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En hommage à
Epson et Pistache

Il nous a quittés le:31/03/2018

C'est pas un déces,mais ils sont partis de chez moi suite à ma situation qui a été bouleversé,je'ai du me séparé de mes deux chevaux,c'était trop dur a gérer,j'ai galéré 4 mois d'hiver,ma santé en a patie,il a fallu que je prenne une décision,cela a été très dur,je culpabilise encore ,mais voilà !!!ils sont donc partis chez un particulier dans le Pas de Calais,bien arrivés ,je pense à eux ,mais ne demande pas de nouvelles,il y a des pages qu'il faut tourner si on veut avancer.

Epson est arrivé chez nous à 15 ans(donné par des amis qui ne pouvaient plus le garder ) c'était le 18 mars 2006 et Pistache 14 ans est arrivée le 22 novembre 2016 (jument avec un probleme assez particulier un trou dans le palais,pas grave mais peu esthétique,car quand elle mangeait ou buvait ,du liquide lui ressortait par le nez )voilà je voulais créer une page pour eux car ils sont quoi que je fasses toujours dans mon coeur,mes amis,amies fideles comprendront..Depuis ma petite enfance ,les chevaux ont fait partie de ma vie.




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125 messages

Déposé par poutounou le 25/12/2018  
Un Joyeux Noël à tous les Anges et Angelettes et à tous les papas et mamans de coeur...
*
Noël.
*
Le ciel est noir, la terre est blanche ;
— Cloches, carillonnez gaîment ! —
Jésus est né ; — la Vierge penche
Sur lui son visage charmant.
*
Pas de courtines festonnées
Pour préserver l'enfant du froid ;
Rien que les toiles d'araignées
Qui pendent des poutres du toit.
*
Il tremble sur la paille fraîche,
Ce cher petit enfant Jésus,
Et pour l'échauffer dans sa crèche
L'âne et le bœuf soufflent dessus.
*
La neige au chaume coud ses franges,
Mais sur le toit s'ouvre le ciel
Et, tout en blanc, le chœur des anges
Chante aux bergers : « Noël ! Noël ! »
*
Théophile Gautier
(1811 - 1872)

Déposé par Biscuit le 24/12/2018  
La nuit avant Noël
C'était la nuit de Noël, un peu avant minuit,
A l'heure où
tout est calme, même les souris.
On avait pendu nos bas devant la cheminée,

Pour que le Père Noël les trouve dès son arrivée.
Blottis bien au chaud dans
leurs petits lits,
Les enfants sages s'étaient déjà endormis.
Maman et moi,
dans nos chemises de nuit,
Venions à peine de souffler la bougie,
Quand au
dehors, un bruit de clochettes,
Me fit sortir d'un coup de sous ma couette.

Filant comme une flèche vers la fenêtre,
Je scrutais tout là haut le ciel étoilé.
Au dessus de la neige, la lune étincelante,
Illuminait la nuit comme si c'était le
jour.
Je n'en crus pas mes yeux quand apparut au loin,
Un traîneau et huit
rennes pas plus gros que le poing,
Dirigés par un petit personnage enjoué :

C'était le Père Noël je le savais.
Ses coursiers volaient comme s'ils avaient des
ailes.
Et lui chantait, afin de les encourager :
" Allez Tornade !, Allez Danseur !
Allez , Furie et Fringuant !
En avant Comète et Cupidon ! Allez Éclair et Tonnerre !

Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur !
Au galop au galop mes amis ! au
triple galop ! "
Pareils aux feuilles mortes, emportées par le vent,
Qui
montent vers le ciel pour franchir les obstacles ,
Les coursiers s'envolèrent, jusqu'au
dessus de ma tête,
Avec le traîneau, les jouets et même le Père Noël.
Peu
après j'entendis résonner sur le toit
Le piétinement fougueux de leurs petits sabots.
Une fois la fenêtre refermée, je me retournais,
Juste quand le Père Noël sortait de
la cheminée.
Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet,
Étaient un peu
salis par la cendre et la suie
Jeté sur son épaule, un sac plein de jouets,
Lui
donnait l'air d'un bien curieux marchand.
Il avait des joues roses, des fossettes
charmantes,
Un nez comme une cerise et des yeux pétillants,
Une petite bouche qui
souriait tout le temps,
Et une très grande barbe d'un blanc vraiment immaculé.

