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En hommage à
CANICHERingo
Il est né le:14/11/1999
Il nous a quittés le:03/08/2012
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En hommage à
Ringo
0 bougie
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12126 Fleurs
Déposé par monkillou tu étais si mignon joli RINGO, pourquoi cette maladie t'a t-elle enlevée, c'est trop injuste! RIP mon doux avec mes BB! Tendres câlins! Déposé par mamanloost Beau Pèpère, envoles toi vite rejoindre tes nouveaux ami(e)s au Paradis de l'Arc en ciel : gros bisous sur ta p'tite truffe la maman de loostik |
964 messages
Déposé par tacholoula le 31/10/2012en cette veille de toussaint petite étoile du soir amie des petits anges tel un petit oiseau pose toi délicatement murmure une douce mélodie a ce petit coeur et tout en douceur une part de bonheur a cette gentille famille |
Déposé par ringo le 30/10/2012Je ne sais plus l'âge que tu avais exactement, mais tu étais encore jeune, je dirais six ou sept ans, nous nous sommes réveillées un matin, quelques jours avant Noel, et nous avons vu que ton oeil gauche coulait et était tout bleu. Nous nous sommes inquiétées, nous sommes allées chez la vétérinaire qui nous a dit que c'était un glaucome, mais que n'ayant pas le matériel d'ophtalmologie nécessaire à l'examen, nous devions nous rendre dans une autre clinique, celle de Chamalières. Nous voyant inquiète, elle a précisé que vous arriviez très bien à vivre avec une vue défaillante, mais nous, ça ne nous rassurait guère. Le rendez-vous a été pris pour le 26 décembre, et là le vétérinaire, grand ophtalmologue, très gentil avec les animaux, mais très bourru avec les gens, nous a dit que la pression oculaire était bien trop élevée et que si elle ne retombait pas après une semaine de traitement, tu devrais être opéré. Il nous a précisé qu'il n'avait jamais vu qu'une pression si élevée redescende en si peu de temps, sans intervention. Je me souviens que le 2 janvier, je pleurais, tellement j'étais folle d'inquiétude, mais une fois encore tu avais fait mentir les professionnels : la pression était completement retombée ; ta vue avait baissé, ton oeil était sauvé. Je suis sorti de la clinique en sautant de joie : j'étais si heureuse. Plus tard, on s'est rendus compte que tu voyais des ombres, toujours tu répondais en fermant l'oeil quand la vétérinaire, la tienne cette fois, faisait un mouvement d'attaque. Les derniers temps, au glaucome s'est rajouté un ulcère de la cornée, la cataracte aussi. Mais toujours tu t'es accommodé. Tu étais un sacré battant, gardant le moral en toute circonstance, toujours à mordre la vie à pleine dent. Tu m'as donné, tu as donné à tous, même à ta vétérinaire, qui disait que si elle avait un ostéosarcome, avec de telles constantes rénales d'abord, hépatiques ensuite, elle aurait baissé les bras depuis longtemps, fatiguée à l'extrême, une belle leçon de vie : je suis extrêmement fier de toi : j'espère que notre amour qui t'a porté à bout de bras et qui continue encore à te porter n'y ait pas pour rien. Tu es un sacré bonhomme, mon bébé d'amour! |
Déposé par ringo le 27/10/2012Je me souviens Monseigneur quand l'hiver dernier, rentrant à la maison, j'ai glissé sur une plaque de verglas, alors que tu étais dans mes bras. Je ne pensais qu'à une seule chose : te serrer bien fort contre moi pour que tu ne tombe pasl. J'ai eu mal au dos pendant plusieurs jours, mais j'étais contente, parce que toi tu n'avais rien vu. Tu avais juste fait un tour de toboggan, bien au chaud dans les bras de ta grande soeur. Je t'aime tant, mon coeur, ça n'a pas changé et ça ne changera jamais. Je me souviens aussi du jour où la boucle de la ceinture de maman s'est prise dans ta patte, entre les coussinets, tu hurlais de douleur, on avait peur, je pleurais, j'avais mal au coeur. Heureusement, c'est arrivé alors que je venais de finir de me garer à la maison. J'ai appelé papa : il est venu avec une pincette, à couper la ceinture, et tu nous a fait des bisous pour nous remercier de t'avoir libéré. Je ne sais pas ce qu'on aurait fait si c'était arrivé un peu plus loin de l'arrivée, un vétérinaire d'urgence sans doute. Maman n'a plus jamais repris cette veste du coup! Plein de bisous familiaux à toi mon bébé d'amour, comme on les aimait tant. |
