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En hommage à
BERGER-ALLEMANDDoudoune
Il est né le:30/10/1998
Il nous a quittés le:11/09/2009
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En hommage à
Doudoune
32 bougies
22974 Fleurs
Déposé par poutounou Qu'est-ce donc que toute notre tendresse ? Rien qu'une petite vague qui racle sur la terre et s'en retourne à la haute mer. Non, la tendresse c’est l’océan tout entier avec vous… !!! Déposé par colombine67 Si seulement les hommes pouvaient s'aimer comme les chiens, le monde serait un paradis |
2374 messages
Déposé par tazounette le 11/02/2024173 mois de manque de toi 173 mois de torture 173 mois ........ On t'aime pour toujours Ma fille Ma bébé mon ange mon étoile |
Déposé par colombine67 le 11/02/2024Les personnes qui n'ont jamais eu d'animaux domestiques, et plus globalement ceux qui n'aiment pas les animaux, ne peuvent pas comprendre l'amour que l'on peut avoir pour un chien, un chat ou tout autre animal. Bien souvent pour eux, aimer un animal comme on aime un enfant est irrationnel. Pour toutes ces personnes hermétiques et insensibles à ce sentiment, l'écrivain Richard A. Biby a écrit un joli texte. Il est dédié à tous les chiens en général, mais aussi à toutes celles et ceux qui ne comprennent pas cet amour inconditionnel. De temps en temps les gens me disent "voyons, c’est juste un chien" ou "tu en dépenses de l’argent juste pour un chien"… Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour "juste un chien". Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de "juste un chien". J’ai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, "juste un chien" et je ne me suis jamais senti moindrement seul. Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de "juste un chien" et, dans ces jours sombres, le doux contact de "juste un chien" m’a donné du réconfort et permis de traverser la journée. Si vous aussi, pensez que c’est "juste un chien" alors vous comprendrez probablement des phrases comme "juste un ami", "juste un lever de soleil" ou "juste une promesse". "Juste un chien" apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée. "Juste un chien" fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. À cause de "juste un chien" je me lèverai de bonne heure, ferai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas "juste un chien" mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment. "Juste un chien" fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée. J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas "juste un chien" mais l’être qui m’a donné l’humanité et qui m’a préservé de n’être que … "juste un homme ou une femme". Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase "juste un chien"… souriez, parce que c’est "juste qu’ils n’ont pas compris". Richard A. Biby, 2006. |
Déposé par colombine67 le 09/02/2024Pourquoi aimer les animaux? Parce qu'ils vous donnent tout, sans rien demander. Parce que contre le pouvoir de l'homme armé, ils sont sans défense. Parce qu'ils sont des enfants éternels, Parce qu'ils ne savent pas ce qu'est la haine ou la guerre. Parce qu'ils ne connaissent pas l'argent et qu'ils se consolent seulement avec un endroit pour échapper au froid. Parce qu'ils se font comprendre sans dire un mot, Parce que leur regard est aussi pur que leur âme. Parce qu'ils ne connaissent ni envie ni rancune, Parce que le pardon est encore naturel en eux. Parce qu'ils savent aimer avec loyauté et fidélité. Parce qu'ils vivent sans avoir une maison luxueuse. C'est pourquoi ils n'achètent pas l'amour, ils attendent juste ça Et parce qu'ils sont nos compagnons, amis éternels, que rien ne pourra séparer. Parce qu'ils sont vivants. Pour ceci et mille autres choses, ils méritent notre amour. Si nous apprenions à les aimer comme ils le méritent, nous serions très proches de Dieu Mère Teresa. |
