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En hommage à
scoubidoo
LABRADOR
Il est né le:17/12/2003
Il nous a quittés le:22/10/2008
 

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En hommage à scoubidoo

Mon petit chien

Personne ne te remplacera
Dans mon coeur toujours tu seras
Je ne passe pas une journée
sans que tu sois dans mes pensées
Je n'aime que toi
J'ai besoin de toi
Personne ne peut m'apporter
Ce que tu as su me donner
Plus que tu ne crois
Mon amour n'est désormais que pour toi

Je souffre énormément de ton absence
J'ai besoin chaque jour de ta présence
Car sans toi ma vie n'a plus le même sens
Puisque sans toi j'ai le coeur en cendre
Je passerai ma vie à t'attendre
Je souffre tellement de ton absence
Je veux que pour toujours tu revienne
Ma triste vie n'est rien sans la tienne
Je pleure mais il faut que je tienne
Je dois m'accrocher et rester forte
Ne pas m'acharner sur mon sort
Je t'aime pour toujours

Chaque moment où tu n'es pas avec moi
Les secondes se transforment en heures
Les heures en jours et les jours en mois
Je ne peux pas vivre sans la raison de mon bonheur
J'ai besoin de toi chaque instant de mon existence
Je veux que tu continue à m'apporter tout ce bien
Je ne veux plus qu'on soit séparé par la distance
Je t'aime tellement que sans toi je ne suis plus rien.
Je ne t'oublierais jamais mon petit coeur
,




0 bougie

2660 Fleurs
Déposé par florence
Déposé par florence
affectueuses pensées pour Scoubidoo
Déposé par rafia
Déposé par rafia
NOEL🎅🎄 n'est pas un jour, ni une saison, c'est un état d'esprit. Avec l'amitié de Maryem♥.
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Ce qui compte à NOEL, ce n'est pas de décorer le🎄, c'est d'être TOUS REUNIS. Avec l'amitié de Maryem.
Déposé par mouette
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gros bisous pleins de tendresse
Déposé par lili2248
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douces et tendres caresses pour toi bisous
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Je te déposes ces jolies roses devant tes petites pattes
Déposé par lili2248
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HOMMAGE♥.•´¯`•.¸¸.•..:*´¨`*:.☆ scoubidoo☆:*´¨`*:.•.¸¸.•´¯`•.♥
Déposé par sultandu02
Déposé par sultandu02
mon coeur saigne toujour tu me manque jamais je toublier je t aime
Déposé par rafia
Déposé par rafia
-Joyeux préparatifs de NOEL🎄🎁🎄🎅🎁🎄🎅🎁🎅🎄🎁🎅🎄🎁v🎅🎁🎅🎁+ les biso
Déposé par rafia
Déposé par rafia
CARLOS FUENTES 💻📨Il n'est pire servitude que l'espoir d'être heureux.
Déposé par myriam31
Déposé par myriam31
Douce nuit bel ange, tu brilleras toujours dans le coeur de ta maman qui t'aime tant..bien affectueusement
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Tout plein de câlinous pour toi petit ange
Déposé par rafia
Déposé par rafia
SÉNÈQUE📱📧 C'est quand on n'a plus d'espoir qu'il ne faut désespérer de rien.
Déposé par mouette
Déposé par mouette
Déposé par sultandu02
Déposé par sultandu02
ce bouquet coloré pour fleurir ton jardin d'amour je t aime mon bebe
Déposé par rafia
Déposé par rafia
CLAUDE JASMIN 📢 Sans illusions à perpétuité, que serions-nous donc ? C'est l'espoir qui nous mène, qui nous tient en vie.
Déposé par rafia
Déposé par rafia
THICH NHAT HANH 📫📧: ESPOIR : Chaque fois que vous êtes vraiment présent, vous êtes à même de reconnaître la présence de l’autre.
Déposé par mouette
Déposé par mouette
Plein de bisous
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Jolie frimousse reçois ces milliers de bisous
Déposé par sultandu02
Déposé par sultandu02
e dépose ce joli bouquet parsemé de tendres bisous dans ton beau jardin d'amour


