Babette,
Je 'nai jamais eu dans ma vie, à donner mon accord pour l'euthenasie d'un de mes animaux. Mais, Volney était mon premier animal dans ma vie d'adulte. Donc, j'avais pensé bien entendu à cette éventualité. La situation ne s'est pas produite, pour cause... Il s'est "endormi" car son coeur n'a pas tenu :-( Mais, ne culpabilisez pas d'avoir pris cette désicion. Votre compagnon était à un stade de la maldie avancé, et vous lui avez épargné de longues souffrances. Lorsqu'on voit chez l'homme, des personnes atteintes d'un cancer, une medecine qui s'acharne, sachant parfaitement l'issue fatale à très court terme. La personne qui souffre. Le droit de mourir dans la dignité (l'euthenasie) est un sujet tabou chez l'homme, pour preuve nos politiques ne cherchent pas à engager véritablement le débat et à légiférer. J'ai vu de sproches partir si vite avec des maladies graves, la soufrance était là ... Pourquoi les medecins sacharnaient-ils en connaissant parfaitement l'impossibilité de lutter ?
Bien que cela ne soit pas le sujet ici, je pense que vous avez fait ce qu'il fallait. Il s'est endormi, et ne souffre plus et n'a pas agonisé des semaines... Peut-être l'auriez vous gardé près de vous quelques jours, semaines de plus... Mais dans quelles conditions physiques pour lui et morales pour vous ?
Personnelement, j'ai traversé une épruve très dure face à la maladie, je n'avais que 32 ans, comme je 'lai écrit Volney a joué un rôle important. Certes ce n'était pas une maladie incurable, bien que le pronostiv vitalé tait engagé. Je ne suis pas à l'abris d'une rechute. Mais, si un jour je devais repaser par là , j'ai bien dit que je ne souhaite pas un acharnement de la medecine, si mon cas est jugé sans issue. Et je préfère nettement m'endormir paisiblement, sereinement que de souffrir et voir les gens souffrir pour moi.
Ce ne sont que des paroles écrites, certes, mais une réalité. Donc, ne vous en voulez pas. Ce que vous avez décidé était et est surement une preuve d'amour, car vous avez agit pour son bien...
Et je suis sur, qu'il veille sur vous aujorud'hui avec respect et gratitude... |