Déposé par colombine67 le 08/02/2024Entre quatre murs. Je suis né entre quatre murs. Une petite pièce calme, sombre et tiède. Ma mère, mes frères et sœurs. L’odeur sucrée du lait. Je dormais, je mangeais. Ma mère me léchait le ventre pour que je fasse mes besoins. J’ignorais la peur et l’ennui, je n’étais que sensations et réflexes. C’était mon petit univers. Petit à petit, cet univers ne m’a plus suffi. J’avais la bougeotte, l’envie de découvrir le monde. Le deux-pattes qui s’occupait de nous venait souvent accompagné d’autres bipèdes, qui nous parlaient, nous touchaient, nous examinaient sous toutes les coutures. Une nouvelle émotion qui m’était inconnue jusqu’à présent commençait à pointer le bout de son museau : la peur. Mais elle disparaissait bien vite sous l’influence de ma curiosité insatiable de chiot. Je finissais par me laisser manipuler avec plaisir par les deux-pattes. Et puis un jour, une famille de quatre bipèdes m’a emmené avec elle. Je me souviens avoir beaucoup pleuré. Je n’avais jamais quitté ma mère et ma fratrie. Heureusement, toute cette nouveauté à laquelle j’étais confronté m’a fait rapidement oublier mon angoisse : ces odeurs inédites, ces bruits inconnus, la lumière qui défilait à travers les vitres de cette drôle de petite pièce vrombissante, c’était inquiétant mais tellement stimulant ! Peut-être que ces bipèdes m’emmenaient vers une nouvelle vie faite d’exploration et d’aventures excitantes. J’étais un canidé, et tout mon corps réclamait de l’action, de l’action et encore de l’action. On m’a installé entre quatre murs. C’était beaucoup plus grand que là où j’étais né. Il y avait même quatre murs dehors au-dessus desquels régnait un grand ciel bleu. J’avais toujours connu un toit sur ma tête, et j’étais un peu effrayé par cette immensité. Mais j’ai vite appris à m’amuser dans cet espace. À creuser le sol, à apprivoiser chaque brin d’herbe et chaque insecte rampant ou volant. À l’intérieur, j’étais bien installé : un endroit au chaud, mes bipèdes pour me tenir compagnie et s’occuper de moi. Je crois bien que j’allais être heureux dans cette nouvelle vie. Mes deux-pattes étaient gentils, même s’ils ne parvenaient pas toujours à me comprendre. Et puis, je ne les voyais pas beaucoup : ils partaient le matin et rentraient le soir. Je rêvais qu’ils m’emmènent avec eux. La maison était spacieuse, le jardin était vaste. Mais je commençais à y éprouver un sentiment qui me mettait profondément mal à l’aise : l’ennui. Je connaissais ma maison par cœur, et mon jardin sur le bout des griffes Aucune odeur nouvelle, aucun congénère à renifler ni lieu nouveau à explorer ne venait stimuler mon esprit aventureux. La souffrance, invisible aux yeux de mes humains, commençait à s’insinuer en moi. J’ai vécu entre quatre murs. Je pensais que le monde était plus vaste. J’ai compris qu’il s’arrêtait à la maison et au jardin de mes deux-pattes. Mes bipèdes me nourrissait , me caressait, j’avais même le droit de me coucher contre eux quand ils regardaient cette drôle de boîte à images tous les soirs. Mais ils semblaient insensibles à ma douleur. Pourtant, je me léchais les pattes, sans cesse. J’aboyais beaucoup, au moindre bruit, parce que c’était la seule mission que pouvait m’offrir ma prison dorée. Je creusais beaucoup dans le jardin, pour trouver de nouvelles odeurs sous le sol. Mes deux pattes se fâchaient, mais mon besoin d’activité grondait lui aussi. Il menaçait d’exploser et il n’y a que par le chaos que j’arrivais à évacuer ma frustration. Je suis mort entre quatre murs. J’ai vécu, que dis-je, j’ai subi quinze ans de vie. Quinze ans d’amour et quinze ans d’ennui. J’étais l’un des animaux les plus actifs de la création, j’étais un prédateur, un