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In tribute to
PINSCHERprincesse
Born on :25/04/2001
left us on:14/12/2018
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In tribute to
princesse
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1670 Flowers
left by poutounou La mort n'atteint pas seulement celui qui doit fermer les yeux à jamais, mais aussi tous les autres, qui recevront l'absence en partage. Elle est lourde à porter, votre absence… !!! left by choupinou coucou petit ange d'amour, je ne pourrais pas venir te fleurir; je m'absente pendant une semaine, petites vacances dans le Salagou pour randonnées, se ressourcer, je t'emmène avec moi par la pensée left by poutounou Quand je t'ai caressé, je me suis rendue compte que j'avais vécu toute ma vie les mains vides. left by prixy Il difficile d'accepter l'absence de nos Anges. Il nous reste les souvenirs . Merci pour le gentil message très touchant. Bien à vous left by prixy Il difficile d'accepter l'absence de nos Anges. Il nous reste les souvenirs . Bien à vous left by prixy Il difficile d'accepter l'absence de nos Anges. Il nous reste les souvenirs . Bien à vous left by choupinou Une pluie de larmes ne peut rien contre la sécheresse du coeur... Pas plus que l'eau dans le vin pour en ranimer le bouquet. Jacques Prévert left by AMARY Un chien vous attendra jusqu'au bout de la nuit et il vous aimera jusqu'au bout de sa vie. |
319 messages
left by Biscuit on 28/01/2019Ma boule d'amour Tu sais que j'ai du mal, Encore à parler de toi, Il parait que c'est normal, Tu sais j'ai la voix qui se serre, Quand je te croise dans les photos les vidéos, Tu sais j'ai le cœur qui se perd, Je sais qu'il te pense beaucoup. J'aurais aimé t'avoir encore , Un peu plus longtemps... J'aurais aimé que mon chagrin, Ne dure qu'un instant mais c'est impossible. Et tu sais j'espère au moins, Que tu m'entends. C'est dur de briser le silence, Même dans les cris, même dehors, C'est dur de combattre l'absence ton absence, Et personne ne peut comprendre, On a chacun sa propre histoire. On m'a dit qu'il fallait attendre, Que la peine s'adoucisse. Car on ressent une immense peine Qui ne s'efface pas si facilement Aujourd'hui c'est ce qui m'arrive Vu que tu n'es plus à mes cotés Et je suis complètement déchirée Car la souffrance est trop vive Je voulais te dire que j'étais fière, D'avoir été ta Maman et je le serais toujours, Mais je sais que tout cela n'est plus possible Et c'est bien pour ça que mon cœur a une plaie Qui mettra du temps à se soigner. Pour qu'après, je puisse parler de toi et te regarder sans pleuré Même si la vie nous à séparer tu est là dans un endroit qu'on appelle le coeur mon coeur. Je t'aime, |
left by poutounou on 27/01/2019A quel beau songe évanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange... * Pensée perdue * Elle est si douce, la pensée, Qu'il faut, pour en sentir l'attrait, D'une vision commencée S'éveiller tout à coup distrait. * Le coeur dépouillé la réclame ; Il ne la fait point revenir, Et cependant elle est dans l'âme, Et l'on mourrait pour la finir. * A quoi pensais-je tout à l'heure ? A quel beau songe évanoui Dois-je les larmes que je pleure ? Il m'a laissé tout ébloui. * Et ce bonheur d'une seconde, Nul effort ne me l'a rendu ; Je n'ai goûté de joie au monde Qu'en rêve, et mon rêve est perdu. * René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
