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En hommage à
CAVALIER-KING-CHARLESAthor de Sophline
Il est né le:25/02/2005
Il nous a quittés le:14/09/2012
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591 messages
Déposé par Galinette3 le 19/05/2015LE PARADIS DE NOS ANGES Regardez. Mais regardez donc là-haut. Que voyez vous ? Ne le voyez vous pas, ce paradis de nos chers animaux ? Là, au dessus de ce nuage où la forme est un chien. Et à côté de celui-ci, où la forme est un chat. Il est là ce paradis. Et puis, si votre regartd se tourne vers la droite, Il y a le coin des rongeurs. Regardez. Mais regardez donc. Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche. Là, est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez, n'est ce pas? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là. Ils vivent ailleurs, en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la source du paradis. Et quand vient la nuit, Ils allument pour nous les étoiles, Afin que nous ayons nous aussi, Cette lumière qui les entoure. Le paradis des animaux, il est là. Vous le voyez, n'est ce pas? |
Déposé par poutounou le 17/05/2015Le manifeste de la gentillesse * Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur. La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable. La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain. * POUR En finir avec le chacun pour soi Refuser le cynisme ambiant Déjouer l'agressivité quotidienne Dire non à l'indifférence Choisir d'être plus attentif aux autres Mettre de l'harmonie dans mes relations Etre altruiste et bienveillant * JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR, AVEC DES MILLIERS D'AUTRES, UN MONDE PLUS HUMAIN |
Déposé par poutounou le 13/05/2015Pour toi, bel Ange, ces quelques rimes de Monsieur Baudelaire… * Elévation * Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, * Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. * Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. * Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins ; * Celui dont les pensées, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! * Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal |
Déposé par poutounou le 09/05/2015Mon Paradis * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue, D’une terre vierge, encore inexplorée et nue, D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué. Je voulais fuir les querelles et tout recommencer, Sur la terre originelle, renaître de l’oubli. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel. Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle, Vestige de beauté d’une nature si meurtrie. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance, Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence, D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard, Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard. C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique. Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique. Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie. * Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis. |
Déposé par choupinou le 04/05/2015pour moi : Le muguet ne fleurira plus En ce printemps le muguet ne fleurira plus il a perdu sa blancheur et dans mon coeur la noirceur se fait entendre il perd ses arômes.... Tout est superficiel pour devenir artificiel. Il ne fleurira plus de par ses aboiement, de par sa pureté, il s'est égrainé pour mieux s'envoler. De part ses fines clochettes, le bonheur lui échappe au grès du vent,tel la cendre, laissant le paysage saturé d'un embrun grisâtre. Tu ne fleurira pas cette année,comme les autres d'ailleurs, il pleut sur mon visage,la pluie te noie.... Tu fleuriras pas mon doux et beau muguet..... le vent t'a emporté,tel un mois de mai en berne, tel un visage fatigué d'un printemps,de ces printemps gâché..... PERDUS.... écrit de TAMS |
Déposé par poutounou le 01/05/2015Petit brin de Bonheur… * Très tôt dans la matinée, Du pied droit, je me suis levée. Mes gros sabots aux pieds, Dans mon jardin, je suis allée, Pour y cueillir des brins de muguet, Recouverts de rosée. * Tintinnabulez, tintinnabulez ! Jolies clochettes de Mai. Epandez vos douces senteurs Jusque dans nos cœurs. Et déposez dans chaque foyer Un océan d’amour et d’amitié. * Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitiés à ta famille de cœur… |
Déposé par poutounou le 28/04/2015A vos plumes ! * A ceux qui n'osent point ou qui ont peur, Ceux pour qui écrire semble paralysie, Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur. Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis. Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur... Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs. Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits, Humectez les un peu de votre coeur Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit. Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur, Rêvez d'être publiés sans être érudits... Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie... |
Déposé par poutounou le 24/04/2015Une toute mignonne poésie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saison….Cela mérite bien quelques poèmes jolis….. * Petit écho du matin * Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin, Alors qu’elle se reposait au banc du jardin. Figurez vous qu’il y a une véritable révolution ! Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons ! N’a t’on point vu, quelle étrange amourette, Sortir ensemble violette et pâquerette ! Il en est cependant que la nouvelle émoustille, N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ? Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon Qui comme chacun sait est un grand fripon . On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs…. Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps… Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est ! C’est le printemps ! |
