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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
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5670 messages
Déposé par poutounou le 11/02/2015Les 8 béatitudes du philosophe. * Heureux qui, retiré du monde, De ses faux plaisirs dégoûté, Jouit dans une paix profonde Des douceurs de la liberté ! * Heureux qui, de la solitude Mettant à profit les loisirs, De son cœur fait sa seule étude, De ses devoirs fait ses plaisirs ! * Heureux qui, bien avec lui-même, Exempt de soins ambitieux, N'aspire qu'à l'honneur suprême De régir son âme et ses vœux ! * Heureux qui dans l'indifférence Brave l'amour et ses tourments, Et qu'une triste expérience N'a point fait sage à ses dépens ! * Heureux qui, peu jaloux de plaire, Et d'entraîner tous les esprits, D'un seul ami tendre et sincère Connaît l'inestimable prix ! * Heureux qui, rival d'Epicure, Accessible à la volupté, Aux doux liens de la nature Permet d'enchaîner sa fierté ! * Heureux qui, dans la noble ivresse D'un cœur épris de la vertu, Sans nul écart, de la sagesse Suit le sentier trop peu battu ! * Heureux enfin qui, sans envie, Sans regrets, voit ses jours finir, Et qui n'a joui de la vie Que pour mieux apprendre à mourir ! * Janson de Sailly. |
Déposé par mindy le 11/02/2015Les morts ne sont pas morts, les morts vivent encore Leurs tombes sont vides, n’enfermant que des corps Certains ont choisi l’ombre, ils errent et ils souffrent Attendant un appel pour sortir de leurs gouffres. Les autres que l’amour a libérés d’eux-mêmes Je les sais près de nous et je sais qu’ils nous aiment. Ne vous lamentez pas, ne pleurez pas sur eux Dans la lumière du cosmos ils sont heureux. Les morts ne sont pas morts, ils sont nés à nouveau Ils sont dans un jardin et non dans un tombeau Dans cet ailleurs si proche, ils nous voient, nous entendent Ils ne nous oublient pas, je sais qu’ils nous attendent L’ami attend l’ami, l’amante attend l’amant Et le fils sa mère, et la mère ses enfants Ne vous lamentez pas, près du fleuve de vie Ils oublient l’errance des âmes asservies. |
Déposé par colombine67 le 11/02/2015Dis , à quoi tu pensais quand tu as dis "On prendrait bien un chien"? Dis , à quoi tu pensais quand il est venu à ta rencontre, tout confiant, encore bébé ou adulte , en l'homme, encore espérant? Dis, à quoi tu pensais quand il te consolait? Dis, à quoi tu pensais, quand avec toi, il jouait? Dis, à quoi tu pensais, en attendant cet enfant? Dis, à quoi tu pensais, en réservant ta location de vacances? Dis, à quoi tu pensais en le "posant" au refuge? Dis, qu'est-ce que tu penserais si ses yeux derrière les barreaux, tu voyais? Dis, qu'est-ce que tu penserais si son corps sur le charnier, tu voyais? Dis, qu'est-ce que tu en penserais, si on arrivait à une loi, permettant de mettre sur tes papiers d'identité "indigne d'adopter"? |
Déposé par ovanek le 10/02/2015❤ ***** Tu es la raison pour laquelle je ris, je souris et je pleure Je t'aime ❤ |
Déposé par colombine67 le 10/02/2015à méditer ......... Lettre d'un employé de fourrière..... à lire et à diffusez SVP Je crois que notre sociiété a besoin qu'on attire son attention là-dessus. "En tant que responsable d'une fourrière, je vais partager quelque chose avec vous... un regard de l'intérieur, si vous me le permettez. Tout d'abord, tous les vendeurs/éleveurs d'animaux devraient travailler au moins UN JOUR dans une fourrière. Peut-être qu'en voyant ces regards tristes, perdus... les yeux troublés, vous changeriez sur l'élevage et la vente à des personnes que vous ne connaissez même pas. Ce chiot que vous venez de vendre finira probablement dans ma fourrière quand il ne sera plus une jolie boule de poils. Alors, comment vous sentiriez-vous si vous saviez qu'il y a 90% de chances que ce chien ne sorte jamais de la fourrière s'il y arrive seulement ? Qu'il soit de race ou non, 50% des chiens qui entrent dans mon centre, abandonnés ou venant de la rue, sont de race pure... Les excuses les plus fréquentes que j’entends sont : "Nous déménageons et nous ne pouvons pas emmener notre chat/chien". Vraiment ? Où déménagez-vous pour ne pas pouvoir prendre d'animal et pourquoi avoir choisi cet endroit et pas un autre où vous pourriez le garder ? "Le chien est devenu plus grand qu'on pensait". Et quelle taille croyiez-vous qu'un Berger allemand avait ? "Je n'ai pas de temps pour m'en occuper" - C'est vrai ? Je travaille 10 ou 12 heures