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In tribute to
mon cheri
YORKSHIRE-TERRIER
Born on :23/12/1999
left us on:21/02/2012
 

No candle


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In tribute to mon cheri

Ce samedi-là, tu ne m’as pas réveillé en grattant ma main pour te faire monter dans le lit comme d’habitude, tu étais trop fatigué. Je t’ai pris dans mes bras, tu me regardais sans me voir, tu sentais que tu allais partir pour un long voyage, tu as fait un dernier bisou a ta maman.
Sur le chemin du docteur, Je te rassurais, je disais que ce n’était rien, que tout irait bien, tu faisais semblant de me croire pour ne pas m’inquiéter. Tu étais mon confident, mon empereur comme je disais.
Pour la première fois je te ne te ramènerais pas, tes reins, ton cœur étaient trop fatigués, mais, je refusais de le croire.. Lorsque nous nous sommes séparés mes yeux se sont remplis de larmes ….Je t’aime mon Paco
Je n’ai plus de mot, que du chagrin


Le 16 avril 2012
Mon chéri, samedi je suis allé chercher l’agrandissement de ta photo, maintenant tu es dans un joli cadre avec toute ta famille sur un mur du salon .Il ne faut pas t’inquiéter car tu es toujours dans nos cœurs, tu étais présent sur nos photos de mariage, et tu seras toujours associé à chaque événement de ma vie.
Je ne vais pas te mentir, tu me manques beaucoup, même si je sais que tu me regardes d’ où tu es.. Tu n’aimais pas que je sois triste, tu me couvrais de bisous, tes petites moustaches me faisaient la chatouilles, alors mon chagrin passait rapidement. Tu étais mon ange gardien. Depuis ce week end tu n’es plus sur la page d’accueil du site, mais peu importe, tu as un abonnement à vie dans mon cœur, Il ne se passe pas un jour sans que je ne parle de toi.
Avec le mauvais temps que l’on a depuis une semaine, tes fleurs se sont toutes abimées, je t’en achèterai d’autre, promis mon petit chéri. J’espère que la haut quelqu’un veille sur toi, comme tu veilles sur moi. Bisous j t’aime, ton papa


Le 18 avril 2012
Mon petit chéri ça fait deux mois exactement que je t’emmenais chez le vétérinaire, je ne pensais pas ne jamais te ramener chez nous. Je croyais que tu avais un simple problème gastrique, mais non, tu souffrais en silence depuis plusieurs mois, tes reins étaient très fatigués. Excuse-moi de n’avoir rien vu, excuse-moi de n’avoir pas passé plus de temps avec toi, excuse-moi de t’avoir laissé seul chez le vétérinaire, excuse-moi pour tout ce que j’aurais dû faire et que je n’ai pas fait. J’ai tant de regrets, de remords, les semaines passent, mais la douleur est toujours aussi vive, je parle très souvent de toi, tu es toujours présent dans mon cœur, mais le vide laissé par ton absence physique est immense. Plus de câlin lorsque j’arrive à la maison, plus de câlins le soir au couché, plus de câlin au réveille, plus d’échange de regard complice. Il me reste les souvenirs, nos souvenirs.
Ce soir on va chercher la moto de ton grand frère, ce me rappelle nos promenades, tu étais dans un sac accroché au réservoir de la moto, seul ta tète dépassé, le vent te décoiffé tout, je ne roulais pas trop vite, tu adorais cela.. Chaque chose que je fais, me ramène à toi, ma mère me disait que je ne t’aimais pas, mais que je te vénérais. Elle a raison je te vénérais et te vénère encore, car tu es toujours mon belle empereur.
Bisous mon Paco, ton papa


le 25 avril 2012
Toi tu es parti, tu m’as quitté mon paco,
Toi tu n’es plus là, mais je te sens si près de moi.
Je t’offre ces quelques lignes, elles sont pour toi,
Emportes-les dans ce pays où l’on dit que la vie est belle
Emportes-les, mon chéri, je te les donne.
Nous étions complice, tu avais grandi en me donnant ton amour,
Je me sens tellement seul ici,
Si seul sans toi, mon coeur.
Est-il vrai que viendra un jour,
Où nous serons à nouveau réunis,
Réunis pour la vie, mon chéri
Je l'espére si fort...
Je t'aime...Ton papa

le 15 mai 2012
Cela fait bientôt 3 mois que tu nous as quitté
Toi mon empereur, toi qui m'as aimé comme personne, fidèle compagnon tu as été mon confident, ma joie.
Ton absence est une souffrance permanente, malgré ces mois passés sans toi tu restes dans mon cœur, et tu le resteras pendant toute ma vie.
j'espére que de tes nuages il y a une petite fenêtre qui permet de me voir.oh je sais, je ne suis pas autant courageux que toi, aussi excuse moi pour ces pleures, pour mon cafard, tu ne les veux pas, ne me juge pas trop mal alors...
Mon amour pour toi ne disparaitra jamais, je t'aime mon paco.
Merci pour tout ce que tu m'as donné lors de ton passage dans ma vie. Tu es mon rayon de soleil, même si en ce moment il y a quelque nuages de larmes..
Ton papa

le 4 juin 2012
Tu m'as donné tant de joies,
Tu m'as offert ta vie.
Et bercé par ton amour
les jours se sont écoulés.
Suspendu à mon affection
Tu as grandi, et vieilli..
Les années sont passées trop vites,
Et la vie nous a séparés.
Mais elle ne brisera jamais le lien qui nous lie.
Ton cœur débordant de tendresse,
a ensoleillé le mien.
Tu illumines encore chaque jour mon existence !
Merci mon Paco
Je t’aime
Ton papa

Le 18 juin 2012
Tu étais notre petit complice
Avec tes yeux plein de malice,
Tu étais notre grand bonheur
Qui caressait nos cœurs,
Tu nous donnais de la tendresse
Et on t'offrait des caresses,
Tu étais doux comme du velour
Et tu nous offrais tellement d'amour,
Tu étais notre Paco, notre chéri
Et dans notre cœur tu resteras toute la vie.

le 16 juillet 2012
Cette chanson que j'ai légérement adapté, nous correspond à la perfection.

