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En hommage à
COCKER-ANGLAISHORKA
Il est né le:13/04/2012
Il nous a quittés le:21/03/2024
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12 messages
Déposé par spanky le 01/05/2024A Pâques ----- Frère Jacques, frère Jacques, Réveille-toi de ton sommeil d'hiver Les fins taillis sont déjà verts Et nous voici au temps de Pâques, Frère Jacques. ---- Au coin du bois morne et blêmi Où ton grand corps s'est endormi Depuis l'automne, L'aveugle et vacillant brouillard, Sur les grand-routes du hasard, S'est promené, longtemps, par les champs monotones ; Et les chênes aux rameaux noirs Tordus de vent farouche Ont laissé choir, De soir en soir, Leur feuillage d'or mort sur les bords de ta couche. ---- Frère Jacques, Il a neigé durant des mois Et sur tes mains, et sur tes doigts Pleins de gerçures ; Il a neigé, il a givré, Sur ton chef pâle et tonsuré Et dans les plis décolorés De ta robe de bure. ---- La torpide saison est comme entrée en toi Avec son deuil et son effroi, Et sa bise sournoise et son gel volontaire ; Et telle est la lourdeur de ton vieux front lassé Et l'immobilité de tes deux bras croisés, Qu'on les dirait d'un mort qui repose sous terre. ---- Frère Jacques, Hier au matin, malgré le froid, Deux jonquilles, trois anémones Ont soulevé leurs pétales roses ou jaunes Vers toi, Et la mésange à tête blanche, Fragile et preste, a sautillé Sur la branche de cornouiller Qui vers ton large lit de feuillages mouillés Se penche. ---- Et tu dors, et tu dors toujours, Au coin du bois profond et sourd, Bien que s'en viennent les abeilles Bourdonner jusqu'au soir à tes closes oreilles Et que l'on voie en tourbillons Rôder sur ta barbe rigide Un couple clair et rapide De papillons. ---- Pourtant, voici qu'à travers ton somme Tu as surpris, dès l'aube, s'en aller Le cortège bariolé Des cent cloches qui vont à Rome ; Et, leurs clochers restant Muets et hésitants Durant ces trois longs jours et d'angoisse et d'absence, Tu t'éveilles en écoutant Régner de l'un à l'autre bout des champs Le silence. ---- Et secouant alors De ton pesant manteau que les ronces festonnent Les glaçons de l'hiver et les brumes d'automne, Frère Jacques, tu sonnes D'un bras si rude et fort Que tout se hâte aux prés et s'enfièvre aux collines A l'appel clair de tes matines. ---- Et du bout d'un verger le coucou te répond ; Et l'insecte reluit de broussaille en broussaille ; Et les sèves sous terre immensément tressaillent ; Et les frondaisons d'or se propagent et font Que leur ombre s'incline aux vieux murs des chaumières ; Et le travail surgit innombrable et puissant ; Et le vent semble fait de mouvante lumière Pour frôler le bouton d'une rose trémière Et le front hérissé d'un pâle épi naissant. ---- Frère Jacques, frère Jacques Combien la vie entière à confiance en toi ; Et comme l'oiseau chante au faîte de mon toit ; Frère Jacques, frère Jacques, Rude et vaillant carillonneur de Pâques. ---- Émile VERHAEREN 1855 - 1916 ---- |
Déposé par spanky le 20/04/2024Mon chien a été diagnostiqué avec un cancer il y a 3 ans. J'ai su dès le début que ses jours étaient comptés... Les médecins lui ont donné un maximum de 12-18 mois de vie avec un traitement... Alors nous avons commencé cette bataille contre le temps... Ces 3 dernières années, tout était autour d'elle. Des séances de chimiothérapie interminables, prendre soin d'elle, la douleur anticipée de la perdre... le stress et la peur constante... Et l'espoir... pour juste un peu plus de temps... J'ai passé tout mon temps avec elle... J'ai même abandonné mon travail à la fin pour pouvoir prendre soin d'elle. Personne ne m'a comprise, ils me prenaient pour une folle. Alors je me suis isolée et c'était juste nous deux. Honnêtement ce fut les moments les plus précieux de ma vie. J'ai tout donné de moi, elle était ma famille, ma meilleure amie, ma partenaire, ma maison.... Elle est décédée il y a 2 semaines... Je ressens ce que j'imaginais que j'allais ressentir... Je savais que ça allait être l'enfer ... Je suis toute seule.... avec la douleur... et tout mon cœur pour Elle... ---- Témoignage de Ginebra Raki ---- |
