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En hommage à
RUBENS
SETTER-GORDON
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
 


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En hommage à RUBENS

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





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J'aimerais avoir une âme aussi pure que la tienne...!!!
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Belle nuit avec de gros bisous 🍃 🌷 🍃
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Des bisous tout sucrés 🍡🍡🍡🍭🍬🍭pour une douce nuit bel ange d'amour 🧚‍♂️ 💗 👼 🧚‍♂️ 💗 Bien à vous 🪷🪷🪷
Déposé par rustiditbibi
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Déposé par choupinou
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Aujourd'hui ,ce rayon de soleil, je te l'offre pour réchauffer ton cœur de la chaleur de l'amour de ta famille et pour eux dans ce rayon de soleil, il y'a un moment d'ombre qui attriste celui ci
Déposé par Rebelwriter
Déposé par Rebelwriter
Plein de douceur à profusion


6712 messages

Déposé par colombine67 le 16/04/2015  
Mon humble ami, mon chien fidèle, tu es mort
de cette mort que tu fuyais comme une guêpe
lorsque tu te cachais sous la table. Ta tête
s’est dirigée vers moi à l’heure brève et morne.
O compagnon banal de l’homme : être béni !
toi que nourrit la faim que ton maître partage,
toi qui accompagne dans leur pèlerinage
l’archange Raphaël et le jeune Tobie…
O Serviteur : que tu me sois d’un grand exemple,
ô toi qui m’as aimé ainsi qu’un saint son Dieu !
Le mystère de ton obscure intelligence
vit dans un paradis innocent et joyeux.
Ah ! faites, mon Dieu, si Vous me donnez la grâce
de Vous voir face à face aux jours d’Eternité,
faites qu’un pauvre chien contemple face à face
celui qui fut son dieu parmi l’humanité.
Francis Jammes

Déposé par rafia le 16/04/2015  
Un remède à la souffrance morale...l'AMITIE.
Ns souffrons toutes et ts de la perte de notre/nos // trésor canin//trésors canins.
Ns sommes bouleversés/ées par cette perte, mais cela ne veut pas dire pr autant que ns devons ns effondrer.
Bien au contraire, il faut arriver à surmonter sa douleur. Et pr cela, il est primordial de pouvoir en parler, échanger, avec des personnes qui vivent la même épreuve.
Pr traverser cette étape difficile (ns sommes porteurs/euses, d'une blessure)...notre entourage ne peut pas forcément ns comprendre...alors comme le dit si bien Jacques Salomé, "il faut mettre des mots sur notre douleur et l'exprimer au grand jour", peut aider.
Bannir des phrases qui ne veulent rien dire comme "je l'aimais à la folie"...Si cette phrase/culte est valable pr les amours de Tristan et Yseult, elle est indécente pr notre/nos amour/s canin/ canins !!!Tristan et Yseult..c'est l'histoire d'un amour, fou, impossible.... d'une passion qui leur fut fatale...Notre amour pr notre tendre disparu/e (ou au pluriel).....est tout a fait incompatible avec cette affirmation.
Moi-même, pourtant très entourée pr mes proches, nos amis/es, au départ de Niagara, je me suis demandée "comment continuer à vivre sans elle" ???
J'ai eu la chance d'être aussi aidée pr le yoga et par mon engagement ds un bénévolat consistant à visiter les patients du service de soins intensifs de l'un de nos amis.
Cela m'a permis de transformer mon indicible souffrance..en moteur.
Chères amies // chers amis...il faut qu'à partir de votre douleur vs arriviez à trouver votre richesse intérieure, ds ce que vs donnez aux autres...à ts ceux et celles qui vivent aussi votre malheur.
Lorsque l'on est frappé//frappée pr un tel drame...car, comme pr beaucoup de personnes, ns considérons, mon mari et moi, nos amours/westies comme des ENFANTS. Quoi de plus terrible que le décès d'un enfant ??? de SON/SES enfant/S ???Comment vivre cette souffrance qui vs ronge jour après jour ???
Se droguer pr la supporter ??? insensé !!! cela me fait penser au Prozac, "la pilule du bonheur", sensée faire retrouver la joie de vivre..notamment après un décès...et qui des années après son élaboration s'est avérée être un véritable fiasco...laissant les patients ds un état de délabrement pathogène...à cause de ses effets secondaires des plus nocifs et pervers.
Je vs l'assure, pr l'avoir vécu...grâce à l'AMITIE, un vrai tissu de solidarité se trame. L'on se sent animé/e d'une impulsion formidable. A partager la souffrance d'autrui, je ne dis pas que l'on éradique la nôtre....mais une certitude, cela la soulage.
Je vs l'assure, malgré la souffrance, si on se soutient les uns les autres, il est possible de continuer à vivre après ce drame. L’amour et la bonté sont contagieux. Lorsque nous sommes au contact de personnes extraordinaires, comme il en existe sur ce site....cela génère une véritable solidarité.
Quel bonheur de pouvoir partager. Quelle joie de constater que bcp de personnes s'enthousiasment à l'idée de soutenir les autres...Cela donne une belle foi ds la VIE et l'HUMANITE.
Avec toute ma bien sincère amitié...la mienne vs est acquise.
+ 1000 bisous et autant de mercis pr mon adorable Martine.
Maryem, votre amie

