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En hommage à
JACK-RUSSEL-TERRIER
A ISIS victime de la violence humaine
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En hommage à
A ISIS victime de la violence humaine
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445 Fleurs
Déposé par choupinou dans mon coeur vit un petit ange,il perdure et continue de battre au plus profond de celui ci,quand la tistesse me gagne,alors je sens sa chaleur se dégager, qui me réchauffe,alors viens un sourire😌 Déposé par viana67 Tendres pensées pour Isis, petite victime innocente des humains mais aujourd'hui bel ange au paradis 💔🌹 Déposé par choupinou tendresses , câlins ISIS et pensées en ce jour anniversaire petit ange d'amour, je ne t'oublie pas, pauvre petite louloute d'amour Déposé par choupinou " Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c'est doux la nuit, de regarder le ciel." Antoine de Saint-Exupéry |
228 messages
Déposé par poutounou le 24/12/2017Je vous souhaite à tous, Anges, Angelettes, mamans et papas de coeur, une magnifique fête de Noël. Je vous souhaite surtout à tous d'être entourés de plein, plein, plein d'AMOUR : "N'oubliez jamais que le plus cadeau est celui d'être aimé. N'oubliez jamais que la plus belle aventure est celle d'aimer...". * Joyeux Noël * De toute les nuits elle est la plus belle Une nuit magique où toute chose devient merveille Beaux cadeaux généreux et douce joie d'être ensemble pour faire la fête Un réveillon qui illumine les yeux des enfants qui le Père Noël guettent Telle est la recette du bonheur familial en cette soirée géniale Tel est ce moment de partage où les intentions ne sont qu'amicales Les amoureux ont leurs coeurs pleins de tendres voeux pour être heureux à deux Les amis s'écrivent de sincères messages de voeux, des souhaits chaleureux Que ce poème de Noël vous accompagne durant les fêtes de fin d'année N'oubliez jamais que le plus beau cadeau est celui d'être aimé N'oubliez jamais que la plus belle aventure est celle d'aimer |
Déposé par poutounou le 17/12/2017Qu’il fait bon autour du feu en hiver… * Un soir * Nous sommes là, ce soir, paisibles sous la lampe. Mon père lit, sa main pâle contre sa tempe ; Mon frère est accoudé, les yeux ailleurs, Auprès de ma mère qui brode avec des doigts distraits Où luit le reflet lent du foyer sur ses bagues ; Parfois le chien, perdu dans ses beaux songes vagues, Etire de paresse et d'aise son flanc creux ; Et je rêve, parmi le grand silence, heureux. Nous sommes là, ce soir d' hiver, humble famille, Écoutant à l'horloge indécise qui brille Dans l'ombre, palpiter les instants fugitifs, Groupés devant le feu, comme des primitifs. * Fernand Gregh |
Déposé par poutounou le 10/12/2017Qu'elle est jolie et rigolote cette poésie ! * Le cheval chante * -Le cheval chante. Le hibou miaule. L'âne gazouille. Le ruisseau hennit. * - C'est bien, mon enfant : joue avec les mots. * - Le triangle est rond. La neige est chaude. Le soleil est bleu. La maison voyage. * - Tu as de la chance : les mots sont amicaux et généreux. * -Le poisson plane. La baleine court. La fourchette a des oreilles. Le train se gratte. * - Je t'avais prévenu : maintenant les mots te mordent. * Alain Bosquet |
Déposé par poutounou le 03/12/2017Oh oui, rêvons !!! Rêvons de nos Anges...!!! * L'Important * - C'est quoi, l'Important ? - L'Important, c'est d'accrocher des rires Aux branches sèches de la vie… * - C'est quoi, la Vie ? - La Vie, c'est chercher son étoile Dans le fouillis du ciel… * - C'est quoi, le Ciel ? - Le Ciel, c'est ce qu'on ne peut voir Qu'en fermant les yeux… * - C'est quoi, les Yeux ? - Les Yeux, ce sont des forges vives où s'embrasent les rêves… * - C'est quoi, les Rêves ? - Les Rêves…. * C'est ce qui est important… * Robert Gélis ("En faisant des galipoètes" - Anthologie de Poche - Éditions Magnard, 1983) |
Déposé par poutounou le 26/11/2017Jolie fabulette ! * Les souris et le chat luthier * Sur le pont d'un chalutier, Un chat chic jouait du luth. Il avait mis des souliers, Une cravate de jute. * Pendant que le chat luthier Amusait les marins soûls, Les souris du chalutier Rongeaient le chalut à trous. * Personne ne devina Que les souris et le chat S'étaient mis de connivence Pour que les poissons distraits, Désormais, nagent en paix Dans leur monde de silence. * Pierre Coran ("Jaffabules" - Collection Hachette Jeunesse, 1983) |
