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En hommage à
Mimine, le chat du quartier
Il nous a quittés le:07/01/2015
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Mimine, le chat du quartier
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292 Fleurs
Déposé par rafia *Offert pr tes amis/Westies💕Niagara💓Rafia💓Punky💓Rock💓Paramour💓avec leurs+amicales léchouilles. Déposé par rafia Offert par tes amis WESTIES : ♥Niagara♥Rafia♥Punky♥Rock♥&♥Paramour♥avec leurs plus amicales ♥léchouilles♥ Déposé par rafia _Citation d'Emily Kimbrough:N'oubliez pas que chacun de nous trébuche. Voilà pourquoi il est si réconfortant de marcher main dans la main. Déposé par celibab «L’amour n’est rien. Être aimé, c’est quelque chose. Être aimé par la personne que tu aimes, c’est tout» Déposé par rafia -De Bernard Kouchner :“AIDER est une entreprise solitaire, à chacun particulière, chaque fois irremplaçable.” Déposé par rafia ALBERT SCHWEITZER La gentillesse constante peut accomplir beaucoup. Comme le soleil fait fondre la glace, la gentillesse fait s'évaporer l'incompréhension, la méfiance et l'hostilité. Déposé par rafia La source de votre silence coule ds nos veines..ns n'entendons plus vos aboiements joyeux..MAIS votre présence demeure indélébile. Amitié(Maryem) Déposé par rafia -L'amitié c'est le 💓 et des ♫♫♫ d'espoir en cadeau. Avec toute l'amitié, la reconnaissance et les remerciements de Maryem♥(Maël) Déposé par rafia _avec l'amitié de Maryem:📂💌:N'HESITEZ pas à parler de votre CHAGRIN, inhérent à la PERTE de votre AMOUR-CANIN. afin qu'il puisse devenir moins DOULOUREUX, en le PARTAGEANT. Déposé par rafia -SOLIDARITE📌✉(ツ):Notre JOIE la plus PROFONDE est de SAVOIR que nous sommes UTILES aux AUTRES. Bien amicalement.(Maryem). |
254 messages
Déposé par rafia le 04/05/2015Minet, Minette, au jeu toujours de pair, s'ébattent. Ils font ronron ensemble et jamais ne se battent, Tenant conseil entre eux pour changer leurs plaisirs, Et prenant tour à tour pour règle leurs désirs. Regardez : les voici devant la vieille horloge, Ecoutant, attentifs, le tic-tac qui s'y loge, Et cherchant à savoir par quel art qui surprend L'aiguille sans arrêt tourne autour du cadran. Personne dans la chambre où règne le silence. Minet pousse le poids de fer qui se balance. Et Minette, le nez en l'air, attend. Tous deux Semblent ravis de leur adresse et fort heureux. Tout à coup, se dressant debout, Minet approche, Des deux pattes saisit le poids et le décroche ; Et par son propre élan vers la droite entraîné, Va donner contre un vase et le brise. Etonné, Le chat ne comprend point, en sa simple logique, Le dégât qu'a causé ce mouvement oblique, Mais il entend Babet et dit à l'autre : "Allons, Je crois que c'est l'instant, viens, Minette, filons !" Jean Rémy |
Déposé par rafia le 03/05/2015PAUL ELUARD (1895-1952), pilier du surréalisme, a aussi sa vision du chat : CHAT Pour ne poser qu'un doigt dessus Le chat est bien trop grosse bête. Sa queue rejoint sa tête, Il tourne dans ce cercle Et se répond à la caresse. Mais, la nuit l'homme voit ses yeux dont la pâleur est le seul don. Ils sont trop gros pour qu'il les cache Et trop lourds pour le vent perdu du rêve. Quand le chat danse C'est pour isoler sa prison Et quand il pense C'est jusqu'aux murs de ses yeux. |
Déposé par rafia le 02/05/2015 Le chat, à pas de brume S'enfuit dans la nuit brune. Dans ses longues errances, Il traverse les royaumes Des fées, des elfes, des gnomes. De ses vagabondages, Son pelage a gardé Des odeurs de vent frais Et de forêts profondes. De ses voyages nocturnes, Ses prunelles ont retenu Mille éclats de la lune. Le chat, à pas de brume Se fond dans la nuit brune. Catherine Bastère-Rainotti |
Déposé par poutounou le 01/05/2015Petit brin de Bonheur… Très tôt dans la matinée, Du pied droit, je me suis levée. Mes gros sabots aux pieds, Dans mon jardin, je suis allée, Pour y cueillir des brins de muguet, Recouverts de rosée. Tintinnabulez, tintinnabulez ! Jolies clochettes de Mai. Epandez vos douces senteurs Jusque dans nos cœurs. Et déposez dans chaque foyer Un océan d’amour et d’amitié. Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitiés à ta famille de cœur… |