chasseur, un explorateur. Mon corps et mon âme réclamaient à grands cris une vie faite d’action et de découvertes. Mais on m’a enfermé dans une cage. Une grande cage, avec des barreaux en or massif. Ma mort a été à l’image de ma vie : je me suis endormi pour toujours sur un coussin moelleux, dans le confort d’un salon. Mon histoire est loin d’être unique : elle est la même que celle de nombreux membres de mon espèce. Amis bipèdes, ne projetez pas sur nous la vie que vous rêveriez d’avoir : nous n’avons pas envie de passer notre vie entre quatre murs. Nous ne connaissons ni Netflix, ni Facebook, ni le bonheur de lire un bon livre. Nos réseaux sociaux se trouvent au-dehors, au travers des odeurs laissées par les chiens du quartier. Notre lecture préférée, c’est la trace qu’un écureuil a laissée en escaladant un tronc d’arbre. Notre série préférée, c’est notre promenade du soir au parc à vos côtés. Notre place n’est pas entre quatre murs, mais aux quatre vents. Et je crois bien, humains, que vous êtes en train d’oublier que c’est aussi le cas de la vôtre. Elsa Weiss / Cynopolis |
Déposé par poutounou le 07/02/2024LE MOQUEUR MOQUE * Un escargot se croyant beau, se croyant gros, se moquait d'une coccinelle. Elle était mince, elle était frêle Vraiment, avait-on jamais vu Un insecte aussi menu ! Vint à passer une hirondelle qui s'esbaudit du limaçon. - Quel brimborion ! s'écria-t-elle, C'est le plus maigre du canton Vint à passer un caneton. - Cette hirondelle est minuscule, voyez sa taille ridicule dit-il d'un ton méprisant. Or, un faisan aperçut le canard et secoua la tête : - Quelle est cette minime bête ? au corps si drôlement bâti ? On n'a jamais vu plus petit Un aigle qui planait, leur jeta ces paroles - Êtes-vous fous ? Êtes-vous folles ? Qui se moque du précédent sera moqué par le suivant. Celui qui d'un autre se moque à propos de son bec, à propos de sa coque, de sa taille ou de son caquet, risque à son tour d'être moqué. * Et oui, soyons humbles ! |
Déposé par poutounou le 04/02/2024Qu'elle est jolie et rigolote cette poésie ! * Le cheval chante * Le cheval chante. Le hibou miaule. L'âne gazouille. Le ruisseau hennit. * - C'est bien, mon enfant : joue avec les mots. * Le triangle est rond. La neige est chaude. Le soleil est bleu. La maison voyage. * Tu as de la chance : les mots sont amicaux et généreux. * Le poisson plane. La baleine court. La fourchette a des oreilles. Le train se gratte. * - Je t'avais prévenu : maintenant les mots te mordent. * Alain Bosquet |
Déposé par choupinou le 03/02/2024Il y a les souvenirs, il y a les photos Il y a surtout, ce que que nous avons été ce qui est si bien caché dans ma mémoire, ces traces indélébiles qui vivent dans le coeur le moindre moment, instant câlin avec toi c'est ce qui me reste de notre vécu merveilleux et délicieux instant précieux, ce que tu m'as donné, l'amour dans tes yeux c'est peut être pour certain pas grand chose ou sans doute ne le comprendront jamais mais pour moi c'est ce que tu étais, et pas seulement qu'un animal ce que nous avons partagés, c'est puissant et que tu as m'offert sans rien demandé, de toi il ne me reste quoi, que douleur et larmes mais je sais au combien, il continue de briller au plus profond de mon âme, de ma chair tu étais ma raison, mon mentor, tu m'a appris tellement Alors, chut dort doucement tout en veillant sur moi tu l'as si bien méritais, je ne veux pas que tu sois triste parce que nous nous sommes aimés et quittés tu n'es plus ici bas, mais tu es partout ou je suis je t'aime tant ma petite chienne, et puis je sais qu'un jour nous nous retrouverons, j'en suis convaincu écrit de choupinou |
