvent rien briser.
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Je les placerais devant toi
sur une tendre mélodie
et ils t'exprimeraient ce que moi
je n'ai encore jamais dit.
*
De ta tendresse et de ta douceur
ils sont le lien qui nous unit
car j'y ai trouvé dans ton coeur
un amour infini.
*
Pourquoi donc cette solitude
d'un coeur qui a tant souffert,
vient blesser les habitudes
comme si elles ne savaient que faire.
*
Ce matin je pense à toi
et les mots dansent devant mes yeux,
j'aimerais être contre toi
plus un seul mot, rien que nous deux.
*
Dans le silence de chaque mot
il y a tant de paroles et d'amour
que tout ce que mon coeur trouve beau,
grandit à chaque jour.
*
(Auteur inconnu)

Jolie petite poésie
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Donnez-moi des oiseaux, dit l’arbre,
donnez-moi une foule d’oiseaux :
des moineaux, des hirondelles,
des étourneaux, des tourterelles,
des merles, des mésanges
et un coucou,
un seul,
comme un bijou,
contre mon coeur.
Couvrez-moi d’oiseaux,
de toutes les couleurs
afin que ce manteau de plume
me tienne chaud pendant l’hiver
quand mes feuilles, une à une,
mortes, au vent cruel
s’en sont allées.
*
Jean Joubert

En ce jour de Toussaint, je vous souhaite à tous de merveilleux souvenirs de ceux qui ne sont plus...
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Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et tu es là, auprès de moi… !!!
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QU'UN VOILE
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Il n'y a qu'un voile,
qu'un voile qui nous sépare.
Il y a un souffle qui nous unit, celui des âmes,
si doux, si fin, si persistant,
"Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix.
"Il n'y a que ce voile qui nous sépare
et tu me sens parfois".
Une odeur, un geste, une musique, un endroit,
et je suis là, auprès de toi ;
tu m'entends rire, discourir de ce qui était.
Désormais c'est un trésor au fond de toi.
Il n'y a qu'un voile si fin pourtant si infranchissable,
impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà.
Nul ne doit savoir,
on n'en revient pas,
c'est l'éblouissant interdit.
Mais, pour les cœurs, la frontière n'existe pas,
l'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel.
L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment.

Une maille à l’endroit, une maille à l’envers ! L’hiver approche à grands pas ! Sortons nos pelotes de laine… !!!
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L’écureuil
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Dans le tronc d'un platane
Se cache une cabane.
Un petit écureuil
Est assis sur le seuil.
Il mange des cerises,
Tricote une chemise;
Recrache les noyaux,
Se tricote un maillot;
Attaque les noisettes,
Fait des gants, des chaussettes...
Qu'importe s'il fait froid !
Tant pis si vient l'hiver !
Une maille à l'endroit,
Une maille à l'envers :
L'écureuil, fort adroit,
Se fait des pull-overs.
*
Jean-Luc Moreau

Je brille sur tous les yeux en pleurs qu’aucun sommeil n’atteint.
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Une voix du ciel
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Je suis l'astre des nuits. Je brille, pâle et blanche,
Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche,
Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux
Quand mes voiles d'argent s'étendent sur leurs eaux.
Mes rayons vont chercher les fleurs que je préfère,
Et font monter au ciel les parfums de la terre ;
Je donne la rosée au rameau desséché,
Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penché.
Sitôt que je parais, tout se tait et repose,
L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose :
Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ;
Devant mon doux regard nul n'élève sa voix,
De la terre ou du ciel aucun son ne s'élance,
J'arrive avec la nuit, et je règne en silence !
Je cache mes rayons quand le cri des hiboux
Vient troubler mon repos et mon calme si doux.
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Je suis l'astre des nuits ; je brille, pâle et blanche,
Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche,
Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint,
Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint.