Déposé par rafia le 01/05/2015LE CHAT Dans ma cervelle se promène, Ainsi qu'en son appartement, Un beau chat, fort, doux et charmant. Quand il miaule, on l'entend à peine, Tant son timbre est tendre et discret; Mais que sa voix s'apaise ou gronde, Elle est toujours riche et profonde. C'est là son charme et son secret. Cette voix, qui perle et qui filtre Dans mon fonds le plus ténébreux, Me remplit comme un vers nombreux Et me réjouit comme un philtre. Elle endort les plus cruels maux Et contient toutes les extases; Pour dire les plus longues phrases, Elle n'a plus besoin de mots. Non, il n'est pas d'archet qui morde Sur mon coeur, parfait instrument, Et fasse plus royalement Chanter sa plus vibrante corde, Que ta voix, chat mystérieux, Chat séraphique, chat étrange, En qui tout est, comme en un ange, Aussi subtil qu'harmonieux ! "Le chat", section I, Les fleurs du mal. |
Déposé par rafia le 30/04/2015Charles CROS (1842-1888) A une chatte Chatte blanche, chatte sans tache, Je te demande, dans ces vers, Quel secret dort dans tes yeux verts, Quel sarcasme sous ta moustache. Tu nous lorgnes, pensant tout bas Que nos fronts pâles, que nos lèvres Déteintes en de folles fièvres, Que nos yeux creux ne valent pas Ton museau que ton nez termine, Rose comme un bouton de sein, Tes oreilles dont le dessin Couronne fièrement ta mine. Pourquoi cette sérénité ? Aurais-tu la clé des problèmes Qui nous font, frissonnants et blêmes, Passer le printemps et l'été ? Devant la mort qui nous menace, Chats et gens, ton flair, plus subtil Que notre savoir, te dit-il Où va la beauté qui s'efface, Où va la pensée, où s'en vont Les défuntes splendeurs charnelles ? Chatte, détourne tes prunelles ; J'y trouve trop de noir au fond. *************** Toutes mes excuses Mister Mimine......ce soir...honneur aux demoiselles ou encore aux...dames. |
Déposé par rafia le 29/04/2015Le plus célèbre poète ayant les félins comme source d'inspiration reste sans doute CHARLES BAUDELAIRE (1821-1867). Dans "Les fleurs du mal", il écrit plusieurs textes à leur propos. LES CHATS Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires. Amis de la science et de la volupté, Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres; L'Èrèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres, S'ils pouvaient au servage incliner leur fierté. Ils prennent en songeant les nobles attitudes Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Qui semblent s'endormir dans un rêve sans fin; Leurs reins féconds sont pleins d'étincelles magiques, Et des parcelles d'or, ainsi qu'un sable fin, Ètoilent vaguement leurs prunelles mystiques. |
Déposé par poutounou le 28/04/2015A vos plumes ! * A ceux qui n'osent point ou qui ont peur, Ceux pour qui écrire semble paralysie, Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur. Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis. Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur... Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs. Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits, Humectez les un peu de votre coeur Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit. Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur, Rêvez d'être publiés sans être érudits... Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie... |
Déposé par rafia le 28/04/2015"Hautain, libre, mystérieux, voluptueux, babylonien, impersonnel, il est l'éternel compagnon de la supériorité et de l'art - incarnation de la beauté parfaite et frère de la poésie - le chat doucereux, grave, savant et patricien." H.P. Lovecraft (1890-1937) |
Déposé par poutounou le 24/04/2015Une toute mignonne poésie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saison….Cela mérite bien quelques poèmes jolis….. * Petit écho du matin * Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin, Alors qu’elle se reposait au banc du jardin. Figurez vous qu’il y a une véritable révolution ! Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons ! N’a t’on point vu, quelle étrange amourette, Sortir ensemble violette et pâquerette ! Il en est cependant que la nouvelle émoustille, N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ? Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon Qui comme chacun sait est un grand fripon . On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs…. Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps… Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est ! C’est le printemps ! |