Tu sais que j’ai du mal,
Encore à parler de toi,
Il parait que c’est normal,
Il n’y a pas de règles dans ces moment-là.

Tu sais j’ai la voix qui se serre,
Quand je te croise dans les photos,
Tu sais j’ai le cœur qui se perd,
Je crois qu’il t’aime un peu trop.
C’est comme ça,

J'aurais aimé te tenir dans mes bras
Un peu plus longtemps…
J'aurais aimé que mon chagrin,
Ne dure qu’un instant.
Et tu sais j’espère au moins,
Que tu m’entends.

C’est dur de briser le silence,
Même dans les cris, même dans la fête,
C’est dur de combattre l’absence,
Car tu es toujours dans ma tête.

Et personne ne peut comprendre,
On a chacun sa propre histoire.
On m'a dit qu’il fallait attendre,
Que la peine devienne dérisoire.
C’est comme ça,

J'aurais aimé te tenir dans mes bras
Un peu plus longtemps…
J'aurais aimé que mon chagrin,
Ne dure qu’un instant.
Et tu sais j’espère au moins,
Que tu m’entends.

Je voulais te dire que j’étais fier,
que tu m’ais choisi comme maître,
Tu étais mon ami, mon frère,
Merci à la vie de nous avoir fait connaitre.

Ton papa

le 05 septembre 2012
Toi mon petit Paco quand je t’ai vu pour la première fois
Tu étais dans une cage
Tu es venu toute suite devant moi
C’est toi qu’on a choisi
Tu as grandi avec tout notre amour
Tu as fait notre bonheur
Puis tu as vieilli, tu as perdu la vue
Nous t’avons guidé, soigné
A 12 ans, la vie nous a séparés
Tu es parti pour toujours
Mais pour nous tu seras toujours dans notre cœur
Car tu as fait notre bonheur
Tu étais là avec nous, dans nos joies et nos peines
La pour jouer avec nous
Tu as été le plus fidèle
À cela je te dis
Merci mon petit Paco
Merci pour tout ce que tu m’as donné

Je t’aime
Ton papa


le 19 décembre 2012

Paco,

Tu étais mon petit chien
Mais tu avais déjà douze ans.
Tu présentais bien,
Mais ton âge tu le sentais.

Ton cœur était fatigué,
Tu avais des douleurs partout,
Ta vue avait bien baissé,
Tu n’entendais pas tout.

Tu allais plus doucement
Et tu marchais très peu.
Tu dormais bien plus longtemps,
Tu cachais tous tes jeux.

Tes maîtres t’aimaient autant
Que quand tu étais petit.
Ils te disaient souvent
Que tu leur as changé leur vie.

La tienne aura été
Faite de grandes joies,
Tu auras été choyé,
Tu es un roi.

Quand il fallut partir,
Tu ne gémissais pas.
Tu voulais t’endormir
Blotti contre mes bras.


Ton papa..


Le 20 février 2013
Mon petit empereur, il y a un an que tes petits yeux se fermaient pour toujours, emportant avec eux ta douleur .
Je ne pouvais pas croire que l’on serait séparé un jour, encore aujourd’hui j’ai l’impression que tu vas revenir.
On a fait tellement de choses ensemble, on était inséparable, dès que tu me perdais du regard tu me cherchais, plus les années passaient, plus notre complicité grandissait.
Sans m’en rendre compte je disais qu’on allait mourir le même jour, à ta disparition Martin croyait qu’il allait perdre son papa, je ne suis pas mort physiquement, mais une partie de mon passé s’est éteint avec toi.
Depuis cette date, chaque jour je pense à toi, on parle trés souvent de toi à la maison, tu partages toujours notre vie.
La dernière fois que je t’ai embrassé dans cette cage chez le véto, est à tous jamais gravé dans ma mémoire.
Il me reste des photos disposaient sur les murs de la maison, et des souvenirs de notre complicité et de ton amour..
Merci pour tout ce que tu m'as apporté.
Je t’aime mon Paco , ton papa

Le 10 juillet 2013
Mon paco, il y a des êtres dont le passage sur terre reste gravé à jamais, c'est ton cas..
J'étais en contact avec des chiens depuis ma plus jeune enfance, mais tu es le seul à m'avoir autant donné, certain disait que c'était fusionnel. Tu me cherchais lorsque tu me perdais, et de mon coté je ne pouvais rien faire sans toi..chaque jour tu me manques, je me plonge dans nos nombreux souvenirs et je m'envole tout la haut avec toi, c'est notre coin de paradis..je t'aime tant..

le 13 aout 2013
Mon Paco, mon empereur. Tu me manques tellement. J'aimerais tellement te serrer une dernière fois dans mes bras, te faire de gros bisous, te dire je t'aime , te dire que tu es un merveilleux compagnon ou plutôt un ami... Malheureusement, je dois m'en tenir à ces quelques mots sur le net, et me souvenir de ces moments précieux et délicieux , passés à tes côtés pendant 12 ans ,seulement..
Ta maman et ton petit frère parlent souvent de toi, tu es sur toutes les photos importantes de notre vie, mariage, naissance. Tu es dans notre cœur pour toujours.

Je t'aime, ton papa

Le 8 novmebre 2013
Une photo sur une tombe virtuel, une image celle de notre complicité..
Tu me manques mon petit paco
Ton papa

Le 23 décembre 2013
Il y a 14 ans naissait un petit York exceptionnel, ce petit York allait changé la vie de toute une famille de part sa gentillesse et sa fidélité. Il s'appelle paco, oui j'emploie le présent car il est toujours dans nos cœurs. merci Mon paco, on t'aime, et on t'aimera toujours. ta famille