798 messages

Déposé par rafia le 07/11/2015  
La tombe dit à la rose
La tombe dit à la rose :
– Des pleurs dont l’aube t’arrose
Que fais-tu, fleur des amours ?
La rose dit à la tombe :
– Que fais-tu de ce qui tombe
Dans ton gouffre ouvert toujours ?La rose dit : – Tombeau sombre,
De ces pleurs je fais dans l’ombre
Un parfum d’ambre et de miel.
La tombe dit : – Fleur plaintive,
De chaque âme qui m’arrive
Je fais un ange du ciel !Par Victor Hugo,

Déposé par colombine67 le 07/11/2015  
N'abandonne surtout pas !
Lorsque dans la vie rien ne va plus,
que les problèmes tourmentent ton esprit
et que l'argent te cause tant de soucis...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises,
que tout ton univers menace de s'écrouler
et que, fatigué, tu sens la confiance t'abandonner...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus,
et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir,
ni combien d'obstacles nous devront surmonter
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.
Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter
alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus
pour transformer un échec en réussite ?
Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile.
Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire
pour faire ce petit pas de plus,
en affirmant que la vie est une grande et puissante amie
qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours.
Tu verras alors que cette attitude appelleras,
du plus profond de toi-même,
des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas
et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras.
Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien:
Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Anonyme

Déposé par colombine67 le 06/11/2015  
Ne te laisse pas tromper par moi.
Ne te laisse pas tromper par le visage que je porte,
car je porte un masque, mille masques,
masques que j'ai peur d'enlever,
et je ne suis aucun d'entre eux.
Faire semblant est un art qui est une seconde nature pour moi,
mais ne sois pas dupe,
pour l'amour de Dieu, ne sois pas dupe.
Je te donne l'impression que je suis sûr,
que tout est bien et sans problème avec moi, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur,
que je suis la confiance même et que je plane au-dessus de tout,
que l'eau est calme et que je suis bien aux commandes
et que j'ai besoin de personne,
mais ne me crois pas.
A la surface, je suis lisse et sans faille, mais ce n'est que mon masque,
toujours différent et toujours caché.
En dessous, il n'y a aucune complaisance.
En dessous résident la confusion, la peur et la solitude.
Mais je les cache. Je ne veux pas que quiconque le sache.
Je panique à l'idée que ma faiblesse soit exposée.
C'est pourquoi, je crée avec frénésie un masque pour me cacher derrière,
une façade nonchalante et sophistiquée,
pour m'aider à faire semblant,
pour me protéger des regards qui savent.
Mais ce regard est précisément mon salut, mon seul espoir,
et je le sais.
S'il est suivi par l'acceptation,
et s'il est suivi par l'amour.
C'est la seule chose qui puisse me libérer de moi-même,
des murs de la prison que j'ai érigés moi-même,
des barrières que j'ai dressées avec tant d'efforts.
C'est la seule chose qui puisse m'assurer
de ce que je ne peux m'assurer par moi-même,
que j'ai vraiment une valeur.
Mais je ne te le dis pas. Je n'ose pas, j'ai peur de le faire.
J'ai peur que ton regard ne soit pas suivi d'acceptation,
ne soit pas suivi d'amour.
J'ai peur que tu penses moins de moi,
que tu ries et tes rires me tueraient.
J'ai peur, qu'au fond, je ne sois rien,
que tu le voies et me rejettes.
Donc, je joue mon jeu, un jeu désespéré à faire semblant,
portant sans assurance une façade
et un enfant tremblotant à l'intérieur.
C'est ainsi que débute la belle, mais irréelle parade des masques,
et ma vie devient une façade.
Je bavarde avec toi de manière suave de sujets éphémères.
Je te dis tout de rien,
et rien de ce qui est tout,
de ce qui pleure à l'intérieur de moi.
Alors, quand je passe à travers mon scénario
ne te laisse pas berner par cette sérénade.
S'il te plaît, essaye d'écouter attentivement et écoute ce que je ne te dis pas,
ce que j'aimerais être capable de te dire,
ce que j'ai besoin de te dire pour survivre,
mais ce que je ne peux dire.
Je n'aime pas me cacher.
Je n'aime pas jouer les jeux superficiels.
Je veux arrêter de jouer.
Je veux être authentique, spontané et moi-même,
mais tu dois m'aider.
Tu dois me tendre la main
même si c'est la dernière chose que je semble vouloir.
Tu es la seule personne qui puisse effacer de mes yeux
le regard vide d'un mort vivant.
Tu es la seule personne qui puisse m'inviter à la vie.
Chaque fois que tu es aimable, doux et encourageant,
chaque fois que tu essaies de comprendre parce que tu portes attention,
mon coeur commence à avoir des ailes qui poussent -
de très petites ailes,
de très faibles ailes,
mais des ailes !
Avec ton pouvoir de toucher et de me faire sentir,
tu peux m'insuffler la vie.
Je veux que tu le saches.
Je veux que tu saches combien tu es une personne importante pour moi,
comment tu peux être un créateur - un créateur fidèle à Dieu -
de la personne que je suis
si tu le choisis.
Toi seul peux briser le mur derrière lequel je tremble,
toi seul peux enlever mon masque,
toi seul peux me libérer de mon monde ombragé par la panique,
de ma prison solitaire,
si tu le choisis.
S'il te plaît, choisis-le.
Ne passe pas à côté de moi.
Ça ne sera pas facile pour toi.
Plusieurs années à croire que je ne vaux rien ont érigé des murs très solides.
Plus tu approches de moi
plus je peux combattre aveuglément.
C'est irrationnel, mais en dépit de ce que les livres disent sur l'homme,
je suis souvent irrationnel.
Je lutte précisément contre la chose dont j'ai besoin.
Mais on dit que l'amour est plus fort que les murs
et c'est là que réside mon espoir.
S'il te plaît, essaye d'enfoncer les murs
avec une main ferme, mais douce,
car un enfant, c'est très sensible.
Qui suis-je, tu te demandes peut-être ?
Je suis quelqu'un que tu connais très bien.
Car je suis chaque homme que tu rencontres
et je suis chaque femme que tu rencontres.
Charles C. Finn

