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In tribute to
ROXY
BERGER-ALLEMAND
Born on :19/03/2000
left us on:23/12/2011
 
 

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In tribute to ROXY

TU ETAIS UNE MERVEILLEUSE CHIENNE
TU ADORAIS JOUER AU BALLON ET CEUX TOMBES CHEZ NOUS NE FAISAIENT PAS LONG FEU
J AI APPRIS TON CANCER QUI ETAIT GENERALISE
ET TOUT EST C EST PASSE TRES VITE
TU N AS PAS VOULU ME FAIRE PRENDRE CETTE DECISION ET JUSTE AVANT D ENTRER CHEZ LE VETO
TU T ES ECROULE DANS LE COMA
ON T AS FAIS LA PICURE POUR ABREGER LE TEMPS.
MAIS TU NE SOUFFRAIS PLUS.
TU AS LAISSE TON COPAIN MOUSTIQUE SEUL
IL EST VENU TE REJOINDRE CE 12 MARS 2012
ME LAISSANT UN TRES TRES GRAND VIDE
MAIS BON VOUS ETES ENSEMBLE




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left by poutounou on 28/04/2024  
Les Roses
*
Le Printemps rayonnant, qui fait rire le jour
En montrant son beau front, vermeil comme l’aurore,
Naüt, tressaille, fleurit, chante, et dans l’air sonore
Éveille les divins murmures de l’amour.
*
O Sylphes ingénus, vous voilà de retour!
De mille joyaux d’or la forĂȘt se dĂ©core,
Et blanche, regardant les corolles Ă©clore,
Titania folĂątre au milieu de sa cour,
*
A travers l’éther pur dont elle fait sa proie,
Tandis que la lumiĂšre, Ă©clatante de joie,
Frissonne dans la bleue immensité des cieux.
*
Beauté qui nous ravit avec tes molles poses,
Dis, n’est-ce pas qu’il est doux et dĂ©licieux
De plonger follement ta bouche dans les roses ?
*
Théodore de Banville,

left by poutounou on 27/04/2024  
DĂ©solĂ©e pour ma petite « absence » du cimetiĂšre, due Ă  un petit problĂšme d’ordinateur. Me revoilà
 !!!
*
A quel beau songe Ă©vanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange...
*
Pensée perdue
*
Elle est si douce, la pensée,
Qu'il faut, pour en sentir l'attrait,
D'une vision commencée
S'Ă©veiller tout Ă  coup distrait.
*
Le coeur dépouillé la réclame ;
Il ne la fait point revenir,
Et cependant elle est dans l'Ăąme,
Et l'on mourrait pour la finir.
*
A quoi pensais-je tout Ă  l'heure ?
A quel beau songe Ă©vanoui
Dois-je les larmes que je pleure ?
Il m'a laissé tout ébloui.
*
Et ce bonheur d'une seconde,
Nul effort ne me l'a rendu ;
Je n'ai goûté de joie au monde
Qu'en rĂȘve, et mon rĂȘve est perdu.
*
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)

left by spanky on 26/04/2024  
Venez, venez vite, hirondelles, repeupler l’azur calme et doux