par jour et j'arrive quand même à trouver du temps pour mes 6 chiens. "Il nous abîme toute la cour" - Pourquoi ne le prenez vous pas à l'intérieur avec vous ? On me dit toujours "Pas la peine d'insister pour lui trouver un foyer, nous savons qu'il sera adopté, c'est un bon chien" Ce qui est triste c'est que votre animal ne sera PAS adopté... savez-vous combien une fourrière est stressante ? Laissez-moi vous raconter : L'animal a 72 heures pour trouver une nouvelle famille à partir du moment où vous le laissez. Parfois un peu plus si la fourrière n'est pas pleine et arrive à se débrouiller pour le garder en parfaite santé. S'il prend froid, il meurt. Il sera confiné dans une petite cage, entouré des aboiements et des pleurs de 25 autres. Il devra se débrouiller seul pour manger et dormir. Il sera déprimé et pleurera constamment sur la famille qui l'a abandonné. S'il a de la chance, et si j'ai assez de bénévoles, il pourra être sorti de temps en temps. Sinon, il ne recevra aucune attention, sauf une assiette de nourriture glissée sous la porte de la cage et quelques giclées d'eau. Si le chien est grand, noir ou d'une race "bull" (pitbull, mastin…), vous l'avez conduit à la mort du moment qu'il a passé la porte. Ces chiens ne sont généralement pas adoptés. Peu importe qu'il soit "doux" ou "dressé"... Si le chien n'est pas adopté dans les 72 heures suivant son entrée et que le refuge est plein, il sera sacrifié. Si le refuge n'est pas plein et que le chien est suffisamment gentil et d'une race attractive, il est possible que son exécution soit repoussée, mais pas pour longtemps. La plupart des chiens sont mis en cages de protection et sont sacrifiés s'ils montrent la moindre agressivité. Même le chien le plus calme est capable de changer dans un tel environnement. Si votre chien est contaminé par la toux du chenil (trachéobronchite infectieuse canine) ou toute autre infection respiratoire, il sera sacrifié immédiatement, simplement parce que les fourrières n'ont pas les moyens de payer des traitements à 150 euros. Et voici quelque chose sur l'euthanasie pour ceux qui n'ont jamais été témoins de comment un animal parfaitement sain sera sacrifié : En premier lieu, il sera sorti de sa cage en laisse. Les chiens pensent toujours qu'ils vont se promener, ils sortent heureux, remuant la queue... jusqu'à ce qu'ils arrivent à la "chambre", là ils freinent tous des 4 pattes. Ils doivent sentir ou capter la mort ou sentir les âmes tristes qui ont été laissées là. C'est bizarre mais ça arrive avec tous sans exception. Le chien ou chat sera tenu par 1 ou 2 techniciens vétérinaires, en fonction de sa taille et de sa nervosité. Ensuite, un spécialiste de l'euthanasie ou un vétérinaire entamera le processus de trouver une veine dans sa patte avant et il lui injectera la dose de "substance rose". Espérons que l'animal ne prenne pas peur en se sentant immobilisé. J'en ai vu se griffer eux-mêmes et finir couverts de leur propre sang, rendus sourds par les aboiements et les cris. Tous ne "dorment" pas immédiatement. Parfois ils sont pris de spasmes pendant un instant et se souillent. Une fois terminé, le cadavre de votre animal sera empilé comme un bout de bois, dans un grand congélateur, avec tous les autres animaux en attendant qu'on vienne les chercher comme des déchets. Qu'arrive-t-il ensuite ? Il sera incinéré ? Ils le conduisent à la décharge ? Ils le transforment en nourriture pour animaux ? Vous ne le saurez jamais et vous ne vous poserez probablement jamais la question. Ce n'était qu'un animal et vous pouvez toujours en acheter un autre, non ? J'espère que si vous avez lu jusqu'ici, vous avez eu les yeux troublés et que vous ne pouvez pas vous sortir de la tête les images qui occupent mon esprit tous les jours quand je rentre chez moi après le travail. Je déteste mon travail, je déteste qu'il existe et je déteste savoir qu'il existera toujours à moins que vous changiez et vous rendiez compte des vies que vous gâchez, bien plus nombreuses que juste celle que vous laissez à la fourrière. Entre 9 et 11 millions d'animaux meurent quotidiennement dans les fourrières et vous êtes les seuls à pouvoir arrêter cela. Je fais tout mon possible pour sauver les vies que je peux mais les refuges (fourrières) sont toujours pleins et chaque jour il y a plus d'animaux qui entrent que ceux qui sortent. Je veux juste insister sur ce point : NE FAITES PAS D'ÉLEVAGE OU N'ACHETEZ PAS D'ANIMAUX TANT QU'IL Y EN A QUI MEURENT DANS LES FOURRIÈRES. Détestez-moi si vous voulez. La vérité est douloureuse et la réalité est ce qu'elle est. J'espère juste qu'avec ce texte au moins une personne aura changé d'avis sur l'élevage et l'abandon de son animal dans une fourrière ou sur l'achat d'un chien. Espérons qu'un jour quelqu'un vienne à mon travail et me dise "j'ai lu cela et je veux adopter". Ça vaudrait la peine." Si vous voulez que la situation change, renvoyez ce texte à tous vos contacts. un employé de fouriére Jazz M. Onster |
