En hommage à

Doudoune
1998 / 2009


En hommage à

Doudoune
1998 / 2009

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de Doudoune a été vue  222 068  fois.
222 068 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
En hommage à
Doudoune
BERGER-ALLEMAND
Il est né le:30/10/1998
Il nous a quittés le:11/09/2009
 


12 personnes aiment cette page
 

Connectez vous pour poster un message, une fleur ou allumer une bougie
Votre pseudo        Mot de passe       


En hommage à Doudoune

Ma fille, mon bébé,
Tu nous manque énormément
On t' aime




32 bougies

22974 Fleurs
Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Une brassée de jolies fleurs avec des douces pensées
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Une brassée de jolies fleurs avec des douces pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Ce bouquet pour honorer un merveilleux petit ange
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Ce bouquet pour honorer un merveilleux petit ange
Déposé par Rebelwriter
Déposé par Rebelwriter
Déposé par Rebelwriter
Déposé par Rebelwriter
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Je rêve d'un jour ou on ne fera plus de mal aux animaux
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Une ribambelle de bisous et de câlins pour toi.
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Une pluie de câlinous pour un si bel ange de douceur
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Une pluie de câlinous pour un si bel ange de douceur
Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Déposé par prixy
Déposé par prixy
Nous aimerions tant vous avoir encore auprès de nous. Gros câlins à Toi
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
L'âme n'aurait pas d'arc-en-ciel, si les yeux n'avaient pas de larmes.
Déposé par Rebelwriter
Déposé par Rebelwriter
Avec toute ma tendresse pour un charmant petit ange
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Qu'est-ce donc que toute notre tendresse ? Rien qu'une petite vague qui racle sur la terre et s'en retourne à la haute mer. Non, la tendresse c’est l’océan tout entier avec vous… !!!
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Si seulement les hommes pouvaient s'aimer comme les chiens, le monde serait un paradis
Déposé par prixy
Déposé par prixy
Pour toi Bel Ange tant aimé des caresses à profusion. .


2374 messages

Déposé par tazounette le 11/02/2024  
173 mois de manque de toi
173 mois de torture
173 mois ........
On t'aime pour toujours
Ma fille Ma bébé mon ange mon étoile

Déposé par colombine67 le 11/02/2024  
Les personnes qui n'ont jamais eu d'animaux domestiques, et plus globalement ceux qui n'aiment pas les animaux, ne peuvent pas comprendre l'amour que l'on peut avoir pour un chien, un chat ou tout autre animal.
Bien souvent pour eux, aimer un animal comme on aime un enfant est irrationnel. Pour toutes ces personnes hermétiques et insensibles à ce sentiment, l'écrivain Richard A. Biby a écrit un joli texte. Il est dédié à tous les chiens en général, mais aussi à toutes celles et ceux qui ne comprennent pas cet amour inconditionnel.
De temps en temps les gens me disent "voyons, c’est juste un chien" ou "tu en dépenses de l’argent juste pour un chien"…
Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour "juste un chien".
Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de "juste un chien".
J’ai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, "juste un chien" et je ne me suis jamais senti moindrement seul.
Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de "juste un chien" et, dans ces jours sombres, le doux contact de "juste un chien" m’a donné du réconfort et permis de traverser la journée.
Si vous aussi, pensez que c’est "juste un chien" alors vous comprendrez probablement des phrases comme "juste un ami", "juste un lever de soleil" ou "juste une promesse".
"Juste un chien" apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée.
"Juste un chien" fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne.
À cause de "juste un chien" je me lèverai de bonne heure, ferai de longues marches et regarderai vers le futur.
Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas "juste un chien" mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment.
"Juste un chien" fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée.
J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas "juste un chien" mais l’être qui m’a donné l’humanité et qui m’a préservé de n’être que … "juste un homme ou une femme".
Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase "juste un chien"… souriez, parce que c’est "juste qu’ils n’ont pas compris".
Richard A. Biby, 2006.

Déposé par colombine67 le 09/02/2024  
Pourquoi aimer les animaux?
Parce qu'ils vous donnent tout, sans rien demander.
Parce que contre le pouvoir de l'homme armé,
ils sont sans défense.
Parce qu'ils sont des enfants éternels,
Parce qu'ils ne savent pas ce qu'est la haine ou la guerre.
Parce qu'ils ne connaissent pas l'argent et qu'ils se consolent
seulement avec un endroit pour échapper au froid.
Parce qu'ils se font comprendre sans dire un mot,
Parce que leur regard est aussi pur que leur âme.
Parce qu'ils ne connaissent ni envie ni rancune,
Parce que le pardon est encore naturel en eux.
Parce qu'ils savent aimer avec loyauté et fidélité.
Parce qu'ils vivent sans avoir une maison luxueuse.
C'est pourquoi ils n'achètent pas l'amour,
ils attendent juste ça
Et parce qu'ils sont nos compagnons,
amis éternels, que rien ne pourra séparer.
Parce qu'ils sont vivants.
Pour ceci et mille autres choses, ils méritent notre amour.
Si nous apprenions à les aimer comme ils le méritent,
nous serions très proches de Dieu
Mère Teresa.