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Avril
---
Lorsqu’un homme n’a pas d’amour,
Rien du printemps ne l’intĂ©resse ;
Il voit mĂȘme sans allĂ©gresse,
Hirondelles, votre retour ;
---
Et, devant vos troupes légÚres
Qui traversent le ciel du soir,
Il songe que d’aucun espoir
Vous n’ĂȘtes pour lui messagĂšres.
---
Chez moi ce spleen a trop duré,
Et quand je voyais dans les nues
Les hirondelles revenues,
Chaque printemps, j’ai bien pleurĂ©.
---
Mais depuis que toute ma vie
A subi ton charme subtil,
Mignonne, aux promesses d’Avril
Je m’abandonne et me confie.
---
Depuis qu’un regard bien-aimĂ©
A fait refleurir tout mon ĂȘtre,
Je vous attends Ă  ma fenĂȘtre,
ChĂšres voyageuses de Mai.
---
Venez, venez vite, hirondelles,
Repeupler l’azur calme et doux,
Car mon désir qui va vers vous
S’accuse de n’avoir pas d’ailes.
---
François Coppée
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left by spanky on 24/04/2024  
Saint François d'Assise et le loup
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Il Ă©tait une fois un gros loup noir qui terrorisait la ville...» Non, non, il ne s’agit pas d’un conte de Charles Perrault, mais bien de la lĂ©gende du loup de Gubbio, telle qu’elle est racontĂ©e dans le chant XXI des Fioretti di San Francesco.
Ce texte, rĂ©digĂ© Ă  l’origine en latin, probablement par Ugolino da Montegiorgio entre 1327 et 1340 puis traduit en lan­gue vulgaire quelque temps plus tard, raconte les diffĂ©rents Ă©pisodes de la vie de saint François d’Assise, dĂ©clarĂ© par le Vatican saint patron de l’Italie en 1939, saint patron des Ă©cologistes en 1979 et gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ© comme le protecteur des animaux.
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La scĂšne se passe aux environs de l’an 1220. Alors qu’il sĂ©journe Ă  Gubbio, saint François apprend qu’un loup, Ă©norme et fĂ©roce, erre dans la campagne environnante, dĂ©vorant non seulement les animaux mais s’attaquant aussi aux hommes.
Les habitants sont effra­yĂ©s car la terrible bĂȘte s’aventure souvent jusqu’aux abords de la commune.
Ils n’ont plus le courage de quitter la ville et lorsqu’ils doivent se rendre dans les champs, ils s’arment de pied en cape.
Mais rien n’y fait et il arrive toujours qu’un malheureux finisse entre les crocs de l’animal.
Saint François décide alors de partir à la rencontre du monstre.
À son appro­che, celui-ci s’apprĂȘte Ă  bondir, la gueule bĂ©ante, mais l’homme de Dieu fait un signe de croix et lui dit :
« Viens ici, frĂšre loup, je t’ordonne au nom de JĂ©sus-Christ de ne faire aucun mal, ni Ă  moi ni Ă  personne.»
Le loup obtempùre sur-le-champ et s’allonge aux pieds du saint.
L’homme continue de parler Ă  l’animal qui, touchĂ© par tant de grĂące et de bontĂ©, remue la queue et baisse les yeux en signe d’assentiment.
Puis saint François promet Ă  la bĂȘte qu’elle ne souffrira plus jamais de la faim, car il sait que seule cette raison la pousse Ă  commettre ses mĂ©faits.
À une condition : qu’elle renonce Ă  s’attaquer aux crĂ©atures de Dieu, hommes ou bĂȘtes.
Et saint François de lui demander un signe pour sceller sa promesse.
À ces mots, le loup soulĂšve la patte et la pose dĂ©licatement dans la main de l’homme.
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Un geste qu’il fera une seconde fois lorsque saint François prĂȘchera la cause de l’animal devant la population rassemblĂ©e, avant de leur faire promettre de le nourrir jusqu’à la fin de sa vie.
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À compter de ce jour, on vit le loup entrer et sortir librement de toutes les maisons de Gubbio, oĂč jamais il ne commit le moindre mal ni ne reçut de coups.
Il mourut de vieillesse deux annĂ©es plus tard et sa disparition causa un profond chagrin aux habitants, car chaque fois qu’ils le voyaient dĂ©ambuler dans les rues, ils se souvenaient du message d’amour et de paix du saint homme.
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left by poutounou on 24/04/2024  
Tu es tout ça, adorable Ange !!!
*
MON ANGE ADORÉ
*
Tu es mon oxygĂšne,
Tu es la joie que je promĂšne,
La force qui brise mes chaĂźnes,
L'indispensable qui coule dans mes veines.
*
Tu es l'objet de mon existence,
L'ange pur de l'innocence,
Mon Ă©toile de bienveillance,
Plus qu'un espoir et plus qu'une chance.
*
Tu es ma mélodie,
La douceur de mes nuits,
Les couleurs de ma vie,
Le bonheur Ă  l'infini.
*
- Elodie -

left by spanky on 22/04/2024  
Ne vous sentez pas impatient
Si je ne dors pas dans mon nouveau panier.
J'ai dormi sur un sol rocher hier.
Ne soyez pas terrifié si j'avale avidement ma nourriture,
Hier j'ai dĂ» le faire pour survivre.
Ne vous Ă©nervez pas si je fais pipi par terre,
Hier sa n'avait pas d'importance
Ne sois pas triste si j'ai peur de ta main aimante,
J'en ai mangé hier.
Soyez patient avec moi c'est votre monde mais pas encore le mien,
Si je te fais confiance, je peux te donner mon cƓur.
S'il vous plaĂźt n'oubliez jamais que j'Ă©tais un chien de Chen
Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'un peu de temps.