Déposé par elise2512 le 15/04/2015  
Je cueillerai pour toi
**********************
Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin,
Ce ne sera vraiment qu'un modeste bouquet,
Sur ta tombe en pleurant j'irai le déposer...
Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin.
***
Je cueillerai aussi la rosée du matin,
La tristesse d'un jour qui commence sans toi,
Un souvenir lointain qui revient et s'en va...
Je cueillerai aussi la rosée du matin.
***
Je cueillerai enfin les larmes de mes yeux,
J'en ferai un collier de perles de chagrin,
Et je te l'offrirai dans son plus bel écrin...
Je cueillerai enfin les larmes de mes yeux.
***
(Isabelle Callis-Sabot)

Déposé par colombine67 le 15/04/2015  
Ils l'ont jeté par la portière
Il n'a pas compris tout de suite
Il a couru longtemps derrière
Mais la voiture allait trop vite
Et pendant des journées entières
Il a vu les autos passer
Mais personne n'a fait marche arrière
En le voyant dans le fossé
Après les premières caresses
Puis quelques mois d'indifférence
Ils l'ont laissé à sa détresse
Au début des grandes vacances…
Pareil à l'objet que l'on jette
Quand il devient trop encombrant
Ils le remplaceront peut-être
Par un chien plus jeune en rentrant…
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Flaire toujours la route et fait des kilomètres
Traversant les villages, faisant peur aux enfants
Qui ne savent pas encore qu'il n'y a que les gens
Qui soient vraiment méchants
Il ne les a pas oubliés
Depuis le jour qu'il vagabonde
Dans l'espoir de les retrouver
Il irait jusqu'au bout du monde
Il verra bien un jour sans doute
Finir sa marche solitaire
En voulant traverser la route
Ou emmené par la fourrière
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Sur le bord du fossé vaut bien que l'on s'arrête
Qu'on ouvre sa portière et le fasse monter
Pour qu'en France en été il n'y ait plus jamais
De chien abandonné
(Merci à la version Jean Rochefortienne)

Déposé par rafia le 15/04/2015  
ALLUMONS les étoiles, au NOM de l'AMITIE
Une étoile du regard :
Pr un peu de lumière
Dans les yeux de ceux et celles
A qui personne ne fait
Jamais attention.
.
Une étoile d’écoute :
Pr un peu de chaleur
Dans le coeur de ceux et celles
A qui personne ne donne de temps.
.
Une étoile de parole :
Pr un peu de joie
Procurée par quelques mots
D'encouragements,
De mercis, de tendresse.
.
Une étoile de service :
Pr un peu de partage
Avec des mains qui se tendent,
Qui oeuvrent, qui s’unissent.
.
Une étoile de parfum
Pr respirer à fond la vie,
Pr admirer et ressentir les
Merveilles qui nous entourent.
.
Allumons encore
Et toujours des étoiles
Au nom de l'amitié.
De l'amitié vraie.,
Avec toute ma bien sincère amitié...mille mercis pr la vôtre.
+ 1000 bisous
+ ma tendresse pr Iron..et ron et ron petit patapom.
Ce soir, tristesse...Quentin a été intubé...infection au poumon G.
Cependant je plaide coupable...mon optimisme était déraisonné !!!
Maryem, votre amie

Déposé par Galinette3 le 14/04/2015  
LE PARADIS DES CHIENS
Savais-tu qu'il y a un paradis pour les chiens? Oui, dans une autre dimension, dans le monde astral, Il y a un nid rempli d'amour et douillet pour nous.
Il y a des balles à profusion, des os à enterrer, Des montagnes de boulettes de viande, Il n'y a pas de laisse,
Je suis bien où je suis. Je suis bien entouré
Toutes les caresses, toutes les tendres attentions Que tu m'as offertes, je les ai apportées avec moi.
La plus importante des choses que tu dois savoir, C'est qu'il y a une ouverture dans les nuages D'où je peux te voir. C'est comme si tu étais avec moi. D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée. Il m'est impossible de t'oublier, ton image et ta Gentillesse sont gravées dans mon coeur
Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux Lèvres et un jappement dans les oreilles, C'est que je t'aurai rendu une petite visite Dans tes songes.
Merci pour ton amour. Je t'aimerai éternellement!