Déposé par ringo le 26/10/2012Je n'arrive pas à me résigner mon amour : Pourquoi cet ostéosarcome t'est-il tombé dessus ? Et pourquoi à l'omoplate ? Si seulement tu l'avais eu à la patte, on aurait eu des recours, mais si haut... on savait depuis avril que les moments passés ensemble étaient comptés, mais comme tu étais stabilisé depuis un certain temps, on ne pensait pas que tout s'emballerait si vite. Pourtant, ta vétérinaire nous avait dit que ça pouvait arriver, mais tu étais tellement fort que je pensais que tu te battrai encore. Je lui avais dit : "mais on parle de Ringo, il vous a fait mentir plus d'une fois". Elle m'avait répondu "ce n'est pas faux!" Et puis, jamais je n'aurais été prête à te laisser partir, tu m'as fait le plus beaux des cadeaux en partant dans mes bras sans souffrir, juste en me disant adieux, je t'aime ma soeur à moi. Moi aussi, je t'aime, plus que tout au monde, pour l'éternité mon bébé d'amour! |
Déposé par monsieurringo le 25/10/2012Mon petit chéri, En juin, tu as fait une insuffisance rénale. Tu es rentré à la clinique le matin, on avait peur, on pensait que tu étais arrivé au bout de ton parcours, la vétérinaire aussi était inquiète, pourtant quand on était allé de voir l'après-midi, déjà tu allais mieux. Le lendemain matin, on avait pleuré, parce que tu faisais la tête, tu ne voulais pas nous faire de bisous, tu nous en voulais de t'avoir laissé une nuit. L'après-midi, on t'avait apporté un minuscule morceau de gâteau, et à notre grande surprise, on avait eu le droit de te promener sur le parking, avec ton cathéter. Tu avais reconnu la voiture, tu voulais y monter. Quand on partait, tu pleurais pendant une demi heure, Christine Fouilloux t'entendait de la chirurgie, et dès que possible, elle venait te consoler. Elle était si contente que tu ailles mieux, elle disait que tu l'as faisait toujours mentir, et qu'elle en était vraiment contente. Le mercredi, sa consoeur (puisque c'est son jour de congé)avait refais une analyse, et les constantes étaient tellement revenues à la normale qu'elle n'en croyait pas ses yeux. Croyant à une erreur, elle avait fait une autre prise de sang en début d'après-midi, et nous avait dit que tu pouvais sortir, on était si contentes. On t'avait envoyé plein d'ondes positives, on avait mobilisé tout notre amour, et toi tu t'étais battu comme un chef, c'était formidable : moins de trois jours pour guérir d'une insuffisance rénale, alors qu'au départ on pensait au mieux ne pouvoir que la maîtriser! Merci mon amour, comme on te disait tous les jours, on t'aime tant mon coeur. |
Déposé par ringo le 24/10/2012Mon amour, Je me souviens d'un jour en 2009 où nous prenions le bus à la gare de Pise pour aller à l'ENS rejoindre Paolo qui m'attendait. La dame du Bus m'a dit que tu devais être muselé, je lui ai dit que tu étais dans ton sac de transport attaché, que tout tes vaccins étaient à jour, y compris l'antirabbique, que tu avais eu une injection d'advocate et que tu avais ton passeport, ainsi que ta médaille d'identification, elle a insisté : je me suis énervée, je lui ai répondu que jamais je n'avais eu de problème en Italie jusqu'à alors, que je te connaissais, que je savais que jamais tu ne ferais de mal et que si quelqu'un devait être muselé, c'était moi! Elle a été si surprise qu'elle n'a plus rien à dire. Te museler; et puis quoi encore? Quand on a en parlé à ta vétérinaire, elle avait éclaté de rire, en disant que tu n'aurais pas compris, et que c'était abusé. Elle t'aimait tant elle aussi. |
Déposé par tacholoula le 22/10/2012« Le plus court chemin d’une personne à une autre… c’est un brin de gentillesse. » merci pour mon petit prince , mon soleil qui rayonne et qui brille à l’interieur de mon coeur. amitié tacholoula |