Déposé par spanky le 16/04/2024Il y a de cela bien, bien longtemps .. le chien vivait seul dans les bois et non dans les maisons comme maintenant. Un beau jour, il en eut assez de vivre ainsi et se mit à la recherche d'un compagnon. Il se promena longtemps sans rencontrer personne. ----- Puis un jour, entre deux arbres, il aperçoit un lièvre qui s'enfuit. Hé, petit lièvre, crie le chien, ne te sauve pas, écoute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, dit le lièvre, pourquoi pas ? Essayons ! Il choisissent un joli petit coin dans la forêt et s'y installent. La nuit venue, ils se couchent. Le petit lièvre s'endort tout de suite, mais le chien reste éveillé, il y a des feuilles qui tombent, des branches qui craquent, des oiseaux de nuit qui passent .. et chaque fois, le chien aboie. Le petit lièvre ne peut pas dormir, il se fâche et dit au chien : Cesseras-tu d'aboyer à la fin ? Si jamais le loup t'entend, il viendra nous dévorer tous les deux ! Le chien cesse d'aboyer et réfléchit : Il n'est pas fameux mon compagnon, il est peureux . Le loup vaudrait peut-être mieux puisqu'il fait peur au lièvre .. ----- Et le chien s'en va à la recherche du loup. Il le cherche longtemps et, enfin, il l'aperçoit qui sort d'un taillis. Hé, loup gris, museau pointu, crie le chien, écoute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, dit le loup, pourquoi pas ? Essayons ! Le soir venu, ils s'installent pour dormir. Mais au beau milieu de la nuit, le chien, réveillé par un bruit, se met à aboyer. Effrayé le loup se réveille à son tour : Tais-toi donc, dit-il au chien, si jamais l'ours t'entend, il viendra nous dévorer tous les deux ! Le chien cesse d'aboyer et réfléchit : Il n'est pas fameux mon compagnon, il n'est pas beaucoup plus courageux que le lièvre .. Il a peur de l'ours qui est certainement plus fort que lui. ----- Et le chien, laissant là le loup, s'en va à la recherche de l'ours. Il le cherche longtemps, parmi les arbres, les taillis, les rochers, .. Et voici que, soudain, il se trouve nez à nez avec lui. C'est un grand ours brun qui n'a pas l'air commode. Hé, ours brun, ours griffu, écoute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, pourquoi pas ? Essayons ! Ils se promènent toute la journée et, le soir venu, ils se couchent. A peine l'ours s'est-il endormi que le chien se met à aboyer. Réveillé en sursaut, l'ours tremble de frayeur. Mais tais-toi donc ! dit-il furieux. Si jamais l'homme t'entend, il viendra nous tuer ! Eh bien, pense le chien, celui-là ne vaut pas mieux que les autres. Il a peur de l'homme. ----- Et laissant là l'ours qui s'est rendormi, il part à la recherche de l'homme. Mais il a beau chercher dans la forêt entière, il n'en trouve pas. Il sort alors de la forêt et s’assoit pour se reposer. Alors, il voit l'homme qui s'avance vers lui, c'est un bûcheron qui s'en vient couper du bois. Quand le bûcheron est tout près, le chien lui dit : Ecoute-moi, homme, toi qui fait peur à l'ours qui fait peur au loup qui fait peur au lièvre, ne veux-tu pas me prendre comme compagnon ? Et pourquoi pas ? dit l'homme. Viens avec moi, nous verrons .. Et à la fin de la journée, l'homme emmène le chien dans sa maison. Le soir venu, l'homme se couche et s'endort. Au milieu de la nuit, le chien se met à aboyer. L'homme ne bouge pas. Le chien aboie plus fort. Alors l'homme se réveille et lui crie : Hé, brave chien ! Mange si tu as faim, bois si tu as soif, mais laisse-moi dormir tranquille, s'il te plaît ! L'homme n'a donc peur de rien, pense le chien, et il se tait. Et depuis ce temps-là, le chien est resté le compagnon de l'homme ! ----- |
Déposé par spanky le 14/04/2024 « Cracker Jack », de Dolly Parton (1974) ----- En 1980, Henri Dès crée cette chanson au sujet d’un adorable chien qui, malheureusement pour lui, est très sale. C’est d’ailleurs presque parfois à se demander s’il ne parle pas plutôt d’un cochon. Cependant, cette comptine est d’autant plus touchante qu’Henri Dès est accompagné d’enfants au chant. Elle l’est aussi quand on découvre que, malgré son hygiène et son comportement qui laisse à désirer, il l’aime quand même, son chien. ----- Paroles de la chanson « Chanson pour mon chien » J'ai un chien gentil mais sale Qui a des poils mouillés partout (J'ai un chien gentil mais sale) (Qui a des poils mouillés partout) Qui a des poils mouillés partout ---- Et c'est pas tout ---- Quand il mange dans son assiette Il s'en met plein le menton (Quand il mange dans son assiette) (Il s'en met plein le