Déposé par colombine67 le 14/04/2015  
a mon chien,
Tu ne parlais pas, tu aboyais,
Je n'étais pas comme toi,
Mais tu étais le seul qui me comprenais
C'est dans tes poils que je pleurai,
Car toi tu me redonnais le sourire que je perdais,
Alors comment faire aujourd'hui,
Lorsque personne ne me comprend,
Car tu n'es plus la pour moi,
Tu m'as quitté un beau jour,
Cette date reste gravé,
je ne l'oublierai jamais,
C'est moi qui ai choisi ,
mais je ne supportai plus de t'entendre souffrir,
J'ai grandit avec toi,
Et de toi je faisais ce que je voulais,
Tu ne m'as jamais fait de mal,
Tu as toujours étais là pour moi,
Mais la vie d'un chien est bien moins longue que celle d'un humain,
Et pourtant chaque jour qui passe, je pense a toi,
Je pleure encore ton absence,
Et pourtant sa fait déjà si longtemps,
Mais je me souviens de toi comme si c'était hier,
Je t'aime tellement,
Tu resteras à jamais dans mon cœur

Déposé par rafia le 14/04/2015  
Un véritable ami.
Recueil : D'ineffables fables affables (2006)
Il est un sentiment bien plus beau que l'amour
Un sentiment plus pur, sentiment plus honnête,
Une source de joie que jamais rien n'arrête ;
Un sentiment qui ne joue pas de mauvais tour.
L'amitié est telle qu'un soleil des beaux jours,
Gratuite et chaleureuse, elle apporte la fête ;
Ce n'est pas un tissu à nombreuses facettes
Cousu d'hypocrisie ; c'est un don sans retour.
Un véritable ami est toujours disponible
Au cours des bons moments et au cours des pénibles ;
C'est une mine d'or qui brille de bonheur.
Être avec mes amis est ma plus grande joie ;
Et même s'ils ne sont toujours auprès de moi,
Ils sont tous à jamais bien gravés dans mon cœur.
Alexandre Marrot.

Déposé par choupinou le 13/04/2015  
Mon copain
Quand j’ai du chagrin
Il ne me dit rien
Il sait bien que ça ne sert à rien
Quand j’ai du chagrin
Mon ami
Quand j’ai de la peine
Il ne me dit pas qu’il m’aime
Je sais bien que ça le gêne
Quand j’ai de la peine
Alors il m’écoute
Moi je sais qu’il m’entend
Et il me regarde
Moi je sais qu’il comprend
Il se met dans un coin
Ses yeux sont plus malheureux
Que les miens
Mon copain, mon ami
Il est plus qu’un ami
Plus qu’un bon copain
...Puisque c’etait mon chien
Chantal Abraham

