En hommage à
Billy


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En hommage à
Billy
BORDER-COLLIE
Il est né le:25/09/2001
Il nous a quittés le:29/05/2015
 

aucune bougie


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En hommage à Billy

Au revoir mon Bébé d'Amour - tu me manques tellement
...
29/05/2015

Mon beau Billy ma peine est immense. La maladie t'a rattrapé pourtant tu t'es battu jusqu'au bout je sais que tu ne voulais pas me quitter depuis ce mois de juillet 2009 ou je t'ai vu pour la première fois abandonné et malade. Je souhaite que tu sois heureux dans cette autre dimension ou tu te trouves et surtout attends moi bien sagement tu sais qu'un jour nous serons de nouveau réunis toi et moi. Je t envoie mille gros câlins et autant de bisous mon bébé d'amour a qui je pense jour et nuit.





J espère qu il existe un au delà ou je pourrai te retrouver. Qui peut me le dire.je sais aussi que l on ne peut jamais faire son deuil car l absence d un être aimé est insupportable.
Gros bisous sur ta belle truffe mon ange.
Je t aime pour l éternité


29 mai 2024
Mon beau Billy sais tu combien tu me manques.
Neuf ans se sont écoulés.sans toi. Et toujours ces regrets
. Tu aurais pu vivre quelques jours de plus.
Je t aime mon bébé d amour.

Merci à celles et ceux qui auront une pensée pour mon ange.je viens peu sur le site car Billy a sa tombe dans le jardin près de la maison. Elle est fleurie et entretenue
et Nachko à aussi une vraie tombe qui est aujourd'hui dans le parc d une belle propriété ou j ai accès.
Quelques semaines après le départ de Billy j ai adopté Bobby et Balou deux loulous qui étaient les sosies de Billy. Bobby à vraisemblablement et tué par un chasseur le 7 septembre 2017. Je n ai jamais retrouvé son corps. Et le 2 octobre 2023 Balou est lui aussi parti rejoindre les étoiles. Il avait un cancer de la rate et je n ai rien vu venir.
Il repose lui aussi dans notre jardin.
Tout n est que douleur dans ce monde.
Pardonnez moi de ne pas honorer comme je le devrais la mémoire de vos anges disparus.
Je vais essayer de le faire un peu plus souvent.
Amitiés à tous les amis du cimetière
Mille douces caresses à vos beaux anges.
MC




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11967 Fleurs
Déposé par colombine67
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Si vous passez du temps avec les animaux, vous risquez de devenir une meilleure personne
Déposé par Rebelwriter
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Déposé par colombine67
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Je respecte plus les animaux que les personnes parce que nous sommes ceux qui détruisons le monde, et non eux
Déposé par prixy
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Des fleurs et des caresses avec toute ma tendresse pour Toi Ange d'Amour.
Déposé par prixy
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Des fleurs et des caresses avec toute ma tendresse pour Toi Ange d'Amour.
Déposé par prixy
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Des fleurs et des caresses avec toute ma tendresse pour Toi Ange d'Amour.
Déposé par Rebelwriter
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Je dépose de tendres bisous sur ta truffe
Déposé par colombine67
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Comme nous, les animaux ont des sentiments ainsi que les mêmes besoins alimentaires, d'abris, d'eau et d'affection
Déposé par Rebelwriter
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Je t'envoie des caresses pleines de douceur
Déposé par colombine67
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Pour acheter un animal, vous aurez juste besoin d'argent. Pour adopter un animal, vous avez juste besoin d'un cœur
Déposé par Rebelwriter
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💝🌹
Déposé par choupinou
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L'âme n'aurait pas d'arc-en-ciel, si les yeux n'avaient pas de larmes.
Déposé par choupinou
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2147 messages