Le 20 février 2014
Cela fait deux ans que tu nous as laissé, et je me souviens de tout comme si c'était hier.Je n'arrive pas à oublier ton regard lorsque je t'ai mis dans la voiture, tu as tourné la tête pour regarder la maison comme pour dire au revoir, tu savais que tu n'allais pas revenir, mais je ne l'avais pas compris. je pensais que l'on allait vieillir ensemble, que rien ne pouvait nous séparer..et pourtant la vie s'en ait chargé. Depuis chaque jour je pense à toi, à nos derniers moments, si seulement je pouvais remonter le temps pour te serrer une dernière fois contre moi, je t'aime tant.
Ton papa
Mercredi 18 février
Mon pac, il y a 3 ans je t'emmenais chez le docteur pour ne plus te ramener,je n 'avais pas compris que tu ne reviendrais plus, je niais l 'évidence,pour moi tu étais éternel, tu serais toujours a mes cotés.
J'ai pleuré toute les larmes de mon corps et je te pleure encore.
Tu avais compris que ton heure était venu, tu as regardé ta maison et ta maman une dernière fois..
En écrivant ses mots les larmes coulent sur le clavier, que te dire que tu ne s 'est déja, tu seras toujours présent dans mon cœur, j et 'aime tant.
A présent tu ne souffres plus, mais tu me manques cruellement, ton papa

Le 21 juin 2016
Mon petit paco ca fera 4 ans demain que tu es parti,pourtant le douleur est tout aussi forte lorsque j y repense, mes yeux se remplissent de larmes et les mots ont du mal a venir.
Je me souviens de tout, je te revois dans ta petite cage métallique chez le véto, mon dernier bisou sur ton front, et mes larmes, larmes qui coulent encore aujourd'hui.
Si j'avais su, je te croyais éternel, je pensais qu on allait vieillir ensemble., mais une chose est sur, je pense à toi chaque jour et rien n y changera...
Je t aime mon Paco et merci pour toute la joie que tu me donnes, car même maintenant lorsque je repense à nous, a nos moments je me dis que j ai de la chance de t avoir connu.
Ton papa

le 23/12/18
Mon empereur, 7 ans que tu es parti,mais dans mon ceour tu es toujours présent. tous les jours je
pense à toi, tu es mon fond d'écran. les jours, les années passent et je ne me pardonne toujours pas
le jour ou tu étais tombé dans la piscine en cours de construction, heureusement tu avais rien eu,
tu avais du tomber par les escaliers ou alors tu voulais les descendre et tu as glissé. tu ne voyais
rien depuis quelques temps déjà., mais oh miracle tu allais bien, juste une petite coupure a la
lèvre, s il t'étais arrivé quelque de plus grave , je ne m'en serais jamais remis;C est toujours
aussi douloureux pour moi t en parler même des années après.
tu es mon chéri pour la vie,
ton papa ,

Le 23/02/20
8 ans, et je pleure toujours en lisant ces quelques lignes, la douleur est toujours aussi vive.Tu m as donné tellement d amour, et encore maintenant, je te parle lorsque qq chose ne va pas.
Tu es mon ange gardien, mon Joli Paco
ton Papa qui t aime bcp bcp




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1827 Flowers
left by  franck
left by franck
Bisous mon pac j epense a toi,Martin a sa voiture il est content, il a un peu marre de grenoble heureusement la année se termine
left by  franck
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Bisous mon pac j epense a toi, Martin va bientot avoir sa fiesta, il est bien content
left by  franck
left by franck
il a fait bien beau ce week end j ai nettoyé ta tombe mon pac, on a commandé une voiture pour martin un fiesta je pense a toi
left by  franck
left by franck
Bisous mon apc , on a trouvé une voiture pour martin, une fiesta bisous
left by  franck
left by franck
Mon pac c est un peu la course en ce moment mais je pense a toi..on cherche une voiture pour martin pas evident en auto
left by  franck
left by franck
Mon Pac on va regarder une voiture pour Martin, un peu la course au travail j epense a toi
left by  franck
left by franck
semaine prochaine je suis en formation IT sur paris, j epense a toi mon Pac, la moto gp recommence mais je vais pas au mans hélas
left by  franck
left by franck
Bisous mon petit paco, on commence a regarder une voiture pour Martin bisous
left by  susi
left by susi
left by  franck
left by franck
Mon pac hier j ai bcp pensé a toi au moment que je t'a iembraséé pour la derniére fois il y a 14 ans, j y pense tjs j et aime
left by  Chantalotte21
left by Chantalotte21
Avec toute ma tendresse, joli petit coeur. 💙🌼💙
left by  NOIXDECOCO
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left by  gervais
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TENDRES PENSEES
left by  susi
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Tendre pensée
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Tendres pensées, doux petit museau
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famille MISTRAL, RAMSES II, DOUGLAS et GOLDEN MILADY
left by  mistral
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famille MISTRAL, RAMSES II, DOUGLAS et GOLDEN MILADY
left by  kropa
left by kropa
Tendres pensées en ce triste jour, bisous petit ange


178 messages

left by franck on 25/08/2015  
Mon pac je repeinds la cuisine, ton sac de croquettes est tjs là, on dirait qu il attend ton retour, en tout cas il ne bougera pas, tu te souviens lorsque tu voulais une gâterie, tu allais me cherchais et attendais devant le placard en attendant que je te donne quelque chose, tu me manques tellement..ton papa

left by franck on 27/05/2015  
Mon petit paco, hier Cachou est mort d'une tumeur a l'intestin, il avait 8 ans, il est parti te rejoindre, accueille le bien. Mamy Jo et papy sont très tristes, Martin et moi aussi, pauvre petit Cachou. En ce moment je pense de plus en plus à toi je revis les moments douloureux de ton départ.
Je t 'aime tant.....

left by franck on 04/05/2015  
Mon petit ange,hier je regardais des photos de toi bébé, comme tu étais magnifique, on parle très souvent de toi avec Martin, tu es son palivinus, son empereur, et il t'oubliera jamais, dans tous ses jeux vidéo il y a un endroit qu il appelle l 'hommage à l empereur paco, le roi canin, tu comptes toujours beaucoup pour nous, on t 'aime tant...