Déposé par mindy le 09/02/2015Quand je partirai Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller Même s’il me restait encore des choses à voir et à faire. Ma route ne s’arrête pas ici. Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes. Soyez heureux de toutes les années passées ensemble. Je vous ai donné mon amour, Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apporté. Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné Mais il est temps maintenant que je poursuite ma route. Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut. Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie Car c’est pour un moment seulement que nous nous séparons Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre cœur. Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher. Je serai près de vous. Et si vous écoutez avec votre cœur, Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté. Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici, Je vous accueillerai avec le sourire Et je vous dirai: « bienvenue chez nous». Poème Hawaïen |
Déposé par colombine67 le 09/02/2015le petit Eliot, né en mai, avait été acheté par un monsieur en manque d'affection et de compagnie après 1 an de réflexion (d'après lui.) Ce bébé qui n'avait connu que câlins et amour par sa maman Ulyne et Laurence a ensuite connu le pire... ce monsieur voulait un chiot réagissant comme un adulte humain... n'importe quoi !!! La punition... il y a certainement goûté très vite ! Il parait pr ce monsieur que les "trempes" ce n'est pas de la maltraitance, le lançer non plus d'ailleurs !!! On ne le dira jamais assez, on n'achète pas un bébé comme on achète un canapé... Eliot est sorti de l'enfer et est à présent de retour chez mon amie Laurence sa "maman-éleveuse" (voir lien)... il récupère bien...un soulagement pour nous tous mais... combien subissent le même sort dans l'ignorance totale, combien partagent la vie de sadiques qui prennent leur pied à frapper des êtres sans défense... ça fait peur !!! Vs avez été nombreux à vs manifester auprès de mon amie Laurence (élevage de Tahuva), certains sur son livre d'or... c'est génial pr ce petit bonhomme ! J'espère que ce tortionnaire lira tous ces messages. Amoureux des cavaliers (ou autres), soyez responsables... agissez si vs avez connaissance d'un cas de maltraitance.... merci pr eux ! samedi 14 novembre 2009 : Eliot a rejoint sa nvelle maison... et une maman qui a des tonnes d'amour à lui donner... bonne route petit bonhomme |
Déposé par choupinou le 09/02/2015il y a des larmes qui ne cessent jamais de couler des vides dans lesquels nous sommes et qui ne se comblent pas des souvenirs si intenses que rien n'efface et des compagnons que l'on a aimés ,qu'on ne remplace jamais des images du bonheur enfouis reviennent.... mais uniquement pour chasser la peine de nos coeur meurtris . |
Déposé par colombine67 le 08/02/2015Sixième sens -histoire vécue- Tout le monde lui disait de faire piquer son chien : il était vieux, malade, bizarre.... golden La prochaine vedette de Hollywood ne ressemblera sûrement pas à Bullet. Golden Retriever de 15 ans au museau grisonnant, Bullet se déplace avec l'agilité d'une tortue, souffre du coeur et est rongé par un cancer. Bref : un candidat idéal à l'euthanasie. Sauf qu'il appartient à Pam Sica et que, pour sa maîtresse, l'amitié n'a pas de prix. En avril 2000, Pam apprend que son cher Bullet a une tumeur au foie grosse comme un pois. Vu l'âge du patient, le Dr. Cangro déconseille l'opération. La nouvelle bouleverse Pam. Elle a déjà perdu des animaux de compagnie mais jamais un ami comme Bullet. Il avait à peine 7 semaines quand elle l'a trouvé dans un panier devant sa porte, décoré d'un ruban rouge et d'une petite carte avec ces mot : "Veux-tu être ma maman ?" Pam n'a jamais eu d'enfant malgré son désir et ses animaux sont devenus comme ses petits. En août, la tumeur a