Déposé par colombine67 le 03/08/2015  
Lueurs d’Âme
Quand une porte se ferme, une autre s’ouvre.
Qu’est-ce que je suis en train de faire de ma vie ?
Les difficultés ne sont pas là pour me décourager,
mais pour me faire découvrir quelque chose.
Je cesse de me sentir obligée de faire ce que les autre attendent de moi,
je suis vraie avec moi-même.
Je cesse d’attendre, car ce qui doit arriver viendra de toutes façons.
Je vis dans l’instant présent, sans me soucier du passé ou du futur
Je prends contact avec ma force intérieure.
Je règle ma situation devenue intolérable, je m’en libère.
Je porte attention aux coïncidences, puisque le hasard n’existe pas.
J’assume ma vie et je cesse de déléguer mon pouvoir aux autres.
Tout découle de mon attitude Intérieure.
Plus la place est prise par mes peurs,
moins j’ai d’espace pour la Joie et l’Amour.
Aujourd’hui, je dis Oui au changement.
Aujourd’hui, je me dégage de ma culpabilité,
je me pardonne et m’accepte telle que je suis.
La vie est un cadeau et je l’accepte, même si je l’ai mal emballé.
Je souris à la Vie et je rayonne sur mon entourage.
Je définis mes vrais besoins et abandonne les faux désirs.
Aujourd’hui, je me respecte et ne renonce pas à mes projets,
même si les autres ne sont pas d’accord.
Je cherche à ressentir le sens réel dans tout ce qui m’arrive.
Chaque personne que je rencontre détient un message
et j’en détiens un pour elle : je suis à l’écoute.
Je re-crée ma Vie, ma vie est le résultat de mes choix quotidiens.
Je ne cherche plus le chemin du bonheur, car le bonheur, c’est le chemin.
Le bonheur, c’est de se sentir remplie d’Amour, de le recevoir et de le redonner.

Déposé par rafia le 02/08/2015  
Une petite flamme
Une petite flamme
Un éclat de lumière
Fragile et solitaire
Perdu dans l'univers
Une petite flamme
Qui vacille parfois
Dans le triste et le froid
Mais qui ne s'éteint pas
Une petite flamme
A peine une étincelle
Silencieuse et fidèle
Comme un écho du ciel
Une petite flamme
Eclairant le chemin
Et chassant l'air de rien
Les noirceurs du chagrin
Elle me disait mon rêve à moi
C'est chanter le feu de mon âme
Et embraser ce que je vois
Moi je voudrais devenir flamme
Devenir une flamme
Brûler par tous les temps
Et répondre en dansant
Aux colères du vent
Devenir une flamme
Et donner sans compter
Tout l'or d'un feu sacré
Sans jamais l'épuiser
Devenir une flamme
Et chanter l'éphémère
L'exil de la lumière
La brûlure du mystère
Devenir une flamme
Faire reculer le noir
Et rallumer l'espoir
Aux grisailles des regards
Elle me disait mon rêve à moi
C'est dissiper le vague à l'âme
Faire voler le rire en éclats
Devenir un jour une flamme
Etre un jour une flamme
Pouvoir vaincre la nuit
Sans combat et sans bruit
D'une étincelle de vie
Etre un jour une flamme
Et brûler l'inutile,
L'encombrant, le futile
Et les guerres imbéciles
Etre un jour une flamme
Qui se tait et espère
Silencieuse prière
Quand le monde se perd
Etre un jour une flamme
Légère comme une aile
Et semer dans le ciel
Des milliers d'étincelles
Elle me disait mon rêve à moi
Quand je serai une vieille dame
C'est d'être passionnément là
Et ne plus être qu'une flamme
N'être plus qu'une flamme
Une flamme qui danse
Obstinée dans l'enfance
N'être qu'incandescence
N'être plus qu'une flamme
N'être qu'une lueur,
Un éclat, une chaleur
Un murmure du cœur
N'être plus qu'une flamme
N'avoir pour seul recours
Que de brûler toujours
D'infini et d'amour
N'être plus qu'une flamme
N'être qu'une poussière
D'étoile qui éclaire
A des années-lumière
Et brûler comme un feu de joie
Chauffant le corps autant que l'âme
Même en cendres, renaître, tu vois
Pour redevenir une flamme
Une petite flamme
Qui chante l'éphémère
Un éclat de lumière
Dansant dans l'univers
(Fabienne Marsaudon)

