En hommage à tous nos toutous partis bien trop tôt et toujours si présents au fond de nos coeurs :
Jour après jour il faut l'admettre Voir ceux qu'on aime disparaître C'est ce qui fait vieillir trop tôt Au paradis des chiens peut-être Ton long museau à la fenêtre Tu nous accueilleras bientôt Au triple galop caracole Je vois tes pattes qui s'envolent Chevauchant l'herbe et les nuées Le vent siffle dans ton pelage Vole vole mon loup sauvage Comme au temps des vertes années
Extrait de la chanson "Oural" de Jean Ferrat. |