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En hommage à
CHIHUAHUAfidji
Il est né le:18/12/2010
Il nous a quittés le:03/01/2024
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En hommage à
fidji
0 bougie
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236 Fleurs
Déposé par nanou1955 doux repos petit ange. Courage Ă ceux qui te pleurent. C'est si dur quand vous nous quittez ! |
56 messages
Déposé par poutounou le 05/06/2024Comme c’est joliment dit : Bonjour « Messieurs les bourgeons« … * Bonjour * Comme un diable au fond de sa boĂ®te, le bourgeon s'est tenu cachĂ©... mais dans sa prison trop Ă©troite il baille et voudrait respirer. Il entend des chants, des bruits d'ailes, il a soif de grand jour et d'air... il voudrait savoir les nouvelles, il fait craquer son corset vert. Puis, d'un geste brusque, il dĂ©chire son habit Ă©troit et trop court "enfin, se dit-il, je respire, je vis, je suis libre... bonjour !" * Paul Geraldy |
Déposé par poutounou le 02/06/2024Toi c’est Toi, Ă jamais en moi… !!! * Toi Esther Granek * Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie * Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien lĂ et je n’y crois * Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant * Toi c’est prĂ©sent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon cĹ“ur * Toi c’est distant… Toi c’est changeant… Toi c’est rĂŞvant et esquivant… * Toi c’est pensant… Toi c’est taisant… Toi c’est tristesse qui me prend… * Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi ? Toi c’est le vide dans mes bras… Toi c’est mon soleil qui s’en va… Et moi, je reste, pleurant tout bas. * Esther Granek, Ballades et rĂ©flexions Ă ma façon, 1978 |
Déposé par poutounou le 29/05/2024Merci, Monsieur Hugo, pour ce très beau poème…Ce sont nos Anges que nous entendons chanter dans l’infini… !!! * Printemps * Voici donc les longs jours, lumière, amour, dĂ©lire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brĂ»lant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naĂ®t couronnĂ© d’une aube fraĂ®che et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l’ombre immense et sous le ciel bĂ©ni, Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini. * Victor Hugo, |
Déposé par poutounou le 26/05/2024Un Ange sĂ»rement !!! * Ce soir, Ă travers le bonheur * Ce soir, Ă travers le bonheur, Qui donc soupire, qu'est-ce qui pleure ? Qu'est-ce qui vient palpiter sur mon coeur, Comme un oiseau blessĂ© ? * Est-ce une plainte de la terre, Est-ce une voix future, Une voix du passĂ© ? J'Ă©coute, jusqu'Ă la souffrance, Ce son dans le silence. * Ile d'oubli, Ă´ Paradis ! Quel cri dĂ©chire, cette nuit, Ta voix qui me berce ? Quel cri traverse Ta ceinture de fleurs, Et ton beau voile d'allĂ©gresse ? * Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) |
Déposé par poutounou le 22/05/2024Ă” Printemps, fais naĂ®tre un renouveau suprĂŞme au cĹ“ur des morts… !!! * Prière au printemps * Toi qui fleuris ce que tu touches, Qui, dans les bois, aux vieilles souches Rends la vigueur, Le sourire Ă toutes les bouches, La vie au coeur ; * Qui changes la boue en prairies, Sèmes d’or et de pierreries Tous les haillons, Et jusqu’au seuil des boucheries Mets des rayons ! * Ă” printemps, alors que tout aime, Que s’embellit la tombe mĂŞme, Verte au dehors, Fais naĂ®tre un renouveau suprĂŞme Au coeur des morts ! * Qu’ils ne soient pas les seuls au monde Pour qui tu restes infĂ©conde, Saison d’amour ! Mais fais germer dans leur poussière L’espoir divin de la lumière Et du retour ! * RenĂ©-François Sully Prudhomme |
Déposé par poutounou le 19/05/2024Oui mon Ange, tu es devenu mon « refuge prĂ©fĂ©rĂ© »… !!! * Mon refuge prĂ©fĂ©rĂ© * Ma vie est comme cette maison, En ruines, abandonnĂ©e, nĂ©gligĂ©e, Elle respire le chaos, l’amertume, Elle aspire Ă l’abandon, au vide. * Ma vie est comme ce vaste monde, OpportunitĂ©s et ressources infinies, GâchĂ©e, pillĂ©e, Ă©ventrĂ©e et dĂ©figurĂ©e, Elle se dĂ©roule lasse et imperturbable. * Ma vie est comme ces multiples doutes, Qui m’assaillent, me tourmentent encore, Acceptations, dĂ©sirs et Ă©ternels dilemmes, Elle s’accommode de ces maints regrets. * Ma vie est comme cet havre de paix, Si souvent parfaite, si tant gĂ©nĂ©reuse, Qu’elle me semble factice et alarmante, Au point de redouter tant de maux Ă venir. * Ma vie est comme ces labyrinthes secrets, Ă€ la croisĂ©e de mille chemins traversants, Ă€ la lisière de tant de belles rencontres, Quel chemin suivre ? Quel destin choisir ? * Ma vie est comme ce tendre souvenir, Rejouant cent fois cette mĂŞme sĂ©quence, Quand tu m’as serrĂ© fort dans tes pattes, Cet instant oĂą tu es devenu… mon refuge prĂ©fĂ©rĂ©. * Nashmia Noormohamed, 2016 |