Déposé par poutounou le 20/04/2015Printemps * Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l'ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini. * Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 16/04/2015Si... * Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naitre, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit ! * Jean-Luc Moreau |
Déposé par poutounou le 12/04/2015« La cigale et la fourmi » à l’envers ! * La fourmi et la cigale * La fourmi ayant stocké tout l’hiver Se trouva fort encombrée Quand le soleil fut venu : Qui lui prendrait ses morceaux De mouches ou de vermisseaux ? Elle tenta de démarcher Chez la cigale, sa voisine, La poussant à s’acheter Quelques grains pour subsister Jusqu’à la saison prochaine. « Vous me paierez, lui dit-elle, Apres l’out, foi d’animal, Intérêt et principal. « La cigale n’est pas gourmande : C’est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps froid ? Dit-elle à cette amasseuse. - Nuit et jour à tout-venant Je stockais, ne vous déplaise. - Vous stockiez ? j’en suis fort aise ; Et bien soldez maintenant. « * Françoise Sagan |
Déposé par poutounou le 04/04/2015Coucou bel Ange, Va-t-en voir dans ton jardin… Le lapin de Pâques, ce farceur, Y a caché cette nuit Un panier rempli de surprises : * Des œufs de toutes les couleurs, Des sucettes, des guimauves, Des meringues, des nonosss, Une baballe qui rebondit. * Regarde aussi dans tes fleurs. Tu y trouveras des bonbons à la liqueur. Je te souhaite, de tout cœur, De Joyeuses Pâques, tout en douceur… |
Déposé par poutounou le 30/03/2015Le papillon * J’aimerais, dans ma maison, Avoir pour seul compagnon Un très joli papillon Qui de saison en saison Changerait de couleur. Il serait vert au printemps Comme les feuilles mignonnes, Bleu en été, couleur du temps, Marron dès que viendrait l’automne Et, dans les mois d’hiver, tout blanc. Parfois, pour la fantaisie, Rose, violet, mauve ou gris Mais jamais le papillon noir De l’ennui et du désespoir. * Jean Joubert |
Déposé par poutounou le 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
Déposé par poutounou le 22/03/2015Mars * Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons. Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu'il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons … * Maurice CARÊME |
Déposé par poutounou le 15/03/2015Extrait de la chanson « Fais moi une place » de Julien Clerc. * Paroles d’un Ange pour son maître ou sa maîtresse… * Fais-moi une place Au fond d' ton coeur Pour que j' t'embrasse Lorsque tu pleures Je deviendrai Tout fou, tout clown, gentil Pour qu' tu souries Fais-moi une place Dans tes urgences Dans tes audaces Dans ta confiance Je s'rai jamais Distant, distrait, cruel Pour q' tu sois « belle » (beau) J' veux q' t'aies jamais mal Q' t'aies jamais froid Et tout m'est égal Tout, à part toi Je t'aime… |
Déposé par poutounou le 10/03/2015Joli petit poème pour toi, bel Ange, en attendant le printemps… * Premier sourire du printemps * Tandis qu'à leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. * Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisèle des boutons d'or. * Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. * La nature au lit se repose ; Lui descend au jardin désert, Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. * Tout en composant des solfèges, Qu'aux merles il siffle à mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges Et les violettes aux bois. * Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d'argent du muguet. * Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. * Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " * Théophile GAUTIER (1811-1872) - Émaux et camées |
Déposé par kiallan le 04/03/2015"Toi qui est là devant ma tombe, ne pleures pas.... Je n'y suis pas, je ne dors pas. Je souffle dans le ciel tel un millier de vents, Je suis l'éclat du diamant sur la neige, Je suis la douce pluie d'automne, Je suis les champs de blé. Je suis le silence du matin, Je suis dans la course gracieuse Des magnifiques oiseaux qui volent, Je suis l'éclat des étoiles dans la nuit. Je suis dans chaque fleur qui s’épanouit, Je suis dans une pièce tranquille. Je suis dans chaque oiseau qui chante, Je suis dans chaque belle chose. Toi qui est là devant ma tombe, ne pleures pas car je n'y suis pas. Je vis encore, pour toujours et à jamais dans ton cœur...." |