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En hommage à
SHIH-TZUfiona
Il est né le:21/06/2006
Il nous a quittés le:22/06/2017
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En hommage à
fiona
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139 Fleurs
Déposé par choupinou tendres pensĂ©es petit ange d'amour đŸđ€cĂąlinoux âšđđȘ douces caresses FIONA en ces lendemains de ton jour anniversaire petit ange de lumiĂšre et d'amour Déposé par Cupidon Tendres pensĂ©es en ce triste jour anniversaire. Nous les reverrons tous de l'autre cĂŽtĂ©, j'en suis certaine... Déposé par choupinou la vie est une continuelle renaissance, tandis que la mort,elle, une Ă©ternelle naissance dans l'au- delĂ et nos coeur (Enemeya Queen) |
135 messages
Déposé par poutounou le 24/05/2023Pour tout lâAmour quâils nous donnent et que nous leur donnons. * Extrait de la comĂ©die musicale « RomĂ©o et Juliette » : * AimerâŠ. * Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau Aimer c'est monter si haut Et toucher les ailes des oiseaux Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau * Aimer c'est voler le temps Aimer c'est rester vivant Et brĂ»ler au cĆur d'un volcan Aimer c'est c'qu'y a de plus grand * Aimer c'est plus fort que tout Donner le meilleur de nous Aimer et sentir son cĆur Aimer pour avoir moins peur * Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau |
Déposé par poutounou le 21/05/2023Extrait de la chanson "Immortelle" de Lara Fabian. Quelles belles paroles !!! « Sâil ne me restait quâune aile, tu serais celle-là ⊠» * Immortelle * Si perdue dans le ciel Ne me restait qu'une aile Tu serais celle-lĂ * Si traĂźnant dans mes ruines Ne brillait rien qu'un fil Tu serais celui-lĂ * Si oubliĂ©e des dieux J'Ă©chouais vers une Ăźle Tu serais celle-lĂ * Si mĂȘme l'inutile Restait le seuil fragile Je franchirais le pas * Immortelle, immortelle J'ai le sentiment d'ĂȘtre celle Qui survivra Ă tout ce mal Je meurs de toi |
Déposé par poutounou le 17/05/2023Câest vrai, ils sont si nobles, si purs, si beaux nos loulous et louloutes !!! Cela ne peut ĂȘtre quâun « travail » dâAnge : un rĂȘve devenu rĂ©alité⊠!!! * Extrait de « Close to you » des Carpenters * Close To You (PrĂšs De Toi) * Pourquoi les oiseaux Apparaissent-ils tout Ă coup ? Chaque fois que tu es lĂ Tout comme moi Ils dĂ©sirent ardemment ĂȘtre PrĂšs de toi * Pourquoi les Ă©toiles Tombent-elles du ciel ? Chaque fois que tu te promĂšnes Tout comme moi Elles dĂ©sirent ardemment ĂȘtre PrĂšs de toi * Le jour oĂč tu es nĂ© Les anges se sont rĂ©unis et ont dĂ©cidĂ© De rendre un rĂȘve rĂ©alitĂ© Alors ils ont saupoudrĂ© de la poussiĂšre lunaire dans tes poils Et de l'or et la lumiĂšre des Ă©toiles dans tes beaux yeux |
Déposé par poutounou le 14/05/2023TrĂšs belle chanson du poĂšte Yves Duteil. Des fois on souffre tellement, qu'on aimerait bien pouvoir se rĂ©fugier dans un merveilleux rĂȘve... * Il y a des jours oĂč, quand le jour se lĂšve, On voudrait rentrer tout au fond d'un rĂȘve Et puis, soudain, lorsque le clocher sonne, Il y a des jours oĂč l'on n'est plus personne. * Alors, on ferme les yeux un instant. Quand on les rouvre, tout est comme avant. Les gens vous voient et leur regard s'Ă©tonne. Il y a des jours oĂč l'on n'est plus personne. * Ouvrir son cĆur Ă tous les vents qui passent, Et, qu'un matin, tous les chagrins s'effacent Pour oublier, dans le bonheur qu'on donne, Qu'il y a des jours oĂč l'on n'est plus personne, * Qu'il y a des jours oĂč, quand le jour se lĂšve, Ou voudrait rentrer tout au fond des rĂȘves Et s'endormir lorsque le clocher sonne. Il y a des jours oĂč l'on n'est plus personne. * Yves Duteil |