Déposé par poutounou le 20/04/2015Printemps * Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l'ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini. * Victor Hugo |
Déposé par choupinou le 20/04/2015quand vient la nuit,voici le vent l'oeil pleure,rouge flamboyant ses larmes se noient dans un océan des secrets et des tourments la mer tempête sa colère éclatent les vagues amère nature laisse échapper ta rage balaye les épaves de tes plages... mon coeur ne cesse de se taire mon ventre renferme la colère la peur masque mon visage quand saurais-je tourner la page? toi qui veux que je continue ma vie qui me pousse devant toi qui me dit ne part pas a la dérive,va de l'avant car moi ton chien, ta chienne ,ton ami(e), je serai toujours près de toi a l'infini, , |
Déposé par zenelle le 18/04/2015" À L'HEURE SI SOMBRE ENCORE, DE LA CIVILISATION OÙ NOUS SOMMES, LE MISÉRABLE S'APPELLE LE CHIEN, IL GÉMIT SOUS TOUS LES CLIMATS, IL AGONISE DANS TOUTES LES LANGUES "...... .................................................................................................................................................................... Je viens d'adopter un adorable bichon croisé qui s'appelle Olaf et qui a deux ans et demi,via l'association "remember me" Petit chien jeté à la fourrière en Roumanie, dans des conditions épouvantables. SVP n'achetez pas de chien pensez à adopter ceux qui souffrent! Amitiés et bon weekend |
Déposé par poutounou le 16/04/2015Si... * Si la sardine avait des ailes, Si Gaston s'appelait Gisèle, Si l'on pleurait lorsque l'on rit, Si le pape habitait Paris, Si l'on mourait avant de naitre, Si la porte était la fenêtre, Si l'agneau dévorait le loup, Si les Normands parlaient zoulou, Si la mer Noire était la Manche Et la mer Rouge la mer Blanche, Si le monde était à l'envers, Je marcherais les pieds en l'air, Le jour je garderais la chambre, J'irais à la plage en décembre, Deux et un ne feraient plus trois... Quel ennui ce monde à l'endroit ! * Jean-Luc Moreau |
Déposé par poutounou le 13/04/2015« La cigale et la fourmi » à l’envers ! * La fourmi et la cigale * La fourmi ayant stocké tout l’hiver Se trouva fort encombrée Quand le soleil fut venu : Qui lui prendrait ses morceaux De mouches ou de vermisseaux ? Elle tenta de démarcher Chez la cigale, sa voisine, La poussant à s’acheter Quelques grains pour subsister Jusqu’à la saison prochaine. « Vous me paierez, lui dit-elle, Apres l’out, foi d’animal, Intérêt et principal. « La cigale n’est pas gourmande : C’est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps froid ? Dit-elle à cette amasseuse. - Nuit et jour à tout-venant Je stockais, ne vous déplaise. - Vous stockiez ? j’en suis fort aise ; Et bien soldez maintenant. « * Françoise Sagan |
Déposé par poutounou le 04/04/2015Coucou bel Ange, Va-t-en voir dans ton jardin… Le lapin de Pâques, ce farceur, Y a caché cette nuit Un panier rempli de surprises : * Des œufs de toutes les couleurs, Des sucettes, des guimauves, Des meringues, des nonosss, Une baballe qui rebondit. * Regarde aussi dans tes fleurs. Tu y trouveras des bonbons à la liqueur. Je te souhaite, de tout cœur, De Joyeuses Pâques, tout en douceur… |
Déposé par poutounou le 30/03/2015Le papillon * J’aimerais, dans ma maison, Avoir pour seul compagnon Un très joli papillon Qui de saison en saison Changerait de couleur. Il serait vert au printemps Comme les feuilles mignonnes, Bleu en été, couleur du temps, Marron dès que viendrait l’automne Et, dans les mois d’hiver, tout blanc. Parfois, pour la fantaisie, Rose, violet, mauve ou gris Mais jamais le papillon noir De l’ennui et du désespoir. * Jean Joubert |
Déposé par poutounou le 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
Déposé par poutounou le 22/03/2015Mars * Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons. Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu'il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons … * Maurice CARÊME |
Déposé par choupinou le 16/03/2015Quand tu me manques,je t'invente des mots d'amours, Sans toi je n'existe pas,quel malheur.... Je te cherche souvent partout, alors que tu es tout prêt de moi ,dans mon coeur. C'est pour ça qu'aujourd'hui ,je t'offre ma vie, je t'offre mon âme,mon coeur; je t'offre le chant des oiseaux,à l'infini; je t'offre la lumière du soleil et sa chaleur; je t'offre la beauté des fleurs ,le parfum des roses; tu es mon étoile,mon sourire et mes larmes, Je t'offre tout ceci ,c'est vrai c'est pas grand chose par rapport a tout ce que toi,tu m'a donné,tu étais ma flamme; Mon grand amour c'était toi ,c'est toujours toi et ce sera toujours TOI TOI TOI POUR L'ETERNITE |
Déposé par poutounou le 15/03/2015Extrait de la chanson « Fais moi une place » de Julien Clerc. * Paroles d’un Ange pour son maître ou sa maîtresse… * Fais-moi une place Au fond d' ton coeur Pour que j' t'embrasse Lorsque tu pleures Je deviendrai Tout fou, tout clown, gentil Pour qu' tu souries Fais-moi une place Dans tes urgences Dans tes audaces Dans ta confiance Je s'rai jamais Distant, distrait, cruel Pour q' tu sois « belle » (beau) J' veux q' t'aies jamais mal Q' t'aies jamais froid Et tout m'est égal Tout, à part toi Je t'aime… |
Déposé par poutounou le 10/03/2015Joli petit poème pour toi, bel Ange, en attendant le printemps… * Premier sourire du printemps * Tandis qu'à leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. * Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisèle des boutons d'or. * Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. * La nature au lit se repose ; Lui descend au jardin désert, Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. * Tout en composant des solfèges, Qu'aux merles il siffle à mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges Et les violettes aux bois. * Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d'argent du muguet. * Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. * Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " * Théophile GAUTIER (1811-1872) - Émaux et camées |
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