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In tribute to
BULLDOG-ANGLAISOscar
Born on :20/07/2002
left us on:23/07/2009
16 persons like this page |
In tribute to
Oscar
40 candles
13243 Flowers
left by choupinou tes yeux de lumière illuminent mon regard et me donne tout l'amour dont j'ai besoin,je t'aime mon Oscar left by zenelle Souvenez vous : "Les chiens ne nous abandonnent que pour mourir, mais ils nous laissent leur merveilleux souvenir pour éclairer le reste de notre chemin." Anna et Laurent Racz-Caroff left by nikita J'ai peint l'amour dans le ciel, Je lui ai donné 2 ailes. pour qu'il s'envole vers toi.et te dépose des bisous sur ta belle frimousse OSCAR mon beau petit coeur à partager avec ta maman. left by choupinou dors dors mon petit gars comme tu aimais le faire sous la haie d' érables Champêtre dans le jardin left by poutounou La devise du chat : « Qu'importe ce que tu as fait, essaie toujours de faire croire que c'est la faute du chien. » Ah, sacrés rominets ! left by choupinou je me souviens de mon chien aimant et fidèle maintenant je te reste fidèle et aimante encore plus qu'avant left by CHIPIE66 Juste pour t'envoyer un énorme baiser...fleuri ! Que ta semaine soit faite de tendresse... left by Pachkounet Mille mercis pour mon Ange, Peluche. Câlins et gratouillis pour toi Oscar. Veille bien sur ta Maman qui t'aime tant. left by zenelle .Soyons reconnaissants aux êtres qui nous donnent du bonheur,ils sont les charmants jardiniers par qui nos âmes sont fleuries.Marcel Proust.Amitiés et bon weekend. |
2540 messages
left by ovanek on 19/10/2016Chien….Pensée ….Phil *** 💖 💖 💖 93 💖 💖 **** au Pays des âmes **** Le visage contre le mur Je n´entends plus de murmures Prends le masque de mes yeux Je tends l´oreille vers les cieux Il n´y a personne ici Où la confusion est née Le vieillard est couronné rien n´alourdit mon esprit Laisse ma main montrer la vie car j´apporte quelque chose L´étoile de la peur m´étrangle et m´entraîne sous la terre Jusqu´au pays des aveugles Dans le feu je brûle entier malgré mon besoin de vie Prisonnier de mon esprit Le visage contre le mur écrasé par la torture Une âme silencieuse quand la vie est en veilleuse Ne peut rien changer du tous des larmes sur mon visage La poussière sur mes chaussures Mon testament est fini je n´ai rien à faire ici La réalité s´éveille le visage contre le mur Quand profonde est la blessure Quand pas une feuille ne bouge quand le poignard devient rouge Il faut tourner cette page sans tournée le dos au pays des pensées Celle de la Vérité *** Je t'aime mon Fidèle…..Pensée…. Phil *** 💖 |
left by Biscuit on 19/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by Biscuit on 16/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by ovanek on 14/10/2016💖 💖 92 💖 💖 **** Ne m’oublie Pas **** C´est un instant étrange Tu me regardes en silence Ça ne dure que quelques secondes Et tu t´en vas dans ton monde C´est un moment distance Ton regard en dissidence Et je vois passer une ombre Quand tu me fuis quand tu sombres Ne m´oublie pas, ne m´oublie pas Quand tu es au pays de tes rêves Ne m´oublie pas Maladresse, impuissance On dirait que je n´ai aucune chance On dirait que tu me sondes Pour m´entraîner quand tu tombes C´est un moment si intense Rien n´a plus la moindre importance Et tu retournes en pénombre Pour me laisser dans ce monde Ne m´oublie pas, ne m´oublie pas Quand tu es au pays de tes rêves Ne m´oublie pas ….Oh! Ne m´oublie pas Quand tu plonges quand tes yeux s´éteignent Ne m´oublie pas Quand tu es au pays de tes rêves Souviens-toi D´où que tu sois de quelques ténèbres Ne m´oublie pas quand je serais au pays de tes rêves Tu seras là.... Attend Moi.... Oh ! Ne m’oublie Pas *** Je t’aime mon Chien….Pensée ….Phil *** 💖 |
left by poutounou on 14/10/2016C'est vrai qu'on a tendance à voir la couleur qui sait nous plaire... * L'habit d'Arlequin * Vous connaissez ce quai nommé de la Ferraille, Où l'on vend des oiseaux, des hommes et des fleurs. A mes fables souvent c'est là que je travaille ; J'y vois des animaux, et j'observe leurs moeurs. Un jour de mardi gras j'étais à la fenêtre D'un oiseleur de mes amis, Quand sur le quai je vis paraître Un petit arlequin leste, bien fait, bien mis, Qui, la batte à la main, d'une grâce légère, Courait après un masque en habit de bergère. Le peuple applaudissait par des ris, par des cris. Tout près de moi, dans une cage, Trois oiseaux étrangers, de différent plumage, Perruche, cardinal, serin, Regardaient aussi l'arlequin. La perruche disait : " J'aime peu son visage, Mais son charmant habit n'eut jamais son égal. Il est d'un si beau vert ! - Vert ! dit le cardinal ; Vous n'y voyez donc pas, ma chère ? L'habit est rouge assurément : Voilà ce qui le rend charmant. - Oh ! pour celui-là, mon compère, Répondit le serin, vous n'avez pas raison, Car l'habit est jaune-citron ; Et c'est ce jaune-là qui fait tout son mérite. - Il est vert. - Il est jaune. - Il est rouge morbleu ! " Interrompt chacun avec feu ; Et déjà le trio s'irrite. " Amis, apaisez-vous, leur crie un bon pivert ; L'habit est jaune, rouge et vert. Cela vous surprend fort ; voici tout le mystère : Ainsi que bien des gens d'esprit et de savoir, Mais qui d'un seul côté regardent une affaire, Chacun de vous ne veut y voir Que la couleur qui sait lui plaire. " * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