Déposé par colombine67 le 08/02/2024  
Entre quatre murs.
Je suis né entre quatre murs.
Une petite pièce calme, sombre et tiède.
Ma mère, mes frères et sœurs.
L’odeur sucrée du lait.
Je dormais, je mangeais.
Ma mère me léchait le ventre pour que je fasse mes besoins.
J’ignorais la peur et l’ennui, je n’étais que sensations et réflexes.
C’était mon petit univers.
Petit à petit, cet univers ne m’a plus suffi.
J’avais la bougeotte, l’envie de découvrir le monde.
Le deux-pattes qui s’occupait de nous venait
souvent accompagné d’autres bipèdes,
qui nous parlaient, nous touchaient,
nous examinaient sous toutes les coutures.
Une nouvelle émotion qui m’était inconnue jusqu’à présent
commençait à pointer le bout de son museau : la peur.
Mais elle disparaissait bien vite sous l’influence
de ma curiosité insatiable de chiot.
Je finissais par me laisser manipuler avec plaisir par les deux-pattes.
Et puis un jour, une famille de quatre bipèdes m’a emmené avec elle.
Je me souviens avoir beaucoup pleuré.
Je n’avais jamais quitté ma mère et ma fratrie.
Heureusement, toute cette nouveauté à laquelle j’étais
confronté m’a fait rapidement oublier mon angoisse :
ces odeurs inédites, ces bruits inconnus,
la lumière qui défilait à travers les vitres de cette drôle de petite pièce vrombissante,
c’était inquiétant mais tellement stimulant !
Peut-être que ces bipèdes m’emmenaient vers une nouvelle vie
faite d’exploration et d’aventures excitantes.
J’étais un canidé, et tout mon corps réclamait de l’action,
de l’action et encore de l’action.
On m’a installé entre quatre murs.
C’était beaucoup plus grand que là où j’étais né.
Il y avait même quatre murs dehors au-dessus
desquels régnait un grand ciel bleu.
J’avais toujours connu un toit sur ma tête,
et j’étais un peu effrayé par cette immensité.
Mais j’ai vite appris à m’amuser dans cet espace.
À creuser le sol, à apprivoiser chaque brin d’herbe
et chaque insecte rampant ou volant.
À l’intérieur, j’étais bien installé : un endroit au chaud,
mes bipèdes pour me tenir compagnie et s’occuper de moi.
Je crois bien que j’allais être heureux dans cette nouvelle vie.
Mes deux-pattes étaient gentils, même s’ils
ne parvenaient pas toujours à me comprendre.
Et puis, je ne les voyais pas beaucoup :
ils partaient le matin et rentraient le soir.
Je rêvais qu’ils m’emmènent avec eux.
La maison était spacieuse, le jardin était vaste.
Mais je commençais à y éprouver un sentiment
qui me mettait profondément mal à l’aise : l’ennui.
Je connaissais ma maison par cœur,
et mon jardin sur le bout des griffes
Aucune odeur nouvelle, aucun congénère à renifler
ni lieu nouveau à explorer ne venait stimuler mon esprit aventureux.
La souffrance, invisible aux yeux de mes humains,
commençait à s’insinuer en moi.
J’ai vécu entre quatre murs.
Je pensais que le monde était plus vaste.
J’ai compris qu’il s’arrêtait à la maison
et au jardin de mes deux-pattes.
Mes bipèdes me nourrissait , me caressait,
j’avais même le droit de me coucher contre eux quand
ils regardaient cette drôle de boîte à images tous les soirs.
Mais ils semblaient insensibles à ma douleur.
Pourtant, je me léchais les pattes, sans cesse.
J’aboyais beaucoup, au moindre bruit,
parce que c’était la seule mission que pouvait m’offrir ma prison dorée.
Je creusais beaucoup dans le jardin,
pour trouver de nouvelles odeurs sous le sol.
Mes deux pattes se fâchaient, mais mon
besoin d’activité grondait lui aussi.
Il menaçait d’exploser et il n’y a que par le chaos
que j’arrivais à évacuer ma frustration.
Je suis mort entre quatre murs.
J’ai vécu, que dis-je, j’ai subi quinze ans de vie.
Quinze ans d’amour et quinze ans d’ennui.
J’étais l’un des animaux les plus actifs de la création,
j’étais un prédateur, un chasseur, un explorateur.
Mon corps et mon âme réclamaient à grands cris
une vie faite d’action et de découvertes.
Mais on m’a enfermé dans une cage.
Une grande cage, avec des barreaux en or massif.
Ma mort a été à l’image de ma vie :
je me suis endormi pour toujours sur un coussin moelleux,
dans le confort d’un salon.
Mon histoire est loin d’être unique :
elle est la même que celle de nombreux membres de mon espèce.
Amis bipèdes, ne projetez pas sur nous la vie que vous rêveriez d’avoir :
nous n’avons pas envie de passer notre vie entre quatre murs.
Nous ne connaissons ni Netflix, ni Facebook,
ni le bonheur de lire un bon livre.
Nos réseaux sociaux se trouvent au-dehors,
au travers des odeurs laissées par les chiens du quartier.
Notre lecture préférée, c’est la trace qu’un écureuil
a laissée en escaladant un tronc d’arbre.
Notre série préférée, c’est notre promenade du soir au parc à vos côtés.
Notre place n’est pas entre quatre murs, mais aux quatre vents.
Et je crois bien, humains, que vous êtes en train
d’oublier que c’est aussi le cas de la vôtre.
Elsa Weiss / Cynopolis