Déposé par poutounou le 10/05/2023Oh oui, doux Anges, vos noms resteront Ă jamais, bien au chaud ou au frais, dans nos cĆurs, car on ne peut, on ne veut oublier le nom dâun ami pur et sincĂšre comme vous. * Jâai Ă©crit ton nom⊠* Jâai Ă©crit ton nom sur le sable, Mais la vague lâa effacĂ©. Jâai gravĂ© ton nom sur un arbre, Mais lâĂ©corce est tombĂ©e. Jâai incrustĂ© ton nom dans le marbre, Mais la pierre a cassĂ©. Jâai enfoui ton nom dans mon cĆur, Et le temps lâa gardĂ©. |
Déposé par poutounou le 07/05/2023Quel triste mot que celui-ci : Adieu ! Nous lâavons prononcĂ© lorsque vous ĂȘtes partis tout lĂ -haut, vous nos si tendres Amours⊠!!! Mais peut-ĂȘtre nâest-ce quâun « Au revoir » ! Qui sait ??? * Adieu * PoĂšte : Alphonse de Lamartine (1790-1869) * Recueil : Nouvelles mĂ©ditations poĂ©tiques (1823). * Adieu ! mot qu'une larme humecte sur la lĂšvre ; Mot qui finit la joie et qui tranche l'amour ; Mot par qui le dĂ©part de dĂ©lices nous sĂšvre ; Mot que l'Ă©ternitĂ© doit effacer un jour ! * Adieu !.... Je t'ai souvent prononcĂ© dans ma vie, Sans comprendre, en quittant les ĂȘtres que j'aimais, Ce que tu contenais de tristesse et de lie, Quand l'homme dit : "Retour !" et que Dieu dit : "Jamais !" * Mais aujourd'hui je sens que ma bouche prononce Le mot qui contient tout, puisqu'il est plein de toi, Qui tombe dans l'abĂźme, et qui n'a pour rĂ©ponse Que l'Ă©ternel silence entre une image et moi ! * Et cependant mon coeur redit Ă chaque haleine Ce mot qu'un sourd sanglot entrecoupe au milieu, Comme si tous les sons dont la nature est pleine N'avaient pour sens unique, hĂ©las ! qu'un grand adieu ! * Alphonse de Lamartine. |
Déposé par poutounou le 03/05/2023Que câest beau : « je vous dirai : « bienvenue chez nous⊠» ! A bientĂŽt peut-ĂȘtre chers petits cĆurs⊠* Quand je partirai * Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller MĂȘme sâil me restait encore des choses Ă voir et Ă faire. Ma route ne sâarrĂȘte pas ici. Ne vous attachez pas Ă moi Ă travers vos larmes. Soyez heureux de toutes les annĂ©es passĂ©es ensemble. Je vous ai donnĂ© mon amour, Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous mâavez apportĂ©. Je vous remercie pour lâamour que vous mâavez tĂ©moignĂ© Mais il est temps maintenant que je poursuive ma route. Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut. Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie car câest pour un moment seulement que nous nous sĂ©parons BĂ©nissez donc les souvenirs qui sont dans votre cĆur. Je ne serai pas trĂšs loin, car la vie se poursuit Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai MĂȘme si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai prĂšs de vous. Et si vous Ă©coutez avec votre cĆur, Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clartĂ©. Et puis, quand vous viendrez Ă votre tour par ici, Je vous accueillerai avec le sourire Et je vous dirai: « bienvenue chez nous». * PoĂšme HawaĂŻen |
Déposé par poutounou le 01/05/2023Beau muguet * En ce joli 1er mai, Que chaque brin de muguet, Vous offre ses plus belles pensĂ©es⊠* Ornant les plus beaux Ă©tals, Que sa fraicheur suave, Vous parfume de bonheur⊠* Que ses douces clochettes Vous enivre de gaietĂ© et bien-ĂȘtre, Embellissant votre cĆur⊠* Message dâamour ou porte-bonheur, Que voyagent lâespoir et lâamitiĂ©, Comme de doux amants⊠* Tel est ce plaisir, pour tous les Ăąges. Que cet instant de partage, Renaisse Ă chaque printemps⊠* Muguet porte-bonheur envole-toi vers les cieux, vers le magnifique Paradis blanc, et va te dĂ©poser sur toutes les truffes dâamour que tu y trouveras. Ensuite tu iras faire un petit tour dans toutes les familles de cĆur de ces beaux Anges et tu dĂ©poseras plein dâamour, de joie, de bonheur, de santĂ© tout au long de ton chemin. Merci petit Muguet porte-bonheurâŠet reviens-nous plein dâĂ©nergie lâannĂ©e prochaine. * En toute amitiĂ©, * Martine, Rubens, Diesel et Iron « pitit filounounou », |