left by rafia on 12/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by choupinou on 12/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by poutounou on 09/10/2016Et oui ! Le bien et le mal nous sont rendus. C'est vrai aussi pour ceux qui font du mal à nos amis les bêtes... * L'enfant et le miroir * Un enfant élevé dans un pauvre village Revint chez ses parents, et fut surpris d'y voir Un miroir. D'abord il aima son image ; Et puis, par un travers bien digne d'un enfant, Et même d'un être plus grand, Il veut outrager ce qu'il aime, Lui fait une grimace, et le miroir la rend. Alors son dépit est extrême ; Il lui montre un poing menaçant, Il se voit menacé de même. Notre marmot fâché s'en vient, en frémissant, Battre cette image insolente ; Il se fait mal aux mains. Sa colère en augmente ; Et, furieux, au désespoir, Le voilà devant ce miroir, Criant, pleurant, frappant la glace. Sa mère, qui survient, le console, l'embrasse, Tarit ses pleurs, et doucement lui dit : N'as-tu pas commencé par faire la grimace A ce méchant enfant qui cause ton dépit ? - Oui. - Regarde à présent : tu souris, il sourit ; Tu tends vers lui les bras, il te les tend de même ; Tu n'es plus en colère, il ne se fâche plus : De la société tu vois ici l'emblême ; Le bien, le mal, nous sont rendus. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
left by rafia on 08/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by choupinou on 07/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages pour toi,ces jolies fleurs que j'ai ramené de Corse |
left by Biscuit on 06/10/2016L 'enfant et le chien Un enfant seul, Tout seul avec en main Une belle tranche de pain. Un enfant seul, Avec un chien Qui le regarde comme un dieu Qui tiendrait dans sa main, La clé du paradis des chiens. Un enfant seul Qui mord dans sa tranche de pain, Et que le monde entier Observe pour le voir donner Avec simplicité, Alors qu'il a très faim, La moitié de son pain Bien beurré à son chien. Maurice Carême. |
left by choupinou on 06/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages JE T'AIME TANT MON OSCAR |
left by poutounou on 05/10/2016La brebis et le chien * La brebis et le chien, de tous les temps amis, Se racontaient un jour leur vie infortunée. Ah ! Disait la brebis, je pleure et je frémis Quand je songe aux malheurs de notre destinée. Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats, Toujours soumis, tendre et fidèle, Tu reçois, pour prix de ton zèle, Des coups et souvent le trépas. Moi, qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchants. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes de ces inhumains, Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains, Voilà notre destin funeste ! Il est vrai, dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère ? Va, ma soeur, il vaut encor mieux Souffrir le mal que de le faire. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
left by rafia on 03/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by rafia on 02/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by viana67 on 02/10/2016Extrait des « Feuilles mortes » de Jacques Prévert avec une petite adaptation personnelle dont je demande pardon à l’auteur : Oh! je voudrais tant que tu te souviennes Des jours heureux où nous étions amis En ce temps-là la vie était plus belle, Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui Les feuilles mortes se ramassent à la pelle Tu vois, je n'ai pas oublié... Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Les souvenirs et les regrets aussi Et le vent du nord les emporte Dans la nuit froide de l'oubli. Tu vois, je n'ai pas oublié La chanson que tu me chantais : C'est une chanson qui nous ressemble Toi, tu m'aimais et je t'aimais Et nous vivions tous deux ensemble Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais Mais la vie sépare ceux qui s'aiment Tout doucement, sans faire de bruit Et la mer efface sur le sable NOS PAS DESORMAIS REUNIS. |
left by Galinette3 on 01/10/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by poutounou on 30/09/2016Voici Octobre qui s'en vient à grands pas avec les jours qui raccourcissent encore... * Matin d'Octobre * C'est l'heure exquise et matinale Que rougit un soleil soudain. A travers la brume automnale Tombent les feuilles du jardin. * Leur chute est lente. On peut les suivre Du regard en reconnaissant Le chêne à sa feuille de cuivre, L'érable à sa feuille de sang. * Les dernières, les plus rouillées, Tombent des branches dépouillées : Mais ce n'est pas l'hiver encor. * Une blonde lumière arrose la nature Et, dans l'air tout rose, On croirait qu'il neige de l'or. |
left by choupinou on 29/09/2016VENT D'AUTOMNE Les longs sons des violons d'Automne, déchirent mon coeur lourd ,angoissé et fatiguée, je me rappelle les jours heureux passés ensemble, et je pleure,l'âme si vide,et l'air hagard, je m'abandonne au vent triste et je me laisse emporter, comme une feuille morte.... |
left by missvero on 26/09/2016mille pensees bizz de vero |
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