left by colombine67 on 10/03/2015  
Je ne sais pas si je parviendrai à écrire ce que je veux exactement faire passer. Mais j'aimerais que toutes les personnes qui ont dans l'idée d'adopter un galgo, un podenco ou tout autre animal abandonné et très certainement maltraité, y songent de manière sérieuse.
Au sein des associations, nous faisons notre possible pour informer les adoptants et leur donner des conseils quant à l'hyper attachement, les signaux d'apaisement, le fait de ne pas surprotéger, de ne pas lâcher le chien si ce dernier n'a pas, encore, créé de lien de confiance totale (et ça peut prendre pas mal de temps) etc.
Mais pour ce qui est d'avoir de la patience, le fait de comprendre que ton animal est issu d'une existence dans laquelle il n'a jamais appris ce qu'est une caresse, un bisou, une accolade, que pour lui non seulement c'est inconu, et que ça peut même l'effrayer, cette patience-là doit provenir de ton for intérieur.
Un animal, (la quasi majorité) qui n'a pas été socialisé ne connaît pas grand chose, parce que en tant que chiot, il a vécu dans une cage et n'a vu que d'autres chiens.
Personne ne lui a jamais montré : "ça c'est une accolade", de même qu'il ne lui ont jamais montré des milliers de choses, comme ce que c'est que d'ouvrir un parapluie et le bruit que cela comporte, descendre bruyamment les stores, ni même une boite aux lettres ou une accolade, pour ne citer que quelques exemples.
Ce qui est inconnu (et c'est aussi valable pour la majorité des humains) fait peur, c'est naturel.
S'il vous plaît, faites preuve de la patience si vous allez adopter ou si vous avez déjà adopté un animal traumatisé et /ou peureux. N'accordez pas d'importance au fait qu'il retire son museau lorsque vous voulez lui donner un bisou. Je vous demande de faire preuve de compréhension envers cet être merveilleux, qui de sa vie n'a jamais fait de mal à personne et qui a besoin d'un temps d'adaptation, de son temps d'adaptation. Sûre que s'il pouvait nous raconter par quoi il a passé, nous serions horrifiés et nous comprendrions mieux, alors, son hermétisme.
Il est des chiens, qui ont besoin d'années pour se "relaxer", d'autres, en quelques semaines, c'est tout bon. Nous ne devons pas les forcer, mais les laisser tranquilles, sans leur mettre la pression. Parfois, par amour à leur égard, nous n'avons pas la patience. Nous voudrions les voir s'activer comme les autres : remuer la queue et sautiller de joie lorsque que nous rentrons. Tout arrive, mais avec le temps. De plus, chaque animal a sa propre personnalité, donc nous ne pouvons prétendre qu'ils se comportent tous de la même manière. Certains sautillent en te voyant, d'autres se frottent à toi et d'autres encore se lèvent du divan (chez moi, j'ai toutes les variantes, hahaha).
S'il vous plaît, acceptons-les comme tels, de toute manière ce sont des êtres merveilleux, uniques, irremplaçables, des miracles de la nature.
Il y a des gens, qui après seulement quelques mois d'adoption se désespèrent, car leur chien continue dans sa "bulle". Eux, les chiens, ont eu la patience de supporter l'insupportable leur vie durant, accordons-leur du temps, sans agender de date sur le calendrier. Il ne faut pas se mettre martel en tête, c'est pire.
Il est évident que pour des cas extrêmes, nous pouvons toujours consulter un comportementaliste, mais malgré tout, je pense que parfois, nous exigeons d'eux beaucoup trop et beaucoup trop vite.
Avec tout mon amour, respect et dévotion aux chiens, ces grands maîtres, dont nous sommes les grands chanceux dès lors qu'ils partagent leur vie avec la nôtre.
Marta

left by colombine67 on 09/03/2015  
J'aimerais que vous consacriez 5 minutes à lire mon histoire, afin que ma mort ne soit pas vaine.
Je suis entrer dans un chenil, alors que je n'avais que 3 mois et ils m'ont appelé PENNA, ce n'était pas un chenil lager, mais chenil normal, surpeuplé du centre de l'Italie.
Et là, j'ai attendu, attendu que quelqu'un me remarque, j'ai attendu pendant 13 longues années! Evidemment, je n'étais pas seul dans mon box et mes camarades de captivité n'ont pas été tendres avec moi, j'ai été mordu tellement de fois, et plus d'une fois, j'ai bien failli mourir, car on ne nous donnait rien à manger, mais j'ai resisté ... et finalement, un ange, appelé Monica m'a remarqué. Elle a décidé de me sortir de là! Et de m'offrir quelques mois de bonheur. Elle m'a confié à deux de ses amies Sandra et Silvana qui ont pris soin de moi, mais j'étais très mal en point, maigre et tout tordu par l'arthrose ....
Je me souviens, que lorsque je suis arrivé à la maison, c'était en hiver et elle m'avaient préparé un grand lit, tout moelleux devant le radiateur .... moi, je ne savais pas ce que c'était qu'une maison et cette merveilleuse chaleur. J'y suis resté deux jours, le dos tout contre le radiateur, pour moi, c'était le paradis!
Et contrairement à tous les pronostics, je me suis remis. Personne n'aurait jamais pensé que j'allais encore vivre 3 ans. Et durant toutes ces 3 années, j'ai été aimé, câliné. J'avais de bonnes gamelles, j'ai dormi au chaud, dans un lit tout doux. Mais la vieillesse, on ne peut l'arrêter!!!
A présent, je suis mort, mais je suis mort heureux, parce que quelqu'un m'a donné de l'espoir et quelques années de bonheur. Mais je ne peux m'empêcher de penser que si Monica ne m'avait pas sauvé, il ne resterait plus rien de moi, pas une photo, pas un souvenir. Personne ne pleurerait ma mort. Et c'est pourtant le destin de beaucoup de chiens, qui passent leur vie entière dans des chenils dans l'indifférence générale. C'est pour toutes ces raisons, qu'avant de faire venir au monde d'autres chiens, pense à moi et avant d'acheter un chien, au lieu d'en adopter un, pense à moi.
Et si tu en as l'occasion, retire un chien âgé du chenil, car un seul jour de bonheur peut donner le change à une vie tout entière de souffrances.