Une lettre du pont arc-en-ciel :
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SALUT MAMAN PAPA..........
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Maintenant que j'ai traversé le pont arc-en-ciel pendant quelques semaines, ils ont dit que je devrais écrire une lettre à la maison...............
Désolé, MAMAN mais je suis tellement occupé à traverser le pont que je n'ai pas beaucoup pensé à la maison..............
Ils ont dit que c'était bon et que tu comprendrais. J ' espère que vous le faites. (Je pense que vous le serez. ).............
Tu te souviens de cette nuit où je ne me sentais pas très bien et que nous étions tous en train de pleurer ?
Je ne me souviens pas beaucoup, mais je me souviens de voir et de vous entendre tous et de sentir vos touches et vos câlins...........
Je me souviens avoir entendu dire" on t'aime " et ce dernier commandement de " passer par ".
Je ne savais pas quoi tu voulais dire, alors je me suis retourné et j'ai traversé le brouillard qui était devant moi...............
J 'ai vu le plus grand pont que j'ai jamais vu !
Et tant d'amis de l'autre côté !
Ils étaient tous en train de jouer avec des jouets et des boules !
Tu avais raison de me dire d'y aller !
Mes pieds ont continué à avancer, mais mon cœur n'a pas arrêté de me ramener...............
Vos touches sont devenues plus légères et plus légères et j'ai voulu revenir et vous pousser les mains pour plus d'amour, mais j'ai été surmonté par ce sentiment de curiosité pour l'endroit heureux au-dessus du pont !
Mes pieds ont commencé à bouger tout seuls, comme une douce brise les faisait avancer pour moi !
Je ne peux pas l'expliquer, mais je n'avais aucun doute que c'était la bonne chose à faire !
Donc, j'ai traversé ce grand et énorme pont par moi-même ! Je t'ai cherché, parce que tu es toujours à mes côtés, marcher avec moi, mais c'était différent. Je n'avais pas de collier autour de mon cou ou une laisse me connectant à toi ~ J ' étais ' libre ' !
Même si tu n'étais pas là avec moi, je ne me suis jamais senti seul ! J ' ai eu l'impression d'avoir une énorme cape d'amour enroulée autour de mon corps et plus j'ai marché, plus c'était facile de respirer !
Alors, j'ai continué à marcher ! Et je me serais senti plus chaud dans le gros câlin, donc j'ai continué à marcher !
Je l'ai finalement fait au-dessus du grand pont je l'ai fait par moi-même, MAMAN.............
Quand je suis arrivé ici, tous mes nouveaux amis m'ont accueilli et m'ont aidé à marcher du pont .........
C ' était trop cool ! Ils m'ont donné une paire d'ailes et ont dit que j'étais maintenant un ange gardien !
Ce que j'ai appris au cours de ces dernières semaines a été incroyable et rien de ce que j'ai vu avant !
Nous sommes tous les mêmes ici nous avons tous des ailes et nous avons tous des gens pour toujours à surveiller c'est toi, MAMAN!
Tu es ma personne pour toujours et je suis ton chien pour toujours !
Nous avons eu une si belle vie ensemble et vous me manquez beaucoup, mais sachez que je suis si heureux dans ma nouvelle maison à travers le pont !
Je t'enverrai un autre Ange de la Terre pour que tu ne sois pas seul.
Donne-leur tout ton cœur, comme tu me l'as donné. Je vais vérifier à chaque fois pour m'assurer qu'ils trésor ton amour Je l'ai toujours fait !
Quand tu me manques, pense à un arc-en-ciel et sache que je suis de l'autre côté, en attendant de marcher avec toi à nouveau. Je serai toujours dans ton cœur..............
JE T'AIME MAMAN! Il est temps pour moi d'aller jouer avec mes nouveau copain.............
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......................LE 18 OCTOBRE 2019.......................
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Coulez, ô larmes éternelles, car ici-bas je reste seul…
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L'ange envolé.
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Poète : François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898)
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Mon ange a reployé ses ailes
Et dort glacé sous un linceul ;
Coulez, ô larmes éternelles,
Car ici-bas je reste seul.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.
*
Cette douce sœur de mon âme,
Pour charmer mon cœur attristé,
Me parlait encore de sa flamme
Sur le seuil de l'éternité.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.
*
Si jusqu'à toi, de cette terre
S'élève mon chant désolé,
Sois attentive à ma prière
En ton beau royaume étoilé.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.

Jamais nous ne vous oublierons, doux Anges que vous êtes….
*
Oubli
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Allez, vieilles amours, chimères,
Caresses qui m'avez meurtri,
Tourments heureux, douceurs amères,
Abandonnez ce coeur flétri !
*
Sous l'azur sombre, à tire-d'ailes,
Dans l'espoir d'un gîte meilleur,
Fuyez, plaintives hirondelles,
Le nid désormais sans chaleur !
*
Tout s'éteint, grâce aux jours moroses,
Dans un tiède et terne unisson.
Où sont les épines des roses ?
Où sont les roses du buisson ?
*
Après l'angoisse et la folie,
Comme la nuit après le soir,
L'oubli m'est venu. Car j'oublie !
Et c'est mon dernier désespoir.
*
Et mon âme aux vagues pensées
N'a pas même su retenir
De toutes ses douleurs passées
La douleur de s'en souvenir.
*
Catulle MENDÈS (1841-1909)

❤
💖 💖
💖 ❤ 💖
💖 💖 4 💖 💖
** à Nouveau **
Mon chien que j'aimais bien
Est parti pour un beau et long voyage
Il est parti dans des contrées
D'où l'on ne revient jamais
Nous l'aimions bien notre chien
Et c'est avec une certaine peine
Que je peux m'exprimer
Nous étions lui et moi plus que des amis
Nous avions une certaine intimité
On se regardait et l'on se comprenait
Sans besoin de parler
Comme seul peuvent le faire ceux qui s'aiment...
Et nous nous savions Nous aimer..
Ami ! Un jour
A nouveau nous serons réunis
**** Pensée ****
💖 ❤ 💖

Vous êtes mort un matin, un après-midi ou un soir, magnifiques Anges !!! « Et la plus morte mort est d’avoir survécu » !!!
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Vous êtes mort un soir
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Vous êtes mort un soir à l'heure où le jour cesse.
Ce fut soudain. La douce et terrible paresse
En vous envahissant ne vous a pas vaincu.
Rien ne vous a prédit la torpeur et la tombe.
Vous eûtes le sommeil. Moi, je peine et je tombe,
Et la plus morte mort est d'avoir survécu.
*
Anna de NOAILLES (1876-1933)

Les sanglots longs
Des violons
De l’automne
Blessent mon coeur
D’une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l’heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
Paul Verlaine

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................A MA CYBELLE D'AMOUR ..................
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Toi c’est un mot
Toi c’est une voix
Toi c’est tes yeux et c’est ma joie
Toi c’est si beau
Toi c’est pour moi
Toi c’est bien là et je n’y crois
Toi c’est soleil
Toi c’est printemps
Toi c’est merveille de chaque instant
Toi c’est présent
Toi c’est bonheur
Toi c’est arc-en-ciel dans mon coeur
Toi c’est distant…
Toi c’est changeant…
Toi c’est rêvant et esquivant…
Toi c’est pensant…
Toi c’est taisant…
Toi c’est tristesse qui me prend…
Toi c’est fini.
Fini ? Pourquoi ?
Toi c’est le vide dans mes bras…
Toi c’est mon soleil qui s’en va…
Et moi, je reste, pleurant tout bas.
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.................A MON ÉTERNELLE AMOUR DE CYBELLE..................
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............................LE 25 SEPTEMBRE 2019........................
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