Déposé par poutounou le 30/04/2023De Gaulle disait : « la vieillesse est un naufrage » et il avait bien raison⊠!!! Ne tâen fais pas, petit chien, nous aussi sentons le poids des annĂ©es⊠!!! Que câest bon de vieillir ensembleâŠCe serait mieux si le Bon Dieu vous rajoutait quelques annĂ©es de vie supplĂ©mentairesâŠAmen ! * Le petit chien * Je suis un petit chien Mais jâai dĂ©jĂ quinze ans. Si je prĂ©sente bien, Mon Ăąge, je le sens. * Mon cĆur est fatiguĂ©, Jâai des douleurs partout, Ma vue a bien baissĂ©, Je nâentends plus du tout. * Jâaimais bien la montagne Quand jâĂ©tais casse-cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. * Je vais plus doucement Et je marche trĂšs peu. Je dors bien plus longtemps, Jâai cachĂ© tous mes jeux. * Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve dâaudace, Je me sens Ă©lĂ©gant. * Mais dĂšs quâelle est partie, Je retrouve mon Ăąge Et mon dos sâarrondit : Ce nâĂ©tait quâun mirage. * Mes maĂźtres mâaiment autant Que quand jâĂ©tais petit. Ils me disent souvent Que jâai changĂ© leur vie *. La mienne aura Ă©tĂ© Faite de grandes joies, Jâaurai Ă©tĂ© choyĂ©, Jâaurai Ă©tĂ© un roi. * Quand il faudra partir, Je ne gĂ©mirai pas. Je voudrais mâendormir Blotti entre leurs bras. * Madeleine Reynaud |
Déposé par poutounou le 26/04/2023Ouvre-moi tes papattes mon chienâŠet me sois refuge, espoir, amitiĂ©, douceur, tendresse, cĂąlins et AmourâŠme sois tout ce qui rend la vie plus belle⊠!!! * Muet * Ouvre-moi tes bras Et me sois refuge * Ouvre-moi tes bras Et me sois rempart * Ouvre-moi tes bras Et me sois espoir * Ouvre-moi tes bras Et me sois bien-ĂȘtre * Ouvre-moi tes bras Quand me vois paraĂźtre * Ouvre-moi tes bras⊠Et me sois⊠Refuge⊠* Esther Granek, Je cours aprĂšs mon ombre, 1981 |
Déposé par poutounou le 23/04/2023Homme ! Ne crains rien ! La nature sait le grand secret et sourit⊠* Printemps * Tout est lumiĂšre, tout est joie. L'araignĂ©e au pied diligent Attache aux tulipes de soie Les rondes dentelles d'argent. La frissonnante libellule Mire les globes de ses yeux Dans l'Ă©tang splendide oĂč pullule Tout un monde mystĂ©rieux. La rose semble, rajeunie, S'accoupler au bouton vermeil L'oiseau chante plein d'harmonie Dans les rameaux pleins de soleil. Sous les bois, oĂč tout bruit s'Ă©mousse, Le faon craintif joue en rĂȘvant ; Dans les verts Ă©crins de la mousse, Luit le scarabĂ©e, or vivant. La lune au jour est tiĂšde et pĂąle Comme un joyeux convalescent ; Tendre, elle ouvre ses yeux d'opale D'oĂč la douceur du ciel descend ! Tout vit et se pose avec grĂące, Le rayon sur le seuil ouvert, L'ombre qui fuit sur l'eau qui passe, Le ciel bleu sur le coteau vert ! La plaine brille, heureuse et pure ; Le bois jase ; l'herbe fleurit. Homme ! ne crains rien ! la nature Sait le grand secret, et sourit *. Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 19/04/2023LâEcureuil, le Chien et le Renard * Un gentil Ă©cureuil Ă©tait le camarade, Le tendre ami dâun beau danois. Un jour quâils voyageaient comme Oreste et Pylade, La nuit les surprit dans un bois. * En ce lieu point dâauberge ; ils eurent de la peine Ă trouver oĂč se bien coucher. Enfin le chien se mit dans le creux dâun vieux chĂȘne, Et lâĂ©cureuil plus haut grimpa pour se nicher. * Vers minuit, câest lâheure des crimes, Longtemps aprĂšs que nos amis En se disant bonsoir se furent endormis, Voici quâun vieux renard affamĂ© de victimes Arrive au pied de lâarbre, et, levant le museau, Voit lâĂ©cureuil sur un rameau. * Il le mange des yeux, humecte de sa langue Ses lĂšvres qui, de sang, brĂ»lent de sâabreuver ; Mais jusquâ Ă lâĂ©cureuil il ne peut arriver : Il faut donc par une harangue Lâengager Ă descendre ; et voici son discours : * Ami, pardonnez, je vous prie, Si, de votre sommeil, jâose troubler le cours, Mais le pieux transport dont mon Ăąme est remplie Ne peut se contenir ; je suis votre cousin germain. Votre mĂšre Ă©tait soeur de feu mon digne pĂšre. Cet honnĂȘte homme, hĂ©las ! Ă son heure derniĂšre, Mâa tant recommandĂ© de chercher son neveu Pour lui donner moitiĂ© du peu Quâil mâa laissĂ© de bien ! * Venez donc, mon cher frĂšre, Venez, par un embrassement, Combler le doux plaisir que mon Ăąme ressent. Si je pouvais monter jusquâaux lieux oĂč vous ĂȘtes, Oh ! Jây serais dĂ©jĂ , soyez-en bien certain. * Les Ă©cureuils ne sont pas bĂȘtes, Et le mien Ă©tait fort malin ; Il reconnaĂźt le patelin, Et rĂ©pond dâun ton doux : je meurs dâimpatience De vous embrasser, mon cousin ; * Je descends : mais, pour mieux lier la connaissance, Je veux vous prĂ©senter mon plus fidĂšle ami, Un parent qui prit soin de nourrir mon enfance⊠Il dort dans ce trou-lĂ : frappez un peu ; je pense Que vous serez charmĂ© de le connaĂźtre aussi. * AussitĂŽt maĂźtre renard frappe, Croyant en manger deux. Mais le fidĂšle chien SâĂ©lance de lâarbre, le happe, Et vous lâĂ©trangle bel et bien. * Ceci prouve deux points : dâabord, quâil est utile Dans la douce amitiĂ© de placer son bonheur, Puis, quâavec de lâesprit il est souvent facile, Au piĂšge quâil nous tend, de surprendre un trompeur. * Jean-Pierre Claris de Florian |
Déposé par poutounou le 16/04/2023Une impression dâinachevé⊠* On peut se dire que lâirrĂ©mĂ©diable Avec le temps peut rĂ©unir lâoubli Avec lâamour pour vous retenir Juste laisser un peu dâespĂ©rance A peine murmurĂ© sous un silence Mais il y a lâinacceptable Qui vient tout bousculer Une erreur de lĂ -haut Quâon nâa pas demandĂ© * Mais il y a lâinacceptable En plein vol, foudroyĂ© Et qui vient tout reprendre Tout ce quâon vous a donnĂ© * Et vous laisse comme une impression Une impression dâinachevĂ© * On peut se dire que lâinconcevable peut arriver Un jour sans faire de bruit Tout bouleverser Sans vous prĂ©venir, mĂȘme sây attendre * Parce que quoi quâon fasse On sait le mur au bout de lâimpasse * Mais il y a lâinacceptable Qui vient tout bousculer Une erreur de lĂ -haut Quâon nâa pas demandĂ© * Mais il y a lâinacceptable En plein vol, foudroyĂ© Et qui vient tout reprendre Tout ce quâon vous a donnĂ© * Et vous laisse comme une injustice Une injustice inacceptable * Mais il y a lâinacceptable En plein vol, foudroyĂ© Et qui vient tout reprendre Tout ce quâon vous a donnĂ© * Et vous laisse comme une impression Une impression dâinachevé⊠» * ComĂ©die musicale â Les Dix Commandements |
Déposé par poutounou le 12/04/2023Que câest beau : « Et je ne sais plus tant je tâaime lequel de nous deux est absent » * Le front aux vitres * Le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin Ciel dont jâai dĂ©passĂ© la nuit Plaines toutes petites dans mes mains ouvertes Dans leur double horizon inerte indiffĂ©rent Le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin Je te cherche par delĂ lâattente Par delĂ moi mĂȘme Et je ne sais plus tant je tâaime Lequel de nous deux est absent. * PoĂšme de EugĂšne Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard |
Déposé par poutounou le 09/04/2023Chers "papas" et "mamans" de coeur du cimetiĂšre virtuel, je vous souhaite de passer de merveilleuses FĂȘtes de PĂąques et que tous vos soucis ne soient plus quâun mauvais souvenir... Quant Ă nos Anges, ils vont sĂ»rement tous se rĂ©unir dans la grande prairie du Paradis blanc pour y chercher des chocolats et autres joujoux et douceurs... * JOYEUSES PAQUES * Joie et nervositĂ© dans l'attente de leur retour de Rome. Observant le ciel, tendant l'oreille pour ne pas les rater. Y ĂȘtre bientĂŽt, le jour J tant attendu, l'impatience nous gagne, Et nos papilles frĂ©tillent Ă l'idĂ©e de savourer ces chocolats. Une fĂȘte pour les gourmands, petits et grands. Ses cloches gastronomes et quelque peu coquines qui, En arrivant dans nos maisons, cachent de nombreuses douceurs Savoureuses et sucrĂ©es, propres Ă attiser notre curiositĂ© et notre impatience. * Poules, oeufs, lapins et autres cloches en chocolat, Attendant d'ĂȘtre dĂ©couverts par des gastronomes aux yeux Ă©merveillĂ©s. Quelle douce rĂ©compense que de les trouver enfin ! Un jour par an, nous pouvons les dĂ©vorer sans remords. Ensemble partageons, rions, rĂ©galons-nous et Savourons cette fĂȘte de PĂąques que je vous souhaite joyeuse. |
Déposé par poutounou le 05/04/2023Quel magnifique poĂšme ! Toi, mon Esprit, sillonnes gaiement lâimmensitĂ© profonde et va dire Ă nos doux Anges combien ils nous manquent⊠* ĂlĂ©vation * Au-dessus des Ă©tangs, au-dessus des vallĂ©es, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delĂ le soleil, par delĂ les Ă©thers, Par delĂ les confins des sphĂšres Ă©toilĂ©es, * Mon esprit, tu te meus avec agilitĂ©, Et, comme un bon nageur qui se pĂąme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensitĂ© profonde Avec une indicible et mĂąle voluptĂ©. * Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans l'air supĂ©rieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. * DerriĂšre les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'Ă©lancer vers les champs lumineux et sereins ; * Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! * PoĂšme de Charles Baudelaire |
Déposé par poutounou le 02/04/2023Avec un jour de retard, mais elle est trop drĂŽle celle-lĂ !!! * PoĂ©sie du poisson d'avril * J'ai vu 3 chats bleus, Ă la queue leu-leu Marchant sur un fil .....Poisson d'avril ! J'ai vu un chameau faire du vĂ©lo Tout autour d'une Ăźle.....Poisson d'avril ! J'ai vu un gros ver en hĂ©licoptĂšre Traversant la ville.....Poisson d'avril ! J'ai vu une vache avec des moustaches Et de trĂšs longs cils.....Poisson d'avril ! J'ai vu 10 corbeaux assis sur le dos D'un vieux crocodile.....Poisson d'avril ! * Paul GERALDY |
Déposé par poutounou le 29/03/2023Magnifique Ă©crit de nos Anges pour nous, mamans et papas de coeur ! * Sois tranquille dâEmmanuel Moire * Je sais la peine Je sais les pleurs Et les pensĂ©es Que les mots ne peuvent apaiser Je sais l'absence Je sais le manque Et les regrets Les souvenirs Qu'il faut revivre Et partager Je sais tout ce qui est Pour toi * Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Je suis serein Je repose en paix OĂč je vais Sois tranquille Ce n'est rien Sois tranquille J'en ai besoin Et je m'en sers Je me libĂšre Enfin * Je sais le temps Je sais les heures Les nuits passĂ©es Que les