Merci à vous

merci à vous tous pour les bouquets et gentils messages pour ma Purdey que je n'ai pas oublié
depuis 20ans.
Nous avons passé 13 ans 1/2 ensemble c'était un amour de fifille.Au début mon mari était très souvent absent et moi j'attendais mon fils elle me protégeait ne me quittait jamais. Quand mon fils est né ça a été fusionnel entre eux elle le suivait et lui s'endormait avec elle dans la grande paniche et quand je le retirais du panier pour le mettre dans son lit elle se retournait et me boudait elle était rigolote comme tout. Pour vous dire combien elle était attachée à mon fils quand il a fait des convulsions hyper thermiques j'étais dehors en train d'étendre mon linge elle est venue me chercher et m'a fait comprendre que qq chose n'allait pas ensuite j'ai conduit mon fils à l'hôpital et dans la panique j'ai laissé ma fifille au milieu de la cours et à l'époque il n'y avait pas de grille et bien quand je suis revenue elle n'avait pas bougé elle attendait au milieu du chemin. Elle surveillait tjrs mes enfants et ils l'adoraient et ils n'ont jamais eu un geste méchant envers Purdey je ne l'aurai pas accepté un animal n'est pas un jouet et elle n'a jamais montré d'agressivité envers eux ni envers quiconque d'ailleurs.
Je suis heureuse aujourd'hui d'avoir pu, grâce à ce site génial,lui rendre l'hommage qu'elle mérite.

Bonsoir Sissi,
C'est un grand honneur que d'accueillir Purdey 20 ans après son envol au Paradis des Toutous où elle doit avoir une place de choix aujourd'hui. Elle doit être fière de vous, de votre amour et de votre sincérité. L'histoire de votre fils et son 6ème sens à elle est bien émouvante. Amicalement. Martine.

quelle jolie histoire et quel plaisirde voir que 20 ans apres on oublie pas nos amours carole

Merci à vous oh non je ne l'oublie pas ma Purdey je rêve d'elle très souvent .
C'était ma première fifille à moi offerte par mon mari je l'ai aimée de tout mon coeur et je l'aime toujours comme ma Jiska et mon Athor sans oublier ma Ciboulette .
On ne peut pas vivre pendant des années avec eux et tirer un trait quand ils nous quittent moi j'en suis incapable. Je voudrai parfois être magicienne et nous les ramener ce serait le plus beau cadeau !

Bonjour Sissi,

Comme je vous comprends: nos amours sont inoubliables malgré le temps qui passent.
Tout comme vous, j'ai récemment mis sur ce merveilleux site ma 1ère chienne Asta partie en 1977. Un vrai drame pour moi. J'avais 14 ans. Elle a été à mes côtés pendant 11 ans. Elle m'avait adopté, j'étais sa préférée (j'ai 2 frères et 1 soeur). Son amour pour moi était sans limite , elle aurait donné sa vie pour moi.
D'ailleurs, j'ai 2 anectodes la concernant. La 1ère m'a été racontée par mes parents. A l'âge de 5 ans, j'ai fait une broncho-pneumonie très grave qui m'a plongé dans un état comateux. Le médecin, me disant intransportable, a laissé à ma mère le soin de me faire des piqures. Asta s'est couchée au pied du lit et m'a veillé pendant 3 jours sans manger. Elle refusait, elle pourtant si gourmande, tout ce que mes parents lui présentaient. Un matin, elle est arrivée dans la cuisine et a vidé toute sa gamelle. Ma mère s'est précipitée à mon chevet : je venais de sortir du coma.
La 2ème : Je devais rester 2 semaines en vacances chez mes grands-parents à 250 km de chez moi. Mes parents, frères et soeur et Asta sont donc rentrés à la maison. A la fin de la 1ère semaine, mes parents sont revenus. Asta refusait de manger, juste boire un peu et restait couchée toute la journée. Lorsqu'ils sont arrivés, ma chienne a bondi de la voiture et m'a sauté dessus folle de joie. Elle s'est alors précipitée sur la gamelle de la chienne berger allemand de mes grands-parents et l'a vidée d'une traite !! Elle se serait laissée mourir de faim à cause de ton absence... A partir de ce jour, où j'allais, elle venait.
J'ai eu d'autres chiennes après elle et actuellement j'ai une labrador receuilllie. Mais je ne pourrais jamais oublier Asta : elle était tellement pour moi. Par contre, j'ai un souci (si on peut appeler ça comme cela) : je suis très fusionnelle avec mes chiennes ou inversement, ce qui provoque parfois quelques ennuis.
Véronique