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In tribute to
BERGER-ALLEMAND
AVA
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AVA
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544 Flowers
left by choupinou En ces lendemains jour anniversaire je pose ici ma tendresse mes mains sur mon clavier histoire de ne pas oublier mon petit ami. A la douleur que fut ce jour pour ta famille de penser à ce moment fort left by Chantalotte21 J'ai mis dans ce bouquet mes plus tendres bisous et caresses pour enrober ton repos éternel de douceur. 🌺 🥀 🌼 left by choupinou tendres pensées petit ange d'amour 🐾🤍câlinoux ✨💖😪 douces caresses AVA en ce jour anniversaire petit ange de lumière et d'amour |
459 messages
left by Galinette3 on 17/05/2015LE PARADIS DES CHIENS Savais-tu qu'il y a un paradis pour les chiens? Oui, dans une autre dimension, dans le monde astral, Il y a un nid rempli d'amour et douillet pour nous. Il y a des balles à profusion, des os à enterrer, Des montagnes de boulettes de viande, Il n'y a pas de laisse, Je suis bien où je suis. Je suis bien entouré Toutes les caresses, toutes les tendres attentions Que tu m'as offertes, je les ai apportées avec moi. La plus importante des choses que tu dois savoir, C'est qu'il y a une ouverture dans les nuages D'où je peux te voir. C'est comme si tu étais avec moi. D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée. Il m'est impossible de t'oublier, ton image et ta Gentillesse sont gravées dans mon coeur Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux Lèvres et un jappement dans les oreilles, C'est que je t'aurai rendu une petite visite Dans tes songes. Merci pour ton amour. Je t'aimerai éternellement! |
left by poutounou on 14/05/2015Pour toi, bel Ange, ces quelques rimes de Monsieur Baudelaire… * Elévation * Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, * Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. * Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. * Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins ; * Celui dont les pensées, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! * Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal |
left by rafia on 11/05/2015Réflexions d'un canin...ds l'attente d'être euthanasié... Cher Maître, Si je pouvais t'écrire Je t'écrirais que tu me manques à en pleurer . Si je pouvais courir C'est vers toi que je courrais. Si je pouvais vivre , J'aurais la force de te chercher. Si je pouvais sourire , C'est a toi que je le ferais . Si je pouvais encore t'obéir , Je t'écouterais pour me faire pardonner . Si je pouvais m'enfuir , je fuirais pour te retrouver . Mais aujourd'hui je dois MOURIR Alors je veux juste encore te dire Combien je t'aimais et t'aime encore. Auteur inconnu ************* Mille excuses si j'ai omis des fautes, lors de la correction de ce C/C. Ce soir, je suis rentrée très tard, trop tard.du Pyla...et le temps me manque cruellement. Avec toute ma bien sincère Amitié. Mille mercis Maryem votre amie |
left by poutounou on 10/05/2015Mon Paradis * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue, D’une terre vierge, encore inexplorée et nue, D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué. Je voulais fuir les querelles et tout recommencer, Sur la terre originelle, renaître de l’oubli. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel. Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle, Vestige de beauté d’une nature si meurtrie. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance, Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence, D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard, Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard. C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique. Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique. Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie. * Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis. |
left by rafia on 09/05/2015Mes compagnons L'horloge fait tic tac et de même mon coeur Je suis seule ce soir, je suis triste et j'ai peur Ma chatte fait ronron et contre moi se presse Le regard de mon chien est tout plein de tendresse. Leurs pattes et museaux posés sur mes genoux Je perçois dans leurs yeux un sentiment si doux Vous, mes chers animaux sincères et fidèles Que ne puissent vos vies demeurer éternelles. A vous qui donnez tant, il suffit en retour Qu'une main sur vos fronts se pose avec amour Faut-il que mes idées vient parfois des absences Pour avoir un instant oublier vos présences ? A une grand-mère, n'ôtez point sa chatte Même si ailleurs on la choit, on la gâte Et surtout laissez lui son chien, même vieux Il demeure pour elle un ami précieux. Yolande SETTEMBRE, |