Déposé par colombine67 le 02/08/2015  
LE COLLIER DE PERLE..
EST UNE HISTOIRE VRAIE ET VRAIMENT BELLE!
Une belle petite fille enjouée avec des boucles blondes de presque 5 ans, en attendant avec sa maman près de la caisse, aperçoit un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en aluminium rose!
'Oh s'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman je t'en supplie, s'il te plait?'
Vivement la maman regarda à l'arrière de la boite rose et se tourna vers ces petits yeux bleus qui lui suppliaient avec sa petite frimousse tournée vers le haut.
'$1.85. C'est presque 2 dollars. Tu sais, si tu les veux vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et en un rien de temps tu auras assez d'argent pour les acheter toi-même. Et ton anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras surement des sous de ta grand-maman aussi.'
Aussitot que Jenny retourna à la maison, elle vida sa petite tirelire en forme de cochon... elle calcule 17 cents. Après le diner, elle a fait plus que demander pour aider à la maison et ensuite elle a été chez la voisine Mme. Mc James en lui demandant si elle pouvait arracher ses mauvaises herbes pour 10 cents?
À son anniversaire, sa grand maman lui donna un autre dollar et enfin elle avait assez d'argent pour s'acheter le collier. Oh, Jenny adorait ses perles. Ça la faisait sentir madame et grande fille. Elle les portait partout à l'église le dimanche, à la garderie, même au lit!
Les seules fois qu'elles les enlevaient c'était pour nager ou prendre un bain. Car sa maman lui avait dit que si elles étaient trempées, elles tourneraient peut-être son cou vert.
Jenny avait un père qui l'aimait beaucoup et à chaque soir quand il était temps de la mettre au dodo, il arrêtait tout ce qu'il faisait pour aller lui raconter une belle histoire.
Un soir, après avoir terminé son histoire, il demanda a Jenny, 'Est-ce que tu m'aimes?'
'Oh que oui papa, tu le sais que je t'aime'
'Alors, donne-moi tes perles.'
' Oh, papa, pas mes perles. Mais tu peux avoir ma Princesse- le cheval blanc de ma collection. Celle avec la queue rose. Tu te souviens papa? C'est toi qui me l'a offerte. C'est ma préférée.'
'C'est ok, ma puce. Papa t'aime. Bonne nuit' Et comme toujours lui effleura la joue avec un bécot.
Environ une semaine plus tard, après le conte du soir, le papa de Jenny lui demanda encore, 'Est-ce que tu m'aimes?'
'Papa , tu sais que je t'aime'
'Alors, donne-moi tes perles.' 'Oh papa, pas mes perles. Mais tu sais tu peux avoir ma poupée, la nouvelle, elle est toute neuve, celle que j'ai recue pour mon anniversaire, elle est si belle et tu peux même avoir la petite couverture jaune qui est appareillée à ses souliers.'
'C'est ok. Dors bien. Que Dieu te bénisse, ma puce. Papa t'aime.' Et comme toujours, il lui caressa la joue tendrement avec un bécot.
Quelques soirs passèrent, et un soir quand son papa est entré dans la chambre, Jenny était assise comme une indienne au pied du lit. Comme il s'approchait d'elle, il remarqua son petit menton tout tremblant et une larme silencieuse qui coulait sur sa petite joue.
'Mais qu'as-tu Jenny? Qu'est-ce qui se passe?'
Jenny ne dit rien mais leva ses petites mains menues vers son papa. Et quand elle les ouvra, le collier de perles y était. Avec une voix tremblante elle lui dit, 'Voilà papa, c'est pour toi.'
Avec ses propres larmes qui coulaient sur son visage, le gentil papa de Jenny pris les fausses perles d'une main et de l'autre sorti de sa poche, un étui en velours bleu avec un collier en perles véritables et lui donna.
Il les avaient depuis le début. Il attendait seulement qu'elle lui donne les fausses perles pour qu'il puisse lui donner le vrai trésor.
Comme Dieu, il attend de nous qu'on lui donne les choses fausses à quoi on tient dans notre vie, pour les remplaçer par un trésor magnifique.
Tenez-vous à quelque chose que Dieu veut que vous vous débarassiez?
Avez-vous des compagnons qui ne sont pas nécessaire et vous font mal? Des habitudes, des activités, auxquelles vous êtes si habitué et attaché qu'il semble impossible de se débarrasser?
Parfois c'est difficile de voir ce que l'autre main retient, mais croyez en une chose....* Dieu ne prendra jamais quelque chose à quoi vous tenez sans le remplacer par quelque chose de mieux!
Vous pouvez faire 2 choses avec cette histoire
a) Vous la passez aux autres qui en seront touchés
b) Vous pouvez la jeter et ne pas en être touché.
Les plus beaux cadeaux arrivent, quand vous partagez l'amour et que vous touchez les autres au coeur.*