Déposé par colombine67 le 13/04/2015  
Loan et Gigotte étaient faits pour être ensemble...
"Gigotte c’est encore plus d’amour et de bonheur dans notre vie.
Je remercie HANDI’CHIENS pour ce cadeau."
"Lors de leur première rencontre en janvier 2013, l’interaction est immédiate.
Loan va au contact de Gigotte, se met contre elle, essaye de monter sur son dos, lui court après dans la maison en la tenant par la queue. Gigotte explore notre maison, va sans cesse voir ce que fait Loan et accepte tous ses assauts !
Pour l’éducatrice c’est évident : Gigotte a choisi Loan !
Nous retrouvons enfin Gigotte lors du stage d’adapataion et de transmission à Marcy l’étoile, en février, au Centre HANDI’CHIENS de Lyon.
Une semaine de bonheur, d’interaction immédiate : Loan joue à la balle avec Gigotte et à notre grande surprise, adore lui donner ses croquettes et essaye déjà de tenir sa laisse.
Une semaine fatigante, car Loan dort peu, trop excité et submergé par toutes ces émotions et la nouveauté de cette aventure. J’apprends beaucoup lors de ce stage et je suis réellement passionnée par mon nouveau rôle de référente pour Gigotte, qui dès le premier jour, m’obéit à la perfection. On est comme connectée toutes les deux, je l’aime déjà, et je sens que je vais adorer m’investir afin qu’elle se fixe sur Loan et s’attache à lui. L’éducateur fera tout pour me valoriser et me donner confiance en moi.
Dès notre retour, le 2 mars 2013, c’est Gigotte qui gagne totalement ma confiance et me rassure entièrement sur la réussite de cette aventure.
Gigotte séduit tout le monde à la maison : le papa, le grand frère de Loan, et même Minus, notre petite siamoise de 10 ans !!! Dans notre entourage, l’arrivée de Gigotte a été bien préparée, mes parents sont enthousiastes, ainsi que l’école maternelle, l’orthophoniste, la psychomotricienne : tout le monde accepte Gigotte et l’accueille comme elle le mérite.
Gigotte nous accompagne partout : jusqu’à la classe de Loan, et dans ses rendez-vous, cela se fait petit à petit, sereinement et elle s’intègre parfaitement à notre rythme. Les week-ends, nous allons nous balader dans les parcs, à la mer, Gigotte trouve son équilibre, et je suis heureuse de la voir douce, calme, équilibrée, affectueuse, curieuse et toujours aussi obéissante avec nous.
Quand nous sommes rentrés de Lyon, j’ai favorisé tous les contacts possibles et les interactions avec Gigotte. Le moment du dodo est idéal pour apprendre à Loan les caresses et les câlins avec Gigotte. Le moment du bain, que Loan adore, intéresse beaucoup Gigotte, qui est assise devant la baignoire et observe tout. C’est l’occasion de l’observer, de la toucher, de lui parler. Loan lui donne à boire et la regarde, Loan la laisse lui lécher les mains ou les bras. Loan adore toujours lui donner à manger, il effectue entièrement ce petit rituel et il est ravi de la regarder manger.
Loan et Gigotte ont beaucoup de choses en commun : ils aiment la mer, courir, jouer avec l’eau, les balles, partir en balade, et même le piano !
Loan est autiste et commence peu à peu à parler depuis un an. Depuis deux mois, le langage s’est développé considérablement : imitations spontanées, il répète tout ce que l’on dit, il essaye de faire des phrases, c’est incroyable ! Et surtout, il dit « GI – OTTE » toute la journée !
Au retour de Lyon, nous avons commencé la propreté, après un essai durant tout l’été dernier où Loan n’avait pas la compréhension nécessaire. En deux jours, c’est comme si Loan avait tout compris. Il va spontanément sur le pot. En deux mois, la propreté est acquise à la maison.
On ne peut pas savoir quelle est l’influence exacte de Gigotte sur tous ces progrès dans le développement de Loan. Ce qui est évident pour moi, c’est que tout cela s’est produit depuis son arrivée. Loan s’est ouvert, il communique réellement avec nous, il veut nous parler, nous dire plein de choses, Loan comprend presque tout ce que l’on dit, il a même progressé en bêtises, et transgresse les interdits juste pour nous faire réagir et cela le fait beaucoup rire ! Comme goûter les croquettes de Gigotte !
Le chien d’éveil, l’aventure HANDI’CHIENS, cela se vit à trois : Gigotte, Loan et moi. C’est le secret pour réussir une relation magique entre son enfant et un chien exceptionnel. C’est un trio d’amour et de complicité.
Gigotte c’est encore plus d’amour et de bonheur dans notre vie.
Je remercie HANDI’CHIENS pour ce cadeau.
Je pense que Loan s’est ouvert sur notre monde, car Gigotte en fait partie."

Déposé par rafia le 13/04/2015  
La solidarité
Qu'est-ce que la solidarité ?
En gros, vous le savez
Mais la vraie solidarité
C'est bien plus compliqué
La solidarité bien que vous le pensez
Ce n'est pas que donner de l'argent
Non, la solidarité c'est bien plus
Que vous ne l'imaginez...
La solidarité, c'est donner de son temps
Pour aider les gens
La solidarité c'est donner sans compter
La solidarité, ce n'est pas rester
Devant sa télé à pleurer
Non, la solidarité c'est se lever
Pour aller aider
Donner, partager
Du mieux que vous le pouvez...
Auteur inconnu