Déposé par ringo le 22/10/2012Mon bébé d'amour, Lors de la première consultation pour l'ostéosarcome, tu avais un noeud aux vertèbres, et ta vétérinaire, croyant que cela te faisait boitait - d'ailleurs après tu étais resté quelques jours sans boiter - t'avait massé, fait faire des étirements - elle disait que tu étais incroyablement souple - et avait tout doucement bouger ton petit cou de droite à gauche, de bas en haut. Il n'en avait pas fallu plus pour que tu le fasses seul : tu retournais le museau complètement derrière la nuque, et nous nous avions peur que tu te fasses mal, mais non, comme elle disait, tu avais appris à faire seul les exercices. Tu apprenais si vite, tu étais ou plutôt tu es, puisque pour moi tu vis toujours, tellement tellement intelligent! Nous te faisons des tas de bisous familiaux, comme on les aimait tant! Je t'aime mon coeur! |
Déposé par ringo le 20/10/2012Mon bébé d'amour, Je me souviens de tes crises d'épilepsie qui me faisaient si peur, heureusement jamais plus d'une par mois, la dernière datant du soir de Noel 2011. La première est arrivée chez ta deuxième toiletteuse : nous t'avions récupéré, elle nous a dit, je m'en souviendrai toujours : "vous auriez pu me dire qu'il faisait des crises d'épilepsie!", nous lui avions répondu : "mais on ne savait pas". Toute ta vie, tu as été traité par de l'épileptyl, un médicament aux plantes que nous distillions dans ta nourriture, qui marchait très bien. La vétérinaire nous avait dit de te tenir pendant ces crises pour éviter que tu te cognes, de ne surtout pas te parler, ou te toucher pour ne pas te stimuler, ton petit cerveau ne pouvant plus alors traiter les informations, et ça fonctionnait très bien : grâce à ces conseils, la crise ne durait pas et n'était que partielle : jamais tu ne perdais connaissance, tu tremblais un peu, tu vomissais et c'était fini. C'était comme des gros cauchemars. Mais à chaque fois, tu les sentais venir, et nous aussi parce que tu dormais beaucoup, toi si vivace. Je me souviens d'une en particulier, celle faite dans un RER à Paris : c'était en plein hiver, il faisait très froid : pour faire le "noir", j'avais retiré mon manteau, et nous l'avions mis sur ta tête. Nous avions eu très peur, parce que nous savions qu'elle ne passerait pas facilement en raison du bruit. Nous étions en colère contre un pompier à qui nous avions demandé de l'aide et qui nous avait dit de nous débrouiller, qu'il n'était pas vétérinaire. Quel abruti celui-là !! A partir de ce jour, les RER étaient finis, nous nous sommes toujours déplacés en bus. |
Déposé par ringo le 18/10/2012Je me souviens des bains mon amour : tu ne les aimais pas. Dès que maman te mettait dans la baignoire, tu me disais "Aurélie, sauve moi s'il te plait!". Tu mettais tes deux pattes sur moi pour que je te sorte. Le séchage était un peu plus apprécié, mais tout de même ce n'était pas le grand amour! Après par contre, à chaque fois, c'était une vraie crise de folie qui commençait, tu sautais partout, tu courrais autour de la salle à manger en remuant la queue, en ventilant, comme on disait: l'eau t'énervait. Du coup, à cause des crises d'épilepsie, nous étions obligés de te baigner le matin, c'était tellement bon de te voir jouer, te voir faire le foufou. Merci pour tous ces merveilleux moments mon coeur, pour tous ces souvenirs qui font sourire, les yeux plein de larmes. Et ce jour en mai dernier où du shampoing a coulé dans tes yeux et a provoqué un ulcère de la cornée à l'oeil gauche : nous avions eu si peur, nous avons tellement culpabilisé, d'autant qu'on se disait que ton petit corps ne pouvais pas tout mener de front : cet incident dont nous étions responsables et cet ostéosarcome de malheur. Mais après une semaine de traitement, tout était rentré dans l'ordre. Encore une fois, tu t'étais battu comme un chef ! Merci pour ce courage, cet amour qui persiste par delà la mort, puisque nous deux, nous trois, c'est pour l'éternité. |