left by Biscuit on 27/01/2019Nuit de neige La grande plaine est blanche, immobile et sans voix. Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte. Mais on entend parfois, comme une morne plainte, Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois. Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes. L’hiver s’est abattu sur toute floraison ; Des arbres dépouillés dressent à l’horizon Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes. La lune est large et pâle et semble se hâter. On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère. De son morne regard elle parcourt la terre, Et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter. Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde, Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant ; Et la neige s’éclaire au loin, sinistrement, Aux étranges reflets de la clarté blafarde. Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux ! Un vent glacé frissonne et court par les allées ; Eux, n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux, Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées. Dans les grands arbres nus que couvre le verglas Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ; De leur oeil inquiet ils regardent la neige, Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas. Guy de Maupassant (1850-1893) |
left by Biscuit on 26/01/2019Mon étoile Dans ce monde obscur brille une étoile ... Une étoile qui illumine ma vie ... Une étoile qui me donne le sourire ... Une étoile qui m'apporte de la joie de vivre ... Mais un jour, cette étoile s'éteint ... Et, tout autour de moi s'écroule ... Et tout redevient sombre ... Tout ... sauf le souvenir de cette étoile ... Qui ne cessera de briller dans mon coeur ..... |
left by Biscuit on 24/01/2019Papa, Maman, Ne pleurez pas Ne pleurez pas Souvenez vous de tout ce que nous avons partagé Souvenez vous combien je vous aimais Mais je vous aime encore de là haut mon coeur bat aussi fort Merci de m'avoir donné tant d'amour Je sais que nous nous retrouverons un jour Je suis fou de joie à cette idée Je sais que vous ne cesserez jamais de m'aimer Merci Papa Merci Maman d'avoir fait de ma vie ce Paradis Je vous aime pour toujours Ne pleurez pas mon amour car il vous est acquis à jamais N'ayez pas de regrêts J'ai été le plus heureux auprès de vous Ma famille , je vous aime Merci pour tout ce que vous m'avez offert. |
left by Biscuit on 23/01/2019Si je pouvais être certaine qu'un Paradis existe bien ? Sur l'échelle du Ciel, je voudrais monter... Pas tout en haut, mais un peu quand même, Pas bien longtemps, mais juste assez, Pour m'assurer que tu es bien arrivé Je voudrais tendre le cou, Pour voir si ta nouvelle vie te plait.. Me persuader que tu es bien entouré, Mais surtout que la vie est meilleure ici..... J'observerais tous ces êtres innocents partis d'en bas, Bien trop tôt, M'émerveillerais de leurs ailes qui ont poussé, Depuis qu'ils sont là-haut. Je voudrais monter sur cette échelle, Contre mon coeur, te serrer une dernière fois, Que tu me dirais, dans un battement d'aile, "Continue Maman.... je veille sur toi.... Je suis toujours aussi près de toi", |
left by Biscuit on 22/01/2019Il faut laisser partir ceux qui nous ont aimés Et laisser s'en aller ceux qu'on a tant aimés. Des jours de souffrance nous t'avons épargnés, Pour toi, j'ai eu le choix : pouvoir te soulager. T'offrir comme un cadeau le sommeil éternel En laissant ton âme s'envoler vers le ciel. Une première fois je t'avais ramenée Et il fallait t'aider à monter l'escalier, A peine tu marchais déjà tu t'essoufflais Mais au delà de ça toujours tu me suivais. Tes yeux presque aveugles, bleutés, embués… Ton souffle s'épuisait, tes pattes fléchissaient. Tu écoutais le chant des oiseaux le matin, Et les chats partageaient avec toi ton coussin. Ta truffe dans le vent, tu humais les odeurs... Des choses t'échappaient mais tu n'avais pas peur. Tu semblais résigner à vivre diminuée Avec sagesse tu paraissais accepter Ces changements troublants sans comprendre vraiment Que les années passaient et que le facteur temps Poursuivait son chemin inexorablement. Mais la deuxième fois est trop vite arrivée Et nous avons tout fait pour tenter de gagner Encore quelques jours, pourquoi pas une année... Le moment redouté : le verdict est tombé. Il faut un peu de temps pour accepter l'idée Et faire quelques pas pour bien se préparer. Mais te voir trébucher, la tête de côté... Il faut se résigner. Alors que je pleurais De ton regard d'humain toi tu me consolais... Dans mes bras doucement toi tu t'es endormie... Blottie tout contre moi tu as quitté la vie Je suis restée longtemps à pleurer près de toi, Tu resteras en vie pour toujours avec moi... |