Déposé par poutounou le 12/04/2015  
« La cigale et la fourmi » à l’envers !
*
La fourmi et la cigale
*
La fourmi ayant stocké tout l’hiver
Se trouva fort encombrée
Quand le soleil fut venu :
Qui lui prendrait ses morceaux
De mouches ou de vermisseaux ?
Elle tenta de démarcher
Chez la cigale, sa voisine,
La poussant à s’acheter
Quelques grains pour subsister
Jusqu’à la saison prochaine.
«  Vous me paierez, lui dit-elle,
Apres l’out, foi d’animal,
Intérêt et principal. « 
La cigale n’est pas gourmande :
C’est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps froid ?
Dit-elle à cette amasseuse.
- Nuit et jour à tout-venant
Je stockais, ne vous déplaise.
- Vous stockiez ? j’en suis fort aise ;
Et bien soldez maintenant. « 
*
Françoise Sagan

Déposé par spanky le 12/04/2015  
Je suis assise ici, seule, si triste, et solitaire,
Je pense à toi souvent,
Chaque minute du jour,
Me demandant comment tu vas,
Ce que tu fais,
Souhaitant te serrer dans mes bras.
Je suis assise,
Me souvenant de tout ce que nous avons partagé,
Rêvant à tout ce qui sera,
Et je verse une larme pour chaque minute sans toi.
Parfois, je crois en ma force
Et que le temps qui nous sépare s'écoulera vite,
Et puis parfois,
Je m'assieds et pleure et me demande,
Pourquoi faut-il que l'amour fasse ainsi mal...
Et je réalise que ce n'est pas l'amour qui fait si mal...
Mais d'être là sans toi.

Déposé par colombine67 le 12/04/2015  
Julia, Famille d’accueil
"J’ose ce soir t’adresser cette lettre, à toi qui ne sauras ni lire ni comprendre les mots qui la composent.
Lorsque ton regard plonge dans mes yeux, je sais que tu ressens un autre langage… Celui de notre union, du lien que nous avons tissé jour après jour, dans cette relation unique d’un maître et de son chien.
Je t’ai appris quelques mots de ma langue, et toi, tu m’as appris bien plus dans tes silences. Chaque jour, ta dévotion à mon égard, ton investissement par la joie, ton envie de me combler, ta motivation à me faire plaisir témoignent d’une capacité que beaucoup de mon espèce ont perdue …un altruisme à toute épreuve. Que je sois de mon coté enchantée ou fatiguée, à l’écoute ou dans ma bulle, affectueuse ou agacée, tu restes fidèle à toi même. Je te remercie durant cette dernière année, d’avoir été cet être présent et attentif.
Je me suis appliquée à te dorloter également, à m’occuper de toi ; de ta santé, toi qui ne te plains jamais, de ta croissance, toi qui ne t’en rends pas compte, de ton éducation, toi qui es destinée à la plus noble des tâches. Celle d’accompagner une personne fragilisée dans la société que nous avons créée.
La plupart d’entre nous pensent que le nombre de personnes handicapées constitue une minorité. Or l’enquète Handicap-Incapacités-Dépendances réalisé par l’INSEE, met en évidence un nombre actuel de personnes handicapées en France avoisinant les 12 millions. Pas si minoritaire, donc…Mais nous ne les croisons pas si souvent parce que notre infrastructure ou nos systèmes d’accès limitent leur mobilité.
Nous autres, personnes valides, ignorons trop souvent les privilèges que nous avons mis en place. Privilège d’accès à la poste, dans le train, au travail ; privilège de déplacement en ville, privilège de possibilité d’activités sportives ou culturelles… privilège d’aménagement, tout simplement. Nous avons créé un environnement hostile et souvent inaccessible pour certains.
Je sais Ekinis, que tu sauras amoindrir cet obstacle existant, que tu sauras autoriser une personne à mobilité réduite à accéder davantage à son droit le plus élémentaire, celui d’être parmi nous, actif et présent...
L’autonomie que tu lui apporteras, le contact que tu permettras entre lui et les autres changeront sa vie. J’en suis certaine, car grâce à toi, ma vie a changé. En tant que famille d’accueil, mon rôle était de te "sociabiliser"… Sais-tu seulement que c’est toi qui m’as sociabilisée ? _ Avant de te sortir au petit matin, je ne connaissais pas la femme de ménage de mon immeuble, car elle travaille à un horaire différent de mon départ. Depuis, nous échangeons régulièrement quelques mots.
Je ne connaissais pas non plus la dame âgée assise sur ce banc, ni le petit garçon qui va dans le parc régulièrement, ni la dame de l’accueil sur le parking des bus, ou ce marchand qui sort de son magasin dès qu’il te voit passer. Je ne connaissais pas les sourires de tant de personnes lorsque je fais mon marché, les discussions échangées avant de traverser la rue, ces liens tissés auprès des gens de mon quartier, ces amitiés possibles avec d’autres qui promènent leur chien. Alors, oui, je sais que ton futur maître, grâce à toi, aura infiniment plus d’occasions d’être en communication avec son entourage ; je sais que le fauteuil ou le handicap ne feront plus barrière, car tu seras là pour créer un pont.
Nous avons pris soin l’une de l’autre ces derniers mois, et aujourd’hui, nous devons nous séparer. Mais je ne te perds pas. Lorsque quelque chose de vrai est échangé, on le garde pour toujours. Un peu de moi t’a construite et un peu de toi m’a ouvert des portes ; l’avenir sans toi sera nécessairement un avenir grâce à toi et je t’en remercie.
Réciproquement, ton avenir sans moi est un avenir grâce à moi, et j’en éprouve une profonde fierté, beaucoup de joie et un sentiment d’apaisement.
Notre chemin initial a été tracé parce qu’il avait un sens, notre séparation fait partie d’un processus d’union, entre toi et celui qui te choisira demain. J’ai si souvent lu au fond de tes yeux que tu le choisiras aussi lorsque vos regards se croiseront, que je te quitte sereine, ce soir, avec émotion et bienveillance, car ton histoire ne fait que commencer.
Tendrement."
" un chien est capable de tellement de choses, donne tellement d'amour
est ce que nous nous savons leur dire merci?
comment faire que certaines personnes réalisent enfin ce qu'un chien est capable"