Déposé par poutounou le 19/11/2017Ne sommes-nous vraiment personne ? * Le tombeau de Monsieur Monsieur * Dans un silence épais Monsieur et Monsieur parlent c'est comme si Personne avec Rien dialoguait. * L'un dit : Quand vient la mort pour chacun d'entre nous c'est comme si personne n'avait jamais été. Aussitôt disparu qui vous dit que je fus ? * - Monsieur, répond Monsieur, plus loin que vous j'irai : aujourd'hui ou jamais je ne sais si j'étais. Le temps marche si vite qu'au moment où je parle (indicatif-présent) je ne suis déjà plus ce que j'étais avant. Si je parle au passé ce n'est pas même assez il faudrait je le sens l'indicatif-néant. * - C'est vrai, reprend Monsieur, sur ce mode inconnu je conterai ma vie notre vie à tous deux : À nous les souvenirs ! Nous ne sommes pas nés nous n'avons pas grandi nous n'avons pas rêvé nous n'avons pas dormi nous n'avons pas mangé nous n'avons pas aimé. * Nous ne sommes personne et rien n'est arrivé. * Jean Tardieu ("Monsieur monsieur" Gallimard 1951) |
Déposé par poutounou le 12/11/2017N’importe quoi ! Mais ça fait énormément de bien de rire un peu…et de dire n’importe quoi aussi !!! * Il était des petits Anges… * Il était des petits Anges, Pirouette, cacahouète. Il était des petits Anges, Qui habitaient de beaux nuages, Qui habitaient de beaux nuages. * Leurs nuages étaient en coton, Pirouette, cacahouète. Leurs nuages étaient en coton, Leurs escaliers en soie dorée, Leurs escaliers en soie dorée. * Le fleuriste y est monté, Pirouette, cacahouète. Le fleuriste y est monté, Et s’est cassé le bout du nez, Et s’est cassé le bout du nez. * Les Anges l’ont raccommodé, Pirouette, cacahouète. Les Anges l’ont raccommodé, Avec du joli fil doré, Avec du joli fil doré. * Mon histoire est terminée, Pirouette, cacahouète. Mon histoire est terminée, Toutous, toutounes, applaudissez, Toutous, toutounes, applaudissez. |
Déposé par poutounou le 05/11/2017Oui, tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. * André Velter ("L'amour extrème, poèmes pour Chantal Mauduit", éditions Gallimard, 2000) |
Déposé par poutounou le 01/11/2017Celui qui perd sa vie, un jour la retrouvera… * Il restera de toi… * Il restera de toi ce que tu as donné Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi, de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s'est pas fanée. * Ce que tu as donné En d'autres fleurira. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi ce que tu as offert Entre tes bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu, Que tu as attendu plus loin que tes réveils. * Ce que tu as souffert En d'autres revivra. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur. Il restera de toi ce que tu as semé, Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. * Ce que tu as semé En d'autres germera. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Michel Scouarnec * En ce jour de Toussaint, je vous souhaite à toutes et tous, chiens, chats, et autres, ainsi qu’aux membres du cimetière virtuel, une bonne tonne de « beaux souvenirs ». |
Déposé par poutounou le 29/10/2017Et bientôt ce sera l'hiver ! Brrr... * Quand l'automne en saison revient * Quand l'automne en saison revient, La forêt met sa robe rousse Et les glands tombent sur la mousse Où dansent en rond les lapins. * Les souris font de grands festins Pendant que les champignons poussent. Ah ! que la vie est douce, douce Quand l'automne en saison revient. * Samivel |
Déposé par celibab le 26/10/2017Le prodige de ce grand départ céleste, qu'on appelle la mort, c'est que ceux qui partent ne s'éloignent point. Ils sont dans un monde de clarté, mais ils assistent, témoins attendris, à notre monde de ténèbres. Ils sont en haut et tout près. Oh! qui que vous soyez, qui avez vu s'évanouir dans la tombe un être cher, ne vous croyez pas quittés par lui. Il est à côté de vous plus que jamais. La beauté de la mort , c'est la présence: présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes. L'être aimé est disparu, non parti. Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas absents... Victor Hugo , , |
Déposé par poutounou le 22/10/2017Il n'y a rien à ajouter : c'est l'homme qui ne va pas sur cette terre, enfin certains "hommes"... * Autocritique * Qu’est-ce qui ne va pas sur Terre ? C’est le chat dit la souris C’est le lion dit la gazelle C’est le loup dit l’agneau C’est l’homme dit l’homme. * Jean-Pierre Develle |
Déposé par poutounou le 15/10/2017Un déjeuner au Paradis, sauf que nos Anges ne s'ennuient jamais, même le Dimanche... * Un déjeuner de fous * J’organise aujourd’hui un déjeuner de fous une chasse à l’herbe folle un braconnage de fruits verts. Nous boirons sous les pommiers du cidre de la pleine lune, nous ferons un jardin des moissons d’amitié de mots sans trèves et de soleils givrés. Et dans ce paysage de rêveries bruissantes nous danserons sur l’ennui des dimanches. * Luce Guilbaud ("La petite feuille aux yeux bleus" - Éditions Le farfadet bleu/Le dé bleu, 1998) |