left by Biscuit on 20/01/2019Pour la compagne ou le compagnon qui n'est plus Pour toi qui viens ici pour l'ultime séparation, pour l'ultime hommage à celui ou celle qui t'a donné sa fidélité, son amour, ses joies, sa reconnaissance, et pour lequel ou pour laquelle tu as eu des nuits de veille quand la maladie frappait... Pour toi qui avais un langage unique pour échanger, pour adoucir, avec celui ou avec celle qui communiquait par un simple battement des paupières, un frémissement du museau, et qui exprimait, qui transmettait tant de messages ineffables, d'un miaulement ou d'un ronron, d'un aboiement particulier, ou qui jappait à ton approche, ou donnait de la voix. Pour toi qui cheminais avec lui ou avec elle, et qui partageais ses jeux, Pour toi dont il ou elle était le gardien du logis, Pour toi qui as mille et mille histoires à nous dire sur lui ou sur elle, chien ou chat, Pour toi dont il ou elle a été le témoin de tant d'évènements familiaux, Pour toi qui revis à présent la belle histoire d'amour qui vous liait, ne garde au coeur et en ta mémoire que la couleur de ses yeux, et de son pelage, son nom, son image, les heures de complicité, sa force vive, celle d'hier, tout ce que ce compagnon ou cette compagne t'a donné... Que ta croyance en la survie du souffle qui l'animait soit la plus forte... Alors ta compagne ou ton compagnon sera présent(e) dans l'invisible qui nous entoure, et tu seras apaisé(e). Bernard Blancotte de l'Académie du Languedoc Paris, le 9 septembre 1988 |
left by poutounou on 20/01/2019Encore deux, trois mois et le plus dur sera passé. Printemps reviens nous vite !!! * Hé oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor là. La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, même l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice Carême |
left by Biscuit on 19/01/2019TU VAS ME MANQUER (Maitre Gims) Je ne peux plus porter cette solitude, tu me manques. Je n'ai plus personne à qui me confier. Je passe mon temps à regarder par la fenêtre, et je ne te vois toujours pas rentrer. Tout semble faux. J'en perds mes mots. Que vais-je devenir? Je garde espoir de te revoir dans un proche avenir. Je t'attends comme si tu allais rentrer TU VAS ME MANQUER. TU VAS ME MANQUER Les souvenirs ne cessent de me hanter . TU VAS ME MANQUER. TU VAS ME MANQUER....... |
left by Biscuit on 18/01/2019"""On doit malheureusement se faire à l'idée que ces souvenirs font désormais partie du passé."""" Ton départ , laisse de la peine, et la résignation. S'il est vrai que tu fais partie du passé par ton absence, sache comme tous tes compagnons qui t'ont reçu dans ce Paradis des Animaux, que vous serez toujours présent dans nos pensées, et seule une personne matérialiste ne peut le comprendre. Durant votre vie parmi nous, vous nous avez marqué profondément par votre fidélité sans faille et votre dévouement sans limite. Tu as pris ta place dans votre Paradis, tu vas recommencer ta nouvelle vie, en pensant à celle que tu viens de quitter, tu t'amuseras et un beau jour, tu arrêteras subitement le jeu, tu pointeras les oreilles, tu humeras l'air, et ton regard se dirigera dans une certaine direction, et subitement tu quitteras avec rapidité ce jeu pour te blottir dans les bras d'un de tes proches qui arrivera dans son Paradis. A ce moment vous serez unis pour l’éternité. Toi qui n'est pas mort, mais simplement endormi pour un long sommeil, attends tous ceux que tu as aimés sur terre. , |