Déposé par poutounou le 31/01/2024Jolie petite histoire d’hiver pour toi, bel Ange… Entre nous, pas malin le bonhomme de neige ! * Dans la nuit de l’hiver Galope un grand homme blanc C’est un bonhomme de neige Avec une pipe en bois Un grand bonhomme de neige Poursuivi par le froid. Il arrive au village Voyant de la lumière Le voilà rassuré Dans une petite maison Il entre sans frapper Et pour se réchauffer S’assoit sur le poêle rouge Et d’un seul coup disparaît Ne laissant que sa pipe Au milieu d’une flaque d’eau Ne laissant que sa pipe Et puis son vieux chapeau… * Jacques PREVERT |
Déposé par choupinou le 28/01/2024petite colombe, dis lui Petite colombe, dis lui que je tombe, moi je n'ai pas d'aile, pour aller vers elle ... Petite colombe, souvent je retombe, dans les vieux souvenirs, pour encore essayer de l'a retenir, voulant l'a faire revenir... Petite colombe, dis lui que je succombe, souvent, bien trop souvent, face à mes sentiments, qui sont voués à s'envoler dans le vent... Petite colombe, dis lui, comme elle manque à ma vie, que son paradis, bien que joli, n'a peut être pas de prix, mais celui qui me l'a prise, c'est lui... texte de Sundhauser Flavien écrit le 05/01/2024 |
Déposé par choupinou le 28/01/2024petite colombe, dis lui Petite colombe, dis lui que je tombe, moi je n'ai pas d'aile, pour aller vers lui ... Petite colombe, souvent je retombe, dans les vieux souvenirs, pour encore essayer de le retenir, voulant le faire revenir... Petite colombe, dis lui que je succombe, souvent, bien trop souvent, face à mes sentiments, qui sont voués à s'envoler dans le vent... Petite colombe, dis lui, comme il manque à ma vie, que son paradis, bien que joli, n'a peut être pas de prix, mais celui qui me l'a prit, c'est lui... texte de Sundhauser Flavien écrit le 05/01/2024 |
Déposé par poutounou le 28/01/2024Encore deux, trois mois et le plus dur sera passé. Printemps reviens nous vite !!! * Le printemps reviendra * Hé oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor là. La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, même l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice Carême |
Déposé par poutounou le 24/01/2024Magnifique texte de Florent Pagny : « Dors…Laisse-moi couvrir tes ailes blanches et ton corps… » * Dors… * Dors Oublie les blessures lâches du temps Dors Ne réveille pas tes yeux d'océan Dors Laisse ton âme libre Aux désirs que tu crois Garde ta flamme vive Je serai toujours là Même si tu ne me vois pas Dors Mon cœur, mon ange * Dors Laisse-moi couvrir tes ailes blanches Et ton corps Je veillerai sur tes pas Je serai près de toi Oh, je te promets Que si un jour tu tombes Ce sera dans mes bras Aussi longtemps que tu le voudras * Dors Fais-moi rêver le ciel Entends mon appel Fais-moi plus fort au réveil Je serai ton gardien Le Noël de tes lendemains * Dors, dors |
Déposé par choupinou le 22/01/2024PENSER A TOI Petit sourire en coin, mais dans un coin, le chagrin celui de penser à toi, loin de moi... Petite solitude, qui n'est qu'une habitude, celle de penser à toi, loin de moi... Grande tristesse, maladroite caresse, du destin, et se aléas celle d'être sans toi... Chagrin solitude, tristesse, c'est l'amour qui me blesse de penser à toi qui est loin de moi... Texte de : Flavien Sundhauser |
Déposé par tazounette le 21/01/202421 janvier 1999 21 janvier 2024 25 ans aujourd'hui qu'on a été te chercher 25 ans aujourd'hui que tu es rentrée dans nos cœurs pour ne plus jamais en sortir ma bébé ma fille mon ange On t'aime pour toujours Doudoune |