Déposé par daphnee64 le 17/10/2012Je ne peux m'empêcher de vous mettre un petit mot. Tout d'abord pour vous remercier pour les fleurs sur la tombe de mon Tchao Ling, merci pour ce geste, cela me touche beaucoup, vraiment. Et puis votre Ringo... il me rappelle tellement ma Daphnée, caniche noire, disparue en juin 2004. La même... en noire !! La même !! Et tout comme vous, je me trouvais en Toscane ce mois d'août. Mon Tchao Ling n'était pas encore malade, mais je ne sais pourquoi, j'étais terriblement inquiète. Nous ne l'avions pas emmené avec nous, à cause de la chaleur incompatible avec son petit coeur. Il était donc chez son papy et sa mamie qui se battaient pour pouvoir le garder dès que nous partions :))) J'étais inquiète... A raison... mon retour me l'a prouvé. Et votre Ringo la frimousse dans le pot de yaourth faisant rrrrrrhhhhhh férocement... j'ai eu la même... à voir les photos de votre bonheur me renvoit à celui que j'ai perdu avec ma Daphnée... alors votre chagrin, je ne le comprends que trop bien. Courage à vous, courage. Nous vous soutenons. Bien amicalement. Véronique, la maman de Daphnée, Tchao Ling et d'un petit Hérode bientôt. |
Déposé par ringo le 15/10/2012Mon bébé d'amour, Je me souviens lorsqu'en avril, on a eu les résultats de cette biopsie de malheur, j'étais au trente sixième dessous, malheureuse comme jamais. Le lendemain, nous partions pour l'Italie, et sur une aire de repos, je me suis dit "je suis triste, il est malade, mais il est vivant, tellement vivant encore, il faut en profiter!". Et j'en ai profité les quatre derniers mois, j'ai mis ma thèse entre parenthèses, et crois-moi je ne le regrette pas, jamais je ne le regretterai, je refusais toutes les invitations pour être avec toi. Cette fameuse semaine en Toscane, je t'ai porté chaque jour, tu étais lourd du haut de tes six kg, mais je m'en moquais, j'étais prête à tout pour toi. Je me souviens que le vendredi dans le jardin à Collodi, tu t'étais amusé à aboyer sur les cygnes et les canards. On ne s'y attendait pas, on avait rigolé, c'était un moment tellement beau. Malheureusement, je n'avais pas la caméra sous la main, si tu savais combien je le regrette.je me souviens aussi du jour où on t'avait donné la boite à gâteaux pour jouer : au bout d'un moment, on ne t'écoutait plus, tu avais réussi à l'ouvrir et tu te léchais les babines, heureusement, on n'en mettait jamais beaucoup. Si j'avais su que tu partirais peu de temps après, je t'en aurais donné tant que tu voulais, cela aussi je le regrette. Je t'aime et te remercie pour tous ces bons moments, qui jamais ne s'effaceront de notre mémoire. Plein de bisous familiaux à toi Monseigneur. |
Déposé par ringo le 13/10/2012Je me souviens du jour où, regardant vidéo gag, je me suis exclamé "wouah le lapin" : tu as sauté pour le voir. Depuis dès qu'un animal apparaissait à l'écran, tu aboyais et voulait l'attraper. Il suffisait que tu entendent le générique de pub pour que tu te mettes à sauter. on rigolait toujours et on disait "de loin, tu fais le malin, mais de près, il n'y a plus personne!". Tout chez toi me manque, je suis tellement malheureuse depuis que tu es parti, mais je fais bonne figure, parce que je sais que tu n'aimais pas que je sois triste. Je t'aime mon bébé d'amour à l'infini pour l'éternité et je te fais des milliers de bisous familiaux que tu aimais tant. |
Déposé par monsieurringo le 10/10/2012Ce soir, je viens remercier tous ceux qui ont et viennent fleurir la tombe de notre petit chéri et qui nous envoient des messages. Cela remonte le moral de façon considérable. Merci à tous du plus profond du coeur, merci aussi à ce magnifique site. La maman de Ringo. |
Déposé par DivaBibi le 09/10/2012Loin des yeux loin du coeur!!!! Ce proverbe est bien menteur... car tu resteras dans le coeur de ta maîtresse pour toujours et ce jusquà ce qu'elle te rejoigne pour à nouveau et enfin te serrer bien fort TOUT CONTRE son coeur. ---- Douces caresses Monsieur Ringo, sois heureux au paradis blanc. |