Déposé par rafia le 06/11/2015  
Adieu
Je viens te dire adieu, toi que j’aimais,
Je viens te remettre à Dieu, à jamais.
Rejoins tous ceux que nous avons aimés,
Tous ceux qui nous ont déjà quittés.
Tu es parti, nous ne te verrons plus
Nos cœurs pleurent l’inconsolable douleur,
En déposant ces gerbes de fleurs.
Désormais tu es parti, adieu....
Mes yeux te chercheront dans les cieux,
Pour toujours tu seras dans nos cœurs.
Aide-nous à ce que la joie demeure.
La vie a décidé de ton départ
Et je dois te dire "au revoir".
Je t’ai aimé et je te remets à Dieu,
Cette nouvelle absence, quelle violence,
Quelle déchirure et blessure immenses.
Pourrai-je donner un sens à l’insensé
Pourrai-je un jour enfin l’accepter ???
Désormais tu es parti, adieu
Mes yeux te chercheront dans les cieux,
Pour toujours tu seras dans nos cœurs.
Aide-nous à ce que la joie demeure,
La vie a décidé de ton départ
Et je dois te dire "au revoir",
Je t’ai aimé et je te remets à Dieu.
Jamais plus rien ne sera comme avant,
Depuis ton dernier souffle dans le vent,
Je te rejoindrai mais pas maintenant
Car la vie va toujours de l’avant.
Merci pour tout cet amour partagé
Nous serons plus grands de t’avoir aimé,
Merci pour tout l’amour en héritage
Ce chant nous te l’offrons en hommage.
Adieu …
Paroles et musique de Fleur-Lise,