Déposé par poutounou le 21/01/2024Très jolie chanson de Jean-Louis Aubert dédiée à nos tendres Anges... * Il manque un temps à ma vie Il manque un temps, j'ai compris Il me manque toi Mon alter ego * Tu es parti mon ami Tu m'as laissé seul ici Mais partout tu me suis Mon alter ego * Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où tu te caches Laisse-moi deviner * Dans mon coeur rien ne change T'es toujours là, mon ange * Il manque ton rire à l'ennui Il manque ta flamme à ma nuit C'est pas du « je » Mon alter ego * Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où tu te caches Laisse-moi deviner T'es sûrement baie des anges Sûrement là-bas, mon ange Sûrement là-bas Sûrement là-bas * Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où que tu sois Je voudrais que tu saches Dans mon coeur rien ne change T'es toujours là, mon ange * Il manque un temps à ma vie Il manque ton rire, je m'ennuie Il me manque toi, mon ami |
Déposé par colombine67 le 18/01/2024Je suis un chien. Je veux donner et avoir de l’amour. Je veux vivre. Je ne suis pas un objet. Je ne suis pas une pièce de propriété. S’il vous plait ne me rejetez pas. S’il vous plait traitez-moi avec gentillesse, amour et respect. Je vous promets que je vous payerais en retour avec un amour inconditionnel aussi longtemps que je vivrai. |
Déposé par goulou50 le 17/01/2024Vivre et croire c’est aussi accepter que la vie contient la mort et que la mort contient la vie. C’est savoir, au plus profond de soi, qu’en fait, rien ne meurt jamais. Il n’y a pas de mort, il n’y a que des métamorphoses. Tu ne nous as pas quittés Mais tu t’en es allé au pays de la Vie, Là où les fleurs Plus jamais ne se fanent, Là où le temps Ne sait plus rien de nous. Ignorant les rides et les soirs, Là où c’est toujours matin, Là où c’est toujours serein. Tu as quitté nos ombres, Nos souffrances et nos peines. Tu as pris de l’avance Au pays de la Vie. Je fleurirai mon cœur En souvenir de toi, Là où tu vis en moi, Là où je vis pour toi. Et je vivrai deux fois… |
Déposé par goulou50 le 17/01/2024Vivre et croire c’est aussi accepter que la vie contient la mort et que la mort contient la vie. C’est savoir, au plus profond de soi, qu’en fait, rien ne meurt jamais. Il n’y a pas de mort, il n’y a que des métamorphoses. Tu ne nous as pas quittés Mais tu t’en es allé au pays de la Vie, Là où les fleurs Plus jamais ne se fanent, Là où le temps Ne sait plus rien de nous. Ignorant les rides et les soirs, Là où c’est toujours matin, Là où c’est toujours serein. Tu as quitté nos ombres, Nos souffrances et nos peines. Tu as pris de l’avance Au pays de la Vie. Je fleurirai mon cœur En souvenir de toi, Là où tu vis en moi, Là où je vis pour toi. Et je vivrai deux fois… |
Déposé par poutounou le 17/01/2024Que c'est joliment dit ! "Ton absence est entrée chez moi..." * Ton Absence * Yves Duteil * Comme une bouffée de chagrin Ton "visage" ne me dit plus rien Je t'appelle et tu ne viens pas Ton absence est entrée chez moi * C'est un grand vide au fond de moi Tout ce bonheur qui n'est plus là Si tu savais quand il est tard Comme je m'ennuie de ton "regard" * C'est le revers de ton amour La vie qui pèse un peu plus lourd Comme une marée de silence Qui prend ta place et qui s'avance * Je dors blotti dans ton "sourire" Entre le passé, l'avenir Et le présent qui me retient De te rejoindre un beau matin * Dans ce voyage sans retour Je t'ai offert tout mon amour Même en s'usant l'âme et le corps On peut aimer bien plus encore * Bien sûr, là-haut de quelque part Tu dois m'entendre ou bien me voir Mais se « parler » c'était plus tendre On pouvait encore se comprendre * Je suis resté sur le chemin Avec ma vie entre les mains À ne plus savoir comment faire Pour avancer vers la lumière * Il ne me reste au long des jours En souvenir de ton amour Que cette fleur qui s'épanouit sur le silence... Ton absence... |
Déposé par colombine67 le 17/01/2024Je sais que je ne suis qu'un animal mais... Si tu te sens triste, je serai ton sourire. Si tu pleures, je serai ton réconfort Et si quelqu'un te brise le coeur, tu peux utiliser le mien pour vivre... Je serai toujours à tes côtés.💞 |
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