MON MAÎTRE, JE SAIS QUE JE TE MANQUE...
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Je sais que mon absence est dure, que depuis que je suis parti,
tes jours ne sont plus comme avant, je sais que tu as du mal à t'endormir,
je sais combien je te manque et combien tu veux que je revienne.
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Je sais que tu souffres de mon départ.
Je sais que tu pleures et que tu me cherches là où je ne suis plus.
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Même si c'est difficile à comprendre je te dis que c'était la prochaine étape logique,
moi aussi j'avais peur de ce processus mais tu sais ?
De ce côté tout est merveilleux, j'ai réémergé à la maison, cet endroit d'où nous venons tous,
de ce côté il y a les choses les plus précieuses que tu ne peux imaginer.
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Tu es toujours aimée, car je suis toujours à tes côtés à chaque instant.
Je ne te demande pas d'assimiler tout d'un coup, tout a un processus de mon cœur.
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Et même si je n'aime pas te voir comme ça,
petit à petit tu me trouveras où je suis.
Je ne suis pas parti juste que notre relation a changé.
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Je suis dans ces moments où tu te souviens à quel point nous étions heureux,
aux rires que nous avons partagés et aux innombrables fois où je t'ai rendu visite dans tes rêves.
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Je suis dans le chant des oiseaux et dans les hirondelles qui te rendent visite le matin,
je suis là, je vois la brise qui caresse tes joues le matin.
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Le jour où tu as demandé un conseil et que tu as été donné,
j'étais là.
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Ce que je veux te dire c'est que je suis là et il suffit que tu réfléchisses et que tu me sentiras.
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Ma tâche sur terre était déjà terminée comment un jour finira la tienne.
Il était temps que je quitte ce corps.
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Ici de ce côté il n'y a plus de souffrance, plus de haine ni de rancune, plus de tristesse et plus de malice.
Ici, nous ne faisons qu'un, de ce côté, seul l'Amour abonde.
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Je sais que tu te sens triste et que je te comprends et que je n'aime pas te voir comme ça et même si je sais que tu ne comprendrais pas je ne suis pas mort,
je ne suis pas mort parce qu'il n'y a pas de mort,
mon maître, je suis là et je ne suis pas parti.
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Signé: L'inconnu.

UN POEME
C'est un moment de douceur
qui berce notre coeur
C'est un moment doux
qui vous gagne tout a coup
on y exprime ,c'est joies,c'est peines
les moments qui manquent a notre vie
c'est comme un journal intime qui coule dans vos veines
ou on exprime,l'amour mais aussi la douleur a l'infini
ce que notre âme ressent....
dans de tel moment....
écrit de Marine avec quelques changement de ma part choupinou; pensées, amitié.

Votre coeur est un arc-en-ciel,
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Il ne se montre que les jours de pluie.
Lorsque votre regard le traverse,
Chaque couleur est une corde à sa mélodie.
Une note d'émeraude
Quand l'espoir de le revoir résonne en vous.
Une note de ciel
Quand vous rêvez de vous deux.
Une note de soleil
Quand vous regardez ses yeux.
Le silence
Quand vous pleurez son absence
Pour votre petit ange.

Tantôt il y fait jour, dans notre âme, et tantôt crépuscule...
*
Toute une vie en nous, non visible, circule
*
Toute une vie en nous, non visible, circule
Et s'enchevêtre en longs remous intermittents ;
Notre âme en est variable comme le temps ;
Tantôt il y fait jour et tantôt crépuscule,
Selon de brefs et de furtifs dérangements
Tels que ceux du feuillage et des étangs dormants.
Pourquoi ces accès d'ombre et ces accès d'aurore
Dans ces zones de soi que soi-même on ignore ?
Qu'est-ce qui s'accomplit, qu'est-ce qui se détruit ?
Mais, qu'il fasse aube ou soir dans notre âme immobile,
La même vie occulte en elle se poursuit,
Comme la mer menant son oeuvre sous une île !
*
Georges RODENBACH (1855-1898)