Déposé par poutounou le 07/02/2024  
LE MOQUEUR MOQUE
*
Un escargot
se croyant beau, se croyant gros,
se moquait d'une coccinelle.
Elle était mince, elle était frêle
Vraiment, avait-on jamais vu
Un insecte aussi menu !
Vint à passer une hirondelle
qui s'esbaudit du limaçon.
- Quel brimborion ! s'écria-t-elle,
C'est le plus maigre du canton
Vint à passer un caneton.
- Cette hirondelle est minuscule,
voyez sa taille ridicule
dit-il d'un ton méprisant.
Or, un faisan aperçut le canard et secoua la tête :
- Quelle est cette minime bête ?
au corps si drôlement bâti ?
On n'a jamais vu plus petit
Un aigle qui planait, leur jeta ces paroles
- Êtes-vous fous ? Êtes-vous folles ?
Qui se moque du précédent
sera moqué par le suivant.
Celui qui d'un autre se moque
à propos de son bec, à propos de sa coque,
de sa taille ou de son caquet,
risque à son tour d'être moqué.
*
Et oui, soyons humbles !

Déposé par poutounou le 04/02/2024  
Qu'elle est jolie et rigolote cette poésie !
*
Le cheval chante
*
Le cheval chante.
Le hibou miaule.
L'âne gazouille.
Le ruisseau hennit.
*
- C'est bien, mon enfant : joue avec les mots.
*
Le triangle est rond.
La neige est chaude.
Le soleil est bleu.
La maison voyage.
*
Tu as de la chance :
les mots sont amicaux
et généreux.
*
Le poisson plane.
La baleine court.
La fourchette a des oreilles.
Le train se gratte.
*
- Je t'avais prévenu :
maintenant les mots te mordent.
*
Alain Bosquet

Déposé par choupinou le 03/02/2024  
Il y a les souvenirs, il y a les photos
Il y a surtout, ce que que nous avons été
ce qui est si bien caché dans ma mémoire,
ces traces indélébiles qui vivent dans le coeur
le moindre moment, instant câlin avec toi
c'est ce qui me reste de notre vécu
merveilleux et délicieux instant précieux,
ce que tu m'as donné, l'amour dans tes yeux
c'est peut être pour certain pas grand chose
ou sans doute ne le comprendront jamais
mais pour moi c'est ce que tu étais,
et pas seulement qu'un animal
ce que nous avons partagés, c'est puissant
et que tu as m'offert sans rien demandé,
de toi il ne me reste quoi, que douleur et larmes
mais je sais au combien, il continue de briller
au plus profond de mon âme, de ma chair
tu étais ma raison, mon mentor, tu m'a appris tellement
Alors, chut dort doucement tout en veillant sur moi
tu l'as si bien méritais, je ne veux pas que tu sois triste
parce que nous nous sommes aimés et quittés
tu n'es plus ici bas, mais tu es partout ou je suis
je t'aime tant ma petite chienne, et puis je sais
qu'un jour nous nous retrouverons, j'en suis convaincu
écrit de choupinou