left by Biscuit on 17/01/2019"La mort n’est rien Je suis simplement passé dans la pièce à côté. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas de ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait vivre ensemble. Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme il l’a toujours été. Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre. La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié. Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, Simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre côté du chemin.", |
left by Biscuit on 16/01/2019De nombreuses années nous sépareras mais je penserai toujours à toi, On savait que ce moment allait arriver, On se disait pas maintenant... Chaque moment passé avec toi n'était que du bonheur, Mais maintenant c'est l'heure, L'heure de se dire "au revoir"... Jamais autant de temps nous serons séparés, Mais ce moment est arrivé, Et cela me parait une éternité... Je me souviens de chaque moment passé avec toi, Et de chaque moments de complicité passer à deux, Et de cette belle phrase que tu m'as fait comprendre avec ton regard, Je t'aime merci de m'avoir donner une si belle vie remplie d'amour, Celle qui pendant tout ce temps m'as faite rêver... "De longues années nous sépareras avant de pouvoir être ensembles mais je ne cesserai de t'aimer", |
left by lili2248 on 15/01/2019Il y a des jours comme ça… * Il y a des jours comme ça, Des jours où ça ne va pas. Des jours où on aimerait Serrer notre Ange contre soi. Lui murmurer des mots doux, Lui faire des câlinous tout partout Il y a des jours comme ça… Depuis qu’il n’est plus là. |
left by Biscuit on 15/01/2019Il y a des jours comme ça… * Il y a des jours comme ça, Des jours où ça ne va pas. Des jours où on aimerait Serrer notre Ange contre soi. Lui murmurer des mots doux, Lui faire des câlinous tout partout Il y a des jours comme ça… Depuis qu’il n’est plus là. |
left by Biscuit on 14/01/2019LE PARADIS DE NOS ANGES Regardez. Mais regardez donc là-haut. Que voyez vous ? Ne le voyez vous pas, ce paradis de nos chers animaux ? Là, au dessus de ce nuage où la forme est un chien. Et à côté de celui-ci, où la forme est un chat. Il est là ce paradis. Et puis, si votre regard se tourne vers la droite, Il y a le coin des rongeurs. Regardez. Mais regardez donc. Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche. Là, est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez, n'est ce pas? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là. Ils vivent ailleurs, en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la source du paradis. Et quand vient la nuit, Ils allument pour nous les étoiles, Afin que nous ayons nous aussi, Cette lumière qui les entoure. Le paradis des animaux, il est là. Vous le voyez, n'est ce pas? |
left by poutounou on 13/01/2019Qu'il est beau ce petit poème !!! * La veilleuse du souvenir s'allume au fond de mes pensées... * Nocturne * Le ciel s'éteint, tout va dormir Je songe à des choses passées ; C'est à la fois peine et plaisir. La veilleuse du souvenir S'allume au fond de mes pensées. * J'entends des pas, j'entends des voix, Des pas furtifs, des voix lointaines C'est peine et plaisir à la fois. On dirait le frisson des bois Sur le coeur tremblant des fontaines. * Des formes traversent la nuit, Formes noires et formes blanches... Où vont-ils et qui les conduit, Ces passants qui passent sans bruit, Comme la lune entre les branches ? * Le vent d'une ombre m'a frôlé... Fantôme d'enfant ou de femme ou de chien ? Sur la veilleuse il a soufflé Quelque chose d'inconsolé S'est mis à pleurer dans mon âme. * Anatole LE BRAZ (1859-1926) |