De grands pins s'élèvent presque aussi haut que ces rochers dont l'ombre donnent une fraîcheur délicieuse à trois pas des endroits où la chaleur des rayons du soleil rendent impossible de s'arrêter ou de marcher; restent bien au frais, auprès d'une belle cascade, profite d'un petit plouf.. de te rafraichir dans l'eau, qui murmure une délicate chanson reposante, reste a l'abri de cette canicule même si je sais que dans ton beau jardin, tu ne risques plus rien.. Douce journée, petit ange d'amour ici sur nos/ta région ,il y fait très très chaud......
ton amie choupinou

Mon maître,
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Promets-moi de ne pas pleurer,
Je n'aime pas l'océan dans tes yeux.
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Promets-moi de penser à mon rire,
de temps en temps,
ça me rendra joyeux.
Mange la vie, mords dedans.
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Moi, j'ai laissé mon âme au Vent...
Je me sens plus léger maintenant,
je peux à chaque instant voyager, partir, revenir, c'est amusant !
Tu ne peux pas m'attraper,
tu ne peux pas me tenir, mais si tu fermes les yeux,
tu peux toujours me sentir près de toi...
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Je sais que je ne suis qu'un chien mais...
Si tu te sens triste, je serai ton sourire.
Si tu pleures, je serai ton réconfort
Et si quelqu'un te brise le coeur, tu peux utiliser le mien pour vivre...
Je serai toujours à tes côtés.

Devant la mort je m’incline et pardonne au Bon Dieu !!!
*
Sur la mort d'une rose
*
Cette rose qui meurt dans un vase d'argile
Attriste mon regard,
Elle paraît souffrir et son fardeau fragile
Sera bientôt épars.
*
Les pétales tombés dessinent sur la table
Une couronne d'or,
Et pourtant un parfum subtil et palpable
Vient me troubler encor.
*
J'admire avec ferveur tous les êtres qui donnent
Ce qu'ils ont de plus beau
Et qui, devant la Mort s'inclinent et pardonnent
Aux auteurs de leurs maux,
*
Et c'est pourquoi penché sur cette rose molle
Qui se fane pour moi,
J'embrasse doucement l'odorante corolle
Une dernière fois.
*
Raymond RADIGUET (1903-1923)

Mon maître,
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Si tu étais une fleur, je serais tes pétales
Si tu étais un soleil, je serais tes rayons
Si tu étais un oiseau, je serais ton plumage
Si tu étais un arbre, je serais ton feuillage
Si tu étais une galaxie, je serais tes étoiles
Le jour où tu deviens un ange comme moi,
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Et toi mon maître d'amour, tu seras mes ailes.

Pour la compagne ou le compagnon qui n'est plus,
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Pour toi qui viens ici pour l'ultime séparation, pour l'ultime hommage à celui ou celle qui t'a donné sa fidélité, son amour, ses joies, sa reconnaissance, et pour lequel ou pour laquelle tu as eu des nuits de veille quand la maladie frappait...
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Pour toi qui avais un langage unique pour échanger, pour adoucir, avec celui ou avec celle qui communiquait par un simple battement des paupières, un frémissement du museau, et qui exprimait, qui transmettait tant de messages ineffables, d'un miaulement ou d'un ronron, d'un aboiement particulier, ou qui jappait à ton approche, ou donnait de la voix.
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Pour toi qui cheminais avec lui ou avec elle, et qui partageais ses jeux,
Pour toi dont il ou elle était le gardien du logis, Pour toi qui as mille et mille histoires à nous dire sur lui ou sur elle, chien ou chat,
Pour toi dont il ou elle a été le témoin de tant d'évènements familiaux,
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Pour toi qui revis à présent la belle histoire d'amour qui vous liait, ne garde au coeur et en ta mémoire que la couleur de ses yeux, et de son pelage, son nom, son image, les heures de complicité, sa force vive, celle d'hier, tout ce que ce compagnon ou cette compagne t'a donné...
Que ta croyance en la survie du souffle qui l'animait soit la plus forte...
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Alors ta compagne ou ton compagnon sera présent(e) dans l'invisible qui nous entoure, et tu seras apaisé(e).
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Bernard Blancotte
de l'Académie du Languedoc
Paris, le 9 septembre 1988