menton) Il s'en met plein le menton Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ---- Quand je le promène au lac Il patauge dans la boue (Quand je le promène au lac) (Il patauge dans la boue) Il patauge dans la boue Et c'est pas tout ---- Il va renifler les crottes Et ça ne sent pas très bon (Il va renifler les crottes) (Et ça ne sent pas très bon) Et ça ne sent pas très bon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime ) ---- Quand il boit dans sa gamelle Ça dégouline partout (Quand il boit dans sa gamelle) (Ça dégouline partout) Ça dégouline partout Et c'est pas tout ---- Il en met plein la moquette De la cuisine au salon (Il en met plein la moquette) (De la cuisine au salon) De la cuisine au salon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ---- Quand il vient me faire la fête Il me lèche dans le cou (Quand il vient me faire la fête) (Il me lèche dans le cou) Il me lèche dans le cou Et c'est pas tout ---- Il bave sur ma chemise Et puis sur mon pantalon (Il bave sur ma chemise) (Et puis sur mon pantalon) Et puis sur mon pantalon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ----- |
Déposé par spanky le 14/04/2024 « Cracker Jack », de Dolly Parton (1974) ----- En 1980, Henri Dès crée cette chanson au sujet d’un adorable chien qui, malheureusement pour lui, est très sale. C’est d’ailleurs presque parfois à se demander s’il ne parle pas plutôt d’un cochon. Cependant, cette comptine est d’autant plus touchante qu’Henri Dès est accompagné d’enfants au chant. Elle l’est aussi quand on découvre que, malgré son hygiène et son comportement qui laisse à désirer, il l’aime quand même, son chien. ----- Paroles de la chanson « Chanson pour mon chien » J'ai un chien gentil mais sale Qui a des poils mouillés partout (J'ai un chien gentil mais sale) (Qui a des poils mouillés partout) Qui a des poils mouillés partout ---- Et c'est pas tout ---- Quand il mange dans son assiette Il s'en met plein le menton (Quand il mange dans son assiette) (Il s'en met plein le menton) Il s'en met plein le menton Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ---- Quand je le promène au lac Il patauge dans la boue (Quand je le promène au lac) (Il patauge dans la boue) Il patauge dans la boue Et c'est pas tout ---- Il va renifler les crottes Et ça ne sent pas très bon (Il va renifler les crottes) (Et ça ne sent pas très bon) Et ça ne sent pas très bon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime ) ---- Quand il boit dans sa gamelle Ça dégouline partout (Quand il boit dans sa gamelle) (Ça dégouline partout) Ça dégouline partout Et c'est pas tout ---- Il en met plein la moquette De la cuisine au salon (Il en met plein la moquette) (De la cuisine au salon) De la cuisine au salon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ---- Quand il vient me faire la fête Il me lèche dans le cou (Quand il vient me faire la fête) (Il me lèche dans le cou) Il me lèche dans le cou Et c'est pas tout ---- Il bave sur ma chemise Et puis sur mon pantalon (Il bave sur ma chemise) (Et puis sur mon pantalon) Et puis sur mon pantalon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ----- |
Déposé par Cupidon le 13/04/2024**** Ne soit pas Triste **** Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi. Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a été prêtée, Le temps d'une vie terrestre. Elle m'a permis de te connaître et de t'aimer à ma façon. Mon vrai moi, l'Âme que je suis, Vient de traverser une nouvelle étape vers l'accomplissement de soi. Ne sois pas triste, sois heureuse pour moi. Là où je suis, la lumière et l'Amour m'enivrent puisque, En plus de nager dans un Océan d'Amour limpide, J'ai emporté avec moi celui que tu m'as Si gentiment et inconditionnellement offert ! J'aimais la Vie, tu le sais bien. La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme ! Ce que j'avais à apprendre ou à faire Dans cette vie-ci est accompli. Je n'emporte que de bons souvenirs car, Un événement triste ou encore un obstacle, Dans mon ancien monde, Est un privilège, c'est une occasion de grandir Qui est offerte, une occasion d'évoluer Un peu plus à chaque fois. S'il y a quelque chose que tu aurais aimé me dire, Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant "conscience" Je peux, par le fait même, percevoir tes pensées Et tes vibrations les plus pures. Ce soir ou même ici, installe-toi dans un coin calme, Entre en toi, Ouvre ton cœur et perçois mon image Au centre d'un radieux soleil. Sens son incommensurable chaleur qui t'apaise et t'irradie. C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici, Tout l'Amour à l'état cristallin Qu'il t'est humainement possible de recevoir ! N'oublie pas que c'est ici, en toi, Que tu pourras toujours reprendre contact. Même si, parfois, tu ne me percevais pas, Sois certaine que j'y serai tout de même !! Ta vie continue, La mienne aussi… Rendez-vous dans une autre dimension, Au moment opportun. Je t'y accueillerai Pensée |