Déposé par luc78 le 01/08/2015  
Pensée d’un chien pour son maître :
Quand demain commence sans moi,
Et que je ne suis pas là pour le voir,
Le soleil va briller et ouvrir tes yeux
Tous pleins de larmes pour moi.
Je voudrais tant que tu ne pleures pas,
Comme tu l’as fait aujourd’hui,
En te souvenant comment je posais ma tête
Sur tes genoux, de façon particulière...
Je sais combien tu m’aimes,
Autant que je t’aime,
Et chaque fois que tu penses à moi,
Je sais que tu vas me manquer aussi.
Mais quand demain commence sans moi,
S’il te plaît, essaie de comprendre
Qu’un ange est venu et a dit mon nom,
Et m’a caressé la patte.
Il m’a dit que ma place était prête,
Dans le ciel au-dessus,
Et que je devais laisser en arrière
Tous ceux que j'adore.
Mais, quand j’ai tourné les talons,
Une larme a coulé de mes yeux,
De toute ma vie, je n’avais jamais pensé
Que je devrais mourir .
J’ai eu tellement de choses à vivre,
Tant d’assis et de coucher à faire,
Il me semblait impossible
Que je te quitte…
J’ai repensé à notre vie ensemble,
Je sais que tu es triste,
Je songe à tout l’amour que nous avons partagé,
Et à tout le plaisir que nous avons eu…
Rappelles-toi comment je poussais ta main,
Et te piquais avec mon nez…
La balle volante que je poursuivais joyeusement,
Le méchant gars, que je devais agripper…
Si je pouvais revivre hier,
Même pour un peu de temps,
Je remuerais la queue et je t’embrasserais,
Juste pour te revoir sourire.
Mais alors j’ai pleinement réalisé
Que cela ne pourrait jamais être,
Que le néant et les souvenirs
Prendraient ma place.
Et quand je songe aux friandises et aux jouets,
Il me manque de venir demain,
Mon cœur canin se remplit de tristesse.
Mais alors j’ai franchi la porte du Ciel,
Alors que je me sentais si bien à la maison ;
Dieu m’a regardé et m’a souri,
De son magnifique trône d’or.
Il m’a dit « Ceci est l’éternité,
Et maintenant, bienvenue parmi nous,
Aujourd’hui, ta vie sur terre est terminée,
Mais ici, elle recommence
Je ne promets aucun demain,
Mais un aujourd’hui qui durera toujours ;
Car vois-tu, chaque jour est le même jour,
Il n’y a pas la nostalgie du passé.
Maintenant, tu as été si fidèle,
Si confiant, loyal et sincère ;
Bien qu’à certains moments tu as fait des choses,
Que tu savais qu’il ne fallait pas faire.
Mais les bons chiens sont pardonnés,
Et maintenant, enfin, tu es libre;
Ainsi, ne t’assoirais-tu pas à mes côtés,
Et attendre ici même avec moi? "
Donc, quand demain va venir sans moi,
Ne crois pas que nous sommes éloignés.
Chaque fois que tu penses à moi,
Je suis juste là, dans ton cœur.

Déposé par rafia le 01/08/2015  
{De Là-haut} (Interprète Thierry AMIEL)
De ce temps-là, je n'entends plus ma voix
De ce temps-là, je ne guide plus mes pas
De ce temps-là, je sais que je vais mais ne marche pas
Sans aucun repos, j'avance puisqu'il le faut
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Désormais, s'il fait un peu plus frais
Ce n'est pas que le temps soit mauvais
Mais il est vrai que je me perds dans ce monde imparfait
Ni meilleur, ni plus laid mais juste un pâle reflet
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau?
Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud?
Et s'ils te réconfortent, là où il t'emportent
Je ne rêve qu'en noir et blanc
Mes souvenirs se mêlent de sang et pourtant
Je me lève pour faire semblant de vivre comme un vivant
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau?
Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud?
S'ils te réconfortent, là où ils t'emportent... de
là-haut.

Déposé par colombine67 le 01/08/2015  
L'ARC-EN-CIEL
Un beau jour, toutes les couleurs du monde entier se mirent à se disputer. Chacune prétendait qu'elle était la plus belle, la plus importante, la plus utile, la préférée !
Elles se vantaient, à haute voix, chacune étant convaincue d'être la meilleure. Le bruit de leur querelle s'enfla de plus en plus.
Soudain, un éclair d'une lumière aveuglante apparut dans le ciel, accompagné de roulements de tonnerre. La pluie commença à tomber à torrents sans discontinuer.
Effrayées, toutes les couleurs se tapirent et se rapprochèrent pour chercher un abri les unes près des autres.
La pluie prit la parole :
"Stupides créatures qui vous battez entre vous, chacune essayant de dominer l'autre, ne savez-vous pas que c'est le Grand Esprit qui vous a faites toutes, chacune dans un but particulier, uniques et différentes ?
Il aime chacune d'entre vous, il a besoin de vous toutes. Joignez vos mains et venez à moi. Il va vous étendre à travers le ciel en un magnifique arc-en-ciel, pour vous montrer qu'il vous aime toutes, que vous pouvez vivre ensemble en paix. Comme une promesse qu'il est avec vous et comme un signe d'espérance pour demain ..."
Ainsi, chaque fois que le Grand Esprit envoie une pluie pour laver le monde, il place l'arc-en-ciel dans son ciel, et quand nous l'apercevons, nous devrions nous rappeler qu'il veut que nous sachions, nous aussi, nous apprécier les uns les autres et le louer de notre merveilleuse complémentarité.
Légende Amérindienne