De la douceur,
De la tendresse,
De l'Amour,
De la fusion,
Où la pensée,
le coeur, pourraient s'y reposer
Et vivre en toute liberté...
Je t'ai rencontré, instant magique
Il était une fois.....💋toi et moi
Nous avons eu une belle histoire...
On s'est aimés, toi bien plus fort que moi,
et pourtant dieu sait comme je t'aimais,
Tu es parti, ma vie s'est dégradée,
Comme un ouragan qui arrache tout sur son passage,
Mon coeur a pleuré, il s'est meurtri
Et tu l'as laissé se consumer, sans le vouloir ,
Je suis restée planter là, avec le vide et ce silence .
Je t'aime mon ange💖✨🌈😢

C’est vrai que la vie est un combat, et quel combat …!!!???
*
Ah ! ne me dites pas...
*
Ah ! ne me dites pas que la vie est un rêve,
Une ombre qui s'enfuit et flotte sous mes pas ;
C'est le temps de la lutte, et si rien ne s'achève,
L'éternel avenir a son germe ici-bas.
*
La vie est un combat, la vie est une arène
Où le devoir grandit du triomphe obtenu ;
C'est le sentier qui monte, et pas à pas nous mène
Aux sommets d'où la vue embrasse l'inconnu.
*
Madame de PRESSENSÉ (1826-1901)

Qu'elle est lourde à porter l'absence de l'ami,
L'ami qui tous les soirs venait à cette table
Et qui ne viendra plus, la mort est misérable,
Qui poignarde le coeur et qui te déconstruit.
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Il avait dit un jour : "Lorsque je partirai
Pour les lointains pays au-delà de la terre,
Vous ne pleurerez pas, vous lèverez vos verres
Et vous boirez pour moi à mon éternité."
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Dans le creux de mes nuits, pourtant, je voudrais bien
Boire à son souvenir pour lui rester fidèle,
Mais j'ai trop de chagrin et sa voix qui m'appelle
Se plante comme un clou dans le creux de ma main.
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Alors je reste là au bord de mon passé,
Silencieux et vaincu, pendant que sa voix passe
Et j'écoute la vie s'installer à sa place,
Sa place qui pourtant demeure abandonnée.

Tristesse
*
Déferlement gris de nuages,
L’esprit déserte ses mirages.
Sur le pré s’étend une mer
Que forme l’écharpe des brumes ;
Un voile cendre l’univers.
La nostalgie errante fume.
Rien n’est doux, plus rien n’est amer.
La tristesse en mon cœur s’allume.
Comme ils sont noirs mes cyprès verts !
*
Alice Cluchier ("Cris et tourments")

Il est des jours, des nuits
Où rien ne peut soulager
Mon cœur, ma peine
Être ici ou ailleurs
Où ces quelques moments de bonheur, on fuit
Où dans mes yeux, le reflet
D'une présence auprès de moi
Me perturbe encore.
Tu reviens sans cesse dans ma mémoire,
Et tu bouleverses mon cœur,
Tu m'as laissé en mille morceaux
Cette dépendance affective
Je la connais, elle est douleur
Je marche sur le fil de ma vie
Toujours avec ce besoin.
Toi tu es mon passé,
Moi cet oiseau blessé
Que j'ai laisser partir
pour te libérer, de ta maladie
Cette vie que je ne défi plus,
Cette vie qui m'ennuie,
Ce temps qui passe et me laisse làs
Attendant les dernières minutes,
attendant en vain ton retour,
mais je sais au fond de moi, le néant
mais viendra un jour, on se retrouvera
je le sais que tu m'attends patiemment,
Tu veilles pour l'instant ,oui ce moment viendra
Je pense à toi mon coeur
A vous mes amis petits anges