left by poutounou on 21/04/2024  
Au nom d’un malaise
*
Au nom d’un malaise,
La peine m’a assaillie,
Et s’en est allĂ©e la vie.
Au nom d’un malaise,
J’ai vĂ©cu sans amis,
Et ils sont tous partis,
Peine Ă  vivre,
Vivre Ă  peine,
Au nom d’un malaise

*
Nashmia Noormohamed, 1999

left by spanky on 20/04/2024  
Mon chien a été diagnostiqué avec un cancer il y a 3 ans.
J'ai su dÚs le début que ses jours étaient comptés...
Les médecins lui ont donné un maximum de 12-18 mois de vie avec un traitement...
Alors nous avons commencé cette bataille contre le temps...
Ces 3 derniÚres années, tout était autour d'elle.
Des séances de chimiothérapie interminables, prendre soin d'elle, la douleur anticipée de la perdre...
le stress et la peur constante...
Et l'espoir... pour juste un peu plus de temps...
J'ai passé tout mon temps avec elle...
J'ai mĂȘme abandonnĂ© mon travail Ă  la fin pour pouvoir prendre soin d'elle.
Personne ne m'a comprise, ils me prenaient pour une folle.
Alors je me suis isolée et c'était juste nous deux.
HonnĂȘtement ce fut les moments les plus prĂ©cieux de ma vie.
J'ai tout donné de moi, elle était ma famille, ma meilleure amie, ma partenaire, ma maison....
Elle est décédée il y a 2 semaines...
Je ressens ce que j'imaginais que j'allais ressentir...
Je savais que ça allait ĂȘtre l'enfer ...
Je suis toute seule.... avec la douleur... et tout mon cƓur pour Elle...
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TĂ©moignage de Ginebra Raki
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left by spanky on 18/04/2024  
Il s’appelait Jules
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Il Ă©tait assis, devant moi, les yeux mi-clos.
Et il restera ainsi le temps qu'il faudra.
N'est-ce pas lui, vieux philosophe, qui a dit "Il faut laisser le temps au temps"?
Il me regarde, moi sa meilleure amie, il me jauge.
Il est protecteur, il est la Sagesse.
Il est le Sphinx.
Il était doué d'un caractÚre enjoué et d'une infinie patience.
Les enfants étaient ses compagnons de jeu préférés.
Il savait développer des trésors de douceur et de gentillesse.
Adulte, il redevenait enfant.
Il essayait de s'emparer de tous les jouets qui traĂźnent dans la maison ou dans le jardin.
Le poupon en peluche qui crie "Ça me chatouille" quand on le touche est un ravissement pour lui. Vous lui donniez lui un petit enfant à garder et il se fait nounou.
Il s’appelait Jules et c'Ă©tait mon meilleur ami.
Tout le monde le connaissait dans le quartier, tout le monde connaissait sa trogne de vieux forban.
A la maison il avait la jouissance exclusive d'un fauteuil Voltaire qu'il utilisait fréquemment avant de squatter les genoux de quelqu'un ou un lit du premier étage.
Il s’appelait Jules et c'Ă©tait un boxer d'amour.
Un boxer ça bave, ça ronfle, ça pÚte.
Oui cela arrive, j'en conviens.
Mais Jules n'Ă©tait pas le boxer standard, encore moins le canis vulgaris.
Jules a bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une ascendance aristocratique qui l'a dotĂ© d'un port de tĂȘte princier sur un corps d'athlĂšte Ă©lancĂ© tout en Ă©tant musculeux.
En ce qui concerne les flatulences, il est vrai que Jules, sans doute victime d'une aérophagie insidieuse se laissait parfois aller à des manifestations involontaires encore que regrettables.
Il s’appelait Jules et c'Ă©tait beaucoup plus qu'un chien...
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left by poutounou on 17/04/2024  
Amis
*
Sans se consumer
se posent nos mains
sur l’épaule du Temps
Se lĂšvent sur son visage
le jour
les souvenirs
essaim de papillons
Malgré les rides importunes
avec nos rires d’antan
pour tout bagage
dans la mémoire rebelle
l’on voyage
Nos voix aussi
sont les mĂȘmes
L’ariditĂ© de l’ñge
ne les a pas taries
Elles coulent toujours
dans cette oasis de l’amitiĂ©
oĂč vieillir est un mirage
*
Kamal Zerdoumi