left by Biscuit on 12/01/2019J'ai rever que j'essayé d'aller tout là-haut D'aller là où tout semble si beau J'ai rêvé de déployer mes ailes J'ai laissé une rose s'envoler Je l'ai suivie, sans jamais abandonner En espérant qu'elle allait me montrer Un monde meilleur Fait de bonheur Le tiens ma boule de tendresse Et ou l'amour dure à jamais. Puis tout doucement un ange s'est posé A mes côtés, il a commencé à me parler Il m'a rapidement et clairement expliqué Que ce monde dont je n'arrête pas de rêver Existe déjà au fond de mon cœur Qu'il est là juste derriére les nuages Que notre amour existeras toujours, il est sous nos yeux Et quand le jour viendras,se seras comme autrefois ,pour l'éternité. Les pieds collés au sol je regarde le ciel Je pense à ce petit anges qui nous surveillent Qui pleurent quand on pleure, qui est heureux quand il nous voit heureux Le sourire aux lèvres je pose ces mots en sa mémoire., |
left by Biscuit on 11/01/2019La grande et triste erreur de quelques-uns, c'est de s'imaginer que ceux que la mort emporte nous quittent : ils ne nous quittent pas, ils restent. Où sont-ils ? Dans l'ombre ? oh non, c'est nous qui sommes dans l'ombre. Eux, sont à côté de nous, sous le voile, plus présents que jamais. Nous ne les voyons pas, parce que le nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient. Ils tiennent leurs beaux yeux pleins de lumière arrêtés sur nos yeux pleins de larmes. ô consolation ineffable, les morts sont des invisibles, ce ne sont pas des absents. J'ai souvent pensé à ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent. Voici : c'est la foi en cette présence réelle et ininterrompue de nos morts chéris ; c'est l'intuition claire, pénétrante, que, par la mort, ils ne sont ni éteints, ni éloignés, ni même absents, mais vivants près de nous, heureux, transfigurés, et n'ayant perdu, dans ce changement glorieux, ni une délicatesse de leur âme, ni une tendresse de leur cœur, ni une préférence de leur amour, mais ayant au contraire, dans ces profonds et doux sentiments, grandis de cent coudées. La mort, pour les bons, est la montée éblouissante dans la lumière, dans la puissance et dans l'amour. |
left by Biscuit on 10/01/2019Peu d'étoiles scintillent dans le ciel, Parmi elles, mon diamant éternel, Je ne comprends toujours pas pourquoi, La vie t'a enlevé à moi ! J'aimerais revenir en arrière Pour te serrer encore contre moi, et tout refaire, Tout faire pour que tu restes ici bas ! Que je ne te laisse plus souffrir une seule fois ! La mort est un rêve où j'espère te retrouver. Mais je suis mort dans mes rêves à tant t'aimer, Le souvenir de ta mort, de cette cruauté, Quand la vie, sur toi, c'est acharnée ! Ton étoile brillera dans le ciel, Mon si beau diamant, mon ange sans ailes, Tu voles entre mes pensées, Mon cœur ne cesse de t'aimer... Mais il manque à ma vie une partie de moi Tu dois bien te douter que c'est toi ! Je ne t'oubli pas ! Tu resteras à jamais près de moi ! Je meurs dans mes rêves où la vie t'a arraché d'ici Je te retrouve dans mes pensées, il n'y a plus qu'en moi que tu vis ! La mort est ce rêve où je te retrouverai, Parce qu'un jour, de ta vie, je me suis séparé ! Les jours passent, mais le souvenir reste, Le souvenir d'un jour que je déteste, Celui où ma main t'a caresser une dernière fois, Où la vie m'a dit de faire sans toi... De devoir marcher sans ta lumière, Elle est aujourd'hui du passé, d'hier... J'aimerais me serrer contre toi-même quelques secondes, Que ce soit, ou non, dans ce monde ! La mort a dépassé les rêves, tu t'en es allé. Mes rêves, eux, sont morts, de ne plus pouvoir te serrer. La mort est ce rêve où je te retrouverai Mais attend moi encore un peu, je ne devrais pas encore arriver... Je te donne rendez vous, Dans l'un de mes rêves, rien que nous... Et si tu m'entends, d'entre les cieux, Envoi un peu de pluie, pour les larmes sur mes yeux. |
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