Déposé par rafia le 05/11/2015  
Les yeux..
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l’aurore ;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lève encore.
Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre ;
Les étoiles brillent toujours🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠
Et les yeux se sont remplis d’ombre.
Oh ! qu’ils aient perdu le regard,
Non, non, cela n’est pas possible !
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu’on nomme l’invisible ;
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent :
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l’autre côté des tombeaux
Les yeux qu’on ferme voient encore.
Par Sully Prudhomme,

Déposé par colombine67 le 05/11/2015  
Quand lui n'achève pas son travail,
je me dis, il est paresseux.
Quand moi, je n'achève pas mon travail,
c'est que je suis trop occupé, trop surchargé.
Quand lui parle de quelqu'un,
c'est de la médisance.
Quand je le fais,
c'est de la critique constructive.
Quand lui tient à son point de vue,
c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue,
c'est de la fermeté.
Quand lui prend du temps pour faire quelque chose,
il est lent.
Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose,
je suis soigneux.
Quand lui est aimable,
il doit avoir une idée derrière la tête.
Quand moi je suis aimable,
je suis vertueux.
Quand lui est rapide pour faire quelque chose,
il bâcle.
Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose,
je suis habile.
Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise,
il s'occupe de ce qui ne le regarde pas.
Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise,
je prends des initiatives.
Quand lui défend ses droits,
c'est un mauvais esprit.
Quand moi je défends mes droits,
je montre du caractère.
Pierre Descouvemont

Déposé par poutounou le 04/11/2015  

Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ?
*
Gros cailloux
*
Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière".
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?".
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)".
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.
*
Anonyme

Déposé par rafia le 04/11/2015  
L'Adieu
J'ai cueilli ce brin de bruyère
L'automne est morte souviens-t'en.
Nous ne nous verrons plus sur terre
Odeur du temps brin de bruyère
Et souviens-toi que je t'attends.
Guillaume Apollinaire
Bien chères amies/chers amis...je vs offre ce quintil...avec toute mon amitié...et avec mes remerciements les plus chaleureux.
Maryem, votre amie

Déposé par colombine67 le 04/11/2015  
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me donner des conseils,
je n'ai pas de réponse à ma demande.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela,
je ne me sens pas respecté.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à vouloir faire quelque chose pour résoudre mon problème,
je ne me sens pas aidé, aussi étrange que cela puisse paraître.
Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes.
Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose :
je te demande simplement de m'écouter.
Les conseils sont bon marché.
Pour deux euros, j'aurai dans le même journal
le courrier du cœur et mon horoscope.
Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant,
peut-être un peu découragé ou hésitant,
mais non impotent.
Quand tu fais quelque chose pour moi,
que je peux et ai besoin de faire moi-même,
je me sens dévalorisé et je ne progresse pas.
Mais quand tu acceptes comme un simple fait
que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalité),
je peux arrêter de chercher à te convaincre,
et je peux essayer de commencer à comprendre
ce qu'il y a derrière mes sentiments apparemment irrationnels.
Lorsque je vois clair, les réponses deviennent évidentes
et je n'ai pas besoin de conseil.
Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles
quand nous comprenons ce qu'il y a derrière.
Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, car Dieu ne parle pas.
Il ne donne pas de conseils à ceux qui n'en demandent pas.
Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma liberté.
Alors, s'il te plaît, écoute-moi.
Et quand tu voudras que je t'écoute, demande-le-moi et je t'écouterai.
Auteur anonyme indien

Déposé par rafia le 03/11/2015  
Si je pouvais être certaine qu'un Paradis existe bien ???
Dédicace à TOUS : Amours-Canins.....félins...et autres.
Dont mes cinq AMOURS/WESTIES.
Sur l'échelle du Ciel, je voudrais monter...
Pas tout en haut, mais un peu quand même,
Pas bien longtemps, mais juste assez,
Pour m'assurer que vs êtes bien arrivés
Je voudrais tendre le cou,
Pour voir si votre nouvelle vie vs plait..???
Me persuader que vs êtes bien entourés,
Mais surtout que la vie est meilleure ici.....
J'observerais tous ces êtres innocents partis d'en bas,
Bien trop tôt,
M'émerveillerais de leurs ailes qui ont poussé,
Depuis qu'ils sont là-haut.
Je voudrais monter sur cette échelle,
Contre mon coeur, vs serrer une dernière fois,
Que vs me disiez, dans un battement d'aile,
"Continue Maman.... ns veillons....
Ns sommes tjrs aussi près de toi"
Avec toute ma bien sincère Amitié.
Maryem, votre amie

