|
|
|
|
Please login to use private mails, adress book and favorite |
In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
20 persons like this page |
In tribute to
Nudji
43 candles
13095 Flowers
left by nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 left by nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 left by goulou50 Pour toi petit cœur, un bouquet composé de gros bisous , de tendres caresses et de câlins left by viana67 Hommage à F.Hardy "Dans ce temps qui lie ciel et terre se cache le plus beau des mystères. Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort" - "Tant de belles choses" left by colombine67 Tout comme l'homme, les animaux ressentent le plaisir et la douleur, le bonheur et le malheur left by poutounou Dans la vie, il y a ceux qui imaginent le monde tel qu'il devrait être et qui se disent : pourquoi pas ? Au travail, chers Anges, il y a du boulot… !!! left by colombine67 Les animaux ne sont pas des propriétés ou des choses, ce sont des êtres vivants, assujettis à une vie, qui méritent notre compassion, respect, amitié et soutien left by chloute59 💙~💛Coucou petit ange désolé je n'étais pas là ce weekend je t'envoie d'énormes calinous ainsi que de gros bisous tout doux💛~💙 |
3797 messages
left by larrydoudou on 17/11/2015Le paradis des animaux Regardez, mais regardez donc là haut ! Oui levez les yeux ! Ne le voyez-vous pas ce Paradis de nos Chers Animaux ? Là ! Au-dessus de ce nuage dont la forme est un chien, Et à côté de celui-ci dont la forme est un chat, Il est là ce Paradis ! Et puis si votre regard se coule vers la droite, Il y a le coin des rongeurs : Regardez, mais regardez donc ! Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche : Là est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez n'est-ce-pas ? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là, Ils vivent ailleurs en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la Source du Paradis, et, Quand vient la nuit Ils allument pour nous Les étoiles afin que nous ayons nous aussi Cette lumière qui les entoure. Le Paradis des Animaux : il est là ! Vous le voyez n'est-ce-pas ? |
left by Biscuit on 17/11/2015Je suis le box 58 Au fond de l'allée à droite. Né dans une ruelle brûlante D'un misérable village d'une cruelle Espagne Je suis le chien errant dont on se débarrasse. Un matin, des hommes sont venus Armés de bâtons, c'est après nous qu'ils en avaient Pardon ma Mère d'avoir si vite couru Pardon mes Frères de vous avoir abandonnés Sans me retourner Pendant que l'on vous exterminait Car tant de haine les anime Seul pendant une année, j'ai erré La faim, la soif me tenant, toujours sur mes gardes J'ai rusé, je me suis bien battu Mais les monstres m'ont capturé au lasso Et jeté dans cet humide cachot Dont le toit cassé Laisse passer la pluie Lorsqu'il gèle le sol est glacé Lorsque le soleil est au plus haut Il m'écrase de sa chaleur Qu'aucune ombre n'apaise Comme mon box est le dernier du refuge, Il n'y a pas de vis-à-vis Rien n'arrête le vent Qui me transperce par tous les temps Et point d'endroit pour me mettre à l'abri Lorsque vient la distribution du repas Bien souvent on m'oublie Ni eau, ni pain pour moi. Au début, j'ai pleuré tous les jours, toutes les nuits A présent, depuis tant d'années Je me suis résigné Oublié de tous Je n'attends plus rien du genre humain Qui m'a enjôlé pour mieux me punir D'avoir voulu être un chien d'Espagne Fier et libre Et les années ont passé Lentement, interminablement................. Je me suis habitué à ne jamais plus courir Je regarde les murs de ma prison Qui sont mon seul horizon S'il y a encore un peu de pitié Qu'on me fasse mourir Pour abréger cette lente agonie Je suis si seul et sans espoir....... Mais un jour, deux petites mains Se sont posées sur mes barreaux J'ai à peine levé la tête Pour regarder cette enfant Blonde, rose qui m'observe en silence Et me fixe intensément Puis elle appelle .... Prudent, je ne bouge pas Elle appelle de nouveau Deux grands viennent voir Ce qui suscite tant d'émoi La petite voudrait bien de moi Mais les parents rechignent Il est bien laid et si vieux Alors l'enfant pleure Elle veut celui-là, en me montrant du doigt Celui du box 58, au fond de l'allée à droite. On palabre, on discute près de moi Quel triste sort m'attend ? Qu'ont-ils donc encore inventé Pour me tourmenter ? Je tends le dos................ J'attends.................. On me met un collier On me tire avec une laisse On me pousse, on me porte Point de coups ? Point encore................. Pourtant rien. On m'installe dans une jolie maison Ce panier confortable est pour moi La bonne gamelle et l'eau fraîche aussi Le jardin est si beau............ Tout cela serait-il possible ? C'était il y a quelques jours J'ai donné un peu de confiance J'ai reçu tellement d'amour Maintenant, moi j'ai une Princesse Qui m'interpelle sans cesse J'entends ses petits pieds nus Qui claquent sur le sol Elle passe ses bras autour de mon cou Et me murmure des mots doux Ainsi donc c'était vrai Qu'un jour il y aurait Quelqu'un pour m'aimer Quelqu'un pour qui je compterais Qui m'accorderait de l'importance Sans rien demander en retour Une part d'amour pour moi Rien que pour moi..... Alors, vous qui le Dimanche Visitez les Refuges D'Espagne ou d'ailleurs N'oubliez jamais le même que moi Qui vous attend Dans le Box 58 Au fond de l'allée à droite.............. |
left by colombine67 on 17/11/2015Comme un arbre... j'ai besoin de lumière... si je suis fermement attachée à mon sol toujours mariée à la terre je grandis néanmoins vers le ciel et je croîs... je mûris en noblesse et en beauté. Par certains jours noirs et sombres de l'hiver ou certaines heures d'automne noyées de pluie je travaille à l'intérieur et j'attends… Nulle protection ni secours incertitude maillée d’espérance je ne commande pas à la nature je collabore avec elle. Comme un arbre j'ai mes saisons mes forces, mes failles. Continuer... comme un arbre ce n'est peut-être pas maudire les intempéries mais les accueillir dormir une courte nuit pour recommencer le lendemain apprendre à mourir pour renaître continuer... comme un arbre c'est peut-être me lever chaque jour avant le jour prête à affronter les coups du sort prête à faire alliance avec ma vie. Je connais misère et grandeur... le passage de la nuit au jour la fraîcheur des rivières à mes pieds et le fruit du labeur de mes bras. Que sais-je encore ? J'ai appris à m'incliner à me redresser à écouter la beauté dans le murmure du vent... parfois ma parure cache mon écorce fragile parfois encore je me dépouille pour mieux me révéler. J'ai le juste orgueil de donner l'ombre au passant comme j'ai la fierté de mes racines profondes. Les marques de mon passé trahissent mon âge, mes peurs et mes pensées voyez mes noeuds d'anxiété mes blessures, branches cassées. Pourtant je m'élève malgré tout je parfume l'air à ma façon... le temps me couronne de fleurs à l'occasion. En vieillissant je me souviens avec émotion de l'oisillon que j'ai bercé et du refuge que j'ai offert aux jeunes de mon quartier. Mes prières deviennent contemplation j’apprécie l'horizon du lendemain… je chante l’oraison. Si l'arbre est fort il craint toujours le feu et le bûcheron de même je frémis devant le mal, la guerre et plus que tout... devant l'indifférence, l’insouciance. Je porte toujours en moi l’arbre de la croix ! Certains arbres deviennent bois de chauffage paniers de bois feuilles de papier bois d'ébénisterie copeaux, gîtes, balai neuf ou lambris. Je parie que la Vie fera de moi une petite feuille de papier fleuri... j'espère qu'on y écrira un vers ou deux de poésie... D’ailleurs, je connais un homme vous savez… qui pour avoir vécu pleinement un temps de mort et d’agonie est à jamais ressuscité ! Lysette Brochu, Regard de foi, août 1988 |
left by poutounou on 16/11/2015En ces temps si « durs », si « sombres », il est bon de garder au fond de soi, une petite lumière qu’on appelle « Espérance ». * La petite espérance * C’est la petite lumière qui brille au fond de son coeur Et que nul au monde ne saurait éteindre. Si ton coeur est brisé, malheureux, éperdu Si ta vie est triste, monotone, sans saveur Si l’angoisse parfois et souvent te saisit La petite espérance est là, au fond de ton coeur Qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver Elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, Tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel Si tu n’as plus le goût à rien, ni même celui de vivre… La petite espérance est encore là, au fond de ton coeur Qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source Le jeune bourgeon qui permet à l’arbre de reverdir La clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon coeur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves Toi qui ne connais pas le mot « Fin« . * Auteur inconnu |