Déposé par spanky le 12/04/2024VOUS LE VOYEZ ... ----- Il est sur le nuage qui passe Il est dans le bleu du ciel Il est l'eau, le feu, la glace Vous le voyez dans la pluie qui tombe Vous l'entendez dans le souffle du vent Il est papillon et colombe Il est sur la feuille d'automne De l'été, tu es le soleil Il est l'hiver quand il tonne Vous le voyez dans chaque visage Vous entendez à chaque bruit de pas Il est le son, il est l'image Il est partout, ici et là ... ---- |
Déposé par colombine67 le 12/04/2024 Le BÂTARD et le CLOCHARD. Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans, Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps. Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère, Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère. Tous les jours, tous les deux, on fait la manche, Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche. C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger, Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer. Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir, Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir. Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens, Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants. Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse, Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse, Condamnés que nous sommes à vivre de la quête, Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête. Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons, D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion. Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous. Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple, Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple, Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite, Prêts à se battre ou se haïr… pour réussir plus vite. Alors, gens de bonnes manières, responsables civils, Qui faites les beaux jours des villages et des villes, N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard », Ce vilain chien, son seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard». |
Déposé par spanky le 11/04/2024Quand on sent que le temps va nous prendre notre ami chien, Quand l'horloge de la vie arrête son chemin Quand on compte son temps et ses heures de chagrins, On se demande pourquoi il a eu ce destin. Quand lors de la journée on ne voit que la nuit, Quand le ciel étoilé devient manteau de pluie Quand notre habit de joie cape les larmes, On se demande pourquoi cela nous fait si mal... Quand on sait que pleurer en vain ne sert à rien, Quand lasses et vides on ne croit plus à rien, Quand on noie son chagrin dans l'eau de sa douleur, Quand on se demande pourquoi c'est lui qui meurt... Quand on prie tous les dieux sans retrouver le sien Quand on supplie les anges de nous tendre leurs mains Quand on lève les nôtres pour accrocher le ciel, Quand on se demande tout ce vide est réel... Quand on tombe à genoux devant la pierre froide, Quand les larmes nous noient en étouffant nos voix, Quand le coeur a si mal qu'il se serre et se casse, On se demande pourquoi on n'est pas à sa place... Quand son sourire n'est plus qu'un souvenir lointain... Quand souvenir devient notre pain quotidien... Quand son nom est un nom qu'on ne pourra plus dire... On comprend que l'on va, infiniment souffrir. |