Déposé par poutounou le 31/01/2024  
Jolie petite histoire d’hiver pour toi, bel Ange… Entre nous, pas malin le bonhomme de neige !
*
Dans la nuit de l’hiver
Galope un grand homme blanc
C’est un bonhomme de neige
Avec une pipe en bois
Un grand bonhomme de neige
Poursuivi par le froid.
Il arrive au village
Voyant de la lumière
Le voilà rassuré
Dans une petite maison
Il entre sans frapper
Et pour se réchauffer
S’assoit sur le poêle rouge
Et d’un seul coup disparaît
Ne laissant que sa pipe
Au milieu d’une flaque d’eau
Ne laissant que sa pipe
Et puis son vieux chapeau…
*
Jacques PREVERT

Déposé par choupinou le 28/01/2024  
petite colombe, dis lui
Petite colombe,
dis lui que je tombe,
moi je n'ai pas d'aile,
pour aller vers elle ...
Petite colombe,
souvent je retombe,
dans les vieux souvenirs,
pour encore essayer de l'a retenir,
voulant l'a faire revenir...
Petite colombe,
dis lui que je succombe,
souvent, bien trop souvent,
face à mes sentiments,
qui sont voués à s'envoler dans le vent...
Petite colombe, dis lui,
comme elle manque à ma vie,
que son paradis, bien que joli,
n'a peut être pas de prix,
mais celui qui me l'a prise, c'est lui...
texte de Sundhauser Flavien
écrit le 05/01/2024

Déposé par choupinou le 28/01/2024  
petite colombe, dis lui
Petite colombe,
dis lui que je tombe,
moi je n'ai pas d'aile,
pour aller vers lui ...
Petite colombe,
souvent je retombe,
dans les vieux souvenirs,
pour encore essayer de le retenir,
voulant le faire revenir...
Petite colombe,
dis lui que je succombe,
souvent, bien trop souvent,
face à mes sentiments,
qui sont voués à s'envoler dans le vent...
Petite colombe, dis lui,
comme il manque à ma vie,
que son paradis, bien que joli,
n'a peut être pas de prix,
mais celui qui me l'a prit, c'est lui...
texte de Sundhauser Flavien
écrit le 05/01/2024

Déposé par poutounou le 28/01/2024  
Encore deux, trois mois et le plus dur sera passé. Printemps reviens nous vite !!!
*
Le printemps reviendra
*
Hé oui, je sais bien qu’il fait froid,
Que le ciel est tout de travers;
Je sais que ni la primevère
Ni l’agneau ne sont encor là.
La terre tourne ; il reviendra,
Le printemps, sur son cheval vert.
Que ferait le bois sans pivert,
Le petit jardin sans lilas ?
Oui, tout passe, même l’hiver,
Je le sais par mon petit doigt
Que je garde toujours en l’air…
*
Maurice Carême

Déposé par poutounou le 24/01/2024  
Magnifique texte de Florent Pagny : « Dors…Laisse-moi couvrir tes ailes blanches et ton corps… »
*
Dors…
*
Dors
Oublie les blessures lâches du temps
Dors
Ne réveille pas tes yeux d'océan
Dors
Laisse ton âme libre
Aux désirs que tu crois
Garde ta flamme vive
Je serai toujours là
Même si tu ne me vois pas
Dors
Mon cœur, mon ange
*
Dors
Laisse-moi couvrir tes ailes blanches
Et ton corps
Je veillerai sur tes pas
Je serai près de toi
Oh, je te promets
Que si un jour tu tombes
Ce sera dans mes bras
Aussi longtemps que tu le voudras
*
Dors
Fais-moi rêver le ciel
Entends mon appel
Fais-moi plus fort au réveil
Je serai ton gardien
Le Noël de tes lendemains
*
Dors, dors

Déposé par choupinou le 22/01/2024  
PENSER A TOI
Petit sourire en coin,
mais dans un coin, le chagrin
celui de penser à toi,
loin de moi...
Petite solitude,
qui n'est qu'une habitude,
celle de penser à toi,
loin de moi...
Grande tristesse,
maladroite caresse,
du destin, et se aléas
celle d'être sans toi...
Chagrin solitude, tristesse,
c'est l'amour qui me blesse
de penser à toi
qui est loin de moi...
Texte de : Flavien Sundhauser

Déposé par tazounette le 21/01/2024  
21 janvier 1999
21 janvier 2024
25 ans aujourd'hui qu'on a été te chercher
25 ans aujourd'hui que tu es rentrée dans nos cœurs pour ne plus jamais en sortir
ma bébé ma fille mon ange
On t'aime pour toujours Doudoune