left by colombine67 on 16/11/2015L'important, c'est de semer, un peu, beaucoup, sans cesse, les graines de l'espérance... Sème le sourire : qu'il resplendisse autour de toi. Sème ton courage : qu'il soutienne celui de l'autre. Sème ton enthousiasme, ta foi, ton amour, les plus petites choses, les riens. Aie confiance, chaque graine enrichira un petit coin de terre. Anonyme |
left by colombine67 on 15/11/2015 Vieillir, se l'avouer à soi même et le dire tout haut, non pas pour voir protester les amis, mais pour y conformer ses goûts et s'interdire ce que la veille encore on se croyait permis. Avec sincérité, dès que l'aube se lève, se bien persuader qu'on est plus vieux d'un jour ; à chaque cheveu blanc, se séparer d'un rêve et lui dire tout bas un adieu sans retour. Aux appétits grossiers, imposer d'âpres jeunes, et nourrir son esprit d'un solide savoir, devenir bon, devenir doux, aimer les fleurs, aimer les jeunes, comme on aima l'espoir. Se résigner à vivre un peu sur le rivage, tandis qu'il vogueront sur les flots hasardeux, craindre d'être importun sans devenir sauvage, se laisser ignorer tout en restant près d'eux. Vaquer sans bruit aux soins que tout départ réclame, prier et faire un peu de bien autour de soi, sans négliger son corps, parer surtout son âme, chauffant l'un aux tisons, l'autre à l'antique Foi. Puis un beau soir, discrètement, souffler la flamme de sa lampe et mourir parce que c'est la loi. Jean Fabié |
left by colombine67 on 14/11/2015 Un jour viendra où mon corps recouvert d'un drap blanc, soigneusement tiré aux quatre coins du lit, restera immobile sur un lit d'hôpital parmi la rumeur des vivants et les affres des mourants. À un moment donné, un médecin constatera que mon cerveau a cessé de fonctionner et, qu'à tous égards, la vie m'a quitté. Quand cela arrivera, n'essayez pas de me maintenir artificiellement en vie au moyen d'un appareil. Et ne parlez pas de mon "LIT DE MORT". Dites plutôt "LIT DE VIE" et laissez emporter mon corps pour qu'il serve à donner à d'autres une vie plus riche... Qu'on donne mes yeux à celui qui n'a jamais vu le lever du soleil, le visage d'un bébé ou l'amour dans le regard d'une femme... Qu'on donne mon coeur à celui dont le coeur n'a été qu'une cause permanente de souffrance... Qu'on donne mon sang à l'adolescent qu'on a sorti des débris de sa voiture afin qu'il vive assez longtemps pour voir jouer ses petits enfants... Qu'on donne mes reins à celui qui doit recourir de semaine en semaine au rein artificiel... Qu'on prenne mes os, mes muscles, tous les nerfs et les tissus de mon corps et qu'on trouve le moyen, grâce à eux, de faire marcher un enfant paralysé... Qu'on explore tous les recoins de mon cerveau. Qu'on en prenne la matière s'il le faut, afin qu'un jour un jeune garçon privé de la parole soit capable de crier sa joie et qu'une petite fille sourde puisse entendre la pluie battre contre les vitres... Qu'on brûle ce qui restera de moi et qu'on répande mes cendres à tous vents pour aider les fleurs à pousser. S'il faut mettre quelque chose en terre, que ce soit mes fautes, mes faiblesses et tous mes préjugés à l'encontre de mes semblables. Si par hasard vous désirez conserver mon souvenir, faites-le en aidant d'un mot ou d'un geste quelqu'un qui en aura besoin. Si vous faites tout ce que je vous ai demandé, "JE VIVRAI ÉTERNELLEMENT". Merci de votre compréhension ! Un donneur d'organes anonyme... |
left by Biscuit on 14/11/2015Message d'une petite Étoile,Nudji « Si vous sentez de temps à autre des souffrances, si des questions vous viennent auxquelles vous n'obtenez aucune réponse, cherchez en vous. Profondément enfouie, se cache une étincelle qui ne demande qu'à grandir et briller, briller, laissez la vous consumer totalement, seulement alors nous pourrons nous rejoindre. Pour autant, ne levez pas la tête au ciel pour tenter de m'apercevoir. Mais regardez seulement en vous, c'est ici que je me cache ». |