Déposé par poutounou le 10/04/2024L’envol de l’Ange * Ca y est, il est parti Il est déjà tout là-haut Par-delà les nuages Au milieu des étoiles * Il a déjà ses ailes d’Ange Toutes blanches Immaculées comme la pureté De son cœur, de son âme * Oh les premiers temps sans lui Vont être tout simplement horribles Partout on le cherchera Nulle part on ne le trouvera * Et puis viendront les doutes Ai-je bien fait ? Il aurait peut-être pu vivre encore un peu Je n’aurais pas dû… * Le temps calmera progressivement cette vive douleur Les larmes monteront moins souvent aux yeux La vie reprendra ses droits Comme on dit… * Mais là, juste là Dans notre cœur meurtri Il y a cette énorme cicatrice Témoin de notre grande souffrance * Non, on ne peut pas oublier Comment oublier cet Amour si doux Ce regard si tendre, si innocent Juste un cri de notre âme : « Je t’aime mon Ange… » |
Déposé par choupinou le 10/04/2024Ce n'est pas un adieu mais juste un au revoir HORKA Soudain, ce fut la rencontre. rien de ce que nous avions construit dans nos rêve, n'a égalé cet instant unique ou ton pelage a touché ma peau, ou le bonheur à épousé la douleur, en une seconde, tu as tout fait basculé ... A présent, je sais, je n'aurai jamais assez d'une vie, pour m'emplir les yeux de toi. Tu me berces dans tous mes abandons, et je ne cesse de t'apprendre, pour ne plus t'oublier, nous étions deux, nous nous aimions, bien ou mal, un bref instant ou le temps d'une vie , voici des mots pour dire, une histoire qui avait commencée, avec ses gestes de tendresse, ses instants rare, et cet immense bonheur de tout réinventer. non rien n'est fini, tout continue... notre histoire perdura ,le livre ne s'est pas refermé... On se retrouvera Poème écrit de choupinou *************************************** La vie se charge de nous donner, mais de nous reprendre....La seule chose qu'elle ne peut nous voler, c'est l'amour profond qui vit et persiste dans nos coeur , pour nos petits anges partis ... Celle-ci le pourra que lorsque qu'elle aura convié la mort de venir nous chercher...Mais qu'importe ce jour là, car nous les retrouverons et nos coeur de nouveaux battrons a cent a l'heure Il n'y a qu'un seul paradis CITATION de Elisabeth Michel (choupinou) *************************************** Quand un chiens meurt, il ne va pas dans un au-delà réservé aux chiens avec des chenils en or et des os bien tendres en quantité illimitée, pas plus que l'humain ne se retrouve dans un châlet éthéré entouré de roses vaporeuses, peu importe ce qu'en pensaient mes prédécesseurs plus fantaisiste... Chiens, chats, lapins, ouistitis, éléphants, lions, loups toute forme animal et humains se retrouverons tous au même endroit... Au cours de séances, je ne sais plus combien de fois j'ai noté auprès d'une personne décédée depuis peu la présence d'un animal l'accompagnant dans la mort comme il l'avais fait dans la vie. EXTRAIT DU LIVRE DE GORDON SMITH(MEDIUM) : L'ETONNANT POUVOIR DES ANIMAUX ************************************ Votre petite HORKA est auprès de vous a sa manière, pour toujours, elle veille a jamais, rien n'est finie, tout continue mais d'une autre façon, fermez les yeux ,écoutez le silence et vous sentirez sa présence, le souffle léger de votre petit ange . HORKANOUNETTE est la, tout près dans votre coeur, sa petite queue bat a l'intérieur, quand vous avez mal, ce sont ces petits coups que vous ressentez, votre belle petite chérie semble vous dire voit: je suis a côté de toi, ne pleure pas.....Ne soit pas triste et pense aux bons moments passés ensemble; Vous ne le voyez pas ,mais votre petit POT DE SUPER COLLE est présente ... Puis un jour le moment venu, votre petite BOITE A RAGOUT vous attendra sur le chemin qui mène au pont de l'Arc-En-Ciel, oui, votre petite HORKA sera là, en attendant, votre belle DOUCE ET TENDRE petite puce chérie veille sur vous a jamais, STELLA n'est pas loin, elle est votre OMBRE.... choupinou PENSEES et beaucoup de courage a vous |
Déposé par spanky le 09/04/2024Une fois la nuit tombée, Quand le sommeil nous a emporté, Lorsqu'enfin tout est calme et léger, Loin du tumulte de la journée, Nos anges, doucement viennent nous frôler. Tout près de nous délicatement, ils vont se poser. Sur notre front, une léchouille doucement ils vont déposer. A notre oreille un "je t'aime" ils vont nous murmurer. De leurs ailes, ils vont nous envelopper, Et peut-être même...dans un tourbillon de bonheur ils vont nous emporter. Puis au matin revenu, à nouveau, ils vont nous quitter. Non sans nous avoir une dernière fois léchouillés. Mais de doux rêves ils nous auront laissé. Et le soir même, ils l'ont promis, ils vont repasser. |
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