tellement grossi que le Dr Laurence Cangro ne peut plus temporiser. Il faudrait l'opérer car une hémorragie interne pourrait être fatale. Mais pas un maître sur 10 débourserait cette dépense pour un animal aussi âgé. Pam et Troy sont l'exception. Ils déboursent près de $5000 pour donner une chance à l'animal. Bullet ressort vivant de la salle d'opération. Mieux, il a faim en se réveillant et, au bout de quelques jours seulement, il est de retour à la maison. Un an plus tard, Pam a une nouvelle raison de croire aux miracles. Pendant des vacances à Walt Disney World, elle découvre qu'elle est enceinte. Le 10 avril 2002, Troy Joseph Sica vient au monde. Mais il faut préparer Bullet à cette révolution. Pam remet donc à son mari une couverture dans laquelle le petit est emmailloté, avec pour mission de la faire renifler à Bullet pour qu'il s'habitue à cette odeur. Son mari place donc cette couverture dans le panier qui sert de lit à Bullet. De retour à la maison, les dernières inquiétudes de Pam s'évaporent : le chien s'attache au bébé instantanément. Il est environ 5 heures du matin, ce 1er mai 2002. Troy dort tranquillement entre les oreillers du lit de ses parents pendant que son père prend sa douche et que sa mère lui réchauffe un biberon. Tout à coup, Bullet surgit dans la cuisine, aboyant et sautillant comme un fou. Il essaie d'entraîner Pam ver la chambre. Mais Pam ne se presse pas à répondre à Bullet. Elle se dirige vers la salle de bain pour parler à son mari mais Bullet s'affole, bondit comme jamais elle ne l'a vu faire depuis des années et essaie frénétiquement de la diriger vers la chambre. Pam se résigne à le suivre, du pas pesant de la nouvelle maman trop tôt levée. Le bébé est bien là où elle l'a déposé, mais il a la peau d'un bleu presque fluorescent et les membres mous comme ceux d'une poupée de son. Seul un gargouillement révèle qu'il est toujours vivant. Troy sort en trombe, lui donne des tapes dans le dos. Pam appelle le 911. L'alerte est lancée : détresse respiratoire extrême. Puis Damon Alberts, un technicien ambulancier qui habite tout près, se présente à son tour, suivi de ses collègues. La tête du bébé est trop petite pour le masque à oxygène : les ambulanciers dirigent tant bien que mal le flux de gaz sous pression vers son nez et sa bouche. Une minute après le début de la manoeuvre, le visage commence à rosir : les poumons se remettent en marche mais le bébé n'est pas encore tiré d'affaire. Emmené en ambulance à l'hôpital, il doit être réanimé une deuxième fois. Puis on le transfère au service pédiatrique et le diagnostic tombe : pneumonie. Il passe 4 jours sous ventilateur et reçoit des antibiotiques sous perfusion pendant 2 semaines. "Il mènera une vie normal et restera en parfaite santé tant qu'il mettra sa ceinture et évitera de conduire après avoir bu", plaisante le Dr Thomas Biancaniello, directeur du service de pédiatrie. Si Bullet n'avait pas tant insisté, le pronostic n'aurait pas été aussi rose. "Chez le nouveau-né, les séquelles d'une pneumonie sont souvent très graves, explique le Dr Marc Salzberg,. Le cerveau se développe jusqu'à l'âge de deux ans ; la privation d'oxygène l'affecte davantage durant cette période-là. Au bout de quelques minutes, l'anoxie provoque des lésions cérébrales ou même la mort". Comment Bullet a-t-il pu comprendre que le petit Troy étant en danger ? "Les chiens sont très sensible au langage corporel, note le DrMarty Becker, vétérinaire. Ils passent des heures à observer nos moindres mouvements, à écouter le rythme de notre respiration. J'imagine très bien celui-ci remarquer une immobilité inhabituelle, une absence de respiration, pressentir un danger et foncer vers le chef de sa meute, en l'occurrence, Pam, pour donner l'alerte." Le vrai miracle, dans cette histoire, ce n'est donc pas que Bullet ait deviné la détresse du nouveau-né étendu sur le lit. C'est que Pam ait accepté de prolonger la vie de ce vieillard deux ans auparavant. "Je lui ai donné un supplément de vie, et il m'a rendu une vie entière" dit-elle simplement. |