Déposé par colombine67 le 03/11/2015  
Tu ne peux pas retenir le temps.
Il passe.
Il coule entre tes doigts
comme l'eau de la fontaine.
Il glisse dans ta main
comme le sable de la mer.
Tu ne peux rattraper le passé.
Il n'est plus.
Il s'en est allé
comme le couchant d'hier.
Il est disparu
comme un souvenir perdu.
Tu ne peux emprisonner le futur.
Il n'est pas encore.
Il viendra à son heure
comme le levant de demain.
Il te rejoindra
comme la vague qui s'approche du rivage.
Mais tu peux toujours cueillir le présent
comme un beau présent de Dieu.
Ce présent est comme un grand arbre :
il plonge ses profondes racines
dans ton passé tout plein
de souvenir et d'expérience,
comme une sagesse accumulée.
Et il lance ses longues branches
vers ton futur tout plein
de promesse et d'espérance,
comme un projet emballant.
Le présent est fait
de ton passé qui n'est plus
et de ton futur qui n'est pas encore.
Prends le temps qui t'est donné
à chaque instant qui passe.
Cueille-le précieusement
comme l'eau du ruisseau
qui t'est toujours disponible.
Ne gaspille pas ton temps,
c'est un cadeau de Dieu.
Ne passe pas ton temps
à courir après le temps.
Prends ton temps.
Ne dis pas : je n'ai pas le temps.
Dis plutôt : j'ai tout mon temps.
Ne sois pas avare de ton temps.
Donne de ton temps aux autres
comme Dieu te le donne à toi.
Ne cours pas tout le temps,
prends ton temps.
Et laisse au temps
le temps
de faire son temps.
Alors, tu gagneras du temps.
Et tu découvriras
que c'est beau et bon le temps,
que c'est plein de Dieu dedans.
Jules Beaulac

Déposé par rafia le 02/11/2015  
OFFERT A VOS AMOURS CANINS, FELINS ...ET AUTRES.
L'AMOUR SINCERE EST UNIVERSEL.
OFFERT AUSSI A MES CINQ AMOURS/WESTIES.
Pr vs mes amies/amis, toute ma bien sincère amitié.
Sans oublier mes chaleureux remerciements.
Maryem
CONJUGUONS LE VERBE AIMER
En conjuguant le verbe aimer à ts les temps
A l’imparfait, au passé simple ou au présent
Ns ns aimons, conditionnel, indicatif
Au singulier ou au pluriel, au subjonctif !
Au futur simple ou antérieur, je vs aimerai
Toute ma vie, avec souvenir, plus que parfait
En auxiliaire, c’est vs que j’avais choisis
Avoir et être, je vs ai tant chéris
Par votre absence, je suis désarmée.
Passé, présent, ce sont les temps du participe
Impératif, souffrir d’aimer, l’infinitif
Amour, tendresse, partagés, lien sacré,
Durant toutes ces années, ns ns sommes aimés.
Combien la tendresse Canine, vaut la nôtre !
Vs et moi... vs et ns, mes amours/westies, en ayant conjugué
A l’infini ce mot, nous l’avons énoncé,
Je vs l'envoie "là haut" pour toutes ces années,
Vers ce lieu pr moi, inconnu.
Pour d'utopiques retrouvailles.....
Pourtant, je ne demande qu'à y croire.