left by colombine67 on 08/03/2015  
J'ai adopté votre chien aujourd'hui.
Celui que vous avez laissé au refuge.
Celui que vous avez eu pendant 10 ans.
Et que vous ne vouliez plus garder.
J'ai adopté votre chien aujurd'hui.
Saviez-vous qu'il avait perdu du poids ?
Saviez-vous qu'il est terrorisé et déprimé ?
Et qu'il semble avoir perdu toute confiance ?
J'ai adopté votre chien aujurd'hui.
Il avait des puces et souffrait du froid.
Je suppose qu'il vous importe peu de savoir dans quel état il est ?
On m'a dit que vous l'aviez abandonné.
J'ai adopté votre chien aujourd'hui.
Avez-vous eu un bébé, ou avez-vous déménagé ?
Avez-vous d'un coup, développé des allergies ?
Ou n'y avait-il AUCUNE raison pour qu'il ne puisse rester avec vous ?
J'ai adopté votre chien aujourd'hui.
Il ne joue pas et mange à peine.
Je crois qu'il est très triste
Et ça prendra du temps avant qu'il ne reprenne confiance.
J'ai adopté votre chien aujourd'hui.
Et ici, il sera aimé.
Il a trouvé sa famille définitive.
Et un chaud panier dans lequel se reposer.
J'ai adopté votre chien aujourd'hui.
Et je lui donnerai tout :
Patience, amour et sécurité.
Afin qu'il puisse oublier votre lâcheté.

left by colombine67 on 07/03/2015  
"Ses yeux ont rencontrés les miens lorsqu' elle a descendu le couloir regardant fixement et avec appréhension dans les niches. J'ai senti son besoin immédiatement et savais que je devais l'aider.
J'ai remué ma queue, non trop avec exubérance, ainsi elle n'a pas eu peur. Comme elle s'est arrêtée à ma niche, j'ai bloqué sa vue d'un petit accident que j'avais derrière moi dans ma c
age. Je n'ai pas voulu qu'elle ait su que je n'avais pas été marché aujourd'hui.
Parfois les gardiens de refuges surmenés sont trop occupés, et je n'ai pas voulu qu'elle ait pensé du mal d'eux.
Comme elle a lu ma carte de niche j'ai espéré qu'elle ne serait pas triste de mon passé. J'ai seulement l'avenir pour me réjouir et chercher à fabriquer une vie différente avec quelqu'un.
Elle est descendue sur ses genoux et m'a fait un peu de baisers. J'ai posé mon épaule et le côté de ma tête contre les barreaux pour la réconforter. Une main douce a caressé mon cou ; elle était désespérée elle avait grand besoin de compagnie. Une larme est tombée de sa joue et j'ai levé ma patte pour l'assurer que tout irait bien.
Bientôt ma porte de niche s'est ouverte et son sourire était si brillant que j'ai immédiatement sauté dans ses bras.
Je promettais de garder son coffre-fort. Je promettais de toujours être à ses côtés. Je promettais de faire tout ce que je pourrais pour ne voir que le sourire radieux et miroiter dans ses yeux.
J'étais si chanceux qu'elle soit descendue dans mon couloir. Tellement plus là-bas qui n'ont pas marché dans les couloirs. Tellement plus aurait pu être sauvé. Au moins je pourrais sauver celle-ci."

left by colombine67 on 06/03/2015  
Quand l'Homme n'a plus d'amis, qu'il est renié par les uns, calomnié par les autres, délaissé par ses proches, détesté quelques fois par ses propres amis, dans ce dédale de faux sentiments et bien souvent de vie devenue quasi virtuelle, il reste à l'Homme un être plein de chaleur, plein de tendresse, de joie de vivre et d'amour pour lui : son chien. Le chien rarement ne délaisse de son gré son ami, son maître ou sa famille. Le chien non plus jamais ne reniera ou n'abandonnera - s'il reçoit le minimum d'amour - ceux qui l'ont un jour adopté. Il ira même jusqu'à donner sa vie, parfois, pour ceux-ci. Et cela, sans la moindre hésitation.
Sujets : Joliette
Le chien, jamais, ne parlera dans votre dos. Il fera même en sorte, par toutes ses manifestations joyeuses, que tout le monde sache que vous l'aimez. Même bafoué, il vous lèchera encore la main. Vous pouvez constater son amour pour vous, chaque jour, juste en regardant la joie dans ses iris joyeux lorsque vous rentrez à la maison, à sa queue qui fend l'air énergiquement quand vous l'amenez en promenade, à son excitation quand vous décidez de l'amener en voiture avec vous, pour aller faire les courses. Le chien ne veut pas partir courrir le monde, encore moins aller au bout du monde. Non. Car le MONDE pour lui, c'est VOUS. Et seule compte, à ses yeux, votre PRÉSENCE. Le chien n'a rien d'une tortue, d'un boa ou d'un poisson rouge. Or donc, le chien laissé à lui-même s'ennuie en votre absence, il pense à vous, il vous espère, il vous attend. Il sait que vous rentrerez, que vous finirez bien par arriver et il guette. Il guette le bruit des pneus de la voiture dans l'allée, il entend une feuille qui bouge ou le moindre bruit de vos pas sur le seuil ou dans l'escalier; il écoute - et encore plus - il espère la clé dans la porte, la voix familière. Bref : il attend LE signe qui annonce votre arrivée.
Le chien aime, pense, ressent, autant que les humains. Peut-être même plus que les humains. Mais il est encore assez sage, quand il est en détresse ou si vous tardez trop, pour ne pas vous faire le moindre reproche. Tout au plus se limitera-t-il à émettre un petit gémissement de plaisir, que de vous voir enfin revenir ! Car le chien ne peut pas cacher ses sentiments : il ne fait pas partie des humains... Et ce chien-là, laissé trop longtemps à lui-même, sans savoir ce qui vous arrive ni pourquoi vous ne revenez pas, pleure en silence. Il pleure dans une trop longue attente de vous-mêmes. Pourquoi ? Parce qu'IL VOUS AIME, et qu'il tient vraiment à vous. Et ces chiens, trop souvent abandonnés à eux-mêmes, me tirent les larmes aussi. Car le meilleur ami de l'Homme n'a certes pas été créé ni pour vivre seul ni pour devenir à vie, gardien de fond de cour...
À chaque Noël qui vient, je fais le même souhait : je prie que tous ceux qui n'ont PAS VRAIMENT LE TEMPS de caresser, de parler ou d'accorder le minimum de temps à leur véritable (peut-être seul sincère) compagnon ainsi qu'à ceux qui promettent d'acheter aux enfants qui insistent, sans savoir à quel engagement on se doit d'obéir quand on décide d'acquérir un chien, d'acheter plutôt des chats ou des toutous de peluche, ou encore de plâtre...
Car ceux-là ne souffriront pas, pendant des heures, tout esseulés qu'ils seraient, en vous attendant...
SolAnge Bouchard