left by spanky on 16/04/2024  
Il y a de cela bien, bien longtemps ..
le chien vivait seul dans les bois et non dans les maisons comme maintenant.
Un beau jour, il en eut assez de vivre ainsi et se mit Ă  la recherche d'un
compagnon.
Il se promena longtemps sans rencontrer personne.
-----
Puis un jour, entre deux arbres, il aperçoit un liÚvre qui s'enfuit.
HĂ©, petit liĂšvre, crie le chien, ne te sauve pas, Ă©coute-moi !
Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant ..
Ma foi, dit le liĂšvre, pourquoi pas ? Essayons !
Il choisissent un joli petit coin dans la forĂȘt et s'y installent.
La nuit venue, ils se couchent.
Le petit liÚvre s'endort tout de suite, mais le chien reste éveillé,
il y a des feuilles qui tombent, des branches qui craquent, des
oiseaux de nuit qui passent .. et chaque fois, le chien aboie.
Le petit liĂšvre ne peut pas dormir, il se fĂąche et dit au chien :
Cesseras-tu d'aboyer Ă  la fin ? Si jamais le loup t'entend, il
viendra nous dévorer tous les deux !
Le chien cesse d'aboyer et réfléchit : Il n'est pas fameux mon compagnon, il est peureux .
Le loup vaudrait peut-ĂȘtre mieux puisqu'il fait peur au liĂšvre ..
-----
Et le chien s'en va Ă  la recherche du loup.
Il le cherche longtemps et, enfin, il l'aperçoit qui sort d'un taillis.
HĂ©, loup gris, museau pointu, crie le chien, Ă©coute-moi !
Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant ..
Ma foi, dit le loup, pourquoi pas ? Essayons !
Le soir venu, ils s'installent pour dormir.
Mais au beau milieu de la nuit, le chien, réveillé par un bruit, se met à aboyer.
Effrayé le loup se réveille à son tour : Tais-toi donc, dit-il au chien,
si jamais l'ours t'entend, il viendra nous dévorer tous les deux !
Le chien cesse d'aboyer et réfléchit : Il n'est pas fameux mon
compagnon, il n'est pas beaucoup plus courageux que le liĂšvre ..
Il a peur de l'ours qui est certainement plus fort que lui.
-----
Et le chien, laissant lĂ  le loup, s'en va Ă  la recherche de l'ours.
Il le cherche longtemps, parmi les arbres, les taillis, les rochers, ..
Et voici que, soudain, il se trouve nez Ă  nez avec lui.
C'est un grand ours brun qui n'a pas l'air commode.
HĂ©, ours brun, ours griffu, Ă©coute-moi ! Ne veux-tu pas que nous
vivions ensemble, ce serait bien plus amusant ..
Ma foi, pourquoi pas ? Essayons !
Ils se promÚnent toute la journée et, le soir venu, ils se couchent.
A peine l'ours s'est-il endormi que le chien se met Ă  aboyer.
Réveillé en sursaut, l'ours tremble de frayeur.
Mais tais-toi donc ! dit-il furieux.
Si jamais l'homme t'entend, il viendra nous tuer !
Eh bien, pense le chien, celui-lĂ  ne vaut pas mieux que les autres.
Il a peur de l'homme.
-----
Et laissant lĂ  l'ours qui s'est rendormi, il part Ă  la recherche de l'homme.
Mais il a beau chercher dans la forĂȘt entiĂšre, il n'en trouve pas.
Il sort alors de la forĂȘt et s’assoit pour se reposer.
Alors, il voit l'homme qui s'avance vers lui, c'est un bûcheron
qui s'en vient couper du bois.
Quand le bûcheron est tout prÚs, le chien lui dit : Ecoute-moi,
homme, toi qui fait peur Ă  l'ours qui fait peur au loup qui fait
peur au liĂšvre, ne veux-tu pas me prendre comme compagnon ?
Et pourquoi pas ? dit l'homme.
Viens avec moi, nous verrons ..
Et à la fin de la journée, l'homme emmÚne le chien dans sa maison.