Déposé par rafia le 12/04/2015  
SOLIDARITÉ...partie intégrante de l'AMITIE
Au fil de mes rêves éveillés, j'imagine un monde meilleur,
Fraternel et solidaire,
Bannissant la solitude,
Où tous//toutes en choeur, dans un même élan
De générosité envers les plus malheureux//ses, les invitant
À ns rejoindre pr partager leur souffrance.
Fraternisant avec eux//elles, passant de merveilleux moments
De partage et de convivialité.
Tentant d'oublier nos souffrances
Comme une cordée, main dans la main,
Nous gravirons jusqu'au sommet de nos espérances,
Envisageant des jours meilleurs pour demain.
Entonnant harmonieusement l'hymne de l'amitié,
Combattant l'indifférence des égoïstes, sans pitié,
Complices d'une amitié rayonnante et contagieuse
Agrandissons notre cercle d'amis, pour plus de solidarité.
Avec ce texte..sans prétention, je vs souhaite une excellente fin de WE.
Je joins ma sincère Amitié et je vs remercie, très chaleureusement, pr la vôtre.
Très touchée pr votre précieux soutien.
+ mille bisous pr vs, mon adorable amie.
Maryem, votre amie.

Déposé par elise2512 le 11/04/2015  
« Tant et aussi longtemps que le coeur se souvient, les êtres que nous aimons y demeurent et y vivent... »