left by rafia on 08/05/2015Frère, (Message d'adieu d'un canin à son frère) Aujourd'hui est un jour triste et malheureux . Je te vois pleurer de plus grosses larmes de tes yeux ... Nous nous sommes aimés l'un et l'autre d'une façon si liée que la cruauté , jalouse de nous voir ainsi heureux et enjoués, a finalement préféré nous voir victimes de ses caprices, que l'union de notre Fraternité ... J'ai appris que les plus belles choses avaient une fin . Avec beaucoup de regrets certes, mais le vent n'emporte jamais notre mémoire où s'y cache les plus grands et les plus beaux souvenirs partagés . Le souvenir de ce jour où nous fûmes , ensemble , adoptés . A la grande fierté de notre maîtresse, qui tout comme moi aujourd'hui, se souvient de ce jour merveilleux . Elle aussi a peur que tu rejoignes les cieux ! mais tout deux , sommes réjouis à l'idée que tu sois délivré de tes souffrances , si affreuses et si intenses ... Promets- moi de m'attendre patiemment quand tu seras là-haut . Je te rejoindrai bientôt car nous sommes deux à être victimes d'un prédateur sans coeur et sans pitié le cancer. Regarde- moi frère ... Pour la dernière fois ... et souviens-toi ... De ces fameux jours où nous étions deux ... Dis-toi qu'on le sera toujours , car La distance ne fait rien que de nous séparer de notre vue mais jamais de notre coeur qui lui reste aux cotés du tien Pour l'éternité ... auteur inconnu ******************** Bonsoir chère Marie..et mille mercis pr votre mail. bien amicalement Maryem votre amie , |
left by poutounou on 02/05/2015Petit brin de Bonheur… * Très tôt dans la matinée, Du pied droit, je me suis levée. Mes gros sabots aux pieds, Dans mon jardin, je suis allée, Pour y cueillir des brins de muguet, Recouverts de rosée. * Tintinnabulez, tintinnabulez ! Jolies clochettes de Mai. Epandez vos douces senteurs Jusque dans nos cœurs. Et déposez dans chaque foyer Un océan d’amour et d’amitié. * Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitiés à ta famille de cœur… |
left by poutounou on 29/04/2015A vos plumes ! * A ceux qui n'osent point ou qui ont peur, Ceux pour qui écrire semble paralysie, Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur. Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis. Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur... Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs. Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits, Humectez les un peu de votre coeur Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit. Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur, Rêvez d'être publiés sans être érudits... Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie... |
left by poutounou on 25/04/2015Une toute mignonne poésie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saison….Cela mérite bien quelques poèmes jolis….. * Petit écho du matin * Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin, Alors qu’elle se reposait au banc du jardin. Figurez vous qu’il y a une véritable révolution ! Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons ! N’a t’on point vu, quelle étrange amourette, Sortir ensemble violette et pâquerette ! Il en est cependant que la nouvelle émoustille, N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ? Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon Qui comme chacun sait est un grand fripon . On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs…. Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps… Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est ! C’est le printemps ! |
left by poutounou on 21/04/2015Printemps * Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l'ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini. * Victor Hugo |
left by poutounou on 18/04/2015Si... * Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naitre, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit ! * Jean-Luc Moreau |