left by colombine67 on 13/11/2015La voici, la maladie, dans ces membres sans vie. Elle s'attarde un peu dans le corps de l'enfant, Creusant la souffrance et la peur. Elle nous garde, comme un voilier dans la tourmente, un arbre sous la bourrasque, attendant que l'orage passe ; presque heureux d'avoir pu garder, jusque dans la détresse du quotidien, l'espérance fragile ; Tels des rescapés... La maladie a tout pris, et que resterait-il, S'il n'y avait cet espoir tenace que l'adversité n'aura pas terni ? Oui, si c'était cela, le Bonheur : Vivre, même dans l'urgence... Vivre, même quand le corps nous trahit, Au delà de nos égoïsmes et de nos peurs, Au delà de la souffrance et de la mort... L'espérance renaît, jour après jour, pas à pas, au long chemin de l'existence... Stéphane Bardy |
left by rafia on 13/11/2015Amitié Je connais un petit ange Lequel n'a jamais mouillé Sa blanche robe à la fange Dont notre monde est souillé. C'est lui qui donne le change Au pauvre coeur dépouillé Que l'amour, vautour étrange, D'un bec cruel a fouillé. Cet ange, qui vous ressemble, Sous son aile nous rassemble C'est la divine Amitié. Son regard est doux et calme ; Il m'offre sa chaste palme. En voulez-vous la moitié ? Louis-Honoré Fréchette. |
left by Galinette3 on 12/11/2015“Je suis juste de l’autre côté du chemin” 🐶 La mort n’est rien, je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. 🐶 Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné, parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. 🐶 Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi. 🐶 Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ombre. 🐶 La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. 🐶 Vous voyez, tout est bien 🐶 Henry Scott-Holland |
left by poutounou on 12/11/2015Poème de notre ou nos anges pour nous… * J’aimerais être l’ange de ton sommeil, Te protéger jusqu’au réveil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cœur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rêves les plus enfouis. Je garderai précieusement la clé Des plus profondes de tes pensées. Je dissiperai le brouillard Qui détruit tous les espoirs. Et lorsque tu te réveilleras Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi. |
left by colombine67 on 12/11/2015Quand j'ai mal, je pense être seule à souffrir je me dis que je n'ai pas de chance Que seul les malheurs la vie veut m'offrir que je ne suis rien, que je suis déchéance Je me dis que personne ne m'aime que je compte vraiment pour rien que je mérite tous mes problèmes que je ne ferai jamais rien de bien Pourtant en observant les autres je vois des choses si terribles parfois je ne sais pas comment ils font le choix de continuer avec autant de tracas Alors je m'amuse à faire une liste de ce que j'ai de bien, de ce que j'ai de mal de ce que j'imagine, de ce qui vraiment existe et je compte les points au final Si j'ai plus de mal que de bien je m'arrange pour égaliser la balance je m'assure de mon soutien et j'avance remplie d'espérance Ce que j'ai de mauvais, je le mets de côté c'est un sujet à travailler ce que j'ai de bien, je le fais fructifier c'est un sujet à développer Si malgré tout j'ai encore mal je me dis que je continuerai vaille que vaille que je suis quelqu'un de phénoménale et que je gagnerai bataille après bataille Marie, Mur des lamentations |
left by ovanek on 11/11/2015💖 💖 💖 78 💖 💖 ***** Il n'y a qu'un voile ***** Qu'un voile qui nous sépare Il y a un souffle qui nous unis, celui des âmes Si doux, si fin, si persistant "Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix "Il n'y a que ce voile qui nous sépare et tu me sens parfois" Une odeur, un geste, une musique, un endroit Et je suis là, auprès de toi Tu m'entends rire, discourir de ce qui était Désormais, c'est un trésor au fond de toi Il n'y qu'un voile si fin pourtant si infranchissable Impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà Nul ne doit savoir On n'en revient pas C'est l'éblouissant interdit Mais pour les cœurs la frontière n'existe pas L'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment ***** Pensée ***** 💖 |