Déposé par mindy le 07/02/2015Désormais tu es parti, adieu Mes yeux te chercheront dans les cieux Pour toujours tu seras dans nos cœurs Aide-nous à ce que la joie demeure La vie a décidé de ton départ Et je dois te dire au revoir Je t’ai aimé et je te remets à Dieu Cette nouvelle absence, quelle violence Quelle déchirure et blessure immenses Pourrai-je donner un sens à l’insensé Pourrai-je un jour enfin l’accepter Désormais tu es parti, adieu Mes yeux te chercheront dans les cieux Pour toujours tu seras dans nos cœurs Aide-nous à ce que la joie demeure La vie a décidé de ton départ Et je dois te dire au revoir Je t’ai aimé et je te remets à Dieu Jamais plus rien ne sera comme avant Depuis ton dernier souffle dans le vent Je te rejoindrai mais pas maintenant Car la vie va toujours de l’avant Merci pour tout cet amour partagé Nous serons plus grands de t’avoir aimé Merci pour tout l’amour en héritage Ce chant nous te l’offrons en hommage Adieu … |
Déposé par colombine67 le 07/02/2015Donne 2 enfants de 5 et 2 ans. Raison : adoption d'un animal Manque de place pour les enfants mais surtout mon animal est très allergique à leur cris Il ne peut pas dormir tranquillement dans son panier sans être dérangé Ils lui tirent la queue et ils son agressif avec lui C'est sur le conseil de mon vétérinaire que je me débarrasse d'eux Je cherche néanmoins une famille sérieuse « parce que je veux avoir bonne conscience » qui saura s'occuper d'eux et parfaire leur éducation au moment de l'adolescence Quoi ? Ça vous choque ? C'est grave ? Pourtant chaque jour beaucoup trop d'annonces sont publiées dans le sens inverse et ça ne choque pas grand monde ...... ! UN CHIEN,UN CHAT EST UN ETRE VIVANT AVEC UN COEUR IL NE FAUT PAS L'OUBLIER |
Déposé par colombine67 le 06/02/2015Assieds-toi à côté de moi, j’ai à te parler. Je t’ai, maintenant je le crois, assez écouté. Je me souviens de notre rencontre, c’était un jour ou le soleil brillait, l’air était doux. Un parfum de muguet, que je n’avais encore jamais respiré, se répandait tout autour de nous. Tu es venu vers moi, tu semblais si fatigué, si triste, que je me suis tout de suite senti proche de toi. Les arbres, les fleurs, l’herbe même sentaient la naissance, le début, la fraîcheur. Quand tu m’as pris dans tes bras, ton cœur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j’en étais stupéfait! Tu me donnais tant d’amour qu’il me semblait que l’éternité était en nous, que ma vie était elle. Tu m’as connu bébé, je suis maintenant beaucoup plus vieux que toi, au crépuscule de ma vie. C’est moi maintenant qui suis fatigué, si fatigué, éreinté. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l’heure d’avoir les réponses à mes questions. Es-tu beau? Es-tu laid? Es-tu intelligent, idiot, maigre, gros, petit, grand, noir, blanc, jaune, rouge, vert? Es-tu riche, pauvre? As-tu du goût? Comment t’habilles-tu? Portes-tu du vert avec du bleu? Du marron avec du noir? Non. Ne réponds pas à mes questions, après tout, que m’importe? Tu es ce que tu es, celui que j’ai aimé, que j’ai toujours aimé. Le premier, le dernier. Notre sort aurait pu être si différent… le mien surtout. J’aurais pu me retrouver seul, dans le froid, attendant jusqu’à ma mort ton retour. J’aurais pu me sentir abandonner mais confiant, même si cela peut paraître incompatible. J’aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions. Comme je me sens bien près de toi… il me semble sentir à nouveau le muguet comme ce jour de mai; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble même entendre battre ton cœur, comme au premier jour. Pour moi, c’est le dernier. Ne pleure pas mon ami. Ton tour viendra, et je ne peux m’empêcher de te promettre que je t’attendrais, même si je sais que tu ne crois pas à ces choses là. Que nous reste t’il donc? Rien d’autre que ce que tu penses être un faux espoir. Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet? Je vais continuer de vivre dans ton cœur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serais toujours tout près de toi, tant que mon image sera présente en toi. Je dois maintenant m’arrêter. S’il te plait… Poses ta main sur ma tête… caresses-moi. Je vais partir, et j’ai un peu peur. Il me faut ton odeur… Adieu. D’un chien à son ami de maître. |
Déposé par rafia le 05/02/2015Mon copain Quand j'ai du chagrin Il ne me dit rien Il sait bien que ça ne sert à rien Quand j'ai du chagrin. Mon copain Mon ami Quand j'ai de la peine Il ne me dit pas qu'il m'aime Je sais bien que ça le gêne Quand j'ai de la peine. Mon copain Alors il m'écoute Moi je sais qu'il m'entend Et il me regarde Moi je sais qu'il comprend. Mon copain Il se met dans un coin Ses yeux sont plus malheureux Que les miens. Mon copain Mon copain, mon ami Il est plus qu'un ami Plus qu'un bon copain Puisque c'est mon chien. Mon copain Chantal Abraham |