left by poutounou on 13/04/2015« La cigale et la fourmi » à l’envers ! * La fourmi et la cigale * La fourmi ayant stocké tout l’hiver Se trouva fort encombrée Quand le soleil fut venu : Qui lui prendrait ses morceaux De mouches ou de vermisseaux ? Elle tenta de démarcher Chez la cigale, sa voisine, La poussant à s’acheter Quelques grains pour subsister Jusqu’à la saison prochaine. « Vous me paierez, lui dit-elle, Apres l’out, foi d’animal, Intérêt et principal. « La cigale n’est pas gourmande : C’est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps froid ? Dit-elle à cette amasseuse. - Nuit et jour à tout-venant Je stockais, ne vous déplaise. - Vous stockiez ? j’en suis fort aise ; Et bien soldez maintenant. « * Françoise Sagan |
left by poutounou on 04/04/2015Coucou bel Ange, Va-t-en voir dans ton jardin… Le lapin de Pâques, ce farceur, Y a caché cette nuit Un panier rempli de surprises : * Des œufs de toutes les couleurs, Des sucettes, des guimauves, Des meringues, des nonosss, Une baballe qui rebondit. * Regarde aussi dans tes fleurs. Tu y trouveras des bonbons à la liqueur. Je te souhaite, de tout cœur, De Joyeuses Pâques, tout en douceur… |
left by poutounou on 03/04/2015Le papillon * J’aimerais, dans ma maison, Avoir pour seul compagnon Un très joli papillon Qui de saison en saison Changerait de couleur. Il serait vert au printemps Comme les feuilles mignonnes, Bleu en été, couleur du temps, Marron dès que viendrait l’automne Et, dans les mois d’hiver, tout blanc. Parfois, pour la fantaisie, Rose, violet, mauve ou gris Mais jamais le papillon noir De l’ennui et du désespoir. * Jean Joubert |
left by poutounou on 28/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
left by poutounou on 23/03/2015Mars * Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons. Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu'il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons … * Maurice CARÊME |
left by poutounou on 16/03/2015Extrait de la chanson « Fais moi une place » de Julien Clerc. * Paroles d’un Ange pour son maître ou sa maîtresse… * Fais-moi une place Au fond d' ton coeur Pour que j' t'embrasse Lorsque tu pleures Je deviendrai Tout fou, tout clown, gentil Pour qu' tu souries Fais-moi une place Dans tes urgences Dans tes audaces Dans ta confiance Je s'rai jamais Distant, distrait, cruel Pour q' tu sois « belle » (beau) J' veux q' t'aies jamais mal Q' t'aies jamais froid Et tout m'est égal Tout, à part toi Je t'aime… |
left by poutounou on 13/03/2015Joli petit poème pour toi, bel Ange, en attendant le printemps… * Premier sourire du printemps * Tandis qu'à leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. * Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisèle des boutons d'or. * Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. * La nature au lit se repose ; Lui descend au jardin désert, Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. * Tout en composant des solfèges, Qu'aux merles il siffle à mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges Et les violettes aux bois. * Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d'argent du muguet. * Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. * Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " * Théophile GAUTIER (1811-1872) - Émaux et camées |
left by poutounou on 08/03/2015MERCI ! * C’est un petit mot tout simple Mais qui pèse lourd. Si mes lèvres l’expriment avec douceur C’est qu’il prend naissance au fond de mon cœur. Un grand Merci, un petit Merci, Peu importe sa taille Il n’a pas de dimension… Que ce soit dans la joie ou dans la tristesse, C’est un signe de reconnaissance Qui ne connait pas l’indifférence. Merci ! Un petit mot qui fait du bien quand on le prononce ; Un petit mot gracieux qui calme et réjouit. Merci ! Merci ! Merci de m’avoir permis de vous dire : * « MERCI » ! * « Merci » auquel je rajoute un « bisou-bonheur » pour toi, doux Ange Ava... |
left by poutounou on 24/02/2015Petit poème charmant pour toi, bel Ange… * La clé des champs * On a perdu la clé des champs ! Les arbres, libres, se promènent, Le chêne marche en trébuchant, Le sapin boit à la fontaine. * Les buissons jouent à chat perché, Les vaches dans les airs s'envolent, La rivière monte au clocher Et les collines cabriolent. * J'ai retrouve la clé des champs Volée par la pie qui jacasse. Et ce soir au soleil couchant J'aurai tout remis à sa place. * Jacques Charpentreau |
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