left by colombine67 on 11/11/2015Quelque soit la maladie, l’Amour est la réponse. Quelque soit la douleur, l’Amour est la réponse. Quelque soit la peur, l’Amour est la réponse. L’Amour est toujours la réponse, car l’Amour est tout ce qui est. Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour. Adolescent, jeune, vieux, toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour. Ne pense pas "je souffrirai", ne pense pas "je me tromperai". Va simplement, allègrement, à la recherche de l’Amour. Cherche à aimer comme tu peux, à aimer tout ce que tu peux. Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour. Et quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie. Ne pense pas "il en a assez" ; ne pense pas "il en a déjà trop". Toujours, quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie. N’oublie pas de donner ton Amour et n’arrête jamais. Alors tu seras aimé. Anonyme |
left by choupinou on 10/11/2015toi,mon ange je t'ai vu descendre un jour j'ai cru te voir mon ange je me suis approchée et je me suis dis que surement j'avais des visions !!! mais non,tu étais bien un ange, venu du ciel,pour qui?Pourquoi?Et quand? je n'ai eu que deux réponses !!! - tout de suite ... - et pour qui ... - et pourquoi personne ne le sauras, cela restera entre nous deux... je me glisse dans le vent , comme les feuilles de l'automne.... moi qui peux te fait pleurer, je viens te donner du rêve, je veux que tu sois heureuse(eux) je peux te raconter ma belle histoire celle de la haut ou je suis bien, gaie,comme triste je veux te donner tout mon amour,tout ce que tu peux recevoir... aujourd'hui,je l'ai vu descendre, tout doucement ,puis les ailes déployées ,il est reparti,vers les cieux, me laissant une plume blanche,sur le plancher.... |
left by colombine67 on 10/11/2015A Toi qui souffres Qui est au bord du gouffre A Toi qui ne sens plus rien Si ce n'est ce vide ou ce trop plein A Toi qui es si seul Et que personne ne remarque A Toi qui voudrais hurler Pour que quelqu'un t'entende A Toi qui pleures Toutes les larmes de ton coeur A Toi qui voudrais exister Au regard des autres J'aimerais Te dire : Fais Silence - Ecarte ta Raison - Descends dans ton Coeur : Là une petite flamme vit, palpite, prisonnière de sombres pensées. Une petite flamme qui ne demande qu'à s'épanouir à la Vie. Ecoute-La - Sens-La - Vois-La - Touche-La - Goûte-La Laisse ton Corps, Temple de ton Ame, l'accueillir. Et les chaînes qui L'entravent tomberont. OUI, la VIE est en Toi TU es TOI - AIME TOI |
left by colombine67 on 09/11/2015Solitude, sais-tu pourquoi je t’aime ? Solitude, sais-tu pourquoi je t’attends ? Solitude, sais-tu pourquoi je t’espère ? Solitude, sais-tu pourquoi je t’ai apprise ? En toi, je trouve le refuge face au regard étranger, En toi, je trouve le silence face à l’inexplicable, En toi, je trouve la paix face à l’épuisement, En toi, je trouve celle que je suis devenue. Avec toi, j’ai parcouru des chemins inconnus, Avec toi, j’ai parcouru l’espoir et la désespérance, Avec toi, j’ai parcouru la vie et la souffrance, Avec toi, j’ai appris à tout réapprendre. Alors, Solitude, quand ma main tu lâcheras, Et qu’une main nouvelle viendra se tendre, Alors, Solitude, souvent mon cœur reviendra, Car pour aimer, il faut savoir attendre. Elisabeth Lafont |
left by poutounou on 08/11/2015Le plus beau cadeau * Faire le plus beau cadeau à quelqu'un : Ce n'est pas l'aider, Ce n'est pas combler ses désirs, Ce n'est pas lui apporter la sécurité, Ce n'est pas l'Aimer. NON. * C'est lui donner sa liberté, C'est l'accompagner QUELS QUE SOIENT ses choix, C'est lui montrer sa propre lumière, C'est croire en lui, C’est toujours rester dans la vérité, ET SURTOUT, C'est être à son écoute et lui donner l'occasion de s'Aimer... |
left by Biscuit on 08/11/2015“ S'il vous plaît ne dite plus que la mort n'est rien. S'il vous plaît ne dite plus que cela passera avec le temps. S'il vous plait ne donnez plus de conseils... A ceux, à celles qui perdent un être cher... Parti toujours trop vite, trop tôt.... Laissez les pleurer de l'été, à l'automne, de l'hiver au printemps... Laissez les pleurer aussi longtemps qu'ils en éprouve le besoin... Laissez les parler, ne faites que les écouter. Il n'y a pas de temps limite pour faire son deuil. ” tu es gravé dans mon coeur , petit ange . Veille sur nous de la -haut |
The photo album contains 93 pictures