Déposé par rafia le 31/07/2015  
Pr tous nos amours/canins.
AU REVOIR...
Petit être de douceur,
Qui m'a donné tant de bonheur,
Toi, qui a tjrs charmé mon coeur,
Aujourd'hui, je te pleure.
Petit être de douceur,
Tu as enrichi ma vie,
De souvenirs tellement jolis,
Pr tjrs ds ma mémoire, inscrits.
Petit être de douceur,
Je n'ai pas vu arriver l'orage
Qui a empli mon coeur de rage.
La Mort t'a emporté
Je n'ai même pas ressenti que tu allais t'en aller.
Petit être de douceur,
Toi mon enfant/canin et mon ami//e, pr toujours.
Toi qui ne trahit jamais
Ton séjour sur terre, est bien trop court.
Et la grande faucheuse est un vautour.
Après un dernier regard,
Contenant ta tendresse, sans fard
Tu m'as ôté mon dernier espoir,
Pourtant tu ne voulais pas mon désespoir.
Tu es parti//e doucement,
Te voilà envolé/é
Avec ts tes regrets
Vers ce que l'on appelle l'ETERNITE.
Une certitude, tu ne voulais pas me quitter.
Va, mon tendre petit coeur,
Tu as ta place au Paradis
Mais STP, n'oublie pas notre bonheur.
Petit être de douceur,
Toi qui a un si grand coeur,
N'oublie jamais ta maman.
Si c'est vrai qu'un jour l'on se retrouvera,
Je suis certaine que vers moi, tu reviendras.
Au revoir mon coeur,
Au revoir mon infini bonheur
Au revoir petit être de douceur.
Au revoir mon âme soeur.,
----------------------------------------
Ma très chère amie,
Je vs souhaite un excellent WE.
+ 1000 mercis.
+ 1000 bisous
Profitez bien de vos vacances !!!
Maryem, votre amie.
PS : Mille excuses si vs avez déjà reçu cette prose, j'ai eu un petit souci avec ma rubrique (sur mon Apple)....où je note mes envois. Mille mercis pr votre indulgence.

Déposé par BILLY2B le 31/07/2015  
Ma petite lumière qui brille dans la nuit mon espérance le je ne sais quoi qui fait que j allais bien mon ange mon Billy tout s est enfuit avec toi il ne me reste que l absence . Je voudrais me réveiller de ce mauvais rêve mon bébé d amour tu me manques a l infini

Déposé par colombine67 le 30/07/2015  
Toi dont la voix s’entend dans le souffle de la brise,
Toi dont l’haleine donne vie au monde,
Nous avons besoin de ta force et de ta sagesse.
Fais que nous marchions dans ta beauté,
Que jamais nos yeux ne se lassent de contempler
les ors et les pourpres du soleil couchant.
Aide-nous à lire les messages que tu as cachés dans les feuilles et les rochers.
Rends-nous sages, afin que nous saisissions ce que tu nous as enseigné.
Fais que nous soyons toujours prêts à venir à toi
les mains propres et le regard clair.
Ainsi quand la vie s’éteindra comme s’éteint le couchant,
sans honte, nos esprits pourront venir à toi.
Transforme nos cœurs afin que nous n’enlevions jamais
à la beauté de ta création plus que nous ne lui donnons.
Apprend-nous à ne jamais rien détruire à la légère
pour satisfaire notre avidité, à ne jamais oublier de prêter nos mains
pour édifier la beauté de la terre ;
à ne jamais prendre ce dont nous n’avons pas besoin.
Rends-nous capables de comprendre que détruire la musique de la terre,
c’est créer la confusion, ruiner son apparence,
et nous rendre aveugles à la beauté.
Polluer son doux parfum par notre insouciance,
c’est en faire une maison de puanteur.
Mais si nous prenons soin d’elle, la terre prendra soin de nous.
(prière amérindienne)