Déposé par colombine67 le 11/04/2015  
J'ose ce soir t'adresser cette lettre, à toi qui ne sauras ni lire ni comprendre les mots qui la composent.
Lorsque ton regard plonge dans mes yeux, je sais que tu ressens un autre langage... Celui de notre union, du lien que nous avons tissé jour après jour, dans cette relation unique d'un maître et de son chien.
Je t'ai appris quelques mots de ma langue, et toi, tu m'as appris bien plus dans tes silences. Chaque jour, ta dévotion à mon égard, ton investissement par la joie, ton envie de me combler, ta motivation à me faire plaisir témoignent d'une capacité que beaucoup de mon espèce ont perdue ...un altruisme à toute épreuve. Que je sois de mon coté enchantée ou fatiguée, à l'écoute ou dans ma bulle, affectueuse ou agacée, tu restes fidèle à toi même. Je te remercie durant cette dernière année, d'avoir été cet être présent et attentif.
Je me suis appliquée à te dorloter également, à m'occuper de toi ; de ta santé, toi qui ne te plains jamais, de ta croissance, toi qui ne t'en rends pas compte, de ton éducation, toi qui es destinée à la plus noble des tâches. Celle d'accompagner une personne fragilisée dans la société que nous avons créée.
La plupart d'entre nous pensent que le nombre de personnes handicapées constitue une minorité. Or l'enquète Handicap-Incapacités-Dépendances réalisé par l'INSEE, met en évidence un nombre actuel de personnes handicapées en France avoisinant les 12 millions. Pas si minoritaire, donc...Mais nous ne les croisons pas si souvent parce que notre infrastructure ou nos systèmes d'accès limitent leur mobilité.
Nous autres, personnes valides, ignorons trop souvent les privilèges que nous avons mis en place. Privilège d'accès à la poste, dans le train, au travail ; privilège de déplacement en ville, privilège de possibilité d'activités sportives ou culturelles... privilège d'aménagement, tout simplement. Nous avons créé un environnement hostile et souvent inaccessible pour certains.
Je sais, que tu sauras amoindrir cet obstacle existant, que tu sauras autoriser une personne à mobilité réduite à accéder davantage à son droit le plus élémentaire, celui d'être parmi nous, actif et présent ...
L'autonomie que tu lui apporteras, le contact que tu permettras entre lui et les autres changeront sa vie. J'en suis certaine, car grâce à toi, ma vie a changé. En tant que famille d'accueil, mon rôle était de te « sociabiliser »... Sais-tu seulement que c'est toi qui m'as sociabilisée ? Avant de te sortir au petit matin, je ne connaissais pas la femme de ménage de mon immeuble, car elle travaille à un horaire différent de mon départ. Depuis, nous échangeons régulièrement quelques mots.
Je ne connaissais pas non plus la dame âgée assise sur ce banc, ni le petit garçon qui va dans le parc régulièrement, ni la dame de l'accueil sur le parking des bus, ou ce marchand qui sort de son magasin dès qu'il te voit passer. Je ne connaissais pas les sourires de tant de personnes lorsque je fais mon marché, les discussions échangées avant de traverser la rue, ces liens tissés auprès des gens de mon quartier, ces amitiés possibles avec d'autres qui promènent leur chien. Alors, oui, je sais que ton futur maître, grâce à toi, aura infiniment plus d'occasions d'être en communication avec son entourage ; je sais que le fauteuil ou le handicap ne feront plus barrière, car tu seras là pour créer un pont.
Nous avons pris soin l'une de l'autre ces derniers mois, et aujourd'hui, nous devons nous séparer. Mais je ne te perds pas. Lorsque quelque chose de vrai est échangé, on le garde pour toujours. Un peu de moi t'a construite et un peu de toi m'a ouvert des portes ; l'avenir sans toi sera nécessairement un avenir grâce à toi et je t'en remercie. Réciproquement, ton avenir sans moi est un avenir grâce à moi, et j'en éprouve une profonde fierté, beaucoup de joie et un sentiment d'apaisement.
Notre chemin initial a été tracé parce qu'il avait un sens, notre séparation fait partie d'un processus d'union, entre toi et celui qui te choisira demain. J'ai si souvent lu au fond de tes yeux que tu le choisiras aussi lorsque vos regards se croiseront, que je te quitte sereine, ce soir, avec émotion et bienveillance, car ton histoire ne fait que commencer.
Texte de Julia pour son chien Ekinis

Déposé par rafia le 11/04/2015  
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard

Déposé par colombine67 le 10/04/2015  
Voici un très joli poéme, qu'a écrit Anne K. adoptante de Nino, vieux berger allemand du refuge del Bierzo (Province de Léon), que nous avons aidé pour cette adoption si particulière ...
C'est aussi grace à Anne, que Shiva (12 ans , 12 ans de refuge) a pu être adoptée en Belgique sous GF, car elle nous a interpellé sur ce cas
C'est un appel en faveur de l'adoption des vieux chiens , les oubliés de tous les refuges de France et d'ailleurs
voici ses mots :
J'ai écrit un texte pour NINO et tous ceux qui comme lui attendent derrière des barreaux qu'un regard se pose sur eux.
" BOX 58 "
Je suis le box 58
Au fond de l'allée à droite.
Né dans une ruelle brûlante
D'un misérable village d'une cruelle Espagne
Je suis le chien errant dont on se débarrasse.
Un matin, des hommes sont venus
Armés de bâtons, c'est après nous qu'ils en avaient
Pardon ma Mère d'avoir si vite couru
Pardon mes Frères de vous avoir abandonnés
Sans me retourner
Pendant que l'on vous exterminait
Car tant de haine les anime
Seul pendant une année, j'ai erré
La faim, la soif me tenant, toujours sur mes gardes
J'ai rusé, je me suis bien battu
Mais les monstres m'ont capturé au lasso
Et jeté dans cet humide cachot
Dont le toit cassé
Laisse passer la pluie
Lorsqu'il gèle le sol est glacé
Lorsque le soleil est au plus haut
Il m'écrase de sa chaleur
Qu'aucune ombre n'apaise
Comme mon box est le dernier du refuge,
Il n'y a pas de vis-à-vis
Rien n'arrête le vent
Qui me transperce par tous les temps
Et point d'endroit pour me mettre à l'abri
Lorsque vient la distribution du repas
Bien souvent on m'oublie
Ni eau, ni pain pour moi.
Au début, j'ai pleuré tous les jours, toutes les nuits
A présent, depuis tant d'années
Je me suis résigné
Oublié de tous
Je n'attends plus rien du genre humain
Qui m'a enjôlé pour mieux me punir
D'avoir voulu être un chien d'Espagne
Fier et libre
Et les années ont passé
Lentement, interminablement.................
Je me suis habitué à ne jamais plus courir
Je regarde les murs de ma prison
Qui sont mon seul horizon
S'il y a encore un peu de pitié
Qu'on me fasse mourir
Pour abréger cette lente agonie
Je suis si seul et sans espoir.......
Mais un jour, deux petites mains
Se sont posées sur mes barreaux
J'ai à peine levé la tête
Pour regarder cette enfant
Blonde, rose qui m'observe en silence
Et me fixe intensément
Puis elle appelle .... Prudent, je ne bouge pas
Elle appelle de nouveau
Deux grands viennent voir
Ce qui suscite tant d'émoi
La petite voudrait bien de moi
Mais les parents rechignent
Il est bien laid et si vieux
Alors l'enfant pleure
Elle veut celui-là, en me montrant du doigt
Celui du box 58, au fond de l'allée à droite.
On palabre, on discute près de moi
Quel triste sort m'attend ?
Qu'ont-ils donc encore inventé
Pour me tourmenter ?
Je tends le dos................ J'attends..................
On me met un collier
On me tire avec une laisse
On me pousse, on me porte
Point de coups ? Point encore.................
Pourtant rien.
On m'installe dans une jolie maison
Ce panier confortable est pour moi
La bonne gamelle et l'eau fraîche aussi
Le jardin est si beau............
Tout cela serait-il possible ?
C'était il y a quelques jours
J'ai donné un peu de confiance
J'ai reçu tellement d'amour
Maintenant, moi j'ai une Princesse
Qui m'interpelle sans cesse
J'entends ses petits pieds nus
Qui claquent sur le sol
Elle passe ses bras autour de mon cou
Et me murmure des mots doux
Ainsi donc c'était vrai
Qu'un jour il y aurait
Quelqu'un pour m'aimer
Quelqu'un pour qui je compterais
Qui m'accorderait de l'importance
Sans rien demander en retour
Une part d'amour pour moi
Rien que pour moi.....
Alors, vous qui le Dimanche
Visitez les Refuges
D'Espagne ou d'ailleurs
N'oubliez jamais le même que moi
Qui vous attend
Dans le Box 58
Au fond de l'allée à droite...........................
Anne
A NINO, SHIVA et tous ceux qui attendent ............................

Déposé par rafia le 10/04/2015  
L'attachement peut se passer de retour, jamais l'amitié ; elle est un échange, un contrat comme les autres, mais elle est le plus saint de tous. Le mot d'ami n'a point d'autre corrélatif que lui-même. Tout homme qui n'est pas l'ami de son ami est très sûrement un fourbe, car ce n'est qu'en rendant l'amitié qu'on peut l'obtenir.
Citation de Jean-Jacques Rousseau,




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Dis-le ! Des fois, maman fait n'importe quoi ! Elle a un grain, un gentil grain, mais quand même un grain...!!!
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Votre petit "chez vous" à Diesel et toi au Paradis...
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Le chemin vers le Paradis blanc...
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Maintenant tu es tout là-haut...mon Ange...
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Le nain de jardin te cherche partout...
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Une belle rose du jardin pour un bel Ange...
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Ton premier canapé a tenu un peu plus d'une semaine...
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Rubens "jardinier" !
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Ah les balais !
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A la mer avec les baballes...
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Promenade en forêt. Tu étais infatigable...
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Monsieur "câlin" sur son lit...
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Un petit bain de boue... C'est bon pour les rhumatismes...
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