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In tribute to
SETTER-GORDONRUBENS
Born on :03/06/2000
left us on:04/03/2013
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11694 Flowers
6958 messages
left by colombine67 on 02/12/2015Je suis coupable de guerre quand j'exerce orgueilleusement mon intelligence au détriment de mes frères humains. Je suis coupable de guerre quand je déforme les opinions des autres lorsqu'elles diffèrent des miennes. Je suis coupable de guerre quand je ne tiens pas compte des droits et des possessions des autres. Je suis coupable de guerre quand je convoite ce qu'un autre a honnêtement acquis. Je suis coupable de guerre quand je cherche à maintenir la supériorité de ma position en privant les autres de leurs opportunités d'avancement. Je suis coupable de guerre si je m'imagine que ma famille et moi-même devons être privilégiés. Je suis coupable de guerre si je crois qu'un héritage me donne le droit de monopoliser les ressources de la nature. Je suis coupable de guerre quand je crois que les autres doivent penser et vivre comme je le fais. Je suis coupable de guerre quand je fais dépendre le succès dans la vie, de la force, de la réputation et de la richesse. Je suis coupable de guerre quand je pense que la conscience des gens devrait être soumise par la force plutôt que suivre la raison. Je suis coupable de guerre quand je crois que le Dieu que je conçois est celui que les autres doivent admettre. Je suis coupable de guerre quand je pense que le pays qui a vu naître quelqu'un doit nécessairement être le lieu où il doit passer sa vie. Ralph Maxwell Lewis |
left by Biscuit on 02/12/2015Si tu prends la peine d'écouter dans le courant d'air de la maison, tu peux entendre ma voix qui te dit : « Ne sois pas triste, ne pleure plus mon départ, où je me trouve maintenant, je suis bien ». Entourée de l'amour de ceux qui m'ont précédée, je ne souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandé, fini le tourment Je me repose sans douleur, sans contrainte Je te quitte, mais je reste dans ta mémoire, pense à moi souvent, mais ne soit pas attristée par mon absence, je serai partout avec toi, dans les moments de peine, comme dans les moments de joie. Dans les villes, dans les forêts et dans les plaines, chaque fois que le vent des contraintes de la vie te couvrira, tends les bras vers le ciel, je t' envelopperai de mes ailes pour te réchauffer de mon amour et chasser tous tes tracas., |
left by colombine67 on 01/12/2015"Dis-moi, combien pèse un flocon de neige ?", demanda la mésange à la colombe. "Rien d'autre que rien", fut la réponse. Et la mésange raconta alors à la colombe : "J'étais sur une branche d'un sapin quand il se mit à neiger. Pas une tempête, non, juste comme un rêve, doucement, sans violence. Comme je n'avais rien de mieux à faire, je commençais à compter les flocons qui tombaient sur la branche où je me tenais. Il en tomba 3.751.952. Lorsque le 3.751.953ème tomba sur la branche - rien d'autre que rien comme tu l'as dit - celle-ci cassa." Sur ce, la mésange s'envola. La colombe, une autorité en matière de paix depuis l'époque d'un certain Noé, réfléchit un moment et se dit finalement : "Peut-être ne manque-t-il qu'une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix !" ACAT (Action des Chrétiens pour l'Abolition de la Torture), |
left by ovanek on 30/11/2015💖 💖 112 💖 💖 ***** Saison de Toi ***** Tu es mon paradis, mon envie Tu souris dans mon cœur avec ta nuée de fleurs En moi dans un petit coin je te garde sur mon Cœur Pour ne pas être loin de toi j’ai rêvé mes pensées Tu me fais tourner la tête dans une valse du ciel et nous unis dans le chant des oiseaux. Qui te chante mes mots Comme un prince charmant tu as quitté les champs Pour venir me confier ton plus beau secret Suis de l’Amour Ton parfum à la senteur de miel alors ce dépose en éternel L’instant est féerique comme des notes de musique Qui s’envolent et danse aux quatre vents. Il honore ton arrivée Ces Saisons c'est toi mon chien Pensée ….Phil 💖 |
left by colombine67 on 30/11/2015 Laissez-moi rêver qu'jai de beaux souliers ne me dites pas la vérité... Laissez-moi penser qu'j'ai tout'la vie pour aimer même si je sais qu'mon crédit est épuisé... Ne détruisez pas mon royaume à moi où je suis la reine du miel et des arcs en ciel Ne me dites pas... J'veux pas être sage Je veux plus d'images Je veux mon bonhomme à moi en chocolat J'veux des bras, des jambes, et même des menottes toutes pleines de doigts... Je veux être légère une bulle d'air explosant de joie... J'veux des chants d'oiseaux un monde plus beau sans cris ni couteaux... Alors... Laissez-moi rêver, Ne me dites pas... La vérité Cristal |