Déposé par poutounou le 05/02/2015L’Arbre et la graine * Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe. Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque. Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? * Benoît Marchon |
Déposé par rafia le 05/02/2015L'amitié et l'ami La réelle amitié d'un ami est sacrée, Un merveilleux trésor qu'il faut protéger. On peut se passer de l'amour, Mais l'amitié il en faut toujours. À qui confier nos joies, nos chagrins ? Si ce n'est à un ami, tel un frangin. Il est agréable de se sentir indispensable, Quand lui vit des problèmes semblables. L'amitié c'est beau, mais tellement rare, Que la vie parfois ainsi nous sépare. On oubliera jamais le véritable ami, À qui on s'est confié sur sa vie. Mais on oubliera bien plus vite, Ces faux amis qui autour de nous gravitent. Maxalexis. |
Déposé par rafia le 05/02/2015L'Amitié On ressent l'amitié du plus profond du cœur, C'est un beau sentiment, qu'on donne avec candeur, Il pointe et nous ravit, comme une rose fraîche, Mais, si vite, souvent, la rose se dessèche. L'amitié se chérit comme les tendres fleurs, Que cultive le cœur, pour ses mille couleurs, C'est un très beau bouquet, si plein d'exubérance, Qui répand dans nos coeurs une douce fragrance. Pour garder l'amitié, pour la faire fleurir, Il lui faut du respect, qui la fera mûrir, Il faut la ménager, parce qu'elle est fragile, Même avec les amis, qui ont des pieds d'argile. Nous choisissons l'ami, pour pouvoir partager Nos secrets, nos loisirs, et pour nous entraider, S'il a quelques défauts, laissons passer les choses, Les épines sont là pour protéger les roses. L'amitié se cultive avec beaucoup de soins, Dans un fertile sol, qui reçoit les pépins, Et, pour l'épanouir, seule la confiance Lui donne cet élan que nourrit l'espérance. Lorsqu'on perd un ami, l'âme se met en deuil, L'amitié se répand, en débris, sur l'écueil, La déchirure saigne, et puis se putréfie ; La suppuration dure toute la vie. Christian Cally. |
Déposé par mindy le 05/02/2015Le Petit Prince de Saint-Éxupéry Cette nuit-là, je ne le vis pas se mettre en route. Il s’était évadé sans bruit. Quand je réussis à le rejoindre, il marchait, décidé, d’un pas rapide. Il me dit seulement : ― Ah ! Tu es là … Et il me prit par la main. Mais il se tourmenta encore : ― Tu as eu tort. Tu auras de la peine. J’aurai l’air d’être mort, mais ce ne sera pas vrai … Moi, je me taisais. ― Tu comprends. C’est trop loin. Je ne peux pas emporter ce corps-là. C’est trop lourd. Moi, je me taisais. ― Mais ce sera comme une vieille écorce abandonnée. Ce n’est pas triste les vieilles écorces. |
Déposé par Ana le 05/02/2015"personne ne sait encore si tout ne vit que pour mourir ou ne meurt que pour renaître" M.Yourcenar bien sûr que la deuxième supposition est la plus belle, alors on va y croire ... bonne soirée et mille mercis chère Maryem amitiés. |
Déposé par colombine67 le 05/02/2015Suis-je célèbre maintenant ? Je suis née aujourd'hui, une des dix. Mon papa était très célèbre. J'ai beaucoup de demi-frères et soeurs. Ma maman aussi était très célèbre. Quand elle est devenue célèbre, elle n'a eu que des chiots. Fini les mains caressantes, fini les excursions ... seulement encore plus de chiots. Elle est toujours triste quand ils la quittent. Aujourd'hui, j'ai quitté ma maison. Je ne voulais pas partir, donc je me suis cachée derrière ma maman et mes trois compagnons de nichée qui restaient. Ils disaient qu'un certain jour moi aussi je deviendrais célèbre. Je me demande, est-ce que célèbre veut dire la même chose que plaisir et bon temps ? Donc tu me soulevais et m'emportais, bien que tu étais consciente que je me cachais pour toi. Je crois que tu ne m'aimais pas non plus. Ma nouvelle demeure est très éloignée. J'ai très peur. Mon petit coeur me disait "sois courageuse" ... comme mes ancêtres. Est-ce qu'il y avait une bonne maison ? J'ai faim, je ne peux pas trop manger, c'est mauvais pour mon ossature. Je ne peux pas mordre ni grogner quand les enfants me tourmentent. Je cours seule et m'imagine que je cours dans une prairie verte avec des papillons, des oiseaux et des coccinelles. Je ne comprends pas pourquoi ils me battent. Je suis tranquille, mais l'homme frappe et crie des gros mots. La dame ne me donne pas la bonne nourriture comme chez ma maman. Elle jette simplement de la nourriture sèche par terre, se retourne et disparaît avant que j'ai