Déposé par rafia le 29/07/2015  
Parce que notre souffrance est la même...lorsque notre Amour/Canin.....nos Amours /Canins..ns quitte//ent
Il est des faits et des images qui restent gravées à jamais
Ds ma mémoire, comme un album souvenirs, ils sont stockés.
Certains évoquent des moments tendres,
Si joyeux qu'ils me font fondre.
Mais dans les moments d'infinie tristesse
C'est l'absence qui blesse;
Les souvenirs accumulés au fil des ans
Me font tjrs souffrir autant.
Ma douleur je voudrais l'assimiler,
Mais toutes vos absences me font pleurer,
Lorsque je feuillette le livre de ma vie
Seule, quand vient la nuit.
Je me surprends à rêver,
Ts mes souvenirs déambulent ds mes pensées.
Je ne peux que constater
Mes amours/westies combien vs me manquez.
Je n'ai que des moments de bonheur
Ds toute leur splendeur,
Je peux encore ressentir toute la joie
Que vs ns donniez autrefois.
Mais la douleur atroce dégaine
Pendant que nos souvenirs j'égrène,
Le bonheur s'est éteint
Avec vos départs, il a pris fin.
Il y a aussi les moments d'accalmie
Qui adoucissent ma vie,
C'est un peu comme les nuages
Qui avant l'orage, passent.
Avec vs j'ai écrit
Les plus belles pages de ma vie,
Il faisait si bon vivre
Je pourrais en écrire tout un livre.
Je sais que d'autres épreuves m'attendent,
La vie n'est jamais tendre
Mais peut-être qu'un peu de bonheur
Dans l'avenir mettra de la couleur.

Déposé par poutounou le 29/07/2015  
Une très belle histoire avec une belle fin comme on les aime…
*
A la Réunion, un chien s'évade du chenil de la SPA et fait 10 km pour retrouver son frère!
*
Le comportement des animaux n'a pas fini de nous surprendre.
*
Christian, en adoptant Atchy à la SPA de Sainte-Marie, était loin d'imaginer qu'il allait en fait adopter aussi le frère de l'animal. "En adoptant ce chien, j'avais remarqué un autre chien qui avait l'air triste. En fait, c'était son frère", explique-t-il.
*
Ne souhaitant adopter qu'un seul chien, Christian emmène Atchy chez lui.
*
Quinze jours plus tard, Atchy s'est parfaitement habitué à son nouveau domicile. "C'est un chien très gentil", indique Marie-Lina, l'épouse de Christian.
*
Jeudi dernier, Marie Lina remarque un chien au rond-point de la Rivière des Pluies. "Je ne pouvais savoir qu'il s'agissait en fait du frère d'Atchy", affirme Marie-Lina, laissant transparaître son émotion.
*
Dimanche dernier, toute la famille est surprise de voir Atchy aboyer pendant un long moment après un autre chien au portail. "Ils ont longtemps aboyé et j'ai fini par ouvrir le portail", raconte Christian. "Quand l'autre chien est entré, il s'est mis tout de suite à jouer avec Atchy. J'en ai eu des frissons à cause de l'émotion qui est monté à cet instant. Le lendemain, lorsque j'ai appelé la SPA, ils m'ont expliqué que ce deuxième chien était le frère d'Atchy et qu'il s'était échappé depuis plusieurs jours, sûrement parce que son frère lui manquait trop".
*
Appelé Rex, le frère d'Atchy est encore un peu maigre à cause de son périple de plusieurs jours pour effectuer les 10 km qui séparent le chenil de la SPA de la maison de Christian et Marie-Lina . Depuis, les deux chiens ne se quittent plus et ils ont droit chaque soir à une petite balade dans le quartier de Beauséjour.
*
Aujourd'hui, Christian et Marie-Lina s'interrogent. Comment Rex a-t-il fait pour retrouver la maison où Atchy avait été emmené ? S'est-il servi de son odorat pour y arriver ? Ou est-ce que ce sont plutôt les aboiements d'Atchy qui étaient audibles à 10km de distance et qui ont guidé Rex jusqu'à Beauséjour ? Une bien belle histoire en tous les cas...

Déposé par choupinou le 29/07/2015  
"La légende du pont de l’arc en ciel"
"Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel"
Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel.
Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre.
On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble.
Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi.
Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles.
Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort.
Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur.
Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés.
Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique.
Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets.
Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts.
L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut.
Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre.
Vous souriez !
Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien.
Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis.
Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..."