left by colombine67 on 05/03/2015  
*~*~*Salauds au coeur tendre par François Cavanna. *~*~*
Salauds au coeur tendre
Écoutez. Le tuer, j’ai pas le cœur.
Alors, je vous l’amène.
Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge,
c’est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C’est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j’irai le perdre dans les bois. Je l’attacherai à un arbre, pour ne pas qu’il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu’il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l’attacher et puis se sauver, pas l’entendre crier, c’est trop triste, on n’est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j’ai pas que ça à faire, on n’a pas encore fini les bagages.
Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d’autre ? Le bon ****** le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c’est qu’on a le cœur tendre, qu’on ne peut absolument pas supporter l’idée qu’une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque “ces gentils compagnons” se mettent à être malades et coûtent “les yeux de la tête” en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n’ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents.
Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s’empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d’argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l’idée), mais c’est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu’une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l’indifférence générale devant l’omniprésence de la misère animale. C’est le fait d’âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s’agit de gens à faibles ressources qui s’épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles.
Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d’aliments ont stimulé une frénésie d’achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La “rentabilité” exige qu’une femelle d’une race “vendeuse” ponde et ponde jusqu’à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n’est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c’est le chantage cynique de tout à l’heure : “Vous le prenez ou je vais le perdre”. C’est exactement le coup de l’otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : “Vous me la donnez la caisse ou je l’égorge.”
On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l’animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n’aime pas dire “amis des bêtes”), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d’un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d’inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s’occuper d’animaux alors qu’il y a tant de détresses humaines... Et quand l’apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l’euthanasie en masse par les services de l’hygiène publique, pas fâchés d’être débarrassés.
Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait “refuge” et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S.V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d’usage concernant les règles d’hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie “normale” était l’euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé.
Il faut que l’animal cesse d’être considéré comme un objet, un bien “meuble” qu’on achète, qu’on vend, qu’on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les “mauvais traitements”, d’ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d’un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d’un enfant. C’est le formidable et trop prévu nombre d’abandons liés aux départs en vacances qui m’a mordu au cul. Savez-vous qu’ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d’aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? “Avec la planche à voile sur le toit de la voiture” m’a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-m****s, volent haut dans l’air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados !
PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage.
S'il vous plaît, ayez du coeur !

left by colombine67 on 04/03/2015  
"Ce n'est qu'un chien de refuge..."
Par avance condamné...
"Ce n'est qu'un chien de refuge !"
Mérite-t-il d'être aimé?
Différent aux yeux des hommes
Des autres toutous "bien nés",
Voila comment on te nomme,
Pauvre chien abandonné...
Pourtant ton coeur est immense,
Comme immense est ta douceur.
Il te manque cette chance :
Gagner l'amour d'un grand coeur.
Parfois tu sembles lointain,
Tu évites les caresses,
Tu te terres dans un coin :
Crains-tu tant la main qui blesse ?
Car qui connaît ton histoire ?
T'a-t-on battu ? Rejeté ?
Tout au fond de ta mémoire,
Quels souvenirs ? Quels regrets ?
Sois confiant ! Un jour, la porte
S'ouvrira sur ton destin,
Afin qu'un maître t'emporte
Pour suivre un même chemin...
Qui dira "C'est d'un refuge
Qu'il est venu, mon bon chien !
C'était un chien de refuge...
Je l'aime, il me le rend bien !"

left by colombine67 on 03/03/2015  
L'homme... m'achète
L'homme... me reproduit
L'homme... me mutile
L'homme... me bat
L'homme... me force à me battre
L'homme... m'abandonne
et maintenant
L'homme... m'a détruit
pourtant je voulais seulement être AIME

left by colombine67 on 02/03/2015  
DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIR….
Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classé deuxième catégorie.
Je suis un Rottweiler, et pour moi il n’y a pas de pitié, je dois payer de ma vie.
A l’aube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande qu’à jouer,
Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui m’a jugé.
Je n’ai pas connu mes parents ; tout petit j’étais chez un marchand qui m’a vendu
Comme mes sœurs et frères, dans les sous-sols d’une cité, que je n’ai jamais vue.
Dans un appartement je fus alors gardé, au milieu des enfants venant me taquiner,
S’amusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser.
Quelques mois sont passés, dans cette famille j’ai vécu des jours de grand bonheur,
Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures.
C’est au parc qu’on m’emmenait, je pouvais gambader et même aller jusqu’à l’étang,
J’étais heureux, j’en profitais pour me baigner, et revenais me secouer prés des enfants.
Je croisais quelques congénères, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien.
Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien,
Car j’entendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans,
Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obéir était nécessaire et prudent.
Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient d’un air bizarre, ou même interrogateur.
Ils me donnaient l’impression de se méfier de moi, cherchant à m’éviter, ils avaient peur.
J’avais remarqué, les mamans serraient de beaucoup plus prés, protégeant leurs enfants.
Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pétillaient en me voyant.
Et ce soir fatidique, du début de juillet, en rentrant au quartier, j’ai vu surgir trois ombres,
Et j’entendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva d’autres, je ne sais plus le nombre,
Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « s’il nous mord on le plombe »
Ils étaient là pour moi, en mission très spéciale, commençant ici pour finir… dans ma tombe.
Mon jeune maître du s’expliquer, je fus mis en laisse et muselé, puis enfermé dans une cage,
Pendant que ces messieurs de la police, constataient que j’étais illégal, ni papiers ni tatouage.
Alors à la fourrière on m’emmena, ou sans ménagement on me jeta dans un bien triste chenil,
Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvés aux environs ou au centre ville.
A partir de cet instant, j’étais condamné, victime innocente d’une loi aussi bête qu’injuste,
Un peu du même genre que celle que l’on voudrait prendre en ce moment pour les « putes ».
Il est vrai, j’étais « sans papiers », mais je n’en veux pas à ma famille, ils n’en ont jamais eu,
Vivant dans un ghetto depuis dix ans, j’étais le cadeau des enfants qu’ils ne reverront plus.
Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, même des drames,
Souvent rendus méchants par des Maîtres infâmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames.
Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je n’ai jamais mordu ni grogné, et je dois partir,
Laissant tous seuls ces enfants qui m’adorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir.
La société humaine ainsi a décidé, qu’être un Rottweiler en famille immigrée, sans papiers,
Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procès, ni pitié.
Soyez bien surs que s’ils osaient, ils ne se contenteraient pas d’euthanasier seulement le chien,
Mais pour l’instant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et c’est ce qui les retient.