Déposé par poutounou le 15/05/2024Pluie de Printemps * Pluie de Printemps tombe du ciel parfumĂ©e au Soleil qui vient pointer son nez Les plantes sourient Ă la lueur du jour Et viennent offrir leur coeur Ă ces gouttes semĂ©es * Pluie de printemps, plus belle que l’Automne Vient rafraĂ®chir les coeurs, vient inonder les coeurs Et bientĂ´t donne tout ce qu’attend la Nature L’Eau si prĂ©cieuse et pure pour tout recommencer * Elodie Santos, 2009 |
Déposé par poutounou le 12/05/2024Notre « chemin Ă deux », sous la mĂŞme ombrelle, si fusionnels… * Le chemin Ă deux * Deux routes parallèles, Jamais ne se touchent, Un choeur si fusionnel, Qui jamais ne s’abouche. * Deux vies nouvelles, Parfois s’entremĂŞlent, Un fossĂ©, une bretelle, Un lien, une passerelle. * Deux rails, une Ă©chelle, Ă€ l’assaut du temps, filent, Deux esprits, une Ă©tincelle, Ă€ l’assaut du vent, graciles. * Deux forces, aussi belles, Amies et complices rĂ©elles Deux ĂŞtres, aussi rebelles, LĂ , sous la mĂŞme ombrelle. * Nashmia Noormohamed, 2016 |
Déposé par poutounou le 08/05/2024La patte de ton chien, serre-la si fort… * La main des dieux, tu peux refuser de la prendre * La main des dieux, tu peux refuser de la prendre. La main du mendiant, tu peux aussi. Toutes les mains qui frĂ´leront la tienne, tu peux les oublier. La main de ton ami, ferme les doigts sur elle, et serre-la si fort que le sang de ton cĹ“ur y batte avec le sien au mĂŞme rythme. * Sabine Sicaud, Les poèmes de Sabine Sicaud, 1958 (Recueil posthume) |
Déposé par poutounou le 05/05/2024Joli chardonneret, tu es venu me dire que l’Amour est devant… * Oiseau de Printemps * Joli Chardonneret, tu es sorti de l’ombre PosĂ© sur la rembarde pour venir me chanter Une ode Ă la Nature, au Soleil, au Printemps Tu es venu me dire que l’Amour est devant * Saute, vrille, vole Et mange toutes les graines que je t’ai donnĂ©es Reviens sur mon balcon, recommence ton chant Qui m’envahit toute entière Ces matins des beaux jours * Joli Chardonneret je te veux sur ma route dans ma jolie campagne au pied de mon balcon * Elodie Santos, 2009 |
Déposé par poutounou le 01/05/2024Petit brin de Bonheur… * Très tĂ´t dans la matinĂ©e, Du pied droit, je me suis levĂ©e. Mes gros sabots aux pieds, Dans mon jardin, je suis allĂ©e, Pour y cueillir des brins de muguet, Recouverts de rosĂ©e. * Tintinnabulez, tintinnabulez ! Jolies clochettes de Mai. Epandez vos douces senteurs Jusque dans nos cĹ“urs. Et dĂ©posez dans chaque foyer Un ocĂ©an d’amour et d’amitiĂ©. * Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cĹ“ur, car il porte Bonheur… AmitiĂ©, santĂ© et joli brin de muguet Ă ta famille de cĹ“ur aussi… |
Déposé par poutounou le 28/04/2024Les Roses * Le Printemps rayonnant, qui fait rire le jour En montrant son beau front, vermeil comme l’aurore, NaĂ®t, tressaille, fleurit, chante, et dans l’air sonore Éveille les divins murmures de l’amour. * O Sylphes ingĂ©nus, vous voilĂ de retour! De mille joyaux d’or la forĂŞt se dĂ©core, Et blanche, regardant les corolles Ă©clore, Titania folâtre au milieu de sa cour, * A travers l’éther pur dont elle fait sa proie, Tandis que la lumière, Ă©clatante de joie, Frissonne dans la bleue immensitĂ© des cieux. * BeautĂ© qui nous ravit avec tes molles poses, Dis, n’est-ce pas qu’il est doux et dĂ©licieux De plonger follement ta bouche dans les roses ? * ThĂ©odore de Banville, |
Déposé par poutounou le 27/04/2024DĂ©solĂ©e pour ma petite « absence » du cimetière, due Ă un petit problème d’ordinateur. Me revoilà … !!! * A quel beau songe Ă©vanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange... * PensĂ©e perdue * Elle est si douce, la pensĂ©e, Qu'il faut, pour en sentir l'attrait, D'une vision commencĂ©e S'Ă©veiller tout Ă coup distrait. * Le coeur dĂ©pouillĂ© la rĂ©clame ; Il ne la fait point revenir, Et cependant elle est dans l'âme, Et l'on mourrait pour la finir. * A quoi pensais-je tout Ă l'heure ? A quel beau songe Ă©vanoui Dois-je les larmes que je pleure ? Il m'a laissĂ© tout Ă©bloui. * Et ce bonheur d'une seconde, Nul effort ne me l'a rendu ; Je n'ai goĂ»tĂ© de joie au monde Qu'en rĂŞve, et mon rĂŞve est perdu. * RenĂ©-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