Déposé par colombine67 le 29/07/2015  
LE CONTE DE GRAND-PAPA QUI N'AIMAIT PAS LES GÂTEAUX
Il était une fois un vieux grand-père qui assistait au repas de mariage de sa dernière petite-fille. Il était heureux, serein, apaisé devant le merveilleux spectacle de toute sa famille réunie. Leur joie, leur bonheur à tous l'entouraient d'une émotion tendre.
Comme elle était belle, sa petite-fille dans une éblouissante robe blanche ! Elle riait de bon cœur en découpant avec son jeune époux la somptueuse pièce montée toute scintillante de caramel blond et de dragées roses.
- Servez-vous tous et faites passer à vos voisins de table, disait-elle en déposant les choux tout rebondis de crème sur les assiettes chaudes.
Quand la petite-fille passa l'assiette à son grand-père :
- Tiens, Pépé Paco ! prends donc du gâteau !
- Mais non ! fais passer le plat, l'interrompit sa mère, toujours attentive, tu sais que Pépé n'aime pas les gâteaux.
Il y eut un instant de silence et l'on entendit soudain la voix joyeuse du grand-père :
- Mais oui ! j'aime les gâteaux. Tiens, je vais prendre ce beau chou-là.
Regard stupéfait de sa fille.
- Comment ça, tu aimes les gâteaux ? Mais tu n'as jamais aimé les gâteaux ! Moi ta fille, j'ai cinquante ans et je ne t'ai jamais vu manger un gâteau de toute ma vie...
- De ta vie à toi, ma fille, oui…Mais pas de la mienne ! C'est que je les aime, les gâteaux ! J'ai toujours aimé les gâteaux… Seulement, nous étions si pauvres quand vous étiez petits avec tes sœurs et ton frère, tu le sais bien…Des gâteaux, votre mère ne pouvait en acheter qu'une fois de temps en temps, et encore seulement les dimanches de fête… Elle en prenait un pour chacun, c'est sûr, mais moi, quand je voyais tes yeux à toi, ma toute petite, quand tu venais t'asseoir sur mes genoux et que tu dévorais ton gâteau avec tant de plaisir, mon plaisir à moi, tu vois, c'était de te regarder manger mon gâteau que je te donnais si volontiers. Et j'ajoutais toujours pour que ton plaisir soit complet : " Mange ma petite petitounet, va !…moi je n'aime pas les gâteaux : "
Le grand-père en disant cela souriait tendrement, dodelinant doucement de la tête. Il dit encore en riant franchement :
- Tiens, ma fille, aujourd'hui c'est fête, donne-moi aussi celui qui reste sur le plat, là… D'ailleurs il va finir par tomber si tu continues à trembler comme ça ! Tu as froid ou c'est l'émotion de marier ta fille ?
Il arrive quelquefois que les cadeaux d'amour mettent de longues années avant d'être reconnus comme tels. Il suffit parfois d'un moment de tendresse, qui vient se poser sur un souvenir avec la délicatesse d'un pétale de fleur pour qu'ils se révèlent au grand jour.

Déposé par rafia le 28/07/2015  
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte,
Une fenêtre éclairée,
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard

Déposé par colombine67 le 28/07/2015  
Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.
- Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince.
- Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.
Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.
Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire
CHANGE LE MONDE
« C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas» et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent.
Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas.
- C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise.
Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire
CHANGE LES AUTRES
« C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.» et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses.
- Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.
Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots
CHANGE-TOI TOI-MEME
« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire» se dit-il. Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser.
- C'est bien, dit le Sage.
- Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.
- C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru.
Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait
ACCEPTE-TOI TOI-MEME
Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens. «Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.» Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème porte.
A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut
ACCEPTE LES AUTRES
Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu.
Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
- Qu'as-tu appris sur le chemin demanda ce dernier.
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.
Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut
ACCEPTE LE MONDE
« Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.» Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement.
- C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde.
Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita.
- Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence.
Et le Vieil Homme disparut.
Merci à Françoise Laurent pour ce texte

Déposé par rafia le 27/07/2015  
NOS ABSENTS chanson de Grand Corps Malade
C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte
Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte
C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque tangible
Car l'amour qu'on leur donnait est orphelin et cherche une cible
Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire
Mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord
Car la mort a ses raisons que notre raison ignore
Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste
À plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste
C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent
On apprivoise la douleur et la présence de nos absents
Nos absents sont toujours là, à l'esprit, dans nos souvenirs
Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés
Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était
On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou
En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous
Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure
Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur
Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains
On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains
Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers
On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire
Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant
Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant
Il faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux
Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux
Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle
Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel
Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié
Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers
Moi, les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup
Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous
Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous
Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses
C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte
Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte
C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque infini
Qu'inspirent des textes premier degré
Faut dire que la mort manque d'ironie