De sa pipe allumée coincée entre ses dents,
Montaient en tourbillons des volutes de
fumée.
Il avait le visage épanoui, et son ventre tout rond
Sautait quand il riait,
comme un petit ballon.
Il était si dodu, si joufflu, cet espiègle lutin,
Que
je me mis malgré moi à rire derrière ma main.
Mais d'un clin d'oeil et d'un signe de
la tête,
Il me fit comprendre que je ne risquais rien.
Puis sans dire un mot,
car il était pressé,
Se hâta de remplir les bas, jusqu'au dernier,
Et me salua d'un
doigt posé sur l'aile du nez,
Avant de disparaître dans la cheminée.
Je
l'entendis ensuite siffler son bel équipage.
Ensemble ils s'envolèrent comme une plume au
vent.
Avant de disparaître le Père Noël cria :
" Joyeux Noël à tous et à tous
une bonne nuit "
Clément Clarke Moore
Version française "I was the night
before Christmas"

Déposé par Biscuit le 21/12/2018  

Les adieux sont seulement pour
ceux qui aiment avec leurs yeux.
Parce que pour ceux qui aiment avec leur coeur
et leur âme, il n'y a pas de séparation.
je ne vous oublierais jamais
,

Déposé par Biscuit le 20/12/2018  
CITATION DE BENJAMIN CONSTANT
La douleur réveille en nous,
tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage.
Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié.
Elle nous apprend à lutter pour nous
et pour les autres.

Déposé par Biscuit le 18/12/2018  
Chacun de nous a un ange , chacun de nous a une étoile pour le guider à travers
les dédales de ce monde , chacun de nous a besoin quand les nuits sont longues et froides, quand la
vie est triste et maussade, quand les bouteilles à la mer ne font plus rien quand les fleurs ont
perdu leur parfum et qu'il est pris de désespoir, de sentir, même sans le voir, son ange lui tenir
la main, chacun de nous a besoin d'avoir un confident pour lui parler des tourments que lui fait
subir le destin, chacun de nous à besoin d'avoir un ami qui restera près de lui quand les autres
sont déjà loin , chacun de nous éprouve le désir quand il a perdu confiance qu'il est perdu dans ce
monde immense d'entendre une voix lui dire que malgré tout, la vie est belle que demain il fera
beau que chantent les oiseaux et volerons les hirondelles , il ouvrira alors les yeux, lèvera la
tête vers les cieux et verra au delà des étoiles qui scintilles ,son ange qui lui sourit

Déposé par Biscuit le 17/12/2018  

Une larme est en apparence une simple goutte d'eau, légérement salée, glissant doucement sur une joue rosée, et qui achève son chemin lorsqu'elle rencontre le sol. Mais si on prend le temps de s'approcher, de regarder vraiment ce qu'elle est , une larme a beaucoup de choses a dire.
Une larme ne nait pas au coin de l'oeil sans raison. Parfois, c'est du à un rire, mais malheureusement, la plupart du temps, c'est à cause d'une peine, d'une tristesse, d'un mal-être enfoui au fond de soi, quelque chose qu'on ne veut pas montrer, pour ne pas inquièter, mais qui finit toujours par remonter. La gorge se noue, les mots ne sortent plus, les yeux nous piquent, on sent la larme se former, on voudrait la retenir, mais elle est plus forte que nous. Elle vient du fond de notre être, du fond de notre âme. Durant le chemin qu'elle parcourt a travers notre corps pour arriver jusqu'à notre oeil, elle se charge des souffrances qui nous hantent. Elle transporte tout ce qu'on n'a pas su dire, tout ce qui nous fait mal, afin de nous libérer pour un temps. Elle attriste notre visage, mais elle est le signe que quelque chose ne va pas. Elle attire sur nous l'attention qu'on souhaite éviter, mais lorsqu'elle est là, il est déjà trop tard. Elle perle au coin de l'iris, transparente, mais tellement significative de ce que l'on ressent. On voudrait la sécher, pour que personne ne la voit, mais elle ne vient jamais seule, et malgré nos efforts, elle finit toujours par glisser sur notre joue, laissant derière elle une trace. Trace du tourment qui est en nous. Tourment qu'on voudrait taire, qu'on ne veut peut etre pas s'avouer non plus, mais pourtant bien présent. Retenir une larme n'est pas possible, car elle finira toujours par venir, dans n'importe quelle situation. Laisser couler une larme permet de lacher prise, de se dévoiler aux autres. Il ne faut pas en avoir honte. Une larme est là pour nous soulager, elle évacue notre trop plein de douleur, et après, l'on se sent mieux.
Maintenant, quand vous verrez une larme, penser a tout ce qu'elle contient, vous comprendrez beaucoup de chose.