Le soir venu, l'homme se couche et s'endort.
Au milieu de la nuit,
le chien se met Ă  aboyer.
L'homme ne bouge pas.
Le chien aboie plus fort.
Alors l'homme se réveille et lui crie :
HĂ©, brave chien !
Mange si tu as faim, bois si tu as soif, mais laisse-moi dormir tranquille, s'il te plaĂźt !
L'homme n'a donc peur de rien, pense le chien, et il se tait.
Et depuis ce temps-là, le chien est resté le compagnon de l'homme !
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left by spanky on 14/04/2024  
« Cracker Jack », de Dolly Parton (1974)
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En 1980, Henri DĂšs crĂ©e cette chanson au sujet d’un adorable chien qui, malheureusement pour lui, est trĂšs sale.
C’est d’ailleurs presque parfois à se demander s’il ne parle pas plutît d’un cochon.
Cependant, cette comptine est d’autant plus touchante qu’Henri DĂšs est accompagnĂ© d’enfants au chant.
Elle l’est aussi quand on dĂ©couvre que, malgrĂ© son hygiĂšne et son comportement qui laisse Ă  dĂ©sirer, il l’aime quand mĂȘme, son chien.
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Paroles de la chanson « Chanson pour mon chien »
J'ai un chien gentil mais sale
Qui a des poils mouillés partout
(J'ai un chien gentil mais sale)
(Qui a des poils mouillés partout)
Qui a des poils mouillés partout
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Et c'est pas tout
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Quand il mange dans son assiette
Il s'en met plein le menton
(Quand il mange dans son assiette)
(Il s'en met plein le menton)
Il s'en met plein le menton
Comme un cochon
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Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime
(Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime)
----
Quand je le promĂšne au lac
Il patauge dans la boue
(Quand je le promĂšne au lac)
(Il patauge dans la boue)
Il patauge dans la boue
Et c'est pas tout
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Il va renifler les crottes
Et ça ne sent pas trÚs bon
(Il va renifler les crottes)
(Et ça ne sent pas trÚs bon)
Et ça ne sent pas trÚs bon
Comme un cochon
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Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime
(Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime )
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Quand il boit dans sa gamelle
Ça dĂ©gouline partout
(Quand il boit dans sa gamelle)
(Ça dĂ©gouline partout)
Ça dĂ©gouline partout
Et c'est pas tout
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Il en met plein la moquette
De la cuisine au salon
(Il en met plein la moquette)
(De la cuisine au salon)
De la cuisine au salon
Comme un cochon
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Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime
(Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime)
----
Quand il vient me faire la fĂȘte
Il me lĂšche dans le cou
(Quand il vient me faire la fĂȘte)
(Il me lĂšche dans le cou)
Il me lĂšche dans le cou
Et c'est pas tout
----
Il bave sur ma chemise
Et puis sur mon pantalon
(Il bave sur ma chemise)
(Et puis sur mon pantalon)
Et puis sur mon pantalon
Comme un cochon
----
Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime
(Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime)
-----