le temps pour une caresse ou un autre contact. Parfois ma nourriture sent mauvais, mais je la mange quand même. Aujourd'hui, j'ai mis au monde dix chiots. Ils sont tellement jolis. Suis-je célèbre maintenant ? Je voudrais bien jouer avec eux, mais ils sont tellement petits. Je suis encore tellement jeune et folâtre que c'est difficile pour moi de seulement soigner mes petits et rien d'autre. Ils pleurent maintenant. J'ai tellement faim. Je souhaite que quelqu'un me jette quelque nourriture. J'ai également très soif. Maintenant je n'ai plus que huit chiots. Deux sont décédés pendant la nuit, je ne parvenais plus à les réchauffer. Nous sommes tous très faibles. Aujourd'hui on est venu nous chercher, c'était trop de travail pour nous nourrir. Quelqu'un m'a enlevé mes chiots. Ils pleuraient. Ils ont été mis dans un camion avec des cages. Mes chiots sont-ils célèbres maintenant ? Je l'espère car ils me manquent. Ils sont partis. Ca sent l'urine ici, la peur et la maladie. Pourquoi suis-je ici ? J'étais belle comme mes aïeux. Maintenant, je suis affamée, sale, j'ai du mal et on ne veut pas de moi. Ce qui est encore le pire de tout, c'est de ne pas être désirée. Personne ne venait, bien que j'essayais d'être sage et agréable. Aujourd'hui, quelqu'un est venu. Ils m'ont noué une corde autour du cou et m'ont emmenée dans une chambre où tout était propre avec une table brillante. Quelqu'un me prenait et me caressait. Ca me faisait tellement de bien ! Je devenais fatiguée et j'ai regardé la dernière personne qui se souciait de moi quand je m'endormais. Maintenant je suis célèbre. Aujourd'hui, il y avait quelqu'un qui m'aimait ! Je ne me souviens plus beaucoup de l'endroit où je suis née. C'était très petit et sombre et les gens ne jouaient jamais avec nous. Je me souviens de maman et de son doux pelage, mais elle était souvent malade et très maigre. Elle n'avait presque pas de lait pour moi et mes frères et soeurs. Je me souviens que beaucoup d'eux décédaient, ils me manquent tellement. Je me rappelle bien le jour où j'ai été enlevée de chez ma maman. J'étais tellement triste et effrayée, mes dents de lait commencaient à percer et j'aurais dû rester chez ma maman. Mais elle était si malade et les gens continuaient à dire qu'ils n'avaient pas d'argent et qu'ils en avaient marre de la "pagaille" que faisaient ma soeur et moi. Donc nous étions mises en cage et transportées ailleurs. Seulement nous deux. Nous nous sommes serrées tout près l'une de l'autre et avions peur, mais encore une fois, pas de mains humaines pour nous caresser et nous aimer. Tant d'endroits et de bruits différents ! Nous sommes dans un magasin où il y a beaucoup d'autres animaux. Certains hurlent, d'autres gémissent ! Ma soeur et moi sommes enfermées dans une petite cage, j'entends d'autres chiots. Je vois des gens qui me regardent. J'adore les petits enfants, ils me semblent tellement gentils et amusants. Comme ils aimeraient jouer avec moi ! Toute la journée, nous restons enfermées dans notre cage étroite, parfois des gens frappent sur la fenêtre et nous effrayent, parfois on nous sort pour être présentées aux gens. Certains sont gentils, d'autres nous font mal. Nous entendons toujours : "Oh, comme elles sont gentilles ! ", "J'en veux une !", mais on ne nous emmène pas. Ma petite soeur est décédée cette nuit quand il faisait noir dans le magasin. J'ai mis ma tête sur son doux pelage et je sentais la vie s'échapper de son petit corps tout mince. J'avais entendu dire qu'elle était malade et que je pouvais être vendue avec "réduction" pour que je sorte vite du magasin. Je crois que mes gémissements étaient les seuls signes de deuil quand son petit corps a été enlevé de la cage pour être jeté. Aujourd'hui une famille est venue et ils m'ont achetée ! Quel jour heureux ! C'est une famille gentille, ils me voulaient vraiment ! Ils ont acheté un plat et de la nourriture et la petite fille me serrait dans les bras. Je l'aime tellement. Papa et maman disent que je suis un chiot adorable ! Ils m'ont appelé "Ange". J'ai donné des petits bécots à mes nouveaux amis. La famille me soigne bien, ils sont gentils, doux et tendres. Ils m'apprennent doucement et avec beaucoup de patience ce que je peux faire et ce qui est défendu, ils me donnent de la nourriture adorable et beaucoup d'amour ! La seule chose que je veux c'est leur faire plaisir. J'aime beaucoup la petite fille et j'adore jouer et courir avec