Déposé par poutounou le 16/12/2018  
C'est beau le silence mon Ange ! Il te dira combien je t'aime...
*
Le silence ... (extrait)
*
Silence ... silence ...
Sur les cimes, dans les vallées,
Sur la neige immaculée,
Dans les parcs, dans les plaines ...
Le monde retient son haleine.
*
Les ruisseaux ne murmurent plus
Comme dans les caves,
Comme dans les vignes
C'est le silence, c'est le silence
*
Le ciel se tait ...
Le vent se tait
Comme si c'était un jour d'été ...
C'est le silence, c'est le silence
Mais ceci n'est
Qu'une apparence! ...
Interroge-le !
Est-il muet ?
Ecoute-le bien
Entends-le bien
*
Il te dira combien je t'aime
*
Sous ma poitrine mon coeur se tait
De nostalgie et d'espérance ...
Dans le bonheur, dans la souffrance
Le mot sublime est le silence,
C'est le silence, c'est le silence,
C'est l'ivresse de l'espérance ! ...
*
Kamuran Aali Bedir Khan ("La Lyre kurde" - Librairie Saint-Germain-des-Prés, 1973)

Déposé par Biscuit le 15/12/2018  

On croit que le temps estompe la douleur mais pour un détail ... un petit rien le coeur se serre,
les yeux se mouille.
On ne guérit jamais du vide de l'absence. ,

Déposé par Biscuit le 15/12/2018  

Nous les aimions de tout notre coeur, tout simplement. Peut-être même les aimions-nous, je n’ai pas honte de le dire, au-delà du raisonnable. Et ils nous aimaient en retour, totalement, sans retenue. Un tel amour est peut-être la meilleure chose que puisse nous offrir la vie. George Pitcher

Déposé par Biscuit le 14/12/2018  
Si j'écris ces mots c'est pour toi
Toi qui habite loin de moi
sache que je ne t'oublie pas
Toi qui connaissait tout de moi
Tu étais mon ami , mon cheval
au fil du temps et des lendemains
je sais qu'un jour on se croisera sur ce grand chemin ...

Déposé par Biscuit le 12/12/2018  

Les obstacles sur notre route
Il y a très longtemps, un roi fit placer un gros rocher sur une route. Puis, il se cacha et attendit pour voir si quelqu'un enlèverait l'énorme rocher.
Quelque uns des marchants et courtisans les plus riches du royaume passèrent pas là et firent tout simplement le tour du rocher. Plusieurs d'entre eux en profitèrent pour accuser le roi de négliger les routes, mais aucun ne fit quoi que ce soit pour enlever le rocher du chemin.
Puis, un paysan passa par là avec une grosse caisse de légumes. En approchant du rocher, le paysan déposa son fardeau et essaya de pousser le rocher vers le fossé. Après beaucoup d'efforts, il finit par réussir.
Lorsqu'il se pencha pour reprendre sa caisse de légumes, il aperçut une bourse pas terre, à l'endroit même où était le rocher. La bourse contenait plusieurs pièces d'or et une note écrite par le roi, dans laquelle il disait que l'or appartenait à la personne qui avait enlevé le rocher.
Le paysan venait d'apprendre ce que beaucoup de gens ne comprennent jamais : chaque obstacle nous donne l'occasion d'améliorer notre sort.
Brian Cavanaugh

Déposé par poutounou le 12/12/2018  
Tant de belles choses
===========
Même s'il me faut lâcher ta main
Sans pouvoir te dire "à demain"
Rien ne défera jamais nos liens.
Même s'il me faut aller plus loin
Couper les ponts, changer de train,
L'amour est plus fort que le chagrin.
L'amour qui fait battre nos cœurs
Va sublimer cette douleur,
Transformer le plomb en or !
Tu as tant de belles choses à vivre encore.
Tu verras au bout du tunnel
Se dessiner un arc-en-ciel
Et refleurir les lilas.
Tu as tant de belles choses devant toi.
Même si je veille d'une autre rive,
Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive,
Je serai avec toi comme autrefois.
Même si tu pars à la dérive,
L'état de grâce, les forces vives
Reviendront plus vite que tu ne crois.
Dans l'espace qui lie le ciel et la terre
Se cache le plus grand des mystères
Comme la brume voilant l'aurore.
Il y a tant de belles choses que tu ignores :
La foi qui abat les montagnes,
La source blanche dans ton âme,
Penses-y quand tu t'endors :
L'amour est plus fort que la mort.
Dans le temps qui lie ciel et terre
Se cache le plus beau des mystères.
Penses-y quand tu t'endors :
L'amour est plus fort que la mort.

Déposé par Biscuit le 12/12/2018  

Les Chevaux
J'avais un cheval fou, j'avais un cheval sage.
De l'un j'aimais la fougue et la vitalité,
De l'autre, la douceur et la sérénité,
Comme d'autres moi-même une fidèle image.
Le cheval fou courait tout le long de la plage,
La vigne et l'olivier fuyant à ses côtés;
L'écume à son poitrail moussait, il rejetait
Ses longs crins dans le vent, comme un rire de page.
Moi je tremblais pour lui, toujours il revenait.
Le cheval sage allait le long des chemins rouges,
Un doux rêve vivait dans son oeil étonné...
Un jour, il a suivi ce songe reconnu
De son long pas si sûr, vers les lointains qui bougent.
Je l'attendis longtemps, il n'est pas revenu.
Geneviève De Ternant.