left by poutounou on 14/04/2024  
Sois le bienvenu « Rire du printemps » !
*
Le printemps
*
Te voilĂ , rire du Printemps !
Les thyrses des lilas fleurissent.
Les amantes qui te chérissent
DĂ©livrent leurs cheveux flottants.
*
Sous les rayons d’or Ă©clatants
Les anciens lierres se flétrissent.
Te voilĂ , rire du Printemps !
Les thyrses de lilas fleurissent.
*
Couchons-nous au bord des Ă©tangs,
Que nos maux amers se guérissent !
Mille espoirs fabuleux nourrissent
Nos coeurs gonflés et palpitants.
Te voilĂ , rire du Printemps !
*
Théodore de Banville

left by spanky on 12/04/2024  
Il observait sans cesse
tous tes faits et gestes,
lorsque, assis au coin de la cheminée,
tu méditais sur les années passées ...
---
Tes yeux remplis des choses que tu ne pouvais dire,
mais que son instinct savait si bien traduire.
Doucement, il te léchait les mains,
dans ses yeux, quelque chose ... d’humain.
---
Penchant lentement la tĂȘte :
– je suis là mon maütre !
Son regard semblait te dire :
– Nous avons de beaux souvenirs.
---
Que de fois as-tu pensé ne plus lutter,
disparaĂźtre, et tout arrĂȘter.
Mais son bon et doux regard rempli d’amour
te donnait la force de continuer ton parcours.
---
Sans toi, sa vie Ă©tait finie.
Placement ou euthanasie ?
À cette pensĂ©e
ton cƓur se serrait.
---
Quelle trahison, lui ton fidĂšle compagnon
qui te voua une si grande adoration.
Consolateur de toutes tes douleurs,
chaque jour, il sut sécher tes pleurs.
---
Dans ton cƓur, sa grande fidĂ©litĂ©
a fait de lui un ami pour l’éternitĂ©.
Ensemble, vous irez au bout du chemin
comme deux vrais copains, jusqu’à la fin ...
---
" Le viel homme et son chien "
Harmonia Messidor
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left by spanky on 10/04/2024  
JE M 'APPELAIS STYLO, JE SUIS MORT HEUREUX, MAIS...
---------
Je suis mort aujourd'hui !!
Je souhaite que vous consacriez 5 minutes Ă  lire mon histoire pour qu'elle ne soit pas vaine.
Je suis arrivé au refuge à l'ùge de 3 mois et ils m'ont appelé Stylo (au moins j'avais un nom aussi bizarre soit-il pour un chien!).
C'était un refuge "normal" (donc surchargé) du centre nord de l'Italie, et là j'ai attendu que quelqu'un m'aperçoive...
J 'ai attendu, attendu, attendu... j'ai attendu 13 longues années!!!
Bien sûr, je n'étais pas seul dans le box et mes camarades de captivité n'ont pas été tendres: j'ai souvent été mordu et plus d'une fois, j'ai failli mourir parce qu'ils ne me laissaient pas manger, mais j'ai résisté..
Et puis finalement, un ange nommé Monica m'a remarqué !
Elle a décidé de me sortir de là et de me donner quelques mois de bonheur.
Elle m'a confié à ses amies Sandra et Silvana qui m'ont pris soin de moi !
J'Ă©tais maigre et tout tordu par l'arthrose...
Je me souviens que quand je suis arrivĂ© chez elles, c'Ă©tait l'hiver et elles m'avaient prĂ©parĂ© une couche toute douce devant le poĂȘle Ă  bois...
Je ne savais pas ce qu'était une maison et cette chaleur, oh là là, quel bonheur! J'ai passé 2 jours le dos collé à la chaleur, c'était le paradis pour moi !!
Malgré tous les pronostics prévoyant que je mourrais rapidement, je me suis remis.
Eh oui, personne n'aurait cru que je vivrais encore pendant presque 3 ans!
Et pendant ces 3 annĂ©es, j'ai Ă©tĂ© aimĂ© et choyĂ©, j'ai eu de la bonne bouffe, j'ai dormi au chaud... mais la vieillesse ne peut pas s'arrĂȘter !!
Maintenant je suis mort, mais je suis mort HEUREUX, parce que quelqu'un m'a donnĂ© de l'espoir et quelques annĂ©es de bonheur, mais je ne peux pas m'empĂȘcher de penser que si Monica ne m'avait pas sauvĂ©, il ne resterait plus rien de moi maintenant, pas une photo, pas un souvenir, personne ne pleurerait ma mort !
Et c'est malheureusement le sort qui touche tant de chiens qui passent toute leur vie dans un refuge, dans l'indifférence générale.
Alors avant de faire naĂźtre de nouveaux chiens, pensez Ă  moi !
Et avant d'acheter un chien, pensez Ă  moi !!
Un seul jour de bonheur peut racheter toute une vie de souffrance, alors si vous le pouvez, sortez un vieux chien d'un refuge!
-----
Cre: ESNA-Ecole Suisse Naturopathie Animaux
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left by poutounou on 10/04/2024  
Rien ne nous séparera jamais

*
Abri
*
Dans les lignes de ta patte
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et que nous avons mĂȘme destin.
*
Dans les lignes de ta patte
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
*
Dans le creux de ta patte
OĂč ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme, comme un baume.
*
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978