Déposé par poutounou le 21/01/2024  
Très jolie chanson de Jean-Louis Aubert dédiée à nos tendres Anges...
*
Il manque un temps à ma vie
Il manque un temps, j'ai compris
Il me manque toi
Mon alter ego
*
Tu es parti mon ami
Tu m'as laissé seul ici
Mais partout tu me suis
Mon alter ego
*
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où tu te caches
Laisse-moi deviner
*
Dans mon coeur rien ne change
T'es toujours là, mon ange
*
Il manque ton rire à l'ennui
Il manque ta flamme à ma nuit
C'est pas du « je »
Mon alter ego
*
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où tu te caches
Laisse-moi deviner
T'es sûrement baie des anges
Sûrement là-bas, mon ange
Sûrement là-bas
Sûrement là-bas
*
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où que tu sois
Je voudrais que tu saches
Dans mon coeur rien ne change
T'es toujours là, mon ange
*
Il manque un temps à ma vie
Il manque ton rire, je m'ennuie
Il me manque toi, mon ami

Déposé par colombine67 le 18/01/2024  
Je suis un chien.
Je veux donner et avoir de l’amour.
Je veux vivre. Je ne suis pas un objet.
Je ne suis pas une pièce de propriété.
S’il vous plait ne me rejetez pas.
S’il vous plait traitez-moi avec gentillesse, amour et respect.
Je vous promets que je vous payerais en retour avec un amour inconditionnel aussi longtemps que je vivrai.

Déposé par goulou50 le 17/01/2024  
Vivre et croire
c’est aussi accepter que la vie contient la mort
et que la mort contient la vie.
C’est savoir, au plus profond de soi,
qu’en fait, rien ne meurt jamais.
Il n’y a pas de mort,
il n’y a que des métamorphoses.
Tu ne nous as pas quittés
Mais tu t’en es allé au pays de la Vie,
Là où les fleurs
Plus jamais ne se fanent,
Là où le temps
Ne sait plus rien de nous.
Ignorant les rides et les soirs,
Là où c’est toujours matin,
Là où c’est toujours serein.
Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.
Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.
Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…

Déposé par goulou50 le 17/01/2024  
Vivre et croire
c’est aussi accepter que la vie contient la mort
et que la mort contient la vie.
C’est savoir, au plus profond de soi,
qu’en fait, rien ne meurt jamais.
Il n’y a pas de mort,
il n’y a que des métamorphoses.
Tu ne nous as pas quittés
Mais tu t’en es allé au pays de la Vie,
Là où les fleurs
Plus jamais ne se fanent,
Là où le temps
Ne sait plus rien de nous.
Ignorant les rides et les soirs,
Là où c’est toujours matin,
Là où c’est toujours serein.
Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.
Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.
Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…

Déposé par poutounou le 17/01/2024  
Que c'est joliment dit ! "Ton absence est entrée chez moi..."
*
Ton Absence
*
Yves Duteil
*
Comme une bouffée de chagrin
Ton "visage" ne me dit plus rien
Je t'appelle et tu ne viens pas
Ton absence est entrée chez moi
*
C'est un grand vide au fond de moi
Tout ce bonheur qui n'est plus là
Si tu savais quand il est tard
Comme je m'ennuie de ton "regard"
*
C'est le revers de ton amour
La vie qui pèse un peu plus lourd
Comme une marée de silence
Qui prend ta place et qui s'avance
*
Je dors blotti dans ton "sourire"
Entre le passé, l'avenir
Et le présent qui me retient
De te rejoindre un beau matin
*
Dans ce voyage sans retour
Je t'ai offert tout mon amour
Même en s'usant l'âme et le corps
On peut aimer bien plus encore
*
Bien sûr, là-haut de quelque part
Tu dois m'entendre ou bien me voir
Mais se « parler » c'était plus tendre
On pouvait encore se comprendre
*
Je suis resté sur le chemin
Avec ma vie entre les mains
À ne plus savoir comment faire
Pour avancer vers la lumière
*
Il ne me reste au long des jours
En souvenir de ton amour
Que cette fleur qui s'épanouit sur le silence...
Ton absence...

Déposé par colombine67 le 17/01/2024  
Je sais que je ne suis qu'un animal mais...
Si tu te sens triste, je serai ton sourire.
Si tu pleures, je serai ton réconfort
Et si quelqu'un te brise le coeur, tu peux utiliser le mien pour vivre...
Je serai toujours à tes côtés.💞




L'Album photo contient 93 photos
Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS
ma fille
Retourner en haut