Déposé par maman18 le 27/07/2015  

Billy
Tu es parti il y a peu de temps, presque 2 mois.
Je ressens la tristesse de ta maman lorsqu'elle m'écrit pour ma Lolita.
Elle t'aimait beaucoup, elle souffre et elle souffrira encore beaucoup de ton absence
A 14 ans, la vie devait être bien difficile physiquement même si tu ne le montrais pas car pour rien au monde, tu ne lui aurais fait de la peine.
Mais ton corps était fatigué et ton temps était venu. Toi tu le savais, Elle ne voulait pas le voir.
Il faudra du temps, un peu, beaucoup, mais il en faudra c'est certain pour que ta maman accepte ton départ.
Toi, tu resteras près d'elle mais elle ne le saura pas.
Bien sur, il y aura des jours ou tu auras une furieuse envie de passer le pont de l'Arc en Ciel pour t'amuser comme avant, quand ce corps ne t'avait pas encore trahi.
Mais tu resteras car ton Amour pour elle sera le plus fort
Tant qu'elle aura besoin de toi, tu seras là, compagnon invisible, éternel soutien.
Si son chagrin laisse de la place à sa raison, elle te ressentira certains jours, elle SAURA. Elle rêvera de toi, elle se rappellera, elle SAURA
Un jour, comme je viens de le faire, elle te laissera enfin partir. Oh ! pas maintenant, pas demain non plus mais tu verras, çà viendra.
Un jour elle comprendra que de te laisser partir la rapprochera de toi
Et le fil invisible qui vous unit sera de nouveau tissé.
Ta maman a mal, tu le sais, mais un jour vous serez de nouveau réunies, ici ou ailleurs.
Veille sur Elle, doux Ange, qui le mérite tant.
Maman 18

Déposé par rafia le 26/07/2015  
J'ai l'âme en détresse et le coeur en miette
Comme un navire en pleine tempête
J'ai les yeux qui pleurent ma peine et mon désespoir
Comme un enfant perdu dans le noir.
Les larmes coulent lentement
Comme autant de mots emportés par le vent
Mon coeur se serre douloureusement
Le mal est là, affreusement.
Avec toute ma bien sincère amitié.
+ 1000 mercis.
+ 1000 bisous pr vs, mon adorable amie.
Si vs avez besoin d'une...béquille...je suis là, pr vs...bien que je ne sois moi-même pas très "stable"...mais deux "éclopées"( pr la même souffrance).....peuvent encore arriver à se soutenir...j'en suis convaincue.
Maryem, votre amie.

Déposé par bouffie le 26/07/2015  
Petits anges, nos amours à quatre pattes,
Hélas votre vie est si courte,
Cependant la trace d'amour que vous laissez derrière vous est infinie.
Vos doux petits corps libérés de cette terre ont disparus,
Nous laissant dans un désarroi, un manque et une peine immense.
Mais vos tendres et lumineuses petites âmes si pures demeurent
Et elle resteront avec nous à jamais.
gros et doux câlins mon adorable ange Billy merci à ta maman

Déposé par BILLY2B le 26/07/2015  
Mon ange Billy comme j aimerais te serrer dans mes bras te faire des câlinous tu adorais les petits bisous cela te rendait fou de joie tu frétillais dans tous les sens. Un petit Boby est arrivé chez nous il est tout jeune tu l aurais adoré ç est un vrai pot de colle il joue avec tous les chiens qu il croise mais il ne peux te remplacer je l aime mais je pense a toi en continu. Tu me manques mon Billy et malgré sa présence je me sens seule il est tout jeune et tout fou je ne suis pas habituée. Ç est épuisant parfois . Toi mon gros pépère tu étais tout calme et la ç est un vrai typhon il s agite dans tous les sens il n écoute pas quand je l appelle il part a l oppose je n en peux plus mais je vais le garder quand même comme tu te serais amusé avec lui j avais pensé te prendre un petit copain mais ton départ m a pris de court. Ç est bientôt le 29 je détesterai toute ma vie cette date. Mon bel ange je t aime et je survis difficilement sans toi j espère que de la ou tu es tu peux me voir et que tu m attends d ailleurs tu dois surement connaître la date de nos retrouvailles malin comme tu es ..... Je te fais mille papouilles mon toutou d amour sois bien sage et à bientôt .




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Les promenades
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tu adorais aller a la plage mais tu n as jamais voulu te baigner
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