Pour toi mon maître,
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J'ai choisi de quitter ce monde mais pas de te quitter toi.
Chaque nuit je te rejoints dans tes rêves,
Chaque jour je t'accompagne dans ta vie.
Nos âmes sont liées et rien ne peut les séparer,n'ai crainte.
Si je te manque, ferme les yeux et ouvre ton coeur,
tu sentiras ma chaleur.
Je serai là aussi souvent que tu auras besoin de moi.
Parle-moi puis écoute-moi,
je suis la petite voix tout au fond de toi.
Et surtout, apprécie chaque fleur, chaque oiseau,
chaque odeur et tout ce qui est beau
car c'est moi qui t'en fais cadeau dans l'espoir
de revoir enfin un sourire se dessiner sur ton visage.
Tu y arriveras j'ai confiance en toi.
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Ton Ange qui t'aime et qui veille sur toi.

Pour tous ceux qui ont été abandonné,
Pour tous ceux qui en sont mort,
Pour tous ceux qui vont être abandonner hélas,
car oui, les beaux jours sont là,
et le désir de vacances et bien plus fort,
que l'amour d'un animal qui vous à tout donné,
mais bon sang ou est passé votre honneur...
n'avez eu donc eu, jamais de coeur....
Ô misérable vie.... Pourquoi ???
pourquoi a tu donné dans les mains de certains d'humains,
l'existence de ces pauvre animaux,
ces êtres incapables et sans coeur,
égoïsme pur, sans âme et sans pitié...
Comment peut t'on laisser son animal,
comme ça, sans regard en arrière, comment ????.
choupinou
POEME pour VOUS, petits coeurs
L'été est là,
les vacances arrivent à grand pas.
période cruelle,
pour quelques compagnons fidèles.
Délaissés, oubliés
et lâchement abandonnés,
par de vils gens,
qui les trouvent bien trop encombrants...
Pour un séjour,
une période de peu de jours...
inconséquence,
d'estivants sans âme ni conscience....
Triste destin,
pour ceux qui ont aimé sans fin...
ils ont une vie, un coeur....
et ne pensent qu'à votre bonheur....
Alors, Pourquoi ???
les laisser à l'orée d'un bois,
certains attachés a un arbre,
ou bien dans un endroit,
ou hélàs on ne les trouveras pas,
agonisants, et sans repère
Ô ABANDON !!!!
TU ES LA PIRE DES TRAHISON !!!
Gendy La Fontaine

Good evening. I was absent for a long time because I was hospitalized in the intensive care unit for infectious endocarditis. According to the doctors, it's a bacterial infection that I may have contracted in UKRAINE. I'm still being treated with infusions. With all my FRIENDSHIP. Addy

Quand j’observe le ciel
Je rêve à des merveilles
Mais souvent la nuit
Je rêve à lui.
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Il est mon étoile, mon berger
Dans la soirée sacrée
Il est l’étoile perdue,
Que j’ai aperçue.
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Cette étoile du berger parmi tant d’autres,
Est comme les secondes d’une montre,
On l’aperçoit peu,
Mais il est avec eux.
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Alors, je me suis retourné
Et dans la nuit étoilée
Et je t’ai vu, sur le chemin
Me tendant la patte, mon chien.
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Me disant ne te laisse pas envahir par le chagrin,
Tu restes à jamais mon ami, mon frère, je veille sur toi,
Ma vie avec était belle, j’ai vécu comme un roi
Je te regarde, je t’entends, je ne suis pas loin.
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Juste de l’autre coté du chemin.

Oh oui, rêvons !!! Rêvons de nos Anges...!!!
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L'Important
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- C'est quoi, l'Important ?
- L'Important, c'est d'accrocher des rires
Aux branches sèches de la vie…
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- C'est quoi, la Vie ?
- La Vie, c'est chercher son étoile
Dans le fouillis du ciel…
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- C'est quoi, le Ciel ?
- Le Ciel, c'est ce qu'on ne peut voir
Qu'en fermant les yeux…
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- C'est quoi, les Yeux ?
- Les Yeux, ce sont des forges vives
où s'embrasent les rêves…
*
- C'est quoi, les Rêves ?
- Les Rêves….
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C'est ce qui est important…
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Robert Gélis ("En faisant des galipoètes" - Anthologie de Poche - Éditions Magnard, 1983)