Déposé par ringo le 08/10/2012Mon amour, Tatie a toiletté Hélios ce matin : évidemment, nous avons parlé de toi. Elle t'aimait beaucoup et nous a dit qu'elle avait beaucoup pleuré quand elle a appris que tu t'étais envolé pour de nouveaux horizons. Tu vois mon coeur tout le monde t'aimait : c'est normal parce que tu étais, et tu resteras adorable : une pure merveille, comme elle disait tout le temps. Je t'aime à l'infini, pour l'éternité et continue de veiller sur toi. Nous faisons des tas de bisous familiaux, comme on les aimait tant. |
Déposé par ringo le 03/10/2012mon coeur, Deux mois aujourd'hui que tu t'es envolé. Je me souviens de ce jour de février 2000 où tu es arrivé dans nos vies. J'étais en seconde ; Jean-Luc était allé te chercher à Champeix, tu était sorti de dessous le lit où tu te cachais avec tes frères et tu lui avait sauté dans les bras, c'était toi qu'il prendrait. Tu as fait tout le voyage sur ses genoux, et à quelques mètres de la maison, tu as vomi. Nous t'avons nettoyé...puis, maman ne voulant pas te donner de mauvaises habitudes, nous t'avons mis dans la cuisine. Tu pleurais, j'ai craqué, je t'ai pris dans le salon, mais sous les remontrances de maman, je t'ai remis un moment après dans la cuisine, le lendemain , même chose. Puis au bout de trois jours, elle a craqué aussi (il faut dire - c'est la seule bêtise que tu as faite - que tu avais déchiré le papier de la cuisine !), à partir de ce jour, tu as dormi dans la chambre, même dans le lit. Jamais je n'oublierai notre première rencontre, jamais je n'oublierai les 12 années qui l'ont suivie. Tu me manques ce soir, comme il y a deux mois, je t'aime mon coeur, je t'aimerai toute ma vie, j'espère que tu le savais. Je te fais des milliers de bisous partout mon bébé d'amour! |
Déposé par larrydoudou le 30/09/2012Joli petit cœur tu me fais penser à mon Doudou chéri qui me manque autant que tu manques à ta maman et à ta soeur J'espère que tu l'as rencontré et que vous vous amusez bien ensemble Doux câlins pour toi et amitiés à celles qui t'aiment tant |
Déposé par ringo le 29/09/2012Mon amour, Je t'ai vu cette nuit : tu a sauté dans le lit en remuant la queue (tu ventilais, comme nous disions toujours!), tu es venu faire des bisous d'abord à moi, puis à maman, si rapides et si langoureux que l'on sentait tes petites dents sur nos visages, comme il arrivait parfois quand tu étais encore avec nous. Tu t'es ensuite couché dans le lit, Hélios s'est mis à aboyer, on lui a dit d'arrêter et vous êtes regardé, comme d'habitude, toi, tu ne disais rien. Puis ton image s'est évaporée. C'était tellement bon, tellement réel, reviens vite s'il te plait. Je t'aime à l'infini, pour l'éternité. Jamais, jamais, je te le promets, je ne t'oublierai, toujours j'entretiendrai ta mémoire, je te fais des milliers de millions de milliards de bisous, mon petit coeur adoré. |
Déposé par ringo le 28/09/2012Bianco, tel était ton nom quand nous t'avons adopté à 3 mois, en référence à Bianca de Bernard et Bianca. Nous trouvions ça moche, et on a opté pour Ringo. Les surnoms n'ont pas manqué à partir de là : Riri, Crapulo (je ne sais plus pourquoi, mais Jean-Luc t'a toujours appelé comme ça, jusqu'au dernier jour), cracootte, quand j'étais en deuxième année de DEUG, parce qu'alors je mangeais beaucoup de cracottes au chocolat, crapaud, j'en passe des meilleurs. Plus récemment, c'était "Petit Prince", c'est Audrey qui l'avait trouvé en Italie en avril, parce qu'elle disait que tu étais choyé comme un prince, ou encore Monsieur Ringo, Ma Merveille, Monseigneur. Sans compter mon petit chéri, mon bébé d'amour, mon coeur. Je me souviens que quand tu étais dans une pièce à côté, il suffisait que je t'appelle, en faisant semblant de pleurer, comme si je t'avais perdu pour que tu reviennes en courant, grattant pour me faire des bisous : "ne t'inquiète pas, je suis là, je ne t'abandonne pas, je t'aime!". Je t'aime moi aussi mon amour comme je n'ai jamais aimé, comme il n'est pas possible d'aimer. Plein de calins et de bisous, mon petit coeur. |
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