rĂȘves ne peuvent soulager Je sais l'effort Et le courage Ă retrouver Se souvenir Qu'il faudra vivre Et continuer Je sais tout ce qui est Pour toi * Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Je suis serein Je repose en paix OĂč je vais Sois tranquille Ce n'est rien Sois tranquille J'en ai besoin Et n'oublie pas N'oublie pas Je suis lĂ Je suis lĂ Je suis lĂ LĂ * Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Je suis serein Je repose en paix OĂč je vais Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Et sois certain OĂč que tu sois Je veille sur toi |
Déposé par poutounou le 26/03/2023TrĂšs bel Ă©crit, lĂ©gĂšrement revisitĂ©, du poĂšte Monsieur Ferrat * Extrait de « Tu aurais pu vivre encore un peu » * Tu aurais pu vivre encore un peu Pour notre bonheur, pour notre lumiĂšre Avec tes yeux clairs, ta queue joyeuse Ton esprit ouvert, ton air gĂ©nĂ©reux Tu aurais pu vivre encore un peu Mon fidĂšle ami, mon copain, mon frĂšre Au lieu de partir tout seul en croisiĂšre Et de nous laisser comme chiens galeux Tu aurais pu vivre encore un peu * T'aurais pu rĂȘver encore un peu Te laisser bercer prĂšs de la riviĂšre Par le chant de l'eau courant sur les pierres Quand des quatre fers, l'Ă©tĂ© faisait feu T'aurais pu rĂȘver encore un peu Sous mon chĂątaignier Ă l'ombre lĂ©gĂšre Laisser doucement le temps se dĂ©faire Et la nuit tomber sur la vallĂ©e bleue T'aurais pu rĂȘver encore un peu * Tu aurais pu vivre encore un peu Ne pas m'imposer d'Ă©crire ces vers Toi qui savais bien, mon ami si cher Ă quel point souvent je suis paresseux Tu aurais pu vivre encore un peu. * Jean Ferrat |
Déposé par poutounou le 22/03/2023Lâimportant câest de vous aimer, vous nos magnifiques Anges⊠* L'important c'est d'aimer * Peu importe ce qu'on donne Un sourire, une couronne A quelqu'un ou bien Ă personne Peu importe ce qu'on donne Donner c'est comme recevoir Mais sans s'en apercevoir Comme quand on pardonne Ă ceux qu'on aime Qu'on goĂ»te Ă l'opium d'aimer quand mĂȘme D'aimer quand mĂȘme... D'aimer quand mĂȘme... * L'important c'est d'aimer, pour tout donner L'important c'est d'y croire sans s'en apercevoir L'important c'est toujours d'ĂȘtre en amour L'important c'est donner, et ne rien demander * Peu importe ce qu'on laisse A tous ceux qui nous dĂ©laissent Qu'on survive ou qu'on disparaisse Peu importe qui nous blesse Laisser c'est comme tout vouloir Mais sans s'en apercevoir * C'est comme une faiblesse pour ceux qu'on aime C'est presqu'une promesse d'aimer quand mĂȘme D'aimer quand mĂȘme... D'aimer quand mĂȘme... * L'important c'est d'aimer, pour tout donner L'important c'est d'y croire sans s'en apercevoir L'important c'est toujours d'ĂȘtre en amour L'important c'est donner, et ne rien demander * Peu importe ce qu'on dit Avec des mots ou des cris Quand c'est le coeur qui parle aussi Peu importe ce qu'on vit Il faut toujours le vouloir Et bien s'en apercevoir * Comme quand on sourit Ă ceux qu'on aime Qu'on goĂ»te Ă l'opium d'aimer quand mĂȘme D'aimer quand mĂȘme... D'aimer quand mĂȘme... * L'important c'est d'aimer, pour tout donner L'important c'est d'y croire sans s'en apercevoir L'important c'est toujours d'ĂȘtre en amour L'important c'est donner, et ne rien demander * L'important c'est d'aimer, pour tout donner L'important c'est d'y croire sans s'en apercevoir * D'aimer quand mĂȘme, comme je voudrais que l'on m'aime Pour tout donner, Ă tous ceux qui eux m'ont aimĂ© D'aimer quand mĂȘme Comme je voudrais que l'on m'aime * Pascal Obispo |
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