Déposé par ovanek le 02/11/2015  
💖 💖 26 💖 💖
**** Une Larme à Moi ****
Je m´aperçois que rien ne va bien ….je m´aperçois que rien ne vaut rien
Le monde, je n´y suis pas chez moi
Je crois que je ne comprends pas qu’ont ne me comprends pas
Quelques larmes coulent de mes yeux… elle tache les mots sur mes pensées
Et je sais que malheureux n´est pas un mot pour nous deux
Que nous méritons bien mieux ….nous méritions plus de temps
Qui, de la nuit ou de toi, reste désenchantée?
Qui, de la nuit ou de moi, est le plus désolé?
Je crie en vain, je ne sais plus rien
que des images que mes yeux font défilés
et tourbillonne sans jamais ce poser
Je doute de tout, tu le sais bien
Je t´aimais si fort autrefois
Tu étais si beau, je crois si beau, je sais.
Au plus profond de tes yeux
Je m´éblouis encore un peu
Je m´égare, je m´en veux
Oui, nous méritons bien mieux
Nous méritions le dessous des cieux
Tu me manque
** Pensée **
💖

Déposé par colombine67 le 02/11/2015  
Savoir attendre
Sans vouloir tout comprendre,
Savoir hurler
Sans pour autant se résigner,
Savoir pleurer
Sans pour cela désespérer.
Essayer d’avancer
Pour ne pas retomber,
Essayer d’oublier
Pour ne pas se noyer,
Essayer d’espérer
Pour ne pas se révolter.
Laisser couler son cœur
Comme s’ouvre une fleur,
Laisser sortir son âme
Comme s’élève une flamme,
Laisser renaître la vie
Comme pousse l’épi.
Regarder l’horizon
Pour une autre ascension,
Attendre un navire
Pour un nouvel avenir,
Guetter l’Espérance
Pour une autre naissance.
Elisabeth Lafont

Déposé par rafia le 01/11/2015  
Toussaint
Bouquet blanc dans le cimetière,
Rose rouge dans les oeillets blancs,
Bouquet d'amour taché de sang.
Rose rouge, ou poignard vibrant,
Enfant tombeau, Maman de pierre,
Petit berceau de marbre blanc.
Rose rouge, mon coeur, griffant,
Larmes cachées, séchées au vent,
Bouquet blanc dans le cimetière,
Rouge baiser
Sur masque blanc.
Jacques Prévost ,

Déposé par colombine67 le 01/11/2015  
Nos absents nous accompagnent
de
Yves Duteil
Où s’en vont ceux qui nous manquent ?
Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?
Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ?
Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux.
Nos absents nous accompagnent.
On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté.
Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes.
Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole.
Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ?
Le chagrin n’est que le revers de l’amour.
Mais c’est encore de l’amour.
Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ».
Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison.
Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement.
C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire.
Il y a un peu d’infini dans cet amour-là.
Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur…
Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ?
Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés.
Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ?
Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble.
L’absence n’est pas qu’un vide.
C’est aussi de l’amour qui nous accompagne.
Servir encore, être utile à quelqu’un…
Un beau destin pour nos absents.

Déposé par rafia le 31/10/2015  
Quelques lignes, sans prétention, afin d'honorer, en nostalgique jour de TOUSSAINT, la mémoire de nos anges canins, félins et...autres, adorés.
Petits anges,
Si loin de nos coeurs
Vs devez avoir peur.
Peur d'être oubliés
Et de n'être plus jamais aimés.
Mais comment chasser de notre coeur
Vos facéties, ces tendres bonheurs
Que vs ns avez donnés,
Tout au long de votre courte vie
Et à chacun de nos câlins ???
Petits anges partis
Mais restant à jamais dans nos vies,
Chaque jours décomptés
Ns aident à ns rapprocher.
Faut-il y croire ???
Ou bien est-ce une légende ???
Alors, si loin de vs,
La vie devient floue.....
Pr ns rassurer,
Faites-ns un petit signe, pr apaiser notre peine.
Le temps passe vite, mais l'amour que ns avons pour vs
Restera à jamais gravé,
Dans nos coeur et dans nos pensées
Pour mes Amours/Westies, mais aussi pour tous les Anges leurs AMIS/AMIES,
et leur chère famille.
Avec toute mon amitié.
Maryem, votre amie..qui ne vs oublie pas.