Déposé par Biscuit le 10/12/2018  

L’amitié c’est la banque de toutes les tendresses,
C’est une arme pour tous les combats,
Ça réchauffe et ça donne du courage,
Et ça n’a qu’un slogan : On partage.
L’amitié est comme une fleur,
Il faut en prendre soin.
L’amitié a une clé de chaque place,
A toi de la trouver,
Certaines sont cassables……
Mais une amitié fidèle ne peut pas se briser.
L’amitié c’est une écoute quand le cœur est en déroute,
Qui jamais ne se permet de juger, ni de peiner,
Elle peut tout partager de nos joies, de nos secrets,
Que ce soit la nuit, le jour elle vole à notre secours,
Forte comme l’océan,
L’amitié c’est de l’or que l’on garde comme un trésor.

Déposé par poutounou le 09/12/2018  
Nos anges aux pattes pleines d'étoiles blanches...
*
Étranges fleurs
*
L'automne met dans les lilas
D'étranges fleurs que nul ne voit,
*
Des fleurs aux tons si transparents
Qu'il faut avoir gardé longtemps
Son âme de petit enfant
Pour les voir le long des sentiers
*
Et pour pouvoir les assembler
En un seul bouquet de clarté
Comme font, à l'aube, les anges
Les pattes pleines d'étoiles blanches...
*
Maurice Carême

Déposé par Biscuit le 07/12/2018  
Il est des événements dont nous ne guérissons pas.
On les porte en soi pour toujours et on en souffre à jamais.
On croit que le temps passe, qu'il lisse l'effroi.
On croît qu'on a sublimé l'épreuve, qu'on l'a dépassée, oubliée.
Pourtant, le mal est fait, et, au plus profond de soi, la douleur est intacte.
Le cœur, déséquilibré, ne bat plus pareil.
Une fenêtre est béante, le vent s"y engouffre, la vie s'y dérobe.
On est glacé.
On est perdu.
Une part de soi s'est enfuie.
On est fragilisé à jamais, en manque pour toujours.
En soi, désormais, quelque chose n'attend plus que la fin.
Il faut peut-être plonger profond pour trouver la source de sa vie.
En laissant mes compagnons partir,
J'ai trouvé une pierre précieuse,
Une petite flamme qui s'apparente au cristal de l'âme…»

Déposé par Biscuit le 06/12/2018  
L'ABSENCE:
au-dela des peines , des souffrances
aucun mot ne peut d'écrire l'absence
le coeur , avec raison , saigne
le corps , en silence , traine
sa grande peine est sa solitude
aucun mot ne remplace l'habitude
les souvenirs alimentent la peine omnipresente
sourde et parfois muette
longtemps je serai prisonniere
de cette absence, mais le pionnier
de ma mémoire fatiguée et usée
afin de te garder dans mon coeur blessé,

Déposé par Biscuit le 06/12/2018  
Pluie
René-François Sully Prudhomme
Il pleut. J’entends le bruit égal des eaux ;
Le feuillage, humble et que nul vent ne berce,
Se penche et brille en pleurant sous l’averse ;
Le deuil de l’air afflige les oiseaux.
La bourbe monte et trouble la fontaine,
Et le sentier montre à nu ses cailloux.
Le sable fume, embaume et devient roux ;
L’onde à grands flots le sillonne et l’entraîne.
Tout l’horizon n’est qu’un blême rideau ;
La vitre tinte et ruisselle de gouttes ;
Sur le pavé sonore et bleu des routes
Il saute et luit des étincelles d’eau.
Le long d’un mur, un chien morne à leur piste,
Trottent, mouillés, de grands boeufs en retard ;
La terre est boue et le ciel est brouillard ;
L’homme s’ennuie : oh ! que la pluie est triste !

Déposé par Biscuit le 05/12/2018  
ALPHONSE KARR
Les bonheurs que je me rappelle je ne les ai pas poursuivis ni cherchés au loin, ils ont poussé et fleuri sous mes pieds, comme les pâquerettes de mon gazon. Rien n'arrive dans la vie ni comme on le craint ni comme on l'espère.

Déposé par Biscuit le 04/12/2018  

On croit que le temps estompe la douleur mais pour un détail ... un petit rien le coeur se serre,
les yeux se mouille.
On ne guérit jamais du vide de l'absence. ,




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