left by colombine67 on 29/11/2015 La véritable amitié est pure. Elle ne recherche aucune faveur en retour. Elle élève celui qui la donne. La véritable amitié est généreuse. Elle est plus forte que tous les préjugés. Elle anoblit celui qui la donne. La véritable amitié est fidèle. Elle n’est pas altérée par le temps. Elle honore celui qui la donne. La véritable amitié est tenace. Elle est faite de loyauté et de franchise. Elle grandit celui qui la donne. La véritable amitié est magnanime. Elle ne pose aucune condition. Elle embellit celui qui la donne. La véritable amitié est absolue. Elle n’est jamais donnée par miettes. Elle fait honneur à celui qui la donne. La véritable amitié est spontanée. Elle ne fait l’objet d’aucun marchandage. Elle récompense celui qui la donne. La véritable amitié est sincère. Elle ne pose pas de conditions. Elle enrichit celui qui la donne. Henri de Lacordaire, (1802-1861) |
left by Galinette3 on 28/11/2015Mon ange ... 🐶 Tu m'as quitté, Date que je n'oublierai jamais, Qui restera un des plus douloureux moment de ma vie, Tu t'es doucement endormi, Bercé par mes paroles, mes caresses, Avec mon odeur prés de toi, Pour devenir ange ... 🐶 Tu étais mon fidéle compagnon, L'amour que tu m'apportais, était si fort, Tu étais hyperattaché à moi, Comme moi je l'étais pour toi, Tu m'as appris à savoir aimer et donner, Tant de souvenir avec toi, De joie, de bonheur, de gentillesse, Tu étais un être exceptionnel, Tu me manque plus que tout, Sentir ta truffe qui vient me reveiller chaque matin, Te voir débordant de joie quand je portais même juste un regard sur toi, et j'en passe des meilleures qui ne se décrivent pas par les mots, Mais par des émotions que seuls nous deux avons ressenti, Je donnerai pourtant tout pour te serrer encore un fois dans mes bras ... 🐶 Accordes moi ton unique pardon, de ne pas avoir su te protéger et te garder prés de moi ... 🐶 Au déla de la mort qui nous sépare, Notre lien était si fort, Que je sais que rien ne détruira cette force, Mes souvenirs pour toi sont intenses et éternels, Tu resteras à jamais mon amour, L'un des plus joli cadeau de ma vie, Je t'adresse tout mon amour, tout mon coeur, Et ce pour toujours ... 🐶 Je t'aime et je t'aimerai éternellement ... |
left by poutounou on 28/11/2015Et si on se préparait une énorme salade de baisers !!! * Ce matin * Ce matin, j'ai mangé de la colère à la petite cuillère. J'ai mis plein de mauvaise humeur sur ma tartine de beurre. Toute la journée, je l'ai passée à grogner, à donner des coups de pieds, et à dire "C'est bien fait !". Mais maintenant, ça suffit, j'ai envie que ce soit fini. Et avant d'aller me coucher, je voudrais vous apporter une salade de baisers bien frais, bien doux, bien sucrés. C'est très facile à préparer. Qui veut la goûter ? * Monique Müller |
left by colombine67 on 28/11/2015 La seringue a tué le rire Plus d'une fois j'ai pensé atteindre la rive, chaque fois je suis retombé ; sur mon bras droit est tatouée une seringue. Mon esprit est marqué. Combien d'années ont passé depuis que j'ai, mon sac de couchage sous le bras, fermé la porte de ma maison, depuis que j'ai fumé ma première pipe de hachisch ? Quatre, cinq ? Je ne veux pas y penser ! Je veux oublier ! Quelques amis ont essayé de m'aider, puis sont repartis. Que pouvaient-ils faire ? Je ne vois pas la lourde porte de ma prison ni les barreaux à ma fenêtre. Quelque part dehors, dans Oslo qui se réveille après un long hiver, mon fils et ma femme m'attendent. Je rêve ! Des images défilent devant mes yeux, des souvenirs... Paris, l'Afrique, le hachisch, puis, en relief, une seringue, Istamboul, l'opium, Téhéran, l'héroïne... Tout est vague ! Une seringue à mort lente ! Ai-je vingt et un ans ou un siècle ? La seringue a tué le rire. La prison ne m'a pas changé. Souvent j'y ai séjourné, puis je suis reparti, de ville en ville, de pays en pays, pour fuir l'obsession. J'ai tenté avec violence de toucher la rive sans jamais y parvenir. Un jour je suis retourné à la maison, les bras percés, et lentement j'ai guéri. C'est très loin. Le brouillard se dispersait, je suis reparti, mes vieilles bottes aux pieds, retrouver les amis de la dernière heure. Les amis ? Non, la seringue ! J'ai renié mes amis. J'ai renié jusqu'à l'idée de l'amour. J'ai renié la vie. J'ai vécu frileux et caché, sans lever la tête, une seringue dans la poche. Des jours, des années ! Puis le soleil délicatement est venu sur mon couvre-lit à la clinique de Cery. Les semaines ont passé, j'ai refait mes premiers pas, le voile se levait mais des périodes sont restées obscures, puis j'ai pu rentrer chez moi quelques heures, avant de repartir. J'avais été expulsé ! La route, un cahier de vers dans la poche, un livre de Nerval, les nuits dans les villes étrangères... sans fin... Dans un parc d'Oslo, j'ai rencontré une jeune fille merveilleuse avec un enfant. La veille de notre mariage j'ai été arrêté une fois de plus pour possession illégale de stupéfiants. Les journées passent, les semaines aussi. Dehors on m'attend. Deux fois par semaine elle vient me voir dix minutes, un geôlier me conduit au parloir... Encore une fois je vais essayer, je ne suis pas seul, et je lui dirai : Voilà, cette fois j'y arriverai ! Combien d'années ont passé ? J'aimerais que cette lettre soit publiée. Si d'autres peuvent ainsi éviter cette voie, tout n'aura pas été inutile. Anonyme, Prison d'Oslo, le 31 mai 1970 |
left by Biscuit on 28/11/2015Dans un petit coin de mon coeur. Ton amitié vit comme une fleur. Son parfum de tendresse, Me réchauffe comme une caresse, Ses pétales colorés,telle la rosée, Rafraichissent ma vie, Ses racines malgré le temps qui fuit, Restent solides entre nos vies. Au cours de ce voyage, je pense à toi, Je laisse sur cette page un peu de moi. Avec toi je continuerai de partager, Ce qu'on appelle si joliment amitié... |
left by rafia on 27/11/2015Pour Hier Et Demain........ Je veux pas qu'on me dise Que t'es bien mieux là-bas, Je veux pas qu'on me dise Que la vie c'est comme ça. Je voudrais ne plus voir, J'aimerais mieux ne plus sentir, Je veux surtout pas croire Que c'est des choses qui arrivent. Pour tous ceux qui restent, Pour ceux qui espèrent, Pour tous ceux qui marchent encore sans toi, Pour tous ceux qu'on laisse, Pour tous ceux qu'on perd, On s'accroche à demain Mais on n'oubliera jamais hier. Je sais bien que ça se passe pas, Toujours comme dans les livres J'aimerais mieux pas savoir, Qu'on avait ça à vivre Maintenant que tout est fait Et qu'on peut pas revenir Il faut se remettre à vivre, Faut se remettre à sourire. Si tu m'entends aujourd'hui De là-haut dans l'autre monde, Envoie un peu de pluie, Pour mes fleurs sur ta tombe. |
left by colombine67 on 27/11/2015Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. J'écoute quelquefois le soir Des nouvelles à la télévision. On y voit haine et désespoir, Détruire notre monde sans raison. On nous annonce au fil des jours Que femmes et enfants sont agressés Et qu'aussi certains vautours, Vont jusqu’à tuer pour dominer On a beau se parler d'amour, De partager son amitié. Qu'aussitôt dans le détour, La rose sort ses épines acérées. Pourquoi sommes-nous si violents ? Pourquoi sommes-nous insouciants ? Pourquoi sommes-nous si impatients ? Pourquoi sommes-nous intolérants ? Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. Roger Kemp |
left by rafia on 26/11/2015Quelque part au-delà de l' 🌈 Bien plus haut, Il y a une contrée don't j'ai entendu parler Une fois dans une berceuse. Quelque part au-delà de l' 🌈 Les cieux sont bleus Et les rêves que tu oses rêver Deviennent vraiment réalité. Un jour je ferai un souhait en regardant une 🌟 Et je me réveillerai à l'endroit où les nuages sont loin Derrière moi. Où les ennuis fondent telles des gouttes de citron 🍊 Bien au-dessus des cheminées C'est là où tu me trouveras. Quelque part au-delà de l'🌈 Les merles bleus volent, Les 🐦🐦🐦🐦🐦🐦🐦🐦🐦volent au-delà de l'🌈 Alors pourquoi, oh, pourquoi ne le puis-je pas ? Si de joyeux petits merles bleus volent Au-delà de l'🌈 Pourquoi, oh, pourquoi ne le puis-je pas ?, |
left by colombine67 on 26/11/2015 As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ? Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admiré un coucher de soleil ? Tu devrais t'y arrêter. Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement. Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé ? Lorsque tu demandes "Comment ça va ?", est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ? Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends dans ton lit avec 100.000 choses à faire qui courent dans ta ête ? Tu devrais ralentir. As-tu déjà dis à ton enfant : "Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ? Déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour. La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être. Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais. La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée. Anonyme |