Déposé par poutounou le 24/04/2024Tu es tout ça, adorable Ange !!! * MON ANGE ADORÉ * Tu es mon oxygène, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaĂ®nes, L'indispensable qui coule dans mes veines. * Tu es l'objet de mon existence, L'ange pur de l'innocence, Mon Ă©toile de bienveillance, Plus qu'un espoir et plus qu'une chance. * Tu es ma mĂ©lodie, La douceur de mes nuits, Les couleurs de ma vie, Le bonheur Ă l'infini. * - Elodie - |
Déposé par poutounou le 21/04/2024Au nom d’un malaise * Au nom d’un malaise, La peine m’a assaillie, Et s’en est allĂ©e la vie. Au nom d’un malaise, J’ai vĂ©cu sans amis, Et ils sont tous partis, Peine Ă vivre, Vivre Ă peine, Au nom d’un malaise… * Nashmia Noormohamed, 1999 |
Déposé par poutounou le 17/04/2024Amis * Sans se consumer se posent nos mains sur l’épaule du Temps Se lèvent sur son visage le jour les souvenirs essaim de papillons MalgrĂ© les rides importunes avec nos rires d’antan pour tout bagage dans la mĂ©moire rebelle l’on voyage Nos voix aussi sont les mĂŞmes L’ariditĂ© de l’âge ne les a pas taries Elles coulent toujours dans cette oasis de l’amitiĂ© oĂą vieillir est un mirage * Kamal Zerdoumi |
Déposé par poutounou le 14/04/2024Sois le bienvenu « Rire du printemps » ! * Le printemps * Te voilĂ , rire du Printemps ! Les thyrses des lilas fleurissent. Les amantes qui te chĂ©rissent DĂ©livrent leurs cheveux flottants. * Sous les rayons d’or Ă©clatants Les anciens lierres se flĂ©trissent. Te voilĂ , rire du Printemps ! Les thyrses de lilas fleurissent. * Couchons-nous au bord des Ă©tangs, Que nos maux amers se guĂ©rissent ! Mille espoirs fabuleux nourrissent Nos coeurs gonflĂ©s et palpitants. Te voilĂ , rire du Printemps ! * ThĂ©odore de Banville |
Déposé par poutounou le 10/04/2024Rien ne nous sĂ©parera jamais… * Abri * Dans les lignes de ta patte Pour me plaire j’y veux voir Que rien ne nous sĂ©pare Et que nous avons mĂŞme destin. * Dans les lignes de ta patte Je dĂ©couvre en cherchant Les signes bienfaisants De ce qui me convient. * Dans le creux de ta patte OĂą ma main se blottit Je retrouve mon abri Doux et calme, comme un baume. * Esther Granek, Ballades et rĂ©flexions Ă ma façon, 1978 |
Déposé par poutounou le 07/04/2024Que c’est beau : « L’âme est immortelle et hier c’est demain » * Hier c’est demain… * Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses, Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux, Les bonbons, l’OcĂ©an, le jeu, l’azur des cieux, Les chiens, les lauriers et les roses. * Il faut fouler aux pieds des fleurs Ă peine Ă©closes ; Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux. Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux, Et l’effet qui s’en va nous dĂ©couvre les causes. * De ces biens passagers que l’on goĂ»te Ă demi, Le meilleur qui nous reste est un ancien ami. On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble, * On s’approche, on sourit, la « patte » touche la main, Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble, Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain. * Alfred de Musset |
Déposé par poutounou le 03/04/2024Venez, venez vite, hirondelles, repeupler l’azur calme et doux… * Avril * Lorsqu’un homme n’a pas d’amour, Rien du printemps ne l’intĂ©resse ; Il voit mĂŞme sans allĂ©gresse, Hirondelles, votre retour ; * Et, devant vos troupes lĂ©gères Qui traversent le ciel du soir, Il songe que d’aucun espoir Vous n’êtes pour lui messagères. * Chez moi ce spleen a trop durĂ©, Et quand je voyais dans les nues Les hirondelles revenues, Chaque printemps, j’ai bien pleurĂ©. * Mais depuis que toute ma vie A subi ton charme subtil, Mignonne, aux promesses d’Avril Je m’abandonne et me confie. * Depuis qu’un regard bien-aimĂ© A fait refleurir tout mon ĂŞtre, Je vous attends Ă ma fenĂŞtre, Chères voyageuses de Mai. * Venez, venez vite, hirondelles, Repeupler l’azur calme et doux, Car mon dĂ©sir qui va vers vous S’accuse de n’avoir pas d’ailes. * François CoppĂ©e, |
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