Déposé par poutounou le 08/10/2017Et oui ! C'est quoi la vie ? * Le Secret * D'où viennent-ils ? Où vont-ils Tous ces humains que cherchent-ils ? * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Il est passé par ici Il repassera par là. * C'est comment, c'est quoi la vie ? Bien malin qui le dira ! * Elle est passée par ici, Elle repassera par là. * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Andrée Chedid ("Fêtes et lubies" - éditions Flammarion - 1973) |
Déposé par poutounou le 01/10/2017Des nuages au Paradis ! Oui, mais de gentils nuages... * Les nuages * Trois petits nuages S’en venaient de Paris, Mais oui, mais oui. Mon Dieu, qu’ils étaient jolis ! Derrière eux le vent riait. Allez, allez ! Et claque, claque son fouet. Le premier nuage Etait léger comme un duvet. Le second petit nuage Avait de beaux cheveux frisés. Passant trop près du soleil, Le pauvre petit dernier S’y était brûlé le nez. Tant pis, tant pis Ils ne pouvaient pas s’arrêter Pensez ! Trois petits nuages S’en allaient au Paradis ! |
Déposé par poutounou le 24/09/2017Au revoir l'été !!! * Voici que la saison * Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroit, Le vent fraichit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froid. * Aout contre septembre lutte; L’océan n’a plus d’alcyon ; Chaque jour perd un minute, Chaque aurore pleure un rayon. * La mouche, comme prise au piège, Est immobile à mon plafond ; Et comme un blanc flocon de neige, Petit à petit, l’été fond. * Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 17/09/2017Voilà à quoi ressemble l'école au Paradis... * Notre école * Notre école se trouve au ciel. Nous nous asseyons prés des anges. Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. * A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacées à l'orange Les assiettes sont en dentelle. * Pas de leçon, pas de devoirs Nous jouons quelque fois, le soir Au loto avec les étoiles. * Jamais nous ne rêvons la nuit Dans notre petit lit de toile L'école est notre paradis. * Maurice Carême ("le moulin de papier" - Nathan) |
Déposé par celibab le 12/09/2017Le prodige de ce grand départ céleste, qu'on appelle la mort, c'est que ceux qui partent ne s'éloignent point. Ils sont dans un monde de clarté, mais ils assistent, témoins attendris, à notre monde de ténèbres. Ils sont en haut et tout près. Oh! qui que vous soyez, qui avez vu s'évanouir dans la tombe un être cher, ne vous croyez pas quittés par lui. Il est à côté de vous plus que jamais. La beauté de la mort , c'est la présence: présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes. L'être aimé est disparu, non parti. Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas absents... Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 10/09/2017Un magnifique lac comme au Paradis blanc.... * J'ai pour toi un lac * J'ai pour toi un lac quelque part au monde Un beau lac tout bleu Comme un œil ouvert sur la nuit profonde Un cristal frileux Qui tremble à ton nom comme tremble feuille À brise d'automne et chanson d'hiver S'y mire le temps, s'y meurent et s'y cueillent Mes jours à l'endroit, mes nuits à l'envers. * J'ai pour toi, très loin Une promenade sur un sable doux Des milliers de pas sans bruits, sans parade Vers on ne sait où Et les doigts du vent des saisons entières Y ont dessiné comme sur nos fronts Les vagues du jour fendues des croisières Des beaux naufragés que nous y ferons. * J'ai pour toi défait Mais refait sans cesse les mille châteaux D'un nuage ami qui pour mon Ange Se ferait bateau Se ferait pommier, se ferait couronne Se ferait panier plein de fruits vermeils Et moi je serai celui qui te donne La Terre et la Lune avec le soleil. * J'ai pour toi l'amour quelque part au monde Ne le laisse pas se perdre à la ronde. * Gilles Vigneault |
Déposé par poutounou le 03/09/2017N’entendez-vous pas, dans l’infini, battre les ailes de nos Anges ? * L’ombre est bleue et la nuit palpite d’ors tremblants Dans l’azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère * Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, En une ascension dont l’essor tremble au clair de lune * N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, * Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. * Fernand Gregh |