left by nikita on 25/11/2015RUBENS mon beau petit cœur Ça fait bien du temps que tu n’es plus là ! Et que j’essaye de vivre sans toi Je me souviens encore du jour ou tu es parti Ce jour ou ma vie a été anéantie Depuis que tu as quitté cette terre J'ai juste envie de te dire à quel point mon cœur se serre Dans ces moments là malgré mes petits bonheurs Je ne peux retenir mes larmes et mes pleurs Sais tu seulement que tu me manques à chaque instants Simplement te dire que je t 'aime tant Tu es présent dans mes moindres pensées Je sais que tu es là juste à mes cotés Et que si mes yeux ne te voies pas Mon cœur bat toujours pour toi pour toi mon beau RUBENS un envol de doux baisers qui sur ta jolie frimousse vont se déposer avec des douces pensées pour toi et ta maman à qui tu manques tant |
left by monkillou on 25/11/2015Chers Rubens et sa maman, * Je viens de constater que tu es en compagnie d'une charmante jeune fille qui aux périples de sa vie et décédée pour la France... Moi également, j'ai eu la rage au ventre, quand j'ai appris qu'un fidèle compagnon avait péri pendant l'assaut des forces de l'ordre. Pauvre victime... innocente elle aussi, comme toutes celles qui ont été tuées sauvagement. Ta maman a voulu lui faire un hommage comme d'autres personnes et je trouve cela très gentil. Mais "revenons à nos moutons" car si je suis là aujourd'hui sur ta stèle c'est pour remercier ta fidèle maîtresse pour sa compassion. Elle vient régulièrement déposer de beaux poèmes et en particulier en ce 25 novembre, jour de l'anniversaire de décès de mon Dex d'amour. Je lui adresse par ces mots toute ma reconnaissance et ma sympathie. Une énorme caresse pour TOI bel étalon ainsi qu'à ton cousin, qui, j'espère se porte bien. À tantôt |
left by colombine67 on 25/11/2015Un petit garçon de 8 ans. Son père, un scientifique, cherche à résoudre les problèmes de l’humanité. Le petit entre, lui tire la manche et lui dit : « Papa, je veux t’aider ! » Son père le renvoie : « Non, mon fils, j’ai beaucoup de travail. » Mais le petit insiste. Il y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu’il lui remet avec de la colle : « Voilà, essaie de reconstruire le monde. » Croyant occuper ainsi son fils pour une dizaine de jours. Mais après deux heures, le fils a résolu le problème. « Comment as-tu pu faire cela ? » « Eh bien, Papa, j’ai vu que l’autre côté de la carte, il y avait la figure d’un homme. Le monde, je ne le connais pas. mais l’homme, si. Alors, j’ai retourné tous les petits papiers. Et j’ai d’abord reconstruit l’homme. Puis, j’ai retourné le papier, j’avais reconstruit le monde aussi. » Anonyme |
left by luc78 on 25/11/2015De toi, je garderai Pour toujours enfermé Tout au fond de mon cœur, Une idée du bonheur A toi je resterai A jamais attaché. Et tu seras toujours Comme au premier jour. Pour toi j’avais bravé, Contre vents et marées, La houle de la vie, Les jours parfois si gris. Avec toi je restais, Tu savais patienter Ne jamais me quitter, En boule, tu te roulais Que toi pour aboyer, Et puis t’impatienter Quand je parlais parfois A un autre que toi. Comme toi, moi j’aimais M’en aller promener Et tu te régalais De courir dans les prés. Sans toi, je ne sais plus Vraiment ce que je suis, Dans ton regard de chien Je me sentais si bien. |
left by poutounou on 24/11/2015Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
left by colombine67 on 24/11/2015 Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant qui a raté un examen. Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt. Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire. Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui attendent de se revoir. Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion. Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident. Pour apprendre la valeur d'une milliseconde, demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux Jeux Olympiques. Le temps n'attend personne. Rassemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur. Partage les avec une personne de choix et ils deviendront encore plus précieux. Anonyme |
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