left by colombine67 on 01/03/2015  
"Ses yeux ont rencontrés les miens lorsqu' elle a descendu le couloir regardant fixement et avec appréhension dans les niches. J'ai senti son besoin immédiatement et savais que je devais l'aider.
J'ai remué ma queue, non trop avec exubérance, ainsi elle n'a pas eu peur. Comme elle s'est arrêtée à ma niche, j'ai bloqué sa vue d'un petit accident que j'avais derrière moi dans ma cage.
Je n'ai pas voulu qu'elle ait su que je n'avais pas été marché aujourd'hui.
Parfois les gardiens de refuges surmenés sont trop occupés, et je n'ai pas voulu qu'elle ait pensé du mal d'eux.
Comme elle a lu ma carte de niche j'ai espéré qu'elle ne serait pas triste de mon passé. J'ai seulement l'avenir pour me réjouir et chercher à fabriquer une vie différente avec quelqu'un.
Elle est descendue sur ses genoux et m'a fait un peu de baisers. J'ai posé mon épaule et le côté de ma tête contre les barreaux pour la réconforter. Une main douce a caressé mon cou ; elle était désespérée elle avait grand besoin de compagnie. Une larme est tombée de sa joue et j'ai levé ma patte pour l'assurer que tout irait bien.
Bientôt ma porte de niche s'est ouverte et son sourire était si brillant que j'ai immédiatement sauté dans ses bras.
Je promettais de garder son coffre-fort. Je promettais de toujours être à ses côtés. Je promettais de faire tout ce que je pourrais pour ne voir que le sourire radieux et miroiter dans ses yeux.
J'étais si chanceux qu'elle soit descendue dans mon couloir. Tellement plus là-bas qui n'ont pas marché dans les couloirs. Tellement plus aurait pu être sauvé. Au moins je pourrais sauver celle-ci."

left by colombine67 on 28/02/2015  
J'ai trouvé votre chien aujourd'hui.
Non, il n'a pas été adopté par quelqu'un. La plupart d’entre nous qui vivent par ici ont autant de chiens qu'ils le désirent, et ceux qui n'en n'ont pas le font par choix.
Je sais que vous espériez qu'il trouverait un bon foyer quand vous l'avez abandonné par ici, mais ce n'est pas le cas.
La première fois que je l'ai vu il était à des kilomètres de la plus proche maison, et il était seul, assoiffé, maigre et léchant une blessure à sa patte. Comme j’aurais espéré être vous quand je me suis tenu devant lui. Voir sa queue s’agiter, ses yeux s'éclairer alors qu’il aurait sauté dans vos bras, sachant que vous l'avez retrouvé et que vous ne l'avez pas oublié. Voir son pardon dans ses yeux pour toutes les souffrances qu’il a rencontré dans sa recherche sans fin pour vous
retrouver......mais ce n’était pas vous. Et malgré toute ma persuasion, ses yeux ne voient qu’un étranger. Il ne me fait pas confiance, il ne vient pas. Il s’est retourné et a continué son périple, celui qui doit le ramener vers vous.
Il ne comprend pas pourquoi vous ne le recherchez pas, il sait seulement que vous n'êtes pas là et qu’il doit vous
retrouver. Cela est plus important que la nourriture ou l'eau qu'un étranger pourrait lui donner. Le persuader ou le poursuivre n’aurait servi à rien, je ne connais même pas son nom. J'ai conduit jusqu'à la maison, rempli un seau d’eau et un bol avec de la nourriture et je suis retourné où je l'avais rencontré. Je ne pouvais voir aucun signe de lui, mais j’ai laissé mon offrande sous un arbre où il avait trouvé refuge du soleil et une chance de repos.
Vous voyez, il n'est pas dans le désert.
Lorsque vous l'avez domestiqué vous lui avez enlevé toute chance de survie. Son objectif lui demande de
voyager durant la journée, il ne sait pas que le soleil et la chaleur vont le tuer, il sait seulement qu'il doit vous trouver. J'ai attendu qu'il revienne vers l'arbre, espérant que mon cadeau bâtirait un élément de confiance qui me permettrait de le ramener à la maison, d'enlever sa blessure à la patte, lui donner une place fraiche pour se coucher, et l'aider à comprendre que la partie de sa vie avec vous était finie.
Il n'est pas revenu le matin, et le soir l'eau et la nourriture était encore là, intactes. Je suis devenu inquiet. Vous devez comprendre que beaucoup de personnes n'aideront pas votre chien. Certains le feront fuir, d'autres appelleront leur municipalité et le destin dont vous pensiez l’avoir préservé sera défait par des jours sans eau ni nourriture.
J’y suis retourné à la nuit, je ne l'ai pas vu. J'y suis allé très tôt le matin d'après rien n'y avait été touché. Si seulement vous étiez là pour l'appeler par son nom, votre voix est si familière pour lui. J'ai commencé mes recherches par la direction qu’il avait pris la veille, mes doutes obscurcissant mon espoir de le trouver. C’est des heures plus tard et à une bonne distance de notre première rencontre que j’ai retrouvé votre chien.
Sa soif s’est arrêtée, ce n’est plus un tourment. Sa faim a disparu, sa blessure ne l’embête plus. Votre chien a été libéré de ses tourments, voyez vous, votre chien est mort. Je me suis agenouillé à ses cotés, et je vous ai damné pour ne pas avoir été là hier pour que je puisse voir la lueur même pour un moment dans ses yeux maintenant libérés.
Et j'agonise, car je sais que s’il se réveillait maintenant et que j'étais vous ses yeux se mettraient à briller de reconnaissance et sa queue s’agiterait dans un signe de pardon.