elle. Aujourd'hui, nous sommes allés chez le vétérinaire. C'est un endroit peu agréable et j'avais très peur. On m'a donné quelques piqûres, mais ma meilleure copine, la petite fille, me tenait si tendrement et m'assurait que tout allait bien, donc je me suis calmée. Le vétérinaire a dû dire des mots tristes à ma famille car ils avaient le regard sombre. J'entendais le vétérinaire dire des choses comme ... "il y a un problème au coeur" et ... "c'est à cause des gens qui élèvent sans réfléchir et sans se soucier de la santé des animaux". Je ne sais pas ce que cela signifie mais ça m'attriste de voir ma famille tellement malheureuse, mais elle continue malgré cela à m'aimer, et je dois dire que cela est réciproque. J'ai six mois maintenant, d'autres chiots de mon âge sont très robustes et brusques, j'aimerais être comme eux. Mais il y a toujours cette douleur qui me fait mal pour courir et jouer avec ma petite fille bien aimée. J'ai des difficultés à respirer. Je fais de mon mieux pour être un chiot bien fort mais c'est difficile. Ca me fait mal au coeur de voir ma petite fille tellement triste et d'entendre dire papa et maman ... "peut-être que son heure est arrivée ?". J'ai déjà été plusieurs fois chez le vétérinaire et les nouvelles ne sont jamais bonnes. Ils parlent toujours de malformations congénitales. Moi, je ne veux que sentir les rayons du soleil, courir, jouer et faire des câlins a ma famille. La nuit passée était la plus dure, la douleur devient de plus en plus atroce. Je sais à peine me lever pour boire. On m'a mise dans la voiture ... pour la dernière fois. Tout le monde a du chagrin et je ne comprends pas pourquoi. Ai-je été désobéissante ? J'essaie d'être sage et gentille. Qu'ai-je fait de mal ? Oh, si seulement cette douleur pouvait disparaître ! Si je pouvais faire disparaître les larmes de la petite fille. J'essaie de m'étendre pour lécher sa petite main, mais je ne peux que hurler de douleur. La table chez le vétérinaire est froide. J'ai tellement peur. Les gens me font tous des caresses, ils pleurent et je sens leurs larmes sur mon doux pelage. Je sens leur amour et leur chagrin. Je lèche doucement leurs mains, même le vétérinaire ne semble pas être désagréable aujourd'hui. Il est tendre et je sens un soulagement de mes douleurs. La petite fille me tient doucement et je la remercie pour tout son amour. Je sens une petite piqûre dans ma patte avant, la douleur s'en va et je sens la paix qui m'envahit. Je lèche doucement ces mains. Ma vue devient trouble et comme dans un rêve, je vois ma maman et mes frères et soeurs, dans le lointain, dans un espace vert. Ils me disent que là, il n'y a pas de douleur, seulement paix et bonheur. Je dis adieu à ma famille à la seule façon que je connais, en agitant légèrement ma queue et en poussant doucement avec mon nez. J'avais espéré de pouvoir passer avec eux beaucoup, beaucoup d'années, mais le sort en a décidé autrement. "Voyez vous", disait le vétérinaire, "les chiots vendus dans les animaleries ne viennent pas d'éleveurs ayant le sens des responsabilités". La douleur s'est arrêtée maintenant et je sais que ça prendra des années avant que je ne revoie ma famille bien aimée. Si suelement, cela avait été autrement ... -------------------------------------------------- ------------------------------ Avec l'autorisation permanente de l'auteur et à condition de repecter l'esprit, ce récit peut être publié ou copié. Cette autorisation est donnée dans l'espoir que cela mettra fin auc élevages par des éleveurs immoraux qui élèvent, non pas pour le bien-être de ces animaux ou pour améliorer la race, mais uniquement pour leur propre profit. Traduit de l'anglais par Mme W. Michiels Copyright 1999 - J. Ellis. |
Déposé par mindy le 04/02/2015Tu peux pleurer son départ Ou tu peux sourire parce qu’elle a vécu Tu peux fermer les yeux et prier pour qu’elle revienne Ou ouvrir les yeux et voir qu’elle est partie Ton cœur peut être vide de ne plus la voir Ou il peut être rempli de l’amour qu’elle a partagé Tu peux tourner le dos à demain et vivre le passé Ou tu peux être heureux pour demain à cause du passé Tu peux te souvenir d’elle et seulement qu’elle n’est plus Ou tu peux chérir sa mémoire et la laisser vivre Tu peux pleurer et te renfermer, être vide et tourner le dos Ou tu peux faire ce qu’elle aurait voulu, sourire, ouvrir les yeux, aimer et aller de l’avant. |
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