left by spanky on 08/04/2024  
Paradis blanc
------
Il y a tant de vagues et de fumée
Qu'on arrive plus Ă  distinguer
Le blanc du noir
Et l'énergie du désespoir
Le téléphone pourra sonner
Il n'y aura plus d'abonné
Et plus d'idée
Que le silence pour respirer
Recommencer
LĂ  oĂč le monde a commencĂ©
----
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
OĂč les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps
Tout seul avec le vent
Comme dans mes rĂȘves d'enfant
Je m'en irai courir dans le paradis blanc
Loin des regards de haine et des combats de sang
Retrouver les baleines
Parler aux poissons d'argent
Comme, comme, comme avant
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Y a tant de vagues et tant d'idées
Qu'on arrive plus à décider
Le faux du vrai
Et qui aimer ou condamner
Le jour oĂč j'aurai tout donnĂ©
Que mes claviers seront usés
D'avoir osé
Toujours vouloir tout essayer
Et recommencer
LĂ  oĂč le monde a commencĂ©
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Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
OĂč les manchots s'amusent dĂšs le soleil levant
Et jouent en nous montrant
Ce que c'est d'ĂȘtre vivant
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
OĂč l'air reste si pur qu'on se baigne dedans
À jouer avec le vent
Comme dans mes rĂȘves d'enfant
Comme, comme, comme avant
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Parler aux poissons d'argent
Et jouer avec le vent
Comme dans mes rĂȘves d'enfant
Comme avant
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- Michel Berger -

left by poutounou on 07/04/2024  
Que c’est beau : « L’ñme est immortelle et hier c’est demain »
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Hier c’est demain

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Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, aprùs tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’OcĂ©an, le jeu, l’azur des cieux,
Les chiens, les lauriers et les roses.
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Il faut fouler aux pieds des fleurs Ă  peine Ă©closes ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous dĂ©couvre les causes.
*
De ces biens passagers que l’on goĂ»te Ă  demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,
*
On s’approche, on sourit, la « patte » touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’ñme est immortelle, et qu’hier c’est demain.
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Alfred de Musset

left by spanky on 06/04/2024  
Je m'appelle Sampa,
et bien que chien bĂątard,
je fais tourner la tĂȘte Ă  bien des pedigrees.
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Je m'appelle Sampa,
je suis né quelque part.
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Je m'appelle Sampa
et mon histoire est belle.
Je mouille des divans,
je souille des parquets,
je vis auprĂšs d'un roi,
comme un chien de poubelle.
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Je m'appelle Sampa
et j'ai des yeux qui parlent,
un corps qui fait le fou,
un cƓur qui se remplit
de tant et tant de joie,
qu'une caresse Ă©gale.
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Je m'appelle Sampa.
J'ai des maĂźtres fidĂšles :
lui me donne du mal à me faire obéir,
mais quand il n'est pas lĂ ,
je suis seul avec elle.
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Son amour Ă  lui
c'est mon amour Ă  moi.
Comme elle est jolie,
comme elle est gentille !
Son amour Ă  lui
c'est ma maĂźtresse Ă  moi.
Et quand elle me sourit
moi j'ai les yeux qui brillent.
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Elle m'appelle " Sam-Sam "
et je l'aime et elle m'aime.
La nuit, je dors prĂšs d'elle
et au matin je la réveille,
d'un coup de patte
ou bien d'un coup de dent.
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Je m'appelle Sampa
et mon histoire est courte.
Pour aller du lit oĂč je dormais
jusqu'au jardin oĂč je repose,
il ne m'aura pas fallu un an.
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Toi le jardin,
je t'ai connu dans tes moindres recoins.
Hier encore je t'ai prĂȘtĂ© un os,
aujourd'hui je te donne les miens.
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Je m'appelais Sampa
et j'Ă©tais chien bĂątard ...
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" Sampa "
1968
Georges Chelon
( 1943 - )
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Paroliers : Georges Jean Chelon
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left by spanky on 04/04/2024  
"Belle "
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Belle, tu es si belle,
Qu'en te voyant
Je t'ai aimée.
Belle, que j'aime tant,
Depuis longtemps
Je t'attendais.
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Souviens-toi du temps oĂč tu venais
Chaque soir pour me rencontrer.
Tu passais, si belle que j'en rĂȘvais,
Tu le sais mon amie, je t'aimais.
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Belle, oh ma si belle,
Tu t'en allais sans m'Ă©couter.
Belle, je t'attendrai
Pendant longtemps,
Tu es si belle.
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Belle, que j'aime tant,
Je t'attendrai
En te rĂȘvant.
Puis un jour, un jour tu passeras
PrĂšs de moi, la Belle tu viendras,
Nous ferons alors si tu le veux
Ce jour lĂ , le beau voyage Ă  deux.
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Belle, si tu le veux,
Nous serons deux ...
Nous serons deux ...
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( " Belle et SĂ©bastien " )
1965
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Parolier : CĂ©cile Aubry.
Compositeur : Daniel White
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