left by colombine67 on 27/02/2015  

LE VIEUX CHIEN et L’ENFANT !
Je les ai tant aimés, et ils m’ont tant donné,
Je revois leurs yeux quand ils me fixaient,
Je ne pourrai jamais vraiment les oublier.
J’entends encore leur cœur, contre le mien serré.
Pourtant ils sont partis, me laissant sur la route.
Là, ils ont mis en moi la grande peur du doute,
De n’avoir pas su faire les signes qu’il fallait,
Ou les gestes pour dire combien je les aimais.
Je n’ai jamais compté le nombre de caresses,
Les heures consacrées à capter la tendresse,
Complicités du jour, compagnie de la nuit,
Instants sacrés, qui me manquent aujourd’hui.
Le monde est cruel et l’humain n’est pas tendre,
Les Animaux sont là pour nous faire comprendre
Que l’Amour se rencontre mais ne s’achète pas,
Il se trouve souvent… en lui tendant les bras.
Des yeux qui vous implorent, une queue qui remue,
Un miaulement, un aboiement, sont un appel qui tue.
Ils voudraient bien vous dire « c’est moi qui te choisis »,
Mais hélas bien trop vite, déjà, vous êtes repartis.
Nous resterons ici, dans ces cages affolantes, carcérales,
Merci pour les bons soins grâce à la protection Animale,
Certains pour quelques temps et d’autres pour toujours,
Espoir sans avenir, quête éperdue d’un impossible Amour.
Puis tu es arrivé, charmant petit enfant, tu t’es mis à pleurer,
Tes doigts se sont serrés sur la grille que tu n’as pas lâchée.
La pluie de tes larmes, les sanglots de ta voix, déchirants
De sincérité, de joie, d’Amour mêlés, ont touché tes parents.
Oh ! Que tu étais fier ! Tenir en ta main la laisse du bonheur,
Te rendait bien plus fort, puissant, tout en ouvrant ton cœur.
Tu as gagné petit, tu as gagné pour toi, tu as gagné pour lui,
Maintenant tu es deux, il veillera sur toi qui fus son seul Ami.
Qui a dit que les vieux chiens ne s’adoptent jamais,
Il a plus de 10 ans, mais son cœur est prêt à t’aimer.
Son destin est entre tes mains, tu viens de lui sauver la vie,
Trois ans qu’il était là ; je suis content, son calvaire est fini.
Texte de Gilbert DUMAS

left by ovanek on 21/02/2015  

La fleur la plus belle perd un jour de sa beauté
mais notre fidèle rencontre garderas sa splendeur pour l'éternité

Lorsque deux nobles cœurs se sont vraiment aimés
Leur amour est plus fort que la mort elle-même
Cueillons les souvenirs que nous avons semés
Et l'absence après tout n'est rien lorsque l'on s'aime...
je t'aime mon Chien

En promenade sur les sentiers, tu marchais à mes côtés ....
Maintenant tu es toujours présent ....et m’accompagne dans mes pensées
et tes pas resterons gravé dans mon Cœur à tout jamais...

** Complicité **
Que de complicité partagée
Par cet amour inégalé
Que ton cœur nous a donné
Et ne cessera de continuer
Ton élégance si naturelle
Ton dévouement si fidèle
Nous a laissé une telle empreinte
Qu’à notre peine manque une étreinte
Quand ton âme s’en est allée
Et que le calme s’est installé
La détresse de ce silence
Marque à jamais ton importance
Ton image restera telle
Une immense étincelle
Qui jamais s’éteindra
et ta place tu garderas
** pensée **


left by Touky on 21/02/2015  
Le temps passe, voilà 3 ans que tu es au paradis Paco, et chaque journée ton papa a une pensée pour toi, tu continues à l'accompagner par ton souvenir tendre et bienveillant.
Tendres caresses et doux bisous petit coeur

left by franck on 18/02/2015  
Mercredi 18 février
Mon pac, il y a 3 ans je t'emmenais chez le docteur pour ne plus te ramener,je n 'avais pas compris que tu ne reviendrais plus, je niais l 'évidence,pour moi tu étais éternel, tu serais toujours a mes cotés.
J'ai pleuré toute les larmes de mon corps et je te pleure encore.
Tu avais compris que ton heure était venu, tu as regardé ta maison et ta maman une dernière fois..
En écrivant ses mots les larmes coulent sur le clavier, que te dire que tu ne s 'est déja, tu seras toujours présent dans mon cœur, j et 'aime tant.
A présent tu ne souffres plus, mais tu me manques cruellement, ton papa

left by franck on 31/12/2014  
mercredi 31 décembre 2015
Mon petit ange, les années passent,ta mémoire , ton souvenir restent.
Jamais le ne t'oublierai,tes photos sont toujours dans les albums, sur le mur du salon, tu es comme un fils pour nous,on t 'a toujours aimé comme tel, et tu nous l'a rendu du centuple.
J'ai du mal à ranger dan un coin de ma mémoire nos derniers moments ensemble, ton dernier regard en quittant la maison, toi tu savais que c'était la fin , que tu n'allais pas revenir, moi je l'ignorais, je te croyais immortel tellement que notre complicité était grande,elle est encore grande à ce jour car je te raconte tout.Personne ne prends ta place, tu es irremplaçable.Si je pouvais seulement remonter le temps...nous serions à nouveau réuni.
je t'aime ton papa

left by franck on 03/11/2014  
Mon pac,j espère que ta fleur te plait, j'aimerai tellement faire mieux, ne serais ce que pour te remercier de ta gentillesse, toi mon seul ami. mais malgré tous mes efforts je ne suis même pas à 1%. Tu es toujours dans mon coeur, toi mon palivinus comme dit martin...




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A mon meilleur ami....
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Lors du déménagement..
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tu me manques...
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quelle allure!!!!
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tu adorais dormir sur ce fauteuil...
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le dernier anniversaire chez ta mamie
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comme tu es beau mon coeur..
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tes derniers instants chez nous mon amour..
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Ton dernier déménagement, ta derniére maison avant
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que du bonheur..un adorable ange
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comme il était bien couché comme cela..
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mon amour...
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un véritable empereur
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tu adorais les peluches
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