Déposé par poutounou le 31/10/2015  
Pour la Toussaint et la fête des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle à son amour comme nous le sommes à nos anges….
*
Une ombre qui passe…
*
Toute de noir vêtue et sa canne à la main,
Elle avance à pas lents dans la petite allée
En serrant sur son coeur cette fleur d'azalée
Qu'elle va déposer juste au bout du chemin.
*
Qui pourrait maintenant dire quel est son âge?
Elle vient chaque jour retrouver un moment
Celui dont le départ a causé son tourment.
La douleur a creusé les traits de son visage.
*
Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas,
dans le calme apaisant du petit cimetière,
Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière
Pour aller au plus tôt le rejoindre là-bas.
*
Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite :
C'est le jour de l'année où chacun se souvient
Qu'un être cher repose en la tombe qu'il vient
Couvrir de belles fleurs, comme pour une fête.
*
Présence inopportune où sombre sa douleur,
Elle ne peut ce soir, comme à son habitude,
partager un instant de tendre solitude
Avec celui qui fut sa source de bonheur.
*
Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe,
En essuyant un pleur du revers de la main.
Elle sera fidèle au rendez-vous demain,
Lorsque les visiteurs auront quitté la place.

Déposé par myriam31 le 31/10/2015  
Au temps de la Toussaint
Au temps de la Toussaint, quand les cimetières
S’ornent de chrysanthèmes et de bruyère,
Et qu’ainsi joliment embellis, joliment colorés,
Ils donnent à la mort comme un air de gaieté.
Quand auprès des caveaux et des tombes familiales,
Eclairés par la douce lumière automnale,
L’on revient chaque année, prier, se recueillir…
Je suis triste et mon cœur ne cesse de souffrir :
Quelque part tu attends, en lieu insolite,
Esseulé, loin des tiens, sans jamais de visite.
Et pour le souvenir, toi qui aimais les fleurs,
Vois-tu je n’ai rien d’autre à t’offrir que mes pleurs,
Ce modeste bouquet de fleurs, pour t’apporter un peu de douceur…
Tendres et affectueuses pensées pour toi bel ange et nos chers disparus à l'approche de La Toussaint

Déposé par colombine67 le 31/10/2015  
Il était une fois un vieil homme assis à l'entrée d'une ville du Moyen-Orient.
Un jeune homme s'approcha et lui dit :
- Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieil homme lui répondit par une question :
- Comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ?
- Egoïstes et méchants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'étais bien content de partir, dit le jeune homme.
Le vieillard répondit:
- Tu trouveras les mêmes gens ici.
Un peu plus tard, un autre jeune homme s'approcha et lui posa exactement la même question.
- Je viens d'arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieille homme répondit de même :
- Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ?
- Ils étaient bons et accueillants, honnêtes; j'y avais de bons amis; j'ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme.
- Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.
Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s'adressa au vieillard sur un ton de reproche :
- Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ?
- Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur.
Anonyme




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Highslide JS
7 ans deja que tu ma quitter un bout de mon coeur
je t aimerait toujours mon bébé
Highslide JS
pour mon jolie coeur que j aime
tu restera a jamais mon bébé
Highslide JS
pour toi mon amour de bebe
tout les annee noel et triste sans toi je t aime
Highslide JS
6 ans deja que tu ma quitter mon coeur et toujour
je te pleure toujour mon ange
Highslide JS
pour toi mon ange
je t aime toujour autant
Highslide JS
bon premier mai du pond de l arc en ciel
je t aime
Highslide JS
tu aurait eux 10 ans
joyeux anniversaire mon coeur
Highslide JS
mon scoubidoo
je t aime
Highslide JS
que se muguet de porte bonheure la haut au pond de
je t aime
Highslide JS
toi et sultan
vous me manquer
Highslide JS
toi et sultan
tu adorait sultan
Highslide JS
toi et ton copain
sultan et avec toi
Highslide JS
toi et moi
je t aime
Highslide JS
mon scoubidoo
tu nous manque
Highslide JS
mon scoubidoo
je t aime
Highslide JS
toi et moi
je t aime tu me manque mon coeur
Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS
mon bebe tu me manque
tu ete si beau.
Highslide JS
je t aime mon bebe
tu sera toujour dans mon coeur
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